Aller au contenu
  • S’inscrire

Rechercher dans la communauté

Affichage des résultats pour les étiquettes 'manga'.

  • Rechercher par étiquettes

    Saisir les étiquettes en les séparant par une virgule.
  • Rechercher par auteur

Type du contenu


Forums

  • Les forums BD
    • Toute la BD
    • Projets participatifs
    • Petites Annonces BD
    • Liens BD vers ailleurs
  • Et si on parlait d'autre chose que la bande dessinée ?
    • Améliorons 1001BD
    • Films et séries TV
    • 1001 Jeux Video
    • Livres - Musique - Spectacles - Théatre - Musées
    • 1001 choses à dire
  • TEAM

Rechercher les résultats dans…

Rechercher les résultats qui contiennent…


Date de création

  • Début

    Fin


Dernière mise à jour

  • Début

    Fin


Filtrer par nombre de…

Inscription

  • Début

    Fin


Groupe


  1. Titre de l'album : Ragna crimson tome 10 Scenariste de l'album : KOBAYASHI Daiki Dessinateur de l'album : KOBAYASHI Daiki Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : La bataille fait rage contre les derniers membres des Dragons du clan des ailés, mais les derniers représentants sont aussi les plus redoutables, et ils usent de toute leur puissance pour vaincre les humains qui s'opposent à eux! Critique : Quand la série a commencé j’étais plutôt emballée, il y avait un anti-héros qui faisait équipe avec le roi des démons qui cherchait lui-même à réformer son « troupeau ». Et puis peu à peu les objectifs des personnages se sont noyés dans des vagues de combats sans fin, il y a plus de personnages, plus d’adversaires, plein de duels dans tous les coins… Où est donc passée la trame de l’histoire, le fil conducteur ?? De temps en temps, on a quelques informations, quelques bribes d’avancée mais c’est peu. On sent que l’auteur s’en donne à cœur joie dans le graphisme, dans la mise en scène des combats ; il n’y a qu’à voir le 1er chapitre de ce 10e tome : 46 pages de combats sans un seul son ou mot !! Certes de ce côté-là, les amateurs y trouveront leur compte mais pour ceux qui souhaitent un minimum de progrès dans le scenario, passez votre chemin d’autant plus que le temps entre 2 tomes est long (7 mois entre le 9 et le 10) et que l’on a vite fait de s’y perdre. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ragna-crimson-tome-10?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. Titre de l'album : Call of the night tomes 1, 2 et 3 Scenariste de l'album : KOTOYAMA Dessinateur de l'album : KOTOYAMA Coloriste : Editeur de l'album : Kurokawa Note : Résumé de l'album : En une rencontre, la vie peut reprendre du mordant ! Impossible de résister à l'appel de la nuit !! La nuit où Kô Yamori, collégien et éternel insomniaque, décide de sortir se promener seul, il fait la rencontre de Nazuna Nanakusa, une jolie vampire. "Veille jusqu'à ce que tu sois satisfait de ta journée, Garçon !" Sa veillée seule avec elle va bouleverser le destin de Kô... Premier épisode d'une love story à la belle étoile !! Critique : Kô Yamori est un collégien qui menait une vie quotidienne classique et tranquille, pas mauvais à l’école, ayant des amis, jusqu’au jour où s’en trop savoir pourquoi il en a eu marre de tout et a arrêté d’aller au collège. Loin de s’enfermer dans sa chambre, il a fini par trouver une certaine liberté et sérénité dans ses promenades nocturnes, il ne lui manquait qu’une personne à qui parler. C’est au cours d’une de ses virées, qu’il rencontre Nazuna Nanakusa, une vampire un peu barrée qui lui fait comprendre qu’on ne peut bien dormir que lorsqu’on a été satisfait de sa journée. Décidé à continuer à profiter de son nouveau mode de vie, Kô décide de devenir aussi un vampire mais pour cela il faut qu’il tombe amoureux de Nazuna, une tâche qui se révèle être compliqué quand on a affaire à deux handicapés de l’amour. Call of the night n’est pas vraiment une revisite du genre « vampire », et le titre du manga porte vraiment bien son nom. C’est une plongée dans la société qui vit de nuit, un monde nouveau plus libre, plus franc, sans contrainte où les gens qui s’y côtoient finissent par devoir faire face à ce qu’ils sont. Il y a plusieurs réflexions intéressantes sur la vie et l’essence humaine. Mais le manga est aussi une aventure pleine d’humour, il y a ce garçon qui s’adapte très vite au fantastique et qui est aussi très naïf. Cette vampire très crue dans son vocabulaire quand il s’agit de sexe et hyper gênée et rougissante quand il s’agit d’amour. Sous ses allures de tranche de vie nocturne, Call of the night est comme un voyage où l’on accompagne des personnages hors norme, décalés et originaux ; un voyage où l’on découvre d’autres aspects de la vie et où l’on s’amuse de ces aventures et quotidiens qui ne rentrent dans aucune case. Une belle découverte ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/call-of-the-night-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Nickad

