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  1. Titre de l'album : Chroniques des 7 cités tome 1 Scenariste de l'album : TANAKA Yoshiki Dessinateur de l'album : FUKUDA Ikumi Coloriste : Editeur de l'album : Noeve Grafx Note : Résumé de l'album : En 2088, l'axe de la Terre bascule de 90°, causant des catastrophes en chaîne qui laissent l'humanité au bord de l'extinction, la poignée de survivants réfugiée sur une colonie lunaire. Trois ans plus tard, certains reviennent peupler la Terre et y bâtissent sept cités, à des endroits stratégiques. Mais entre dispute des ressources, auto-défense et luttes de pouvoir, ce n'est pas vraiment l'unité qui règne sur le nouveau monde... Chaque gouvernement rivalise alors de stratégies militaires et d'intrigues politiques pour que sa cité tire son épingle de ce jeu dangereux. Critique : L’histoire se déroule en 2190 après que l’axe de la Terre ait basculé de 90 degrés entrainant l’extinction de l’humanité, les émigrés vivant sur la Lune sont alors retournés sur terre pour y fonder 7 cités. Mais l’homme étant ce qu’il est, les cités devinrent rivales et prêtes à faire la guerre pour l’obtention de nouveaux territoires et ressources. Ce 1er tome raconte l’affrontement qu’il va y avoir entre les cités d’Aquilonia et New Camelot. Comme le titre l’indique, il s’agit de chroniques sur les 7 cités, on verra donc les situations politiques et militaires de chacune d’entre elles avec l’émergence de personnages particuliers. Certains d’entre eux ont commencé à positionner leurs pions de façon à avoir un champ d’action plus large, qui mènera fatalement à un remaniement de l’ordre mondial. Ce qui est mis en avant dans le manga, c’est surtout l’importance d’avoir une stratégie et une vision à plus grande échelle. Je ne cours pas forcément après les histoires de guerre mais quand il y en a un qui est bien il faut le souligner et celle-là est réussie : un bon scenario écrit par Yoshiki Tanaka (les héros de la galaxie) et un graphisme soigné de Ikumi Fukuda que l’on a découvert sous le pesudonyme de Kotteri dans le très beau manga Veil. Un manga prenant où l’on apprécie les personnages à forte personnalité, les pointes d’humour et la tension qui règne pour savoir qui va s’en sortir et comment. Série finie en 5 tomes. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/chroniques-des-7-cites-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. Nickad

    Android type one tome 1

    En 2059, il est devenu courant d’avoir un androïde à la maison pour aider aux tâches ménagères, s’occuper des enfants… Yûgo est tiré au sort pour tester pendant 90 jours le dernier modèle « type one », pendant ce temps deux membres de l’association de protection des androïdes sont chargés de récupérer les carcasses de robots laissés à l’abandon. Manga futuriste qui met en scène un quotidien possible où les robots seraient présents. Ce 1er tome est une introduction, la mise en place du contexte, on nous raconte l’arrivée des androïdes dans les foyers, comment les humains méfiants au début les ont acceptés petit à petit, comment une association de protection a vu le jour, les différences selon les pays. On nous rappelle également les 3 lois d’Asimov, les modifications illégales des robots, l’obsolescence… Et puis, il y a en arrière-plan, la présence d’un robot inconnu qui semble échapper à tout contrôle, l’arrivée potentielle d’une révolte qui n’est pas sans rappeler certains films. Un graphisme peut-être un peu trop simple pour nous plonger complétement dans le futur mais qui a le mérite de nous rapprocher d’une réalité peut-être pas si lointaine. Quelques longueurs dans ce volume mais une fin qui annonce un peu d’action pour la suite. Série finie en 3 tomes.
  3. Titre de l'album : Android type one tome 1 Scenariste de l'album : YASHIMA Dessinateur de l'album : YASHIMA Coloriste : Editeur de l'album : Omaké Note : Résumé de l'album : Tokyo, 2059… Yûgo Sawatari est un jeune employé de bureau. Un beau jour, il est tiré au sort et gagne un essai d’une période de 90 jours pour un « androïde Type One ». Commence alors pour lui une nouvelle vie avec son automate qu’il baptise Yui. Dans le même temps, alors que les enquêteurs de l’APA, l’Association de Protection des Androïdes, récupèrent les robots abandonnés illégalement en ville, ceux-ci se retrouvent nez à nez avec un Type One « errant »… Critique : En 2059, il est devenu courant d’avoir un androïde à la maison pour aider aux tâches ménagères, s’occuper des enfants… Yûgo est tiré au sort pour tester pendant 90 jours le dernier modèle « type one », pendant ce temps deux membres de l’association de protection des androïdes sont chargés de récupérer les carcasses de robots laissés à l’abandon. Manga futuriste qui met en scène un quotidien possible où les robots seraient présents. Ce 1er tome est une introduction, la mise en place du contexte, on nous raconte l’arrivée des androïdes dans les foyers, comment les humains méfiants au début les ont acceptés petit à petit, comment une association de protection a vu le jour, les différences selon les pays. On nous rappelle également les 3 lois d’Asimov, les modifications illégales des robots, l’obsolescence… Et puis, il y a en arrière-plan, la présence d’un robot inconnu qui semble échapper à tout contrôle, l’arrivée potentielle d’une révolte qui n’est pas sans rappeler certains films. Un graphisme peut-être un peu trop simple pour nous plonger complétement dans le futur mais qui a le mérite de nous rapprocher d’une réalité peut-être pas si lointaine. Quelques longueurs dans ce volume mais une fin qui annonce un peu d’action pour la suite. Série finie en 3 tomes. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/android-type-one-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. Nickad

