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  1. Nickad

    Terrarium tome 1

    Titre de l'album : Terrarium tome 1 Scenariste de l'album : HIRASAWA Yûna Dessinateur de l'album : HIRASAWA Yûna Coloriste : Editeur de l'album : Glenat Note : Résumé de l'album : Balade poétique dans un monde en ruine où la nature a repris ses droits. Chico la technologue d'investigation et son petit frère Pino arpentent des colonies délabrées où des robots poursuivent leurs tâches comme si de rien n'était. Les deux explorateurs tentent de les accompagner dans leurs derniers souhaits, mais à quoi bon quand la fin approche d'heure en heure ? Combien de centaines d'années faudra-t-il encore aux humains pour devenir meilleurs ? C'est la question soulevée par ce récit d'aventure SF crépusculaire.L'auteur et l'éditeur de ce beau manga n'étaient pas des plus connus au Japon. Mais la beauté de l'ouvrage a suffi pour que les libraires japonais le mettent en avant dans leurs boutiques et provoquent un vrai coup de cœur chez les libraires français, en voyage au Japon pour fêter les 50 ans de Glénat ! Le voici enfin en France, pour illuminer vos bibliothèques... Critique : Terrarium est un manga de science-fiction. Le récit se passe dans une époque assez lointaine (pas de date précise), les hommes pour survivre ont construit l’arcologie, une structure d’habitation gigantesque et autonome et encore plus loin dans le temps, certaines zones de l’arcologie ont été abandonnées car elles ne sont plus fonctionnelles. C’est dans ce contexte que prennent place nos personnages : Chico, apparemment humaine et son frère Pino un robot, parcourent l’arcologie à la recherche de noyaux d’anciens robots et de leur mère. Ils pensent qu’en réunissant tous les fragments, ils pourront comprendre pourquoi l’arcologie a commencé à se détériorer et espèrent ainsi trouver une solution pour sauver ce qu’il reste de l’humanité. Au cour de leur voyage, ils découvrent des ruines, des zones non répertoriées et des robots coincés dans leur tâche qui n’ont pas conscience du temps qui a passé. La relation entre les frère et sœur est assez intéressante, d’abord par ce mélange humain/robot mais surtout dans leurs attitudes et points de vue, leurs rapports face aux autres robots permet de se poser des questions sur l’humanité. En même temps, leur périple dans ces ruines a une certaine dimension poétique, soulignée par les mystères de ce monde et un graphisme soigné. Mon seul bémol serait quelques redondances dans le texte. Série finie en 4 tomes. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/terrarium-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. Nickad

    Fenrir tome 1

    Encore un manga où il faut aller plus loin que la couverture qui n’est pas très engageante. On arrive ensuite en pleine steppes mongoles, avec la vie de ses tribus et plutôt la dure loi qui y sévit « piller et massacrer ». Les tribus ancrées dans d’anciennes lois ne survivent qu’en combattant ou sont capables de se laisser mourir de faim car les ressources sont mal réparties. Le chef de la tribu des Qiyat n’étant plus, Temüjin l’ainé et Behter le cadet s’affrontent en duel pour déterminer le prochain chef, c’est le plus jeune, plus fort, qui l’emporte. Pour la survie de son peuple, il décide de payer un tribut important au clan le plus fort afin de pouvoir vivre en paix. Mais quand ce clan entre en guerre et veut réquisitionner leurs biens, la paix n’est plus d’actualité et il s’agit de survivre. On pourrait croire que Fenrir est un manga historique mais au milieu de la vie de ces peuples qui semblent assez authentique, arrive une touche de fantastique : des êtres venus du ciel qui vont interférer dans l’évolution du monde. J’ai vraiment été emballée par les 6 premiers chapitres, voir comment Temüjin allait pouvoir unifier toutes les tribus de la steppe mais le 7eme chapitre apporte une autre dimension à l’histoire et je crains un peu la tournure que cela peut prendre. Quant au graphisme, il est bien plus travaillé et intéressant que celui en couverture. 2 tomes actuellement
  3. Nickad

