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  1. Exercice périlleux que de finir une série, surtout après un tome 16 excellent. Au milieu de ces luttes de pouvoir, il est facile de perdre le fil, mais dans ce manga, peu importe l’adversaire car au final c’est Richard que l’on regarde et tant que son environnement est clair et compréhensible, les petits défauts du livre passent inaperçus. C’est donc avec une certaine impatience que j’attendais ce final qui hélas n’est pas complétement à la hauteur. Oui il y a bien la fin de Richard, des souvenirs qui lui reviennent, des dernières rencontres ou retrouvailles et un dernier combat désespéré à la hauteur de ce qu’a été le manga. Oui il y a cette part de folie qui l’accompagne mais il reste des imprécisions. Et puis il y a surtout la fin, pas très nette je trouve, qui ne satisfait pas complétement le lecteur et qui laisse un certain sentiment d’inachevé. Quoi qu’il en soit, le requiem du roi des roses est une épopée tragique avec un héros torturé, fragile et fort à la fois et terriblement envoûtant, une série qui mérite le détour.
  2. Titre de l'album : le requiem du roi des roses tome 17 (fin) Scenariste de l'album : KANNO Aya Dessinateur de l'album : KANNO Aya Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Richard accepte la requête d'Anne et annonce officiellement le décès du prince héritier Édouard, tandis que le garçon est emmené en secret loin du tumulte de Londres... Mais la reine elle-même est très malade et, bientôt, elle rend son dernier soupir. À présent plus seul que jamais, le monarque doit partir en guerre contre le comte de Richmond, dont la menace se fait grandissante... Non content d'accuser Richard III des plus ignobles forfaits, Henri Tudor convoite également la main de la jeune Élisabeth d'York afin de renforcer sa légitimité au trône. S'il parvient à unir les deux roses, la bataille qui se prépare sera-t-elle encore en faveur du souverain ? York et Lancaster : deux familles, une haine ancestrale et un seul destin possible pour l'Angleterre déchirée ! Aya Kanno signe une réinterprétation brillante de la pièce de Shakespeare et clôt ici le dernier acte d'une oeuvre aussi sombre que poignante... Critique : Exercice périlleux que de finir une série, surtout après un tome 16 excellent. Au milieu de ces luttes de pouvoir, il est facile de perdre le fil, mais dans ce manga, peu importe l’adversaire car au final c’est Richard que l’on regarde et tant que son environnement est clair et compréhensible, les petits défauts du livre passent inaperçus. C’est donc avec une certaine impatience que j’attendais ce final qui hélas n’est pas complétement à la hauteur. Oui il y a bien la fin de Richard, des souvenirs qui lui reviennent, des dernières rencontres ou retrouvailles et un dernier combat désespéré à la hauteur de ce qu’a été le manga. Oui il y a cette part de folie qui l’accompagne mais il reste des imprécisions. Et puis il y a surtout la fin, pas très nette je trouve, qui ne satisfait pas complétement le lecteur et qui laisse un certain sentiment d’inachevé. Quoi qu’il en soit, le requiem du roi des roses est une épopée tragique avec un héros torturé, fragile et fort à la fois et terriblement envoûtant, une série qui mérite le détour. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-requiem-du-roi-des-roses-tome-17?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Nickad

    Sexy cosplay doll tome 8

    Ça y est, toute la classe sait que Gojô fait les costumes de Marine, missionné pour le festival de l’école, il va se rendre compte qu’il n’y a aucune honte à aimer la couture et le maquillage ! Devant ce garçon passionné et perfectionniste, les autres élèves sont en admiration et la vie lycéenne de Gojô va enfin prendre un nouveau départ. Certains tomes de cette série sont plus axés cosplay et laissent peu de place à l’histoire de nos lycéens et c’est parfois dommage. Heureusement d’autres ont un juste équilibre entre les deux, comme ce tome 8 ! Bien sûr ; il y a les explications très judicieuses pour tous les amateurs de cosplay (et les fans de mangas ne peuvent passer au travers), mais il y a aussi de la tranche de vie et une romance qui met du temps à éclore. Un 8eme tome fort sympathique et un cosplay fort réussi.
  4. Titre de l'album : Sexy cosplay doll tome 8 Scenariste de l'album : FUKUDA Shinichi Dessinateur de l'album : FUKUDA Shinichi Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Lors du festival culturel du lycée, Marine aura l'occasion de se travestir pour la première fois. Heureusement, tous ses amis sont là pour l'aider à se comporter comme un garçon et ainsi remporter la victoire. Les préparatifs avancent bon train et, pour la première fois, Gojô travaille main dans la main avec ses camarades de classe. Que trouvera-t-il au bout du chemin, une fois qu'il aura dépassé toutes ses angoisses ? Critique : Ça y est, toute la classe sait que Gojô fait les costumes de Marine, missionné pour le festival de l’école, il va se rendre compte qu’il n’y a aucune honte à aimer la couture et le maquillage ! Devant ce garçon passionné et perfectionniste, les autres élèves sont en admiration et la vie lycéenne de Gojô va enfin prendre un nouveau départ. Certains tomes de cette série sont plus axés cosplay et laissent peu de place à l’histoire de nos lycéens et c’est parfois dommage. Heureusement d’autres ont un juste équilibre entre les deux, comme ce tome 8 ! Bien sûr ; il y a les explications très judicieuses pour tous les amateurs de cosplay (et les fans de mangas ne peuvent passer au travers), mais il y a aussi de la tranche de vie et une romance qui met du temps à éclore. Un 8eme tome fort sympathique et un cosplay fort réussi. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sexy-cosplay-doll-tome-8?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. Nickad