    Call of the night tomes 1, 2 et 3

    Kô Yamori est un collégien qui menait une vie quotidienne classique et tranquille, pas mauvais à l’école, ayant des amis, jusqu’au jour où s’en trop savoir pourquoi il en a eu marre de tout et a arrêté d’aller au collège. Loin de s’enfermer dans sa chambre, il a fini par trouver une certaine liberté et sérénité dans ses promenades nocturnes, il ne lui manquait qu’une personne à qui parler. C’est au cours d’une de ses virées, qu’il rencontre Nazuna Nanakusa, une vampire un peu barrée qui lui fait comprendre qu’on ne peut bien dormir que lorsqu’on a été satisfait de sa journée. Décidé à continuer à profiter de son nouveau mode de vie, Kô décide de devenir aussi un vampire mais pour cela il faut qu’il tombe amoureux de Nazuna, une tâche qui se révèle être compliqué quand on a affaire à deux handicapés de l’amour. Call of the night n’est pas vraiment une revisite du genre « vampire », et le titre du manga porte vraiment bien son nom. C’est une plongée dans la société qui vit de nuit, un monde nouveau plus libre, plus franc, sans contrainte où les gens qui s’y côtoient finissent par devoir faire face à ce qu’ils sont. Il y a plusieurs réflexions intéressantes sur la vie et l’essence humaine. Mais le manga est aussi une aventure pleine d’humour, il y a ce garçon qui s’adapte très vite au fantastique et qui est aussi très naïf. Cette vampire très crue dans son vocabulaire quand il s’agit de sexe et hyper gênée et rougissante quand il s’agit d’amour. Sous ses allures de tranche de vie nocturne, Call of the night est comme un voyage où l’on accompagne des personnages hors norme, décalés et originaux ; un voyage où l’on découvre d’autres aspects de la vie et où l’on s’amuse de ces aventures et quotidiens qui ne rentrent dans aucune case. Une belle découverte !
  4. Nickad

    Cheat skill level up tome 1

    Tenjo Yuta un jeune homme petit, moche et gros est le souffre-douleur de ses camarades d’école et même de ses frère et sœur. Délaissé par sa famille, il vit dans la maison de son grand-père, le seul qui l’aimait vraiment. Un jour, il découvre dans cette demeure un passage vers un monde de fantaisy où il obtient très rapidement des compétences. Je trouvais la couverture de ce manga très belle avec un résumé qui me donnait vraiment envie de le lire, j’avoue avoir été déçue ou plutôt j’aurai dû faire mieux attention au titre ! Car oui tout est trop « cheaté » à peine arrivé dans l’autre monde, Yuta obtient des compétences hors norme, ce qui arrive parfois, mais en plus, il passe d’un petit gros d’1m30 à un beau gosse d’1m80 en perdant au passage les kilos superflus, l’acné et les cheveux gras… Quant à l’histoire, et bien on ne sait pas où l’on va pour le moment, est-ce qu’il cherche à se venger des brimades ? Est-ce qu’il veut devenir populaire ? Mener sa vie dans cet autre monde ? Devenir un héros ? Aucune idée… Miku est aussi le scénariste de The fruit of evolution, dont l’anime est disponible sur crunchyroll, un manga où le personnage, pas gâté par la nature, était aussi victime de harcèlement et qui, envoyé dans un autre monde, est devenu super fort et super beau… mais au moins il y avait beaucoup d’humour. Ici, le 1er tome n’est pas désagréable (si on supporte le genre trop de super compétences) mais il faudra attendre la suite pour voir le développement du scenario. En tout cas la couverture est vraiment belle !! extrait
  5. Titre de l'album : Cheat skill level up tome 1 Scenariste de l'album : MIKU Dessinateur de l'album : MINATOGAWA Kazuomi Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt - Tonkam Note : Résumé de l'album : Tenjo est un garçon légèrement enrobé qui a toujours été victime de harcèlement. Il ne trouve de répit que dans les moments de solitude, dans la maison que son grand-père lui a léguée. Un jour, en faisant du tri, il tombe accidentellement sur une pièce secrète dans laquelle se trouve une mystérieuse porte et des objets médiévaux qu'il n'avait jamais vus. Une fois franchie, cette porte l'emmène dans un monde de fantasy. Critique : Tenjo Yuta un jeune homme petit, moche et gros est le souffre-douleur de ses camarades d’école et même de ses frère et sœur. Délaissé par sa famille, il vit dans la maison de son grand-père, le seul qui l’aimait vraiment. Un jour, il découvre dans cette demeure un passage vers un monde de fantaisy où il obtient très rapidement des compétences. Je trouvais la couverture de ce manga très belle avec un résumé qui me donnait vraiment envie de le lire, j’avoue avoir été déçue ou plutôt j’aurai dû faire mieux attention au titre ! Car oui tout est trop « cheaté » à peine arrivé dans l’autre monde, Yuta obtient des compétences hors norme, ce qui arrive parfois, mais en plus, il passe d’un petit gros d’1m30 à un beau gosse d’1m80 en perdant au passage les kilos superflus, l’acné et les cheveux gras… Quant à l’histoire, et bien on ne sait pas où l’on va pour le moment, est-ce qu’il cherche à se venger des brimades ? Est-ce qu’il veut devenir populaire ? Mener sa vie dans cet autre monde ? Devenir un héros ? Aucune idée… Miku est aussi le scénariste de The fruit of evolution, dont l’anime est disponible sur crunchyroll, un manga où le personnage, pas gâté par la nature, était aussi victime de harcèlement et qui, envoyé dans un autre monde, est devenu super fort et super beau… mais au moins il y avait beaucoup d’humour. Ici, le 1er tome n’est pas désagréable (si on supporte le genre trop de super compétences) mais il faudra attendre la suite pour voir le développement du scenario. En tout cas la couverture est vraiment belle !! extrait Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/cheat-skill-level-up-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. Nickad

    Magic maker tome 2

    Après l’attaque des gobelins, Shion n’a pas d’autre choix que de parler de sa magie à son père ; heureusement, ce dernier est très compréhensif et aide même Shion dans ses expériences. De son côté Marie passe tout son temps à s’entrainer à l’épée car elle s’est sentie inutile pendant ce combat. Shion continue de faire des expériences pour développer sa magie. Ce qui est bien, c’est que cela lui demande beaucoup d’efforts et beaucoup d’expériences. Rien n’est acquis et il faut bien analyser les différents fonctionnements (feu, foudre…) pour que cela marche. L’histoire peut paraître simplette au départ mais l’évolution des personnages se fait pas à pas et prend parfois plusieurs années. Ajouté à cela des explications scientifiques que vous pouvez utiliser avec des enfants et un graphisme agréable, le manga est plaisant et se lit bien. A suivre.
  7. Nickad

