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  1. Nickad

    Sôten no Ken tome 3

    Kenshirô a sauvé Pan Guanglin qui agit pour reprendre sa place de chef du syndicat de Jade, avec l’aide de de Guise, il va nettoyer la ville, seulement les 2 premiers dirigeants de l’Union sont encore en vie et représentent une menace. De son côté Kenshirô combat Longwang pour venger la mort de Yuling, l’affrontement entre deux maîtres du Hokuto va nous permettre d’en apprendre un peu plus sur leurs techniques. Sôten no Ken mélange toujours habilement la partie arts martiaux et histoire, sur fond de seconde guerre mondiale, le contexte politique est bien présent : la création du Mandchoukouo avec l’opposition des chinois et des japonais, la position des juifs, les intérêts de la France de la concession chinoise. Et puis, il y a tout l’univers des triades, les guerres de clans, le trafic d’opium, la loi du plus fort qui n’hésite pas à tirer dans le tas quitte à sacrifier des larbins… Le dessin de Tetsuo Hara est toujours très fourni en détails, l’histoire est également dense, il y a de quoi lire. Et puis Kenshirô n’est pas tout puissant et ça c’est bien, car cela emmène plus de tension et d’intérêt à l’histoire. Un manga d’action très bien mené !
  2. Titre de l'album : Sôten no Ken tome 3 Scenariste de l'album : BURONSON Dessinateur de l'album : HARA Tetsuo Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : Kenshirô apprend que Pan Guanglin, parrain du Syndicat de Jade, est toujours en vie ! Prêt à tout pour sauver son ami, il devra affronter un disciple du Hokuto Shinken, un adversaire redoutable dont la puissance semble atteindre celle de Yangwang... Critique : Kenshirô a sauvé Pan Guanglin qui agit pour reprendre sa place de chef du syndicat de Jade, avec l’aide de de Guise, il va nettoyer la ville, seulement les 2 premiers dirigeants de l’Union sont encore en vie et représentent une menace. De son côté Kenshirô combat Longwang pour venger la mort de Yuling, l’affrontement entre deux maîtres du Hokuto va nous permettre d’en apprendre un peu plus sur leurs techniques. Sôten no Ken mélange toujours habilement la partie arts martiaux et histoire, sur fond de seconde guerre mondiale, le contexte politique est bien présent : la création du Mandchoukouo avec l’opposition des chinois et des japonais, la position des juifs, les intérêts de la France de la concession chinoise. Et puis, il y a tout l’univers des triades, les guerres de clans, le trafic d’opium, la loi du plus fort qui n’hésite pas à tirer dans le tas quitte à sacrifier des larbins… Le dessin de Tetsuo Hara est toujours très fourni en détails, l’histoire est également dense, il y a de quoi lire. Et puis Kenshirô n’est pas tout puissant et ça c’est bien, car cela emmène plus de tension et d’intérêt à l’histoire. Un manga d’action très bien mené ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/soten-no-ken-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Nickad