    Les amants sacrifiés tome 1

    Au Japon, pendant la seconde guerre mondiale, un couple se trouve pris entre son devoir patriotique et son sens éthique devant les atrocités de la guerre, quelle va être leur décision et est-ce que leur relation pourra survivre à ces événements ? La construction du manga entrecoupe l’histoire de ce couple avec des bandes d’actualités sur la guerre (photos et rappels brefs de certains événements). Si l’on comprend bien que cela nous permet de nous situer dans le contexte historique afin de bien nous faire sentir le climat très tendu de l’époque, cela nous éloigne aussi un peu de l’histoire en coupant le fil conducteur. Ajouté à cela une temporalité pas toujours très claire, on a tendance à décrocher par moment. C’est dommage car la thématique est intéressante et que cela nous permet de découvrir la position des japonais à l’époque. Le point culminant se trouvant à la fin de ce tome, on espère que le deuxième et dernier volume nous fera ressentir toute la complexité de leurs décisions et se penchera un peu plus sur le ressenti des personnages.
  6. Titre de l'album : Les amants sacrifiés tome 1 Scenariste de l'album : KAKIZAKI Masasumi , HAMAGUCHI Ryûsuke Dessinateur de l'album : KAKIZAKI Masasumi Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Trahir son pays ou protéger son mari ? Le destin d'une Japonaise hors norme prise dans les tumultes de la Seconde Guerre mondiale. Dans les années 40, aux portes de la guerre, le Japon s'enfonce dans la dictature et ferme ses frontières. Dans ce contexte, l'entreprise de commerce international Fukuhara peine à maintenir son activité. Son président, le charismatique Yusaku, décide de chercher de nouveaux canaux d'approvisionnement en Mandchourie, province du nord de la Chine passée sous la coupe japonaise et présentée comme une terre d'abondance... Malgré l'inquiétude de sa femme, Satoko, il embarque dans un voyage de plusieurs mois avec son neveu Fumio. À leur retour, Satoko sent un changement... pire, l'odeur du secret. Fumio s'éloigne brusquement, et Yusaku annonce à son épouse qu'il compte arranger leur départ aux États-Unis, ennemi en puissance du Japon... Que leur est-il arrivé durant leur excursion en terrain conquis ? Critique : Au Japon, pendant la seconde guerre mondiale, un couple se trouve pris entre son devoir patriotique et son sens éthique devant les atrocités de la guerre, quelle va être leur décision et est-ce que leur relation pourra survivre à ces événements ? La construction du manga entrecoupe l’histoire de ce couple avec des bandes d’actualités sur la guerre (photos et rappels brefs de certains événements). Si l’on comprend bien que cela nous permet de nous situer dans le contexte historique afin de bien nous faire sentir le climat très tendu de l’époque, cela nous éloigne aussi un peu de l’histoire en coupant le fil conducteur. Ajouté à cela une temporalité pas toujours très claire, on a tendance à décrocher par moment. C’est dommage car la thématique est intéressante et que cela nous permet de découvrir la position des japonais à l’époque. Le point culminant se trouvant à la fin de ce tome, on espère que le deuxième et dernier volume nous fera ressentir toute la complexité de leurs décisions et se penchera un peu plus sur le ressenti des personnages. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-amants-sacrifies-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Nickad

