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  1. Nickad

    Insomniaques tome 1

    Le titre est explicite, au travers de cette histoire, l’auteure va aborder le sujet de l’insomnie et de ses conséquences. Ganta Nakami est un jeune homme qui est souvent de mauvaise humeur, pas très sociable et pour cause, souffrant d’insomnie la nuit, il est épuisé en journée, souffre de migraines et s’emporte facilement Or comme il n’est pas facile de faire la sieste à l’école il cherche un endroit plus tranquille. C’est là qu’il va atterrir dans l’observatoire de l’ancien club d’astronomie où il va rencontrer Isaki Magari, souffrant elle-aussi d’insomnie mais gérant son problème de façon différente. Ce qui est surprenant dans ce manga, c’est la façon dont les 2 personnages cachent leur problème comme si être insomniaque était une maladie honteuse, on comprend qu’ils ne veulent pas que cela se sache (seule l’infirmière de l’école et le meilleur ami de Ganta sont au courant). Cette attitude peut-être assez difficile à comprendre pour nous, nous n’avons pas la même pudeur par rapport au japonais, pas la même volonté de cacher nos problèmes. Isaki dit qu’elle ne veut pas « inquiéter ses copines », je ne vois pas en quoi l’insomnie pourrait déranger leurs relations ; cela vient certainement d’une différence de culture. En dehors de ce constat, l’histoire met en lumière les problèmes que provoquent les troubles du sommeil que ce soit sur la santé ou sur le relationnel. Après, Makoto Ojiro aborde ça avec une certaine légèreté, elle en profite pour exploiter les activités de nuit, pour rapprocher les protagonistes. La lecture et le graphisme sont agréables, l’histoire promet des développements et on ne s’ennuie pas un instant.
  2. Titre de l'album : Insomniaques tome 1 Scenariste de l'album : OJIRO Makoto Dessinateur de l'album : OJIRO Makoto Coloriste : Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Ganta Nakami est insomniaque. À l'école, Il semble donc fatigué, voire associable. Un jour, dans la salle d'astronomie, il découvre Isaki Magari, endormie dans un coin. Insomniaque comme lui, mais bien plus sociable, elle lui propose de partager l'endroit pour y dormir en cachette. Leur rapprochement semble les aider à retrouver le sommeil, chacun étant sensible aux battements de cœur de l'autre... Critique : Le titre est explicite, au travers de cette histoire, l’auteure va aborder le sujet de l’insomnie et de ses conséquences. Ganta Nakami est un jeune homme qui est souvent de mauvaise humeur, pas très sociable et pour cause, souffrant d’insomnie la nuit, il est épuisé en journée, souffre de migraines et s’emporte facilement Or comme il n’est pas facile de faire la sieste à l’école il cherche un endroit plus tranquille. C’est là qu’il va atterrir dans l’observatoire de l’ancien club d’astronomie où il va rencontrer Isaki Magari, souffrant elle-aussi d’insomnie mais gérant son problème de façon différente. Ce qui est surprenant dans ce manga, c’est la façon dont les 2 personnages cachent leur problème comme si être insomniaque était une maladie honteuse, on comprend qu’ils ne veulent pas que cela se sache (seule l’infirmière de l’école et le meilleur ami de Ganta sont au courant). Cette attitude peut-être assez difficile à comprendre pour nous, nous n’avons pas la même pudeur par rapport au japonais, pas la même volonté de cacher nos problèmes. Isaki dit qu’elle ne veut pas « inquiéter ses copines », je ne vois pas en quoi l’insomnie pourrait déranger leurs relations ; cela vient certainement d’une différence de culture. En dehors de ce constat, l’histoire met en lumière les problèmes que provoquent les troubles du sommeil que ce soit sur la santé ou sur le relationnel. Après, Makoto Ojiro aborde ça avec une certaine légèreté, elle en profite pour exploiter les activités de nuit, pour rapprocher les protagonistes. La lecture et le graphisme sont agréables, l’histoire promet des développements et on ne s’ennuie pas un instant. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/insomniaques-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Nickad

    Don't call it mystery tome 1

    Le concept du livre selon l’auteure : une histoire qui se passe uniquement en paroles dans un lieu fermé. Et c’est réussi ! On a un personnage principal Totonô, étudiant atypique, pas très sociable, qui se retrouve au cœur d’intrigues ou d’événements inattendus. Comme il n’a pas d’amis, de copine, ni de famille à proximité, il cogite beaucoup. Il a l’art d’aborder les faits sous un autre jour, ils poussent les autres à réfléchir, à se remettre en question, et cela va avoir des conséquences. Difficile d’en dire plus sans trop en dévoiler car on se trouve dans un contexte policier. Ce premier volume contient une histoire courte entière et le début d’une suivante. Sachez seulement qu’il y a du texte à lire et du temps à prendre pour y réfléchir. Ce manga est fait pour tous ceux qui sont adeptes d’enquêtes et de mystères, qui aiment se creuser les méninges. Le cheminement de réflexion de Totonô est travaillé, il va au-delà des déductions classiques et apporte des pensées philosophiques sur des sujets généraux tels que la Vérité ou sur des comportements humains. Un très bon 1er tome.
