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  1. Titre de l'album : Légende - Tome 9 - Renouveau Scenariste de l'album : Ange Dessinateur de l'album : Stéphane Collignon Coloriste : Natalia Marques Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Tristan de Halsbourg a occis l'Empereur du Danemark pour mettre le jeune Abel sur le trône. La guerre est terminée. Hélas, quelque part dans le monde, un volcan explose, les cendres obscurcissent le ciel et le froid s'abat. Or le froid, c'est la famine, la révolte. Ce sont tous les principes de Tristan, des Halsbourg - qui s'écroulent, alors qu'un nouveau monde est en train de naître... Critique : Ce tome 9 de Légende ressemble à s'y méprendre à une conclusion de la série. Je ne sais pas si ils relanceront un nouveau cycle mais celui-ci se termine de manière cohérente, incitant d'ailleurs à de petites réflexions bienvenues. C'est assez agréable sur une série de ce type. Je n'ai lu que le pdf de cet album mais je dois avouer que j'ai par contre été un peu déçu graphiquement puisque je l'ai trouvé un cran en deçà du reste de la série. Cela est aussi probablement du à la piètre qualité de lecture au format numérique. Ceci étant dit, passer après Swolf n'est guère évident, et cela n'enlève rien à la qualité globale de la bd. On sent toutefois que, au scénario comme aux crayons il a bien fallut faire évoluer la série avec les changements d'auteur. Malgré un contenu peut être plus mature et une histoire moins héroïque quoique plus remplie d'humains, ce second cycle aura marqué un réel essoufflement de mon intérêt pour cette série. Il n'en reste pas moins que Légende est une série Médiévale (Fantastique simplement sur le premier cycle) de qualité, qui gagne a être connue. Et que le travail de Stéphane Collignon mérite d'être revu en dehors du cadre laissé par un auteur créateur de série différent. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/legende-tome-9-renouveau?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. Le tome 4 de Sasha et Tomcrouz nous emmène toujours plus loin dans les voyages dans le temps pour Sasha à la recherche de son papa. Evidemment c'est aussi un prétexte pour de belles aventures et la découvertes de périodes historiques intéressantes. Toujours éducative sans trop forcer le trait, intéressante même pour un adulte, avec une bonne gestion des boucles temporelles et une vraie densité dans l'histoire, ce Sasha & Tomcrouz est toujours une belle réussite pour initier les plus jeunes à l'aventure en BD. Cette intelligence du scénario, souvent subtil, est mise au service d'un trait certes à destination des enfants, mais qui ne manque pas de finesse et de raffinement. Pour les plus jeunes, c'est du tout bon.
  3. Titre de l'album : Sacha et Tomcrouz - Tome 4 - Cambriolage sur le nil Scenariste de l'album : Anaïs Halard Dessinateur de l'album : Bastien Quignon Coloriste : Bastien Quignon Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Jade, Tomcrouz et Sacha sont coincés en Chine. Seule solution : créer une boucle temporelle afin de repartir vers le passé et retrouver le parchemin égaré. Pour cela, direction l'Égypte au XIXe siècle. Leur objectif ? Cambrioler un dangereux collectionneur et lui voler un éventail datant de la période dans laquelle ils sont bloqués. Parviendront-ils à leurs fins ?... Critique : Le tome 4 de Sasha et Tomcrouz nous emmène toujours plus loin dans les voyages dans le temps pour Sasha à la recherche de son papa. Evidemment c'est aussi un prétexte pour de belles aventures et la découvertes de périodes historiques intéressantes. Toujours éducative sans trop forcer le trait, intéressante même pour un adulte, avec une bonne gestion des boucles temporelles et une vraie densité dans l'histoire, ce Sasha & Tomcrouz est toujours une belle réussite pour initier les plus jeunes à l'aventure en BD. Cette intelligence du scénario, souvent subtil, est mise au service d'un trait certes à destination des enfants, mais qui ne manque pas de finesse et de raffinement. Pour les plus jeunes, c'est du tout bon. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sacha-et-tomcrouz-tome-4-cambriolage-sur-le-nil?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. The_PoP

    Mezkal

    Ahah après deux première chroniques de bd classique, voici la chronique du premiuer ovni de cette rentrée, et on le doit à l'éditeur Soleil, une fois n'est pas coutume, surtout qu'il ne s'agit pas de la collection métamorphose. Mezkal est une quête initiatique, envoyant un jeune américain sur les traces de son âme, puis de sa bien aimée, puis de son père au Mexique. Et pas n'importe quel Mexique, mais bien celui des gangs, des narcos mais aussi des chamans. Entre réflexions blasées, rares messages d'espoirs, et défouloir souvent gratuit, Mezkal est définitivement à part. Sans surprise je ne vous cache pas que sexe, violence, et drogues seront au programme de cette BD qui n'est définitivement pas à mettre entre toutes les mains. Le style graphique se devant d'être à la hauteur d'une telle créativité débridée du scénariste, le dessin de Jef, dont je ne suis pas toujours friand colle ici comme un gant au propos avec ses planches parfois sublimes, toujours très inégales, et flirtant souvent avec l'absurde. Une fois Mezkal refermé, vous n'aurez probablement pas passé un mauvais moment de lecture. Reste à savoir ce que vous en retirerez in fine, et là c'est je crois bien plus aléatoire tant le message porté reste brumeux et opaque. Une façon finalement de ne pas répondre aux questions soulevées ?