    Magic maker tome 2

    Titre de l'album : Magic maker tome 2 Scenariste de l'album : KABURAGI Kazuki Dessinateur de l'album : NISHIOKA Tomozo , KURURI Coloriste : Editeur de l'album : Komikku Note : Résumé de l'album : Une série magnifique sur un monde à priori sans magie. Le jeune Shion n'y est pas au bout de ses surprises ! Critique : Après l’attaque des gobelins, Shion n’a pas d’autre choix que de parler de sa magie à son père ; heureusement, ce dernier est très compréhensif et aide même Shion dans ses expériences. De son côté Marie passe tout son temps à s’entrainer à l’épée car elle s’est sentie inutile pendant ce combat. Shion continue de faire des expériences pour développer sa magie. Ce qui est bien, c’est que cela lui demande beaucoup d’efforts et beaucoup d’expériences. Rien n’est acquis et il faut bien analyser les différents fonctionnements (feu, foudre…) pour que cela marche. L’histoire peut paraître simplette au départ mais l’évolution des personnages se fait pas à pas et prend parfois plusieurs années. Ajouté à cela des explications scientifiques que vous pouvez utiliser avec des enfants et un graphisme agréable, le manga est plaisant et se lit bien. A suivre. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/magic-maker-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. Nickad

    Melty kiss et Melty kiss more

    Aihara Ryô est un jeune chef d’une entreprise de publicité, anciennement designer, il s’occupe à présent de la gestion et de l’administratif où il excelle. Un soir de beuverie professionnelle, il rencontre dans une ruelle Amamiya Riku, un jeune acteur très prometteur. Sous l’effet de l’alcool, leur première rencontre est un peu chaotique mais quand ils se revoient, ils se découvrent une compatibilité physique qui ne les laissent pas indifférents. Ils essayent tant bien que mal de se voir plus souvent mais entre leurs métiers très prenants et les précautions qu’ils doivent prendre vu la célébrité de Riku, la chose n’est pas aisée. Les deux personnages principaux ont chacun une personnalité forte, leurs relations sont à la fois très frontales et très complices, il y a du répondant et de l’humour ! Et en plus comme ils sont beaux gosses c’est agréable à regarder ! En dehors de ça, il y a quand même une histoire, une romance naissante tout d’abord mais aussi un aperçu de certaines facettes de la société nippone, très attentive aux ragots et aux aguets quand il s’agit de célébrités, ce qui rend leurs vies privées très compliquée. Si le premier tome est plus axé sur leur rencontre et la naissance d’une relation « officielle », le second parle de leurs difficultés à concilier amour et vie professionnelle, les japonais sont des bourreaux de travail et ça se ressent bien. Un manga bien mené, sympathique et touchant ! Par contre à réserver à un public averti car nos deux tourtereaux s’en donnent à cœur joie dans l’intimité !
  9. Titre de l'album : Melty kiss et Melty kiss more Scenariste de l'album : TAKASAKI Bosco Dessinateur de l'album : TAKASAKI Bosco Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Aihara Ryô passe sa vie à travailler et la solitude lui pèse. Tout bascule quand, un soir, alors qu'il rentre ivre mort d'un rendez-vous d'affaires, il croise la route d'Amamiya Riku, célèbre acteur. Celui-ci, aimable et enthousiaste, l'aide à rentrer chez lui, même si Ryô l'a pris pour un pâle imitateur. Les jours qui suivent, la boite de pub dont Ryô est le patron accueille Amamiya Riku, égal à lui-même... et bien décidé à répondre aux avances de cet homme charismatique qui l'a dragué dans une ruelle. Critique : Aihara Ryô est un jeune chef d’une entreprise de publicité, anciennement designer, il s’occupe à présent de la gestion et de l’administratif où il excelle. Un soir de beuverie professionnelle, il rencontre dans une ruelle Amamiya Riku, un jeune acteur très prometteur. Sous l’effet de l’alcool, leur première rencontre est un peu chaotique mais quand ils se revoient, ils se découvrent une compatibilité physique qui ne les laissent pas indifférents. Ils essayent tant bien que mal de se voir plus souvent mais entre leurs métiers très prenants et les précautions qu’ils doivent prendre vu la célébrité de Riku, la chose n’est pas aisée. Les deux personnages principaux ont chacun une personnalité forte, leurs relations sont à la fois très frontales et très complices, il y a du répondant et de l’humour ! Et en plus comme ils sont beaux gosses c’est agréable à regarder ! En dehors de ça, il y a quand même une histoire, une romance naissante tout d’abord mais aussi un aperçu de certaines facettes de la société nippone, très attentive aux ragots et aux aguets quand il s’agit de célébrités, ce qui rend leurs vies privées très compliquée. Si le premier tome est plus axé sur leur rencontre et la naissance d’une relation « officielle », le second parle de leurs difficultés à concilier amour et vie professionnelle, les japonais sont des bourreaux de travail et ça se ressent bien. Un manga bien mené, sympathique et touchant ! Par contre à réserver à un public averti car nos deux tourtereaux s’en donnent à cœur joie dans l’intimité ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/melty-kiss?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. Nickad