    Beast complex tome 2

    Beast complex est un manga de courtes histoires autour de l’univers de beastars, certaines ont été écrites avant et d’autres après, notamment la dernière du volume où l’on retrouve Haru et Legoshi. Pour ceux qui ne connaitraient Beastars, l’histoire se déroule dans un monde où les animaux se comportent comme des humains (antropomorphisme), la société est divisée en 2 grand types : les herbivores et les carnivores. Pour que tout ce monde s’entende, la consommation de viande a été interdite, bien sûr, le marché noir existe et les habitants ne sont pas à l’abri de se faire dévorer. Chacune de ces histoires met en scène des duos improbables ou des situations inhabituelles, jouant sur les différences entre les espèces, elles finissent toujours positivement allant contre la nature elle-même. Au final on a une lecture sympathique et distrayante, avec des histoires plus ou moins intéressantes mais toujours bien faites et profondément originales.
  8. Titre de l'album : Beast complex tome 2 Scenariste de l'album : ITAGAKI Paru Dessinateur de l'album : ITAGAKI Paru Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Découvrez les origines du monde fascinant de Beastars ! Dans la cohabitation entre herbivores et carnivores, les relations inter-espèces sont souvent complexes, parfois intenses. Quelles que soient les règles adoptées, les barrières restent difficiles à faire tomber, et chacun tente à sa manière de faire voler en éclat le carcan des idées reçues. Un lion peut-il créer un lien avec une chauve-souris dont les parents ont été dévorés par un de ses pairs ? Qu'adviendra-t-il de l'amitié entre un petit tigre et un enfant castor quand ils grandiront ? À quoi ressemble une relation entre un dromadaire et une louve, où désir sensuel et appétit carnivore s'entremêlent ? Fraternité, amour, camaraderie... Autant de sentiments partagés par tous, qui permettent de voir au-delà des apparences. Et si la bestialité permettait de redécouvrir l'humanité ? Critique : Beast complex est un manga de courtes histoires autour de l’univers de beastars, certaines ont été écrites avant et d’autres après, notamment la dernière du volume où l’on retrouve Haru et Legoshi. Pour ceux qui ne connaitraient Beastars, l’histoire se déroule dans un monde où les animaux se comportent comme des humains (antropomorphisme), la société est divisée en 2 grand types : les herbivores et les carnivores. Pour que tout ce monde s’entende, la consommation de viande a été interdite, bien sûr, le marché noir existe et les habitants ne sont pas à l’abri de se faire dévorer. Chacune de ces histoires met en scène des duos improbables ou des situations inhabituelles, jouant sur les différences entre les espèces, elles finissent toujours positivement allant contre la nature elle-même. Au final on a une lecture sympathique et distrayante, avec des histoires plus ou moins intéressantes mais toujours bien faites et profondément originales. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/beast-complex-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. Nickad

    On l'a fait tome 1

    Une critique de Y_Kanzaki "Une vie raisonnable me suffit. Je ne cours après aucun rêve insensé, et je ne me prends pas pour ce que je ne suis pas. [...] Je me contenterai d'une vie raisonnablement amusante." Tels sont les mots de Tobio, lycéen banal passant son temps libre à s'amuser avec ses trois acolytes. Jusqu'au jour où un simple geste pour faire rire déclenche une avalanche de problèmes. Peut-être le début d'une descente aux enfers … Honnêtement, en lisant le résumé, je pensais à beaucoup d'évènements mais pas à ça. La vie banale et ordinaire de ces quatre jeunes est très bien représentée, les visages sont marqués mais pas stéréotypés, on ressent bien l'atmosphère du groupe. De plus, l'évènement déclencheur est tel que moi, lectrice, n'y ait pas prêté attention. Jusqu'où ira leur fidèle amitié ? Jusqu'où ira leur soif de revanche ? Un premier tome vraiment sympa qui donne envie de savoir la suite. Un de mes coups de cœur Noeve Grafx. A ne pas mettre entre les mains des plus jeunes
  10. Nickad

    On l'a fait tome 1

    Titre de l'album : On l'a fait tome 1 Scenariste de l'album : KANESHIRO Muneyuki Dessinateur de l'album : ARAKI Hikaru Coloriste : Editeur de l'album : Noeve Grafx Note : Résumé de l'album : “On va au lycée. On joue au bowling. On regarde la télé. On veut baiser. C’est la belle vie !” Tobio se satisfait de sa situation et n’a aucune ambition. Maru dénigre les autres, dans leur dos bien sûr. Isami aime les filles et surtout les grosses poitrines. Paisen a terminé le lycée depuis deux ans et traîne aux crochets de ses riches parents. Les quatre amis mènent une vie insouciante et complaisante, avec pour seule préoccupation que cela continue ainsi. Jusqu’au jour où Maru est passé à tabac par une bande de délinquants. Hors de question de laisser cela impuni. Mais si la vengeance tourne au drame, que restera-t-il de l’insouciance ? Critique : Une critique de Y_Kanzaki "Une vie raisonnable me suffit. Je ne cours après aucun rêve insensé, et je ne me prends pas pour ce que je ne suis pas. [...] Je me contenterai d'une vie raisonnablement amusante." Tels sont les mots de Tobio, lycéen banal passant son temps libre à s'amuser avec ses trois acolytes. Jusqu'au jour où un simple geste pour faire rire déclenche une avalanche de problèmes. Peut-être le début d'une descente aux enfers … Honnêtement, en lisant le résumé, je pensais à beaucoup d'évènements mais pas à ça. La vie banale et ordinaire de ces quatre jeunes est très bien représentée, les visages sont marqués mais pas stéréotypés, on ressent bien l'atmosphère du groupe. De plus, l'évènement déclencheur est tel que moi, lectrice, n'y ait pas prêté attention. Jusqu'où ira leur fidèle amitié ? Jusqu'où ira leur soif de revanche ? Un premier tome vraiment sympa qui donne envie de savoir la suite. Un de mes coups de cœur Noeve Grafx. A ne pas mettre entre les mains des plus jeunes Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/on-l-a-fait-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. Nickad

