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Nickad

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Messages posté(e)s par Nickad

  1. il y a 28 minutes, Kevin Nivek a dit :

    C'est quoi qui t'a déplu ?

    l'histoire et la graphisme je dirais, j'ai essayé 2 fois de le lire et j'ai fini par le revendre...

    oui il faut que je lise 47 cordes, j'ai tananarive aussi à lire entre autres (et il y a beaucoup d'autres...)

    il faut que je finisse mes sp aussi et j'ai reçu la réédition de Lone Wolf & cub, un pavé de 680 pages !!

  2. saison 1 (arrêt vers le chapitre 110) : on reste dans la même veine que les 3 premiers tomes , l'histoire est axée sur l'évolution de notre héros. Du pur shonen, avec de l'action et de très beaux dessins, c'est agréable à lire et je ne me suis pas ennuyée (j'ai enchainé du chapitre 50 eu 110 sans m'arrêter quasiment)

    saison 2 qui devrait bientôt s'arrêter : on entre dans une autre dimension de l'histoire avec l'origine des portails, des pouvoirs, et là, l'histoire prend une autre dimension, plus mondiale, une guerre entre deux puissances "divines" où les humains ne sont que des pions et/ou dommages collatéraux. Essentiellement du combat, je reste mitigée, ce n'est pas inintéressant mais il y a quelques longueurs

    chapitre 177 : il marque la fin d'une période et annonce une suite ou plutôt un possible retour en arrière, je me demande si c'est vraiment nécessaire, le manga aurait pu s'arrêter là, j'espère que ce n'est pas juste pour faire durer le manga commercialement parlant et qu'il y aura un vrai intérêt. A suivre


  3. Titre de l'album : Mieruko-Chan - slice of horror tome 4
    Scenariste de l'album : IZUMI Tomoki
    Dessinateur de l'album : IZUMI Tomoki
    Coloriste :
    Editeur de l'album : Ototo
    Note :
    Résumé de l'album :

    Après avoir utilisé sa "troisième fois", notre malheureuse héroïne se décide à aller au sanctuaire, celui-là même où tout a commencé, pour exprimer sa gratitude... Dans ce quatrième tome de la comédie horrifique, Miko persiste à feindre l'ignorance.

    Critique :

    La vieille medium Mitsue décide de revenir en ville pour aider Miko. Pendant ce temps Miko et son amie Hana vont au cinéma, hélas, un monstre lui cache tout le film. Puis elles font la rencontre de Rom Shindo, un drôle de gars qui semble aussi avoir des pouvoirs.

    D’habitude je n’aime pas trop quand un manga s’éparpille et part sur des petites histoires annexes au détriment de la trame principale. Sauf qu’ici, ce mélange est brillamment dosé : on avance dans la découverte du monde des "esprits", des pouvoirs de Miko et des interactions avec d’autres personnages et en même temps, on a des petites anecdotes, issues du quotidien de la vie de Miko, qui sont autant effrayantes qu’amusantes.

    Le dessin est toujours maitrisé et les monstres sont vraiment horrifiques, on admire le sang froid de Miko qui fait comme si de rien n’était ! Un manga qu’on n’attend pas forcément avec impatience mais qu’on lit avec plaisir.

    Autres infos :

    Type de l'album : Manga
    Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mieruko-chan-tome-4?ref=44

    Voir la totalité de enregistrement


  4. Titre de l'album : Les sorcières de la fin du monde tome 2
    Scenariste de l'album : KUJIRA
    Dessinateur de l'album : KUJIRA
    Coloriste :
    Editeur de l'album : Akata
    Note :
    Résumé de l'album :

    Avant que je ne perde mes pouvoirs, je dois... Suite aux évènements qui se sont produits au sein de l'académie Mari et Alice ont été téléportées dans le monde des humains. Cette fois-ci c'est donc à la jeune Japonaise de servir de guide à sa camarade. À cette occasion les deux sorcières se rapprochent... peut-être un peu trop ! En effet comme toutes leurs semblables elles n'ont pas le droit de tomber amoureuses. Pendant ce temps de nouveaux bouleversements secouent leur école...

    Critique :

    Alice et Mari se retrouvent dans l’ancienne ville de Mari, ne sachant comment rentrer, Mari décide d’attendre dans sa famille mais arrivée devant chez elle, il n’y a plus rien. Elle apprend que ses parents auraient péris dans un accident.

