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Monfreid...

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Tout ce qui a été posté par Monfreid...

  1. Monfreid...

    Le Cycle de Cyann

    espérons que la qualité soit tjrs au rendez vous...après feuilletage super rapide, je dirais oui. sinon deux solutions possibles arborez : en forme de jeu de mot sur les arbres et l'univers de Cyan arborez : pour vous abhorrez... :wink:
  2. j'hallucine quand même sur la vitesse de production... faudrait que je m'en lise 4 ou 5 pour voir sur la longueur :wink:
  3. Monfreid...

    Nana

    je comprends mieux pourquoi vous en êtes déjà au tome 18 du coup! chez nous c'est environ 250 - 300 pages et nous en sommes au tome 10! au fait ça marche bien les mangas "pour filles" en italie ? bien à toi, Monfreid...
  4. Monfreid...

    Nana

    bonjour et bienvenue à toi :wink: euh...les tomes font aussi 250 pages environ en italie ? bien à toi et à te lire, Monfreid...
  5. Monfreid...

    Vos achats de février

    CITATION(Rand)Double masque : j'ai lu quelque part que c'était une Uchronie. Peux tu me confirmer SVP dans ce cas là, sur le premier tome faut être super érudit en histoire, parce que je n'ais rien deceler du tout moi :?
  6. Monfreid...

    Ikkyu

    CITATION(Mr froissard)trés sympa de dialoguer avec toi Monfreid. je me disais tout pareil à ton propos en fait là 8) sinon, y'a aussi l'adaptation de la pierre et le sabre en manga qui n'est pas mal (je n'ais lu que les 4 premiers!) c'est "vagabonds"... et je susi avec toi...le code d'honneur japonais des samourais, c'est bien...mais bon ils ont du le tenir (et encore les riches) que quelques années...ce qui est fou c'est cette passion pour le raffinement à cette époque. si tu aimes l'esprit d'Ikkyu je ne saurais trop de conseille "ivre de femme et de peinture" un film sublime... à noter aussi que par la suite la méditation c'est peu à peu "démocratiser"...ce qui est fou, c'est que cet élargissement retombe sur les racines boudhistes de base... bon je vais relire un peu les albums que j'ai et me payer les suivants histoire de ne pas faire que du hors topic bien à toi, Monfreid...
  7. CITATION(zeas)CITATION(mesoke)Mais euh ... donc c'est pas le coup de coeur de janvier..?  j'ai encore rien compris..? itou si c'est moi qui était pas assez saoul :roll:
  8. CITATION(zeas)CITATIONle "pourquoi de l'intrigue" qu'aucune des deux histoire en parallèle ne tire la couverture à elle, ne dépasse l'autre d'une tête, ne possède d'enjeu particulier..qui à du le laisser... Je précise d'ailleurs que environ 1/3 de l'action se passe dans le futur et 2/3 au moyen-âge (dixit les auteurs) et que ça se sent bien. L'histoire est clairement centrée sur le moyen-âge quand-même... perso je parlais dans leur limite respective... c'est à dire, qu'elles existent belle et bien, et c'est clairement plus moyen age mais on va dire qu'il n'y a pas de "moteur interne" mais je répète, ce n'est pas mon avis là hein :wink:
  9. Monfreid...