    Le Molosse

    Une critique de Kevin Nivek Il s'est fait attendre ce nouvel opus de Gou Tanabe , j'aime particulièrement ses adaptations de Lovecraft , surtout son dessin je dois bien l'avouer . Et bien , j'ai été un peu déçu , il est possible que les thèmes de ses nouvelles ne prêtent guère à créer de belles planches : un sous-marin , un cimetière de Hollande , le désert . Je n'ai pas retrouvé ces planches sublimes des adaptations précédentes , ni cette lumière "clair-obscur" qu'il maîtrise à la perfection . Je suis dur , mais le niveau est tellement incroyable depuis les premières sorties ! Le thème , maintenant , Tanabe a inclus deux nouvelles : Le temple et Le molosse . C'est amusant car en commençant ma lecture j'ai eu un sentiment de "déjà-vu" , avec cette bd : https://www.bdfugue.com/u-29-ne Bd que j'ai depuis longtemps et qui me laisse un bon souvenir en bon passionné de sous-marins . Il devenait donc intéressant de s'immerger (si j'ose dire) dans la vision d'un autre artiste de l'œuvre . C'est propre , mais les expressions des visages sont un peu figées par moment , alors qu'ils affrontent l'horreur et la mort . De plus j'ai eu presque un sentiment de raccourcis , bref , tout passe trop vite et se finit bien trop rapidement . On aborde ensuite Le molosse , qui nous ramène dans cette université de Miskatonic (que l'on retrouve dans presque toutes ses romans) avec deux étudiants travaillant sur le fameux livre maudit : le nécronomicon . Il va les emmener jusqu'en Hollande , pour profaner une tombe détenant un secret , qui aurait dû rester enfoui , vous vous en doutez bien 😀 . Il s'agit bel et bien de ma première (légère) déception de ces adaptations . J'ignore combien il en reste , mais gageons que la suite nous réserve de bonnes surprises .
  12. Nickad

    Le Molosse

    Titre de l'album : Le Molosse Scenariste de l'album : H.P. LOVECRAFT - TANABE Gou Dessinateur de l'album : TANABE Gou Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Un voyage aux tréfonds de notre monde, là où se tapit l'innommable... Dans "Le Temple', un sous-marin allemand isolé en haute mer est victime d'une étrange malédiction. La peur s'empare de l'équipage et entraîne le vaisseau au plus profond des abysses, là où aucun homme n'est encore allé... Les héros du "Molosse', eux, n'hésitent pas à profaner des tombes pour assouvir leur passion de l'occulte. Fervents lecteurs de leur copie du Necronomicon, ouvrage de magie noire, ils vont découvrir que certaines choses doivent rester enfouies à jamais... Ce même Necronomicon guide le voyageur de "La Cité sans nom' au milieu du désert. Là, l'homme comprend que sa civilisation n'est pas la seule sur Terre, et que l'être humain est bien petit face aux forces de l'inconnu... De son trait sombre et réaliste reconnaissable entre tous, Gou Tanabe met en images les pires cauchemars imaginés par H. P. Lovecraft, le maître du fantastique et de l'horreur. Aux frontières des mondes, les protagonistes mènent une lutte sans espoir pour ne pas sombrer dans la folie ! Critique : Une critique de Kevin Nivek Il s'est fait attendre ce nouvel opus de Gou Tanabe , j'aime particulièrement ses adaptations de Lovecraft , surtout son dessin je dois bien l'avouer . Et bien , j'ai été un peu déçu , il est possible que les thèmes de ses nouvelles ne prêtent guère à créer de belles planches : un sous-marin , un cimetière de Hollande , le désert . Je n'ai pas retrouvé ces planches sublimes des adaptations précédentes , ni cette lumière "clair-obscur" qu'il maîtrise à la perfection . Je suis dur , mais le niveau est tellement incroyable depuis les premières sorties ! Le thème , maintenant , Tanabe a inclus deux nouvelles : Le temple et Le molosse . C'est amusant car en commençant ma lecture j'ai eu un sentiment de "déjà-vu" , avec cette bd : https://www.bdfugue.com/u-29-ne Bd que j'ai depuis longtemps et qui me laisse un bon souvenir en bon passionné de sous-marins . Il devenait donc intéressant de s'immerger (si j'ose dire) dans la vision d'un autre artiste de l'œuvre . C'est propre , mais les expressions des visages sont un peu figées par moment , alors qu'ils affrontent l'horreur et la mort . De plus j'ai eu presque un sentiment de raccourcis , bref , tout passe trop vite et se finit bien trop rapidement . On aborde ensuite Le molosse , qui nous ramène dans cette université de Miskatonic (que l'on retrouve dans presque toutes ses romans) avec deux étudiants travaillant sur le fameux livre maudit : le nécronomicon . Il va les emmener jusqu'en Hollande , pour profaner une tombe détenant un secret , qui aurait dû rester enfoui , vous vous en doutez bien 😀 . Il s'agit bel et bien de ma première (légère) déception de ces adaptations . J'ignore combien il en reste , mais gageons que la suite nous réserve de bonnes surprises . Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-chefs-d-oeuvre-de-lovecraft-le-molosse?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. Nickad

