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  1. Nickad

    Alma tome 2

    Ray n’est donc pas juste un humain lambda, en plus d’avoir été élevé par une Ginji (le nom donné aux androïdes), il est aussi un « zéro », il a la capacité de s’opposer aux machines. Extirpé de Bucarest avec l’aide de la commandante Lukyana, il arrive dans le dernier grand bastion de l’humanité : Moscou. Si la première moitié du livre est de l’action pure et du combat dans des décors toujours aussi bien travaillés et détaillés, la seconde nous présente la ville humaine, polyethnique, avec sa nouvelle organisation politique et surtout ses défauts. On en apprend un peu plus sur l’alma et les zéros sans toutefois avoir toutes les réponses. En plus de ce contexte post-apocalyptique sur la survie de l’humanité et son évolution, Alma est un manga d’action et de réflexions qui aborde de nombreux sujets et donne des leçons de vie.
  2. Nickad

    Alma tome 2

    Titre de l'album : Alma tome 2 Scenariste de l'album : MITO Shinji Dessinateur de l'album : MITO Shinji Coloriste : Editeur de l'album : Panini Note : Résumé de l'album : "C'est la dernière marche de l'humanité". Ray et Trice vivent dans un monde dévasté dans lequel les humains semblent avoir disparu. Suite à l'attaque de mystérieux nomades du ciel, Ray perd celle qui a été son unique partenaire pendant quinze ans. Le cœur brisé par la mort de Trice, mais guidé par ses dernières paroles : "Va de l'avant, Ray ! " , l'adolescent entame un long périple. Pour la première fois, Ray explore le monde, rencontre d'autres humains, et découvre ce qui s'est passé sur Terre. Il réalise aussi qu'il est le "Zéro", le seul être capable de s'opposer aux gijin et l'ultime espoir de la race humaine... Critique : Ray n’est donc pas juste un humain lambda, en plus d’avoir été élevé par une Ginji (le nom donné aux androïdes), il est aussi un « zéro », il a la capacité de s’opposer aux machines. Extirpé de Bucarest avec l’aide de la commandante Lukyana, il arrive dans le dernier grand bastion de l’humanité : Moscou. Si la première moitié du livre est de l’action pure et du combat dans des décors toujours aussi bien travaillés et détaillés, la seconde nous présente la ville humaine, polyethnique, avec sa nouvelle organisation politique et surtout ses défauts. On en apprend un peu plus sur l’alma et les zéros sans toutefois avoir toutes les réponses. En plus de ce contexte post-apocalyptique sur la survie de l’humanité et son évolution, Alma est un manga d’action et de réflexions qui aborde de nombreux sujets et donne des leçons de vie. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/alma-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Nickad