    Quelle belle fin du monde ! tome 1

    Non s’en rappeler d’autres titres comme lonely world pour son aspect post-apocalyptique et monde désolé, ou made in abyss pour mettre en scène un personnage d’enfant mignon dans un monde plutôt cruel et impitoyable, quelle belle fin du monde n’étonne pas au 1er abord. Une petite fille et son animal de compagnie errent dans une ville abandonnée à la recherche d’autres humains, ils luttent quotidiennement pour survivre et trouver de quoi subsister. Il faut reconnaître que si pour le moment l’histoire n’est pas exceptionnelle (mais des surprises nous attendent peut-être dans la suite), la créativité de l’auteur pour ce monde en ruine est bien fournie : si le fond du décor est notre monde moderne, il y a plein de faune et de flore originale et même des habitants d’un autre monde. Concernant l’histoire, il faudra attendre la suite pour s’en faire une idée car pour le moment, la balade est un peu ennuyante.
  11. Titre de l'album : Quelle belle fin du monde ! tome 1 Scenariste de l'album : TOTTORI Saq Dessinateur de l'album : TOTTORI Saq Coloriste : Editeur de l'album : Komikku Note : Résumé de l'album : Dans un monde en ruine, la jeune Yakône voyage à la recherche d'êtres humains. Accompagnée de Yago, sa souris à six pattes et de Ney, son robot, elle va au-devant de nombreuses péripéties. À la recherche d'eau ou de délicieux fruits, elle doit aussi composer avec des formes inquiétantes et des monstres géants. Venez partager le carnet de voyage drôle et plein d'aventures d'un groupe d'explorateurs pas comme les autres dans un monde post apocalyptique Critique : Non s’en rappeler d’autres titres comme lonely world pour son aspect post-apocalyptique et monde désolé, ou made in abyss pour mettre en scène un personnage d’enfant mignon dans un monde plutôt cruel et impitoyable, quelle belle fin du monde n’étonne pas au 1er abord. Une petite fille et son animal de compagnie errent dans une ville abandonnée à la recherche d’autres humains, ils luttent quotidiennement pour survivre et trouver de quoi subsister. Il faut reconnaître que si pour le moment l’histoire n’est pas exceptionnelle (mais des surprises nous attendent peut-être dans la suite), la créativité de l’auteur pour ce monde en ruine est bien fournie : si le fond du décor est notre monde moderne, il y a plein de faune et de flore originale et même des habitants d’un autre monde. Concernant l’histoire, il faudra attendre la suite pour s’en faire une idée car pour le moment, la balade est un peu ennuyante. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/quelle-belle-fin-du-monde-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. Titre de l'album : Saturn return tome 1 Scenariste de l'album : TORIKAI Akane Dessinateur de l'album : TORIKAI Akane Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : Ritsuko Kaji est une romancière qui souffre du syndrome de la page blanche... Mais quand une nuit, elle rêve d'un de ses anciens amis, son quotidien va basculer : au réveil, elle apprend le suicide de ce dernier... Tandis qu'elle se sent étouffée par sa vie de femme au foyer, la voilà rattrapée par le souvenir d'un être cher désormais décédé. Confrontée de force à son passé, elle retourne à Osaka en compagnie de son nouvel éditeur. Mais ce voyage pourrait bien faire remonter des sentiments douloureux à la surface... Critique : Ritsuko Kaji est romancière, depuis le succès de son premier livre 5 ans auparavant, elle a du mal à écrire à nouveau. Sa vie d’épouse est compliquée, les relations avec son mari sont assez étranges, d’un côté il est attentif et de l’autre ne semble rechercher qu’une mère pour ses futurs enfants. Un jour, elle apprend qu’un ancien ami, qui est aussi le personnage principal de son livre, s’est suicidé. Son éditeur va la pousser à aller chercher la vérité, s’il le fait parce qu’il y voit un sujet digne d’un nouveau roman, il l’accompagne aussi car Kaji l’intrigue. Akane Torikai nous avait déjà livré des œuvres très intéressantes (en proie au silence et le siège des exilées notamment) mais sa narration souffrait de certaines longueurs qui, à mon avis, desservait son propos. Encore une fois, elle nous plonge au cœur d’un personnage féminin fort, pris dans les tourments de la vie. Il semble qu’elle ait gagné en maturité, le récit est rondement mené et ne souffre pas de lenteurs. D’un côté il y a Kaji, une femme qui est blessée qui pense avoir été sauvée par son mari mais qui semble très instable émotionnellement. De l’autre il y a Nakajima, le fantôme de l’histoire, celui par qui tout a commencé et qui laisse un flou total dans son sillage : la raison de son suicide mais surtout une réflexion sur la vie, sur le fait d’en être maître ou juste spectateur. Celui qui lui a demandé d’écrire un livre pour laisser une trace de son passage sur Terre et qui avait décidé de mourir avant ses 30 ans. Saturn return est un manga avec des propos extrêmement forts qui mérite de prendre le temps de s’y plonger et d’y réfléchir. Un graphisme soigné, un rendu des sentiments réaliste, un livre que l’on peut lire plusieurs fois avant d’en saisir toute l’essence. Une réussite ! 6 tomes en cours, plutôt destiné aux adultes pour la maturité de la réflexion. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/saturn-return-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. Nickad

    Saturn return tome 1

    Ritsuko Kaji est romancière, depuis le succès de son premier livre 5 ans auparavant, elle a du mal à écrire à nouveau. Sa vie d’épouse est compliquée, les relations avec son mari sont assez étranges, d’un côté il est attentif et de l’autre ne semble rechercher qu’une mère pour ses futurs enfants. Un jour, elle apprend qu’un ancien ami, qui est aussi le personnage principal de son livre, s’est suicidé. Son éditeur va la pousser à aller chercher la vérité, s’il le fait parce qu’il y voit un sujet digne d’un nouveau roman, il l’accompagne aussi car Kaji l’intrigue. Akane Torikai nous avait déjà livré des œuvres très intéressantes (en proie au silence et le siège des exilées notamment) mais sa narration souffrait de certaines longueurs qui, à mon avis, desservait son propos. Encore une fois, elle nous plonge au cœur d’un personnage féminin fort, pris dans les tourments de la vie. Il semble qu’elle ait gagné en maturité, le récit est rondement mené et ne souffre pas de lenteurs. D’un côté il y a Kaji, une femme qui est blessée qui pense avoir été sauvée par son mari mais qui semble très instable émotionnellement. De l’autre il y a Nakajima, le fantôme de l’histoire, celui par qui tout a commencé et qui laisse un flou total dans son sillage : la raison de son suicide mais surtout une réflexion sur la vie, sur le fait d’en être maître ou juste spectateur. Celui qui lui a demandé d’écrire un livre pour laisser une trace de son passage sur Terre et qui avait décidé de mourir avant ses 30 ans. Saturn return est un manga avec des propos extrêmement forts qui mérite de prendre le temps de s’y plonger et d’y réfléchir. Un graphisme soigné, un rendu des sentiments réaliste, un livre que l’on peut lire plusieurs fois avant d’en saisir toute l’essence. Une réussite ! 6 tomes en cours, plutôt destiné aux adultes pour la maturité de la réflexion.
  14. Nickad