  5. The_PoP

    Mezkal

    Titre de l'album : Mezkal Scenariste de l'album : Kevan Stevens Dessinateur de l'album : Jef Coloriste : Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Un jeune américain part à l'aventure après la mort de sa mère. Il va croiser une jeune femme au sang indien sur laquelle veille un chaman aux étranges pouvoirs. Mais aussi l'un des plus grands cartels mexicains pour qui il va être forcé de travailler. Vananka n'aura qu'une idée en tête : retrouver sa bien-aimée, détenue par une famille de Hell's Angels... Critique : Ahah après deux première chroniques de bd classique, voici la chronique du premiuer ovni de cette rentrée, et on le doit à l'éditeur Soleil, une fois n'est pas coutume, surtout qu'il ne s'agit pas de la collection métamorphose. Mezkal est une quête initiatique, envoyant un jeune américain sur les traces de son âme, puis de sa bien aimée, puis de son père au Mexique. Et pas n'importe quel Mexique, mais bien celui des gangs, des narcos mais aussi des chamans. Entre réflexions blasées, rares messages d'espoirs, et défouloir souvent gratuit, Mezkal est définitivement à part. Sans surprise je ne vous cache pas que sexe, violence, et drogues seront au programme de cette BD qui n'est définitivement pas à mettre entre toutes les mains. Le style graphique se devant d'être à la hauteur d'une telle créativité débridée du scénariste, le dessin de Jef, dont je ne suis pas toujours friand colle ici comme un gant au propos avec ses planches parfois sublimes, toujours très inégales, et flirtant souvent avec l'absurde. Une fois Mezkal refermé, vous n'aurez probablement pas passé un mauvais moment de lecture. Reste à savoir ce que vous en retirerez in fine, et là c'est je crois bien plus aléatoire tant le message porté reste brumeux et opaque. Une façon finalement de ne pas répondre aux questions soulevées ? Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mezkal?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. Titre de l'album : Sangre - Tome 3 - Hovanne l'irrésolue Scenariste de l'album : Christophe Arleston Dessinateur de l'album : Adrien Floch Coloriste : Claude Guth Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Introduite au manoir de Mermillade, Sangre enquête pour savoir laquelle des jeunes nobles a eu un passé secret de pirate sous l'identité d'Hovanne. Un exercice difficile dans cette société d'oisifs où tout est basé sur le prestige personnel. Critique : Voici déjà le troisième tome de la saga Sangre imaginée par l'inépuisable Christophe Arleston dont on reconnait immédiatement les habitudes : mondes imaginaires foisonnants et nouveaux, scénario d'aventure assez classique, humour, action et héroïnes débridées. Pour les habitués, il n'y aura pas de révolution sur ce tome là d'autant que la partie graphique est dans la ligne directe des productions soleil qui ont fait le succès de l'éditeur : dessins fluides, scènes bien travaillées quoique relativement simples et sans chichis et visages et personnage universels. C'est bien, c'est propre, c'est efficace, du scénario au dessin. On aime ou on n'aime pas. Personnellement je lis toujours ça avec plaisir bien que la lecture reste rapide, peu réellement marquante et un peu chiche sur l'envie donnée d'en découvrir plus. Du coup j'ai quand même du mal à vous dire quelles seraient les spécificités de ce Sangre par rapport à un Ythaq ou un Lanfeust des Etoiles si ce n'est le thème de la Vengeance ou la solitude relative de notre héroïne. Cette série est je crois prévue en 7 tomes. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sangre-tome-3-hovanne-l-irresolue?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Voici déjà le troisième tome de la saga Sangre imaginée par l'inépuisable Christophe Arleston dont on reconnait immédiatement les habitudes : mondes imaginaires foisonnants et nouveaux, scénario d'aventure assez classique, humour, action et héroïnes débridées. Pour les habitués, il n'y aura pas de révolution sur ce tome là d'autant que la partie graphique est dans la ligne directe des productions soleil qui ont fait le succès de l'éditeur : dessins fluides, scènes bien travaillées quoique relativement simples et sans chichis et visages et personnage universels. C'est bien, c'est propre, c'est efficace, du scénario au dessin. On aime ou on n'aime pas. Personnellement je lis toujours ça avec plaisir bien que la lecture reste rapide, peu réellement marquante et un peu chiche sur l'envie donnée d'en découvrir plus. Du coup j'ai quand même du mal à vous dire quelles seraient les spécificités de ce Sangre par rapport à un Ythaq ou un Lanfeust des Etoiles si ce n'est le thème de la Vengeance ou la solitude relative de notre héroïne. Cette série est je crois prévue en 7 tomes.