    Panda detective agency tome 1

    L’histoire se déroule dans le Japon actuel avec une différence notable, une nouvelle maladie se répand dans le monde, appelée « métamorphie » elle transforme les êtres humains en animaux ou végétaux. Handa, un jeune homme se rend un jour chez son médecin, il découvre que sa métamorphose en panda a alors commencé, un an plus tard, on le retrouve à travailler dans une agence de détective sur des affaires ayant toutes un lien avec cette nouvelle maladie. Les éditions Mangetsu proposent de nous faire découvrir ce nouvel auteur avec le 1er tome de cette série, auteur que l’on retrouvera fin août avec un recueil d’histoires courtes. Pump Sawae a un style graphique intéressant, il peut être assez sobre par moment mettant en valeur un élément particulier, surtout quand il s’attarde sur les métamorphoses ou quand l’action se situe en tunnel, il inverse alors le blanc et le noir, son trait fait preuve d’une certaine finesse. Chaque chapitre nous fait découvrir une nouvelle demande et met en scène un nouveau cas. Et finalement, c’est la maladie dans son ensemble qui est abordé, comment réagit le malade, son entourage, l’acceptation, l’accompagnement, la fin de vie ou même le fait de cacher la maladie, de la combattre ou d’abandonner tout espoir. Panda detective agency est une œuvre intéressante qui aborde un sujet difficile, sans tomber dans le pathos, et sous couvert de fond un peu fantastique, c’est l’être humain qui y est finalement étudié. A découvrir.
  4. Titre de l'album : Panda detective agency tome 1 Scenariste de l'album : SAWAE Pump Dessinateur de l'album : SAWAE Pump Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : Une étrange maladie se répand dans le monde et transforme petit à petit les humains en animaux. Solder, devenu partiellement panda, et Takebayashi, un Tokyoïte pur jus chic et charismatique, vont alors faire équipe pour faire la lumière sur cet étrange virus qui pourrait bien plonger leur ville dans le chaos. Une histoire touchante et pleine d'humour sur la force de l'amitié et de la résilience. Premier titre de Mangetsu LIFE, notre collection tranche de vie, en format souple agrandi. Critique : L’histoire se déroule dans le Japon actuel avec une différence notable, une nouvelle maladie se répand dans le monde, appelée « métamorphie » elle transforme les êtres humains en animaux ou végétaux. Handa, un jeune homme se rend un jour chez son médecin, il découvre que sa métamorphose en panda a alors commencé, un an plus tard, on le retrouve à travailler dans une agence de détective sur des affaires ayant toutes un lien avec cette nouvelle maladie. Les éditions Mangetsu proposent de nous faire découvrir ce nouvel auteur avec le 1er tome de cette série, auteur que l’on retrouvera fin août avec un recueil d’histoires courtes. Pump Sawae a un style graphique intéressant, il peut être assez sobre par moment mettant en valeur un élément particulier, surtout quand il s’attarde sur les métamorphoses ou quand l’action se situe en tunnel, il inverse alors le blanc et le noir, son trait fait preuve d’une certaine finesse. Chaque chapitre nous fait découvrir une nouvelle demande et met en scène un nouveau cas. Et finalement, c’est la maladie dans son ensemble qui est abordé, comment réagit le malade, son entourage, l’acceptation, l’accompagnement, la fin de vie ou même le fait de cacher la maladie, de la combattre ou d’abandonner tout espoir. Panda detective agency est une œuvre intéressante qui aborde un sujet difficile, sans tomber dans le pathos, et sous couvert de fond un peu fantastique, c’est l’être humain qui y est finalement étudié. A découvrir. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/panda-detective-agency?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. Le siège de l’école militaire touche à sa fin, le conflit entre les deux princes a entrainé une guerre civile ou parfois, les élèves de l’école se sont retrouvés opposés à leurs parents. Il est temps pour certains de faire des choix et d’assumer leurs convictions. Ce volume s’attarde plus particulièrement sur la relation entre Helmut et Jürgen, amis d’enfance, ils ont développés au fil du temps une relation plus proche (pour rappel, Helmut est une fille et la meilleure élève de cavalerie), mais quand leurs opinions divergent, l’affrontement risque d’être inévitable. Baltzar est un manga qui ne perd pas en force, il reste prenant du début à la fin. En plus d’être un très bon manga de guerre avec un rythme soutenu et des graphismes superbes, il s’attarde aussi sur la psychologie des personnages, sur leur implication, que ce soit d’un point de vue héritage familial, tradition ou politique. L’auteur montre également très bien les enjeux politiques et l’ingérence des pays extérieurs prêts à tout pour envahir ce territoire. Encore une fois, on voit bien qu’il suffit d’un rien pour que la situation dégénère et entraine des innocents dans la folie de la guerre. Un très bon manga que l’on attend toujours avec impatience !
  6. Titre de l'album : Baltzar - la guerre dans le sang tome 10 Scenariste de l'album : Nakajima Michitsune Dessinateur de l'album : Nakajima Michitsune Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Helmut arrive à la rescousse ! Son régiment de cavalerie parvient vaillamment à disperser les troupes ennemies massées aux portes de l'école militaire. En voyant cela, le prince héritier décide de se poser au sol pour retourner sur le champ de bataille. Mais Jürgen et ses hommes pourchassent le ballon, afin de l'abattre et ainsi mettre un terme à cette guerre. Critique : Le siège de l’école militaire touche à sa fin, le conflit entre les deux princes a entrainé une guerre civile ou parfois, les élèves de l’école se sont retrouvés opposés à leurs parents. Il est temps pour certains de faire des choix et d’assumer leurs convictions. Ce volume s’attarde plus particulièrement sur la relation entre Helmut et Jürgen, amis d’enfance, ils ont développés au fil du temps une relation plus proche (pour rappel, Helmut est une fille et la meilleure élève de cavalerie), mais quand leurs opinions divergent, l’affrontement risque d’être inévitable. Baltzar est un manga qui ne perd pas en force, il reste prenant du début à la fin. En plus d’être un très bon manga de guerre avec un rythme soutenu et des graphismes superbes, il s’attarde aussi sur la psychologie des personnages, sur leur implication, que ce soit d’un point de vue héritage familial, tradition ou politique. L’auteur montre également très bien les enjeux politiques et l’ingérence des pays extérieurs prêts à tout pour envahir ce territoire. Encore une fois, on voit bien qu’il suffit d’un rien pour que la situation dégénère et entraine des innocents dans la folie de la guerre. Un très bon manga que l’on attend toujours avec impatience ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/baltzar-la-guerre-dans-le-sang-tome-10?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Nickad

    WOMBS tome 2

    Mana Oga a enfin fini la 1ere phase de préparation et va mener sa première mission. Mais bien que prévenue de la difficulté de l’opération, la réalité se révèle éprouvante. Plus que les autres recrues, elle continue à faire de drôles de rêves, est-ce que cela signifie qu’elle a des prédispositions particulières ou bien qu’elle se laisse contrôler par son parasite ? Les deux peut-être… Ce deuxième volume nous fait rentrer dans la partie active du conflit, on voit d’un côté les opérations de terrain, l’importance du plan de coordonnées mais aussi toute la partie des enjeux politiques, des négociations entre les first et les second. La guerre pour s’approprier la planète n’est pas prête de s’arrêter, et certains n’hésitent pas à sacrifier des innocents. Il reste encore des zones d’ombres, notamment par rapport aux créatures peuplant Hast. Et puis il y a toute une réflexion autour des forces spéciales de transfert, de l’enrôlement forcé, de la maternité, du corps féminin en tant qu’arme. Yumiko Shirai avance donc sur tous les aspects de son histoire, son univers est complet et riche, parfois difficile à aborder. Il faut une certaine maturité pour l’apprécier. Mais ce qui est sûr, c’est que l’auteure n’a pas encore tout raconté et que la suite va être très intéressante.
  8. Nickad