    Love me for who I am tome 1

    3eme titre de la collection Mue chez Ototo, le manga y a toute sa place car il aborde le sujet de la non-binarité. Un thème très actuel et plus vaste qu’il n’y paraît. Pour information, le pronom « iel » est utilisé pour les personnes non binaires. Mogumo est biologiquement né garçon mais il s’habille en fille au lycée. Tetsu un de ses camarades de classe pensant avoir compris quel type de personne était Mogumo lui propose de travailler dans un café où les serveurs sont des otokonoko : des garçons habillés en fille et cherchant à être plus mignons qu’elles. Seulement voilà, Mogumo ne se reconnaît pas dans cette appellation car lui ne se sent ni fille ni garçon, iel a du mal à expliquer ce qu’iel ressent. Qu’est-ce que quelqu’un de non binaire ? Le manga propose une approche du sujet en montrant toute la complexité des sentiments : ceux de Mogumo qui se cherche et ne se reconnaît pas dans les deux genres proposés par la société et qui a du mal à expliquer ce qu’iel est. Et puis ceux de son entourage, la méprise de Tetsu d’abord qui tire des conclusions rapidement, puis ceux des autres employés du café, chacun s’habillant en fille pour des raisons différentes. Même au sein de minorités comme les transgenres, le cas de Mogumo n’est pas évident à comprendre. Merci à Ototo de nous proposer un tel manga, avec un sujet dont on entend beaucoup parler ces derniers temps et qui n’est pas facile à comprendre. Le début du manga est assez complexe et ce n’est que petit à petit qu’on cerne mieux la situation, car le développement de l’histoire est à l’image de notre société, on nous en parle mais sans explication, on ne peut pas comprendre. Le manga propose à la fin un après-propos permettant de clarifier un peu les différentes catégories de non-binarité. Un manga d’actualité, très intéressant où il faut prendre le temps de la lecture mais qui permettra j’espère une meilleure intégration de ces personnes dans la société, car hélas, l’humain est ainsi fait : il rejette ce qu’il ne comprend pas. Série finie en 5 tomes
  5. Titre de l'album : Love me for who I am tome 1 Scenariste de l'album : KONAYAMA Kata Dessinateur de l'album : KONAYAMA Kata Coloriste : Editeur de l'album : Ototo Note : Résumé de l'album : Au lycée, Mogumo semble ne pas avoir d’amis, et ne paraît pas non plus chercher à s’en faire. Pourtant, son camarade Tetsu connaît exactement le lieu où Mogumo pourrait rencontrer des personnes qui lui ressemblent : le maid café que tient sa sœur, où le service est assuré par des otokonoko, des garçons habillés en fille. Ni une ni deux, Tetsu propose à Mogumo d’y travailler... Mais qui a dit que Mogumo était un garçon ? Critique : 3eme titre de la collection Mue chez Ototo, le manga y a toute sa place car il aborde le sujet de la non-binarité. Un thème très actuel et plus vaste qu’il n’y paraît. Pour information, le pronom « iel » est utilisé pour les personnes non binaires. Mogumo est biologiquement né garçon mais il s’habille en fille au lycée. Tetsu un de ses camarades de classe pensant avoir compris quel type de personne était Mogumo lui propose de travailler dans un café où les serveurs sont des otokonoko : des garçons habillés en fille et cherchant à être plus mignons qu’elles. Seulement voilà, Mogumo ne se reconnaît pas dans cette appellation car lui ne se sent ni fille ni garçon, iel a du mal à expliquer ce qu’iel ressent. Qu’est-ce que quelqu’un de non binaire ? Le manga propose une approche du sujet en montrant toute la complexité des sentiments : ceux de Mogumo qui se cherche et ne se reconnaît pas dans les deux genres proposés par la société et qui a du mal à expliquer ce qu’iel est. Et puis ceux de son entourage, la méprise de Tetsu d’abord qui tire des conclusions rapidement, puis ceux des autres employés du café, chacun s’habillant en fille pour des raisons différentes. Même au sein de minorités comme les transgenres, le cas de Mogumo n’est pas évident à comprendre. Merci à Ototo de nous proposer un tel manga, avec un sujet dont on entend beaucoup parler ces derniers temps et qui n’est pas facile à comprendre. Le début du manga est assez complexe et ce n’est que petit à petit qu’on cerne mieux la situation, car le développement de l’histoire est à l’image de notre société, on nous en parle mais sans explication, on ne peut pas comprendre. Le manga propose à la fin un après-propos permettant de clarifier un peu les différentes catégories de non-binarité. Un manga d’actualité, très intéressant où il faut prendre le temps de la lecture mais qui permettra j’espère une meilleure intégration de ces personnes dans la société, car hélas, l’humain est ainsi fait : il rejette ce qu’il ne comprend pas. Série finie en 5 tomes Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/love-me-for-what-i-am-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. Tokiko et son père déménage de Tokyo pour Sunanomori, un petit village en bord de mer et aussi le village de naissance de sa mère. Cette dernière ne fait pas partie du voyage et semble même être partie tout court. Tokiko serait déjà venue quand elle avait 4 ans, le bruit des vagues et l’air marin font remonter des souvenirs : un accident lointain où elle a failli se noyer et une image floue de quelqu’un qui l’aurait sauvée et qu’elle cherche à retrouver. Ce séjour lui apportera peut-être les réponses. L’histoire navigue entre réalité et conte : il y a la nouvelle vie de Tokiko, les nouveaux élèves de l’école, son intégration dans cette classe où tout le monde se connait depuis toujours et puis il y a l’omniprésence des sirènes, ceux qui les cherchent et ceux qui n’y croient pas. La façon que l’auteure a de les faire apparaître dans les conversations ou les souvenirs, rien de concret, plutôt une image furtive que Tokiko poursuit. Le graphisme a quelque chose d’enfantin, une simplicité qui se rapproche du livre d’image et un jeu dans les noirs et blancs qui renforce le côté imaginaire, rêveur de l’histoire. C’est une certaine impression de sérénité, de calme qui s’en dégage, une sorte de mélancolie comme lorsqu’on regarde la mer. Et pour Yoko Komori qui voulait écrire une histoire sur les souvenirs liés au bruit de la mer, le défi est réussi et l’ambiance est bien présente, un bon 1er tome. Série finie en 2 tomes.
  7. Titre de l'album : Le secret des écailles bleues tome 1 Scenariste de l'album : KOMORI Yoko Dessinateur de l'album : KOMORI Yoko Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : À l'approche de la rentrée scolaire, Tokiko et son père emménagent dans une petite ville côtière. En écoutant le bruit des vagues, la jeune fille sent remonter en elle le souvenir confus du jour où une sirène l'a sauvée de la noyade... Critique : Tokiko et son père déménage de Tokyo pour Sunanomori, un petit village en bord de mer et aussi le village de naissance de sa mère. Cette dernière ne fait pas partie du voyage et semble même être partie tout court. Tokiko serait déjà venue quand elle avait 4 ans, le bruit des vagues et l’air marin font remonter des souvenirs : un accident lointain où elle a failli se noyer et une image floue de quelqu’un qui l’aurait sauvée et qu’elle cherche à retrouver. Ce séjour lui apportera peut-être les réponses. L’histoire navigue entre réalité et conte : il y a la nouvelle vie de Tokiko, les nouveaux élèves de l’école, son intégration dans cette classe où tout le monde se connait depuis toujours et puis il y a l’omniprésence des sirènes, ceux qui les cherchent et ceux qui n’y croient pas. La façon que l’auteure a de les faire apparaître dans les conversations ou les souvenirs, rien de concret, plutôt une image furtive que Tokiko poursuit. Le graphisme a quelque chose d’enfantin, une simplicité qui se rapproche du livre d’image et un jeu dans les noirs et blancs qui renforce le côté imaginaire, rêveur de l’histoire. C’est une certaine impression de sérénité, de calme qui s’en dégage, une sorte de mélancolie comme lorsqu’on regarde la mer. Et pour Yoko Komori qui voulait écrire une histoire sur les souvenirs liés au bruit de la mer, le défi est réussi et l’ambiance est bien présente, un bon 1er tome. Série finie en 2 tomes. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-secret-des-ecailles-bleues-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. Nickad