  8. Titre de l'album : Skyward - Tome 3 - Réparer le monde Scenariste de l'album : Joe Henderson Dessinateur de l'album : Lee Garbett Coloriste : Antonio Fabella Editeur de l'album : Hi-Comics Note : Résumé de l'album : La quête de Willa s'achève... Parviendra-t-elle à restaurer le monde d'avant le Jour G ? Depuis son départ de Chicago, Willa a connu son lot de bleus au coeur et affronté bien des épreuves. Tempêtes mortelles, insectes géants mangeurs de chair humaine, fermiers terroristes sur le point de mener une révolte dans sa ville natale... Et si la jeune femme est plus que jamais déterminée à remplir la promesse faite à son père, rien ne la prépare aux révélations qui l'attendent. Sa force et son courage seront testés au-delà de tout ce qu'elle aurait pu imaginer. À l'instar du monde post-Jour G, Willa est sens dessus dessous, et rien ne sera jamais plus comme avant, tandis que sa quête trouve une résolution des plus inattendues. Troisième et dernier tome de la série portée par Joe Henderson, scénariste et showrunner (Lucifer) et Lee Garbett (Lucifer, Loki: Agent of Asgard). Nommée à l'Eisner Award de la meilleure nouvelle série en 2019, Skyward est désormais en route pour le grand écran. Critique : Suite et fin de Skyward avec ce tome 3 qui dans la lignée du tome 2 nous propose une conclusion finalement assez terre-à-terre d'une trilogie de science fiction au concept de base ambitieux et original. Quelque part j'ai quelques regrets sur cette série, pourtant très agréable à lire, car je trouve que le postulat de départ est un peu galvaudé par un scénario global manquant d'ampleur entre le second et le troisième tome. J'aurais aimé je crois un souffle héroïque un peu plus présent, et une dramaturgie peut être plus oppressante, alors que finalement on reste plutôt sur de l'aventure enjouée dont les enjeux semblent finalement pas si cruciaux. Bref, c'est mon seul bémol concernant cette série, et je crois que c'est sincèrement car je deviens difficile, ou peut être parce que le tome 1 avait suscité en moi de trop grands espoirs. Mais un postulat aussi simple qu'important ouvrait de si grands possibles que les auteurs n'ont pu finalement les développer autant que je l'aurais souhaité. Graphiquement le boulot de Lee Garbett est plus que propre et la série reste tout du long un plaisir à lire, fluide et bien maitrisé. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/skyward-tome-3-reparer-le-monde?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. Suite et fin de Skyward avec ce tome 3 qui dans la lignée du tome 2 nous propose une conclusion finalement assez terre-à-terre d'une trilogie de science fiction au concept de base ambitieux et original. Quelque part j'ai quelques regrets sur cette série, pourtant très agréable à lire, car je trouve que le postulat de départ est un peu galvaudé par un scénario global manquant d'ampleur entre le second et le troisième tome. J'aurais aimé je crois un souffle héroïque un peu plus présent, et une dramaturgie peut être plus oppressante, alors que finalement on reste plutôt sur de l'aventure enjouée dont les enjeux semblent finalement pas si cruciaux. Bref, c'est mon seul bémol concernant cette série, et je crois que c'est sincèrement car je deviens difficile, ou peut être parce que le tome 1 avait suscité en moi de trop grands espoirs. Mais un postulat aussi simple qu'important ouvrait de si grands possibles que les auteurs n'ont pu finalement les développer autant que je l'aurais souhaité. Graphiquement le boulot de Lee Garbett est plus que propre et la série reste tout du long un plaisir à lire, fluide et bien maitrisé.
  10. Que cette BD est étrange. Etrange car d'abord, en dépit d'un thème qui plaira à nombre de jeunes adultes amateurs de BD, de romanesque et d'aventure, on n'en a pas parlé ici. Et ceci, alors même que les couvertures sont très réussies, que l'éditeur est une grande maison d'édition. Et j'ai fait pareil, bien que la sortie du tome 1 m'ai fait envie à l'époque, j'étais finalement passé à côté. Il aura fallut la parution de ce tome 2 pour que je m'y colle enfin. Il faut dire que Mathieu Mariolle au scénario ne nous habitue à rien du tout : signer les scénarios de Nota bene, Psg academy et Foot 2 rue, mais aussi réaliser les excellents Blue Note et La voie du sabre, ça fait de vous un auteur quelque peu dur à suivre. Hors donc ce Nautilus, série prévue en 3 tomes nous emmène sur les traces de Némo évidemment, après la fin de 20000 lieux sous les mers et à travers une Inde soumise au grand Jeu entre empires coloniaux. Et c'est un régal, j'ai beaucoup aimé, c'est fluide, verbeux comme on aime mais sans excès, les personnages sont bien travaillés et même les seconds rôles finissent par avoir une histoire travaillée. J'aime. Côté dessin, rien à redire, j'ginorais tout de Gabriel Grabowski avant de découvrir son talent au fil de ces planches. Un grand bravo. C'est beau, décors comme personnages, scènes d'actions comme scènes descriptive, il y avait un parfum de Troisième testament pour moi à la lecture de ce Nautilus. Oui c'est pas peu dire. Bémol tout de même, un ami à moi, bercé également à la BD et aux Jules Vernes n'a pas accroché plus que cela. Etonnant, alors faites vous votre idée, mais si vous aimez l'aventure, ne passez pas à côté de ce Nautilus.