    Interspecies reviewers tome 4

    L’ange Curim est à l’honneur dans ce 4eme tomes, d’abord parce qu’une de ses congénères aimerait bien gagner sa liberté et se débarrasser de son auréole et lui demande de l’aider, ensuite parce qu’il a acquis une certaine réputation et qu’il y a de nombreuses curieuses. Comme à son habitude, l’auteur déborde d’imagination pour inventer des situations différentes avec des créatures très variées, chaque critique est réfléchie en fonction du goût et des caractéristiques des espèces. Et bien que le manga fonctionne à peu près toujours sur le même schéma, on n’est pas lassé car il y a vraiment une grande diversité et pas mal d’humour. Il ne faut pas non plus y chercher un sens profond ou une cause à défendre, laissez-vous juste porter par cette légèreté coquine qui vous permettra de vous détendre un moment.
  4. Titre de l'album : Interspecies reviewers tome 4 Scenariste de l'album : AMAHARA Dessinateur de l'album : MASHA Coloriste : Editeur de l'album : Ototo Note : Résumé de l'album : Dans un monde où cohabitent humains et démons, géants et centaures, fées et sirènes, l'aventure tend les bras à tout un chacun. Mais que vous soyez sensible ou non à l'attrait des épées et des boules de feu magiques, un tout autre genre d'aventures s'offre également à vous. Des établissements spécialisés pour les personnes en quête de belle compagnie ont éclos à travers tout le continent, et les « succubes » qui y officient ont autant de tours dans leur sac qu'il y a d'espèces en ce bas monde. Que vous souhaitiez draguer la dragonne, monter la minotaure ou harponner la harpie, il existe un cabaret de succubes pour vous ! Et pour vous permettre de savoir à l'avance si votre route vous-même à un lupanar de luxe ou dans un bordel crasseux, n'hésitez pas à consulter les critiques de Stunk et de ses joyeux compagnons : ils sauront vous renseigner ! Critique : L’ange Curim est à l’honneur dans ce 4eme tomes, d’abord parce qu’une de ses congénères aimerait bien gagner sa liberté et se débarrasser de son auréole et lui demande de l’aider, ensuite parce qu’il a acquis une certaine réputation et qu’il y a de nombreuses curieuses. Comme à son habitude, l’auteur déborde d’imagination pour inventer des situations différentes avec des créatures très variées, chaque critique est réfléchie en fonction du goût et des caractéristiques des espèces. Et bien que le manga fonctionne à peu près toujours sur le même schéma, on n’est pas lassé car il y a vraiment une grande diversité et pas mal d’humour. Il ne faut pas non plus y chercher un sens profond ou une cause à défendre, laissez-vous juste porter par cette légèreté coquine qui vous permettra de vous détendre un moment. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/interspecies-reviewers-tome-4?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. La première partie du volume revient sur la naissance de Mao Mao, l’identité de ses parents, les relations qu’ils entretenaient et l’influence de leurs origines sur cette relation. Mao Mao exprime ainsi clairement ce qu’elle ressent envers celui qui l’a élevé et son père génétique. La suite parle de l’éducation des femmes à l’intérieur du palais, que ce soit en matière de relations sexuelles ou simplement l’apprentissage de l’écriture et de la lecture. L’histoire est toujours aussi sympathique et attrayante, on a plaisir à retrouver les personnages et à en apprendre plus sur eux. Dans ce tome les capacités de Mao Mao sont un peu moins mises à l’honneur mais on voit d’autres aspects de son univers ce qui est tout autant intéressant. Une série que l’on continuera de suivre avec plaisir !
  6. Titre de l'album : Les carnets de l'apothicaire tome 8 Scenariste de l'album : NANAO Itsuki Dessinateur de l'album : NEKO KURAGE Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Mao Mao s'interroge sur les intentions de Lacan, qui n'a de cesse de vouloir se rapprocher d'elle malgré toutes ses rebuffades. L'apothicaire lui lance donc un défi : s'il gagne au xiangqi, elle devra le reconnaître en tant que père biologique, mais si c'est elle qui parvient à le vaincre, alors il devra acheter une des courtisanes du palais vert-de-gris ! Malheureusement pour le stratège, la jeune fille réussit à l'emporter, non sans ruse. Tandis qu'il tombe inconscient, les souvenirs de Lacan refont surface, révélant un passé douloureux aux côtés d'une mystérieuse femme à la beauté ensorcelante... Critique : La première partie du volume revient sur la naissance de Mao Mao, l’identité de ses parents, les relations qu’ils entretenaient et l’influence de leurs origines sur cette relation. Mao Mao exprime ainsi clairement ce qu’elle ressent envers celui qui l’a élevé et son père génétique. La suite parle de l’éducation des femmes à l’intérieur du palais, que ce soit en matière de relations sexuelles ou simplement l’apprentissage de l’écriture et de la lecture. L’histoire est toujours aussi sympathique et attrayante, on a plaisir à retrouver les personnages et à en apprendre plus sur eux. Dans ce tome les capacités de Mao Mao sont un peu moins mises à l’honneur mais on voit d’autres aspects de son univers ce qui est tout autant intéressant. Une série que l’on continuera de suivre avec plaisir ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-carnets-de-l-apothicaire-tome-8?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Nickad

    Coppelion tome 1

    20 ans après une catastrophe nucléaire où la ville de Tokyo a été évacuée, trois jeunes filles génétiquement modifiées pour résister aux radiations sont envoyées à la capitale pour examiner la situation de plus près et aider d’éventuels survivants. Le manga présente plusieurs aspects, celui d’un livre d’anticipation avec le périple de ces 3 lycéennes dans une ville post-apocalyptique, un plaidoyer pour avertir des dangers du nucléaire et une fable écologique où la nature et les animaux ont su s’adapter pour continuer d’exister. Très vite on apprend qu’il y a des survivants, du coup on est intrigué, on se demande comment c’est possible, comment ont-ils fait pour survivre, pour se nourrir, se soigner et quelle a été leur vie dans cette ville chaotique pendant vingt ans. Le récit est bien mené, on découvre la situation en même temps que les héroïnes, de temps en temps il y a des explications un peu plus techniques sur les radiations et les centrales et puis il y a tout le mystère autour des survivants qui nous tient en haleine. Un très bon 1er tome : une histoire captivante et un graphisme travaillé et détaillé. Pour information, cette série fait partie de la nouvelle collection XS de Noeve Grafx avec un prix de 3.95 € pour tous les 26 tomes de la série, sans limite de temps. La série est également disponible en anime.
  8. Nickad

