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alx23

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Messages posté(e)s par alx23

  1. J'ai profité de mes vacances pour me remettre à jour dans mes lectures mais celle qui j'ai particulièrement adoiré c'est The department of truth. J'avais adoré le premier tome puis pas lu les trois suivants, c'est une excellente série ! Décidement James Tynion IV est l'auteur qui propose les meilleures histoires actuellement pour moi.

     

     

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  2. Titre de l'album : Echolands tome 1
    Scenariste de l'album : Haden Blackman & J.H. Williams III
    Dessinateur de l'album : J.H. Williams III
    Coloriste : Dave Stewart
    Editeur de l'album : Panini
    Note :
    Résumé de l'album :

    Dans un futur étrange qui a oublié son Histoire, la technologie la plus performante côtoie la magie. Dans ce lieu où tout peut arriver, nous suivons la quête de la voleuse Hope Redhood qui détient la clé du sombre passé de ce monde. Mais pour mener à bien cette mission, Hope et son équipe vont devoir survivre aux assauts répétés d'un sorcier et de sa fille. Ce projet imaginé par des auteurs multi-primés pour Batwoman, date d'il y a plus de 15 ans. Mais les emplois du temps chargés du scénariste Haden Blackman (Star Wars, Elektra) et du dessinateur superstar J.H. Williams III (Promethea, Sandman : Overture) ont sans cesse repoussé les retrouvailles du duo. Mais voici enfin l'oeuvre, dans un format unique qui permet aux illustrations de se déployer sur chaque double-page. Le style inimitable, ultradétaillé et la narration aussi complexe que maîtrisée de Williams III est un régal pour les yeux.

    Critique :

    Alors l'histoire d'Echoland est un peu fouillis avec cet univers qui part dans tous les sens pour une intrigue assez classique mais efficace. Les deux auteurs ont écrit le scénario ensemble et l'on ressent bien que cet univers est bien pensé. Surtout sur la partie graphique, J.H. Williams III réalise des planches absolument fantastiques, d'ailleurs les dessins valent à eux seuls l’achat de cet album. Le format à l'italienne très allongé apporte beaucoup aussi pour profiter pleinement des planches. Il faut aussi reconnaitre que Panini a assuré d'ajouter les nombreux bonus en fin d'album, entre la construction des planches et illustrations magnifiques. J.H. Williams III Explore plusieurs style et genre à la manière de Roberto Ricci sur la série Urban pour donner un exemple.
    Après les chapitres sont courts comme il y a des textes qui retracent l'interview entre magicien ennemi et un journaliste ambitieux. Cette histoire en parallèle m'a beaucoup rappelé Dracula.
    Au final, l’album est un peu cher pour les six chapitres, alors est-ce que les dessins, le format et les bonus suffiront comme arguments pour lecteurs ?
     

    Autres infos :

    Type de l'album : Comic
    Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/echolands-tome-1?ref=44

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  3. Titre de l'album : E-Ratic tome 1
    Scenariste de l'album : Kaare Andrews
    Dessinateur de l'album : Kaare Andrews
    Coloriste : Brian Reber
    Editeur de l'album : Black River
    Note :
    Résumé de l'album :

    15 ans et seulement dix minutes pour pouvoir sauver le monde!
    Vous avez 15 ans et des super pouvoirs ? Cool ? Sauf que ça ne dure que 10 min par jour. Il faut donc en faire usage avec parcimonie. Oliver se retrouve à affronter diverses menaces, à garder son identité secrète, à combattre des criminels, le tout en évitant de redoubler !

    Critique :

    Kaare Andrews a souvent dessiné des comics dans l'univers des super-héros de chez Marvel. Aujourd'hui, il revient en auteur complet avec sa propre série, on reconnait très vite d'ailleurs son influence de Spider-man dans cette nouvelle création. En effet, l'histoire nous permet de découvrir en compagnie d'un adolescent, ses nouveaux pouvoirs qui ne durent seulement dix minutes par jours. On suit donc le quotidien de ce jeune dans sa nouvelle école avec les clichés des séries et films américains où le geek est persécuté par les autres camarades de classe, souvent les sportifs. De plus, un adulte développe des pouvoirs et devient l'ennemi du super-héros. Le scénario ne réinvente rien mais n'en reste pas moins efficace pour tous les lecteurs appréciant les récits de super-héros. La partie graphique de Kaare Andrews apporte beaucoup d'intérêt à ce titre, l'auteur est à l'aise pour dessiner des scènes d'action musclées avec des super-héros et des pouvoir proche de spider-man.
    Le premier tome de E-Ratic commence bien et introduit un nouveau super-héros pour une série pleine d'action pour un public adolescent.

    Autres infos :

    Type de l'album : Comic
    Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/e-ratic-tome-1/?ref=44

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  4. Titre de l'album : La nuit de la goule
    Scenariste de l'album : Scott Snyder
    Dessinateur de l'album : Francesco Francavilla
    Coloriste : Francesco Francavilla
    Editeur de l'album : Delcourt
    Note :
    Résumé de l'album :

    Un passionné enquête sur un ancien studio de cinéma qui aurait brûlé et finit par tomber sur ce projet. Il remonte la piste du réalisateur, qui vit reclus dans une maison de retraite. Selon lui, une goule hanterait son hospice, et la découverte d'une vieille bobine de La Nuit de la Goule risque bien de réveiller la bête, que le film soi-disant disparu avait détruit.
     