  11. Titre de l'album : Nautilus - Tome 2 - Mobilis in Mobile Scenariste de l'album : Mathieu Mariolle Dessinateur de l'album : Gabriel Grabowski Coloriste : Denis Béchu Editeur de l'album : Glenat Note : Résumé de l'album : Pour prouverson innocence, il plongera 20 000 lieues sous les mers.Tout en se faisant passer pour un agent du gouvernement français du nom de Jean Paillole, Kimball parvient à faire évader Némo de la prison russe qui le retenait depuis plus de 10 ans. Avec son capitaine libéré, le légendaire Nautilus est prêt à se diriger vers la baie de Bombay où reposent toujours les documents que Kimball convoite tant. Le temps presse, l'évasion de Némo à fait grand bruit et Kimball est toujours suivi à la trace. Pourtant, le submersible n'a pas encore démarré que le ton monte entre les deux hommes. S'ils veulent s'en sortir, il devront rester soudés... Mais les dissenssions sont à chaque instant plus flagrantes. Une question reste alors en suspens: lequel trahira l'autre en premier ?Deuxième partie d'un triptyque haletant, veritable course poursuite à l'échelle planétaire où se mêlent espionnage, situations inextricables et scènes spectaculaires, Nautilus continue de proposer un récit beau et palpitant. Critique : Que cette BD est étrange. Etrange car d'abord, en dépit d'un thème qui plaira à nombre de jeunes adultes amateurs de BD, de romanesque et d'aventure, on n'en a pas parlé ici. Et ceci, alors même que les couvertures sont très réussies, que l'éditeur est une grande maison d'édition. Et j'ai fait pareil, bien que la sortie du tome 1 m'ai fait envie à l'époque, j'étais finalement passé à côté. Il aura fallut la parution de ce tome 2 pour que je m'y colle enfin. Il faut dire que Mathieu Mariolle au scénario ne nous habitue à rien du tout : signer les scénarios de Nota bene, Psg academy et Foot 2 rue, mais aussi réaliser les excellents Blue Note et La voie du sabre, ça fait de vous un auteur quelque peu dur à suivre. Hors donc ce Nautilus, série prévue en 3 tomes nous emmène sur les traces de Némo évidemment, après la fin de 20000 lieux sous les mers et à travers une Inde soumise au grand Jeu entre empires coloniaux. Et c'est un régal, j'ai beaucoup aimé, c'est fluide, verbeux comme on aime mais sans excès, les personnages sont bien travaillés et même les seconds rôles finissent par avoir une histoire travaillée. J'aime. Côté dessin, rien à redire, j'ginorais tout de Gabriel Grabowski avant de découvrir son talent au fil de ces planches. Un grand bravo. C'est beau, décors comme personnages, scènes d'actions comme scènes descriptive, il y avait un parfum de Troisième testament pour moi à la lecture de ce Nautilus. Oui c'est pas peu dire. Bémol tout de même, un ami à moi, bercé également à la BD et aux Jules Vernes n'a pas accroché plus que cela. Etonnant, alors faites vous votre idée, mais si vous aimez l'aventure, ne passez pas à côté de ce Nautilus. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/nautilus-tome-2-mobilis-in-mobile?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. Titre de l'album : Tarzan - Tome 2 - Au centre de la Terre Scenariste de l'album : Christophe Bec Dessinateur de l'album : Rob de la Torre & Stefano Raffaelle Coloriste : Dave Stewart Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Parti en expédition à la recherche de la légendaire cité d'Opar et de ses trésors, Tarzan va vivre l'une de ses plus palpitantes aventures. Elle le mènera à bord d'un zeppelin jusqu'à Pellucidar, la terre creuse, monde souterrain préhistorique regorgeant de dangers dont il pourrait bien ne pas revenir indemne. Critique : Un changement de dessinateur entre un tome 1 réussi et un tome 2 c'est peu courant. Mais un nouveau changement de dessinateur au milieu du tome 2 ça l'est encore moins. J'ai donc posé la question à l'éditeur et dès que j'aurais la réponse promis je vous tiens informé des raisons de cette curiosité. Il faut reconnaitre que si à, première vue, ce n'est guère engageant, le premier tome de Tarzan nous avait ceci dit laissé une très belle impression. Soyons francs, je m'étais régalé à l'époque et c'est donc avec grand plaisir que j'ai dévoré ce tome 2. L'histoire est forcément plus originale que le premier tome puisque celui-ci retraçait simplement la légende de Tarzan telle qu'on la connait. Ce second opus nous livre une histoire moins connue écrite par Edgar Rice Burroughs autour de son personnage de Tarzan. Se déroulant juste après la fin du tome précédent, on y retrouve Tarzan mêlé à une aventure ou le fantastique et l'esprit de Jules Vernes cohabitent afin de livrer au roi de la jungle de nouveaux défis. Si l'on pourrait rester dubitatif sur la cohérence de l'ensemble, le gosse que je suis resté à globalement beaucoup aimé se replonger dans l'univers des histoires d'aventures se son enfance une nouvelle fois. Vous l'aurez compris, sio ce tome 2 est pour moi un cran en dessous du premier, ne prenons donc pas ce Tarzan aussi sérieusement que le précéndent qui brillait par sa noirceur et son atmosphère et ne boudons pas pour autant notre plaisir avec ce Tarzan intrépide et sauvage. A noter que la couverture est réalisée par l'excellent Eric Bourgier. Autres infos : D'après l'oeuvre d'Edgar Rice Burroughs Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/tarzan-tome-2-au-centre-de-la-terre?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. Un changement de dessinateur entre un tome 1 réussi et un tome 2 c'est peu courant. Mais un nouveau changement de dessinateur au milieu du tome 2 ça l'est encore moins. J'ai donc posé la question à l'éditeur et dès que j'aurais la réponse promis je vous tiens informé des raisons de cette curiosité. Il faut reconnaitre que si à, première vue, ce n'est guère engageant, le premier tome de Tarzan nous avait ceci dit laissé une très belle impression. Soyons francs, je m'étais régalé à l'époque et c'est donc avec grand plaisir que j'ai dévoré ce tome 2. L'histoire est forcément plus originale que le premier tome puisque celui-ci retraçait simplement la légende de Tarzan telle qu'on la connait. Ce second opus nous livre une histoire moins connue écrite par Edgar Rice Burroughs autour de son personnage de Tarzan. Se déroulant juste après la fin du tome précédent, on y retrouve Tarzan mêlé à une aventure ou le fantastique et l'esprit de Jules Vernes cohabitent afin de livrer au roi de la jungle de nouveaux défis. Si l'on pourrait rester dubitatif sur la cohérence de l'ensemble, le gosse que je suis resté à globalement beaucoup aimé se replonger dans l'univers des histoires d'aventures se son enfance une nouvelle fois. Vous l'aurez compris, sio ce tome 2 est pour moi un cran en dessous du premier, ne prenons donc pas ce Tarzan aussi sérieusement que le précéndent qui brillait par sa noirceur et son atmosphère et ne boudons pas pour autant notre plaisir avec ce Tarzan intrépide et sauvage. A noter que la couverture est réalisée par l'excellent Eric Bourgier.