    Les éditions originales

    y'a le premier titeuf aussi qui n'a pas rencontré de succès (pas que le premier si mes souvenirs sont bons) ça doit côté :shock:
  10. salut à toutes et à tous, alors comme tout les débuts de mois. voici le résultat des votes concernant les albums favoris des chroniqueurs réguliers du site, chroniqueurs qui se mois ci voit leur rang s'agrandir de deux petits nouveaux :wink: alors : 1 vote pour pandora box 1 vote pour Okko (et vi le votant après vérification c'est sorti le 5 janvier, donc c'est bon) 1 vote pour le tome 3 de Max Hamn 2 vote pour salvatore 2 vote pour l'histoire d'une mère les deux gagnants sont donc L'histoire d'une mère superbe album très sombre et graphiquement bluffant! et Salvatore Le dernier de crécy, plus accessible mais pas moins génial! vous pouvez réagir sur chacun des topics si vous avez des avis sur ces albums et ici si vous avez des réactions quand au vote en lui même. bien à vous, Monfreid...
  11. euh...je me suis mal exprimer :roll: c'est polansky qui à voulu faire chiant! là je ne pense pas, je parlerais plus de "lourdeur littéraire" pour asseoir le perso...avec d'autres vus que la chiantitude du lecteur. là plutôt que de provoquer un état durable que l'on va surprendre (cf polansky) je pense que l'auteur (donc aussi denis) à voulu rendre le début "peu abordable" assez hermétique, pour ne pas dire abscons genre "mais où veut il en venir" avec un côté perméable, on sait où il va, ce qu'il veut dire...uen impression de lourdeur dans la lecture donc. puis la suite nous surprend nous montre que ça débouche sur un truc auquel on ne s'attendais pas ce qui là "force" le lecteur à revoir ses préjugés concernant la figure littéraire utilisée au préalable! et donc à relire différement le tout... enfin je dis ça :roll: :wink:
  12. CITATION(Arn)je ne connaissais pas cet auteur, mais il gagne à être connu je pense... je vais tacher de jeter un oeil a sa BD ! bonne initiative :wink:
  13. ben ouais vu que "dans le donjon tout est bon" on en est encore là! merci pour les infos 8)
  14. Say Hello to Black Jack tome 4 de Sato aux éditions Glénat Résumé : La suite des aventures de notre jeune interne avis : ici l'avis s'attarde sur les "points négatifs" l'album, bien que "moins bons" que le précédent reste toutefois de qualité!Tout est il acceptable sous le prétexte de la morale ? Un discours réaliste doit il se plier aux exigences lacrymales consensuelles pour toucher un public ? Perd on en impact en se donnant en spectacle ? Autant de question que le traitement de ce quatrième tome de "say hello to black jack" nous pose. Nous avions laissé notre héros dans une position plus que délicate. Les survies de jumeaux dont l'un s'avère être atteint d'un syndrome grâve, n'est jamais chose facile, d'autant plus lorsque les parents ne veulent pas entendre parler d'une opération. Tout l'épisode va tenir sur cet événement. Autant le dire tout de suite, c'est trop long, plus de 200 pages sur ça, c'est trop, on gagne en nuance, ce que l'on perd en densité. Les premiers épisodes étaient choquant car ils ne nous laissaient jamais le temps de nous reposer, là forcément les dialogues s'amoncellent, les rebondissements aussi et on finit par devoir "faire un choix", par opter pour l'un ou l'autre des personnages, l'une ou l'autre des visions de la vie qui nous sont proposés. Le souci, c'est que le ton larmoyant n'évolue pas d'un pouce. Au fur et à mesure de la lecture on se dit que la "transmission" des sentiments doit obligatoirement passer par des larmes, par une pise de conscience morale exagérée, invalidant une bonne part de crédibilité. Insidieusement la part des choses se fait entre des données brutes (le nombre de mort d'enfant au japon/ la discrimination des handicapés) et les réactions des personnages. Peu à peu on se détache de la sensiblerie, pour ne plus retenir que les faits. Du moins cela serait la bonne solution à adopté au vu de quelques pages en "surplus". Ce qui est assez "choquant" c'est que le traitement graphique n'hésites à partir en dehors des sentiers battus en proposant des images assez "dures", plus brutes, mélanges de crayonnés et d'encrage nerveux, de véritable réussite, qui arrivent un peu tard. En exploitant jusqu'à la corde la veine des "rebondissements" pour explorer l'âme humaine, l'auteur entre parfois de plein pied dans le rocambolesque voire dans le vaudeville. Bien entendu, tout cela est fait afin de "porter" un sujet douloureux et plus complexe qu'il n'y parait. Nous avons ainsi tout loisir de nous poser la question quand à la légitimité des actions parentales sur la vie, sur les limites du rôle des médecins, sur les recours possibles, pour mieux nous questionner sur nos propres points de vus. La question suppose donc une problème moral complexe, plus que cela il pose les frontières entre le consensus théorique des lois social et les effets pratiques de l'application de ce même consensus. En prenant un exemple bien précis (et assez extrême) l'auteur ne fait pas dans la demi-mesure. Force est de constater que l'on est dans le vif du sujet, rien à dire, le problème est posé, exposé et à résoudre le plus vite possible! L'impuissance du système hospitalier n'en est que plus flagrante. Seulement voilà pour captiver son lecteur, l'auteur commence à user de travers trop visible, de ficelles narratives qui se démarque de la réalité des événements. En donnant un caractère "sombre mais pour de faux" au père des jumeaux, il gâche les efforts de son héros, il anoblie l'humain, le rend miséricordieux à ses propres yeux. Cette démarche du "happy end" contraste trop fortement avec la majorité du personnel qui dépeint comme blasé et cynique. Bien qu'étant la pire des ordures, il est possible pour un homme de trouver le pardon (au contact du héros sinon ça ne marche pas!); alors que les employés de l'hôpital rendent compte des préjugés les plus méprisants. Bien qu'insignifiant cette démarche montre les limites du propos de l'auteur pour qui l'important devient de plus en plus le "message", qu'importe si le colis subit des dommages. En agissant de la sorte, en négligeant la forme scénaristique, il peine à rendre valide la notion de culpabilité qui englobe le personnage du patron du héros. Franchement toute la vie du mec est basée sur la notion de courage, de dévotion, sur la droiture, la prise en compte du malade, la connaissance et le souvenir des parents, un savoir faire hors pairs, un comportement irréprochable, moral mais pas moraliste, en plus il partage cet état d'esprit; et le tout est chamboulé par la crise existentielle d'un pauvre interne en proie à de la culpabilisation à outrance. Alors que des internes ou médecins jugeant l'un des leurs, on juste le droit à une remarque lapidaire d'une infirmière…il y a deux poids deux mesures, qui frôlent l'incohérence à ce niveau. Bien entendu cette partie nous "informe" et nous fait réagir sur la question du rôle "moral" du médecin dans notre société, sur la question de son devoir d'information et ce qu'il sous tend. Mais une fois encore, il y a trop de sentimentalisme. En somme il s'agit d'un bon album! Qui prolonge agréablement la série, mais qui à le tort de tomber dans les travers de ce qu'il cherche à dénoncer. Un système médical va souvent mal à cause d'une médiatisation néfaste, de comportement de laisser aller et de préjugés ayant la vie dure! En mettant en avant la seule solution des sentiments, l'auteur pèche par excès de zèle. Une série à suivre en espérant qu'en grandissant notre héros gagnera en recul et le propos sera plus durable; Bien à vous, Monfreid…
  15. Monfreid...