    WOMBS tome 2

    Titre de l'album : WOMBS tome 2 Scenariste de l'album : SHIRAI Yumiko Dessinateur de l'album : SHIRAI Yumiko Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : Mana Oga a participé à sa première mission offensive en tant qu'auxiliaire de transfert. Et malgré le succès de cette opération éclair, le contrecoup physique et psychologique est particulièrement rude pour la soldate... d'autant plus que depuis son dernier « envol », elle semble s'égarer dans le plan de coordonnées durant on sommeil. Dans cette autre dimension, la jeune femme fait d'étranges rencontres dont elle ignore la nature : démêler rêve et réalité pourrait se révéler plus compliqué que prévu ! Critique : Mana Oga a enfin fini la 1ere phase de préparation et va mener sa première mission. Mais bien que prévenue de la difficulté de l’opération, la réalité se révèle éprouvante. Plus que les autres recrues, elle continue à faire de drôles de rêves, est-ce que cela signifie qu’elle a des prédispositions particulières ou bien qu’elle se laisse contrôler par son parasite ? Les deux peut-être… Ce deuxième volume nous fait rentrer dans la partie active du conflit, on voit d’un côté les opérations de terrain, l’importance du plan de coordonnées mais aussi toute la partie des enjeux politiques, des négociations entre les first et les second. La guerre pour s’approprier la planète n’est pas prête de s’arrêter, et certains n’hésitent pas à sacrifier des innocents. Il reste encore des zones d’ombres, notamment par rapport aux créatures peuplant Hast. Et puis il y a toute une réflexion autour des forces spéciales de transfert, de l’enrôlement forcé, de la maternité, du corps féminin en tant qu’arme. Yumiko Shirai avance donc sur tous les aspects de son histoire, son univers est complet et riche, parfois difficile à aborder. Il faut une certaine maturité pour l’apprécier. Mais ce qui est sûr, c’est que l’auteure n’a pas encore tout raconté et que la suite va être très intéressante. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/wombs-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. Kobayashi est une employée normale, sa vie s’écoule entre travail et maison, boire un verre de temps en temps avec un collègue et boire plus qu’il n’en faut parfois. Et c’est ainsi qu’après le verre de trop, elle a fait une rencontre bien étrange et une promesse, la voilà qui se retrouve un beau matin avec un dragon à sa porte : Thor, prête à entrer au service de Kobayashi en tant que soubrette ! Pour information, dans ce manga, les dragons ont la capacité de prendre une apparence humanoïde. On se retrouve avec un duo assez improbable, d’un côté Kobayashi qui a un caractère un peu renfermé, légèrement taciturne et qui semble blasé sur tout sauf quand il s’agit de domestiques et de l’autre, Thor, un dragon ayant fui son monde d’origine, détestant les humains mais prête à tout pour rester auprès de Kobayashi. La conjoncture va forcément entrainer des décalages, des quiproquos, des situations inattendues. Il y a beaucoup d’humour, une vraie bonne humeur et de l’originalité. Un manga agréable, plein de fraicheur qui apporte de la distraction et de la détente. On pourrait penser que ce n’est encore qu’un nouveau titre de plus sur les dragons (après la nonne, l’appartement, le vegan…), mais cela n’a rien à voir ! D’abord, ici c’est le dragon issu d’un univers de fantasy qui vient dans notre monde (une sorte d’isekai inversé) ; ensuite ce titre date de 2013, il est sorti bien avant les autres. Il a d’ailleurs fait l’objet d’une adaptation en anime, fidèle au manga, que vous pouvez retrouver sur crunchyroll.
  10. Titre de l'album : Miss Kobayashi's dragon maid tome 1 Scenariste de l'album : COOL Kyôshinsha Dessinateur de l'album : COOL Kyôshinsha Coloriste : Editeur de l'album : Noeve Grafx Note : Résumé de l'album : Avoir une domestique draconique, n'est-ce pas un peu encombrant ?! Un matin, la tête enfarinée après une nuit de beuverie, Kobayashi voit débarquer sur le pas de sa porte... un dragon. Ou plutôt une dragonne fantasque, dénommée Thor, qui a décidé de son propre chef de se mettre à son service ! Du transport à la lessive en passant par la cuisine et la sécurité, Thor ne ménage pas sa peine pour prouver sa dévotion à sa nouvelle maîtresse. Quitte à la mettre dans les situations les plus embarrassantes... Critique : Kobayashi est une employée normale, sa vie s’écoule entre travail et maison, boire un verre de temps en temps avec un collègue et boire plus qu’il n’en faut parfois. Et c’est ainsi qu’après le verre de trop, elle a fait une rencontre bien étrange et une promesse, la voilà qui se retrouve un beau matin avec un dragon à sa porte : Thor, prête à entrer au service de Kobayashi en tant que soubrette ! Pour information, dans ce manga, les dragons ont la capacité de prendre une apparence humanoïde. On se retrouve avec un duo assez improbable, d’un côté Kobayashi qui a un caractère un peu renfermé, légèrement taciturne et qui semble blasé sur tout sauf quand il s’agit de domestiques et de l’autre, Thor, un dragon ayant fui son monde d’origine, détestant les humains mais prête à tout pour rester auprès de Kobayashi. La conjoncture va forcément entrainer des décalages, des quiproquos, des situations inattendues. Il y a beaucoup d’humour, une vraie bonne humeur et de l’originalité. Un manga agréable, plein de fraicheur qui apporte de la distraction et de la détente. On pourrait penser que ce n’est encore qu’un nouveau titre de plus sur les dragons (après la nonne, l’appartement, le vegan…), mais cela n’a rien à voir ! D’abord, ici c’est le dragon issu d’un univers de fantasy qui vient dans notre monde (une sorte d’isekai inversé) ; ensuite ce titre date de 2013, il est sorti bien avant les autres. Il a d’ailleurs fait l’objet d’une adaptation en anime, fidèle au manga, que vous pouvez retrouver sur crunchyroll. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/miss-kobayashi-s-dragon-maid-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. Nickad