    Coppelion tome 1

    Titre de l'album : Coppelion tome 1 Scenariste de l'album : INOUE Tomonori Dessinateur de l'album : INOUE Tomonori Coloriste : Editeur de l'album : Noeve Grafx Note : Résumé de l'album : Japon, 2016. Une catastrophe nucléaire survient à la centrale d’Odaiba, tout près de Tokyo. Le gouvernement fait évacuer la capitale, qui devient une ville fantôme. Vingt ans plus tard, alors que les retombées radioactives sont toujours trop élevées pour permettre aux humains de s’aventurer sur place, les forces japonaises d’auto-défense envoient trois lycéennes à la recherche d’éventuels survivants. Pas de protection, pas d’équipement particulier : les adolescentes sont génétiquement modifiées pour résister aux radiations… Critique : 20 ans après une catastrophe nucléaire où la ville de Tokyo a été évacuée, trois jeunes filles génétiquement modifiées pour résister aux radiations sont envoyées à la capitale pour examiner la situation de plus près et aider d’éventuels survivants. Le manga présente plusieurs aspects, celui d’un livre d’anticipation avec le périple de ces 3 lycéennes dans une ville post-apocalyptique, un plaidoyer pour avertir des dangers du nucléaire et une fable écologique où la nature et les animaux ont su s’adapter pour continuer d’exister. Très vite on apprend qu’il y a des survivants, du coup on est intrigué, on se demande comment c’est possible, comment ont-ils fait pour survivre, pour se nourrir, se soigner et quelle a été leur vie dans cette ville chaotique pendant vingt ans. Le récit est bien mené, on découvre la situation en même temps que les héroïnes, de temps en temps il y a des explications un peu plus techniques sur les radiations et les centrales et puis il y a tout le mystère autour des survivants qui nous tient en haleine. Un très bon 1er tome : une histoire captivante et un graphisme travaillé et détaillé. Pour information, cette série fait partie de la nouvelle collection XS de Noeve Grafx avec un prix de 3.95 € pour tous les 26 tomes de la série, sans limite de temps. La série est également disponible en anime. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/coppelion-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. Nickad

    Si nous étions adultes... tome 3

    Ayano a déménagé, elle habite à présent chez ses beaux-parents avec son mari et sa belle-sœur. De son côté, Akari décide de reprendre son ancienne place de coiffeuse, elle déménage également, ainsi chacune pense pouvoir plus facilement tourner la page et oublier l’autre. Sauf que le destin en a décidé autrement et elles découvrent un jour qu’elles ont emménagés l’une en face de l’autre !! En plus Akari croise souvent le mari d’Ayano et discute souvent avec lui. Le hasard fait-il vraiment bien les choses ? Car même si Akari et Ayano sont heureuses de se revoir, cela les empêche aussi de tourner la page, d’autant plus que vivant dans le même quartier, Akari va faire la rencontre de toute la famille… Ce 3eme tome est moins psychologique et plus dynamique, on voit le quotidien du quartier, ses habitants et ses événements, la nouvelle situation de nos héroïnes se met peu à peu en place. On se penche plus sur les personnages secondaires, notamment la belle-sœur d’Ayano qui vivait presque recluse, ou deux de ses élèves amoureuses l’une de l’autre. On sent bien que Takako Shimura cherche à aborder d’autres thèmes, et elle le fait toujours de façon posée, sans jugement. Si nous étions adultes est une œuvre qui prend de la consistance et que l’on a plaisir à lire.
  10. Titre de l'album : Si nous étions adultes... tome 3 Scenariste de l'album : SHIMURA Takako Dessinateur de l'album : SHIMURA Takako Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : Ayano a déménagé avec son mari pour vivre chez sa belle famille. La cohabitation s'annonçait déjà des plus délicates, mais c'était sans compter sur un autre coup du sort ! Akari, qui elle aussi souhaitait repartir sur de nouvelles bases, a quitté son emploi et s'est installée sans le savoir dans le même quartier qu'Ayano. Les retrouvailles entre les deux femmes risquent d'être pour le moins complexes… Critique : Ayano a déménagé, elle habite à présent chez ses beaux-parents avec son mari et sa belle-sœur. De son côté, Akari décide de reprendre son ancienne place de coiffeuse, elle déménage également, ainsi chacune pense pouvoir plus facilement tourner la page et oublier l’autre. Sauf que le destin en a décidé autrement et elles découvrent un jour qu’elles ont emménagés l’une en face de l’autre !! En plus Akari croise souvent le mari d’Ayano et discute souvent avec lui. Le hasard fait-il vraiment bien les choses ? Car même si Akari et Ayano sont heureuses de se revoir, cela les empêche aussi de tourner la page, d’autant plus que vivant dans le même quartier, Akari va faire la rencontre de toute la famille… Ce 3eme tome est moins psychologique et plus dynamique, on voit le quotidien du quartier, ses habitants et ses événements, la nouvelle situation de nos héroïnes se met peu à peu en place. On se penche plus sur les personnages secondaires, notamment la belle-sœur d’Ayano qui vivait presque recluse, ou deux de ses élèves amoureuses l’une de l’autre. On sent bien que Takako Shimura cherche à aborder d’autres thèmes, et elle le fait toujours de façon posée, sans jugement. Si nous étions adultes est une œuvre qui prend de la consistance et que l’on a plaisir à lire. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/si-nous-etions-adultes-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. Nickad