    Swinging London

    je viens de remettre la main sur le topic! alors je vous préviens de la sortie du tome 2 je vais essayer de vous chroniquer ça pour d'ici peu! mais je vous conseille déjà cette série qui mérite énormement par son dessin et son scénar qui vous changeront des vos habitutes bien à vous, Monfreid...
  16. CITATION(Arn)[en fait tes chroniques à ralonge, c'est ton pote qui les pond ? yep et c'est moi qui rajoute les coquilles 8) sans rire, je pense que c'est le manque non pas de cohésion dans les deux univers... mais le "pourquoi de l'intrigue" qu'aucune des deux histoire en parallèle ne tire la couverture à elle, ne dépasse l'autre d'une tête, ne possède d'enjeu particulier..qui à du le laisser... bien à toi, Monfreid...
  17. CITATION(fredsim)Je suis tout à fait d'accord avec ton analyse, à ce moment je pense que ce "mal nécessaire" aurait pu être raccourci (presque 30 pages), pour en arriver plus rapidement à ce qui fait l'intérêt de l'histoire. Cependant, je suis conscient, qu'il s'agit là d'une adaptation d'un roman en BD, exercice au combien périlleux. perso je pense que cette longueur est fait exprès pour donner la mesure du poids littéraire de ce passage. sans cet effet de longueur, de litanie qui ne s'arrête pas, cette lourdeur...la suite aurait peut être perdu de sa superbe. ça me fait penser à polansky qui fait exprès de rendre les 3 premiers quart d'heures de répulsion super chiant (et il le fait bien lol). pour assoupir le spectateur, le mettre en état de sommonlence et donc encore plus receptif aux scènes qui font suivre. là 30 pages, c'est long à lire, ça prend du temps, ça nous pose un rythme, une habitude, une attention particulière que la suite va venir bouleversé. cela implique une vision globale de l'oeuvre de la part de Denis assez énorme, car cela suppose bien plus qu'une adaptation en terme 'mot pour mot"... m'enfin, ce n'est que moi qui voit ça comme ça bien à vous, Monfreid...
  18. Monfreid...

