Aller au contenu
  • S’inscrire

Rechercher dans la communauté

Affichage des résultats pour les étiquettes 'seinen'.

  • Rechercher par étiquettes

    Saisir les étiquettes en les séparant par une virgule.
  • Rechercher par auteur

Type du contenu


Forums

  • Les forums BD
    • Toute la BD
    • Projets participatifs
    • Petites Annonces BD
    • Liens BD vers ailleurs
  • Et si on parlait d'autre chose que la bande dessinée ?
    • Améliorons 1001BD
    • Films et séries TV
    • 1001 Jeux Video
    • Livres - Musique - Spectacles - Théatre - Musées
    • 1001 choses à dire
  • TEAM

Rechercher les résultats dans…

Rechercher les résultats qui contiennent…


Date de création

  • Début

    Fin


Dernière mise à jour

  • Début

    Fin


Filtrer par nombre de…

Inscription

  • Début

    Fin


Groupe


  1. Je trouvais que le concept de départ de l’histoire était intéressant et innovant : pas le côté isekai mais l’aspect harem ! Sauf qu’arrivé au 5eme tome, le pauvre garçon n’a toujours qu’une fille dans son harem !!! Bon sang, mais que c’est lent !! Pas seulement cet aspect mais toute la narration. Car voyez-vous notre héros, explorateur de donjon, progresse petit à petit ; normal me direz-vous, car c’est plus réaliste que ceux qui réussissent tout en 2 minutes grâce à des capacités monstrueuses, certes mais là il décrit tout mais absolument tout : nous avons croisé un monstre, j’ai fait comme ceci, et Roxanne a fait comme cela… Là on en a croisé deux, alors elle a fait tel mouvement, j’ai invoqué tel sort… On a acheté une nouvelle maison, quels meubles je vais choisir, oh et puis je vais mettre cette chaise à cet endroit et cette étagère ici… Que de blabla !!! Il y en a trop, tout le temps, le peu d’action du livre se retrouve noyé dans une masse d’informations barbantes. Alors on s’ennuie, on perd de l’intérêt, où est donc la promesse du titre ? A quand le harem ?
  2. Titre de l'album : Harem in the fantasy world dungeon tome 5 Scenariste de l'album : SOGANO Shachi Dessinateur de l'album : HYOUJOU Issei Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Michio a enfin son propre chez-soi. En cherchant à le meubler, il trouve un gros bac qui pourrait servir de bain et l'achète. Avec ça, il va pouvoir vivre sa vie rêvée et prendre des bains avec Roxanne ! Critique : Je trouvais que le concept de départ de l’histoire était intéressant et innovant : pas le côté isekai mais l’aspect harem ! Sauf qu’arrivé au 5eme tome, le pauvre garçon n’a toujours qu’une fille dans son harem !!! Bon sang, mais que c’est lent !! Pas seulement cet aspect mais toute la narration. Car voyez-vous notre héros, explorateur de donjon, progresse petit à petit ; normal me direz-vous, car c’est plus réaliste que ceux qui réussissent tout en 2 minutes grâce à des capacités monstrueuses, certes mais là il décrit tout mais absolument tout : nous avons croisé un monstre, j’ai fait comme ceci, et Roxanne a fait comme cela… Là on en a croisé deux, alors elle a fait tel mouvement, j’ai invoqué tel sort… On a acheté une nouvelle maison, quels meubles je vais choisir, oh et puis je vais mettre cette chaise à cet endroit et cette étagère ici… Que de blabla !!! Il y en a trop, tout le temps, le peu d’action du livre se retrouve noyé dans une masse d’informations barbantes. Alors on s’ennuie, on perd de l’intérêt, où est donc la promesse du titre ? A quand le harem ? Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/harem-in-the-fantasy-world-dungeon-tome-5?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Nickad

    Pakka tome 1

    Kei est un jeune lycéen qui pensait avoir un don en natation jusqu’au moment où il s’est fait dépasser par une fille. Sauf que la fille en question est une mie d’enfance qu’il n’avait pas vu depuis longtemps et dont il est amoureux. Assez maladroit, il lui propose un marché : sortir avec lui s’il remporte la prochaine course de natation. Alors qu’il s’entraine et qu’il est prix par une crampe, une autre jeune fille vient le sauver… en le transformant en kappa. Si le manga commence comme une romance entre lycéen, l’apparition des kappas apporte une touche de fantastique et de fantaisie agréable. Les kappas ne font pas vraiment parti de notre culture et nous n’avons pas la connaissance qu’il faut pour comprendre leur position dans la vie japonaise, il y a donc peut-être une implication qui nous échappe. Mais si on s’en tient au fantastique, le scenario nous mène sur des chemins originaux où notre héros va devoir aller chercher plus loin que les apparences. Finalement, je me demande si derrière cette comédie, l’auteur n’essaierait pas de nous donner une leçon sur l’acceptation des différences… En tout cas, que l’on prenne cette histoire au 1er au 2nd niveau, la lecture est agréable et fluide et donne envie d’en savoir plus.
  4. Nickad