    Shigahime tome 1

    Pour être honnête, je ne sais pas trop quoi penser de ce manga, un énième revisite du monde du mythe des vampires, orientée vers les « familiers » ou servants de ces créatures. Le début du livre est un peu énigmatique, on suit un adolescent, tête de turc de sa classe, conduire un camarade dans une étrange demeure où attend une jeune femme Miwako. On comprend très vite qu’il ne s’y passe rien de bon. Ce qui suit ressemble plus à la petite boutique des horreurs qu’à une histoire de vampire, on ne sait pas où veut nous mener l’auteur, ce n’est qu’à la fin qu’on aura un indice sur l’orientation que va prendre l’histoire. Graphiquement parlant, il n’y a rien à reprocher, le dessin est soigné et détaillé, trop peut-être pour les âmes sensibles. Ce qui est sûr ce que c’est efficace, on plonge directement dans une ambiance horrifique, répugnante même. La série est finie en 5 tomes, j’attendrai le tome 2 pour me prononcer vraiment.
  12. Nickad

    Shigahime tome 1

    Titre de l'album : Shigahime tome 1 Scenariste de l'album : HIROHISA Sato Dessinateur de l'album : HIROHISA Sato Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : Osamu Hirota est un lycéen à l'existence banale et ennuyeuse. Son quotidien va prendre un tournant radical à la suite de sa rencontre avec l'envoûtante Miwako, une vampire immortelle, et de son ancien serviteur Soîchi Tachibana. Devenu à son tour son familier, il doit chasser ses semblables pour garder forme humaine. Comment Osamu fera-t-il face à sa nouvelle vie ? Vampire, horreur et érotisme sont au programme de cette série résolument sanglante en cinq volumes signée Sato Hirohisa. Critique : Pour être honnête, je ne sais pas trop quoi penser de ce manga, un énième revisite du monde du mythe des vampires, orientée vers les « familiers » ou servants de ces créatures. Le début du livre est un peu énigmatique, on suit un adolescent, tête de turc de sa classe, conduire un camarade dans une étrange demeure où attend une jeune femme Miwako. On comprend très vite qu’il ne s’y passe rien de bon. Ce qui suit ressemble plus à la petite boutique des horreurs qu’à une histoire de vampire, on ne sait pas où veut nous mener l’auteur, ce n’est qu’à la fin qu’on aura un indice sur l’orientation que va prendre l’histoire. Graphiquement parlant, il n’y a rien à reprocher, le dessin est soigné et détaillé, trop peut-être pour les âmes sensibles. Ce qui est sûr ce que c’est efficace, on plonge directement dans une ambiance horrifique, répugnante même. La série est finie en 5 tomes, j’attendrai le tome 2 pour me prononcer vraiment. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/shigahime-tome-1-224289?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. Nickad

    Shigahime tome 2

    Cœur sensible s’abstenir ! Si la revisite du mythe des vampires est intéressante, vue au travers d’un adolescent devenu « familier » malgré lui et obligé de commettre des atrocités pour sauver sa petite amie, le manga est résolument violent et gore ! Le personnage d’Osamu n’a que des bribes d’informations, cette façon de distiller ce qui est important permet d’entretenir le suspense : qui est vraiment Miwako, qu’est-ce qu’un familier, quels sont ses pouvoirs ? Et surtout est-ce qu’il y a une possibilité que tout revienne comme avant ? Un manga qui fait la part belle aux monstres et aux combats avec un graphisme à la hauteur qui sait être écœurant et dérangeant. Peut-être une avancée un peu lente dans le scenario, on aimerait en savoir un peu plus. Un bon manga dans cette thématique.
  14. Nickad

