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  1. Nickad

    lost children tome 10 (Fin)

    C’est le dernier tome de la série et c’est le combat final, celui où l’on sait qui va survivre et qui va mourir. Un tome intense au milieu d’une bataille qui fait rage et où l’on reste en suspens jusqu’au bout en espérant que tous survivent. Mais c’est une guerre et il n’y a pas toujours de miracle… enfin, pas pour tout le monde. Une bien belle première œuvre pour Tomomi SUMIYAMA et une création Ki-oon, exportée au Japon depuis 2020. Lost Children aura su être une série forte tout le long des 10 tomes, une série avec des personnages attachants, des propos intéressants et un graphisme époustouflant. Une série émouvante et intelligente avec une fin cohérente et légitime.
  2. Titre de l'album : lost children tome 10 (Fin) Scenariste de l'album : SUMIYAMA Tomomi Dessinateur de l'album : SUMIYAMA Tomomi Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Alhuma n'est plus qu'un champ de bataille... Révolutionnaires et villageois se sont alliés pour faire face à l'armée, mais leurs ennemis les submergent et les pertes sont lourdes. Les assiégés ne sont cependant pas sans soutiens?: l'arrivée de troupes menées par Itoku puis par Tahn Oulrajir pourrait leur permettre de tenir... Loin du front, c'est un autre combat qui se joue, car Uro s'est rebellé contre les prêtres décidés à tuer le kussuf. Le pauvre homme choisit de se sacrifier pour mettre fin à la sinistre tradition des meurtres rituels, libérant Yuri de cette influence néfaste... et le laissant seul avec ses démons. Critique : C’est le dernier tome de la série et c’est le combat final, celui où l’on sait qui va survivre et qui va mourir. Un tome intense au milieu d’une bataille qui fait rage et où l’on reste en suspens jusqu’au bout en espérant que tous survivent. Mais c’est une guerre et il n’y a pas toujours de miracle… enfin, pas pour tout le monde. Une bien belle première œuvre pour Tomomi SUMIYAMA et une création Ki-oon, exportée au Japon depuis 2020. Lost Children aura su être une série forte tout le long des 10 tomes, une série avec des personnages attachants, des propos intéressants et un graphisme époustouflant. Une série émouvante et intelligente avec une fin cohérente et légitime. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/lost-children-tome-10?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Deux émissaires étrangères sont au palais pour des négociations mais sans soute aussi pour essayer de se rapprocher de l’empereur. Se sentant supérieures aux concubines, Mao Mao et Jinshi montent un plan pour les remettre à leur place. La deuxième partie du tome reprend l’enquête autour des huiles parfumées. Le manga oscille toujours entre les petites affaires du quotidien du palais impérial et la trame principale qui est un complot à plus grande envergure au cœur du palais intérieur. Les petites affaires pouvant prendre vite un aspect important car le mode de vie des concubines et de leurs servantes ne laisse que peu de place à la liberté : chacune a une place qu’elle doit tenir et faire changer les choses n’est pas aisé. De son côté, Mao Mao, sous la protection de Jinshi, bénéficie de plus de marge de manœuvre, d’autant plus qu’elle a déjà fait ses preuves dans plusieurs affaires. Elle continue d’être attentive aux petits détails inhabituels. Les carnets de l’apothicaire reste une œuvre très bien faite avec un graphisme agréable et détaillé. Les informations historiques sont distillées avec parcimonie, de quoi en apprendre plus sur la vie des concubines sans être plombés par trop d’informations. Le scenario sait se renouveler pour notre plus grand plaisir, on ne s’en lasse pas.
  4. Titre de l'album : Les carnets de l'apothicaire tome 10 Scenariste de l'album : NANAO Itsuki Dessinateur de l'album : NEKOKURAGE Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Un nouveau défi attend Mao Mao?: pour satisfaire l'émissaire d'un pays étranger, elle doit retrouver une danseuse à la splendeur telle qu'elle ressemblait à une déesse de la lune. Hélas, aujourd'hui, la femme en question n'est autre que la tenancière du palais vert-de-gris, dont la beauté a quelque peu fané... Heureusement, la jeune apothicaire n'est jamais à court d'idées ! Grâce à ses ressources et à son imagination, elle organise un spectacle dont les invitées d'honneur se souviendront longtemps... Critique : Deux émissaires étrangères sont au palais pour des négociations mais sans soute aussi pour essayer de se rapprocher de l’empereur. Se sentant supérieures aux concubines, Mao Mao et Jinshi montent un plan pour les remettre à leur place. La deuxième partie du tome reprend l’enquête autour des huiles parfumées. Le manga oscille toujours entre les petites affaires du quotidien du palais impérial et la trame principale qui est un complot à plus grande envergure au cœur du palais intérieur. Les petites affaires pouvant prendre vite un aspect important car le mode de vie des concubines et de leurs servantes ne laisse que peu de place à la liberté : chacune a une place qu’elle doit tenir et faire changer les choses n’est pas aisé. De son côté, Mao Mao, sous la protection de Jinshi, bénéficie de plus de marge de manœuvre, d’autant plus qu’elle a déjà fait ses preuves dans plusieurs affaires. Elle continue d’être attentive aux petits détails inhabituels. Les carnets de l’apothicaire reste une œuvre très bien faite avec un graphisme agréable et détaillé. Les informations historiques sont distillées avec parcimonie, de quoi en apprendre plus sur la vie des concubines sans être plombés par trop d’informations. Le scenario sait se renouveler pour notre plus grand plaisir, on ne s’en lasse pas. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-carnets-de-l-apothicaire-tome-10?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. Nickad