    Pakka tome 1

    Titre de l'album : Pakka tome 1 Scenariste de l'album : IMAI Daisuke Dessinateur de l'album : IMAI Daisuke Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : « Je m'appelle Kei Suemori. Je viens d'entrer au lycée. Et au club de natation, je me suis fait laminer par une fille... ». Autrefois star de la piscine au collège, Kei se fait battre à plate couture par Saki Hanazono dès son entrée au lycée. Déterminé à conquérir le cœur de son amie d'enfance, le jeune homme, qui a toujours refusé les efforts, décide alors de lui imposer un pari : s'il parvient à lui arracher une victoire, elle devra sortir avec lui ! Mais comment se lancer à fond quand tout a toujours été trop facile ? Sa transformation en kappa suite à un baiser échangé avec sa camarade Shizuku Kawano changera-t-elle la donne ?! Avec Pakka, retrouvez Daisuke Imai dans un subtil ballet amoureux bercé de folklore japonais, sous l'eau et sur la terre ferme... Critique : Kei est un jeune lycéen qui pensait avoir un don en natation jusqu’au moment où il s’est fait dépasser par une fille. Sauf que la fille en question est une mie d’enfance qu’il n’avait pas vu depuis longtemps et dont il est amoureux. Assez maladroit, il lui propose un marché : sortir avec lui s’il remporte la prochaine course de natation. Alors qu’il s’entraine et qu’il est prix par une crampe, une autre jeune fille vient le sauver… en le transformant en kappa. Si le manga commence comme une romance entre lycéen, l’apparition des kappas apporte une touche de fantastique et de fantaisie agréable. Les kappas ne font pas vraiment parti de notre culture et nous n’avons pas la connaissance qu’il faut pour comprendre leur position dans la vie japonaise, il y a donc peut-être une implication qui nous échappe. Mais si on s’en tient au fantastique, le scenario nous mène sur des chemins originaux où notre héros va devoir aller chercher plus loin que les apparences. Finalement, je me demande si derrière cette comédie, l’auteur n’essaierait pas de nous donner une leçon sur l’acceptation des différences… En tout cas, que l’on prenne cette histoire au 1er au 2nd niveau, la lecture est agréable et fluide et donne envie d’en savoir plus. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/pakka-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. Nickad

    Clover Cinderella

    Le plus étrange dans cette lecture, c’est le sentiment de déjà vu, j’ai vraiment eu l’impression d’avoir déjà lu ce livre alors qu’il n’avait jamais été publié en France auparavant. Est-ce parce que le scenario est cousu de fil blanc ? Ou est-ce parce que le sujet a déjà été traité ailleurs ? Je ne saurai le dire, ce qui est sûr, c’est qu’il n’y avait pas de surprise dans le déroulement de l’histoire. Concernant l’histoire tout est un peu trop facile : la fille est là, tout réussit, elle n’est pas là tout foire ! Mais attention pas une simple réussite, non, on passe carrément des poubelles aux étoiles !! Et puis le comportement de la fille n’est pas cohérent, elle cherche désespérément à être aimé pour ce qu’elle est et non pas pour la chance qu’elle apporte aux autres et la 1ère chose qu’elle dit c’est : qu’elle chance j’ai, je vais la partager avec toi ! Il ne faut pas s’étonner qu’elle ne trouve pas la bonne personne… Cependant, si on ne s’arrête pas à la vraisemblance et que l’on prend le récit comme un conte de Noël magique, le manga se lit plutôt bien. Et puis il y a quand même un message : il ne faut pas compter sur des croyances comme la chance mais faire un effort pour réussir !
  6. Nickad