    Il y a plusieurs histoires dans ce manga, celle de Mari qui détient un pouvoir unique, celles des sorcières qui veulent se venger des humains, celle d’Alice qui perd peu à peu ses pouvoirs parce qu’elle est amoureuse, celle de Mme Dolly qui a ses propres aspirations liées à un amour perdu. Sachant qu’il ne reste qu’un seul tome au manga, je me demande si elles auront toutes une fin correcte et si certaines ne seront pas un peu bâclées. En attendant, le manga est toujours aussi fluide à lire, les dessins sont agréables mais la lecture est rapide, on aurait aimé vraiment un peu plus de développements.

    Autres infos :

    Type de l'album : Manga
    Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-sorcieres-de-la-fin-du-monde-tome-2?ref=44

    Voir la totalité de enregistrement


  5. Titre de l'album : Gigant tome 8
    Scenariste de l'album : OKU Hiroya
    Dessinateur de l'album : OKU Hiroya
    Coloriste :
    Editeur de l'album : Ki-oon
    Note :
    Résumé de l'album :

    Alors que Rei et Chiho avaient dû se séparer afin d'échapper aux médias, la jeune femme décide de reprendre contact avec le lycéen. En effet, elle a une importante nouvelle à lui annoncer : elle est enceinte ! Fous de joie, les deux amants se réunissent enfin... Malheureusement, leur bonheur est de courte durée, car l'apparition soudaine de Satan à Tokyo provoque d'irrépressibles envies de suicide chez les habitants. Pour protéger Rei, incapable de lutter contre cette pulsion, Papico n'hésite pas à se lancer à l'assaut du géant... mais, cette fois, elle n'est pas seule !

    Critique :

    Nous sommes au Japon. Rei Yokoyamada, 16 ans, mène une vie banale entre le lycée où il n’excelle pas et sa passion de réalisateur. Un soir, il apprend que Papico (alias Chiho Johansson), jeune actrice porno, habite à côté de chez lui, et les deux jeunes gens finissent par se rencontrer un peu par hasard. Un lien étrange et fort se tisse alors entre eux, chacun ne trouvant pas sa place dans la société. Parallèlement, des monstres gigantesques apparaissent dans tout le Japon pour créer l’apocalypse. Suite à un concours de circonstances, Papico va recevoir le pouvoir de changer de taille au gré de ses envies, et la jeune femme va mettre cette capacité au service du sauvetage de son pays.

    Ce manga est le premier à mettre au centre de son histoire une actrice pornographique, le romantisme entre Chiho et Rei étant au premier plan de l’intrigue. L’aspect fantastique qui est au début relégué au second plan va prendre de plus en plus d’importance au fur et à mesure des tomes. Si on retrouve le graphisme d’Hiroya Oku, Le fait que le mangaka utilise des photos en arrière-plan montre une sorte de facilité pour l’auteur, desservant le manga par rapport à la capacité de dessin des autres auteurs De plus, l’histoire se rapproche un peu de celle de Gantz, et j’aurai aimé lire une histoire totalement différente, pour découvrir la palette du mangaka. Mais Gigant est une bonne série, avec une intrigue sympathique et des personnages très touchants malgré quelques longueurs. Néanmoins, l’intrigue part un peu dans tous les sens, et cela mériterait d’être plus centré.

    Le tome8 est, disons-le, en dessous du reste de la série. Il ne se passe pas grand-chose à part du combat qui s’étend pendant tout le tome, même s’il n’est pas trop ennuyant. Le résumé à l’arrière du manga en dit plus sur l’histoire que quand on lit tout le livre ! Espérons que le tome 9 sera mieux et plus prenant.

    Note pour la série : 4, note pour le tome 8 : 3

    Critique réalisée par ma très chère fille qui aime vraiment beaucoup cette série

    gigant p3.jpg

    gigant p1.jpg

    Autres infos :

    Type de l'album : Manga
    Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/gigant-tome-8?ref=44

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  6. Titre de l'album : Caste Heaven tome 5
    Scenariste de l'album : OGAWA Chise
    Dessinateur de l'album : OGAWA Chise
    Coloriste :
    Editeur de l'album : Taifu
    Note :
    Résumé de l'album :

    Gouvernée par un système de grades cruel et arbitraire, la jalousie, la convoitise et la peur règnent dans cette école. Parmi les étudiants, Azusa a obtenu le rang de «Roi» lors du précédent jeu. Craint et respecté de tous, il n´a aucune gêne à persécuter ses camarades, mais cette situation change le jour où un nouveau jeu est lancé. Sûr de le remporter une nouvelle fois, Azusa va devoir faire face à la trahison d´un de ses lieutenants, qui va le faire descendre au plus bas rang du classement, celui de souffre-douleur.