    Keiji tome 10

    Une fois n’est pas coutume, le tome entier suit une seule histoire : la prise du château de Kawarada. Le clan Uesugi fait le siège du château mais ne progresse pas du tout. La faute à Samanosuke Honma qui joue en fait sur les deux tableaux : il fait mine d’être fidèle à Uesugi mais aide l’autre partie. Keiji, en bon Kabuki-mono qui n’en fait qu’à sa tête et qui vite sa vie à fond, lance une attaque frontale aidé de prisonniers et de vieux paysans prêts à mourir dans l’honneur. On appréciera de voir un combat assez long, à la façon de l’époque, avec des seigneurs hautains qui traitent les autres comme de la chair à canon. Des traitrises, des alliances, des couardises mais aussi de la bravoure et un sens de l’honneur sans égal. Keiji est sérieux, compatissant et sait tirer le meilleur de ses hommes : c’est une présence forte que l’on ressent aussi à la lecture. Un tome différent pour un combat sans pitié.
  6. Nickad

    Keiji tome 10

    Titre de l'album : Keiji tome 10 Scenariste de l'album : RYU Keiichiro Dessinateur de l'album : HARA Tetsuo Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : « Si la vie a une fin, la gloire, elle, est éternelle ! »Keiji s'est rendu sur l'île de Sado pour épauler son ami Kanetsugu sur le champ de bataille. Le clan Honma, maître des lieux, s'est en effet scindé en deux factions : une loyale au clan Uesugi, l'autre qui lui est opposée. Alors que le conflit s'enlise devant le château de Kawarada, où sont retenus en otage les enfants des habitants, Keiji prend la tête d'un bataillon haut en couleur pour saisir la forteresse. Le kabuki-mono saura-t-il prouver, une fois de plus, que l'habit ne fait pas le moine ? Critique : Une fois n’est pas coutume, le tome entier suit une seule histoire : la prise du château de Kawarada. Le clan Uesugi fait le siège du château mais ne progresse pas du tout. La faute à Samanosuke Honma qui joue en fait sur les deux tableaux : il fait mine d’être fidèle à Uesugi mais aide l’autre partie. Keiji, en bon Kabuki-mono qui n’en fait qu’à sa tête et qui vite sa vie à fond, lance une attaque frontale aidé de prisonniers et de vieux paysans prêts à mourir dans l’honneur. On appréciera de voir un combat assez long, à la façon de l’époque, avec des seigneurs hautains qui traitent les autres comme de la chair à canon. Des traitrises, des alliances, des couardises mais aussi de la bravoure et un sens de l’honneur sans égal. Keiji est sérieux, compatissant et sait tirer le meilleur de ses hommes : c’est une présence forte que l’on ressent aussi à la lecture. Un tome différent pour un combat sans pitié. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/keiji-tome-10?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Adapté d’un light novel, une petite présentation de la série s’impose : Un jour, en plein Tokyo apparaît une étrange porte, des êtres venants d’un autre monde débarquent, tuent et kidnappent des citoyens. Les force d’auto-défenses se mettent alors en place puis envoient un contingent de l’autre côté de la porte. Ils découvrent un monde de fantasy qui ne les accueille pas à bras ouverts, ils arrivent à un endroit dirigé par l’empire situé à mi-chemin entre empire romain et Moyen-âge. Les objectifs du Japon sont clairs : il faut d’abord sécuriser l’accès pour qu’il n’y ait pas plus de victimes, faire un repérage, établir des relations diplomatiques, secourir les citoyens disparus et faire du commerce si possible. La 3eme patrouille de reconnaissance dirigée par Itami, lieutenant dans les forces terrestres japonaises d’autodéfense va peu à peu rencontrer des êtres différents (elfes, magiciens, prêtresse…), s’allier avec eux et s’en faire des amis. Seulement l’Empire est hostile et il est lui-même en pleins conflits avec certains des pays voisins, il y a des divergences d’opinion dans leurs rangs concernant les relations avec les Japonais, des tensions internes arrivent et augmentent les tensions déjà existantes. De son côté, le Japon fait face à la pression internationale, car chacun espère recevoir une part du gâteau de cet endroit qui pourrait apporter de nouvelles ressources et richesses. Gate au-delà de la porte est une histoire qui joue sur plusieurs tableaux : il y a la confrontation entre deux mondes dont le mode de vie et les valeurs sont différentes, l’aspect fantasy avec de l’aventure et des créatures fantastiques (le semi-bêtes ravissent les geeks japonais qui passent la porte !), la guerre, l’aspect politique et puis il y aussi de l’humour car Itami n’est pas le plus doué des soldats et que c’est un otaku fini. Dans les tomes 16 et 17 : Itami est parti secourir la princesse Piña, en passant il sauve aussi l’empereur et arrive à fuir la capitale. Cette fois, c’est la guerre ouverte entre les partisans de Zorzal (le fils de l’empereur) et les japonais, ils vont même jusqu’à employer des ogres géants alors qu’ils exècrent les non-humains. De son côté, Itami, doit partir faire un voyage de reconnaissance à Kunappunui, il est accompagné de son équipe habituelle (des autochtones) et de drôles de scientifiques. Gate au-delà de la porte est une série intéressante avec beaucoup d’éléments, trop peut-être par moment, ce qui fait que certains points ne sont pas approfondis comme ils aurait fallu, il y a aussi beaucoup de personnages. En dehors de ça, c’est une très bonne série qui permet de confronter différents univers (et donc différents points de vue) sans passer par la case isekai.
  8. Titre de l'album : Gate au-delà de la porte tomes 16 et 17 Scenariste de l'album : YANAI Takumi Dessinateur de l'album : SAO Satoru Coloriste : Editeur de l'album : Ototo Note : Résumé de l'album : Itami et ses hommes pénètrent dans le palais impérial afin de secourir Piña, la fille de l’Empereur. Mais Zorzal les attend et ne compte pas les laisser repartir vivants. Il lance sur eux une garde d’ogres géants cuirassés qu’il a spécialement mise en place pour tenir tête aux FJA... Quel va être le dénouement de cette confrontation qui s’annonce sanglante ?!. Critique : Adapté d’un light novel, une petite présentation de la série s’impose : Un jour, en plein Tokyo apparaît une étrange porte, des êtres venants d’un autre monde débarquent, tuent et kidnappent des citoyens. Les force d’auto-défenses se mettent alors en place puis envoient un contingent de l’autre côté de la porte. Ils découvrent un monde de fantasy qui ne les accueille pas à bras ouverts, ils arrivent à un endroit dirigé par l’empire situé à mi-chemin entre empire romain et Moyen-âge. Les objectifs du Japon sont clairs : il faut d’abord sécuriser l’accès pour qu’il n’y ait pas plus de victimes, faire un repérage, établir des relations diplomatiques, secourir les citoyens disparus et faire du commerce si possible. La 3eme patrouille de reconnaissance dirigée par Itami, lieutenant dans les forces terrestres japonaises d’autodéfense va peu à peu rencontrer des êtres différents (elfes, magiciens, prêtresse…), s’allier avec eux et s’en faire des amis. Seulement l’Empire est hostile et il est lui-même en pleins conflits avec certains des pays voisins, il y a des divergences d’opinion dans leurs rangs concernant les relations avec les Japonais, des tensions internes arrivent et augmentent les tensions déjà existantes. De son côté, le Japon fait face à la pression internationale, car chacun espère recevoir une part du gâteau de cet endroit qui pourrait apporter de nouvelles ressources et richesses. Gate au-delà de la porte est une histoire qui joue sur plusieurs tableaux : il y a la confrontation entre deux mondes dont le mode de vie et les valeurs sont différentes, l’aspect fantasy avec de l’aventure et des créatures fantastiques (le semi-bêtes ravissent les geeks japonais qui passent la porte !), la guerre, l’aspect politique et puis il y aussi de l’humour car Itami n’est pas le plus doué des soldats et que c’est un otaku fini. Dans les tomes 16 et 17 : Itami est parti secourir la princesse Piña, en passant il sauve aussi l’empereur et arrive à fuir la capitale. Cette fois, c’est la guerre ouverte entre les partisans de Zorzal (le fils de l’empereur) et les japonais, ils vont même jusqu’à employer des ogres géants alors qu’ils exècrent les non-humains. De son côté, Itami, doit partir faire un voyage de reconnaissance à Kunappunui, il est accompagné de son équipe habituelle (des autochtones) et de drôles de scientifiques. Gate au-delà de la porte est une série intéressante avec beaucoup d’éléments, trop peut-être par moment, ce qui fait que certains points ne sont pas approfondis comme ils aurait fallu, il y a aussi beaucoup de personnages. En dehors de ça, c’est une très bonne série qui permet de confronter différents univers (et donc différents points de vue) sans passer par la case isekai. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/gate-au-dela-de-la-porte-tome-16?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. Nickad