    Clover Cinderella

    Titre de l'album : Clover Cinderella Scenariste de l'album : AKASHI Hideyuki Dessinateur de l'album : AKASHI Hideyuki Coloriste : Editeur de l'album : Omaké Note : Résumé de l'album : Jusque là, le trentenaire Tokichi Kinuta se considérait comme « le mec qui a le plus de poisse au monde ». Et ce, dans tous les domaines de sa vie : études, travail, ami, argent et bien sûr amour. Rien ne lui a jamais réussi et tout s'est toujours terminé en catastrophe pour lui. Jusqu'à ce que ce mangaka sans succès tombe (littéralement) sur une jeune femme qui se considère en revanche comma « la nana la plus chanceuse du monde » ! Du jour au lendemain, l'équilibre de leur vie va alors prendre un tout nouveau pendant, à l'issue totalement imprévisible... Critique : Le plus étrange dans cette lecture, c’est le sentiment de déjà vu, j’ai vraiment eu l’impression d’avoir déjà lu ce livre alors qu’il n’avait jamais été publié en France auparavant. Est-ce parce que le scenario est cousu de fil blanc ? Ou est-ce parce que le sujet a déjà été traité ailleurs ? Je ne saurai le dire, ce qui est sûr, c’est qu’il n’y avait pas de surprise dans le déroulement de l’histoire. Concernant l’histoire tout est un peu trop facile : la fille est là, tout réussit, elle n’est pas là tout foire ! Mais attention pas une simple réussite, non, on passe carrément des poubelles aux étoiles !! Et puis le comportement de la fille n’est pas cohérent, elle cherche désespérément à être aimé pour ce qu’elle est et non pas pour la chance qu’elle apporte aux autres et la 1ère chose qu’elle dit c’est : qu’elle chance j’ai, je vais la partager avec toi ! Il ne faut pas s’étonner qu’elle ne trouve pas la bonne personne… Cependant, si on ne s’arrête pas à la vraisemblance et que l’on prend le récit comme un conte de Noël magique, le manga se lit plutôt bien. Et puis il y a quand même un message : il ne faut pas compter sur des croyances comme la chance mais faire un effort pour réussir ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/clover-cinderella?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Nickad

    Poison quotidien tome 3

    Takai a contacté Yusuke en pleine nuit, il le prévient qu’il a rencontré quelqu’un de dangereux et d’incontrôlable qui compte bien s’en prendre à leur bourreau Taniwaki. Et quand ce dernier disparaît, Yusuke se trouve en face d’un dilemme : doit-il aider la petite amie de Taniwaki à le chercher ou non ? Car au fond de lui, il a déjà espéré sa disparition… D’un côté il y a Yusuke, résolument le personnage principal, dont la vie s’améliore assez rapidement, qui est plus occupé à se poser des questions sur sa relation avec Nagumo qu’à se focaliser sur ses problèmes avec son ennemi Tanikawi et son ami Takai. Je trouve que certaines de ses attitudes sont un peu faciles, il laisse vite tomber son ami et passe outre son ressentiment rapidement. Sa relation amoureuse passe au 1er plan du récit, laissant l’aspect amertume de ces petites choses qui sont censées le ronger. Et puis il y a Takai, qui vit différemment ces violences et que l’on n’aperçoit presque plus alors que cela aurait pu apporter un autre point de vue. L’arrivée du personnage mystérieux et dangereux semble relancer un peu le sujet de départ, et bien que l’histoire reste intéressante, j’espère que l’on va s’appesantir un peu plus sur la psychologie des personnages face à ces « poisons quotidiens »
  8. Titre de l'album : Poison quotidien tome 3 Scenariste de l'album : FURUYA Minoru Dessinateur de l'album : FURUYA Minoru Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : Yusuke Ogino est un lycéen complètement banal. Avec son meilleur pote, Takao Takai, il se fait sans cesse harceler, racketter. Et parce qu'il ne sait pas comment réagir, il lui est parfois plus simple de se laisser être la victime. Alors pour s'échapper, il rêve de liberté, de passer son permis moto et de rouler, parcourir le Japon, pour être libre... Mais ce foutu quotidien, toujours, il revient, il vous étouffe, il vous empoisonne. Est-ce qu'un jour, enfin, le bonheur frappera à sa porte ? Critique : Takai a contacté Yusuke en pleine nuit, il le prévient qu’il a rencontré quelqu’un de dangereux et d’incontrôlable qui compte bien s’en prendre à leur bourreau Taniwaki. Et quand ce dernier disparaît, Yusuke se trouve en face d’un dilemme : doit-il aider la petite amie de Taniwaki à le chercher ou non ? Car au fond de lui, il a déjà espéré sa disparition… D’un côté il y a Yusuke, résolument le personnage principal, dont la vie s’améliore assez rapidement, qui est plus occupé à se poser des questions sur sa relation avec Nagumo qu’à se focaliser sur ses problèmes avec son ennemi Tanikawi et son ami Takai. Je trouve que certaines de ses attitudes sont un peu faciles, il laisse vite tomber son ami et passe outre son ressentiment rapidement. Sa relation amoureuse passe au 1er plan du récit, laissant l’aspect amertume de ces petites choses qui sont censées le ronger. Et puis il y a Takai, qui vit différemment ces violences et que l’on n’aperçoit presque plus alors que cela aurait pu apporter un autre point de vue. L’arrivée du personnage mystérieux et dangereux semble relancer un peu le sujet de départ, et bien que l’histoire reste intéressante, j’espère que l’on va s’appesantir un peu plus sur la psychologie des personnages face à ces « poisons quotidiens » Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/poison-quotidien-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. Nickad