    Fenrir tome 1

    Titre de l'album : Fenrir tome 1 Scenariste de l'album : AKAMATSU Chûgaku Dessinateur de l'album : ÔNISHI Mioko Coloriste : Editeur de l'album : Casterman Note : Résumé de l'album : Dans l'immensité de la steppe, Temüjin lutte pour la survie des siens. Jadis respecté, son clan est aujourd'hui la proie des appétits des autres nomades : le fort prospère, le faible disparaît. Comment briser cette spirale de guerres incessantes ? Un homme pourrait-il se dresser et unifier sous sa bannière tous les clans de la steppe ? La réponse se trouve peut-être au fond d'un lac où, murmurent les anciens, dort « celui qui fait trembler la terre ». Le fracas des armes, les alliances et les trahisons, la beauté d'un rêve grandiose : Fenrir est le récit épique d'un idéal. Celui de la conquête du monde. Critique : Encore un manga où il faut aller plus loin que la couverture qui n’est pas très engageante. On arrive ensuite en pleine steppes mongoles, avec la vie de ses tribus et plutôt la dure loi qui y sévit « piller et massacrer ». Les tribus ancrées dans d’anciennes lois ne survivent qu’en combattant ou sont capables de se laisser mourir de faim car les ressources sont mal réparties. Le chef de la tribu des Qiyat n’étant plus, Temüjin l’ainé et Behter le cadet s’affrontent en duel pour déterminer le prochain chef, c’est le plus jeune, plus fort, qui l’emporte. Pour la survie de son peuple, il décide de payer un tribut important au clan le plus fort afin de pouvoir vivre en paix. Mais quand ce clan entre en guerre et veut réquisitionner leurs biens, la paix n’est plus d’actualité et il s’agit de survivre. On pourrait croire que Fenrir est un manga historique mais au milieu de la vie de ces peuples qui semblent assez authentique, arrive une touche de fantastique : des êtres venus du ciel qui vont interférer dans l’évolution du monde. J’ai vraiment été emballée par les 6 premiers chapitres, voir comment Temüjin allait pouvoir unifier toutes les tribus de la steppe mais le 7eme chapitre apporte une autre dimension à l’histoire et je crains un peu la tournure que cela peut prendre. Quant au graphisme, il est bien plus travaillé et intéressant que celui en couverture. 2 tomes actuellement Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/fenrir-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. Nickad

    L'eden des sorcières tome 1

    L’auteur Yumeji a inventé cette histoire à partir des questions suivantes : « Si les plantes avaient un cœur et une volonté propre, voudraient-elles vivre avec les humains ? Et si je devenais un être végétal ? Et si la flore disparaissait de notre monde ? » Ce sont les éléments que l’on va retrouver dans ce récit, l’homme a détruit le monde, les plantes sont devenues rares et sont considérées comme des produits de luxe. Les sorcières sont poursuivies et condamnées car elles sont accusées de se les accaparer ! Pilly se rend en ville pour trouver des soins pour celle qui l’a élevée, hélas, elle ramène avec elle le mal et n’aura d’autre choix que de s’enfuir. Au milieu de toutes ces nouvelles histoires de sorcières, celle-ci se démarque, car l’important ne se trouve pas dans les capacités de Pilly, qui n’est qu’apprentie pour le moment, mais c’est surtout les plantes, avec leur volonté propre qui sont au centre de cet univers. Il y a un très beau rendu graphique, l’univers des terres arides et esseulées nous plonge dans une ambiance très rude, les hommes acculés sont impitoyables. Un très bon début de série !
  5. Titre de l'album : L'eden des sorcières tome 1 Scenariste de l'album : YUMEJI Dessinateur de l'album : YUMEJI Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Autrefois, plantes et animaux vivaient en harmonie… jusqu’à l’arrivée de l’homme. Incapable de coexister avec les autres espèces, il les a détruites sans remords. Faune et flore ont alors décidé de fuir et de se cacher… Voilà des centaines d’années que le monde n’est plus qu’une vaste étendue désolée. Pourtant, il existe encore de rares enclos de verdure : ce sont les repaires secrets des sorcières, ces femmes d’exception sensibles à l’appel des plantes. Rendues responsables de leur disparition, elles sont la cible de la haine des humains… Pilly a grandi dans un de ces sanctuaires. Élevée par la puissante Toura, elle tente de développer ses pouvoirs… sans succès ! Pour l’encourager, la vieille femme lui offre une graine qui doit la mener un jour vers l’Éden, un jardin verdoyant réservé à l’élite de leur communauté. La jeune apprentie n’a aucune envie de partir et préférerait passer sa vie à l’abri des regards. Mais son monde s’écroule le jour où des hommes en armes s’introduisent dans sa cachette ! Face à la violence des envahisseurs, tout semble perdu… quand soudain la graine de Pilly donne naissance à un énorme loup, mi-animal mi-végétal ! Serait-il le guide vers la terre des élues ? Critique : L’auteur Yumeji a inventé cette histoire à partir des questions suivantes : « Si les plantes avaient un cœur et une volonté propre, voudraient-elles vivre avec les humains ? Et si je devenais un être végétal ? Et si la flore disparaissait de notre monde ? » Ce sont les éléments que l’on va retrouver dans ce récit, l’homme a détruit le monde, les plantes sont devenues rares et sont considérées comme des produits de luxe. Les sorcières sont poursuivies et condamnées car elles sont accusées de se les accaparer ! Pilly se rend en ville pour trouver des soins pour celle qui l’a élevée, hélas, elle ramène avec elle le mal et n’aura d’autre choix que de s’enfuir. Au milieu de toutes ces nouvelles histoires de sorcières, celle-ci se démarque, car l’important ne se trouve pas dans les capacités de Pilly, qui n’est qu’apprentie pour le moment, mais c’est surtout les plantes, avec leur volonté propre qui sont au centre de cet univers. Il y a un très beau rendu graphique, l’univers des terres arides et esseulées nous plonge dans une ambiance très rude, les hommes acculés sont impitoyables. Un très bon début de série ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-eden-des-sorcieres-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. Nickad