    Clevatess tome 1

    Titre de l'album : Clevatess tome 1 Scenariste de l'album : IWAHARA Yuji Dessinateur de l'album : IWAHARA Yuji Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Exterminer l'humanité... ou pas ? Pour le roi des démons, la décision repose sur l'avenir d'un enfant ! Le puissant démon Clevatess est dérangé dans son antre par une troupe de héros venue l'éliminer. Voilà un millénaire qu'il n'avait pas fait face à des humains. Ceux-ci s'élancent vaillamment... et sont décimés ! Malgré tout, leurs épées, forgées dans un métal rare, ont égratigné ses cornes... La créature s'interroge. Comment ces insectes insignifiants ont-ils pu développer de telles armes ? Pourquoi veulent-ils sa mort ? Clevatess part poser la question au monarque commanditaire de l'attaque, détruisant sa capitale par vengeance au passage. Mais cette expédition ne lui apporte aucune réponse, et il envisage l'extermination totale de cette race... C'est alors que dans les ruines du palais, un survivant blessé lui tend un bébé en le suppliant de le sauver. D'abord réfractaire, le démon y voit finalement une opportunité : élever un humain lui permettra de comprendre ses adversaires et, surtout, de déterminer s'ils méritent d'être graciés ! Critique : Clevatess est l’un des 4 roi démon, il vit tranquillement sur ses terres quand un groupe de héros décide de venir l’éliminer. Ne comprenant pas pourquoi, il décide de se rendre auprès du roi du royaume de Hiden pour en connaître les raisons mais ce dernier dénigre Clevatess en lui disant qu’une bête démoniaque ne pouvait pas comprendre. En repartant après avoir détruit la ville, un enfant lui confie un bébé en lui disant qu’il apprendra à comprendre les humains en s’occupant de lui. Les œuvres de Yuji IWAHARA (le roi des ronces, dimension W…) ont souvent plusieurs niveaux de lecture avec un côté assez sombre, Clevatess n’y déroge pas. Le premier aspect frappant c’est la cupidité sans fin des humains, toujours vouloir plus de terres, plus de richesses… ils envahissent le territoire de Clevatess sous prétexte qu’il est une bête démoniaque. Le deuxième aspect, c’est la malveillance des hommes, la façon de toujours profiter des faiblesses des autres et dès que l’un chute, au lieu de venir l’aider de l’écraser pour prendre sa place. Pour le moment l’humanité n’est pas à la fête ! C’est le périple de Clevatess qui va permettre une observation de ce que l’on est, de poser un regard extérieur et de potentiellement rendre un jugement. La présence du bébé va sans doute amener le côté positif et permettre de montrer qu’il y a aussi du bon dans l’humanité (enfin j’espère !!). Mais le manga est aussi un manga d’aventures avec des combats et du fantastique, difficile cependant de le percevoir uniquement comme un divertissement tellement le discours est fort, impossible de fermer les yeux et de ne pas voir une certaine critique de la société. Un très bon début de série servi par un graphisme intéressant qui donne de la puissance au récit. Extrait Bande annonce Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/clevatess-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. Nickad

    Clevatess tome 1

    Clevatess est l’un des 4 roi démon, il vit tranquillement sur ses terres quand un groupe de héros décide de venir l’éliminer. Ne comprenant pas pourquoi, il décide de se rendre auprès du roi du royaume de Hiden pour en connaître les raisons mais ce dernier dénigre Clevatess en lui disant qu’une bête démoniaque ne pouvait pas comprendre. En repartant après avoir détruit la ville, un enfant lui confie un bébé en lui disant qu’il apprendra à comprendre les humains en s’occupant de lui. Les œuvres de Yuji IWAHARA (le roi des ronces, dimension W…) ont souvent plusieurs niveaux de lecture avec un côté assez sombre, Clevatess n’y déroge pas. Le premier aspect frappant c’est la cupidité sans fin des humains, toujours vouloir plus de terres, plus de richesses… ils envahissent le territoire de Clevatess sous prétexte qu’il est une bête démoniaque. Le deuxième aspect, c’est la malveillance des hommes, la façon de toujours profiter des faiblesses des autres et dès que l’un chute, au lieu de venir l’aider de l’écraser pour prendre sa place. Pour le moment l’humanité n’est pas à la fête ! C’est le périple de Clevatess qui va permettre une observation de ce que l’on est, de poser un regard extérieur et de potentiellement rendre un jugement. La présence du bébé va sans doute amener le côté positif et permettre de montrer qu’il y a aussi du bon dans l’humanité (enfin j’espère !!). Mais le manga est aussi un manga d’aventures avec des combats et du fantastique, difficile cependant de le percevoir uniquement comme un divertissement tellement le discours est fort, impossible de fermer les yeux et de ne pas voir une certaine critique de la société. Un très bon début de série servi par un graphisme intéressant qui donne de la puissance au récit. Extrait Bande annonce
  16. Titre de l'album : Under prison tome 1 Scenariste de l'album : MIYAO Ikumi Dessinateur de l'album : MIYAO Ikumi Coloriste : Editeur de l'album : Omaké Note : Résumé de l'album : Dans un futur proche, la criminalité ultra violente explose de façon exponentielle. Les prisons étant encombrées, les tribunaux condamnent désormais systématiquement les crimes les plus graves et sordides par la peine capitale. Les condamnés à mort sont maintenant regroupés dans les sous-sols des prisons, livrés à eux-mêmes avant d'être exécutés, lorsqu'ils ne sont pas déjà sauvagement tués par leurs codétenus. Junya, lui, n'est pas un criminel. Mais il rêve de se venger de l'assassin de sa famille, qui se trouve dans ces couloirs de la mort. Il veut le tuer avant que la loi ou un autre s'en charge. Il se débrouille alors pour être emprisonné dans cette jungle... Critique : Junya Momose arrive dans la plus haute prison de sécurité et aussi la plus mystérieuse, ici sont détenus les condamnés à mort. Mais ce n’est pas un prisonnier ordinaire, il recherche un détenu pour pouvoir se venger. Seulement il risque de découvrir bien plus de choses qu’il ne l’aurait voulu et son plan risque d’en être chamboulé. Dès le début du livre on plonge dans une atmosphère très particulière, le côté glauque de la prison où le plus fort fait la loi mais aussi le côté énigmatique qui va pousser peu à peu le héros à revoir ses positions. Le graphisme est à la hauteur et l’ambiance est prenante. Quels que soient les aspects de l’histoire, on a qu’une hâte : en savoir plus, découvrir ce qui se cache. Un magnifique 1er tome captivant digne des meilleurs thrillers. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/under-prison-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. Nickad