    En attendant lundi tome 2 (fin)

    Mizutani et Tsukino continuent leurs rendez-vous secrets du lundi soir. Hiki, la peste / voyou de la classe semble en avoir toujours après Tsukino, Mizutani décide d’aller lui parler et dévoile qu’ils se connaissent mieux que tout le monde le croit et qu’ils se voient en cachette. Hiki se pointe un lundi soir, Tsukino le vit mal et c’est tout l’équilibre de leur relation qui est fragilisé. En attendant lundi est un peu un ovni dans l’univers du manga, l’auteur utilise des enfants pour faire passer ses messages mais Mizutani a bien un langage adulte, réfléchi. Elle porte sur le monde un regard blasé, empreint de poésie, entre spleen et mélancolie. Le propos est profond, les interactions entre les personnages permettent de s’appesantir sur la nature de l’homme et pose des questions philosophiques, qui sommes-nous ? où est ma place dans la société ? et même comment vivre sa propre vie, être maitre de son destin ? Le manga n’est pas forcément facile d’accès, il faut vraiment prendre le temps de le parcourir, de s’y arrêter. Il a une ambiance très particulière soulignée par un graphisme qui joue sur les rendus en noir et blanc les associant ou les opposant. Un manga qui ne laisse pas indifférent mais qu’on ne peut ranger dans aucune case. A découvrir.
  9. Titre de l'album : En attendant lundi tome 2 (fin) Scenariste de l'album : ABE Tomomi Dessinateur de l'album : ABE Tomomi Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : L'arrivée de l'automne et du nouveau trimestre sont synonymes de retour à la routine... Mais pour une fois, ce quotidien, Mizutani arrive à l'envisager avec bonheur. Même s'il y a toujours les cours et autres sempiternelles contraintes, elle sait qu'elle pourra également retrouver Tsukino lors de leurs rendez-vous nocturnes du lundi. Combien de temps pourront-ils continuer leur manège avant d'être découverts ? Critique : Mizutani et Tsukino continuent leurs rendez-vous secrets du lundi soir. Hiki, la peste / voyou de la classe semble en avoir toujours après Tsukino, Mizutani décide d’aller lui parler et dévoile qu’ils se connaissent mieux que tout le monde le croit et qu’ils se voient en cachette. Hiki se pointe un lundi soir, Tsukino le vit mal et c’est tout l’équilibre de leur relation qui est fragilisé. En attendant lundi est un peu un ovni dans l’univers du manga, l’auteur utilise des enfants pour faire passer ses messages mais Mizutani a bien un langage adulte, réfléchi. Elle porte sur le monde un regard blasé, empreint de poésie, entre spleen et mélancolie. Le propos est profond, les interactions entre les personnages permettent de s’appesantir sur la nature de l’homme et pose des questions philosophiques, qui sommes-nous ? où est ma place dans la société ? et même comment vivre sa propre vie, être maitre de son destin ? Le manga n’est pas forcément facile d’accès, il faut vraiment prendre le temps de le parcourir, de s’y arrêter. Il a une ambiance très particulière soulignée par un graphisme qui joue sur les rendus en noir et blanc les associant ou les opposant. Un manga qui ne laisse pas indifférent mais qu’on ne peut ranger dans aucune case. A découvrir. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/en-attendant-lundi-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. Nickad