    Shigahime tome 2

    Titre de l'album : Shigahime tome 2 Scenariste de l'album : HIROHISA Sato Dessinateur de l'album : HIROHISA Sato Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : Devenu le familier de la belle et énigmatique Miwako, Osamu se retrouve aux portes de la mort après avoir été attaqué par un autre serviteur. Sauvé de justesse par sa maîtresse, l'adolescent découvre à son réveil les nouveaux pouvoirs dont il est pourvu. Néanmoins, ce dernier n'aura aucun répit pour s'accommoder à sa toute nouvelle condition et devra suivre impérativement les ordres de la vampire immortelle... Critique : Cœur sensible s’abstenir ! Si la revisite du mythe des vampires est intéressante, vue au travers d’un adolescent devenu « familier » malgré lui et obligé de commettre des atrocités pour sauver sa petite amie, le manga est résolument violent et gore ! Le personnage d’Osamu n’a que des bribes d’informations, cette façon de distiller ce qui est important permet d’entretenir le suspense : qui est vraiment Miwako, qu’est-ce qu’un familier, quels sont ses pouvoirs ? Et surtout est-ce qu’il y a une possibilité que tout revienne comme avant ? Un manga qui fait la part belle aux monstres et aux combats avec un graphisme à la hauteur qui sait être écœurant et dérangeant. Peut-être une avancée un peu lente dans le scenario, on aimerait en savoir un peu plus. Un bon manga dans cette thématique. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/shigahime-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. Nickad

    Quand sonne la tempête tome 4

    Sohei Sakai rencontre la sœur de Kimura qui a une théorie sur la relation de ce dernier avec le Lieutenant, ce qui donne une nouvelle perspective aux événements. Coincé entre le gang du Kansai, les hommes du Lieutenant et le docteur vengeur, Sakai décide d’agir. Encore un tome qui va à 100 à l’heure, pas de répit pour Sakai, il a à peine le temps de souffler que tout repart en vrille ! Un dessin très dynamique dans les scènes d’action, des personnages qui ont de vraies « tronches », un scenario bien ficelé et un dénouement dans le prochain tome ! A lire.
  16. Titre de l'album : Quand sonne la tempête tome 4 Scenariste de l'album : ENJOJI Masaki Dessinateur de l'album : ENJOJI Masaki Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : Shohei est à nouveau en mauvaise posture... Alors qu'il s'imaginait pouvoir piéger le lieutenant en s'alliant à un gang du Kansai, il finit en réalité par servir d'appât. Pris entre deux feux, le jeune homme n'hésite pas à impliquer ses proches pour trouver une issue qui lui permettrait de s'en sortir indemne. Mais il pourrait vite s'en mordre les doigts... Critique : Sohei Sakai rencontre la sœur de Kimura qui a une théorie sur la relation de ce dernier avec le Lieutenant, ce qui donne une nouvelle perspective aux événements. Coincé entre le gang du Kansai, les hommes du Lieutenant et le docteur vengeur, Sakai décide d’agir. Encore un tome qui va à 100 à l’heure, pas de répit pour Sakai, il a à peine le temps de souffler que tout repart en vrille ! Un dessin très dynamique dans les scènes d’action, des personnages qui ont de vraies « tronches », un scenario bien ficelé et un dénouement dans le prochain tome ! A lire. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/quand-sonne-la-tempete-tome-4?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. Nickad