    Les enfants d'Hippocrate tome 3

    Encore un très bon tome de cette série, si Maco, notre gentil pédiatre montre à nouveau tout son savoir-faire pour accompagner les patients et leur famille ; son frère, à peine débarqué, nous hérisse le poil ! Quand je parlais dans la critique des premiers tomes du médecin qui ne veut pas prendre de risque, en voilà un bel exemple !! La façon dont il répond à la grand-mère qui vient d’apprendre que sa petite-fille devait se faire opérer du cerveau est exécrable ! Mais cela montre bien, hélas, un des aspects du monde hospitalier japonais actuel. On découvre un peu plus le monde de la pédiatrie et on apprend aussi beaucoup sur la nature humaine. Un manga profondément juste et réaliste dont on attend la suite avec impatience.
  10. Titre de l'album : Les enfants d'Hippocrate tome 3 Scenariste de l'album : HIGASHIMOTO Toshiya Dessinateur de l'album : HIGASHIMOTO Toshiya Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : Maco a pris la décision de travailler dans la clinique pédiatrique de son père, à Kitahiroshima. Il s'occupe avec grand soin de sa nouvelle patiente, Tomorin, atteinte de leucémie. Voyant l'état de la jeune fille, inquiète et confuse face à un lourd traitement et à ses relations avec sa famille, Maco pense à ses liens avec son père : peut-il lui donner une nouvelle chance ? En parallèle, Hideki, le frère aîné de Maco et chirurgien pédiatrique, fait son grand retour au Japon... Critique : Encore un très bon tome de cette série, si Maco, notre gentil pédiatre montre à nouveau tout son savoir-faire pour accompagner les patients et leur famille ; son frère, à peine débarqué, nous hérisse le poil ! Quand je parlais dans la critique des premiers tomes du médecin qui ne veut pas prendre de risque, en voilà un bel exemple !! La façon dont il répond à la grand-mère qui vient d’apprendre que sa petite-fille devait se faire opérer du cerveau est exécrable ! Mais cela montre bien, hélas, un des aspects du monde hospitalier japonais actuel. On découvre un peu plus le monde de la pédiatrie et on apprend aussi beaucoup sur la nature humaine. Un manga profondément juste et réaliste dont on attend la suite avec impatience. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-enfants-d-hippocrate-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. Nickad

    JK HARU tome 4

    Une critique de Y_Kanzaki Après deux tomes un peu vides sans vraiment d’intérêt, nous repartons dans la critique de la société et en particulier du comportement des hommes envers les femmes, qui ne sont pour eux qu’un « trou pour se vider de son foutre ». Dans ce quatrième volume, nous assistons à un lavage de cerveau des soldats par leur commandant. Eux qui étaient autrefois gentils et attentionnés sont devenus de véritables barbares se croyant tout permis. Bien sûr, on est horrifié par la manière dont sont traitées Haru et ses copines, et cela donne une critique acérée des hommes misogynes et de leur comportement inacceptable. La fin laisse entrevoir un tome 5 tout aussi ignoble, et j’attends avec impatience la réaction de nos héroïnes.
  12. Nickad

    JK HARU tome 4

    Titre de l'album : JK HARU tome 4 Scenariste de l'album : HIRATORI Ko Dessinateur de l'album : YAMADA J-TA Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : La pluie qui tombe sur ce monde est douce et froide. Suite à un accident de la route, Haru Koyama, lycéenne, a atterri dans un monde parallèle et travaille désormais dans un bar qui fait aussi maison close. Un homme, qui ne visite l'établissement que les jours de pluie, attire son attention. Sikraso, l'une des autres prostituées a été appelée à la caserne des soldats. Critique : Une critique de Y_Kanzaki Après deux tomes un peu vides sans vraiment d’intérêt, nous repartons dans la critique de la société et en particulier du comportement des hommes envers les femmes, qui ne sont pour eux qu’un « trou pour se vider de son foutre ». Dans ce quatrième volume, nous assistons à un lavage de cerveau des soldats par leur commandant. Eux qui étaient autrefois gentils et attentionnés sont devenus de véritables barbares se croyant tout permis. Bien sûr, on est horrifié par la manière dont sont traitées Haru et ses copines, et cela donne une critique acérée des hommes misogynes et de leur comportement inacceptable. La fin laisse entrevoir un tome 5 tout aussi ignoble, et j’attends avec impatience la réaction de nos héroïnes. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/jk-haru-sex-worker-in-another-world-tome-4?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. Nickad