    Critique :

    Avez-vous déjà entendu parler de l’expérience de Stanford, l’expérience de Milgram ou encore de la troisième vague ? Ce sont des expériences sur la psychologie sociale ou comment les êtres humains se soumettent et obéissent dans certaines circonstances. Les résultats sont stupéfiants, effrayants même. C’est sur un principe de ce genre que le manga est construit : dans un lycée, la hiérarchie des élèves est déterminée par un jeu, dans chaque classe, les élèves doivent trouver une carte, celui qui trouve celle du roi devient le maitre de la classe et tout le monde doit lui obéir, celui qui a celle du joker devient la cible et le souffre-douleur de tous les autres.

    Et là, où c’est effrayant, c’est qu’en « ayant le droit » selon ces règles, les élèves se laissent aller à tous genre de comportements. Et quand un changement arrive (départ ou arrivée d’un membre) et que les cartes sont redistribuées, ils n’hésitent pas à retourner leur veste. Mais dans ce lycée, certains sont bien décidés à passer outre ces règles, arriveront-ils à être assez nombreux pour changer la situation ?

    Si le thème est très intéressant, le manga reste un yaoi avec une grande part de scènes de sexe, l’histoire est propice aux abus et sur les 5 tomes déjà sortis, beaucoup de passage s’attardent sur les relations particulières entre 2 personnages. Ceci dit, au fur et à mesure de ces petites histoires, des élèves prennent conscience des injustices et de leur privation de liberté.

    Sur l’intérêt global de l’histoire je mets 4 par contre ce tome est un peu une transition où la trame principale avance peu d’où le 3.5.

    Autres infos : Pour public averti

    Type de l'album : Manga
    Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/caste-heaven-tome-5?ref=44

    Voir la totalité de enregistrement


  7. Titre de l'album : JK Haru - sex worker in another world tome 3
    Scenariste de l'album : HIRATORI Ko
    Dessinateur de l'album : YAMADA J-TA
    Coloriste :
    Editeur de l'album : Meian
    Note :
    Résumé de l'album :

    Il semble être le seul homme différent dans ce monde. Haru Koyama, lycéenne ressuscitée dans un monde parallèle, travaille au Chat Bleu Nocturne, un bar qui fait aussi maison close. Au fil des rencontres qu'elle fait, seule ou par l'intermédiaire de Chiba, son ancien camarade de classe, Haru se retrouve attirée par quelqu'un en particulier. Un homme plutôt mâture, qui ne vient au bar que les jours de pluie.

    Critique :

    Haru a rencontré 3 jeunes qui pratiquent le calcio-canette, un sport très à la mode, douée au tir, elle rejoint leur équipe pour participer au tournoi. Elle n’hésite pas à jouer de ses charmes pour déstabiliser ses adversaires qui sont tous des hommes. Mais dans cette société, une femme doit rester à sa place et le règlement se voit changer pour les exclure clairement de ce sport.

    Je trouve qu’on s’éloigne un peu du propos que j’avais vu au début de la série, la manière de dénoncer les comportements sexistes qui faisait la force du manga. La première partie du livre parle de la calcio-canette, puis on retrouve Haru dans le cadre de son travail : nouveaux clients certes mais même contexte. Bien sûr, on voit d’autres caractères, on sent que d’autres perversions vont arriver (d’autres comportements traitant la femme comme un objet), il y a peut-être même un développement fantasy à l’horizon. Mais le propos n’avance pas, car Haru est bloquée dans un environnement réduit et ne rencontre quasiment que les clients de l’auberge où elle travaille.

    D’un côté, le récit « engagé » tourne en rond, le lecteur n’est plus pris à parti et de l’autre, on tend vers une histoire de quotidien dans un autre monde. J’espère que les quelques pistes aperçues dans le livre vont être développées et qu’elles vont apporter un nouveau souffle au manga car il serait dommage qu’il tombe dans un schéma plus classique.

    Autres infos :

    Type de l'album : Manga
    Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/jk-haru-sex-worker-in-another-world-tome-3?ref=44

    Voir la totalité de enregistrement


  8. Titre de l'album : Asobi Asobase tome 1
    Scenariste de l'album : SUZUKAWA Rin
    Dessinateur de l'album : SUZUKAWA Rin
    Coloriste :
    Editeur de l'album : Noeve Grafx
    Note :
    Résumé de l'album :

    Kasumi déteste les jeux depuis son enfance. Pour rendre service à Hanako, une camarade de classe, elle se retrouve pourtant à devoir jouer avec Olivia, une nouvelle élève d'origine américaine qui adore les jeux japonais. En échange, elle demande à Olivia de lui enseigner l'anglais. Mais si Olivia joue les américaines pour s'amuser, elle a toujours vécu au Japon et ne parle pas un mot d'anglais !