    Made in abyss tome 10

    La « princesse » Faputa s’apprête à détruire le village pour exterminer tous ses habitants. Au cours de ce combat, la protection du village cède et les créatures de l’abysse arrivent et attaquent. Faputa essaye de les combattre mais se fait manger en partie, c’est grâce au sacrifice des habitants qu’elle parvient à continuer. Un tome qui marque la fin du village mais aussi un nouveau départ pour tous, les souvenirs se partagent, les rancœurs s’éteignent et tout le monde finit par trouver son chemin. Un volume très sombre, d’abord parce que le combat est dense et dramatique, ensuite et comme souvent, le graphisme très particulier du manga n’aide pas toujours à y voir très clair mais surtout parce qu’il y a la souffrance de Faputa, palpable tout le long du livre. Made in abyss n’est toujours pas à mettre entre toutes les mains mais il nous propose aussi toujours un scenario inédit et l’on ne sait jamais à quoi s’attendre.
  10. Titre de l'album : Made in abyss tome 10 Scenariste de l'album : TSUKUSHI Akihito Dessinateur de l'album : TSUKUSHI Akihito Coloriste : Editeur de l'album : Ototo Note : Résumé de l'album : Légu tente d’arrêter Faputa qui brûle d’un désir de vengeance. Nanachi, qui était retenu prisonnier par Belaf, se réveille… Nos jeunes aventuriers, les villageois, Faputa… Tandis que les espérances de chacun s’entrecroisent, des créatures primitives pénètrent dans le village. Voici le 10e volume de cette grande aventure rocambolesque mêlant colère et tristesse ! Critique : La « princesse » Faputa s’apprête à détruire le village pour exterminer tous ses habitants. Au cours de ce combat, la protection du village cède et les créatures de l’abysse arrivent et attaquent. Faputa essaye de les combattre mais se fait manger en partie, c’est grâce au sacrifice des habitants qu’elle parvient à continuer. Un tome qui marque la fin du village mais aussi un nouveau départ pour tous, les souvenirs se partagent, les rancœurs s’éteignent et tout le monde finit par trouver son chemin. Un volume très sombre, d’abord parce que le combat est dense et dramatique, ensuite et comme souvent, le graphisme très particulier du manga n’aide pas toujours à y voir très clair mais surtout parce qu’il y a la souffrance de Faputa, palpable tout le long du livre. Made in abyss n’est toujours pas à mettre entre toutes les mains mais il nous propose aussi toujours un scenario inédit et l’on ne sait jamais à quoi s’attendre. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/made-in-abyss-tome-10?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. Nickad