    Sex Education 120% tome 3 (fin)

    Le manga commence par un sujet sur la grossesse et l’avortement, c’est présenté intelligemment au travers d’un sketch fait par deux enseignantes mettant en situation une jeune fille qui aurait du retard dans ses règles. Puis la suite se penche sur les différents genres et la signification de LGBT+. Encore une fois, les différents thèmes sont présentés simplement en prenant des exemples afin que ces notions soient bien comprises et assimilées. Toujours abordées de façon objective et sans aucun jugement, ces leçons sur la sexualité sont très bien faites et peuvent servir de support auprès des adolescents. En plus, entre deux chapitres, il y a des questions réponses qui méritent la lecture, même les adultes peuvent apprendre des choses nouvelles. Un manga à découvrir et à utiliser.
  14. Titre de l'album : Sex Education 120% tome 3 (fin) Scenariste de l'album : TATAKI Kikiki Dessinateur de l'album : HOTOMURA Coloriste : Editeur de l'album : Ototo Note : Résumé de l'album : De nouveaux sondages viennent régulièrement rappeler combien l'anatomie féminine est méconnue et le plaisir féminin inconnu et voilà que soudain, armée d'une audace folle, son sweat à capuche plein de digues dentaires et de capotes, la professeur Tsuji débarque ! Et elle est bien décidée à ne rien cacher à ses jeunes élèves, avec ou sans leur consentement. Ici, il y a de la place pour tous les fantasmes : celle qui a déjà une petite amie, celle qui préfère les histoires d'amour entre garçons, celle qui ne pense qu'aux chats (???).. Il n'y a bien que l'infirmière pour réussir à calmer l'enthousiasme de Tsuji. Critique : Le manga commence par un sujet sur la grossesse et l’avortement, c’est présenté intelligemment au travers d’un sketch fait par deux enseignantes mettant en situation une jeune fille qui aurait du retard dans ses règles. Puis la suite se penche sur les différents genres et la signification de LGBT+. Encore une fois, les différents thèmes sont présentés simplement en prenant des exemples afin que ces notions soient bien comprises et assimilées. Toujours abordées de façon objective et sans aucun jugement, ces leçons sur la sexualité sont très bien faites et peuvent servir de support auprès des adolescents. En plus, entre deux chapitres, il y a des questions réponses qui méritent la lecture, même les adultes peuvent apprendre des choses nouvelles. Un manga à découvrir et à utiliser. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sex-education-120-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. Aoi, lycéenne de 17 ans, semble vivre dans son monde et dans son monde, à part sa basse, il ne semble pas y avoir grand-chose, même sa relation avec sa sœur ainée, Akane, semble sur la réserve. Comme elles ont perdu leur parents jeunes, Akane a pris leur place, laissant son rêve de partir à Tokyo avec son copain Shinnosuke. Ce dernier est celui qui a appris la basse à Aoi. Si l’histoire est un peu floue dans ce 1er tome, on sent déjà qu’il y a plus que la passion d’Aoi pour la musique, peut-être des regrets qui trainent, de la culpabilité envers sa sœur qui a laissé tomber ses ambitions pour elle. Et puis il y a Shinnosuke qui a une place particulière pour chacune des sœurs. Et dans cette langueur palpable, une petite touche de fantastique va permettre de mélanger le passé et le présent, les sentiments vont-ils enfin pouvoir s’exprimer ? Adapté d’un film d’animation « her blue sky » sorti en 2019, le manga est fini en 4 tomes. Vous pourrez aussi découvrir la version roman en octobre. L’histoire suit deux sœurs qui ont été confronté à la dure réalité de la vie après avoir perdu leurs parents et qui ont dû faire des choix. L’atmosphère du manga est très mélancolique et la narration prend son temps, la fin du volume promet quelques avancées côté cœur et émotions. Extrait
  16. Titre de l'album : Le bleu du ciel dans ses yeux tome 1 Scenariste de l'album : CHOU Heiwa Busters Dessinateur de l'album : NINAGAWA Yaeko Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Aoi Aioi, une lycéenne de 17 ans passe son temps à jouer de la basse au lieu de préparer ses examens. Elle inquiète sa sœur ainée, Akane, qui endosse le rôle de parents, lorsqu'un jour Aoi voit apparaître sous ses yeux un certain "Shinno". Il ressemble étrangement à Shinnosuke, l'ex-petit ami d'Akane, parti vivre à Tokyo après le lycée et dont elle n'avait plus eu de nouvelles... Critique : Aoi, lycéenne de 17 ans, semble vivre dans son monde et dans son monde, à part sa basse, il ne semble pas y avoir grand-chose, même sa relation avec sa sœur ainée, Akane, semble sur la réserve. Comme elles ont perdu leur parents jeunes, Akane a pris leur place, laissant son rêve de partir à Tokyo avec son copain Shinnosuke. Ce dernier est celui qui a appris la basse à Aoi. Si l’histoire est un peu floue dans ce 1er tome, on sent déjà qu’il y a plus que la passion d’Aoi pour la musique, peut-être des regrets qui trainent, de la culpabilité envers sa sœur qui a laissé tomber ses ambitions pour elle. Et puis il y a Shinnosuke qui a une place particulière pour chacune des sœurs. Et dans cette langueur palpable, une petite touche de fantastique va permettre de mélanger le passé et le présent, les sentiments vont-ils enfin pouvoir s’exprimer ? Adapté d’un film d’animation « her blue sky » sorti en 2019, le manga est fini en 4 tomes. Vous pourrez aussi découvrir la version roman en octobre. L’histoire suit deux sœurs qui ont été confronté à la dure réalité de la vie après avoir perdu leurs parents et qui ont dû faire des choix. L’atmosphère du manga est très mélancolique et la narration prend son temps, la fin du volume promet quelques avancées côté cœur et émotions. Extrait Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-bleu-du-ciel-dans-ses-yeux-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. Nickad