    Chacun ses goûts tome 3

    Ao retourne dans sa famille pour voir sa sœur et son petit neveu qu’il n’a encore vu qu’en photo, tout est organisé afin qu’il ne croise pas sa mère qui accepte mal ce qu’il est. Hélas ! Elle débarque à l’improviste chez sa sœur. Ce voyage l’a un peu démoralisé, heureusement, Haru va se charger de lui redonner du baume au cœur. Un tome intéressant sur l’acceptation de la différence au sein de la famille, sur la définition de ce qu’est la normalité. Et il y a aussi une réflexion sur ce qui fait que l’on s’entende bien avec quelqu’un ou non, qu’on lui accorde sa confiance. Le manga est toujours sympathique, aborde la vie tranquillement sans se prendre la tête et propose toujours à chaque chapitre sa recette à réaliser.
  7. Titre de l'album : Chacun ses goûts tome 3 Scenariste de l'album : MACHITA Dessinateur de l'album : MACHITA Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Haru est une jeune fille otaku qui n'a aucun intérêt pour les relations humaines. Elle travaille et consacre son temps libre et son argent à sa passion. Un soir, dans un café et après une soirée arrosée, elle rencontre une très belle femme, Ao. Elle se révèle être un homme travesti. Ao va lui qui fait prendre conscience à la fois qu'elle n'a pas à avoir honte de son côté otaku et qu'elle peut vivre comme elle en a envie mais aussi que cela ne doit pas l'empêcher de faire attention à elle ! Ao aide Haru à changer son point de vue sur elle-même et sur les autres. Ils s'entendent si bien qu'ils décident de vivre en collocation. L'une des règles de leur coloc' : chaque semaine, ils doivent préparer un bento l'un pour l'autre. Critique : Ao retourne dans sa famille pour voir sa sœur et son petit neveu qu’il n’a encore vu qu’en photo, tout est organisé afin qu’il ne croise pas sa mère qui accepte mal ce qu’il est. Hélas ! Elle débarque à l’improviste chez sa sœur. Ce voyage l’a un peu démoralisé, heureusement, Haru va se charger de lui redonner du baume au cœur. Un tome intéressant sur l’acceptation de la différence au sein de la famille, sur la définition de ce qu’est la normalité. Et il y a aussi une réflexion sur ce qui fait que l’on s’entende bien avec quelqu’un ou non, qu’on lui accorde sa confiance. Le manga est toujours sympathique, aborde la vie tranquillement sans se prendre la tête et propose toujours à chaque chapitre sa recette à réaliser. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/chacun-ses-gouts-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. Nickad

    Un été à Tsurumaki

    C’est les vacances d’été dans la petite ville de Tsurumaki, une ville toute simple, à la campagne où il fait bon vivre. Mitsuru est un garçon un peu tête en l’air, il se laisse vite distraire et oubli ses affaires. Au gré des premiers chapitres, on suit ses occupations : prendre soin d’une plante, aller à la recherche de l’oiseau le pic-calebasse, apporter le déjeuner de son père au jardin botanique où il travaille… Mais Mitsuru est vite aux prises avec des éléments inhabituels. On ne sait pas vraiment si c’est la réalité ou s’il se laisse porter au gré de ses rêveries. Et puis ensuite, le rêve et la réalité vont se rejoindre. Un été à Tsurumaki est un manga qui sent les vacances, l’univers graphique nous emmène dans un environnement un peu féérique, comme quand on découvre une petite rue oubliée remplies de fleurs avec des chats somnolents. Mitsuru c’est l’incarnation de l’enfance, rappelez-vous quand un rien vous permettait d’inventer des histoires incroyables, et que vous partiez à l’aventure avec vos copains ! c’est exactement cette ambiance que l’on ressent ! Les dessins sont très riches, il y a à la fois beaucoup de rondeur qui apporte une véritable douceur au récit et un certain bien-être, et il y a beaucoup de détails notamment sur l’imbrication de la nature et de la ville. On navigue sans cesse entre rêve et réalité, c’est une aventure fantastique et en même temps une fable écologique ! Un livre très agréable.
  9. Titre de l'album : Un été à Tsurumaki Scenariste de l'album : KOMATSU Shin'ya Dessinateur de l'album : KOMATSU Shin'ya Coloriste : Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : Le dernier jour de l'école, un enfant qui a le pouvoir de parler aux plantes arrose une jacinthe d'eau dans la classe. Mais ce qui s'annonçait comme le début d'un été apaisé est bouleversé : un incident étrange se produit dans la ville de Tsurumaki et chamboule la vie de ses habitantes... Une belle histoire estivale dans un monde nostalgique et chaleureux. Par l'auteur de Souvenirs de la mer assoupie et de Tohu Bohu. Critique : C’est les vacances d’été dans la petite ville de Tsurumaki, une ville toute simple, à la campagne où il fait bon vivre. Mitsuru est un garçon un peu tête en l’air, il se laisse vite distraire et oubli ses affaires. Au gré des premiers chapitres, on suit ses occupations : prendre soin d’une plante, aller à la recherche de l’oiseau le pic-calebasse, apporter le déjeuner de son père au jardin botanique où il travaille… Mais Mitsuru est vite aux prises avec des éléments inhabituels. On ne sait pas vraiment si c’est la réalité ou s’il se laisse porter au gré de ses rêveries. Et puis ensuite, le rêve et la réalité vont se rejoindre. Un été à Tsurumaki est un manga qui sent les vacances, l’univers graphique nous emmène dans un environnement un peu féérique, comme quand on découvre une petite rue oubliée remplies de fleurs avec des chats somnolents. Mitsuru c’est l’incarnation de l’enfance, rappelez-vous quand un rien vous permettait d’inventer des histoires incroyables, et que vous partiez à l’aventure avec vos copains ! c’est exactement cette ambiance que l’on ressent ! Les dessins sont très riches, il y a à la fois beaucoup de rondeur qui apporte une véritable douceur au récit et un certain bien-être, et il y a beaucoup de détails notamment sur l’imbrication de la nature et de la ville. On navigue sans cesse entre rêve et réalité, c’est une aventure fantastique et en même temps une fable écologique ! Un livre très agréable. Autres infos : Editions IMHO Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/un-ete-a-tsurumaki?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. Nickad