    Jormungand tome 10

    Koko a décidé de passer à l’action, les missions qu’elle confie à ses hommes changent et la voilà, qui fait enlever des scientifiques et qu’elle investit dans des sociétés technologiques. Il semblerait bien que son projet soit sur la bonne voie, ce fameux projet secret dont on entend vaguement parler depuis quelques tomes sans savoir de quoi il s’agit. Ce tome montre une réelle avancée dans l’objectif final de Koko, des révélations vous attendent et un rebondissement à la fin qui annonce un tome 11 explosif ! Avec ce volume, l’histoire reprend du poil de la bête et attire à nouveau notre attention, la fin dans le prochain tome !
  12. Nickad

    Jormungand tome 10

    Titre de l'album : Jormungand tome 10 Scenariste de l'album : TAKAHASHI Keitarô Dessinateur de l'album : TAKAHASHI Keitarô Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Kasper, le grand frère de Koko, fit l'annonce de la sortie d'un système révolutionnaire de gestion des communications et de la logistique militaire, le Hek.GG, ce qui fit grand bruit dans le monde des armées. Mais dans l'ombre, Koko et Minami s'apprêtent à lancer leur projet secret, le Jormungand... Critique : Koko a décidé de passer à l’action, les missions qu’elle confie à ses hommes changent et la voilà, qui fait enlever des scientifiques et qu’elle investit dans des sociétés technologiques. Il semblerait bien que son projet soit sur la bonne voie, ce fameux projet secret dont on entend vaguement parler depuis quelques tomes sans savoir de quoi il s’agit. Ce tome montre une réelle avancée dans l’objectif final de Koko, des révélations vous attendent et un rebondissement à la fin qui annonce un tome 11 explosif ! Avec ce volume, l’histoire reprend du poil de la bête et attire à nouveau notre attention, la fin dans le prochain tome ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/jormungand-tome-10?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. Nickad

    Love fragrance tome 3

    Dans ce tome Asako et Natori sont confrontés à 2 « problèmes », le 1er c’est que Natori doit faire un voyage professionnel de 4 jours, leur première « longue » séparation depuis le début de leur relation, 4 jours ça n’a l’air de rien mais quand on est fan des odeurs et surtout celles de sa copine, 4 jours ça peut être très long ! Quant au 2eme, il s’agit de vivre leur relation cachée ou non, si c’était un souhait d’Asako au départ, ne pas pouvoir en parler commence à poser quelques problèmes. Rien d’insurmontable donc pour nos tourtereaux. L’histoire se poursuit avec humour et bonne humeur. Ils progressent à leur rythme. Il y a un côté mignon car ils sont maladroits, un côté amusant car les deux personnages ont des particularités (la sueur pour l’une et les odeurs pour l’autre). Un manga qui fonctionne bien pour le moment.
  14. Titre de l'album : Love fragrance tome 3 Scenariste de l'album : YAMADA Kintetsu Dessinateur de l'album : YAMADA Kintetsu Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Asako Yaeshima, une employée qui a des complexes parce qu'elle transpire beaucoup, vit une relation amoureuse avec Kôtarô Natori, un homme à l'odorat très développé qui travaille dans la même compagnie qu'elle. Elle a parlé de son premier petit ami à sa mère, elle s'est occupée de lui quand il était malade et elle l'a présenté à son petit frère... Asako apprend de plus en plus de choses sur les relations amoureuses et elle s'est même habituée à se faire sentir par Kôtarô. Malheureusement, le jeune homme doit partir en voyage d'affaire avec sa jeune collègue Korisu... Critique : Dans ce tome Asako et Natori sont confrontés à 2 « problèmes », le 1er c’est que Natori doit faire un voyage professionnel de 4 jours, leur première « longue » séparation depuis le début de leur relation, 4 jours ça n’a l’air de rien mais quand on est fan des odeurs et surtout celles de sa copine, 4 jours ça peut être très long ! Quant au 2eme, il s’agit de vivre leur relation cachée ou non, si c’était un souhait d’Asako au départ, ne pas pouvoir en parler commence à poser quelques problèmes. Rien d’insurmontable donc pour nos tourtereaux. L’histoire se poursuit avec humour et bonne humeur. Ils progressent à leur rythme. Il y a un côté mignon car ils sont maladroits, un côté amusant car les deux personnages ont des particularités (la sueur pour l’une et les odeurs pour l’autre). Un manga qui fonctionne bien pour le moment. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/love-fragrance-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. Nickad

    Raw Hero tome 1

    Delcourt sort en parallèle la fin de Prison School et le début de Raw Hero de l’auteur Akira Hiramoto. On retrouve un univers original, un contexte singulier, et puis un penchant très net vers des comportements sexuels démonstratifs, pervers. Chiaki cherche en vain du travail, sa situation familiale est tendue, il doit s’occuper seul de ses deux petits frères. Il enchaine les entretiens, sans succès, et l’argent commence à manquer. Devant l’urgence, il va accepter de travailler pour un homme plutôt louche, au comportement pervers. Il ne sait pas ce qu’il doit faire exactement et va se retrouver embarqué dans une drôle d’aventure où tous les personnages semblent être un peu spéciaux. Côté contexte, l’histoire prend place dans une époque où certains humains possèdent des pouvoirs et où s’opposent bons et mauvais « héros ». Ce manga, comme le précédent d’ailleurs, ne fera pas l’unanimité. Il y a indéniablement un côté WTF, des situations absurdes et un humour graveleux. Le dessin de Hiramoto est toujours généreux : des femmes callipyges, des décors travaillés, mais frôle parfois l’obscénité. Pour information, le manga est conseillé au plus de 16 ans. L’histoire est intéressante, le scénario bien ficelé et ne manque pas de rebondissements, parfois lourds il faut bien l’avouer. Série finie en 6 tomes.
  16. Nickad

    Raw Hero tome 1

    Titre de l'album : Raw Hero tome 1 Scenariste de l'album : HIRAMOTO Akira Dessinateur de l'album : HIRAMOTO Akira Coloriste : Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Chiaki enchaîne les entretiens d'embauche infructueux, mais un jour, n'écoutant que son sens de la justice et son courage, il interrompt une agression sexuelle dans le métro. Grâce à cette prouesse, il parvient à décrocher un nouveau job : devenir la taupe au sein de la SALF, une organisation visant à décrédibiliser les super héros, pour pouvoir les mettre hors d'état de nuire. Critique : Delcourt sort en parallèle la fin de Prison School et le début de Raw Hero de l’auteur Akira Hiramoto. On retrouve un univers original, un contexte singulier, et puis un penchant très net vers des comportements sexuels démonstratifs, pervers. Chiaki cherche en vain du travail, sa situation familiale est tendue, il doit s’occuper seul de ses deux petits frères. Il enchaine les entretiens, sans succès, et l’argent commence à manquer. Devant l’urgence, il va accepter de travailler pour un homme plutôt louche, au comportement pervers. Il ne sait pas ce qu’il doit faire exactement et va se retrouver embarqué dans une drôle d’aventure où tous les personnages semblent être un peu spéciaux. Côté contexte, l’histoire prend place dans une époque où certains humains possèdent des pouvoirs et où s’opposent bons et mauvais « héros ». Ce manga, comme le précédent d’ailleurs, ne fera pas l’unanimité. Il y a indéniablement un côté WTF, des situations absurdes et un humour graveleux. Le dessin de Hiramoto est toujours généreux : des femmes callipyges, des décors travaillés, mais frôle parfois l’obscénité. Pour information, le manga est conseillé au plus de 16 ans. L’histoire est intéressante, le scénario bien ficelé et ne manque pas de rebondissements, parfois lourds il faut bien l’avouer. Série finie en 6 tomes. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/raw-hero-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. Nickad

    Black board tome 1

    Voici la dernière nouveauté de chez Omaké, une courte série finie en 3 tomes. Black board (littéralement tableau noir) est un immense tableau d’affichage de petites annonces, on y trouve de tout : des demandes insolites, des recherches d’animaux… mais aussi des demandes immorales telles que des enlèvements ou des assassinats. Pour se faire de l’argent, il suffit de prendre l’annonce qui vous inspire, l’honorer et aller toucher la récompense. C’est comme ça que vit Tama, une jeune fille, agile, débrouillarde et court vêtue ! Un jour, un attroupement devant le panneau l’intrigue et elle découvre que l’annonce la concerne : qui peut bien lui en vouloir ? et comment va-t-elle faire pour échapper à ses chasseurs ? C’est là qu’elle rencontrera Basco, le costaud de l’histoire, muet, avec qui elle fera équipe. Des duos gros dur-fillette, on en a déjà vu dans les mangas, mais celui-là est plutôt plaisant. Tama n’a pas sa langue dans sa poche, elle est futée et a plus d’un tour dans sa poche. Basco, sous ses allures de gorille, est très organisé et plus malin qu’il n’y paraît. Tous les deux vont devoir affronter la pègre locale. Le manga est rempli d’actions et d’humour, le trait est dynamique et l’auteur sait bien rendre les différentes expressions des personnages même quand ceux-ci sont complétement à l’ouest. Les petites parodies entre les chapitres sont également appréciables. Et un rebondissement en fin de tome énervant car il faudra attendre septembre pour avoir la suite !
  18. Nickad

    Black board tome 1

    Titre de l'album : Black board tome 1 Scenariste de l'album : IZUMIDA Fuyuki Dessinateur de l'album : IZUMIDA Fuyuki Coloriste : Editeur de l'album : Omaké Note : Résumé de l'album : Le Black Board est un panneau d'annonces de plus d'un kilomètre sur lequel sont affichées des milliers d'offres d'emplois. Des petits boulots du plus anodin au plus sordide... Mais comment réagir quand sur une de ces annonces, vous découvrez que quelqu'un offre de l'argent pour vous assassiner ? Et que le plus grand chasseur de primes en ville est déjà à vos trousses ? Critique : Voici la dernière nouveauté de chez Omaké, une courte série finie en 3 tomes. Black board (littéralement tableau noir) est un immense tableau d’affichage de petites annonces, on y trouve de tout : des demandes insolites, des recherches d’animaux… mais aussi des demandes immorales telles que des enlèvements ou des assassinats. Pour se faire de l’argent, il suffit de prendre l’annonce qui vous inspire, l’honorer et aller toucher la récompense. C’est comme ça que vit Tama, une jeune fille, agile, débrouillarde et court vêtue ! Un jour, un attroupement devant le panneau l’intrigue et elle découvre que l’annonce la concerne : qui peut bien lui en vouloir ? et comment va-t-elle faire pour échapper à ses chasseurs ? C’est là qu’elle rencontrera Basco, le costaud de l’histoire, muet, avec qui elle fera équipe. Des duos gros dur-fillette, on en a déjà vu dans les mangas, mais celui-là est plutôt plaisant. Tama n’a pas sa langue dans sa poche, elle est futée et a plus d’un tour dans sa poche. Basco, sous ses allures de gorille, est très organisé et plus malin qu’il n’y paraît. Tous les deux vont devoir affronter la pègre locale. Le manga est rempli d’actions et d’humour, le trait est dynamique et l’auteur sait bien rendre les différentes expressions des personnages même quand ceux-ci sont complétement à l’ouest. Les petites parodies entre les chapitres sont également appréciables. Et un rebondissement en fin de tome énervant car il faudra attendre septembre pour avoir la suite ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/black-board-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. Pour résumer le manga je dirais qu’on ne sait pas trop d’où l’on vient et on ne sait pas où l’on va… Pour être plus claire, c’est comme si on prenait un film en cours de route : il y a déjà eu des événements que l’on voit très brièvement au début du livre qui ont provoqué le déménagement et le changement d’école de Ao Sakurai, jeune lycéen. C’est là, que commence l’histoire. Ao commence donc sa nouvelle vie, fuyant son passé tragique et pensant être à l’abri de sa stalkeuse, seulement, elle le retrouve. Mais elle n’est pas la seule à le chercher, car de nombreuses créatures guettent Ao. Pourquoi ? et bien pour le moment, on n’en sait rien. Ces créatures sont en réalité des Yôkais (monstres ou créatures surnaturelles du folklore japonais) et la stalkeuse principale Miyako aide aussi Ao à se débarrasser des autres. Certainement pas par bonté d’âme… on voit bien qu’elle veut Ao pour elle toute seule et qu’elle se retient jusqu’à la date du 9 août Beaucoup d’inconnu dans ce 1er tome, la seule chose sûre c’est qua Ao Sakurai est un aimant à problèmes, qu’il y a un côté mystique dans l’histoire, comme si le moment venu, Ao sera le sacrifice permettant d’obtenir quelque chose. En attendant, on a un enchainement de créatures monstrueuses, des conflits, et un avenir bien sombre pour notre lycéen. Le graphisme est bien travaillé et le rendu du paranormal parfait, ce 1er tome intrigue beaucoup et on aimerait bien en savoir plus.
  20. Titre de l'album : Le 9 août, tu me dévoreras tome 1 Scenariste de l'album : TOMOMI Dessinateur de l'album : TOMOMI Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Le terrifiant quotidien d'un adolescent poursuivi par des femmes monstrueuses, dans une histoire d'amour où se mêlent passions, désirs et horreur. Ao Sakurai est un lycéen, victime, depuis l'enfance, de harcèlement de la part de plusieurs stalkeuses. Un jour Ueda, sa camarade de classe, se transforme en monstre et lui avoue être l'une d'elles. Miyako intervient alors pour le sauver et lui révèle que ses oppresseuses sont en fait des yôkais en quête de son amour. Qu'adviendra-t-il de notre héros, victime des passions de centaines de jeunes filles monstrueuses ? Je ne peux pas résister, il est vraiment... À croquer ! Mélange détonnant d'horreur et de surnaturel, "Le 9 août, tu me dévoreras" nous plonge dans un quotidien cauchemardesque où la survie est un combat de chaque instant. La terreur liée au surnaturelle s'y mêle à d'autres peurs bien plus réalistes et fondamentales, par la mise en scène de stalkeuses omniprésentes et violentes, mais aussi à travers la relation aussi toxique que mystérieuse qui lie Sakurai à Miyako... Critique : Pour résumer le manga je dirais qu’on ne sait pas trop d’où l’on vient et on ne sait pas où l’on va… Pour être plus claire, c’est comme si on prenait un film en cours de route : il y a déjà eu des événements que l’on voit très brièvement au début du livre qui ont provoqué le déménagement et le changement d’école de Ao Sakurai, jeune lycéen. C’est là, que commence l’histoire. Ao commence donc sa nouvelle vie, fuyant son passé tragique et pensant être à l’abri de sa stalkeuse, seulement, elle le retrouve. Mais elle n’est pas la seule à le chercher, car de nombreuses créatures guettent Ao. Pourquoi ? et bien pour le moment, on n’en sait rien. Ces créatures sont en réalité des Yôkais (monstres ou créatures surnaturelles du folklore japonais) et la stalkeuse principale Miyako aide aussi Ao à se débarrasser des autres. Certainement pas par bonté d’âme… on voit bien qu’elle veut Ao pour elle toute seule et qu’elle se retient jusqu’à la date du 9 août Beaucoup d’inconnu dans ce 1er tome, la seule chose sûre c’est qua Ao Sakurai est un aimant à problèmes, qu’il y a un côté mystique dans l’histoire, comme si le moment venu, Ao sera le sacrifice permettant d’obtenir quelque chose. En attendant, on a un enchainement de créatures monstrueuses, des conflits, et un avenir bien sombre pour notre lycéen. Le graphisme est bien travaillé et le rendu du paranormal parfait, ce 1er tome intrigue beaucoup et on aimerait bien en savoir plus. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-9-aout-tu-me-devoreras-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. Voici donc l’épilogue d’une série lancée en 2013. Si le rythme de parution du début était assez régulier, au fil du temps, les tomes se sont fait attendre et il s’est écoulé presque 2 ans depuis la sortie du tome 16. De quoi se perdre un peu dans la série, d’autant plus que ce n’est pas forcément une série toujours facile d’accès. Pour ceux qui viennent de découvrir Lynn Okamaoto avec la parution d’Elfen Lied, on retrouve les thèmes chers à l’auteur : des personnages principaux féminins, forts et victimes d’un destin qu’elles ne maitrisent pas; de la science-fiction, des expériences de laboratoire, des secrets et manipulations de pouvoirs politiques ou d’organisations secrètes, des réflexions sur la religion… Pour résumer la série : un adolescent Murakami a perdu son amie d’enfance dans un accident quand ils étaient petits, quelques années après, il rencontre une jeune fille qui lui ressemble. Très vite, il va découvrir que c’est bien son amie, mais qu’elle a changé : non seulement elle a perdu la mémoire mais a été victime d’expériences qui d’une part lui ont conférés des pouvoirs mais aussi mettent sa vie en danger. Il va rencontrer d’autres jeunes filles qui se sont enfuies du même centre et va décider de les aider car elles ne peuvent pas survivre sans ingérer un certain médicament. Bien entendu, la petite troupe va se retrouver aux prises avec différentes organisations, plus ou moins bienveillantes, au cœur de projets plus ou moins flous sur l’avenir de l’humanité. Avant d’aborder ces deux derniers tomes, je n’ai pas relu la série et c’est un peu ce qu’il m’en reste : une première partie où Murakami aide les jeunes filles : il cherche à reproduire le médicament (avec de l’aide bien sûr), à comprendre qui et pourquoi des personnes s’en prennent à elles et surtout à leur apporter un semblant de vie normale, une partie entre amitié, amour et action qui n’était pas déplaisante mais avec certaines longueurs parfois. Puis vint, une autre organisation, d’autres personnes avec des pouvoirs, le tout baignant dans la mythologie nordique… et je dois dire qu’avec l’espacement de parution entre les tomes, j’ai eu le temps de m’y perdre et c’est devenu un peu confus. En tout cas, la fin apporte son lot de réponses, on comprend ce qui s’est passé quand ils étaient petits, d’où viennent leurs pouvoirs, quel est l’objectif de Vingulf. Une fin un peu rapide parfois, qui aurait peut-être mérité d’un peu d’approfondissements. Une fin qui ne fait pas dans la « happy end » classique et ça c’est déjà pas mal vu l’ambiance de la série. Encore une fois on voit que Lynn Okamoto a du potentiel, il a des pleins d’idées, pleins de réflexions souvent très intéressantes mais il a tendance parfois à en mettre trop, ça part un peu dans tous les sens au détriment de la compréhension de l’histoire. On voit aussi que son trait a muri, bien que son graphisme soit reconnaissable il est moins « schématisé » qu’au début, avec une maitrise des scènes violentes, très trash parfois. En conclusion, c’est une série avec du potentiel et des idées, qui mériterait une trame un peu plus structurée mais aussi que l’on prenne un peu de temps pour bien analyser la masse d’informations que l’auteur nous envoie.
  22. Titre de l'album : Brynhildr in the darkness tomes 17 et 18 (fin) Scenariste de l'album : OKAMOTO Lynn Dessinateur de l'album : OKAMOTO Lynn Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Lorsqu'il était enfant, Murakami passait son temps avec une fille nommé Kuroneko. Celle- ci croyait en l'existence des aliens et un jour, elle décida de lui prouver. Mais un accident arriva : Murakami est grièvement blessé et Kuroneko meurt. Les années passent, sans que Murakami ne puisse oublier son amie et continue de chercher des preuves quant à l'existence des aliens. Critique : Voici donc l’épilogue d’une série lancée en 2013. Si le rythme de parution du début était assez régulier, au fil du temps, les tomes se sont fait attendre et il s’est écoulé presque 2 ans depuis la sortie du tome 16. De quoi se perdre un peu dans la série, d’autant plus que ce n’est pas forcément une série toujours facile d’accès. Pour ceux qui viennent de découvrir Lynn Okamaoto avec la parution d’Elfen Lied, on retrouve les thèmes chers à l’auteur : des personnages principaux féminins, forts et victimes d’un destin qu’elles ne maitrisent pas; de la science-fiction, des expériences de laboratoire, des secrets et manipulations de pouvoirs politiques ou d’organisations secrètes, des réflexions sur la religion… Pour résumer la série : un adolescent Murakami a perdu son amie d’enfance dans un accident quand ils étaient petits, quelques années après, il rencontre une jeune fille qui lui ressemble. Très vite, il va découvrir que c’est bien son amie, mais qu’elle a changé : non seulement elle a perdu la mémoire mais a été victime d’expériences qui d’une part lui ont conférés des pouvoirs mais aussi mettent sa vie en danger. Il va rencontrer d’autres jeunes filles qui se sont enfuies du même centre et va décider de les aider car elles ne peuvent pas survivre sans