    Under prison tome 1

    Junya Momose arrive dans la plus haute prison de sécurité et aussi la plus mystérieuse, ici sont détenus les condamnés à mort. Mais ce n’est pas un prisonnier ordinaire, il recherche un détenu pour pouvoir se venger. Seulement il risque de découvrir bien plus de choses qu’il ne l’aurait voulu et son plan risque d’en être chamboulé. Dès le début du livre on plonge dans une atmosphère très particulière, le côté glauque de la prison où le plus fort fait la loi mais aussi le côté énigmatique qui va pousser peu à peu le héros à revoir ses positions. Le graphisme est à la hauteur et l’ambiance est prenante. Quels que soient les aspects de l’histoire, on a qu’une hâte : en savoir plus, découvrir ce qui se cache. Un magnifique 1er tome captivant digne des meilleurs thrillers.
  18. Nickad

    Boy meets Maria

    Titre de l'album : Boy meets Maria Scenariste de l'album : PEYO Dessinateur de l'album : PEYO Coloriste : Editeur de l'album : Taifu Note : Résumé de l'album : Taiga est un jeune lycéen plein d’enthousiasme, qui se rêve en héros sauvant des demoiselles en détresse. Un jour, en assistant à une représentation du club théâtre de son lycée, il va tomber des nues devant la beauté et la grâce de Maria, une des membres du club. Mais que se passerait-il si la belle n’en était pas une ? Accompagnez Taiga et Arima sur le chemin qui mène à l’affirmation de soi ! Critique : Excellente surprise que ce one-shot !! Taiga, un jeune homme extrêmement positif, voir naïf qui a décidé de tout prendre de façon superficielle a le coup de foudre pour Maria à la fête de l’école. Il lui fait sa déclaration dans la foulée et se fait refouler car Maria n’est pas vraiment une fille, c’est un garçon ou plutôt un iel, quelqu’un qui se cherche et ne sait pas où est sa place. Au 1er abord, on pourrait penser que Maria est non-binaire ou souffre de dysphorie de genre (c’est comme cela qu’il est perçu dans le livre), mais ce n’est pas vraiment cela, Arima (ou Maria) est un garçon qui a été élevé comme une fille à cause des envies de sa mère, il n’a jamais pu agir comme un garçon. Arrivé au lycée, il aimerait avoir le choix et qu’on lui laisse la possibilité d’être un garçon ! Seulement voilà, après une quinzaine d’années passées à être une fille, il ne sait ni comment faire ni si être un garçon lui conviendrait. A côté de lui, il y a Taiga, un garçon qui a choisi de ne pas se poser de questions (suite à un événement du passé traumatisant), il a un regard innocent sur ce qui se passe et du coup, il est ouvert à tout. On pourrait dire qu’il a le regard d’un enfant qui va grandir et poser des questions sur le monde comme « pourquoi un garçon ne peut pas aimer un autre garçon ? ». Au fur et à mesure, ils vont se découvrir et affronter le monde. Boy meets Maria est un livre à lire et à savourer, bien qu’abordant de nombreux sujets sérieux, l’autrice a su y amener une saveur particulière, parfois dans l’émotion, parfois dans l’humour. Tout y est très juste : la narration, le graphisme et les sentiments. Pour information, PEYO de son vrai nom Kôsei Eguchi est décédée en aout 2020 à l’âge de 23 ans, boy meets Maria est sa seule œuvre achevée. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/boy-meets-maria?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. Nickad

    Boy meets Maria

    Excellente surprise que ce one-shot !! Taiga, un jeune homme extrêmement positif, voir naïf qui a décidé de tout prendre de façon superficielle a le coup de foudre pour Maria à la fête de l’école. Il lui fait sa déclaration dans la foulée et se fait refouler car Maria n’est pas vraiment une fille, c’est un garçon ou plutôt un iel, quelqu’un qui se cherche et ne sait pas où est sa place. Au 1er abord, on pourrait penser que Maria est non-binaire ou souffre de dysphorie de genre (c’est comme cela qu’il est perçu dans le livre), mais ce n’est pas vraiment cela, Arima (ou Maria) est un garçon qui a été élevé comme une fille à cause des envies de sa mère, il n’a jamais pu agir comme un garçon. Arrivé au lycée, il aimerait avoir le choix et qu’on lui laisse la possibilité d’être un garçon ! Seulement voilà, après une quinzaine d’années passées à être une fille, il ne sait ni comment faire ni si être un garçon lui conviendrait. A côté de lui, il y a Taiga, un garçon qui a choisi de ne pas se poser de questions (suite à un événement du passé traumatisant), il a un regard innocent sur ce qui se passe et du coup, il est ouvert à tout. On pourrait dire qu’il a le regard d’un enfant qui va grandir et poser des questions sur le monde comme « pourquoi un garçon ne peut pas aimer un autre garçon ? ». Au fur et à mesure, ils vont se découvrir et affronter le monde. Boy meets Maria est un livre à lire et à savourer, bien qu’abordant de nombreux sujets sérieux, l’autrice a su y amener une saveur particulière, parfois dans l’émotion, parfois dans l’humour. Tout y est très juste : la narration, le graphisme et les sentiments. Pour information, PEYO de son vrai nom Kôsei Eguchi est décédée en aout 2020 à l’âge de 23 ans, boy meets Maria est sa seule œuvre achevée.
  20. Nickad