    My elder sister tome 4

    Sur la demande de Yuu, Chiyo laisse Haru tranquille, cette dernière s’incruste tranquillement dans la maison et peu à peu les 3 passent du temps ensemble dans la bonne humeur comme si la famille s’agrandissait. Mais quel est donc le lien qui existe entre Haru et l’oncle de Yuu ? Ce qui fait le charme de ce manga c’est le mélange entre la partie mystère, le côté bien-être et la touche de sensualité apportée par le personnage de Chiyo. Tout ce petit monde semble vivre des jours heureux mais en plus des petits commentaires de Yuu qui nous font comprendre que l’on est dans son passé, il y a des petites zones d’ombre. D’un côté on profite de ces moments paisibles qui nous font ressentir une certaine plénitude et de l’autre on attend l’instant où tout va changer. L’équilibre est subtil et c’est justement ce qui fonctionne. Ce 4eme volume est toujours dans la lignée des précédents, on avance à petit pas vers l’inéluctable, peut-être un peu moins d’érotisme et de passages ambigus qui font toute sa spécificité mais le manga reste sympathique et agréable.
  18. Titre de l'album : My elder sister tome 4 Scenariste de l'album : IIDA Pochi Dessinateur de l'album : IIDA Pochi Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Que l'on soit Humain ou Dieu, c'est parfaitement naturel de chercher du réconfort auprès d'un autre. Les démons comme les dieux sont au-delà du bien et du mal. Critique : Sur la demande de Yuu, Chiyo laisse Haru tranquille, cette dernière s’incruste tranquillement dans la maison et peu à peu les 3 passent du temps ensemble dans la bonne humeur comme si la famille s’agrandissait. Mais quel est donc le lien qui existe entre Haru et l’oncle de Yuu ? Ce qui fait le charme de ce manga c’est le mélange entre la partie mystère, le côté bien-être et la touche de sensualité apportée par le personnage de Chiyo. Tout ce petit monde semble vivre des jours heureux mais en plus des petits commentaires de Yuu qui nous font comprendre que l’on est dans son passé, il y a des petites zones d’ombre. D’un côté on profite de ces moments paisibles qui nous font ressentir une certaine plénitude et de l’autre on attend l’instant où tout va changer. L’équilibre est subtil et c’est justement ce qui fonctionne. Ce 4eme volume est toujours dans la lignée des précédents, on avance à petit pas vers l’inéluctable, peut-être un peu moins d’érotisme et de passages ambigus qui font toute sa spécificité mais le manga reste sympathique et agréable. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/my-elder-sister-tome-4?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. Nickad