    Nos mots comme des bulles tome 2

    Depuis sa rencontre avec Smile, Cherry ne ressent plus le besoin de s’isoler avec ses écouteurs, au contraire, il passe du temps avec la jeune fille. Ils décident d’aider le vieux monsieur Fujiyama a retrouvé un ancien vinyle, celui de sa défunte épouse. Tout d’abord, un mot concernant l’édition : la qualité ne se nie pas mais je regrette vraiment, à un moment où la crise du papier se fait bien ressentir, les 24 pages blanches de fin de livre, du gaspillage selon moi ! Concernant le manga, il est légèrement plus rythmé que le 1er tome et aussi un peu moins poétique. Au travers de la recherche du disque, les personnages montrent leurs sentiments et aussi leur désarroi, cependant l’histoire reste assez simple et on a du mal à ressentir de l’empathie. Si la lecture est agréable, elle ne restera peut-être pas dans les mémoires. Fin au prochain volume.
  12. Titre de l'album : Nos mots comme des bulles tome 2 Scenariste de l'album : FlyingDog Dessinateur de l'album : Oono Imo Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Cherry est un lycéen qui n'arrive à exprimer ses sentiments qu'au travers des haïkus qu'il compose. Un jour, il rencontre Smile, une streameuse populaire qui complexe sur ses dents. Ensemble, ils vont aider M. Fujiyama, un vieil homme, à retrouver un vinyle chargé de souvenirs et qu'il a égaré. Leurs sentiments les poussent très vite l'un vers l'autre, mais... Critique : Depuis sa rencontre avec Smile, Cherry ne ressent plus le besoin de s’isoler avec ses écouteurs, au contraire, il passe du temps avec la jeune fille. Ils décident d’aider le vieux monsieur Fujiyama a retrouvé un ancien vinyle, celui de sa défunte épouse. Tout d’abord, un mot concernant l’édition : la qualité ne se nie pas mais je regrette vraiment, à un moment où la crise du papier se fait bien ressentir, les 24 pages blanches de fin de livre, du gaspillage selon moi ! Concernant le manga, il est légèrement plus rythmé que le 1er tome et aussi un peu moins poétique. Au travers de la recherche du disque, les personnages montrent leurs sentiments et aussi leur désarroi, cependant l’histoire reste assez simple et on a du mal à ressentir de l’empathie. Si la lecture est agréable, elle ne restera peut-être pas dans les mémoires. Fin au prochain volume. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/nos-mots-comme-des-bulles-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. Nickad

    Les enfants de la mer tome 1

    Réédition pour ce manga en 5 tomes devenu introuvable et qui a eu une adaptation en long métrage en 2019. Daisuke IGARASHi est un auteur peu connu en France bien que 8 de ses titres aient été publiés chez Casterman et Sarbacane notamment, des œuvres atypiques, pas forcément grand public et qui mériteraient d’être plus connues. Les enfants de la mer met en scène deux garçons qui ont été élevés par des dugongs et qui ont adaptés leur morphologie à cet environnement. On a déjà eu dans la réalité des enfants élevés par des loups alors pourquoi pas par des mammifères marins ? Sous des allures de tranche de vie avec un graphisme très soigné et détaille, l’auteur y insère habilement un univers fantastique comme si c’était la réalité. Le personnage principal est une jeune fille pendant les grandes vacances qui va devenir l’amie des garçons et être témoin de certains évènements en rapport avec l’étrange disparition de poissons dans les aquariums du monde entier. Le manga est une œuvre très onirique et en même temps très réaliste, l’auteur sait nous entrainer dans son univers et fait monter l’intrigue et l’intérêt peu à peu. Un titre à découvrir.
  14. Titre de l'album : Les enfants de la mer tome 1 Scenariste de l'album : IGARASHI Daisuke Dessinateur de l'album : IGARASHI Daisuke Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Ruka, une collégienne éprise de liberté, vit au bord de la mer. Pendant les vacances d'été, elle fait la connaissance de deux garçons, Umi et Sora, qui ont été élevés par des Dugongs, des mammifères marins menacés de disparition. Quand ils nagent dans la mer, ils donnent l'impression de voler et parfois se mettent à briller. Qui sont réellement ces deux garçons fascinants ? Critique : Réédition pour ce manga en 5 tomes devenu introuvable et qui a eu une adaptation en long métrage en 2019. Daisuke IGARASHi est un auteur peu connu en France bien que 8 de ses titres aient été publiés chez Casterman et Sarbacane notamment, des œuvres atypiques, pas forcément grand public et qui mériteraient d’être plus connues. Les enfants de la mer met en scène deux garçons qui ont été élevés par des dugongs et qui ont adaptés leur morphologie à cet environnement. On a déjà eu dans la réalité des enfants élevés par des loups alors pourquoi pas par des mammifères marins ? Sous des allures de tranche de vie avec un graphisme très soigné et détaille, l’auteur y insère habilement un univers fantastique comme si c’était la réalité. Le personnage principal est une jeune fille pendant les grandes vacances qui va devenir l’amie des garçons et être témoin de certains évènements en rapport avec l’étrange disparition de poissons dans les aquariums du monde entier. Le manga est une œuvre très onirique et en même temps très réaliste, l’auteur sait nous entrainer dans son univers et fait monter l’intrigue et l’intérêt peu à peu. Un titre à découvrir. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-enfants-de-la-mer-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. Nickad