    Sweet home tome 3

    En voulant ramener les deux enfants dans un endroit sûr, Hyeon-Su rencontre d’autres survivants, ensembles ils affrontent deux monstres pour sauver les enfants et se mettre à l’abri. On ne peut pas dire qu’il y ait beaucoup d’avancée dans l’action de cette histoire par contre, il y a pas mal de passages où des soi-disant experts essayent de comprendre le phénomène, des informations sont aussi données sur les façons de combattre les monstres. Le point intéressant c’est que Hyeon-Su sait qu’il est infecté et que l’auteur laisse entrevoir que l’évolution humain/monstre tient beaucoup du mental et de la volonté. Si globalement l’idée est intéressante, on aurait aimé qu’il y ait un peu plus d’événements dans un volume pour donner un peu plus de rythme et de dynamisme à l’histoire, même la partie horrifique n’est pas exploitée complétement et passée la surprise du 1er tome, le manga n’est pas à la hauteur de ce qu’il pourrait être.
  14. Nickad

    Sweet home tome 3

    Titre de l'album : Sweet home tome 3 Scenariste de l'album : CARNBY Kim Dessinateur de l'album : HWANG Youngchan Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : ans famille, sans amis, sans espoir... un reclus peut-il survivre à l'apocalypse ? Depuis son écran, Hyeon-Su assiste à l'effondrement de la civilisation et à l'avènement des monstres jusqu'aux plus hautes sphères de l'État ! Mais pour lui, au fond, c¸a ne change rien... Le monde est tout aussi effrayant qu'avant et le mieux est encore de rester cloîtré. Seulement voilà, la nourriture commence à manquer. L'adolescent se risque alors à mettre le nez hors de son appartement... et se retrouve face à une créature cauchemardesque dont la tête est à moitié coupée ! À présent qu'elle a pénétré chez lui, le jeune homme parviendra-t-il à lui échapper ? La série phénomène du web coréen débarque en France ! Avec son anti- héros lâché en pleine apocalypse, ce huis clos horrifique vous tiendra en haleine de bout en bout. Déjà adapté en drama sur Netflix, Sweet Home n'a pas fini de faire parler de lui ! Critique : En voulant ramener les deux enfants dans un endroit sûr, Hyeon-Su rencontre d’autres survivants, ensembles ils affrontent deux monstres pour sauver les enfants et se mettre à l’abri. On ne peut pas dire qu’il y ait beaucoup d’avancée dans l’action de cette histoire par contre, il y a pas mal de passages où des soi-disant experts essayent de comprendre le phénomène, des informations sont aussi données sur les façons de combattre les monstres. Le point intéressant c’est que Hyeon-Su sait qu’il est infecté et que l’auteur laisse entrevoir que l’évolution humain/monstre tient beaucoup du mental et de la volonté. Si globalement l’idée est intéressante, on aurait aimé qu’il y ait un peu plus d’événements dans un volume pour donner un peu plus de rythme et de dynamisme à l’histoire, même la partie horrifique n’est pas exploitée complétement et passée la surprise du 1er tome, le manga n’est pas à la hauteur de ce qu’il pourrait être. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sweet-home-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. Shinnosuke est de retour en ville, le vrai, l’adulte, revient malgré en tant que musicien accompagnateur, loin de la star qu’il espérait être, il est plus que mal à l’aise avec ses anciens amis. Et puis, dans le bâtiment où il répétait étant jeune, un jeune Shinnosuke est aussi présent, encore plein de rêves d’adolescents, pour le moment seuls Aoi et son ami de lycée sont au courant de cette apparition surnaturelle et essayent de savoir pourquoi il est là. Par rapport au 1er tome que l’on sentait plus intimiste, celui-ci est plus concret : les personnages se retrouvent en face d’une certaine réalité et vont devoir affronter leur passé, leur choix et le changement dans leurs relations. Le « Shinnosuke jeune » apporte de la fantaisie à l’histoire mais au bout du compte il s’agit seulement de relations humaines entre rêves et déceptions. Si jusqu'à présent, c'était un manga agréable mais sans plus, la fin du tome 2 gagne en intérêt et me donne vraiment envie d'aller lire la suite.
  16. Titre de l'album : Le bleu du ciel dans ses yeux tome 2 Scenariste de l'album : CHOU Heiwa Busters , NUKAGA Mio Dessinateur de l'album : NINAGAWA Yaeko Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt - Tonkam Note : Résumé de l'album : Aoi Aioi, une lycéenne de 17 ans passe son temps à jouer de la basse au lieu de préparer ses examens. Elle inquiète sa sœur ainée, Akane, qui endosse le rôle de parents, lorsqu'un jour Aoi voit apparaître sous ses yeux un certain «?Shinno?». Il ressemble étrangement à Shinnosuke, l'ex-petit ami d'Akane, parti vivre à Tokyo après le lycée et dont elle n'avait plus eu de nouvelles... Critique : Shinnosuke est de retour en ville, le vrai, l’adulte, revient malgré en tant que musicien accompagnateur, loin de la star qu’il espérait être, il est plus que mal à l’aise avec ses anciens amis. Et puis, dans le bâtiment où il répétait étant jeune, un jeune Shinnosuke est aussi présent, encore plein de rêves d’adolescents, pour le moment seuls Aoi et son ami de lycée sont au courant de cette apparition surnaturelle et essayent de savoir pourquoi il est là. Par rapport au 1er tome que l’on sentait plus intimiste, celui-ci est plus concret : les personnages se retrouvent en face d’une certaine réalité et vont devoir affronter leur passé, leur choix et le changement dans leurs relations. Le « Shinnosuke jeune » apporte de la fantaisie à l’histoire mais au bout du compte il s’agit seulement de relations humaines entre rêves et déceptions. Si jusqu'à présent, c'était un manga agréable mais sans plus, la fin du tome 2 gagne en intérêt et me donne vraiment envie d'aller lire la suite. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-bleu-du-ciel-dans-ses-yeux-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. Nickad