    Adabana tome 1

    Titre de l'album : Adabana tome 1 Scenariste de l'album : NON Dessinateur de l'album : NON Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : La tranquillité d’une petite ville japonaise, recouverte de neige, est brutalement perturbée par un meurtre odieux. Le corps démembré d’une lycéenne du nom de Mako Igarashi, est retrouvé près d’un lac. Bientôt, Mizuki Aikawa, élève au même lycée que la victime, revendique les faits auprès des forces de police locales. Cependant, alors qu’elle relate les événements, le doute s’invite progressivement dans la tête de ses avocats. Quels lourds secrets Mako et Mizuki partageaient-elle ? Critique : Mizuki est une jeune lycéenne qui subit les récriminations incessantes de sa mère, un matin au lieu d’aller au lycée, elle se rend au commissariat pour avouer le meurtre de sa meilleure amie. Qu’est-ce qui a pu la conduire à une telle extrémité ? Si la police ne semble pas vouloir en chercher plus, ce n’est pas le cas de son avocat commis d’office qui pense que Mizuki cache quelque chose ou protège quelqu’un. L’enquête commence… Adabana est un thriller en 3 tomes, une série éditée en format A5 qui permet de mieux apprécier les différentes expressions des personnages, le graphisme et l’emploi des trames y sont particulièrement bien maitrisés et on ressent bien les différentes émotions qui se dégage des protagonistes. Si l’histoire semble simple au début, plus on avance dans l’intrigue, plus elle devient complexe nous laissant entrevoir plusieurs motifs possibles. Ce sentiment est d’autant plus renforcé que les policiers, journalistes, avocats… ne sont pas du même avis. Ce qui est sûr, c’est que l’histoire est prenante et que l’on veut connaître la suite ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/adabana-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. Nickad