    Cheat skill level up tome 1

    Tenjo Yuta un jeune homme petit, moche et gros est le souffre-douleur de ses camarades d’école et même de ses frère et sœur. Délaissé par sa famille, il vit dans la maison de son grand-père, le seul qui l’aimait vraiment. Un jour, il découvre dans cette demeure un passage vers un monde de fantaisy où il obtient très rapidement des compétences. Je trouvais la couverture de ce manga très belle avec un résumé qui me donnait vraiment envie de le lire, j’avoue avoir été déçue ou plutôt j’aurai dû faire mieux attention au titre ! Car oui tout est trop « cheaté » à peine arrivé dans l’autre monde, Yuta obtient des compétences hors norme, ce qui arrive parfois, mais en plus, il passe d’un petit gros d’1m30 à un beau gosse d’1m80 en perdant au passage les kilos superflus, l’acné et les cheveux gras… Quant à l’histoire, et bien on ne sait pas où l’on va pour le moment, est-ce qu’il cherche à se venger des brimades ? Est-ce qu’il veut devenir populaire ? Mener sa vie dans cet autre monde ? Devenir un héros ? Aucune idée… Miku est aussi le scénariste de The fruit of evolution, dont l’anime est disponible sur crunchyroll, un manga où le personnage, pas gâté par la nature, était aussi victime de harcèlement et qui, envoyé dans un autre monde, est devenu super fort et super beau… mais au moins il y avait beaucoup d’humour. Ici, le 1er tome n’est pas désagréable (si on supporte le genre trop de super compétences) mais il faudra attendre la suite pour voir le développement du scenario. En tout cas la couverture est vraiment belle !! extrait
  16. Titre de l'album : Cheat skill level up tome 1 Scenariste de l'album : MIKU Dessinateur de l'album : MINATOGAWA Kazuomi Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt - Tonkam Note : Résumé de l'album : Tenjo est un garçon légèrement enrobé qui a toujours été victime de harcèlement. Il ne trouve de répit que dans les moments de solitude, dans la maison que son grand-père lui a léguée. Un jour, en faisant du tri, il tombe accidentellement sur une pièce secrète dans laquelle se trouve une mystérieuse porte et des objets médiévaux qu'il n'avait jamais vus. Une fois franchie, cette porte l'emmène dans un monde de fantasy. Critique : Tenjo Yuta un jeune homme petit, moche et gros est le souffre-douleur de ses camarades d’école et même de ses frère et sœur. Délaissé par sa famille, il vit dans la maison de son grand-père, le seul qui l’aimait vraiment. Un jour, il découvre dans cette demeure un passage vers un monde de fantaisy où il obtient très rapidement des compétences. Je trouvais la couverture de ce manga très belle avec un résumé qui me donnait vraiment envie de le lire, j’avoue avoir été déçue ou plutôt j’aurai dû faire mieux attention au titre ! Car oui tout est trop « cheaté » à peine arrivé dans l’autre monde, Yuta obtient des compétences hors norme, ce qui arrive parfois, mais en plus, il passe d’un petit gros d’1m30 à un beau gosse d’1m80 en perdant au passage les kilos superflus, l’acné et les cheveux gras… Quant à l’histoire, et bien on ne sait pas où l’on va pour le moment, est-ce qu’il cherche à se venger des brimades ? Est-ce qu’il veut devenir populaire ? Mener sa vie dans cet autre monde ? Devenir un héros ? Aucune idée… Miku est aussi le scénariste de The fruit of evolution, dont l’anime est disponible sur crunchyroll, un manga où le personnage, pas gâté par la nature, était aussi victime de harcèlement et qui, envoyé dans un autre monde, est devenu super fort et super beau… mais au moins il y avait beaucoup d’humour. Ici, le 1er tome n’est pas désagréable (si on supporte le genre trop de super compétences) mais il faudra attendre la suite pour voir le développement du scenario. En tout cas la couverture est vraiment belle !! extrait Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/cheat-skill-level-up-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. Nickad