    La voie du tablier tome 8

    Il n’y a rien d’exceptionnel dans ce tome, Tatsu poursuit sa petite vie avec ses réactions décalées. Au bout de 8 tomes, on a une redite de certains gags mais aussi des nouvelles idées qui ne sont pas toujours exploitées complétement (je pense à la partie zombie notamment). Le livre reste un bon divertissement avec des chapitres plus ou moins réussis et toujours des passages qui nous font sourire. Un peu comme pour les vacances de Jésus et Bouddha, un chapitre de temps en temps permet de se détendre sans se prendre la tête et en plus, il arrive que l’on tombe sur une pépite. Pour information; la série est disponible en anime.
  18. Titre de l'album : La voie du tablier tome 8 Scenariste de l'album : OONO Kousuke Dessinateur de l'album : OONO Kousuke Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Entre une confrontation de donuts, un entraînement de golf très spécial, une tente sauna et une policière surpuissante, le quotidien de cet ancien yakuza s'annonce très explosif ! Critique : Il n’y a rien d’exceptionnel dans ce tome, Tatsu poursuit sa petite vie avec ses réactions décalées. Au bout de 8 tomes, on a une redite de certains gags mais aussi des nouvelles idées qui ne sont pas toujours exploitées complétement (je pense à la partie zombie notamment). Le livre reste un bon divertissement avec des chapitres plus ou moins réussis et toujours des passages qui nous font sourire. Un peu comme pour les vacances de Jésus et Bouddha, un chapitre de temps en temps permet de se détendre sans se prendre la tête et en plus, il arrive que l’on tombe sur une pépite. Pour information; la série est disponible en anime. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-voie-du-tablier-tome-8?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. Nickad

    Scum's wish tome 1

    Hanabi et Mugi sont des lycéens, tous deux amoureux de leurs professeurs, pas d’un amour insipide né rapidement mais d’un amour profond développé avec les années. Hanabi et Narumi (le prof) sont voisins depuis longtemps et ont grandis ensemble. Mugi avait Akane (la prof) comme professeur particulière. Seulement les deux adultes semblent s’être trouvés, en tout cas ils se sont rapprochés, alors les deux adolescents souffrent de leur amour à sens unique. Pour pallier à ce manque, ils vont partager des moments câlins où chacun va devenir un substitut pour l’autre. A force de se côtoyer de cette façon, il se pourrait bien que leurs sentiments viennent à changer… On se laisse facilement emporter par l’histoire, touché par leur fragilité et la douleur des sentiments à sens unique, on ressent aussi la peine de ce que l’on a pu vivre un jour. Si le manga semble s’écouler lentement, le feu de la passion ressort, cette lutte pour ne pas sombrer dans le désespoir de ne pas voir son amour se réaliser est palpable. Etrangement, le manga atteint sa cible sans forcément utiliser beaucoup de mots ni faire de grandes scènes larmoyantes. Sans tenir compte d’une quelconque morale qui pourrait s’offusquer de tels comportements, le manga séduit et sait toucher notre corde sensible.
  20. Nickad