  14. Chronique réalisé à partir du pdf de lecture, la pagination, le rendu graphique peuvent bien évidemment changer en version papier, vérifiez si l'ensemble vous plait chez votre libraire. Après un tome 10 d'Androïdes hyper enthousiasmant, ce tome 11 ne pouvait que m'intéresser. Première info, et non des moindres il s'agit ici d'un diptyque. L'histoire s'arrête en plein vol, et il faudra donc bien attendre le second tome pour jauger de la qualité finale de l'ensemble. Seconde info, également importante, il s'agit d'une transposition assez libre de la nouvelle "Au coeur des ténébres" de Joseph Conrad, nouvelle qui a inspiré déjà pas mal d'oeuvres cinématographiques connues, sans vraiment pourtant avoir été reprise dans son intégralité. Point de frayeur à avoir donc si vous ne connaissez pas l'oeuvre originale, ni d'attente particulière dans le cas contraire. Je trouve qu'après l'œuvre majeure livrée par Alain Brion sur le tome précédent on retombe ici dans une BD graphiquement plus habituelle. C'est joli et assez bien rendu, avec un dynamisme bienvenu dans les rendus de mouvements mais cela ne transcende pas pour autant le récit. Côté histoire, attention, le format diptyque autorise ici Jean Pierre Pecau à nous livrer une embrouille bien plus touffue que ce que l'on a l'habitude, et à la fin de ce tome qui avance pourtant tambour battant il reste encore beaucoup de questions en suspens... Et c'est tant mieux que cette série s'accorde enfin un peu plus d'ambition en sortant du carcan parfois étriqué du one shot.
  15. Titre de l'album : Androïdes - Tome 11 - Marlowe - Chapitre 1 Scenariste de l'album : Jean Pierre Pecau Dessinateur de l'album : Dim D Coloriste : Dim D Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Jean Pierre Pécau, qui n'en est pas à sa première adaptation d'Au coeur des ténèbres de Joseph Conrad, le transpose cette fois dans un futur sombre, dur, désespéré et offre à la série androïdes un diptyque dantesque. Lorsque le capitaine Marlowe est autorisée à sortir de la clinique psychiatrique, c'est pour partir en mission dans le plus grand camp de réfugiés, de narco trafiquants, de hackers et autres terroristes du monde. En bon soldat elle s'exécute sans rechigner. Mais pourquoi déteste-elle les synthétiques et pourquoi l'état-major tient tant à ce que ce soit elle qui se charge de cette mission ? Critique : Chronique réalisé à partir du pdf de lecture, la pagination, le rendu graphique peuvent bien évidemment changer en version papier, vérifiez si l'ensemble vous plait chez votre libraire. Après un tome 10 d'Androïdes hyper enthousiasmant, ce tome 11 ne pouvait que m'intéresser. Première info, et non des moindres il s'agit ici d'un diptyque. L'histoire s'arrête en plein vol, et il faudra donc bien attendre le second tome pour jauger de la qualité finale de l'ensemble. Seconde info, également importante, il s'agit d'une transposition assez libre de la nouvelle "Au coeur des ténébres" de Joseph Conrad, nouvelle qui a inspiré déjà pas mal d'oeuvres cinématographiques connues, sans vraiment pourtant avoir été reprise dans son intégralité. Point de frayeur à avoir donc si vous ne connaissez pas l'oeuvre originale, ni d'attente particulière dans le cas contraire. Je trouve qu'après l'œuvre majeure livrée par Alain Brion sur le tome précédent on retombe ici dans une BD graphiquement plus habituelle. C'est joli et assez bien rendu, avec un dynamisme bienvenu dans les rendus de mouvements mais cela ne transcende pas pour autant le récit. Côté histoire, attention, le format diptyque autorise ici Jean Pierre Pecau à nous livrer une embrouille bien plus touffue que ce que l'on a l'habitude, et à la fin de ce tome qui avance pourtant tambour battant il reste encore beaucoup de questions en suspens... Et c'est tant mieux que cette série s'accorde enfin un peu plus d'ambition en sortant du carcan parfois étriqué du one shot. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/androides-tome-11-marlowe-chapitre-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. Titre de l'album : Le château des étoiles - tome 6 - L'exposition interplanétaire de 1875 Scenariste de l'album : Alex Alice Dessinateur de l'album : Alex Alice Coloriste : Alex Alice Editeur de l'album : Rue de sevres Note : Résumé de l'album : Après avoir visité la Lune et Mars, Les Chevaliers de l’Ether semblent tristement cloués au sol depuis l’échec de leur tentative visant à convaincre l’Empereur Napoléon III de secourir les Martiaux. Le jeune Séraphin a été jeté en prison, et la Princesse de Mars est détenue pour être exhibée lors de l’Exposition Interplanétaire qui doit s’ouvrir à Paris, le 25 avril 1875 en présence