    Quelle belle fin du monde ! tome 1

    Non s’en rappeler d’autres titres comme lonely world pour son aspect post-apocalyptique et monde désolé, ou made in abyss pour mettre en scène un personnage d’enfant mignon dans un monde plutôt cruel et impitoyable, quelle belle fin du monde n’étonne pas au 1er abord. Une petite fille et son animal de compagnie errent dans une ville abandonnée à la recherche d’autres humains, ils luttent quotidiennement pour survivre et trouver de quoi subsister. Il faut reconnaître que si pour le moment l’histoire n’est pas exceptionnelle (mais des surprises nous attendent peut-être dans la suite), la créativité de l’auteur pour ce monde en ruine est bien fournie : si le fond du décor est notre monde moderne, il y a plein de faune et de flore originale et même des habitants d’un autre monde. Concernant l’histoire, il faudra attendre la suite pour s’en faire une idée car pour le moment, la balade est un peu ennuyante.
  18. Titre de l'album : Quelle belle fin du monde ! tome 1 Scenariste de l'album : TOTTORI Saq Dessinateur de l'album : TOTTORI Saq Coloriste : Editeur de l'album : Komikku Note : Résumé de l'album : Dans un monde en ruine, la jeune Yakône voyage à la recherche d'êtres humains. Accompagnée de Yago, sa souris à six pattes et de Ney, son robot, elle va au-devant de nombreuses péripéties. À la recherche d'eau ou de délicieux fruits, elle doit aussi composer avec des formes inquiétantes et des monstres géants. Venez partager le carnet de voyage drôle et plein d'aventures d'un groupe d'explorateurs pas comme les autres dans un monde post apocalyptique Critique : Non s’en rappeler d’autres titres comme lonely world pour son aspect post-apocalyptique et monde désolé, ou made in abyss pour mettre en scène un personnage d’enfant mignon dans un monde plutôt cruel et impitoyable, quelle belle fin du monde n’étonne pas au 1er abord. Une petite fille et son animal de compagnie errent dans une ville abandonnée à la recherche d’autres humains, ils luttent quotidiennement pour survivre et trouver de quoi subsister. Il faut reconnaître que si pour le moment l’histoire n’est pas exceptionnelle (mais des surprises nous attendent peut-être dans la suite), la créativité de l’auteur pour ce monde en ruine est bien fournie : si le fond du décor est notre monde moderne, il y a plein de faune et de flore originale et même des habitants d’un autre monde. Concernant l’histoire, il faudra attendre la suite pour s’en faire une idée car pour le moment, la balade est un peu ennuyante. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/quelle-belle-fin-du-monde-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. Titre de l'album : Saturn return tome 1 Scenariste de l'album : TORIKAI Akane Dessinateur de l'album : TORIKAI Akane Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : Ritsuko Kaji est une romancière qui souffre du syndrome de la page blanche... Mais quand une nuit, elle rêve d'un de ses anciens amis, son quotidien va basculer : au réveil, elle apprend le suicide de ce dernier... Tandis qu'elle se sent étouffée par sa vie de femme au foyer, la voilà rattrapée par le souvenir d'un être cher désormais décédé. Confrontée de force à son passé, elle retourne à Osaka en compagnie de son nouvel éditeur. Mais ce voyage pourrait bien faire remonter des sentiments douloureux à la surface... Critique : Ritsuko Kaji est romancière, depuis le succès de son premier livre 5 ans auparavant, elle a du mal à écrire à nouveau. Sa vie d’épouse est compliquée, les relations avec son mari sont assez étranges, d’un côté il est attentif et de l’autre ne semble rechercher qu’une mère pour ses futurs enfants. Un jour, elle apprend qu’un ancien ami, qui est aussi le personnage principal de son livre, s’est suicidé. Son éditeur va la pousser à aller chercher la vérité, s’il le fait parce qu’il y voit un sujet digne d’un nouveau roman, il l’accompagne aussi car Kaji l’intrigue. Akane Torikai nous avait déjà livré des œuvres très intéressantes (en proie au silence et le siège des exilées notamment) mais sa narration souffrait de certaines longueurs qui, à mon avis, desservait son propos. Encore une fois, elle nous plonge au cœur d’un personnage féminin fort, pris dans les tourments de la vie. Il semble qu’elle ait gagné en maturité, le récit est rondement mené et ne souffre pas de lenteurs. D’un côté il y a Kaji, une femme qui est blessée qui pense avoir été sauvée par son mari mais qui semble très instable émotionnellement. De l’autre il y a Nakajima, le fantôme de l’histoire, celui par qui tout a commencé et qui laisse un flou total dans son sillage : la raison de son suicide mais surtout une réflexion sur la vie, sur le fait d’en être maître ou juste spectateur. Celui qui lui a demandé d’écrire un livre pour laisser une trace de son passage sur Terre et qui avait décidé de mourir avant ses 30 ans. Saturn return est un manga avec des propos extrêmement forts qui mérite de prendre le temps de s’y plonger et d’y réfléchir. Un graphisme soigné, un rendu des sentiments réaliste, un livre que l’on peut lire plusieurs fois avant d’en saisir toute l’essence. Une réussite ! 6 tomes en cours, plutôt destiné aux adultes pour la maturité de la réflexion. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/saturn-return-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Nickad

    Saturn return tome 1

    Ritsuko Kaji est romancière, depuis le succès de son premier livre 5 ans auparavant, elle a du mal à écrire à nouveau. Sa vie d’épouse est compliquée, les relations avec son mari sont assez étranges, d’un côté il est attentif et de l’autre ne semble rechercher qu’une mère pour ses futurs enfants. Un jour, elle apprend qu’un ancien ami, qui est aussi le personnage principal de son livre, s’est suicidé. Son éditeur va la pousser à aller chercher la vérité, s’il le fait parce qu’il y voit un sujet digne d’un nouveau roman, il l’accompagne aussi car Kaji l’intrigue. Akane Torikai nous avait déjà livré des œuvres très intéressantes (en proie au silence et le siège des exilées notamment) mais sa narration souffrait de certaines longueurs qui, à mon avis, desservait son propos. Encore une fois, elle nous plonge au cœur d’un personnage féminin fort, pris dans les tourments de la vie. Il semble qu’elle ait gagné en maturité, le récit est rondement mené et ne souffre pas de lenteurs. D’un côté il y a Kaji, une femme qui est blessée qui pense avoir été sauvée par son mari mais qui semble très instable émotionnellement. De l’autre il y a Nakajima, le fantôme de l’histoire, celui par qui tout a commencé et qui laisse un flou total dans son sillage : la raison de son suicide mais surtout une réflexion sur la vie, sur le fait d’en être maître ou juste spectateur. Celui qui lui a demandé d’écrire un livre pour laisser une trace de son passage sur Terre et qui avait décidé de mourir avant ses 30 ans. Saturn return est un manga avec des propos extrêmement forts qui mérite de prendre le temps de s’y plonger et d’y réfléchir. Un graphisme soigné, un rendu des sentiments réaliste, un livre que l’on peut lire plusieurs fois avant d’en saisir toute l’essence. Une réussite ! 6 tomes en cours, plutôt destiné aux adultes pour la maturité de la réflexion.
  21. Nickad

