Cox Posté(e) le 30 mars 2012 Share Posté(e) le 30 mars 2012 [center][url="http://www.bdfugue.com/iznogoud-president?ref=44"][img]http://www.imaveditions.com/wp-content/uploads/2012/02/Couv-iznogoud-President.png[/img][/url][/center] [b]Série[/b] : Iznogoud [b]Titre[/b] :Iznogoud président [b]Genre[/b] : Humour [b]Dessin[/b] : NIcolas Canteloup - Laurent Vassilian [b]Scenario[/b] : Nicolas Tabary [b]Couleur[/b] : Leonardo [b]Editeur[/b] : Imav [b]Parution[/b] : 21.02.2012 [b][url=http://www.bdfugue.com/iznogoud-president"]Acheter sur bdfugue[/url][/b] [i]Pour la première fois, Iznogoud renonce à être calife à la place du calife, il veut être : PRÉSIDENT À LA PLACE DU CALIFE ! Un mage qui exauce vos rêves en vous écoutant les raconter, une chèvre coiffée qui communique, un redoutable guerrier attentif à la cuisson de ses madeleines, un chauffeur de tapis volant qui se plaint de la circulation, une princesse belle comme la beauté et toujours Haroun El Poussah le paisible calife, Dilat Larath le fidèle homme de main et bien sûr Iznogoud dont l’ambition loin de se tarir, se nourrit de l’air du temps… [/i] Disons le tout de go, il y a un coté opportuniste à sortir un album intitulé Iznogoud président en cette période. Il y a également un coté opportuniste à demander à l’un des meilleurs humoristes français à scénariser cette histoire. Mais, voilà on a beau être un très bon dans son domaine, ce n’est pas pour cela qu’on fait un très grand scénariste d’humour dans la bande dessinée. Le problème numéro un de cet album est qu’il vient 5 ans trop tard. La ressemblance entre Nicolas Sarkozy et Iznogoud aurait été un axe de travail des plus détonnant. Mais voilà, Nicolas Sarkozy est président, l’histoire n’a plus la même saveur. D’autre part l’album est parsemé de running gags qui deviennent lourd à la longue : le psychanalyste Lakan et les chèvres qui parlent ont sont le parfait exemple. Coté positif, le retour (et l’hommage) vers les pères fondateurs et les jeux de mots à deux balles, même si souvent il faut les lire à haute voix pour les trouver. A l’arrivée, un sentiment quelque peu mitigé, l’album est raté, certes, mais il existe un potentiel réel pour peu qu’on encadre les scénaristes. Coté dessin, rien à redire, Nicolas Tabary a hérité du talent de son père. [b]Ma note[/b]:[img]http://www.1001bd.com/tmp/pic/note/2.5.png[/img] Cox Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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