de leurs Majestés les Empereurs de France et d’Allemagne. Afin de pousser les dirigeants du monde à dénoncer les crimes commis par la Prusse sur Mars, nos héros vont donc devoir libérer la princesse, ou tout au moins ses fabuleux pouvoirs mentaux. Et ainsi, au nom de la concorde entre les peuples, Hans, Sophie et Séraphin, aidés de Loïc, du capitaine Schneidig et de la journaliste Jocaste Daumier n’ont plus le choix : ils doivent braquer l’Exposition ! Mais à quel prix ? Critique : Ne me demandez pas d'âtre impartial avec ce chateau des étoiles. C'est impossible pour moi tant c'est en BD ce que j'ai tant aimé lire adolescent en livre. De l'Aventure, du rêve, de l'exploration, et de la poséie à chaque page, véritable tendresse d'Alex Alice pour ses personnages, secondaires comme principaux, jamais caricaturaux, toujours fins et porteurs d'émotions humaines magnifiquement retranscrites. Si à cela vous ajoutez des graphismes éthérées, des visages d'une rare expressivité, et des paysages à couper le souffle, ça commence à être dur de faire la fine bouche quand même... Niveau scénario on se retrouve avec une véritable fin de cycle, ouvrant autant de nouvelles portes qu'elle n'en ferme, et nous donnant des perspectives d'infini tant dans le recoupement à venir avec les chimères de Vénus que dans les possibilités d'évolution de l'histoire. Du grand Art qui j'espère ne se perdra pas dans cet océan de possible. Mais avec M. Ayrolles au scénario et M. Alice qui continue de contribuer à son oeuvre qui serait véritablement inquiet ? Pour ceux qui veulent replonger dans l'imaginaire de l'enfance à portée des adultes, venez rire, sourire, espérer, pleurer parfois mais surtout voyager et prendre des risques avec ces chevaliers de l'Ether, de moins en moins enfants au fil de la route les menant vers l'infini et l'âge adulte. Cet article dithyrambique au possible ne masquera pas une chose qui m'apparait désormais comme évidente : je crois que malgré les Blacksad, les Elecboy, les Spioru, cette BD était bien celle que j'attendais le plus de cette fin d'année. Oui, oui. Bravo et chapeau bas l'artiste ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-chateau-des-etoiles-tome-6?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. Ne me demandez pas d'âtre impartial avec ce chateau des étoiles. C'est impossible pour moi tant c'est en BD ce que j'ai tant aimé lire adolescent en livre. De l'Aventure, du rêve, de l'exploration, et de la poséie à chaque page, véritable tendresse d'Alex Alice pour ses personnages, secondaires comme principaux, jamais caricaturaux, toujours fins et porteurs d'émotions humaines magnifiquement retranscrites. Si à cela vous ajoutez des graphismes éthérées, des visages d'une rare expressivité, et des paysages à couper le souffle, ça commence à être dur de faire la fine bouche quand même... Niveau scénario on se retrouve avec une véritable fin de cycle, ouvrant autant de nouvelles portes qu'elle n'en ferme, et nous donnant des perspectives d'infini tant dans le recoupement à venir avec les chimères de Vénus que dans les possibilités d'évolution de l'histoire. Du grand Art qui j'espère ne se perdra pas dans cet océan de possible. Mais avec M. Ayrolles au scénario et M. Alice qui continue de contribuer à son oeuvre qui serait véritablement inquiet ? Pour ceux qui veulent replonger dans l'imaginaire de l'enfance à portée des adultes, venez rire, sourire, espérer, pleurer parfois mais surtout voyager et prendre des risques avec ces chevaliers de l'Ether, de moins en moins enfants au fil de la route les menant vers l'infini et l'âge adulte. Cet article dithyrambique au possible ne masquera pas une chose qui m'apparait désormais comme évidente : je crois que malgré les Blacksad, les Elecboy, les Spioru, cette BD était bien celle que j'attendais le plus de cette fin d'année. Oui, oui. Bravo et chapeau bas l'artiste !
  18. Chronique réalisée à partir du pdf de lecture et non de la bd d'origine.. Ce tome 15 de Samouraï est dans la lignée directe des précédents. Il offre une lecture agréable, et un japon médiéval bien moins fantastique qu'au démarrage de la série ce qui n'est pas pour me déplaire. Ceci dit les scénarios deviennent également plus simples et manquent un peu de complexité je trouve. Il faut également bien reconnaitre que le travail de Mormile n'est pas aussi remarquable à mon humble avis que le trait de Genêt, le premier dessinateur sur cette série. Du coup la série donne l'impression de s'essouffler un peu même si le plaisir de lecture est bien là. Mon avis peut sembler un peu dur tant j'ai apprécié les débuts de cette série qui reste toutefois de bonne facture globalement...