    Hellbound - l'enfer tome 2 (fin)

    4 ans après le châtiment public de Park Jeong Ja la secte Neo Veritas a pris de l’ampleur et s’est associée avec les pointes de flèches. Il est désormais difficile d’aller contre leurs opinions en public ou même de vivre sa vie comme on l’entend de peur de passer pour un hérétique et d’être passé à tabac. Quant à ceux qui ont reçu une damnation, s’ils ne se dénoncent pas pour que leur châtiment soit filmé, leur famille est prise pour cible. Heureusement, un groupe essaye de les aider. Hellbound est un manga résolument destiné à un public adulte, d’abord parce qu’il y a de la violence mais surtout par son propos : une réflexion sur le bien et le mal, les péchés et la dérive du fanatisme religieux. C’est percutant, effrayant même, bien sûr il y a le côté damnation et la façon dont le châtiment est exécuté mais c’est surtout l’attitude des humains qui est effroyable avec une montée d’intolérance et de haine. Certes, il faut prendre un peu de temps dans la lecture pour bien appréhender le propos mais c’est un très bon scénario servi par un graphisme réaliste notamment sur le rendu des traits de personnages qui situe bien l’action en Corée. Je n’ai pas vu la série mais le manga m’en a donné l’envie. A lire.
  11. Titre de l'album : Hellbound - l'enfer tome 2 (fin) Scenariste de l'album : SANG-HO Yeon Dessinateur de l'album : KYU-SOK Choi Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Des hommes censés être honnêtes reçoivent un message mystérieux leur annonçant qu'il leur reste peu de temps à vivre avant d'être conduits en Enfer. À l'heure dite, des créatures apparaissent, ne laissant que des corps calcinés derrière eux ! Qui tire les ficelles de ce théâtre macabre ? Critique : 4 ans après le châtiment public de Park Jeong Ja la secte Neo Veritas a pris de l’ampleur et s’est associée avec les pointes de flèches. Il est désormais difficile d’aller contre leurs opinions en public ou même de vivre sa vie comme on l’entend de peur de passer pour un hérétique et d’être passé à tabac. Quant à ceux qui ont reçu une damnation, s’ils ne se dénoncent pas pour que leur châtiment soit filmé, leur famille est prise pour cible. Heureusement, un groupe essaye de les aider. Hellbound est un manga résolument destiné à un public adulte, d’abord parce qu’il y a de la violence mais surtout par son propos : une réflexion sur le bien et le mal, les péchés et la dérive du fanatisme religieux. C’est percutant, effrayant même, bien sûr il y a le côté damnation et la façon dont le châtiment est exécuté mais c’est surtout l’attitude des humains qui est effroyable avec une montée d’intolérance et de haine. Certes, il faut prendre un peu de temps dans la lecture pour bien appréhender le propos mais c’est un très bon scénario servi par un graphisme réaliste notamment sur le rendu des traits de personnages qui situe bien l’action en Corée. Je n’ai pas vu la série mais le manga m’en a donné l’envie. A lire. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-hellbound-l-enfer-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. Nickad