    La voie du tablier tome 6

    Encore de bons chapitres à passer en compagnie de Tatsu. Il va devoir convaincre le conseil des huit dragons qu’il peut intégrer leurs rangs et ici, les dragons ne sont rien d’autres que les présidentes des huit organisations de quartier et elles sont redoutables dans leur genre ! Et bien que Tatsu fasse toujours aussi peur visuellement, il est prêt à rendre service, cela occasionne toujours des situations amusantes : vous ne pourrez que sourire devant sa façon de faire des économies ou d’aider un ami à découvrir de nouvelles pâtisseries (2 yakuzas patibulaires dans un environnement kawaii !) L’auteur sait se renouveler, Tatsu et ses proches nous apportent notre lot de situations incongrues. Un manga qui met de bonne humeur à consommer sans modération !
  11. Titre de l'album : La voie du tablier tome 6 Scenariste de l'album : OONO Kousuke Dessinateur de l'album : OONO Kousuke Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Notre homme est ancien yakuza devenu homme au foyer... Il se faisait appeler « Tatsu, l'immortel » ! Aujourd'hui, il est l'homme idéal : il prépare des bentô à tomber, il repère les meilleurs promotions et il aide même d'anciens collègues (?) dans leur quotidien... Mais malgré son adorable tablier, il ne peut totalement gommer son air patibulaire et son regard de tueur... Pour notre plus grand plaisir ! Critique : Encore de bons chapitres à passer en compagnie de Tatsu. Il va devoir convaincre le conseil des huit dragons qu’il peut intégrer leurs rangs et ici, les dragons ne sont rien d’autres que les présidentes des huit organisations de quartier et elles sont redoutables dans leur genre ! Et bien que Tatsu fasse toujours aussi peur visuellement, il est prêt à rendre service, cela occasionne toujours des situations amusantes : vous ne pourrez que sourire devant sa façon de faire des économies ou d’aider un ami à découvrir de nouvelles pâtisseries (2 yakuzas patibulaires dans un environnement kawaii !) L’auteur sait se renouveler, Tatsu et ses proches nous apportent notre lot de situations incongrues. Un manga qui met de bonne humeur à consommer sans modération ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-voie-du-tablier-tome-6?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. Nickad