    Butterfly beast II tome 2

    Ocho ramasse par hasard un petit crucifix, elle le rend à sa propriétaire, une jeune femme de sa maison. En faisant ce geste elle se met en danger car à cette époque, les chrétiens étaient persécutés. Intriguée elle la suit sans se douter que tout cela est une mise en scène pour la piéger. Ce volume se penche sur un passage sombre de l’histoire du Japon : la persécution des chrétiens, et quand je dis persécution on était plus dans une politique d’éradication. Il est intéressant de voir à quel point les événements de cette période étaient extrémistes ! Ocho et son acolyte Raizo se retrouvent dans ce volume face à leur passé, chacun va devoir prendre des décisions qui pourraient bien changer leurs relations et leurs vies. En même temps, l’auteure revient sur la condition des femmes à cette époque en précisant bien que toutes celles qui vivaient dans ce quartier des plaisirs n’étaient pas là par choix. Le dessin de Yuka Nagate est toujours très soigné et détaillé, les personnages sont très expressifs et l’on ressent bien toute la tension qui règne. La fiction et l’histoire sont habilement mêlées sans apporter de lourdeur, le manga reste dynamique et intéressant.
  20. Titre de l'album : Butterfly beast II tome 2 Scenariste de l'album : NAGATE Yuka Dessinateur de l'album : NAGATE Yuka Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : Continuant sa traque des shinobis dévoyés, Ochô doit faire face à une toute nouvelle menace. Dans un Japon où la doctrine de Dieu, alors interdite, se répand inévitablement, la chasseresse devra affronter le père Jihyoe, appelé le «tsuba d'or». Commence alors un combat contre un mouvement religieux et souhaitant la destruction du système! Critique : Ocho ramasse par hasard un petit crucifix, elle le rend à sa propriétaire, une jeune femme de sa maison. En faisant ce geste elle se met en danger car à cette époque, les chrétiens étaient persécutés. Intriguée elle la suit sans se douter que tout cela est une mise en scène pour la piéger. Ce volume se penche sur un passage sombre de l’histoire du Japon : la persécution des chrétiens, et quand je dis persécution on était plus dans une politique d’éradication. Il est intéressant de voir à quel point les événements de cette période étaient extrémistes ! Ocho et son acolyte Raizo se retrouvent dans ce volume face à leur passé, chacun va devoir prendre des décisions qui pourraient bien changer leurs relations et leurs vies. En même temps, l’auteure revient sur la condition des femmes à cette époque en précisant bien que toutes celles qui vivaient dans ce quartier des plaisirs n’étaient pas là par choix. Le dessin de Yuka Nagate est toujours très soigné et détaillé, les personnages sont très expressifs et l’on ressent bien toute la tension qui règne. La fiction et l’histoire sont habilement mêlées sans apporter de lourdeur, le manga reste dynamique et intéressant. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/butterfly-beast-ii-tome-2-224277?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. Les adaptations de Lovecraft par Tanabe deviennent des gages de qualité, c'est indéniable. J'avais dévoré les premières avec avidité, je dois bien l'avouer, et ces deux dernières démontrent une fois de plus tout le talent de cet auteur japonais. Le roman divisé en deux tomes nous permet de bien appréhender l'histoire et son déroulement. L'auteur prend le temps de situer le contexte et nous faire découvrir le personnage central. Nous allons l'accompagner tout du long dans ses déboires, et il va en rencontrer plus d'un ! A chaque expression d'un visage figé ou horrifié, fait suite une planche (souvent double page) nous exposant la situation. Nous sommes donc happés par la lecture et nous plongeons littéralement dans le récit. Le suspense est insoutenable dans le second tome car il ne s'agit ni plus ni moins que d'une chasse à l'homme dans les rues dévastées de cette ville cauchemardesque. Les recoins obscurs, les moindres bruits sont perçus et nous éprouvons une certaine crainte à tourner les pages. Tanabe réussit à nous faire peur, on s'interroge vraiment sur le devenir du protagoniste principal. Pour les avoir tous lus, je pense sincèrement qu'il s'agit de la plus violente et angoissante des adaptations, âmes sensibles s'abstenir Dois-je préciser que le dessin est comme à son habitude, superbe, incroyable, précis, lumineux, élégant, fin ... Les superlatifs manquent. Le travail éditorial est sans équivoque. Ces couvertures en cuir relié sont du plus bel effet. Je ne saurai que recommander ces livres, même aux non lecteurs assidus de mangas. Pour peu que l'on aime avoir peur. Ceci dit, on reste assez loin d'un Junji Ito sur l'épouvante et l'horreur, pour tout vous dire, la lecture de Spirale m'a gêné et ne m'a pas invité du tout à une relecture. Les adaptations de Tanabe, on les relit avec plaisir. Il doit rester quelques nouvelles encore de Lovecraft, je les attends avec impatience, vous aussi ? Une critique de Kevin Nivek
  22. Titre de l'album : Le cauchemar d'Innsmouth tomes 1 et 2 Scenariste de l'album : H P LOVECRAFT Dessinateur de l'album : TANABE Gou Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : En 1927, le jeune Robert Olmstead débarque à Newburyport. En quête de ses origines, il n'a d'autre option, pour atteindre sa destination, que de prendre un bus qui passe par Innsmouth, ville voisine sur laquelle courent d'effroyables rumeurs : pacte avec les démons, habitants difformes, culte ésotérique d'un étrange dieu marin... La peur qu'elle inspire est telle que personne n'ose s'y rendre, et nul ne sait ce qui se cache derrière les façades de ses maisons délabrées... Pourtant, les mises en garde des résidents de Newburyport, loin de décourager Robert, le poussent au contraire à s'intéresser à ce lieu pestiféré : il décide d'explorer les méandres de la cité maudite ! C'est le début d'une descente aux enfers qui le mènera aux portes de la folie... Critique : Les adaptations de Lovecraft par Tanabe deviennent des gages de qualité, c'est indéniable. J'avais dévoré les premières avec avidité, je dois bien l'avouer, et ces deux dernières démontrent une fois de plus tout le talent de cet auteur japonais. Le roman divisé en deux tomes nous permet de bien appréhender l'histoire et son déroulement. L'auteur prend le temps de situer le contexte et nous faire découvrir le personnage central. Nous allons l'accompagner tout du long dans ses déboires, et il va en rencontrer plus d'un ! A chaque expression d'un visage figé ou horrifié, fait suite une planche (souvent double page) nous exposant la situation. Nous sommes donc happés par la lecture et nous plongeons littéralement dans le récit. Le suspense est insoutenable dans le second tome car il ne s'agit ni plus ni moins que d'une chasse à l'homme dans les rues dévastées de cette ville cauchemardesque. Les recoins obscurs, les moindres bruits sont perçus et nous éprouvons une certaine crainte à tourner les pages. Tanabe réussit à nous faire peur, on s'interroge vraiment sur le devenir du protagoniste principal. Pour les avoir tous lus, je pense sincèrement qu'il s'agit de la plus violente et angoissante des adaptations, âmes sensibles s'abstenir Dois-je préciser que le dessin est comme à son habitude, superbe, incroyable, précis, lumineux, élégant, fin ... Les superlatifs manquent. Le travail éditorial est sans équivoque. Ces couvertures en cuir relié sont du plus bel effet. Je ne saurai que recommander ces livres, même aux non lecteurs assidus de mangas. Pour peu que l'on aime avoir peur. Ceci dit, on reste assez loin d'un Junji Ito sur l'épouvante et l'horreur, pour tout vous dire, la lecture de Spirale m'a gêné et ne m'a pas invité du tout à une relecture. Les adaptations de Tanabe, on les relit avec plaisir. Il doit rester quelques nouvelles encore de Lovecraft, je les attends avec impatience, vous aussi ? Une critique de Kevin Nivek Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-chefs-d-oeuvre-de-lovecraft-tome-1-le-cauchemar-d-innsmouth?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. Nickad