    Chacun ses gouts tome 4

    Ao et Haru continue leur colocation et leur découverte de l’autre : le fait que Haru se dévalorise parce qu’elle est une otaku et qui dit « otaku » dit personne qui n’est pas à la mode, qui est « répugnante », le petit côté boudeur de Ao quand Haru lui fait défaut…. On découvre aussi leur entourage et plus particulièrement celui de Ao avec la rencontre avec son amie d’enfance et une collègue de travail sous son charme. Ce qu’il y a de bien dans ce manga, c’est le côté positif. Chaque personnage, ou même plus généralement humain, a des blessures du passé, plus ou moins importantes, chacun a des points positifs et négatifs. La combinaison de nos deux protagonistes permet à chaque fois de discuter des situations et d’en ressortir le meilleur, cela finit toujours bien en gardant l’aspect le plus positif. Et même si Haru et Ao n’ont pas des personnalités que l’on croise tous les jours, au point de pouvoir s’y identifier, les situations évoquées sont celles du quotidien et peuvent nous permettre d’en tirer une leçon. Chacun ses gouts est un manga bienveillant, avec une grande bouffée d’optimisme, qui nous présente des tranches de vie simples et nous apprend à profiter du quotidien. Carpe diem comme on dit.
  13. Titre de l'album : Chacun ses gouts tome 4 Scenariste de l'album : MACHITA Dessinateur de l'album : MACHITA Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Haru craque pour un bijou qu'elle aperçoit. Ao est content de découvrir une nouvelle facette de Haru et l'invite à faire du shopping, mais Haru refuse catégoriquement sous prétexte que si une personne comme elle se fait belle, c'est répugnant. Ao ne veut plus que Haru se dévalorise et il va lui faire une proposition... Critique : Ao et Haru continue leur colocation et leur découverte de l’autre : le fait que Haru se dévalorise parce qu’elle est une otaku et qui dit « otaku » dit personne qui n’est pas à la mode, qui est « répugnante », le petit côté boudeur de Ao quand Haru lui fait défaut…. On découvre aussi leur entourage et plus particulièrement celui de Ao avec la rencontre avec son amie d’enfance et une collègue de travail sous son charme. Ce qu’il y a de bien dans ce manga, c’est le côté positif. Chaque personnage, ou même plus généralement humain, a des blessures du passé, plus ou moins importantes, chacun a des points positifs et négatifs. La combinaison de nos deux protagonistes permet à chaque fois de discuter des situations et d’en ressortir le meilleur, cela finit toujours bien en gardant l’aspect le plus positif. Et même si Haru et Ao n’ont pas des personnalités que l’on croise tous les jours, au point de pouvoir s’y identifier, les situations évoquées sont celles du quotidien et peuvent nous permettre d’en tirer une leçon. Chacun ses gouts est un manga bienveillant, avec une grande bouffée d’optimisme, qui nous présente des tranches de vie simples et nous apprend à profiter du quotidien. Carpe diem comme on dit. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/chacun-ses-gouts-tome-4?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. Nickad

    Butterfly beast II tome 1

    Voici donc la suite des aventures de Ochô la kunoichi reconvertie en chasseuse (pour en savoir plus, allez voir la critique de la 1ere saison). Aventures n’est pas vraiment le terme approprié car Ochô n’a pas eu tellement le choix sur son nouveau mode de vie, elle doit éliminer les anciens shinobis qui ont mal tourné, et elle en souffre à chaque fois. Au travers des différentes histoires, on apprend un peu plus à connaître le quartier de Yoshiwara, le « quartier des plaisirs » situé au cœur de Tokyo et qui avait ses propres règles. Et c’est surtout la condition des courtisanes qui est dépeinte, leurs obligations, leurs rangs et leurs sentiments. Car aucune n’était vraiment libre, même celles de haut rang et à moins qu’un riche seigneur rachète leur dette, l’avenir était plutôt limité. Quant aux histoires d’amour, il valait mieux y renoncer. Ce tome est donc axé sur le quotidien de l’équipe de chasseur, l’histoire principale autour du passé d’Ochô n’est pas abordé dans ce tome mais on se doute qu’elle sera dans la suite. En plus d’un graphisme soigné avec une grande précision sur les personnages et décors, le scenario est des plus prenant entre aspect historique et action. Si vous aimez l’époque des samouraïs et ninjas, ce livre est fait pour vous. (en plus l'édition est de belle qualité)
  15. Titre de l'album : Butterfly beast II tome 1 Scenariste de l'album : NAGATE Yuka Dessinateur de l'album : NAGATE Yuka Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : 1636, début de l'ère d'Edo. Ochô a enfin retrouvé Kazuma, son ancien compagnon d'armes, qu'elle s'était juré de traquer. Cependant, ce dernier réussit à lui échapper, la kunoichi ne trouvant la force de l'arrêter. Malgré la paix ambiante, une guerre se prépare en secret dont l'objectif est de renverser le gouvernement en place. Kochô parviendra-t-elle à mettre finaux sombres desseins de son ancien amant ? Passion, crimes et châtiments sont au rendez-vous dans ce drame historique du Japon féodal ! Critique : Voici donc la suite des aventures de Ochô la kunoichi reconvertie en chasseuse (pour en savoir plus, allez voir la critique de la 1ere saison). Aventures n’est pas vraiment le terme approprié car Ochô n’a pas eu tellement le choix sur son nouveau mode de vie, elle doit éliminer les anciens shinobis qui ont mal tourné, et elle en souffre à chaque fois. Au travers des différentes histoires, on apprend un peu plus à connaître le quartier de Yoshiwara, le « quartier des plaisirs » situé au cœur de Tokyo et qui avait ses propres règles. Et c’est surtout la condition des courtisanes qui est dépeinte, leurs obligations, leurs rangs et leurs sentiments. Car aucune n’était vraiment libre, même celles de haut rang et à moins qu’un riche seigneur rachète leur dette, l’avenir était plutôt limité. Quant aux histoires d’amour, il valait mieux y renoncer. Ce tome est donc axé sur le quotidien de l’équipe de chasseur, l’histoire principale autour du passé d’Ochô n’est pas abordé dans ce tome mais on se doute qu’elle sera dans la suite. En plus d’un graphisme soigné avec une grande précision sur les personnages et décors, le scenario est des plus prenant entre aspect historique et action. Si vous aimez l’époque des samouraïs et ninjas, ce livre est fait pour vous. (en plus l'édition est de belle qualité) Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/butterfly-beast-ii-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. Nickad