    Panda detective agency tome 1

    L’histoire se déroule dans le Japon actuel avec une différence notable, une nouvelle maladie se répand dans le monde, appelée « métamorphie » elle transforme les êtres humains en animaux ou végétaux. Handa, un jeune homme se rend un jour chez son médecin, il découvre que sa métamorphose en panda a alors commencé, un an plus tard, on le retrouve à travailler dans une agence de détective sur des affaires ayant toutes un lien avec cette nouvelle maladie. Les éditions Mangetsu proposent de nous faire découvrir ce nouvel auteur avec le 1er tome de cette série, auteur que l’on retrouvera fin août avec un recueil d’histoires courtes. Pump Sawae a un style graphique intéressant, il peut être assez sobre par moment mettant en valeur un élément particulier, surtout quand il s’attarde sur les métamorphoses ou quand l’action se situe en tunnel, il inverse alors le blanc et le noir, son trait fait preuve d’une certaine finesse. Chaque chapitre nous fait découvrir une nouvelle demande et met en scène un nouveau cas. Et finalement, c’est la maladie dans son ensemble qui est abordé, comment réagit le malade, son entourage, l’acceptation, l’accompagnement, la fin de vie ou même le fait de cacher la maladie, de la combattre ou d’abandonner tout espoir. Panda detective agency est une œuvre intéressante qui aborde un sujet difficile, sans tomber dans le pathos, et sous couvert de fond un peu fantastique, c’est l’être humain qui y est finalement étudié. A découvrir.
  13. Titre de l'album : Panda detective agency tome 1 Scenariste de l'album : SAWAE Pump Dessinateur de l'album : SAWAE Pump Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : Une étrange maladie se répand dans le monde et transforme petit à petit les humains en animaux. Solder, devenu partiellement panda, et Takebayashi, un Tokyoïte pur jus chic et charismatique, vont alors faire équipe pour faire la lumière sur cet étrange virus qui pourrait bien plonger leur ville dans le chaos. Une histoire touchante et pleine d'humour sur la force de l'amitié et de la résilience. Premier titre de Mangetsu LIFE, notre collection tranche de vie, en format souple agrandi. Critique : L’histoire se déroule dans le Japon actuel avec une différence notable, une nouvelle maladie se répand dans le monde, appelée « métamorphie » elle transforme les êtres humains en animaux ou végétaux. Handa, un jeune homme se rend un jour chez son médecin, il découvre que sa métamorphose en panda a alors commencé, un an plus tard, on le retrouve à travailler dans une agence de détective sur des affaires ayant toutes un lien avec cette nouvelle maladie. Les éditions Mangetsu proposent de nous faire découvrir ce nouvel auteur avec le 1er tome de cette série, auteur que l’on retrouvera fin août avec un recueil d’histoires courtes. Pump Sawae a un style graphique intéressant, il peut être assez sobre par moment mettant en valeur un élément particulier, surtout quand il s’attarde sur les métamorphoses ou quand l’action se situe en tunnel, il inverse alors le blanc et le noir, son trait fait preuve d’une certaine finesse. Chaque chapitre nous fait découvrir une nouvelle demande et met en scène un nouveau cas. Et finalement, c’est la maladie dans son ensemble qui est abordé, comment réagit le malade, son entourage, l’acceptation, l’accompagnement, la fin de vie ou même le fait de cacher la maladie, de la combattre ou d’abandonner tout espoir. Panda detective agency est une œuvre intéressante qui aborde un sujet difficile, sans tomber dans le pathos, et sous couvert de fond un peu fantastique, c’est l’être humain qui y est finalement étudié. A découvrir. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/panda-detective-agency?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. Le manga est composé de petites scénettes au cœur de la sphère familiale : il y a Hiroki le fils ainé, gay mais qui n’a pas encore fait son coming out, la mère qui s’en est aperçu mais qui attend qu’il se sente à l’aise pour en parler de lui-même, Yûri le fils cadet, plutôt discret, mûr pour son âge qui a déjà tout compris et le père, qui travaille loin, ne revient pas souvent et semble avoir des préjugés sur les homosexuels. Le manga est une bouffée de fraicheur, d’optimisme, de bien-être ! Hiroki est un garçon positif, tellement honnête qu’il laisse échapper des bribes d’information ce qui rend ses réactions plutôt mignonnes. La mère est extrêmement bienveillante, elle pense au bonheur de son enfant en premier, n’a aucun préjugé et essaye de mettre son fils à l’aise, le cadet fait preuve d’un flegme impressionnant pour son âge et n’hésite pas à philosopher, il se permet aussi de recadrer sa famille. Il n’y a que le père qui semble un peu vieux jeu, et le travail de la mère va d’être d’ouvrir l’esprit de son conjoint afin que leur fils puisse enfin parler de ses préférences librement. C’est globalement un manga agréable, qui ne juge pas, qui ne dénonce pas non plus, qui montre que les choses peuvent bien se passer. C’est mignon et facile à lire. Trailer :
  15. Titre de l'album : Je crois que mon fils est gay tome 1 Scenariste de l'album : OKURA Dessinateur de l'album : OKURA Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : Le quotidien de Mme Aoyama, mère au foyer, est bien chargé ! Et depuis quelque temps, elle a bien remarqué que Hiroki, son fils aîné, semble cacher quelque chose... Très observatrice, elle devine sans mal qu'il est gay, mais ce dernier ne semble pas encore prêt à le lui dire. Alors en attendant, elle veille sur lui en silence, tout en cherchant à créer un foyer aimant et ouvert. Critique : Le manga est composé de petites scénettes au cœur de la sphère familiale : il y a Hiroki le fils ainé, gay mais qui n’a pas encore fait son coming out, la mère qui s’en est aperçu mais qui attend qu’il se sente à l’aise pour en parler de lui-même, Yûri le fils cadet, plutôt discret, mûr pour son âge qui a déjà tout compris et le père, qui travaille loin, ne revient pas souvent et semble avoir des préjugés sur les homosexuels. Le manga est une bouffée de fraicheur, d’optimisme, de bien-être ! Hiroki est un garçon positif, tellement honnête qu’il laisse échapper des bribes d’information ce qui rend ses réactions plutôt mignonnes. La mère est extrêmement bienveillante, elle pense au bonheur de son enfant en premier, n’a aucun préjugé et essaye de mettre son fils à l’aise, le cadet fait preuve d’un flegme impressionnant pour son âge et n’hésite pas à philosopher, il se permet aussi de recadrer sa famille. Il n’y a que le père qui semble un peu vieux jeu, et le travail de la mère va d’être d’ouvrir l’esprit de son conjoint afin que leur fils puisse enfin parler de ses préférences librement. C’est globalement un manga agréable, qui ne juge pas, qui ne dénonce pas non plus, qui montre que les choses peuvent bien se passer. C’est mignon et facile à lire. Trailer : Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/je-crois-que-mon-fils-est-gay-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. Le siège de l’école militaire