    Clevatess tome 1

    Titre de l'album : Clevatess tome 1 Scenariste de l'album : IWAHARA Yuji Dessinateur de l'album : IWAHARA Yuji Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Exterminer l'humanité... ou pas ? Pour le roi des démons, la décision repose sur l'avenir d'un enfant ! Le puissant démon Clevatess est dérangé dans son antre par une troupe de héros venue l'éliminer. Voilà un millénaire qu'il n'avait pas fait face à des humains. Ceux-ci s'élancent vaillamment... et sont décimés ! Malgré tout, leurs épées, forgées dans un métal rare, ont égratigné ses cornes... La créature s'interroge. Comment ces insectes insignifiants ont-ils pu développer de telles armes ? Pourquoi veulent-ils sa mort ? Clevatess part poser la question au monarque commanditaire de l'attaque, détruisant sa capitale par vengeance au passage. Mais cette expédition ne lui apporte aucune réponse, et il envisage l'extermination totale de cette race... C'est alors que dans les ruines du palais, un survivant blessé lui tend un bébé en le suppliant de le sauver. D'abord réfractaire, le démon y voit finalement une opportunité : élever un humain lui permettra de comprendre ses adversaires et, surtout, de déterminer s'ils méritent d'être graciés ! Critique : Clevatess est l’un des 4 roi démon, il vit tranquillement sur ses terres quand un groupe de héros décide de venir l’éliminer. Ne comprenant pas pourquoi, il décide de se rendre auprès du roi du royaume de Hiden pour en connaître les raisons mais ce dernier dénigre Clevatess en lui disant qu’une bête démoniaque ne pouvait pas comprendre. En repartant après avoir détruit la ville, un enfant lui confie un bébé en lui disant qu’il apprendra à comprendre les humains en s’occupant de lui. Les œuvres de Yuji IWAHARA (le roi des ronces, dimension W…) ont souvent plusieurs niveaux de lecture avec un côté assez sombre, Clevatess n’y déroge pas. Le premier aspect frappant c’est la cupidité sans fin des humains, toujours vouloir plus de terres, plus de richesses… ils envahissent le territoire de Clevatess sous prétexte qu’il est une bête démoniaque. Le deuxième aspect, c’est la malveillance des hommes, la façon de toujours profiter des faiblesses des autres et dès que l’un chute, au lieu de venir l’aider de l’écraser pour prendre sa place. Pour le moment l’humanité n’est pas à la fête ! C’est le périple de Clevatess qui va permettre une observation de ce que l’on est, de poser un regard extérieur et de potentiellement rendre un jugement. La présence du bébé va sans doute amener le côté positif et permettre de montrer qu’il y a aussi du bon dans l’humanité (enfin j’espère !!). Mais le manga est aussi un manga d’aventures avec des combats et du fantastique, difficile cependant de le percevoir uniquement comme un divertissement tellement le discours est fort, impossible de fermer les yeux et de ne pas voir une certaine critique de la société. Un très bon début de série servi par un graphisme intéressant qui donne de la puissance au récit. Extrait Bande annonce Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/clevatess-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. Nickad