    L'Héritage d'Emilie

    je persiste à vouloir attendre une intégrale car ej me dis que si ex libris il y a, ce sera magnifique! :wink:
  19. Monfreid...

    Les éditions originales

    CITATION(Snoopy)Encore une chronique bien faite ici de Tessa aussi il me semble. Comme quoi, on a une bonne utilité ici. sans minimiser notre boulot, je pense que l'impact sur un album comme Tessa, d'une chronique de 1001 ne doit pas être énorme. en même temps, il n'en a pas trop besoin. (mais ça n'empéche pas d'en parler hein! au contraire) je pense que si "l'utilité" se mesure en terme de personne contente d'avoir découvert et pris du plaisir en suivant un avis... ça doit être plus significatif sur des albums moins connus... enfin je dis ça, je n'en sais rien :wink: bien à vous, Monfreid...
  20. Monfreid...

    Le Cycle de Cyann

    moi je vais attendre que mon père se l'offre 8)
  21. Monfreid...

    Ikkyu

    chui d'accord! mais il ne faut pas oublier non plus que le zazen n'est pas "japonais" en soit. et surtotu que la codification (avant même la sacralisation) n'est pas une fin en soi dans les sagesses japonaises... je suis plus taoïste (quitte à choisir)... mais il faut aussi "minimiser" la porté du terme "efficacité"... l'art du sabre par exemple, en consiste pas seuleument à couper son adversaire le "mieux" possible, ou le plus efficacement. ça reste une vision occidentale Mr Froissard, je ne dis pas que tu dis ça hein, mais il me semble sympa de préciser. il y a aussi une notion importante de la méditation... ce que fait ikkyu c'est un parcours, un cheminement... ce qui importe je pense c'est que sa vie "évolue" (méfiance aussi avec ce genre de mot) en mouvement! de même que la société à l'époque bien à vous, Monfreid...
  22. Monfreid...

    Le Cabinet Chinois

    pour avoir croisé nancy en festival (sans album ni trop de panache, honte sur moi, promis je me rattraperais avec un bouquet de fleur 8) ) je peux vous assurez qu'elle n'est point "substantéifier" mais au contraire fort charmante...ce qui n'est pas rien! (ça doit être la calvaire des fois les festi-veaux!) sur le côté "psychotrope" je me demande si ça ne vient pas du côté "lewis caroll" de tes dessins non ? genre illustration de poème ou de texte surréaliste... bien à toi, Monfreid...
  23. Monfreid...

    W.E.S.T.

    ça à l'air très très bien même 8) moi j'attends juste l'évolution de l'histoire, si ça va proposer autre chose qu'une ambiance (ou si ça va la sublimer) ç suivre de près
  24. CITATION(Alucard)CITATION(mesoke)CITATION(Snoopy) Départ le vendredi soir après le boulot, retour le mardi soir , avec un bon repas le lundi. Je me régalle déjà . et vendredi, samedi dimanche c'est sandwich? MDR tout pareil
  25. Monfreid...

    Les éditions originales

    CITATION(mesoke)CITATION(Monfreid...)ç dépend vachement des éditions ça je pense. sinon je pense que j'ai les grandes (soleil, delcourt, dargaud) on doit tourner autour de 8 000 ... ah ok, c'était pour me rendre compte par rapport à Okko et sa réédition, j'en déduis vu ton chiffres, que c'est un gage de succés 8) alors mon chiffre n'a rien d'officiel, c'est une déduction :wink: mais je pense que oui Okko est un succès dans cette catégorie 8) vendre 11 000 exemplaires en quoi ? deux mois! c'est plus que bien je trouve! :wink:
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