touche à sa fin, le conflit entre les deux princes a entrainé une guerre civile ou parfois, les élèves de l’école se sont retrouvés opposés à leurs parents. Il est temps pour certains de faire des choix et d’assumer leurs convictions. Ce volume s’attarde plus particulièrement sur la relation entre Helmut et Jürgen, amis d’enfance, ils ont développés au fil du temps une relation plus proche (pour rappel, Helmut est une fille et la meilleure élève de cavalerie), mais quand leurs opinions divergent, l’affrontement risque d’être inévitable. Baltzar est un manga qui ne perd pas en force, il reste prenant du début à la fin. En plus d’être un très bon manga de guerre avec un rythme soutenu et des graphismes superbes, il s’attarde aussi sur la psychologie des personnages, sur leur implication, que ce soit d’un point de vue héritage familial, tradition ou politique. L’auteur montre également très bien les enjeux politiques et l’ingérence des pays extérieurs prêts à tout pour envahir ce territoire. Encore une fois, on voit bien qu’il suffit d’un rien pour que la situation dégénère et entraine des innocents dans la folie de la guerre. Un très bon manga que l’on attend toujours avec impatience !
  17. Titre de l'album : Baltzar - la guerre dans le sang tome 10 Scenariste de l'album : Nakajima Michitsune Dessinateur de l'album : Nakajima Michitsune Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Helmut arrive à la rescousse ! Son régiment de cavalerie parvient vaillamment à disperser les troupes ennemies massées aux portes de l'école militaire. En voyant cela, le prince héritier décide de se poser au sol pour retourner sur le champ de bataille. Mais Jürgen et ses hommes pourchassent le ballon, afin de l'abattre et ainsi mettre un terme à cette guerre. Critique : Le siège de l’école militaire touche à sa fin, le conflit entre les deux princes a entrainé une guerre civile ou parfois, les élèves de l’école se sont retrouvés opposés à leurs parents. Il est temps pour certains de faire des choix et d’assumer leurs convictions. Ce volume s’attarde plus particulièrement sur la relation entre Helmut et Jürgen, amis d’enfance, ils ont développés au fil du temps une relation plus proche (pour rappel, Helmut est une fille et la meilleure élève de cavalerie), mais quand leurs opinions divergent, l’affrontement risque d’être inévitable. Baltzar est un manga qui ne perd pas en force, il reste prenant du début à la fin. En plus d’être un très bon manga de guerre avec un rythme soutenu et des graphismes superbes, il s’attarde aussi sur la psychologie des personnages, sur leur implication, que ce soit d’un point de vue héritage familial, tradition ou politique. L’auteur montre également très bien les enjeux politiques et l’ingérence des pays extérieurs prêts à tout pour envahir ce territoire. Encore une fois, on voit bien qu’il suffit d’un rien pour que la situation dégénère et entraine des innocents dans la folie de la guerre. Un très bon manga que l’on attend toujours avec impatience ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/baltzar-la-guerre-dans-le-sang-tome-10?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. Kobayashi est une employée normale, sa vie s’écoule entre travail et maison, boire un verre de temps en temps avec un collègue et boire plus qu’il n’en faut parfois. Et c’est ainsi qu’après le verre de trop, elle a fait une rencontre bien étrange et une promesse, la voilà qui se retrouve un beau matin avec un dragon à sa porte : Thor, prête à entrer au service de Kobayashi en tant que soubrette ! Pour information, dans ce manga, les dragons ont la capacité de prendre une apparence humanoïde. On se retrouve avec un duo assez improbable, d’un côté Kobayashi qui a un caractère un peu renfermé, légèrement taciturne et qui semble blasé sur tout sauf quand il s’agit de domestiques et de l’autre, Thor, un dragon ayant fui son monde d’origine, détestant les humains mais prête à tout pour rester auprès de Kobayashi. La conjoncture va forcément entrainer des décalages, des quiproquos, des situations inattendues. Il y a beaucoup d’humour, une vraie bonne humeur et de l’originalité. Un manga agréable, plein de fraicheur qui apporte de la distraction et de la détente. On pourrait penser que ce n’est encore qu’un nouveau titre de plus sur les dragons (après la nonne, l’appartement, le vegan…), mais cela n’a rien à voir ! D’abord, ici c’est le dragon issu d’un univers de fantasy qui vient dans notre monde (une sorte d’isekai inversé) ; ensuite ce titre date de 2013, il est sorti bien avant les autres. Il a d’ailleurs fait l’objet d’une adaptation en anime, fidèle au manga, que vous pouvez retrouver sur crunchyroll.
  19. Titre de l'album : Miss Kobayashi's dragon maid tome 1 Scenariste de l'album : COOL Kyôshinsha Dessinateur de l'album : COOL Kyôshinsha Coloriste : Editeur de l'album : Noeve Grafx Note : Résumé de l'album : Avoir une domestique draconique, n'est-ce pas un peu encombrant ?! Un matin, la tête enfarinée après une nuit de beuverie, Kobayashi voit débarquer sur le pas de sa porte... un dragon. Ou plutôt une dragonne fantasque, dénommée Thor, qui a décidé de son propre chef de se mettre à son service ! Du transport à la lessive en passant par la cuisine et la sécurité, Thor ne ménage pas sa peine pour prouver sa dévotion à sa nouvelle maîtresse. Quitte à la mettre dans les situations les plus embarrassantes... Critique : Kobayashi est une employée normale, sa vie s’écoule entre travail et maison, boire un verre de temps en temps avec un collègue et boire plus qu’il n’en faut parfois. Et c’est ainsi qu’après le verre de trop, elle a fait une rencontre bien étrange et une promesse, la voilà qui se retrouve un beau matin avec un dragon à sa porte : Thor, prête à entrer au service de Kobayashi en tant que soubrette ! Pour information, dans ce manga, les dragons ont la capacité de prendre une apparence humanoïde. On se retrouve avec un duo assez improbable, d’un côté Kobayashi qui a un caractère un peu renfermé, légèrement taciturne et qui semble blasé sur tout sauf quand il s’agit de domestiques et de l’autre, Thor, un dragon ayant fui son monde d’origine, détestant les humains mais prête à tout pour rester auprès de Kobayashi. La conjoncture va forcément entrainer des décalages, des quiproquos, des situations inattendues. Il y a beaucoup d’humour, une vraie bonne humeur et de l’originalité. Un manga agréable, plein de fraicheur qui apporte de la distraction et de la détente. On pourrait penser que ce n’est encore qu’un nouveau titre de plus sur les dragons (après la nonne, l’appartement, le vegan…), mais cela n’a rien à voir ! D’abord, ici c’est le dragon issu d’un univers de fantasy qui vient dans notre monde (une sorte d’isekai inversé) ; ensuite ce titre date de 2013, il est sorti bien avant les autres. Il a d’ailleurs fait l’objet d’une adaptation en anime, fidèle au manga, que vous pouvez retrouver sur crunchyroll. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/miss-kobayashi-s-dragon-maid-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Nickad