    La déchéance d'un homme tome 2

    Yozo Oba continue tant bien que mal sa misérable existence, passant d’une femme à l’autre, se laissant entretenir, buvant plus que de raison, trahi par son « ami », il s’enfonce un peu plus chaque jour, se rapprochant dangereusement de la folie. Le texte de Dazai est d’une grande force, on ressent le cheminement qui mène Yozo vers l’enfer mais ce qui est encore plus surprenant c’est de voir combien Junji Itô lui apporte de la consistance. Il ne se contente pas d’illustrer le récit mais donne vie aux troubles psychiques, aux égarements de l’âme. De toute part, on est assailli des pensées du personnage, à la fois attiré par sa singularité et écœuré par son comportement ; même si lui se cherche ou cherche une place dans ce monde, il n’y a rien de bien à en tirer. On attend impatiemment ce qui le mènera à sa fin, la maladie ou la folie ? Fin au prochain volume.
  17. Titre de l'album : La déchéance d'un homme tome 2 Scenariste de l'album : DAZAI Osamu Dessinateur de l'album : ITÔ Junji Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Yôzô Ôba souffre énormément du regard que les autres portent sur lui et ne comprend pas le bonheur de son entourage. La solution qu'il finit par trouver pour s'en guérir : se transformer en bouffon. C'est ainsi que s'écoulent ses jours, à se vouer à ce rôle de clown empli de souffrance. « Extérieurement, le sourire ne me quittait pas intérieurement, en revanche, c'était le désespoir. » Critique : Yozo Oba continue tant bien que mal sa misérable existence, passant d’une femme à l’autre, se laissant entretenir, buvant plus que de raison, trahi par son « ami », il s’enfonce un peu plus chaque jour, se rapprochant dangereusement de la folie. Le texte de Dazai est d’une grande force, on ressent le cheminement qui mène Yozo vers l’enfer mais ce qui est encore plus surprenant c’est de voir combien Junji Itô lui apporte de la consistance. Il ne se contente pas d’illustrer le récit mais donne vie aux troubles psychiques, aux égarements de l’âme. De toute part, on est assailli des pensées du personnage, à la fois attiré par sa singularité et écœuré par son comportement ; même si lui se cherche ou cherche une place dans ce monde, il n’y a rien de bien à en tirer. On attend impatiemment ce qui le mènera à sa fin, la maladie ou la folie ? Fin au prochain volume. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-decheance-d-un-homme-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. Nickad