  19. Titre de l'album : Samuraï - Tome 15 - Insoupçonnable Scenariste de l'album : Di Giorgio Dessinateur de l'album : Mormile Coloriste : Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Qui a empoisonné la rivière de Tadami ? Est-ce la même personne qui, depuis deux mois, assassine des villageois à l'aide d'un kunai ?Le rôle de Takeo va-t-il consister à compter les cadavres ou à chercher la vérité ?L'aventure ne sera pas de tout repos. Certains villageois n'hésitant pas à faire appel à des tueurs, chargés d'éliminer toutes personnes susceptibles de nuire à leurs objectifs... Critique : Chronique réalisée à partir du pdf de lecture et non de la bd d'origine.. Ce tome 15 de Samouraï est dans la lignée directe des précédents. Il offre une lecture agréable, et un japon médiéval bien moins fantastique qu'au démarrage de la série ce qui n'est pas pour me déplaire. Ceci dit les scénarios deviennent également plus simples et manquent un peu de complexité je trouve. Il faut également bien reconnaitre que le travail de Mormile n'est pas aussi remarquable à mon humble avis que le trait de Genêt, le premier dessinateur sur cette série. Du coup la série donne l'impression de s'essouffler un peu même si le plaisir de lecture est bien là. Mon avis peut sembler un peu dur tant j'ai apprécié les débuts de cette série qui reste toutefois de bonne facture globalement... Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/samurai-tome-15-insoupconnable?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Titre de l'album : La cour des miracles - Tome 3 - Le crépuscule des miracles Scenariste de l'album : Stéphane Piatzszek Dessinateur de l'album : Julien Maffre Coloriste : Julien Maffre, Karamba Dramé et Croqueforme Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : La Cour des Miracles fait face à la ténacité du lieutenant La Reynie, déterminé à « nettoyer Paris » de la vilaine engeance qui déstabilise le pouvoir et terrorise les parisiens. Mais profitant de l'absence du roi Louis XIV au château de Saint Germain, la Reine de la Canaille entraîne les siens, guidés par le comédien Scaramouche à jouir des luxes du palais royal le temps d'une nuit de liesse... Critique : La fin de la trilogie de la cour des miracles s'annonçait dantesque après un tome 2 dur et sanglant. Il ne pouvait donc en être autrement et le lecteur ne sera ni surpris ni déçu puisque toutes les personnages secondaires se retrouvent à affronter leurs destinées dans ce tome dense, intense, et une nouvelle fois romanesque. On est pas dans de l'Alexandre Dumas ici puisqu'on y parle toujours et avant tout des gueux, mais l'on sent son ombre planer sur l'ensemble de cette série plutôt très réussie. Si le dessin inspiré et original de Julien Maffre qui a également réalisé le remarqué Stern vous plait comme à moi, vous ne pourrez qu'aimer cette cour des Miracles. Si ce n'est malheureusement pas le cas pour vous, rabattez vous sur le Roy des Ribauds 🙂 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-cour-des-miracles-tome-3-le-crepuscule-des-miracles?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. La fin de la trilogie de la cour des miracles s'annonçait dantesque après un tome 2 dur et sanglant. Il ne pouvait donc en être autrement et le lecteur ne sera ni surpris ni déçu puisque toutes les personnages secondaires se retrouvent à affronter leurs destinées dans ce tome dense, intense, et une nouvelle fois romanesque. On est pas dans de l'Alexandre Dumas ici puisqu'on y parle toujours et avant tout des gueux, mais l'on sent son ombre planer sur l'ensemble de cette série plutôt très réussie. Si le dessin inspiré et original de Julien Maffre qui a également réalisé le remarqué Stern vous plait comme à moi, vous ne pourrez qu'aimer cette cour des Miracles. Si ce n'est malheureusement pas le cas pour vous, rabattez vous sur le Roy des Ribauds 🙂
  22. Il n'est pas évident de chroniquer cet Orépia, parce qu'à priori il a pas mal de tares. L'histoire d'abord nous place devant la classique aventure d'une troupe de mercenaire qui se râlent dessus et qui sont menés par un capitaine bien mystérieux. Le méchant est évidemment un grand méchant (qui couche avec sa soeur... Si si quand je vous dis qu'on est dans l'originalité jusqu'au bout), il y a de la magie, des races fantasy, et des grands coups d'épées. Graphiquement si le tout est plutôt joli, il se dégage parfois de certaines scènes une impression de corps et visages figés, un peu comme sur la couverture. Je serais bien embêtés de vous dire d'où cela peut venir mais le ressenti est bien présent et si ce n'est guère gênant, cela gâche tout de même un peu le potentiel graphique de ce tire. Dommage car l'univers et l'humour est plutôt bien représenté. Alors une fois que j'ai dit tout cela pourquoi j'hésites ? J'hésites parce que bien qu'une partie de la recette qui a fait le succès de Lanfeust a été dévoyée ici, le tout garde un petit charme, l'aventure roule plutôt bien, les vannes m'ont fait sourire et finalement je l'ai lu avec plaisir. Cela reste un tome d'introduction et je gage que la série ne restera pas dans les annales de l'héroïc Fantasy, mais le background s'annonce suffisamment propre pour que cette série puisse prendre un peu d'ampleur je pense. A voir avec le prochains tomes si les travers sont corrigés.