    Adabana tome 1

    Mizuki est une jeune lycéenne qui subit les récriminations incessantes de sa mère, un matin au lieu d’aller au lycée, elle se rend au commissariat pour avouer le meurtre de sa meilleure amie. Qu’est-ce qui a pu la conduire à une telle extrémité ? Si la police ne semble pas vouloir en chercher plus, ce n’est pas le cas de son avocat commis d’office qui pense que Mizuki cache quelque chose ou protège quelqu’un. L’enquête commence… Adabana est un thriller en 3 tomes, une série éditée en format A5 qui permet de mieux apprécier les différentes expressions des personnages, le graphisme et l’emploi des trames y sont particulièrement bien maitrisés et on ressent bien les différentes émotions qui se dégage des protagonistes. Si l’histoire semble simple au début, plus on avance dans l’intrigue, plus elle devient complexe nous laissant entrevoir plusieurs motifs possibles. Ce sentiment est d’autant plus renforcé que les policiers, journalistes, avocats… ne sont pas du même avis. Ce qui est sûr, c’est que l’histoire est prenante et que l’on veut connaître la suite !
  22. Titre de l'album : Les enfants d'Hippocrate tomes 1 et 2 Scenariste de l'album : HIGASHIMOTO Toshiya Dessinateur de l'album : HIGASHIMOTO Toshiya Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : Maco Suzukake est un jeune pédiatre, qui adore son métier, bien qu'il ne soit pas des plus évidents. Dans un pays où la baisse de la natalité se fait de plus en plus ressentir, il doit faire face à des parents surprotecteurs qui exigent un service immédiat. Cependant, il en faut plus pour décourager Maco, qui décide de se dévouer corps et âme pour aider ses petits patients.Après Le Bateau de Thésée, Toshiya Higashimoto revient avec une nouvelle oeuvre pleine d'humanité, portée par un héros sincère au grand coeur. Critique : Des mangas sur le monde hospitalier, il y en a déjà eu plusieurs, certains étaient centrés sur les services d’urgence, sur les équipes d’intervention sur les lieux des accidents, sur des chirurgiens, sur des infirmières… Celui-ci se penche sur le domaine de la pédiatrie : on y suit le quotidien d’un jeune pédiatre, un peu étrange, ses relations avec ses patients, sa conception de son métier mais aussi une partie sur sa vie privée et les relations compliquées avec sa famille. Ce qui frappe d’abord, et c’est un aspect que j’avais déjà noté dans d’autres livres : c’est l’aspect financier des hôpitaux. Au Japon, il est possible de fermer un service parce que celui-ci n’est pas rentable même si ce service existe pour sauver des vies ! Le service administratif est également très regardant sur tout ce qui peut lui apporter des problèmes : par exemple, on ne va s’occuper d’un patient si le risque que la famille porte plainte est trop important. Il y a un passage très marquant dans le livre où des médecins parlent entre eux « Quand on est dans un avion et qu’on demande s’il y a un médecin à bord, est-ce qu’on lève la main ? Ben non ! Parce que le faire, ça revient à prendre ses responsabilités. » L’autre thème important est bien sûr autour de l’enfant : sa façon d’exprimer sa douleur ou plutôt de ne pas l’exprimer, ce qui apporte de la difficulté pour établir des diagnostics. Le rôle du pédiatre est également mis à l’honneur, son comportement vis-à-vis de l’enfant pour le rassurer et aussi par rapport aux parents pour arriver à s’imposer et à faire comprendre la maladie. Et en plus de tout ça, il y a aussi les relations parents-enfants qui sont abordées et comment celles-ci peuvent mettre l’enfant en danger. Avec son drôle de médecin, les enfants d’Hippocrate aborde pleins d’aspects autour de l’enfance et de la santé mais parle aussi de relations familiales. C’est un récit qui se lit bien et qui interpelle quand il le faut, il y a une leçon à tirer dans chaque histoire. Un très bon début. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-enfants-d-hippocrate-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. Des mangas sur le monde hospitalier, il y en a déjà eu plusieurs, certains étaient centrés sur les services d’urgence, sur les équipes d’intervention sur les lieux des accidents, sur des chirurgiens, sur des infirmières… Celui-ci se penche sur le domaine de la pédiatrie : on y suit le quotidien d’un jeune pédiatre, un peu étrange, ses relations avec ses patients, sa conception de son métier mais aussi une partie sur sa vie privée et les relations compliquées avec sa famille. Ce qui frappe d’abord, et c’est un aspect que j’avais déjà noté dans d’autres livres : c’est l’aspect financier des hôpitaux. Au Japon, il est possible de fermer un service parce que celui-ci n’est pas rentable même si ce service existe pour sauver des vies ! Le service administratif est également très regardant sur tout ce qui peut lui apporter des problèmes : par exemple, on ne va s’occuper d’un patient si le risque que la famille porte plainte est trop important. Il y a un passage très marquant dans le livre où des médecins parlent entre eux « Quand on est dans un avion et qu’on demande s’il y a un médecin à bord, est-ce qu’on lève la main ? Ben non ! Parce que le faire, ça revient à prendre ses responsabilités. » L’autre thème important est bien sûr autour de l’enfant : sa façon d’exprimer sa douleur ou plutôt de ne pas l’exprimer, ce qui apporte de la difficulté pour établir des diagnostics. Le rôle du pédiatre est également mis à l’honneur, son comportement vis-à-vis de l’enfant pour le rassurer et aussi par rapport aux parents pour arriver à s’imposer et à faire comprendre la maladie. Et en plus de tout ça, il y a aussi les relations parents-enfants qui sont abordées et comment celles-ci peuvent mettre l’enfant en danger. Avec son drôle de médecin, les enfants d’Hippocrate aborde pleins d’aspects autour de l’enfance et de la santé mais parle aussi de relations familiales. C’est un récit qui se lit bien et qui interpelle quand il le faut, il y a une leçon à tirer dans chaque histoire. Un très bon début.
  24. Titre de l'album : Zone fantôme tome 1 Scenariste de l'album : ITO Junji Dessinateur de l'album : ITO Junji Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : Recueil de quatre nouvelles : - Le coteau aux pleureuses. - Maudite madone. - La rivière spectrale de Aokigahara. - Léthargie. À la suite d'un voyage improvisé, une jeune femme est prise de sanglots incontrôlables, un internat catholique au fonctionnement obscur semble vénérer la Sainte Vierge comme une divinité à part entière, la forêt tristement célèbre pour ses suicides qui s'étend au pied du mont Fuji devient le théâtre d'un déferlement d'âmes errantes et un étudiant en droit se demande s'il ne serait pas le tueur en série qui défraie la chronique depuis plusieurs jours... Critique : Zone fantôme est le dernier manga en date de Junji Itô, d’abord publié sous forme de nouvelles sur l’application Line Manga, il est ensuite sorti en version reliée en mars 2021 au Japon. Le 1er aspect à noter c’est le format de ces 4 histoires, en changeant de mode de publication (en partie dû au coronavirus), Junji Itô a pu prendre plus de temps sur les planches de zone fantôme, il n’a pas eu de contraintes quant aux nombres de pages à respecter, ce qui selon ses dires lui a permis de finir ses nouvelles sans avoir besoin de les remanier pour respecter un format imposé. Il a pu ainsi aller au bout de ses envies. L’autres aspect et qui ne se ressent absolument pas, c’est qu’il a travaillé uniquement en numérique. Zone fantôme regroupe 4 nouvelles autour de phénomènes plus ou moins psychiques/paranormaux. Les deux premières le coteau aux pleureuses et maudite madone sont particulièrement réussies : contenant des aspects fantastiques et inexplicables, ces histoires arrivent à nous captiver, on est à la fois dérouté et fasciné. La 3eme est plus mystique avec une recherche transcendantale de l’être. En ce qui me concerne, la dernière est un peu à part car elle relève moins du fantomatique que de la manipulation psychologique, l’histoire est très bien mais un peu moins dans le thème. En conclusion, ce recueil est un ouvrage très bien fait et intéressant qui nous prouve encore une fois que le maître peut toujours nous surprendre et nous amener sur des chemins inédits et énigmatiques. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/zone-fantome-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. Nickad

    Zone fantôme tome 1

    Zone fantôme est le dernier manga en date de Junji Itô, d’abord publié sous forme de nouvelles sur l’application Line Manga, il est ensuite sorti en version reliée en mars 2021 au Japon. Le 1er aspect à noter c’est le format de ces 4 histoires, en changeant de mode de publication (en partie dû au coronavirus), Junji Itô a pu prendre plus de temps sur les planches de zone fantôme, il n’a pas eu de contraintes quant aux nombres de pages à respecter, ce qui selon ses dires lui a permis de finir ses nouvelles sans avoir besoin de les remanier pour respecter un format imposé. Il a pu ainsi aller au bout de ses envies. L’autres aspect et qui ne se ressent absolument pas, c’est qu’il a travaillé uniquement en numérique. Zone fantôme regroupe 4 nouvelles autour de phénomènes plus ou moins psychiques/paranormaux. Les deux premières le coteau aux pleureuses et maudite madone sont particulièrement réussies : contenant des aspects fantastiques et inexplicables, ces histoires arrivent à nous captiver, on est à la fois dérouté et fasciné. La 3eme est plus mystique avec une recherche transcendantale de l’être. En ce qui me concerne, la dernière est un peu à part car elle relève moins du fantomatique que de la manipulation psychologique, l’histoire est très bien mais un peu moins dans le thème. En conclusion, ce recueil est un ouvrage très bien fait et intéressant qui nous prouve encore une fois que le maître peut toujours nous surprendre et nous amener sur des chemins inédits et énigmatiques.
×
×
  • Créer...