    Critique :

    Au début de la lecture, je me suis dit : « c’est quoi ce manga ? » à la fin de la lecture, je me suis dit « dans quel case peut-on le ranger ? » Asobi Asobase ne ressemble à aucun autre. A première vue il ressemble à des histoires d’école, d’amitié mais il s’apparente aussi à de la tranche de vie, et même s’il y a un peu de tous ces éléments, il ne correspond ni à l’un ni à l’autre.

    Le manga met en scène un trio de filles qui se retrouvent un peu par hasard à fonder un club ensemble. Si chacune semble quelconque au départ, elles ont toutes un travers qui va être poussé dans l’histoire. Il y a Olivia, dont les parents sont étrangers mais qui a toujours vécu au Japon, qui fait semblant de ne pas maitriser le japonais mais qui est nulle en anglais et qui adore faire des jeux. Il y a Hanako qui est chargée de s’occuper d’Olivia, qui a rejoint le club de tennis pour être populaire mais qui n’y arrive pas et puis il y a Kasumi, traumatisée par les jeux mais ayant développé quelques facultés dans ce domaine, qui est nulle en anglais mais qui espère bien devenir bilingue !

    Le manga est construit comme un enchainement de scènes de leur quotidien à l’école en rapport avec leur club. Elles sont indépendantes les unes des autres mais doivent quand même être lue dans l’ordre (progression dans les rapports, les situations…). C’est un manga humoristique où les gags, comme dans tous les mangas de ce genre, ne sont pas toujours au même niveau.

    Alors qu’est-ce qui fait que cela fonctionne ? Il y a d’abord le style graphique ou plutôt les styles graphiques car l’auteur change d’une case à l’autre parfois, cela peut être shojo, réaliste, caricatural, effrayant… C’est assez déstabilisant, les expressions sont extrêmes parfois, j’ai pensé au début que le dessin était moche mais étrangement on s’y habitue et cela renforce l’intensité des réactions et approfondit l’ambiance de l’image. Et puis, il y a les situations, carrément WTF par moment, tellement inattendues que c’en est drôle ; et j’ai vraiment bien rigolé par instant !

    Si vous aimé les mangas d’humour qui sortent des sentiers battus, celui-là est fait pour vous !

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    Asobi Asobase T01 visuel 02.jpg

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    Asobi Asobase T01 visuel 04.jpg

    Autres infos :

    Type de l'album : Manga
    Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/asobi-asobase-tome-1-226694?ref=44

    Voir la totalité de enregistrement


  9. Titre de l'album : La voie du tablier tome 7
    Scenariste de l'album : OONO Kousuke
    Dessinateur de l'album : OONO Kousuke
    Coloriste :
    Editeur de l'album : Kana
    Note :
    Résumé de l'album :

    Notre homme est ancien yakuza devenu homme au foyer... Il se faisait appeler « Tatsu, l'immortel » ! Aujourd'hui, il est l'homme idéal : il prépare des bentô à tomber, il repère les meilleurs promotions et il aide même d'anciens collègues (?) dans leur quotidien... Mais malgré son adorable tablier, il ne peut totalement gommer son air patibulaire et son regard de tueur... Pour notre plus grand plaisir !

    Critique :

    Tatsu l’immortel continue son petit quotidien. Maintenant qu’il est accepté par mi le comité de quartier, il peut les aider ouvertement. Et quand Tatsu va réclamer aux habitants leur participation financière au comité, c’est assez flippant et assez drôle. (Et tout ça pour 500 yens >> 3.90 euros)

    Comme toujours, le manga se compose d’une suite de petites histoires, il y a les personnages récurrents et puis les nouveaux. Ce qui fait que globalement, il y a quand même une progression dans les relations même si ce n’est pas exactement l’objectif du livre.

    Les chapitres sont plus ou moins drôles, il y en a vraiment de très bien et de très drôles puis d’autres qui semblent plus être là pour combler les trous ! On reste quand même un peu sur notre faim, surtout quand on sait que les volumes sont assez fins et comptent 160 pages en général. La question est alors de savoir si l’auteur saura se renouveler assez pour nous donner l’envie de continuer.

    Autres infos :

    Type de l'album : Manga
    Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-voie-du-tablier-tome-7?ref=44

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