    Happy Land tomes 1 et 2 (fin)

    Bienvenue dans le parc d’attraction le plus mortel qui soit, si vous souhaitez survivre il vous faudra dévoiler vos sombres secrets ! Happy land est un manga violent et gore qui ne manque pas d’imagination pour mettre fin à la vie de ses personnages (âme sensible s’abstenir). Dans le genre horreur, c’est une réussite qui vous glace le sang. Ce qui est en plus intéressant c’est de se demander si à leur place on aurait des secrets qui permettraient de nous en sortir, mais les personnages sont à un tel niveau qu’on ferait parti des 1ères victimes !! Happy Land, ce n’est pas qu’un jeu de massacre car il y a une conclusion et une fin que je n’avais pas vue venir et comme en plus, c’est une série en 2 tomes, il n’y a aucune raison de s’en priver si ce n’est l’âge du lectorat.
  18. Titre de l'album : Happy Land tomes 1 et 2 (fin) Scenariste de l'album : HONDA Shingo Dessinateur de l'album : HONDA Shingo Coloriste : Editeur de l'album : Omaké Note : Résumé de l'album : La famille Komiya est une famille sans histoire : les deux parents s'aiment et sont aimants envers leurs deux enfants. Ces derniers sont de brillants élèves et en bonne santé. Bref, en apparence, une famille idéale qui avait tout pour être heureuse ! C'est du moins ce qu'ils croyaient jusqu'à ce que le père décide d'emmener la petite tribu passer une journée au parc Happy Land. Dans ce parc aux attractions extrêmes, les secrets les plus inavouables vont surgir et faire exploser les faux-semblants. Littéralement... Critique : Bienvenue dans le parc d’attraction le plus mortel qui soit, si vous souhaitez survivre il vous faudra dévoiler vos sombres secrets ! Happy land est un manga violent et gore qui ne manque pas d’imagination pour mettre fin à la vie de ses personnages (âme sensible s’abstenir). Dans le genre horreur, c’est une réussite qui vous glace le sang. Ce qui est en plus intéressant c’est de se demander si à leur place on aurait des secrets qui permettraient de nous en sortir, mais les personnages sont à un tel niveau qu’on ferait parti des 1ères victimes !! Happy Land, ce n’est pas qu’un jeu de massacre car il y a une conclusion et une fin que je n’avais pas vue venir et comme en plus, c’est une série en 2 tomes, il n’y a aucune raison de s’en priver si ce n’est l’âge du lectorat. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/happy-land-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. Nickad