    Scum's wish tome 1

    Titre de l'album : Scum's wish tome 1 Scenariste de l'album : YOKOYARI Mengo Dessinateur de l'album : YOKOYARI Mengo Coloriste : Editeur de l'album : Noeve Grafx Note : Résumé de l'album : Mugi et Hanabi forment le couple idéal : beaux, tendres et amoureux, tout le lycée les idolâtre. Mais leur relation repose en réalité sur un secret partagé : chacun n’est que le substitut de l’autre. Rongé par des amours impossibles, chacun se console dans les bras de l’autre et tente d’aller de l’avant…mais se mentir, est-ce vraiment aller de l’avant ? Critique : Hanabi et Mugi sont des lycéens, tous deux amoureux de leurs professeurs, pas d’un amour insipide né rapidement mais d’un amour profond développé avec les années. Hanabi et Narumi (le prof) sont voisins depuis longtemps et ont grandis ensemble. Mugi avait Akane (la prof) comme professeur particulière. Seulement les deux adultes semblent s’être trouvés, en tout cas ils se sont rapprochés, alors les deux adolescents souffrent de leur amour à sens unique. Pour pallier à ce manque, ils vont partager des moments câlins où chacun va devenir un substitut pour l’autre. A force de se côtoyer de cette façon, il se pourrait bien que leurs sentiments viennent à changer… On se laisse facilement emporter par l’histoire, touché par leur fragilité et la douleur des sentiments à sens unique, on ressent aussi la peine de ce que l’on a pu vivre un jour. Si le manga semble s’écouler lentement, le feu de la passion ressort, cette lutte pour ne pas sombrer dans le désespoir de ne pas voir son amour se réaliser est palpable. Etrangement, le manga atteint sa cible sans forcément utiliser beaucoup de mots ni faire de grandes scènes larmoyantes. Sans tenir compte d’une quelconque morale qui pourrait s’offusquer de tels comportements, le manga séduit et sait toucher notre corde sensible. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/scum-s-wish-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. Nickad

    Mitsuboshi Colors tome 1

    Trois petites filles jouent les justicières de leur quartier et ont appelés leur groupe « les colors ». Il y a la cheffe, celle qui est un peu macabre et celle qui est un peu scatologique (et oui, les enfants passent souvent par la case pipi caca), enfin tout ça c’est plus dans leur vocabulaire car elles ne font rien de méchant, elles ont une base secrète, aident les gens quand ils ont besoin et embêtent souvent Saito le policier de quartier qu’elles considèrent comme leur ennemi. Graphiquement les personnages sont assez ronds et les décors de la ville bien rendus mais pas surchargés, l’histoire de ces 3 petites coquines est une succession de leur quotidien, c’est mignon et amusant (il y a plein de jeux de mots). Le manga, fini en 8 tomes, est catalogué en seinen mais je ne sais pas trop pourquoi car ce 1er tome est lisible par toute la famille, enfin il y aura quand même quelques mots de vocabulaires à expliquer… En les regardant avec leur imagination débordante et leur crédulité qui fait qu’elles croient tout ce que gens disent, on a l’impression de retomber en enfance. Le manga est amusant et rafraichissant.
  22. Titre de l'album : Mitsuboshi Colors tome 1 Scenariste de l'album : KATSUWO Dessinateur de l'album : KATSUWO Coloriste : Editeur de l'album : Noeve Grafx Note : Résumé de l'album : Yui, Saki et Kotoha forment les Colors ! Ensemble, elles protègent le quartier d’Ueno et la paix, résolvent les mystères et affrontent les monstres ! Mais leur mission n’est pas simple car certains veulent leur mettre des bâtons dans les roues, à commencer par Saitô le policier municipal, leur éternel rival. Pour lui, les Colors ne font que jouer… qu’ils sont bêtes ces adultes ! L’imagination et le jeu, c’est très sérieux ! Critique : Trois petites filles jouent les justicières de leur quartier et ont appelés leur groupe « les colors ». Il y a la cheffe, celle qui est un peu macabre et celle qui est un peu scatologique (et oui, les enfants passent souvent par la case pipi caca), enfin tout ça c’est plus dans leur vocabulaire car elles ne font rien de méchant, elles ont une base secrète, aident les gens quand ils ont besoin et embêtent souvent Saito le policier de quartier qu’elles considèrent comme leur ennemi. Graphiquement les personnages sont assez ronds et les décors de la ville bien rendus mais pas surchargés, l’histoire de ces 3 petites coquines est une succession de leur quotidien, c’est mignon et amusant (il y a plein de jeux de mots). Le manga, fini en 8 tomes, est catalogué en seinen mais je ne sais pas trop pourquoi car ce 1er tome est lisible par toute la famille, enfin il y aura quand même quelques mots de vocabulaires à expliquer… En les regardant avec leur imagination débordante et leur crédulité qui fait qu’elles croient tout ce que gens disent, on a l’impression de retomber en enfance. Le manga est amusant et rafraichissant. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mitsuboshi-colors-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. Nickad