  4. Titre de l'album : Don't call it mystery tome 1 Scenariste de l'album : TAMURA Yumi Dessinateur de l'album : TAMURA Yumi Coloriste : Editeur de l'album : Noeve Grafx Note : Résumé de l'album : Etudiant solitaire, Totono Kuno n'aspire qu'à profiter de ses journées tranquilles en cuisinant et en observant le passage des saisons. Son quotidien est bouleversé le jour où la police se présente à sa porte. L'un de ses camarades a été assassiné et il est le seul suspect. Totono doit déployer toutes ses capacités de déduction pour lever les soupçons qui pèsent sur lui. Critique : Le concept du livre selon l’auteure : une histoire qui se passe uniquement en paroles dans un lieu fermé. Et c’est réussi ! On a un personnage principal Totonô, étudiant atypique, pas très sociable, qui se retrouve au cœur d’intrigues ou d’événements inattendus. Comme il n’a pas d’amis, de copine, ni de famille à proximité, il cogite beaucoup. Il a l’art d’aborder les faits sous un autre jour, ils poussent les autres à réfléchir, à se remettre en question, et cela va avoir des conséquences. Difficile d’en dire plus sans trop en dévoiler car on se trouve dans un contexte policier. Ce premier volume contient une histoire courte entière et le début d’une suivante. Sachez seulement qu’il y a du texte à lire et du temps à prendre pour y réfléchir. Ce manga est fait pour tous ceux qui sont adeptes d’enquêtes et de mystères, qui aiment se creuser les méninges. Le cheminement de réflexion de Totonô est travaillé, il va au-delà des déductions classiques et apporte des pensées philosophiques sur des sujets généraux tels que la Vérité ou sur des comportements humains. Un très bon 1er tome. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/dont-call-it-mystery-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. En lisant le début de la série, j’ai tout de suite pensé à 6eme sens, les deux sont assez proches. Ici, on a une lycéenne Miko qui se met à voir des êtres / créatures/ esprits que personne d’autre ne semble voir. Bien qu’on ne sache pas vraiment ce que sont ces monstres, on comprend très vite qu’ils attendent quelque chose de Miko. De son côté, elle ne sait pas quoi faire, et comme elle se rend compte que les gens normaux ne les voient pas, elle essaye de faire comme si de rien était, ce qui n’est pas toujours évident. L’évolution de Miko est assez lente : dans le 1er tome elle découvre les créatures et tente de les ignorer, dans le 2eme tome, elle rencontre une jeune médium et pense qu’elle pourra enfin en parler à quelqu’un et dans le 3eme, elle commence juste à comprendre qu’elle pourrait peut-être faire quelque chose ! C’est le reproche principal de ce manga : l’auteur s’amuse plus à faire un musée des horreurs en enchainant les situations où apparaissent les monstres qu’à faire avancer l’action. Et côté monstres, il s’en donne à cœur joie : tous plus horribles les uns que les autres ! Là-dessus, chapeau pour l’imagination et le rendu graphique. Pour le moment le manga n’est pas désagréable, malgré quelques longueurs dues à l’accumulation des apparitions. A noter que le prénom de l’héroïne Miko désigne parfois dans la littérature japonaise les prêtresses qui combattent les mauvais esprits, démons ou fantômes, le choix n’est donc pas anodin.