    Nous irons manger du crabe tome 1

    Un jeune homme désespéré et prêt à mettre fin à ses jours croise un jour la route d’une belle femme qui semble riche. Pour pouvoir exaucer son dernier vœu d’aller manger du crabe à Hokkaido, il la suit pour pouvoir lui dérober de l’argent mais les choses ne se passent pas comme prévu et les voilà tous les deux en route pour son dernier voyage. L’histoire commence calmement avec un homme disposé à mettre fin à ses jours, puis qui va faire une rencontre insolite le poussant à se remémorer son passé. Et peu à peu, l’histoire nous entraine avec elle, une compassion grandissante vers cet homme écorché à qui on a volé sa vie ; et une curiosité vers cette femme que l’on sent, elle aussi, fragile et blessée sans savoir pour le moment de quoi il retourne. On a envie d’accompagner ces personnages, on s’y attache vite et on espère qu’au bout du chemin il y aura un salut, une histoire prenante sans que l’on s’y attende. A découvrir ! Série finie en 8 tomes
  20. Titre de l'album : Nous irons manger du crabe tome 1 Scenariste de l'album : Gino0808 Dessinateur de l'album : Gino0808 Coloriste : Editeur de l'album : Noeve Grafx Note : Résumé de l'album : Un jour d'été, sous la chaleur étouffante et le chant assourdissant des cigales, un homme tente de mettre fin à ses jours. Seul, sans emploi, sans argent, il n'a rien ... pas même le courage de faire le dernier pas. Au fond du trou, il réalise qu'il n'a jamais mangé de crabe de sa vie et prend une décision: ce sera son dernier repas. Il cible a lors une riche épouse solitaire dans l'idée de lui dérober l'argent pour s'offrir ce mets ... mais c'est un dernier voyage inattendu qui commence pour lui comme pour elle. Critique : Un jeune homme désespéré et prêt à mettre fin à ses jours croise un jour la route d’une belle femme qui semble riche. Pour pouvoir exaucer son dernier vœu d’aller manger du crabe à Hokkaido, il la suit pour pouvoir lui dérober de l’argent mais les choses ne se passent pas comme prévu et les voilà tous les deux en route pour son dernier voyage. L’histoire commence calmement avec un homme disposé à mettre fin à ses jours, puis qui va faire une rencontre insolite le poussant à se remémorer son passé. Et peu à peu, l’histoire nous entraine avec elle, une compassion grandissante vers cet homme écorché à qui on a volé sa vie ; et une curiosité vers cette femme que l’on sent, elle aussi, fragile et blessée sans savoir pour le moment de quoi il retourne. On a envie d’accompagner ces personnages, on s’y attache vite et on espère qu’au bout du chemin il y aura un salut, une histoire prenante sans que l’on s’y attende. A découvrir ! Série finie en 8 tomes Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/nous-irons-manger-du-crabe-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. Nickad

