Nausicaa,rien que le nom fait rêver: délicieusement marin pour un monde ou la mer (liquide) à disparu dans sa forme mais reste présente dans sa fonction: faire naître la vie, nettoyer, plaire aux petites filles...
Il y a dans ce récit un mélange savant: celui des extremes qui se retrouvent et se mordent la queue quand le paroxysme de leur différence leur font faire le tour de la grande boucle (me suis (bien) fait comprendre?)
ainsi (SPOIL)la guerrière portera la paix, l'innocente mentira pour nous sauver, devaster pour mieux construire, le démon n'est qu'un triste enfant,etc etc
on pourrait tant dire.
Mais putain ce scenario, comment fait il, même et surtout si cette serie fut conçue "au jour le jour" sur une décade , Miyazaki=un esprit à qui il faut de l'ampleur, ça tombe bien c'est ça que j'aime...
:priere:
Akira Nausicaa L'Incal (en séries finies), par ordre de préférence si vous voulez tout savoir, pour leur puissance evocatrice, leur déraison, leur beauté, leur gloire, leur poesie, leur miroitement intestellaire qui (ouais arrêtes on a compris, ça va aller prends ta gellule)
:tekos: