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  1. Nickad

    Watch & Die tome 1

    Yûwa Fushigami et Rei Urakata sont auteurs de manga, elle s’est inspiré d’une rumeur qui court chez les étudiants pour faire le scénario de son histoire : celle d’une vidéo tueuse ; quiconque regarde cette vidéo s’attirerait le mauvais œil. Devant l’insistance de Yûwa, Rei finit par lui transférer le lien. Tranquillement assis à un café, il finit par regarder la vidéo et c’est là que tout dérape, il se met à entendre des paroles, et se voit dans la vidéo, il ne peut arrêter son visionnage et son téléphone ne répond plus… Difficile de ne pas penser à Ring lors de cette lecture, le film avait fait l’objet d’une adaptation manga en 1999. On peut considérer que Watch & die est un remake ou un hommage, quoi qu’il en soit, celui-ci a été écrit pour être d’abord un livre et cela se ressent au niveau du scénario qui est plus développé. Là où Ring se concentrait sur l’origine de la malédiction, ici il y a deux aspects : l’origine de la vidéo avec deux groupes différents qui vont enquêter mais aussi toute la chaine de transmission et quelles conséquences cela va avoir. Autre différence notable, dans Ring, celui qui voyait la vidéo avait 7 jours à vivre et cela s’arrêtait si on la transmettait une fois. Dans Watch & die, le système est plus complexe et pour le moment on ne sait pas comment cela s’arrête mais la propagation fonctionne comme une chaine de l’amitié, avec une potentielle expansion pyramidale. Au niveau du dessin on a un mélange entre des personnages au graphisme assez lisse et rond avec une partie horreur plus sombre et moins nette qui permet de bien mettre en valeur le fantastique et la peur. Et peu importe que ce soit un remake ou non, car le récit est bien mené et nous entraine dans une spirale mortelle.
  2. Nickad

    Watch & Die tome 1

    Titre de l'album : Watch & Die tome 1 Scenariste de l'album : Phantom Video Dessinateur de l'album : Phantom Video Coloriste : Editeur de l'album : Omaké Note : Résumé de l'album : Lorsque Yuwa et Rei entendent parler pour la première fois sur les réseaux sociaux de la rumeur attestant qu'une vidéo en passe de devenir virale tue tous ceux qui la regardent, ils n'y croient absolument pas. Jusqu'au jour où Yuwa reçoit le lien. Plus amusé qu'autre chose, il décide de cliquer et de regarder la vidéo. Et à partir de là, il va vivre un véritable enfer. Son état de santé se dégrade à vitesse grand V, comme si son corps pourrissait de l'intérieur. Pour se sortir de ce calvaire, il n'a qu'une solution : transférer ce lien à un autre contact et prier pour que ce dernier regarde au plus vite cette étrange vidéo... Critique : Yûwa Fushigami et Rei Urakata sont auteurs de manga, elle s’est inspiré d’une rumeur qui court chez les étudiants pour faire le scénario de son histoire : celle d’une vidéo tueuse ; quiconque regarde cette vidéo s’attirerait le mauvais œil. Devant l’insistance de Yûwa, Rei finit par lui transférer le lien. Tranquillement assis à un café, il finit par regarder la vidéo et c’est là que tout dérape, il se met à entendre des paroles, et se voit dans la vidéo, il ne peut arrêter son visionnage et son téléphone ne répond plus… Difficile de ne pas penser à Ring lors de cette lecture, le film avait fait l’objet d’une adaptation manga en 1999. On peut considérer que Watch & die est un remake ou un hommage, quoi qu’il en soit, celui-ci a été écrit pour être d’abord un livre et cela se ressent au niveau du scénario qui est plus développé. Là où Ring se concentrait sur l’origine de la malédiction, ici il y a deux aspects : l’origine de la vidéo avec deux groupes différents qui vont enquêter mais aussi toute la chaine de transmission et quelles conséquences cela va avoir. Autre différence notable, dans Ring, celui qui voyait la vidéo avait 7 jours à vivre et cela s’arrêtait si on la transmettait une fois. Dans Watch & die, le système est plus complexe et pour le moment on ne sait pas comment cela s’arrête mais la propagation fonctionne comme une chaine de l’amitié, avec une potentielle expansion pyramidale. Au niveau du dessin on a un mélange entre des personnages au graphisme assez lisse et rond avec une partie horreur plus sombre et moins nette qui permet de bien mettre en valeur le fantastique et la peur. Et peu importe que ce soit un remake ou non, car le récit est bien mené et nous entraine dans une spirale mortelle. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/watch-and-die-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Nickad

    Magus of the library tome 6

    Shio avec deux autres apprenties sont un peu en retard sur les autres, ils n’arrivent pas à finir leur contrôle quotidien. Cela crée des tensions entre les élèves, et certains se montrent particulièrement méchants. C’est le cas de Medina notamment, une jeune fille noble qui ne comprend pas que les autres ne se prosternent pas devant elle. Un 6eme tome qui demande un peu de concentration car il y a beaucoup d’informations. Les apprentis venant de culture, d’ethnie et de religion différentes, doivent apprendre à vivre ensemble et pour que cela fonctionne il faut que chacun y mette du sien. On a donc un certain nombre d’explications sur ces différents aspects pour nous permettre de mieux comprendre les relations (et tensions) entre les élèves. On se penche surtout sur le passé de Medina et aussi sur sa situation actuelle. Il y a également toute une partie tournée vers l’apprentissage et la gestion du temps à y consacrer avec une réflexion intéressante sur les objectifs à se fixer. Un tome un peu plus ennuyant que les autres car il y a moins d’action mais cependant nécessaire. En dehors du fait d’apprendre à mieux connaître l’univers du manga, cela nous permet aussi de nous familiariser avec les apprentis, camarades de promo de Shio, qui prendront surement de l’importance dans la suite de l’histoire. Même si j’aime beaucoup ce manga, je dois dire que l’histoire traine un peu ; vu les indices que l’on a eu sur le futur déroulement et le fait qu’il sort un tome par an, je m’inquiète un peu pour la suite. J’espère vraiment que l’auteur réussira à mener son récit à terme.
  4. Titre de l'album : Magus of the library tome 6 Scenariste de l'album : IZUMI Mitsu Dessinateur de l'album : IZUMI Mitsu Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : En dépit de toute sa motivation, Shio découvre qu'il n'est pas toujours facile de s'entendre avec autant de camarades aux origines sociales et ethniques si différentes, malgré leur but commun... Pour couronner le tout, l'apprenti kahuna est incapable de finir un devoir dans les temps ! Il s'attire en plus les foudres de Medina Haharuk, avec qui il est censé faire équipe : en effet, elle le hait profondément à cause de leurs origines respectives. Lors d'une nuit étoilée durant laquelle il tente de réfléchir à une solution, Shio se retrouve nez à nez avec une mystérieuse jeune fille tout droit tombée du ciel... Critique : Shio avec deux autres apprenties sont un peu en retard sur les autres, ils n’arrivent pas à finir leur contrôle quotidien. Cela crée des tensions entre les élèves, et certains se montrent particulièrement méchants. C’est le cas de Medina notamment, une jeune fille noble qui ne comprend pas que les autres ne se prosternent pas devant elle. Un 6eme tome qui demande un peu de concentration car il y a beaucoup d’informations. Les apprentis venant de culture, d’ethnie et de religion différentes, doivent apprendre à vivre ensemble et pour que cela fonctionne il faut que chacun y mette du sien. On a donc un certain nombre d’explications sur ces différents aspects pour nous permettre de mieux comprendre les relations (et tensions) entre les élèves. On se penche surtout sur le passé de Medina et aussi sur sa situation actuelle. Il y a également toute une partie tournée vers l’apprentissage et la gestion du temps à y consacrer avec une réflexion intéressante sur les objectifs à se fixer. Un tome un peu plus ennuyant que les autres car il y a moins d’action mais cependant nécessaire. En dehors du fait d’apprendre à mieux connaître l’univers du manga, cela nous permet aussi de nous familiariser avec les apprentis, camarades de promo de Shio, qui prendront surement de l’importance dans la suite de l’histoire. Même si j’aime beaucoup ce manga, je dois dire que l’histoire traine un peu ; vu les indices que l’on a eu sur le futur déroulement et le fait qu’il sort un tome par an, je m’inquiète un peu pour la suite. J’espère vraiment que l’auteur réussira à mener son récit à terme. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/magus-of-the-library-tome-6?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. Nickad

    Gigantis tome 1

    Tsushima est une petite ile au large du Japon où la vie est tranquille. Gen est un garçon dynamique qui vit avec sa mère et sa sœur dont la santé est fragile, il pêche le matin puis rejoint ses amis au lycée. Un jour, débarque des créatures très agressives et c’est le début du chaos. Les sirènes retentissent, les gens s’enfuient, les monstres se rapprochent et dévorent tout sur leur passage ! Mais contrairement aux habitant qui courent vers la montagne, Gen part chercher sa famille… Si j’analyse le scénario simplement : des monstres apparaissent, déciment les créatures vivantes en les assimilant (ils fusionnent et s’agrandissent à chaque fois), et un héros qui peut se servir de ces mêmes pouvoirs va aller les combattre. Bien sûr si le déroulement rentre dans des standards que l’on a déjà vu dans d’autres séries, la réalisation est plutôt bien faite. Kenichi TACHINBANA (terra formars) réussi particulièrement bien le dessin et la réalisation de ces monstres nous donne vraiment envie de fuir très très loin. J’ai un peu plus de doute sur le scénario, à ce stade, aucun élément ne montre que le manga pourra se démarquer. (3 tomes en cours) Gigantis est donc un manga d’action à mi-chemin entre horreur et survival qui fonctionne bien, qui pour le moment reste assez classique dans le schéma narrateur mais qui est extrêmement bien fait graphiquement avec des créatures absolument effrayantes et répugnantes.
  6. Nickad

    Gigantis tome 1

    Titre de l'album : Gigantis tome 1 Scenariste de l'album : KOMORI Yôichi Dessinateur de l'album : TACHIBANA Kenichi Coloriste : Editeur de l'album : Crunchyroll Note : Résumé de l'album : Gen, un lycéen, vit paisiblement avec sa famille sur l'île de Tsushima, au large du Japon. Lorsque de terrifiantes créatures mutantes apparaissent et déciment la population, il se cache avec sa sœur. Abandonnés par le gouvernement et terrés dans des bunkers, rescapés sont isolés du reste du monde. Ceux qui ont échappé aux griffes des mutants portent désormais en eux l'alien qui a mis l'humanité à genoux... mais aussi la solution pour reconquérir leur propre planète ! Critique : Tsushima est une petite ile au large du Japon où la vie est tranquille. Gen est un garçon dynamique qui vit avec sa mère et sa sœur dont la santé est fragile, il pêche le matin puis rejoint ses amis au lycée. Un jour, débarque des créatures très agressives et c’est le début du chaos. Les sirènes retentissent, les gens s’enfuient, les monstres se rapprochent et dévorent tout sur leur passage ! Mais contrairement aux habitant qui courent vers la montagne, Gen part chercher sa famille… Si j’analyse le scénario simplement : des monstres apparaissent, déciment les créatures vivantes en les assimilant (ils fusionnent et s’agrandissent à chaque fois), et un héros qui peut se servir de ces mêmes pouvoirs va aller les combattre. Bien sûr si le déroulement rentre dans des standards que l’on a déjà vu dans d’autres séries, la réalisation est plutôt bien faite. Kenichi TACHINBANA (terra formars) réussi particulièrement bien le dessin et la réalisation de ces monstres nous donne vraiment envie de fuir très très loin. J’ai un peu plus de doute sur le scénario, à ce stade, aucun élément ne montre que le manga pourra se démarquer. (3 tomes en cours) Gigantis est donc un manga d’action à mi-chemin entre horreur et survival qui fonctionne bien, qui pour le moment reste assez classique dans le schéma narrateur mais qui est extrêmement bien fait graphiquement avec des créatures absolument effrayantes et répugnantes. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/gigantis-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Nickad

    La couleur de l'eau

    Setsu est un tueur à gage qui se promène avec un enfant Lithia, ce n’est pas le sien, il l’a recueilli et prend soin de lui. Lithia a perdu ses parents et a aussi perdu sa mémoire. Tous deux vivent au jour le jour, ils ont une étrange relation comme si chacun était la bouée de l’autre, leur seul rayon de lumière. Car ils vivent à Paradis, une ville sans droit et sans loi, une ville où atterrissent tous les déchets de la société et tous ceux qui n’ont pas de place où aller. Setsu, comme Lithia, a un passé douloureux qui lui a laissé autant de cicatrices physiques que morales, il est obsédé par le rouge qui est pour lui comme la couleur de l’eau. J’ai rarement vu un livre aussi sombre, pas dans les événements mais dans la psychologie. Chaque personnage a un passé difficile, et le petit espoir qui les maintient en vie peut voler en éclat à chaque instant. Setsu est particulièrement torturé, on sent l’abîme qui se niche au fond de son cœur, on le sent se noyer par moment et l’on craint d’être entrainé avec lui. Car la narration est rondement menée et le graphisme réussi, l’immersion dans l’ambiance de la ville est immédiate, on sent le désespoir se répandre et toute la noirceur de la ville. La couleur de l’eau est émouvant et dérangeant mais ne laisse pas indifférent, c’est une expérience qui remue et qui laisse un étrange sentiment.
  8. Titre de l'album : La couleur de l'eau Scenariste de l'album : MAKI Ebishi Dessinateur de l'album : MAKI Ebishi Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Paradis est une ville où la vie et la mort se côtoient. Lithia, un garçon amnésique, y vit avec Setsu, un tueur à gages couvert de blessures. Il habille toujours Lithia en rouge, est très gentil et rit comme s'il était sur le point de fondre en larmes à tout moment, ce qui met Lithia très mal à l'aise. Mais un jour, leur routine habituelle change du tout au tout lorsque Romanée, un homme qui semble connaître le passé de Setsu, fait son apparition... Critique : Setsu est un tueur à gage qui se promène avec un enfant Lithia, ce n’est pas le sien, il l’a recueilli et prend soin de lui. Lithia a perdu ses parents et a aussi perdu sa mémoire. Tous deux vivent au jour le jour, ils ont une étrange relation comme si chacun était la bouée de l’autre, leur seul rayon de lumière. Car ils vivent à Paradis, une ville sans droit et sans loi, une ville où atterrissent tous les déchets de la société et tous ceux qui n’ont pas de place où aller. Setsu, comme Lithia, a un passé douloureux qui lui a laissé autant de cicatrices physiques que morales, il est obsédé par le rouge qui est pour lui comme la couleur de l’eau. J’ai rarement vu un livre aussi sombre, pas dans les événements mais dans la psychologie. Chaque personnage a un passé difficile, et le petit espoir qui les maintient en vie peut voler en éclat à chaque instant. Setsu est particulièrement torturé, on sent l’abîme qui se niche au fond de son cœur, on le sent se noyer par moment et l’on craint d’être entrainé avec lui. Car la narration est rondement menée et le graphisme réussi, l’immersion dans l’ambiance de la ville est immédiate, on sent le désespoir se répandre et toute la noirceur de la ville. La couleur de l’eau est émouvant et dérangeant mais ne laisse pas indifférent, c’est une expérience qui remue et qui laisse un étrange sentiment. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-couleur-de-l-eau?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. Nickad

    Valhallian the black iron tome 1

    Tetsujiro SOMA est un samouraï qui a protégé son pays contre l’invasion mongole au XIIIe siècle. Hélas, il n’a pas été récompensé pour cela, son fief subit la famine, sa femme est décédée et son fils est malade. Il part chaque jour chasser dans l’espoir de trouver de quoi nourrir les siens. Un jour, il se réveille, nu, dans une forêt luxuriante où des soldats de l’armée romaine essaye de le tuer. Il se trouve à présent dans le Valhalla où il a été invoqué par Hrist, une valkyrie pour devenir son guerrier. Non sans rappeler certains éléments de Valkyrie apocalypse, notamment sur l’affrontement entre guerriers d’origine et d’époque différentes, on sent que derrière ce début d’histoire il y a d’autres enjeux plus profonds. Le graphisme est superbe, on plonge facilement dans l’ambiance, les scènes d’action sont dynamiques et la tension est palpable. Dès que SOMA arrive au Valhalla on a envie d’en savoir plus. Valhallian the black Iron nous propose une lecture intense qui sait capter notre attention. Série finie en 6 tomes. EXTRAIT
  10. Titre de l'album : Valhallian the black iron tome 1 Scenariste de l'album : MATSUBARA Toshimitsu Dessinateur de l'album : MATSUBARA Toshimitsu Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Au XIIIe siècle, le Japon échappe de justesse à l'invasion mongole, en partie grâce aux talents de samouraï de Tetsujiro Soma. Sa puissance est telle qu'il est craint même de ses alliés... Ses exploits guerriers ne lui attirent ni reconnaissance, ni richesse. Une fois la menace repoussée, le guerrier maudit est renvoyé dans son domaine. Seul son fils, le fragile Takemaru, lui apporte bonheur et amour. Un jour, alors que Tetsujiro brave de nouveau la faim qui le démange pour lui offrir son repas, il ferme les yeux... et se retrouve l'instant suivant seul et désarmé dans une forêt inconnue... Pire, il est soudain attaqué par des légionnaires romains assoiffés de sang ! Le samouraï est sauvé de justesse par Hrist, une jeune fille ailée qui se présente comme sa valkyrie attitrée. C'est elle qui l'a mené ici, au Valhalla. S'il veut retrouver son fils, il doit l'aider dans sa révolte contre les forces qui dominent cette terre envahie de guerriers de tous temps et de tous lieux ! Les armées les plus puissantes de l'Histoire s'affrontent en plein coeur du Valhalla ! Toshimitsu Matsubara nous entraîne dans un récit épique au dessin et à la mise en scène vertigineuses ! Critique : Tetsujiro SOMA est un samouraï qui a protégé son pays contre l’invasion mongole au XIIIe siècle. Hélas, il n’a pas été récompensé pour cela, son fief subit la famine, sa femme est décédée et son fils est malade. Il part chaque jour chasser dans l’espoir de trouver de quoi nourrir les siens. Un jour, il se réveille, nu, dans une forêt luxuriante où des soldats de l’armée romaine essaye de le tuer. Il se trouve à présent dans le Valhalla où il a été invoqué par Hrist, une valkyrie pour devenir son guerrier. Non sans rappeler certains éléments de Valkyrie apocalypse, notamment sur l’affrontement entre guerriers d’origine et d’époque différentes, on sent que derrière ce début d’histoire il y a d’autres enjeux plus profonds. Le graphisme est superbe, on plonge facilement dans l’ambiance, les scènes d’action sont dynamiques et la tension est palpable. Dès que SOMA arrive au Valhalla on a envie d’en savoir plus. Valhallian the black Iron nous propose une lecture intense qui sait capter notre attention. Série finie en 6 tomes. EXTRAIT Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/valhallian-the-black-iron-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. A l’origine de cette histoire il y a un jeu vidéo d’horreur, une saga plutôt car il existe 8 jeux Corpse Party. L’adaptation manga de l’opus Blood Covered compte 10 tomes. Un groupe de lycéens et leur professeur vont se retrouver enfermés dans une école abandonnée où de sanglants événements ont eu lieu autrefois. Hélas, ils ne se trouvent pas dans la même dimension. Un esprit leur fait alors comprendre qu’il n’y a pas de sortie (à sa connaissance) mais qu’ils peuvent déjà essayer de se retrouver dans la même dimension pour mourir ensemble. Dans ce 1er tome, on suit deux jeunes filles Naomi et Seiko, elles vont commencer à chercher des indices pour savoir où elles sont et dans quelle situation elles sont. Dès le début, elles comprennent qu’elles sont en lieu clos et découvrent plusieurs cadavres plus ou moins vieux qui leur font comprendre qu’il y a eu d’autres élèves piégés avant elles. Le manga commence gentiment, on découvre le groupe, l’histoire du fantôme de l’école et très vite on bascule dans une autre dimension. Si le début est gentillet et permet de mettre le contexte en place, on peut déjà avoir certaines idées sur les conditions qu’il va falloir remplir pour arriver à s’en sortir. Le rythme est bon et le personnage de Seiko apporte des touches d’humour et d’érotisme qui ne sont pas déplaisantes. Le graphisme de Toshimi SHINOMIYA mélange un aspect très rond, limite shojo avec des éléments horrifiques, qui pour le moment ne sont pas trop terrifiants. Un 1er tome qui se lit bien et qui pose les bases, il faudra attendre la suite pour savoir si l’horreur sera au rendez-vous.
  12. Titre de l'album : Corpse party : blood covered tome 1 Scenariste de l'album : KEDOUIN Makoto Dessinateur de l'album : SHINOMIYA Toshimi Coloriste : Editeur de l'album : Mana Books Note : Résumé de l'album : Un groupe d’amis bavarde tranquillement comme dans n’importe quelle école. C’est alors qu’une sombre malédiction transforme leur établissement en un espace clos et hanté dont ils sont désormais prisonniers ! Parviendront-ils à sortir vivants de ce cauchemar ? Critique : A l’origine de cette histoire il y a un jeu vidéo d’horreur, une saga plutôt car il existe 8 jeux Corpse Party. L’adaptation manga de l’opus Blood Covered compte 10 tomes. Un groupe de lycéens et leur professeur vont se retrouver enfermés dans une école abandonnée où de sanglants événements ont eu lieu autrefois. Hélas, ils ne se trouvent pas dans la même dimension. Un esprit leur fait alors comprendre qu’il n’y a pas de sortie (à sa connaissance) mais qu’ils peuvent déjà essayer de se retrouver dans la même dimension pour mourir ensemble. Dans ce 1er tome, on suit deux jeunes filles Naomi et Seiko, elles vont commencer à chercher des indices pour savoir où elles sont et dans quelle situation elles sont. Dès le début, elles comprennent qu’elles sont en lieu clos et découvrent plusieurs cadavres plus ou moins vieux qui leur font comprendre qu’il y a eu d’autres élèves piégés avant elles. Le manga commence gentiment, on découvre le groupe, l’histoire du fantôme de l’école et très vite on bascule dans une autre dimension. Si le début est gentillet et permet de mettre le contexte en place, on peut déjà avoir certaines idées sur les conditions qu’il va falloir remplir pour arriver à s’en sortir. Le rythme est bon et le personnage de Seiko apporte des touches d’humour et d’érotisme qui ne sont pas déplaisantes. Le graphisme de Toshimi SHINOMIYA mélange un aspect très rond, limite shojo avec des éléments horrifiques, qui pour le moment ne sont pas trop terrifiants. Un 1er tome qui se lit bien et qui pose les bases, il faudra attendre la suite pour savoir si l’horreur sera au rendez-vous. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/corpse-party-blood-covered-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. Nickad

    Leviathan Deep Water tome 1

    Pfiou, ce webtoon a reçu plein de prix, comme vous pouvez le voir dans le résumé, et c'est mérité ! Dans un monde post-apocalyptique ou les eaux ont recouvert toutes les terres, une famille essaye de survivre tant bien que mal en espérant rencontrer un jour d'autres survivants. Le jour, le père explore les villes submergées pour remonter des conserves et autres objets divers. La nuit, la famille se cache au fond du bateau sans faire de bruit pour ne pas se faire repérer par les Leviathans, des monstres marins dévoreurs d'humains. Leviathan est un webtoon avec un super scénario qui n'est pas sans rappeler le film Water World. On découvre d'abord le quotidien de la famille avant de basculer dans une ambiance plus dramatique où combattre devient la seule option. De plus le graphisme est particulièrement bien réussi, plus travaillé que de nombreux autres webtoon, que ce soit au niveau des détails comme de la colorisation. Dès le début, Leviathan Deep Water nous happe, et l'on a qu'une envie : aller voir se qui se cache dans ces eaux profondes.
  14. Nickad

    Mibu Gishi Den tome 1

    Kan’ichirô Yoshimura ce nom ne vous dira sans doute rien car ce n’est pas le plus connu des samouraïs. Pourtant cet homme a rejoint le Shinsen Gumi pour défendre le shogunat, il s’est battu pour sa famille, pour des valeurs qui lui étaient chères. L’histoire commence vers la fin de sa vie, vers ce que l’on suppose être ses derniers moments : blessé, il a fui le champ de bataille dans l’espoir de revoir une dernière fois les siens. Poursuivi, il se réfugie chez son ancien maître en espérant avoir une rédemption; mais le code d’honneur lui impose de faire seppuku. Seul il se remémore les motivations et actions qui l’on conduit à cet instant précis. Le manga est une adaptation d’un roman de Jiro ASADA réalisée par Takumi NAGAYASU, ensemble il avait déjà fait Le Cheminot mais c’est surtout son travail sur Mother Sarah qui a permis de faire connaître le magnifique graphisme de NAGAYASU. C’est d’ailleurs le premier aspect marquant du livre, un dessin très travaillé, le souci du détail, des expressions marquées. Un graphisme qui permet une immersion directe dans l’histoire. Et puis il y a la narration, le fait de commencer par la fin de la vie de Yoshimura puis de découvrir peu à peu son histoire au travers de témoignages. C’est un personnage très intéressant, contrairement aux autres célébrités du Shinsen Gumi que l’on a découvert dans d’autres mangas et qui étaient souvent mus par la volonté de combattre, Kan’ichirô Yoshimura est différent. Il a toujours cherché à s’élever socialement et il a cherché à gagner de l’argent, une obsession même. Mais quand on sait que c’était pour sa famille, cela peut se comprendre. Contrairement à ses camarades, il n’est pas prêt à se sacrifier, son honneur à lui c’est survivre avant tout mais il ne souhaite pas non plus apporter le discrédit sur ses relations. Mibu Gishi Den est un livre atypique dans l’univers des samouraïs, le destin d’un homme qui a fait du mieux qu’il a pu dans une époque qui ne lui correspondait peut-être pas. A découvrir.
  15. Titre de l'album : Mibu Gishi Den tome 1 Scenariste de l'album : ASADA Jiro Dessinateur de l'album : NAGAYASU Takumi Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : Hanté par les combats et la mort, Kan'ichirô Yoshimura se déshonore en fuyant le champ de bataille. Avant ce tragique événement, il était connu comme l'une des plus fines lames du Shinsen Gumi. Surnommé par certains « le Démon » ou « l'Égorgeur », cet homme a enduré, pour l'amour des siens, tant les injures que la nécessité de faucher d'innombrables vies. Découvrez l'histoire d'un homme complexe, aux multiples facettes et rongé par les contradictions... Critique : Kan’ichirô Yoshimura ce nom ne vous dira sans doute rien car ce n’est pas le plus connu des samouraïs. Pourtant cet homme a rejoint le Shinsen Gumi pour défendre le shogunat, il s’est battu pour sa famille, pour des valeurs qui lui étaient chères. L’histoire commence vers la fin de sa vie, vers ce que l’on suppose être ses derniers moments : blessé, il a fui le champ de bataille dans l’espoir de revoir une dernière fois les siens. Poursuivi, il se réfugie chez son ancien maître en espérant avoir une rédemption; mais le code d’honneur lui impose de faire seppuku. Seul il se remémore les motivations et actions qui l’on conduit à cet instant précis. Le manga est une adaptation d’un roman de Jiro ASADA réalisée par Takumi NAGAYASU, ensemble il avait déjà fait Le Cheminot mais c’est surtout son travail sur Mother Sarah qui a permis de faire connaître le magnifique graphisme de NAGAYASU. C’est d’ailleurs le premier aspect marquant du livre, un dessin très travaillé, le souci du détail, des expressions marquées. Un graphisme qui permet une immersion directe dans l’histoire. Et puis il y a la narration, le fait de commencer par la fin de la vie de Yoshimura puis de découvrir peu à peu son histoire au travers de témoignages. C’est un personnage très intéressant, contrairement aux autres célébrités du Shinsen Gumi que l’on a découvert dans d’autres mangas et qui étaient souvent mus par la volonté de combattre, Kan’ichirô Yoshimura est différent. Il a toujours cherché à s’élever socialement et il a cherché à gagner de l’argent, une obsession même. Mais quand on sait que c’était pour sa famille, cela peut se comprendre. Contrairement à ses camarades, il n’est pas prêt à se sacrifier, son honneur à lui c’est survivre avant tout mais il ne souhaite pas non plus apporter le discrédit sur ses relations. Mibu Gishi Den est un livre atypique dans l’univers des samouraïs, le destin d’un homme qui a fait du mieux qu’il a pu dans une époque qui ne lui correspondait peut-être pas. A découvrir. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mibu-gishi-den-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. Nickad

    Gourmet détective tome 1

    Gorô Akechi est un détective privé, il est beau, a beaucoup de classe et il est surtout gourmet : il apprécie la bonne nourriture et ne peut réfléchir sans avoir fait un bon repas. Chacune des affaires sur lesquelles il enquête sont liées, d’une façon ou d’une autre, à la cuisine. Akiko HIGASHIMURA n’en n’est pas à son premier manga, on a pu la découvrir dans Trait pour trait, Princesse Jellyfish ou encore le Tigre des neiges. Si elle propose des sujets variés et qu’elle a déjà obtenue des récompenses (prix jeune adulte du FIBD 2020 pour le tigre des neiges par exemple), ses livres restent assez confidentiels. On découvre ici une série qui a débuté en 2015 et qui compte actuellement 10 tomes. Cette série a fait l’objet d’une adaptation en drama en 2020. J’ai eu un peu de mal à entrer dans l’histoire, celle-ci ne m’apparaissant que comme une histoire gentillette de détective avec un personnage principal un peu différent, beau dans l’histoire mais peu charismatique pour le lecteur. C’est au cours de la seconde enquête que mon intérêt s’est éveillé, au moment où l’on découvre qu’il y a un lien entre les affaires et que cela ne va pas en rester là. Si Gorô Akechi est posé et prend le temps de la réflexion (ce qui se ressent beaucoup dans le rythme), il est accompagné d’une jeune cuisinière plutôt dynamique et croise souvent deux policiers qui ont toujours un train de retard (le flegme de Sherlock Holmes et le pauvre inspecteur Lestrade en quelque sorte). La différence d’Akechi c’est qu’il cherche à élucider les affaires mais pas forcément à attraper les coupables… Ce 1er tome ne m’a pas forcément convaincue, ni graphiquement ni au niveau de l’histoire. Après, il y a une mise en place de certains éléments qui vont pimenter le récit et nous entrainer dans un jeu du chat et de la souris où nos neurones seront mis à contribution. Il convient donc d’attendre la suite. Extrait
  17. Titre de l'album : Gourmet détective tome 1 Scenariste de l'album : HIGASHIMURA Akiko Dessinateur de l'album : HIGASHIMURA Akiko Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt - Tonkam Note : Résumé de l'album : Si vous deviez mourir demain, quel serait votre dernier repas ? Goro Akechi est un célèbre détective privé qui a un petit bureau à Omotesando. Il aime la bonne cuisine et se retrouve souvent à résoudre des affaires mystérieuses. Akechi implique également Ichigo Kobayashi une vendeuse de bento dans ses aventures, faisant d'elle son assistante. Critique : Gorô Akechi est un détective privé, il est beau, a beaucoup de classe et il est surtout gourmet : il apprécie la bonne nourriture et ne peut réfléchir sans avoir fait un bon repas. Chacune des affaires sur lesquelles il enquête sont liées, d’une façon ou d’une autre, à la cuisine. Akiko HIGASHIMURA n’en n’est pas à son premier manga, on a pu la découvrir dans Trait pour trait, Princesse Jellyfish ou encore le Tigre des neiges. Si elle propose des sujets variés et qu’elle a déjà obtenue des récompenses (prix jeune adulte du FIBD 2020 pour le tigre des neiges par exemple), ses livres restent assez confidentiels. On découvre ici une série qui a débuté en 2015 et qui compte actuellement 10 tomes. Cette série a fait l’objet d’une adaptation en drama en 2020. J’ai eu un peu de mal à entrer dans l’histoire, celle-ci ne m’apparaissant que comme une histoire gentillette de détective avec un personnage principal un peu différent, beau dans l’histoire mais peu charismatique pour le lecteur. C’est au cours de la seconde enquête que mon intérêt s’est éveillé, au moment où l’on découvre qu’il y a un lien entre les affaires et que cela ne va pas en rester là. Si Gorô Akechi est posé et prend le temps de la réflexion (ce qui se ressent beaucoup dans le rythme), il est accompagné d’une jeune cuisinière plutôt dynamique et croise souvent deux policiers qui ont toujours un train de retard (le flegme de Sherlock Holmes et le pauvre inspecteur Lestrade en quelque sorte). La différence d’Akechi c’est qu’il cherche à élucider les affaires mais pas forcément à attraper les coupables… Ce 1er tome ne m’a pas forcément convaincue, ni graphiquement ni au niveau de l’histoire. Après, il y a une mise en place de certains éléments qui vont pimenter le récit et nous entrainer dans un jeu du chat et de la souris où nos neurones seront mis à contribution. Il convient donc d’attendre la suite. Extrait Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/gourmet-detective-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. Nickad

    Bungo Stray Dogs beast tome 2

    L’un des détectives de l’agence, Ranpo Edogawa, a des informations sur l’endroit où se trouve la sœur d’Akutagawa. Mais pour les obtenir, Akutagawa doit obtenir l’aval des autres membres en leur rendant un service qu’ils auront décidé. Cela commence par Kenji, il doit l’aider à réaliser une rizière et veiller sur elle. Un deuxième tome intéressant qui permet de découvrir les personnalités des membres de l’agence des détectives. En même temps, chacune de ces confrontations permet à Akutagawa, de dévoiler le fond de ses pensées et de revenir sur certains de ses souvenirs. Comme la série principale, ce spin-off reste dans une ambiance très sombre, les personnages ont tous une part d’ombre et Akutagawa, qui dans cette histoire est du côté des gentils, est toujours aussi flippant. Une approche cependant intéressante avec quelques réflexions philosophiques en fond.
  19. Titre de l'album : Bungo Stray Dogs beast tome 2 Scenariste de l'album : ASAGIRI Kafka Dessinateur de l'album : HOSHIKAWA Shiwasu / HARUKAWA 35 Coloriste : Editeur de l'album : Ototo Note : Résumé de l'album : L’agence des Détectives armés est une organisation spéciale regroupant des enquêteurs dotés de capacités surnaturelles aux noms familiers : Ranpo Edogawa, Junichirô Taniguchi, Kenji Miyazawa… Ils n’interviennent que sur les affaires que la police ne parvient pas à résoudre, et se retrouvent souvent confrontés à la Mafia Portuaire, qui réunit, elle aussi, des membres extraordinairement dangereux. Mais imaginez un monde où le jeune Ryûnosuke Akutagawa, le célèbre antagoniste de la série, s’est vu recruté par les Détectives armés. Un monde où celui que vous connaissiez en tant que protagoniste, Atsushi Nakajima, est un dangereux tueur à la botte d’une Mafia portuaire. Ainsi qu’un monde où le Dazai que vous connaissez en tant qu’enquêteur charismatique de l’agence des Détectives armés est à la tête de la Mafia Portuaire plus dangereuse que jamais. Critique : L’un des détectives de l’agence, Ranpo Edogawa, a des informations sur l’endroit où se trouve la sœur d’Akutagawa. Mais pour les obtenir, Akutagawa doit obtenir l’aval des autres membres en leur rendant un service qu’ils auront décidé. Cela commence par Kenji, il doit l’aider à réaliser une rizière et veiller sur elle. Un deuxième tome intéressant qui permet de découvrir les personnalités des membres de l’agence des détectives. En même temps, chacune de ces confrontations permet à Akutagawa, de dévoiler le fond de ses pensées et de revenir sur certains de ses souvenirs. Comme la série principale, ce spin-off reste dans une ambiance très sombre, les personnages ont tous une part d’ombre et Akutagawa, qui dans cette histoire est du côté des gentils, est toujours aussi flippant. Une approche cependant intéressante avec quelques réflexions philosophiques en fond. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/bungo-stray-dogs-beast-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Nickad

    Sweet home tome 4

    Le groupe du rez-de-chaussée grimpe dans les étages pour trouver de la nourriture et des survivants. Le groupe de Hyeon-Su décide de descendre pour trouver une voiture et voir au-delà de leur résidence, ils savent qu’ils ne pourront pas vivre indéfiniment dans l’immeuble. Après un affrontement avec un monstre, les deux groupes se rejoignent et Hyeon-Su est mis de côté car tout le monde sait à présent qu’il est infecté. Si au niveau de l’action à proprement parler, cela avance toujours aussi lentement, il y a un passage très intéressant sur ce qui se passe dans la tête de Hyeon-Su quand le monstre en lui essaye de sortir. On comprend mieux les mécanismes de transformation et on a des débuts de piste pour savoir comment refreiner ces pulsions. En plus de cela, on peut assister à une discussion du groupe qui montre bien les comportements humains en tant de crise : qui doit-être sauvé et qui doit-être sacrifié ? Un tome intéressant donc qui permet d’avancer dans l’analyse du phénomène mais qui n’apporte pas pour autant toutes les réponses. A suivre
  21. Nickad

    Sweet home tome 4

    Titre de l'album : Sweet home tome 4 Scenariste de l'album : KIM Carnby Dessinateur de l'album : HWANG Youngchan Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Hyeon-Su, aidé de quelques voisins, est parvenu à sauver les enfants d'une mort certaine. Après s'être débarrassés du monstre géant, lui et ses compagnons décident de se réfugier dans l'appartement 1408 où vit Du-Shik Han, l'expert en bricolage, afin de se reposer et de réfléchir à un plan... Pendant ce temps, les habitants qui s'étaient regroupés dans le hall d'entrée ont monté une équipe pour explorer l'immeuble, dans le but de trouver des vivres et d'éventuels survivants. Mais alors que Sang-Wook et Eun-Yu s'apprêtent à barricader le quatrième étage, leurs voix attirent l'attention de la créature aveugle... qui se propulse jusqu'à eux ! Arriveront-ils à la tuer alors qu'ils ne sont que deux ? Critique : Le groupe du rez-de-chaussée grimpe dans les étages pour trouver de la nourriture et des survivants. Le groupe de Hyeon-Su décide de descendre pour trouver une voiture et voir au-delà de leur résidence, ils savent qu’ils ne pourront pas vivre indéfiniment dans l’immeuble. Après un affrontement avec un monstre, les deux groupes se rejoignent et Hyeon-Su est mis de côté car tout le monde sait à présent qu’il est infecté. Si au niveau de l’action à proprement parler, cela avance toujours aussi lentement, il y a un passage très intéressant sur ce qui se passe dans la tête de Hyeon-Su quand le monstre en lui essaye de sortir. On comprend mieux les mécanismes de transformation et on a des débuts de piste pour savoir comment refreiner ces pulsions. En plus de cela, on peut assister à une discussion du groupe qui montre bien les comportements humains en tant de crise : qui doit-être sauvé et qui doit-être sacrifié ? Un tome intéressant donc qui permet d’avancer dans l’analyse du phénomène mais qui n’apporte pas pour autant toutes les réponses. A suivre Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sweet-home-tome-4?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. Ikusa no Ko ou la légende d’Oda Nobunaga est un manga historique retraçant, comme son nom l’indique, la vie de Nobunaga Oda. On commence d’abord par voir ses derniers instants avant d’avoir un aperçu rapide de sa naissance. Le récit commence vraiment quand il a 12 ans, il s’appelait alors Kippôshi Oda. Honnêtement, l’histoire est très intéressante, la façon dont le récit se déroule ressemble à une aventure où l’on commence à comprendre pourquoi Oda est devenu une légende. C’est un garçon curieux, très intelligent qui cherche sans cesse à se cultiver et quand c’est fait, il expérimente, il essaye, il tente ! En plus de ça, il n’a pas d’a priori et pour lui, tout est bon à prendre ! On ne s’ennuie pas du tout à la lecture et on a même très envie de voir comment ce garçon va réussir à évoluer. Hélas, si le dessin de Tetsuo Hara est toujours aussi travaillé, surtout dans les décors et les ombrages, sa tendance à la disproportion devient de plus en plus gênante. Dans Soten no Ken, il y avait déjà des personnages peu crédibles (au niveau de la taille notamment) ce qui déservait le manga. Ici, c’est encore plus visible, notamment un rendu du corps féminin dérangeant ou des enfants à la tête disproportionnée. Peut-être qu’au travers de ce graphisme l’auteur cherche à faire ressortir un trait de caractère… ce n’est pas flagrant. Heureusement l’histoire est passionnante et aide à aller au-delà de ce problème.
  23. Titre de l'album : Ikusa no Ko - La légende d'Oda Nobunaga tomes 1 et 2 Scenariste de l'album : KITAHARA Seibô Dessinateur de l'album : HARA Tetsuo Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : Dans le ventre de sa mère, Nobunaga Oda entendait le fracas des batailles. La guerre le prit dans ses bras à sa naissance et ne le lâcha plus jamais. Les champs de bataille furent son berceau. Tout ce qu'il sut, il l'apprit des combats. Plus que nul autre, Nobunaga fut l'enfant de la guerre !Avant d'être Nobunaga Oda, il fut Kippôshi, le pire vaurien qu'on n'ait jamais vu. Voici le récit des méfaits flamboyants qu'il signa fièrement dans le Japon des provinces en guerre ! Retrouvez la toute nouvelle série de Tetsuo Hara et Seibô Kitahara, ancien responsable éditorial du mangaka chez Shueisha, dans cette biographie romancée de la vie d'Oda Nobunaga. Critique : Ikusa no Ko ou la légende d’Oda Nobunaga est un manga historique retraçant, comme son nom l’indique, la vie de Nobunaga Oda. On commence d’abord par voir ses derniers instants avant d’avoir un aperçu rapide de sa naissance. Le récit commence vraiment quand il a 12 ans, il s’appelait alors Kippôshi Oda. Honnêtement, l’histoire est très intéressante, la façon dont le récit se déroule ressemble à une aventure où l’on commence à comprendre pourquoi Oda est devenu une légende. C’est un garçon curieux, très intelligent qui cherche sans cesse à se cultiver et quand c’est fait, il expérimente, il essaye, il tente ! En plus de ça, il n’a pas d’a priori et pour lui, tout est bon à prendre ! On ne s’ennuie pas du tout à la lecture et on a même très envie de voir comment ce garçon va réussir à évoluer. Hélas, si le dessin de Tetsuo Hara est toujours aussi travaillé, surtout dans les décors et les ombrages, sa tendance à la disproportion devient de plus en plus gênante. Dans Soten no Ken, il y avait déjà des personnages peu crédibles (au niveau de la taille notamment) ce qui déservait le manga. Ici, c’est encore plus visible, notamment un rendu du corps féminin dérangeant ou des enfants à la tête disproportionnée. Peut-être qu’au travers de ce graphisme l’auteur cherche à faire ressortir un trait de caractère… ce n’est pas flagrant. Heureusement l’histoire est passionnante et aide à aller au-delà de ce problème. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ikusa-no-ko-la-legende-d-oda-nobunaga-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. Nickad

    Raspoutine le patriote tome 2

    Yuki répond aux interrogatoires du procureur tous les jours. Il ne se laisse pas faire, non seulement il tient bon, ne cède pas à la pression mais il réfléchit aussi à tout ce qui se trame ou pourrait se tramer en arrière-plan. Cela lui permet de garder son calme et d’attaquer également le procureur. C’est alors que Tsuzuki est à son tour arrêté. Au départ je me suis demandé pourquoi Junji Itô était dessinateur dans cette série politique assez loin de son univers. Finalement son graphisme fait excessivement bien ressortir les émotions des personnages et toute la pression qu’il y a dans ces attaques verbales. De son côté le scénario retraçant une histoire vraie rappelons-le, est bien travaillé, on suit le déroulé de l’enquête au travers des interrogatoires. On voit les réflexions de Yuki qui passe en revue ses souvenirs pour analyser la situation et qui n’a aucun moyen de savoir si ce que l’on dit est vrai ou non. C’est un manga qui demande à réfléchir et à comprendre. D’un autre côté, on y dépeint aussi une justice manipulatrice et dérangeante où l’on ne peut que revenir à un questionnement universel : la fin justifie-t-elle les moyens ?
  25. Titre de l'album : Raspoutine le patriote tome 2 Scenariste de l'album : NAGASAKI Takashi Dessinateur de l'album : ITO Junji Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt - Tonkam Note : Résumé de l'album : Celui qu'on appelle le Raspoutine du ministère des affaires étrangères a été arrêté par la brigade spéciale du ministère public de Tokyo. Pourquoi ce diplomate semble-t-il impliqué dans la rétrocession des îles du nord de Hokkaido par la Russie? Basé sur l'expérience personnelle de l'ancien diplomate Masaru Satô, ce récit présente son combat contre un procureur de la brigade spéciale au cours de ses interrogatoires quotidiens Critique : Yuki répond aux interrogatoires du procureur tous les jours. Il ne se laisse pas faire, non seulement il tient bon, ne cède pas à la pression mais il réfléchit aussi à tout ce qui se trame ou pourrait se tramer en arrière-plan. Cela lui permet de garder son calme et d’attaquer également le procureur. C’est alors que Tsuzuki est à son tour arrêté. Au départ je me suis demandé pourquoi Junji Itô était dessinateur dans cette série politique assez loin de son univers. Finalement son graphisme fait excessivement bien ressortir les émotions des personnages et toute la pression qu’il y a dans ces attaques verbales. De son côté le scénario retraçant une histoire vraie rappelons-le, est bien travaillé, on suit le déroulé de l’enquête au travers des interrogatoires. On voit les réflexions de Yuki qui passe en revue ses souvenirs pour analyser la situation et qui n’a aucun moyen de savoir si ce que l’on dit est vrai ou non. C’est un manga qui demande à réfléchir et à comprendre. D’un autre côté, on y dépeint aussi une justice manipulatrice et dérangeante où l’on ne peut que revenir à un questionnement universel : la fin justifie-t-elle les moyens ? Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/raspoutine-le-patriote-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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