ingérer un certain médicament. Bien entendu, la petite troupe va se retrouver aux prises avec différentes organisations, plus ou moins bienveillantes, au cœur de projets plus ou moins flous sur l’avenir de l’humanité. Avant d’aborder ces deux derniers tomes, je n’ai pas relu la série et c’est un peu ce qu’il m’en reste : une première partie où Murakami aide les jeunes filles : il cherche à reproduire le médicament (avec de l’aide bien sûr), à comprendre qui et pourquoi des personnes s’en prennent à elles et surtout à leur apporter un semblant de vie normale, une partie entre amitié, amour et action qui n’était pas déplaisante mais avec certaines longueurs parfois. Puis vint, une autre organisation, d’autres personnes avec des pouvoirs, le tout baignant dans la mythologie nordique… et je dois dire qu’avec l’espacement de parution entre les tomes, j’ai eu le temps de m’y perdre et c’est devenu un peu confus. En tout cas, la fin apporte son lot de réponses, on comprend ce qui s’est passé quand ils étaient petits, d’où viennent leurs pouvoirs, quel est l’objectif de Vingulf. Une fin un peu rapide parfois, qui aurait peut-être mérité d’un peu d’approfondissements. Une fin qui ne fait pas dans la « happy end » classique et ça c’est déjà pas mal vu l’ambiance de la série. Encore une fois on voit que Lynn Okamoto a du potentiel, il a des pleins d’idées, pleins de réflexions souvent très intéressantes mais il a tendance parfois à en mettre trop, ça part un peu dans tous les sens au détriment de la compréhension de l’histoire. On voit aussi que son trait a muri, bien que son graphisme soit reconnaissable il est moins « schématisé » qu’au début, avec une maitrise des scènes violentes, très trash parfois. En conclusion, c’est une série avec du potentiel et des idées, qui mériterait une trame un peu plus structurée mais aussi que l’on prenne un peu de temps pour bien analyser la masse d’informations que l’auteur nous envoie. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/brynhildr-in-the-darkness-tome-17?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. J’attendais ce 2eme tome avec impatience, pour voir s’il serait aussi tranchant que le 1er. Bien que je trouve qu’il soit un peu moins revendicatif (il prend moins le lecteur à partie notamment), il n’en demeure pas moins dénonciateur. J’y vois surtout deux points importants. Le 1er c’est une démonstration choquante du pouvoir : ceux qui ont de l’argent et une certaine position au sein de la société peuvent tout se permettre, ils sont intouchables. Le 2eme point, qui est plus positif, c’est la façon dont Haru va avoir une relation avec Sumo (le jeune homme obèse), pour aller contre la grossophobie et essayer de changer les clichés et le regard que les gens portent sur les gros. Le reste étant des passages sans trop d’intérêt, une sorte de liant pour donner le change sur le côté isekai. Même s’il perd un peu de teneur, ce tome reste néanmoins intéressant et fort dans son engagement.
  24. Titre de l'album : JK HARU sex worker in another world tome 2 Scenariste de l'album : HIRATORI Ko Dessinateur de l'album : YAMADA J-ta Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Haru Koyama, une lycéenne rien de plus banale, a été renversée par un camion... À son réveil, elle n'était plus sur Terre mais dans un monde parallèle. Travaillant désormais au Chat Bleu Nocturne, un bar qui fait aussi maison close, elle fait la connaissance de Soeur Kiyori qui semble en pincer pour Chiba. Et qui s'interroge sur la nature de sa relation avec Haru. Critique : J’attendais ce 2eme tome avec impatience, pour voir s’il serait aussi tranchant que le 1er. Bien que je trouve qu’il soit un peu moins revendicatif (il prend moins le lecteur à partie notamment), il n’en demeure pas moins dénonciateur. J’y vois surtout deux points importants. Le 1er c’est une démonstration choquante du pouvoir : ceux qui ont de l’argent et une certaine position au sein de la société peuvent tout se permettre, ils sont intouchables. Le 2eme point, qui est plus positif, c’est la façon dont Haru va avoir une relation avec Sumo (le jeune homme obèse), pour aller contre la grossophobie et essayer de changer les clichés et le regard que les gens portent sur les gros. Le reste étant des passages sans trop d’intérêt, une sorte de liant pour donner le change sur le côté isekai. Même s’il perd un peu de teneur, ce tome reste néanmoins intéressant et fort dans son engagement. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/jk-haru-sex-worker-in-another-world-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. Nickad

    Search and destroy tome 2

    Ce deuxième tome ne baisse pas de régime par rapport au 1er, Hyaku continue sa chasse aux creech qui lui ont dérobé des morceaux, elle est aidée par Doro, jeune orphelin débrouillard qui montre avoir certaines capacités bien utiles. Dans ce volume, on en apprend plus sur les origines de Hyaku et le lien avec l’œuvre de Tezuka se fait plus évidente. Mais les vraies questions sont ailleurs : les creech, robot crées par l’homme ont-ils aussi évolués, n’ont-ils vraiment pas de cœur ni d’âme comme les humains semblent le dire ? Pourtant puisqu’ils ont des envies et qu’ils tiennent à leurs vies, est-ce que cela ne signifie pas qu’ils sont des êtres vivants au même titre que les humains ? D’un autre côté, est-ce que récupérer les morceaux de son corps permettra à Hyaku de comprendre qui elle est ? Ne perd-elle pas son identité au fur et à mesure ? En tout cas, la cohabitation humain/creech est difficile, peut-être impossible, l’affrontement se profile… Le manga est efficace, violent, va droit au but et le dessin de Kaneko est parfait pour cette ambiance cyberpunk.
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