    Jormungand tome 10

    Koko a décidé de passer à l’action, les missions qu’elle confie à ses hommes changent et la voilà, qui fait enlever des scientifiques et qu’elle investit dans des sociétés technologiques. Il semblerait bien que son projet soit sur la bonne voie, ce fameux projet secret dont on entend vaguement parler depuis quelques tomes sans savoir de quoi il s’agit. Ce tome montre une réelle avancée dans l’objectif final de Koko, des révélations vous attendent et un rebondissement à la fin qui annonce un tome 11 explosif ! Avec ce volume, l’histoire reprend du poil de la bête et attire à nouveau notre attention, la fin dans le prochain tome !
  21. Nickad

    Jormungand tome 10

    Titre de l'album : Jormungand tome 10 Scenariste de l'album : TAKAHASHI Keitarô Dessinateur de l'album : TAKAHASHI Keitarô Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Kasper, le grand frère de Koko, fit l'annonce de la sortie d'un système révolutionnaire de gestion des communications et de la logistique militaire, le Hek.GG, ce qui fit grand bruit dans le monde des armées. Mais dans l'ombre, Koko et Minami s'apprêtent à lancer leur projet secret, le Jormungand... Critique : Koko a décidé de passer à l’action, les missions qu’elle confie à ses hommes changent et la voilà, qui fait enlever des scientifiques et qu’elle investit dans des sociétés technologiques. Il semblerait bien que son projet soit sur la bonne voie, ce fameux projet secret dont on entend vaguement parler depuis quelques tomes sans savoir de quoi il s’agit. Ce tome montre une réelle avancée dans l’objectif final de Koko, des révélations vous attendent et un rebondissement à la fin qui annonce un tome 11 explosif ! Avec ce volume, l’histoire reprend du poil de la bête et attire à nouveau notre attention, la fin dans le prochain tome ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/jormungand-tome-10?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. Nickad