    Les enfants d'Hippocrate tome 4

    Un 4eme tome un peu plus « médical » axée sur la maladie de la jeune Tomorin : la leucémie. D’un côté, on voit comment elle vit au quotidien sa maladie avec les changements au niveau physique mais aussi la communication autour : comment parler de sa maladie, comment l’appréhender, comment son entourage réagit à cet état. D’autre part, on a le point de vue des médecins, celui qui cherche un traitement plus classique et moins agressif et celui qui opte pour une opération avec les risques que cela entraine. Un tome très intéressant où l’on comprend qu’il n’y a pas de solution toute faite au traitement d’un cas, où il faut prendre en considération tous les risques et qui explique pourquoi il peut y avoir des divergences dans l’opinion des médecins sans qu’il y en ait un qui soit en tort. On découvre aussi pourquoi le frère de Maco est aussi froid et distant avec ses patients, ne pas trop s’impliquer émotionnellement permet de préserver aussi le médecin, un point de vue qui se défend. Les enfants d’Hippocrate est un manga qui nous apprend beaucoup sur le monde de la médecine et sur la pédiatrie mais c’est surtout un manga profondément humain qui sait faire vibrer notre corde sensible.
  22. Titre de l'album : Les enfants d'Hippocrate tome 4 Scenariste de l'album : HIGASHIMOTO Toshiya Dessinateur de l'album : HIGASHIMOTO Toshiya Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : Il en va de notre responsabilité de médecin de toujours penser à l'hypothèse la moins favorable. Hideki et Maco ont officiellement commencé à travailler ensemble au sein de la clinique de leur père : le premier officiant comme chirurgien pédiatrique, le second comme pédiatre. Mais de nombreuses divergences opposent les deux frères, qui ne possèdent pas la même approche quant à l'écoute et aux soins à prodiguer à leurs patients. Maco, qui en ressort profondément troublé, est d'autant plus affecté par les maux dont souffre Tomorin, atteinte d'une leucémie. Sa disparition soudaine intensifie le conflit entre les membres de la famille Suzukake... Critique : Un 4eme tome un peu plus « médical » axée sur la maladie de la jeune Tomorin : la leucémie. D’un côté, on voit comment elle vit au quotidien sa maladie avec les changements au niveau physique mais aussi la communication autour : comment parler de sa maladie, comment l’appréhender, comment son entourage réagit à cet état. D’autre part, on a le point de vue des médecins, celui qui cherche un traitement plus classique et moins agressif et celui qui opte pour une opération avec les risques que cela entraine. Un tome très intéressant où l’on comprend qu’il n’y a pas de solution toute faite au traitement d’un cas, où il faut prendre en considération tous les risques et qui explique pourquoi il peut y avoir des divergences dans l’opinion des médecins sans qu’il y en ait un qui soit en tort. On découvre aussi pourquoi le frère de Maco est aussi froid et distant avec ses patients, ne pas trop s’impliquer émotionnellement permet de préserver aussi le médecin, un point de vue qui se défend. Les enfants d’Hippocrate est un manga qui nous apprend beaucoup sur le monde de la médecine et sur la pédiatrie mais c’est surtout un manga profondément humain qui sait faire vibrer notre corde sensible. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-enfants-d-hippocrate-tome-4?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. Avec le choix français du titre, je suis forcément partie sur l’idée d’une histoire telle que les désastreuses aventures des orphelins Baudelaire, titre à mon avis pas forcément judicieux au vu de ce que le manga contient. Pour information le titre original boku no gemini signifie simplement mes jumeaux. Le manga commence gentiment dans une école ou les jumeaux Stevenson sont un peu les stars (surtout par leur physique), mais un jour l’un des deux décède. Le meilleur ami des jumeaux et le seul qui arrivait à les distinguer, cherche à aider le survivant mais par moment a aussi des doutes sur son identité. Vient alors le passage sur le deuil, le réconfort mais aussi le questionnement quand on découvre que le défunt avait caché des informations à son frère. Après un début gentillet mais sans plus, l’histoire gagne en profondeur, abordant le lien très particulier qui existe entre des jumeaux et le vide causé par l’absence d’un être aimé. L’autrice renforce l’image de ce lien en utilisant les noms de Jekyll et Hyde, comme deux faces d’une même pièce, prolongeant le doute sur l’identité et finit par un dernier chapitre émouvant donnant tout son sens à l’histoire. Extrait
  24. Titre de l'album : La désastreuse histoire des jumeaux Stevenson Scenariste de l'album : MORIKAWA Yuu Dessinateur de l'album : MORIKAWA Yuu Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : La fierté de John?? Être le meilleur ami des frères jumeaux Jekyll et Hyde, les stars de l'école. Les jumeaux ont pour habitude de s'échanger leurs personnalités. Le seul à le remarquer, c'est John. Un jour, soudainement, Jekyll meurt laissant son frère seul. Depuis, il arrive parfois que John voie Jekyll en Hyde. Lequel des deux est vraiment mort ce jour-là?? Critique : Avec le choix français du titre, je suis forcément partie sur l’idée d’une histoire telle que les désastreuses aventures des orphelins Baudelaire, titre à mon avis pas forcément judicieux au vu de ce que le manga contient. Pour information le titre original boku no gemini signifie simplement mes jumeaux. Le manga commence gentiment dans une école ou les jumeaux Stevenson sont un peu les stars (surtout par leur physique), mais un jour l’un des deux décède. Le meilleur ami des jumeaux et le seul qui arrivait à les distinguer, cherche à aider le survivant mais par moment a aussi des doutes sur son identité. Vient alors le passage sur le deuil, le réconfort mais aussi le questionnement quand on découvre que le défunt avait caché des informations à son frère. Après un début gentillet mais sans plus, l’histoire gagne en profondeur, abordant le lien très particulier qui existe entre des jumeaux et le vide causé par l’absence d’un être aimé. L’autrice renforce l’image de ce lien en utilisant les noms de Jekyll et Hyde, comme deux faces d’une même pièce, prolongeant le doute sur l’identité et finit par un dernier chapitre émouvant donnant tout son sens à l’histoire. Extrait Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-desastreuse-histoire-des-jumeaux-stevenson?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. Nickad

    Navillera tome 1

    Shim Deokchul un presque septuagénaire décide de réaliser un rêve de jeunesse : devenir danseur de ballet. Sa famille ne le comprend pas du tout et mis à part son second fils, tous les autres se moquent lui disant qu’il a passé l’âge et surtout ayant peur que sa passion apporte la honte sur la famille. Malgré tout, il va rencontrer un professeur de danse qui n’est pas non plus convaincu, il lui propose quand même de venir observer les cours, c’est là qu’il va rencontrer Lee Chaerok, un jeune danseur prometteur qui semble avoir une vie compliquée. Il y a un certain nombre de thèmes abordés dans ce 1er tome : la vieillesse, la réalisation des rêves, le deuil, le sport… Mais ce qui marque le plus c’est les préjugés qui existent envers les personnes âgées, les modes de vie que la société quelque part leur impose pour rentrer dans les normes de la bienséance. Avant même de penser au bien-être de leur père qui n’a pas toujours eu la vie facile, sa famille se soucie en premier du regard des autres et c’est assez choquant de voir ça. Mais le manga promet de belles choses, la rencontre de ces deux personnages mus par une même passion, le changement qui va s’opérer parmi l’entourage de Shim Deokchul et l’opinion publique en général. Ajouté à cela, un beau rendu des mouvements de danse, on comprend pourquoi le titre a été adapté en drama (visible sur netflix). A découvrir. Extrait
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