    La déchéance d'un homme tome 1

    La déchéance d’un homme c’est tout d’abord un roman de Osamu Dazai sorti en 1948 où l’auteur s’inspire fortement de sa propre vie pour montrer ses désillusions du monde et surtout du genre humain. On suit la vie d’un homme qui ne sait pas s’affirmer, qui va subir la présence des autres, qui craint plus que tout leur regard et qui va finir par se perdre. Junji Itô en fait ici une adaptation en 3 volumes. Si le scénario suit le roman, Itô nous entraine bien dans son univers. D’abord par son dessin, sa façon très particulière de faire ressortir les émotions (l’effroi, le dégoût, la peur, la lassitude…) de ses personnages, ensuite par son interprétation des hallucinations que vit le personnage principal entre fantastique et horreur. Le rendu des paysages d’époque est superbe, avec le souci du détail mais c’est surtout dans les moments dramatiques que l’on ressent tout le génie de l’auteur avec sa capacité de nous entrainer avec lui. Soulignons aussi le grand retour de Junji Itô chez nos éditeurs avec la sortie des intégrales de Spirale et Gyo chez Delcourt et Tomié prévue en juillet chez Mangetsu.
  19. Titre de l'album : La déchéance d'un homme tome 1 Scenariste de l'album : DAZAI Osamu Dessinateur de l'album : ITÔ Junji Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Yôzô Ôba souffre énormément du regard que les autres portent sur lui et ne comprend pas le bonheur de son entourage. La solution qu'il finit par trouver pour s'en guérir : se transformer en bouffon. C'est ainsi que s'écoulent ses jours, à se vouer à ce rôle de clown empli de souffrance. « Extérieurement, le sourire ne me quittait pas intérieurement, en revanche, c'était le désespoir. » Critique : La déchéance d’un homme c’est tout d’abord un roman de Osamu Dazai sorti en 1948 où l’auteur s’inspire fortement de sa propre vie pour montrer ses désillusions du monde et surtout du genre humain. On suit la vie d’un homme qui ne sait pas s’affirmer, qui va subir la présence des autres, qui craint plus que tout leur regard et qui va finir par se perdre. Junji Itô en fait ici une adaptation en 3 volumes. Si le scénario suit le roman, Itô nous entraine bien dans son univers. D’abord par son dessin, sa façon très particulière de faire ressortir les émotions (l’effroi, le dégoût, la peur, la lassitude…) de ses personnages, ensuite par son interprétation des hallucinations que vit le personnage principal entre fantastique et horreur. Le rendu des paysages d’époque est superbe, avec le souci du détail mais c’est surtout dans les moments dramatiques que l’on ressent tout le génie de l’auteur avec sa capacité de nous entrainer avec lui. Soulignons aussi le grand retour de Junji Itô chez nos éditeurs avec la sortie des intégrales de Spirale et Gyo chez Delcourt et Tomié prévue en juillet chez Mangetsu. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-decheance-d-un-homme-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. L’action se déroule dans un futur moyennement proche, la Terre a vu le niveau des mers et océans augmenter et une flotte mystérieuse dite » flotte du brouillard » prendre la suprématie sur les mers, flotte hostile à tout déplacement maritime. Ces nouveaux navires surpuissants sont dotés d’une intelligence représentée sous la forme d’humanoïde féminin. L’un d’eux « 401 » a collabore avec un équipage japonais pour lutter contre ces « envahisseurs ». Le Japon a réussi a développé une nouvelle arme qui pourrait être déterminante dans cette lutte mais n’a pas les moyens de la produire, elle demande donc à l’équipage du 401 de l’emmener aux Etats-Unis. Arpeggio of blue steel a commencé à être écrit en 2009, il est le pionner d’un genre nouveau où les armes et/ou équipements militaires sont dotés de conscience représentée sous forme d’un avatar, le genre plaît beaucoup au Japon et le manga est un véritable succès, il est toujours en cours et compte 22 volumes à ce jour sans compter les adaptations en anime. Concernant l’histoire, les deux premiers tomes servent de mise en place : la situation de l’espèce humaine dans ce qu’il reste du monde, la menace de la flotte du brouillard, l’équipage réduit du 401 avec son commandant Gunzo Chihaya dont le père aurait trahi l’humanité et surtout en apprend à connaître ces avatars et la raison pour laquelle ils ont été créés En plus du côté futuriste et guerre, le manga se penche sur la notion même de l’humanité. Il y a quelques longueurs au début, surement liées à la mise en place du contexte. Le manga ne manque pas d’actions ni de mystères qui entretiennent l’intérêt. A suivre donc.
  21. Titre de l'album : Arpeggio of blue steel tomes 1 et 2 Scenariste de l'album : ARK Performance Dessinateur de l'album : ARK Performance Coloriste : Editeur de l'album : Noeve Grafx Note : Résumé de l'album : 2039 : alors que le réchauffement climatique a fait monter le niveau des océans, les forces navales humaines sont décimées par la mystérieuse «flotte du Brouillard», dont les navires doués d'intelligence empêchent tout déplacement maritime. 17 ans plus tard Iona, avatar de l'un de ces navires, rejoint les forces humaines et s'allie à Gunzo Chihaya. Son aide ne sera pas de trop car le jeune homme, capitaine des corsaires Blue Steel, est engagé par le gouvernement japonais pour une mission qui pourrait enfin permettre à l'humanité de rivaliser avec ses ennemis. Critique : L’action se déroule dans un futur moyennement proche, la Terre a vu le niveau des mers et océans augmenter et une flotte mystérieuse dite » flotte du brouillard » prendre la suprématie sur les mers, flotte hostile à tout déplacement maritime. Ces nouveaux navires surpuissants sont dotés d’une intelligence représentée sous la forme d’humanoïde féminin. L’un d’eux « 401 » a collabore avec un équipage japonais pour lutter contre ces « envahisseurs ». Le Japon a réussi a développé une nouvelle arme qui pourrait être déterminante dans cette lutte mais n’a pas les moyens de la produire, elle demande donc à l’équipage du 401 de l’emmener aux Etats-Unis. Arpeggio of blue steel a commencé à être écrit en 2009, il est le pionner d’un genre nouveau où les armes et/ou équipements militaires sont dotés de conscience représentée sous forme d’un avatar, le genre plaît beaucoup au Japon et le manga est un véritable succès, il est toujours en cours et compte 22 volumes à ce jour sans compter les adaptations en anime. Concernant l’histoire, les deux premiers tomes servent de mise en place : la situation de l’espèce humaine dans ce qu’il reste du monde, la menace de la flotte du brouillard, l’équipage réduit du 401 avec son commandant Gunzo Chihaya dont le père aurait trahi l’humanité et surtout en apprend à connaître ces avatars et la raison pour laquelle ils ont été créés En plus du côté futuriste et guerre, le manga se penche sur la notion même de l’humanité. Il y a quelques longueurs au début, surement liées à la mise en place du contexte. Le manga ne manque pas d’actions ni de mystères qui entretiennent l’intérêt. A suivre donc. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/arpeggio-of-blue-steel-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. Nickad