    Critique :

    Scott Snyder est un habitué des récits fantastiques depuis la série American vampire où l'auteur remontait à l'origine des vampires sur le territoire américain. Avec la nuit de la goule, Snyder semble vouloir cette fois apporter l'origine même de tous les créateurs maléfiques. Ce one shot reprend les six chapitres où l'on suit un homme à la recherche de la fin d'un film mythique fantastique, avec son fils qui l'accompagne. L'action présente est entrecoupée par des scènes du film en noir et blanc des années 50, pour mieux comprendre. Les réactions du père de famille sont un peu étranges sur les premiers chapitres, comme il met beaucoup de temps à accepter la situation fantastique. J'ai toujours apprécié le côté bien sombre des dessins de Francesco Francavilla, depuis American vampire ou Scalped. L'album se termine sur de nombreuses couvertures alternatives réalisées aussi par d'autres dessinateurs de comics.
    La nuit de la goule est un titre horrifique intéressant avec une histoire terminée en un seul tome. De plus, la goule est un monstre moins connu avec ses caractéristiques, une nourriture spécifique et spéciale.

    Autres infos :

    Type de l'album : Comic
    Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-nuit-de-la-goule?ref=44

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  5. Titre de l'album : Hotell Tome 1
    Scenariste de l'album : John Lees
    Dessinateur de l'album : Dalibor Talajic
    Coloriste : Dalibor Talajic
    Editeur de l'album : Black River
    Note :
    Résumé de l'album :

    Quatre histoires d'horreur interconnectées se déroulant toutes dans un hôtel mystérieux qui semble n'apparaître qu'à certains clients. L'hôtel Pierrot Courts. Vous ne le trouverez sur aucune carte, mais s'il vous arrive de conduire sur la Route 66 tard dans la nuit et que vous avez désespérément besoin d'un refuge ou de vous cacher, vous apercevrez peut-être un panneau abîmé en bordure de route. C'est un endroit où beaucoup s'enregistrent au comptoir mais d'où bien peu repartent. Et vu les horreurs qui vous attendent à l'intérieur, vous auriez peut-être préféré continuer à rouler...
     

    Critique :

    Les recueils d'histoires d'horreur sont très tendances en comics actuellement, mais Hotell se démarque de tous les autres concurrents avec quatre histoires de qualité. Le scénariste John Lees maitrise bien son sujet avec l'hôtel nommé Pierrot courts, en point commun entre toutes les histoires ainsi que le réceptionniste qui introduit les histoires. De plus, les personnages des différentes histoires se croisent ou discutent ensemble avant de les retrouver dans leur propre récit. On pense forcément à Norman Bates de Psychose avec ce réceptionniste mais ce dernier n'intervient jamais car l'horreur provient du lieu lui-même. Les intrigues sont originales et l’on prend plaisir à suivre les protagonistes dans des aventures improbables ou l’horreur s’impose en conclusion. Dalibor Talajic dessine aussi bien des grosses productions de chez Marvel que des titres de maison d'éditions plus indépendantes comme Awa comics pour Hotell. Il réalise des planches de qualité pour installer un climat effrayant.
    Le format d’histoires courtes convient très bien pour les récits d’horreur dans le genre Tales from the Crypt, Creepshow et maintenant Hotell. Un deuxième tome est déjà sortis en version originale qui j’espère sera bientôt disponible en français pour retourner au Pierrot Courts.  

    Autres infos :

    Type de l'album : Comic
    Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/hotell?ref=44

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  6. Titre de l'album : Pour quelques degrés de plus
    Scenariste de l'album : Ulysse Gry
    Dessinateur de l'album : Ulysse Gry
    Coloriste : Ulysse Gry
    Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions
    Note :
    Résumé de l'album :

    2100. Trois desperados sillonnent l’Amérique à la recherche d’un butin. Mais désormais, c’est le climat qui fait la loi... jusqu’à quel point ? Faites grimper le thermomètre de 2, 3 ou 4 degrés et regardez l’histoire changer : le monde est plus ou moins apocalyptique, les catastrophes naturelles plus ou moins fortes et les hommes plus ou moins dans la merde...Quelle que soit la cuisson de la Terre, pour Josh, ce ne sera pas une partie de plaisir.

    Critique :

    Le titre fait référence en hommage à un bon vieux western, d'ailleurs c'est justement dans un décor désertique et aride que va se dérouler les trois scénarios différents présents dans cet album. Pour quelques degrés de plus est proposé dans un format à l'italienne, séparé en trois bandes horizontales, avec une intrigue principale imaginée différemment suivant le nombre de degré supplémentaire qu'il y a sur terre en 2100. A travers ce western, Ulysse Gry dénonce le réchauffement planétaire actuel et à venir. On embarque avec le héros dans un road trip bien prenant avec beaucoup d'humour et d’action. L’auteur s'amuse avec l'histoire et le format de la bande dessinée quand le héros d'un scénario peut impacter les autres. Pour la partie graphique, les couleurs dominantes sont chaudes, voire très foncées pour le scénario avec le degré le plus élevé. 
    Pour quelques degrés de plus est la véritable surprise de cet été, à lire absolument pour la performance et l’univers très bien pensé avec en prime trois histoires pour le prix d’une. 

    Autres infos : Edition : Presque lune

    Type de l'album : BD Europeene
    Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/pour-quelques-degres-de-plus/?ref=44

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