    Clevatess tome 1

    Clevatess est l’un des 4 roi démon, il vit tranquillement sur ses terres quand un groupe de héros décide de venir l’éliminer. Ne comprenant pas pourquoi, il décide de se rendre auprès du roi du royaume de Hiden pour en connaître les raisons mais ce dernier dénigre Clevatess en lui disant qu’une bête démoniaque ne pouvait pas comprendre. En repartant après avoir détruit la ville, un enfant lui confie un bébé en lui disant qu’il apprendra à comprendre les humains en s’occupant de lui. Les œuvres de Yuji IWAHARA (le roi des ronces, dimension W…) ont souvent plusieurs niveaux de lecture avec un côté assez sombre, Clevatess n’y déroge pas. Le premier aspect frappant c’est la cupidité sans fin des humains, toujours vouloir plus de terres, plus de richesses… ils envahissent le territoire de Clevatess sous prétexte qu’il est une bête démoniaque. Le deuxième aspect, c’est la malveillance des hommes, la façon de toujours profiter des faiblesses des autres et dès que l’un chute, au lieu de venir l’aider de l’écraser pour prendre sa place. Pour le moment l’humanité n’est pas à la fête ! C’est le périple de Clevatess qui va permettre une observation de ce que l’on est, de poser un regard extérieur et de potentiellement rendre un jugement. La présence du bébé va sans doute amener le côté positif et permettre de montrer qu’il y a aussi du bon dans l’humanité (enfin j’espère !!). Mais le manga est aussi un manga d’aventures avec des combats et du fantastique, difficile cependant de le percevoir uniquement comme un divertissement tellement le discours est fort, impossible de fermer les yeux et de ne pas voir une certaine critique de la société. Un très bon début de série servi par un graphisme intéressant qui donne de la puissance au récit. Extrait Bande annonce
  23. Titre de l'album : Under prison tome 1 Scenariste de l'album : MIYAO Ikumi Dessinateur de l'album : MIYAO Ikumi Coloriste : Editeur de l'album : Omaké Note : Résumé de l'album : Dans un futur proche, la criminalité ultra violente explose de façon exponentielle. Les prisons étant encombrées, les tribunaux condamnent désormais systématiquement les crimes les plus graves et sordides par la peine capitale. Les condamnés à mort sont maintenant regroupés dans les sous-sols des prisons, livrés à eux-mêmes avant d'être exécutés, lorsqu'ils ne sont pas déjà sauvagement tués par leurs codétenus. Junya, lui, n'est pas un criminel. Mais il rêve de se venger de l'assassin de sa famille, qui se trouve dans ces couloirs de la mort. Il veut le tuer avant que la loi ou un autre s'en charge. Il se débrouille alors pour être emprisonné dans cette jungle... Critique : Junya Momose arrive dans la plus haute prison de sécurité et aussi la plus mystérieuse, ici sont détenus les condamnés à mort. Mais ce n’est pas un prisonnier ordinaire, il recherche un détenu pour pouvoir se venger. Seulement il risque de découvrir bien plus de choses qu’il ne l’aurait voulu et son plan risque d’en être chamboulé. Dès le début du livre on plonge dans une atmosphère très particulière, le côté glauque de la prison où le plus fort fait la loi mais aussi le côté énigmatique qui va pousser peu à peu le héros à revoir ses positions. Le graphisme est à la hauteur et l’ambiance est prenante. Quels que soient les aspects de l’histoire, on a qu’une hâte : en savoir plus, découvrir ce qui se cache. Un magnifique 1er tome captivant digne des meilleurs thrillers. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/under-prison-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. Nickad

    Under prison tome 1

    Junya Momose arrive dans la plus haute prison de sécurité et aussi la plus mystérieuse, ici sont détenus les condamnés à mort. Mais ce n’est pas un prisonnier ordinaire, il recherche un détenu pour pouvoir se venger. Seulement il risque de découvrir bien plus de choses qu’il ne l’aurait voulu et son plan risque d’en être chamboulé. Dès le début du livre on plonge dans une atmosphère très particulière, le côté glauque de la prison où le plus fort fait la loi mais aussi le côté énigmatique qui va pousser peu à peu le héros à revoir ses positions. Le graphisme est à la hauteur et l’ambiance est prenante. Quels que soient les aspects de l’histoire, on a qu’une hâte : en savoir plus, découvrir ce qui se cache. Un magnifique 1er tome captivant digne des meilleurs thrillers.
  25. Nickad

    Boy meets Maria

    Titre de l'album : Boy meets Maria Scenariste de l'album : PEYO Dessinateur de l'album : PEYO Coloriste : Editeur de l'album : Taifu Note : Résumé de l'album : Taiga est un jeune lycéen plein d’enthousiasme, qui se rêve en héros sauvant des demoiselles en détresse. Un jour, en assistant à une représentation du club théâtre de son lycée, il va tomber des nues devant la beauté et la grâce de Maria, une des membres du club. Mais que se passerait-il si la belle n’en était pas une ? Accompagnez Taiga et Arima sur le chemin qui mène à l’affirmation de soi ! Critique : Excellente surprise que ce one-shot !! Taiga, un jeune homme extrêmement positif, voir naïf qui a décidé de tout prendre de façon superficielle a le coup de foudre pour Maria à la fête de l’école. Il lui fait sa déclaration dans la foulée et se fait refouler car Maria n’est pas vraiment une fille, c’est un garçon ou plutôt un iel, quelqu’un qui se cherche et ne sait pas où est sa place. Au 1er abord, on pourrait penser que Maria est non-binaire ou souffre de dysphorie de genre (c’est comme cela qu’il est perçu dans le livre), mais ce n’est pas vraiment cela, Arima (ou Maria) est un garçon qui a été élevé comme une fille à cause des envies de sa mère, il n’a jamais pu agir comme un garçon. Arrivé au lycée, il aimerait avoir le choix et qu’on lui laisse la possibilité d’être un garçon ! Seulement voilà, après une quinzaine d’années passées à être une fille, il ne sait ni comment faire ni si être un garçon lui conviendrait. A côté de lui, il y a Taiga, un garçon qui a choisi de ne pas se poser de questions (suite à un événement du passé traumatisant), il a un regard innocent sur ce qui se passe et du coup, il est ouvert à tout. On pourrait dire qu’il a le regard d’un enfant qui va grandir et poser des questions sur le monde comme « pourquoi un garçon ne peut pas aimer un autre garçon ? ». Au fur et à mesure, ils vont se découvrir et affronter le monde. Boy meets Maria est un livre à lire et à savourer, bien qu’abordant de nombreux sujets sérieux, l’autrice a su y amener une saveur particulière, parfois dans l’émotion, parfois dans l’humour. Tout y est très juste : la narration, le graphisme et les sentiments. Pour information, PEYO de son vrai nom Kôsei Eguchi est décédée en aout 2020 à l’âge de 23 ans, boy meets Maria est sa seule œuvre achevée. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/boy-meets-maria?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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