  6. Titre de l'album : Mieruko-Chan - slice of horror tome 3 Scenariste de l'album : IZUMI Tomoki Dessinateur de l'album : IZUMI Tomoki Coloriste : Editeur de l'album : Ototo Note : Résumé de l'album : Miko continue sa vie de lycéenne en employant toutes ses forces à ignorer les êtres que les gens normaux ne peuvent pas voir. Un professeur remplaçant est temporairement affecté à sa classe : il s’agit de Zen Tôno, un jeune homme entouré d’étranges créatures. Est-ce que ce dernier ne va pas créer encore plus de chaos dans la vie de celle qui peut les « voir »… ? Critique : En lisant le début de la série, j’ai tout de suite pensé à 6eme sens, les deux sont assez proches. Ici, on a une lycéenne Miko qui se met à voir des êtres / créatures/ esprits que personne d’autre ne semble voir. Bien qu’on ne sache pas vraiment ce que sont ces monstres, on comprend très vite qu’ils attendent quelque chose de Miko. De son côté, elle ne sait pas quoi faire, et comme elle se rend compte que les gens normaux ne les voient pas, elle essaye de faire comme si de rien était, ce qui n’est pas toujours évident. L’évolution de Miko est assez lente : dans le 1er tome elle découvre les créatures et tente de les ignorer, dans le 2eme tome, elle rencontre une jeune médium et pense qu’elle pourra enfin en parler à quelqu’un et dans le 3eme, elle commence juste à comprendre qu’elle pourrait peut-être faire quelque chose ! C’est le reproche principal de ce manga : l’auteur s’amuse plus à faire un musée des horreurs en enchainant les situations où apparaissent les monstres qu’à faire avancer l’action. Et côté monstres, il s’en donne à cœur joie : tous plus horribles les uns que les autres ! Là-dessus, chapeau pour l’imagination et le rendu graphique. Pour le moment le manga n’est pas désagréable, malgré quelques longueurs dues à l’accumulation des apparitions. A noter que le prénom de l’héroïne Miko désigne parfois dans la littérature japonaise les prêtresses qui combattent les mauvais esprits, démons ou fantômes, le choix n’est donc pas anodin. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mieruko-chan-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Les carnets de l’apothicaire se déroulent dans la cour intérieure du palais impérial, la cour où vivent les concubines de l’empereur, leurs suivantes et tout le personnel dédié au fonctionnement du palais. Mao Mao, apprentie apothicaire, se retrouve malgré elle à devoir travailler dans cet endroit, si elle essaye de se faire discrète, elle ne peut s’empêcher d’agir quand les problèmes de maladies surgissent. Le manga n’est pas sans rappeler le très beau film épouses et concubines, nous assistons ici au quotidien de ces femmes, à leurs conditions de vie selon leur statut, aux intrigues de la cour, aux rivalités. Il y a en même temps un côté historique et un côté policier car les malveillances sont régulières dans un tel environnement : Mao Mao observe, examine, émet des théories, cherche à comprendre. Si l’action se situe principalement (pour ces 3 premiers tomes) au cœur du palais impérial, les auteurs nous font aussi découvrir d’autres lieux tel que le quartier des plaisirs. Ce début de série est très prenant, on a une héroïne intelligente et attachante, un cadre original, des personnages mystérieux, des coutumes à découvrir… La lecture est fluide, le graphisme agréable, rien à critiquer. Laissez-vous tenter ! 7 volumes en cours https://youtu.be/c7iYyfpsJPU
  8. Titre de l'album : Les carnets de l'apothicaire tomes 1, 2 et 3 Scenariste de l'album : ITSUKI Nanao Dessinateur de l'album : NEKOKURAGE Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : À 17 ans, Mao Mao a une vie compliquée. Formée dès son jeune âge par un apothicaire du quartier des plaisirs, elle se retrouve enlevée et vendue comme servante dans le quartier des femmes du palais impérial ! Entouré de hauts murs, il est coupé du monde extérieur. Afin de survivre dans cette prison de luxe grouillant de complots et de basses manœuvres, la jeune fille tente de cacher ses connaissances pour se fondre dans la masse. Mais, quand les morts suspectes de princes nouveau-nés mettent la cour en émoi, sa passion pour les poisons prend le dessus. Elle observe, enquête... et trouve la solution ! En voulant bien faire, la voilà repérée... Jinshi, haut fonctionnaire aussi beau que calculateur, devine son talent et la promeut goûteuse personnelle