    Love fragrance tome 3

    Dans ce tome Asako et Natori sont confrontés à 2 « problèmes », le 1er c’est que Natori doit faire un voyage professionnel de 4 jours, leur première « longue » séparation depuis le début de leur relation, 4 jours ça n’a l’air de rien mais quand on est fan des odeurs et surtout celles de sa copine, 4 jours ça peut être très long ! Quant au 2eme, il s’agit de vivre leur relation cachée ou non, si c’était un souhait d’Asako au départ, ne pas pouvoir en parler commence à poser quelques problèmes. Rien d’insurmontable donc pour nos tourtereaux. L’histoire se poursuit avec humour et bonne humeur. Ils progressent à leur rythme. Il y a un côté mignon car ils sont maladroits, un côté amusant car les deux personnages ont des particularités (la sueur pour l’une et les odeurs pour l’autre). Un manga qui fonctionne bien pour le moment.
  23. Titre de l'album : Love fragrance tome 3 Scenariste de l'album : YAMADA Kintetsu Dessinateur de l'album : YAMADA Kintetsu Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Asako Yaeshima, une employée qui a des complexes parce qu'elle transpire beaucoup, vit une relation amoureuse avec Kôtarô Natori, un homme à l'odorat très développé qui travaille dans la même compagnie qu'elle. Elle a parlé de son premier petit ami à sa mère, elle s'est occupée de lui quand il était malade et elle l'a présenté à son petit frère... Asako apprend de plus en plus de choses sur les relations amoureuses et elle s'est même habituée à se faire sentir par Kôtarô. Malheureusement, le jeune homme doit partir en voyage d'affaire avec sa jeune collègue Korisu... Critique : Dans ce tome Asako et Natori sont confrontés à 2 « problèmes », le 1er c’est que Natori doit faire un voyage professionnel de 4 jours, leur première « longue » séparation depuis le début de leur relation, 4 jours ça n’a l’air de rien mais quand on est fan des odeurs et surtout celles de sa copine, 4 jours ça peut être très long ! Quant au 2eme, il s’agit de vivre leur relation cachée ou non, si c’était un souhait d’Asako au départ, ne pas pouvoir en parler commence à poser quelques problèmes. Rien d’insurmontable donc pour nos tourtereaux. L’histoire se poursuit avec humour et bonne humeur. Ils progressent à leur rythme. Il y a un côté mignon car ils sont maladroits, un côté amusant car les deux personnages ont des particularités (la sueur pour l’une et les odeurs pour l’autre). Un manga qui fonctionne bien pour le moment. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/love-fragrance-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. Nickad

    Raw Hero tome 1

    Delcourt sort en parallèle la fin de Prison School et le début de Raw Hero de l’auteur Akira Hiramoto. On retrouve un univers original, un contexte singulier, et puis un penchant très net vers des comportements sexuels démonstratifs, pervers. Chiaki cherche en vain du travail, sa situation familiale est tendue, il doit s’occuper seul de ses deux petits frères. Il enchaine les entretiens, sans succès, et l’argent commence à manquer. Devant l’urgence, il va accepter de travailler pour un homme plutôt louche, au comportement pervers. Il ne sait pas ce qu’il doit faire exactement et va se retrouver embarqué dans une drôle d’aventure où tous les personnages semblent être un peu spéciaux. Côté contexte, l’histoire prend place dans une époque où certains humains possèdent des pouvoirs et où s’opposent bons et mauvais « héros ». Ce manga, comme le précédent d’ailleurs, ne fera pas l’unanimité. Il y a indéniablement un côté WTF, des situations absurdes et un humour graveleux. Le dessin de Hiramoto est toujours généreux : des femmes callipyges, des décors travaillés, mais frôle parfois l’obscénité. Pour information, le manga est conseillé au plus de 16 ans. L’histoire est intéressante, le scénario bien ficelé et ne manque pas de rebondissements, parfois lourds il faut bien l’avouer. Série finie en 6 tomes.
  25. Nickad

    Raw Hero tome 1

    Titre de l'album : Raw Hero tome 1 Scenariste de l'album : HIRAMOTO Akira Dessinateur de l'album : HIRAMOTO Akira Coloriste : Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Chiaki enchaîne les entretiens d'embauche infructueux, mais un jour, n'écoutant que son sens de la justice et son courage, il interrompt une agression sexuelle dans le métro. Grâce à cette prouesse, il parvient à décrocher un nouveau job : devenir la taupe au sein de la SALF, une organisation visant à décrédibiliser les super héros, pour pouvoir les mettre hors d'état de nuire. Critique : Delcourt sort en parallèle la fin de Prison School et le début de Raw Hero de l’auteur Akira Hiramoto. On retrouve un univers original, un contexte singulier, et puis un penchant très net vers des comportements sexuels démonstratifs, pervers. Chiaki cherche en vain du travail, sa situation familiale est tendue, il doit s’occuper seul de ses deux petits frères. Il enchaine les entretiens, sans succès, et l’argent commence à manquer. Devant l’urgence, il va accepter de travailler pour un homme plutôt louche, au comportement pervers. Il ne sait pas ce qu’il doit faire exactement et va se retrouver embarqué dans une drôle d’aventure où tous les personnages semblent être un peu spéciaux. Côté contexte, l’histoire prend place dans une époque où certains humains possèdent des pouvoirs et où s’opposent bons et mauvais « héros ». Ce manga, comme le précédent d’ailleurs, ne fera pas l’unanimité. Il y a indéniablement un côté WTF, des situations absurdes et un humour graveleux. Le dessin de Hiramoto est toujours généreux : des femmes callipyges, des décors travaillés, mais frôle parfois l’obscénité. Pour information, le manga est conseillé au plus de 16 ans. L’histoire est intéressante, le scénario bien ficelé et ne manque pas de rebondissements, parfois lourds il faut bien l’avouer. Série finie en 6 tomes. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/raw-hero-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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