  23. Titre de l'album : Orépia - Tome 1 - L'héritier d'atlantis Scenariste de l'album : Fabien Dalmasso Dessinateur de l'album : Jae Hwan Kim Coloriste : Cyril Vincent Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Ardeia, cité réputée imprenable, vient de tomber, prise d'assaut par un mystérieux envahisseur. Adhémar et ses mercenaires roublards ont réussi à prendre la fuite, embarquant le duc Warin, seigneur d'Ardeia, qui leur a promis une récompense contre leur protection. Commence alors un voyage semé d'embûches pour notre compagnie composée majoritairement de non-humains qui ont bien du mal à s'entendre. Critique : Il n'est pas évident de chroniquer cet Orépia, parce qu'à priori il a pas mal de tares. L'histoire d'abord nous place devant la classique aventure d'une troupe de mercenaire qui se râlent dessus et qui sont menés par un capitaine bien mystérieux. Le méchant est évidemment un grand méchant (qui couche avec sa soeur... Si si quand je vous dis qu'on est dans l'originalité jusqu'au bout), il y a de la magie, des races fantasy, et des grands coups d'épées. Graphiquement si le tout est plutôt joli, il se dégage parfois de certaines scènes une impression de corps et visages figés, un peu comme sur la couverture. Je serais bien embêtés de vous dire d'où cela peut venir mais le ressenti est bien présent et si ce n'est guère gênant, cela gâche tout de même un peu le potentiel graphique de ce tire. Dommage car l'univers et l'humour est plutôt bien représenté. Alors une fois que j'ai dit tout cela pourquoi j'hésites ? J'hésites parce que bien qu'une partie de la recette qui a fait le succès de Lanfeust a été dévoyée ici, le tout garde un petit charme, l'aventure roule plutôt bien, les vannes m'ont fait sourire et finalement je l'ai lu avec plaisir. Cela reste un tome d'introduction et je gage que la série ne restera pas dans les annales de l'héroïc Fantasy, mais le background s'annonce suffisamment propre pour que cette série puisse prendre un peu d'ampleur je pense. A voir avec le prochains tomes si les travers sont corrigés. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/orepia-tome-1-l-heritier-d-atlantis?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. C'est avec joie que j'ai découvert que Soleil lançait un reboot de Bob Morane cette année, faisant ainsi involontairement écho au décès récent d'Henry Vernes, le créateur du personnage. Les noms aux manettes étant prestigieux dans le petit monde de la BD, cela s'annonçait plutôt bien. Pourtant j'ai été super déçu. D'abord par le boulot des scénaristes. Sincèrement c'est tellement bourré de raccourcis, d'incohérences, d'absences d'explications, de personnages secondaires foutraques et inutiles que venant de cadors comme Bec et Corbeyran, on frise la faute professionnelle ou l'absence de respect de l'intelligence du lecteur. Je n'irais pas plus loin dans cette charge inhabituellement virulente contre des auteurs car je ne souhaite pas spolier, mais la BD n'étant toujours pas le cinéma actuel, non on ne peut pas se permettre les mêmes inepties scénaristiques. Si c'est pour faire ça, faites le au cinoche ! Une fois ce coup de gueule passé, je reconnaitrais bien volontiers que j'ai pris du plaisir à lire cet opus, une fois le cerveau éteint, et bien aidé par le trait dePaolo Grella et les couleurs de Sébastien Gérard. Et surtout, surtout une vraie tendresse pour les aventures de Bob Morane et la redécouverte d'une époque trop peu lue pour moi de l'histoire française. Mais bordel pourquoi être allé chercher Bec et Corbeyran pour pondre un scénar de série Z moyennasse qui ne tient pas debout 3 secondes ?
  25. Titre de l'album : Bob Morane - Tome 1 - Les 100 démons de l'ombre jaune - Scenariste de l'album : Christophe Bec & Corbeyran Dessinateur de l'album : Paolo Grella Coloriste : Sébastien Gérard Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : 1952. En pleine guérilla entre le Viet-Minh et les forces françaises, Bob Morane et Bill Ballantine sont parachutés en compagnie de soldats d'élite au nord de l'Indochine. Leur mission est d'aider les troupes françaises à combattre les sympathisants d'Ho Chi Minh, ces derniers s'acharnant à vouloir mettre les français à la porte de leur pays pour en reprendre le contrôle. Critique : C'est avec joie que j'ai découvert que Soleil lançait un reboot de Bob Morane cette année, faisant ainsi involontairement écho au décès récent d'Henry Vernes, le créateur du personnage. Les noms aux manettes étant prestigieux dans le petit monde de la BD, cela s'annonçait plutôt bien. Pourtant j'ai été super déçu. D'abord par le boulot des scénaristes. Sincèrement c'est tellement bourré de raccourcis, d'incohérences, d'absences d'explications, de personnages secondaires foutraques et inutiles que venant de cadors comme Bec et Corbeyran, on frise la faute professionnelle ou l'absence de respect de l'intelligence du lecteur. Je n'irais pas plus loin dans cette charge inhabituellement virulente contre des auteurs car je ne souhaite pas spolier, mais la BD n'étant toujours pas le cinéma actuel, non on ne peut pas se permettre les mêmes inepties scénaristiques. Si c'est pour faire ça, faites le au cinoche ! Une fois ce coup de gueule passé, je reconnaitrais bien volontiers que j'ai pris du plaisir à lire cet opus, une fois le cerveau éteint, et bien aidé par le trait dePaolo Grella et les couleurs de Sébastien Gérard. Et surtout, surtout une vraie tendresse pour les aventures de Bob Morane et la redécouverte d'une époque trop peu lue pour moi de l'histoire française. Mais bordel pourquoi être allé chercher Bec et Corbeyran pour pondre un scénar de série Z moyennasse qui ne tient pas debout 3 secondes ? Autres infos : Sous le choc. Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/bob-morane-tome-1-les-100-demons-de-l-ombre-jaune?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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