    Children tome 1

    Omaké Books est un éditeur indépendant assez récent (2010) qui a tendance à sortir des titres qui se démarquent. Après le glacial Perce neige et le déroutant girl’s last tour, voici le premier tome de Children. Children est résolument un manga d’horreur, gore à souhait où des enfants tranchent, découpent, dépècent… ils s’en donnent à cœur joie. Mais ce n’est pas que ça, on est intrigué, plein de questions nous assaillent : qui sont-ils ? Comment en sont-ils arrivés là ? Qui les fournit ? Qui tire les ficelles ? Quelles sont les relations entre les personnages ?... et surtout Pourquoi ? Vous dire si j’ai aimé ou pas, je ne saurai le dire, ce qui est sûr, c’est qu’il ne laisse pas indifférent. Aucun temps mort dans ce volume et même si l’on perçoit certaines trames, il va falloir attendre le deuxième et dernier tome pour y répondre. En espérant qu’il soit à la hauteur !
  24. Nickad

    Children tome 1

    Titre de l'album : Children tome 1 Scenariste de l'album : MIURA Miu Dessinateur de l'album : MIURA Miu Coloriste : Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : Pour 3 millions de yens, une somme anormalement élevée, le jeune Tôru Igarashi, un étudiant, a accepté un petit boulot de six mois dans un orphelinat situé au fin fond des montagnes, pour s’occuper d’enfants et aider aux tâches d’entretien. Il y fait la connaissance de Sakurako, une jeune adolescente de 14 ans et du groupe d’enfants, un peu méfiants mais néanmoins plein d’énergie. Tout semble bien se passer jusqu’à ce qu’à la nuit tombée, cette ambiance joyeuse ne devienne malsaine et extrêmement sanglante ! Loin du monde, le cauchemar de Tôru ne fait que commencer. Les enfants deviennent d’incroyables machines à tuer, égorger, découper... Critique : Omaké Books est un éditeur indépendant assez récent (2010) qui a tendance à sortir des titres qui se démarquent. Après le glacial Perce neige et le déroutant girl’s last tour, voici le premier tome de Children. Children est résolument un manga d’horreur, gore à souhait où des enfants tranchent, découpent, dépècent… ils s’en donnent à cœur joie. Mais ce n’est pas que ça, on est intrigué, plein de questions nous assaillent : qui sont-ils ? Comment en sont-ils arrivés là ? Qui les fournit ? Qui tire les ficelles ? Quelles sont les relations entre les personnages ?... et surtout Pourquoi ? Vous dire si j’ai aimé ou pas, je ne saurai le dire, ce qui est sûr, c’est qu’il ne laisse pas indifférent. Aucun temps mort dans ce volume et même si l’on perçoit certaines trames, il va falloir attendre le deuxième et dernier tome pour y répondre. En espérant qu’il soit à la hauteur ! Autres infos : Edition Omaké Books Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/children-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. Nickad

    Magica

    Comme le dit l’auteure, Yuzuko HOSHIMI, ce livre se trouve à la frontière de plusieurs styles : le livre illustré, le manga, le conte. On a l’impression en le découvrant que c’est un album pour enfants avec des dessins pastels loin du manga classique, et puis il y a la narration, un personnage « Magica » qui lit des histoires à un enfant, toutes ces histoires ont un personnage récurrent, un magicien qui n’a qu’un seul pouvoir : transformer l’éclat de la vie en gemme. Mais derrière cette apparence doucereuse, les histoires sont plus sombres, plus profondes, chacune d’elle met en relation deux êtres que tout oppose, la jeune fille humaine vivant dans une société mangeant des sirènes avec une sirène vivante, les deux soldats l’un ne pouvant tuer que les animaux et l’autre que des humains, le jeune homme obligé de supprimer ses semblables avec une plante, l’humaine et le phénix. Et chacune de ces histoires parle de la vie, de ses différents aspects ou de ses différentes notions. Dans le livre « Magica » désigne le cœur et ce sont bien des histoires de cœur, d’amitié que nous avons là. Magica est un manga qui nous emmène ailleurs, tout doucement et en finesse, il laisse des messages sensibles et philosophiques sur les différences et les liens qui unissent deux êtres. C’est une belle découverte dans une belle édition.
×
×
  • Créer...