    My elder sister tome 3

    Yuu et Chiyo continuent leur cohabitation, leur quotidien d’une grande tendresse empreint de douceur. C’est au travers de petits détails que chacun apprend sur l’autre mais aussi prend conscience qu’il ne sait pas grand-chose en réalité. Cette vie semble leur convenir mais il pourrait bien que d’autres facteurs extérieurs viennent perturber ce quotidien. Encore une fois, la majorité du tome reste centré sur nos deux personnages qui semblent n’avoir besoin de personne d’autre. Une ambiance intimiste entre douceur et séduction car l’auteure sait mettre en valeur son héroïne avec une pointe d’érotisme sans jamais tomber dans le vulgaire. Le graphisme est à la hauteur, il est agréable et dégage une certaine chaleur. Ce n’est que vers la fin du tome que des changements arrivent, changements annoncés dès le début de la série par le narrateur (qui n’est autre que Yuu plus âgé). N’oublions pas que Chiyo est un démon et qu’un pacte a été passé. Un tome qui prend son temps, un peu court peut-être (132 pages seulement) mais toujours très agréable, surtout visuellement.
  23. Titre de l'album : My elder sister tome 3 Scenariste de l'album : IIDA Pochi Dessinateur de l'album : IIDA Pochi Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Démons comme dieux, sont au-delà du bien et du mal. Malgré son inquiétude, Yuu continue de mener sa vie de famille heureuse aux côtés de Chiyo. Cependant, une menace, difficile à définir, plane... Que peut bien manigancer la dénommée Haru ? Critique : Yuu et Chiyo continuent leur cohabitation, leur quotidien d’une grande tendresse empreint de douceur. C’est au travers de petits détails que chacun apprend sur l’autre mais aussi prend conscience qu’il ne sait pas grand-chose en réalité. Cette vie semble leur convenir mais il pourrait bien que d’autres facteurs extérieurs viennent perturber ce quotidien. Encore une fois, la majorité du tome reste centré sur nos deux personnages qui semblent n’avoir besoin de personne d’autre. Une ambiance intimiste entre douceur et séduction car l’auteure sait mettre en valeur son héroïne avec une pointe d’érotisme sans jamais tomber dans le vulgaire. Le graphisme est à la hauteur, il est agréable et dégage une certaine chaleur. Ce n’est que vers la fin du tome que des changements arrivent, changements annoncés dès le début de la série par le narrateur (qui n’est autre que Yuu plus âgé). N’oublions pas que Chiyo est un démon et qu’un pacte a été passé. Un tome qui prend son temps, un peu court peut-être (132 pages seulement) mais toujours très agréable, surtout visuellement. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/my-elder-sister-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. Nickad

    Entre les lignes tome 3

    Premier jour de lycée pour Asa, elle y retrouve son amie Emiri, mais lors d’une discussion entre nouveaux camarades de classe, elle leur annonce que ces parents sont morts dans un accident et qu’elle vit avec sa tante romancière. Elle se demande après coup si ce n’était pas une erreur. Elle se rend compte très vite que les réponses sa tante Makio et celles de sa mère ne sont pas les mêmes, elle se sent perdus ne sachant qui écouter. De son côté, quand Emiri vient rendre visite à Asa, Makio réalise que son petit chez elle n’est plus qu’à elle, elle se sent envahie. Le manga est toujours aussi juste quand il s’agit de décrire les sentiments, aucune de ses deux protagonistes n’étant très expressives, même plutôt renfermée, c’est au cours de leurs réflexions qu’on comprend leurs émotions. Chacune doit apprendre à vivre avec une personne qu’elle n’a pas choisi tout en voyant leur quotidien être complètement chamboulé. Petit à petit Asa met des mots sur son chagrin, sa colère, elle chemine lentement dans le processus du deuil. Si le dessin n’est pas toujours très net, surtout sur les visages, le teste est intelligent et sensible.
  25. Titre de l'album : Entre les lignes tome 3 Scenariste de l'album : YAMASHITA Tomoko Dessinateur de l'album : YAMASHITA Tomoko Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : L'heure de la rentrée au lycée a sonné pour Asa. Makio est absente lors de la cérémonie d'entrée de sa nièce. Makio ne sera pas une seconde maman pour Asa même si elle l'accompagne dans la vie. Et Asa ne peut s'empêcher de se sentir différentes de ses nouveaux camarades accompagnés par leurs parents. Le journal que sa tante lui a conseillé de tenir l'attend mais elle ne sait pas toujours quoi écrire dans ce tourbillon de sentiments et d'émotions contradictoires qui l'assaillent... Critique : Premier jour de lycée pour Asa, elle y retrouve son amie Emiri, mais lors d’une discussion entre nouveaux camarades de classe, elle leur annonce que ces parents sont morts dans un accident et qu’elle vit avec sa tante romancière. Elle se demande après coup si ce n’était pas une erreur. Elle se rend compte très vite que les réponses sa tante Makio et celles de sa mère ne sont pas les mêmes, elle se sent perdus ne sachant qui écouter. De son côté, quand Emiri vient rendre visite à Asa, Makio réalise que son petit chez elle n’est plus qu’à elle, elle se sent envahie. Le manga est toujours aussi juste quand il s’agit de décrire les sentiments, aucune de ses deux protagonistes n’étant très expressives, même plutôt renfermée, c’est au cours de leurs réflexions qu’on comprend leurs émotions. Chacune doit apprendre à vivre avec une personne qu’elle n’a pas choisi tout en voyant leur quotidien être complètement chamboulé. Petit à petit Asa met des mots sur son chagrin, sa colère, elle chemine lentement dans le processus du deuil. Si le dessin n’est pas toujours très net, surtout sur les visages, le teste est intelligent et sensible. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/entre-les-lignes-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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