    L'enfant du dragon fantôme tome 2

    Eve et son gardien, l’âme de Dodo un vieux dragon, travaillent maintenant avec Yule et remplissent des missions. Cela leur permet d’avoir vent de toutes les rumeurs au sujet de dragons afin de pouvoir retrouver les enfants de Dodo. Je n’avais pas été convaincue par le 1er tome de la série, l’ayant trouvé sympathique mais pas exceptionnel. Ce deuxième tome est dans la même veine, il se lit bien, raconte les aventures de cette petite sorcière qui regarde le monde avec un regard d’enfant un peu naïf parfois. C’est mignon, bien dessiné, avec assez d’aventure et de fantastique mais encore une fois, j’ai du mal à accrocher plus que ça. Le livre se lit bien et est divertissant mais il n’a pas la petite touche palpitante qui le sortirait du lot. Un point intéressant, c’est qu’il n’a pas de violence excessive ni de scènes choquantes et peut donc être lu par les jeunes adolescents (je ne comprends pas trop pourquoi il est rangé en seinen). 2 tomes en cours.
  24. Titre de l'album : L'enfant du dragon fantôme tome 2 Scenariste de l'album : YUKISHIRO Ichi Dessinateur de l'album : YUKISHIRO Ichi Coloriste : Editeur de l'album : Komikku Note : Résumé de l'album : Eve, une petite sorcière délaissée, et Dodo, l'âme d'un vieux dragon ramenée sur terre par magie, continuent de rechercher les enfants de ce dernier. Avec l'aide de Yule, le remplaçant du patron de l'auberge où ils logent, ils créent «le bureau des demandes de la sorcière» qui rencontre un grand succès. C'est alors que cette merveilleuse famille croise la route d'une mystérieuse cliente tombée du ciel... Critique : Eve et son gardien, l’âme de Dodo un vieux dragon, travaillent maintenant avec Yule et remplissent des missions. Cela leur permet d’avoir vent de toutes les rumeurs au sujet de dragons afin de pouvoir retrouver les enfants de Dodo. Je n’avais pas été convaincue par le 1er tome de la série, l’ayant trouvé sympathique mais pas exceptionnel. Ce deuxième tome est dans la même veine, il se lit bien, raconte les aventures de cette petite sorcière qui regarde le monde avec un regard d’enfant un peu naïf parfois. C’est mignon, bien dessiné, avec assez d’aventure et de fantastique mais encore une fois, j’ai du mal à accrocher plus que ça. Le livre se lit bien et est divertissant mais il n’a pas la petite touche palpitante qui le sortirait du lot. Un point intéressant, c’est qu’il n’a pas de violence excessive ni de scènes choquantes et peut donc être lu par les jeunes adolescents (je ne comprends pas trop pourquoi il est rangé en seinen). 2 tomes en cours. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-enfant-du-dragon-fantome-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. Nickad

    Manchuria Opium Squad tome 1

    Manga sur fond historique, le livre nous propose de nous immerger dans le Mandchoukouo, nouvel état crée par les Japonais sur le sol chinois qui exista entre 1932 et 1945. On va suivre l’ascension (et probablement la chute) de deux personnages : Isamu Higata, jeune soldat réaffecté suite à la perte de son œil droit et devant trouver de l’argent pour s’occuper de sa famille et Lihua, la fille d’un boss de la mafia qui trempe dans le trafic d’opium. Le manga a pour ambition de nous faire découvrir deux choses : l’opium tout d’abord, son trafic, son importance et surtout ses effets. Il veut également mettre en lumière l’histoire de ce territoire « fantoche » crée par les Japonais au moment de leur politique d’expansion. Si la trame de fond est réelle et historique, les personnages principaux ne le sont pas mais les auteurs ont tout fait pour que l’immersion soit complète et que le lecteur croit à cette histoire. Probablement qu’il y a eu des faits similaires mais devant le manque de documents précis et les zones blanches, ils ont préféré romancer une partie (par exemple, il n’y a pas de certitude que l’armée faisait commerce d’opium). Cela dit, les scènes, que ce soit la vie des soldats, les comportements vis-à-vis du peuple ou même les passages plus violents sont des exemples de ce qui s’est vraiment passé. Le graphisme est travaillé, le rendu des personnages sous l’influence de l’opium est remarquable, il y a une véritable recherche sur l’angle de rendu avec des points de vue intéressants. Le manga est à réserver à un public averti, la série compte pour le moment 7 tomes.
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