d'une des favorites de l'empereur. Au beau milieu de ce nid de serpents, le moindre faux pas peut lui être fatal ! Découvrez la face cachée du lieu le plus secret de la cité impériale ! Dans ce monde de femmes régi par les hommes, Mao Mao aura besoin de toute son intelligence et de tout son savoir pour démêler les intrigues de la cour... Avec son héroïne hors norme et ses décors magnifiques, ce manga événement adapté d'un roman à succès a tout pour plaire ! Et vous, aurez-vous le courage de goûter à ses délices ? Critique : Les carnets de l’apothicaire se déroulent dans la cour intérieure du palais impérial, la cour où vivent les concubines de l’empereur, leurs suivantes et tout le personnel dédié au fonctionnement du palais. Mao Mao, apprentie apothicaire, se retrouve malgré elle à devoir travailler dans cet endroit, si elle essaye de se faire discrète, elle ne peut s’empêcher d’agir quand les problèmes de maladies surgissent. Le manga n’est pas sans rappeler le très beau film épouses et concubines, nous assistons ici au quotidien de ces femmes, à leurs conditions de vie selon leur statut, aux intrigues de la cour, aux rivalités. Il y a en même temps un côté historique et un côté policier car les malveillances sont régulières dans un tel environnement : Mao Mao observe, examine, émet des théories, cherche à comprendre. Si l’action se situe principalement (pour ces 3 premiers tomes) au cœur du palais impérial, les auteurs nous font aussi découvrir d’autres lieux tel que le quartier des plaisirs. Ce début de série est très prenant, on a une héroïne intelligente et attachante, un cadre original, des personnages mystérieux, des coutumes à découvrir… La lecture est fluide, le graphisme agréable, rien à critiquer. Laissez-vous tenter ! 7 volumes en cours https://youtu.be/c7iYyfpsJPU Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-carnets-de-l-apothicaire-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. Nickad

    Souvenirs en bataille

    L’auteur revient sur ses rapports avec sa grand-mère qui l’a élevé, il se remémore son enfance et surtout leurs relations quand il a commencé à travailler, quand elle est devenue sénile, quand la démence est arrivée. Au travers de ces moments difficiles, il décrit son ignorance et son incompréhension par rapport à la maladie, il montre les difficultés pour l’entourage, pour l’accompagnement des personnes âgées. Il a choisi de se représenter avec une drôle de tête qui lui permet de mieux faire ressortir ses émotions mais aussi de mettre en valeur l’humanité de sa grand-mère. C’est un sujet difficile de parler de la vieillesse et de la démence, le livre est émouvant mais nous montre aussi les difficultés à vivre une telle situation que ce soit pour le malade ou la famille. Il montre aussi la méconnaissance et l’isolement. Ce manga est touchant car il nous met face à une réalité que l’on préférerait éviter, il n’est pas facile de se dire que cela pourrait nous arriver. extrait : Souvenirs en bataille - AKATA (akazoom.fr)
  10. Titre de l'album : Souvenirs en bataille Scenariste de l'album : SHIKABANE Sensei Dessinateur de l'album : SHIKABANE Sensei Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : Shikabane n’a jamais connu sa mère. Abandonné par son père, c’est aux côtés de sa grand-mère qu’il vivait, enfant, dans la pauvreté. Mais grâce à la bonté de cette dernière, malgré un quotidien difficile et les propos blessants de ses camarades, il a réussi à grandir et se construire. Devenu adulte, il croyait enfin pouvoir profiter de la vie. Hélas, quand sa grand- mère semble montrer des signes de démence sénile, Shikabane perd pied et ne sait pas comment réagir. Critique : L’auteur revient sur ses rapports avec sa grand-mère qui l’a élevé, il se remémore son enfance et surtout leurs relations quand il a commencé à travailler, quand elle est devenue sénile, quand la démence est arrivée. Au travers de ces moments difficiles, il décrit son ignorance et son incompréhension par rapport à la maladie, il montre les difficultés pour l’entourage, pour l’accompagnement des personnes âgées. Il a choisi de se représenter avec une drôle de tête qui lui permet de mieux faire ressortir ses émotions mais aussi de mettre en valeur l’humanité de sa grand-mère. C’est un sujet difficile de parler de la vieillesse et de la démence, le livre est émouvant mais nous montre aussi les difficultés à vivre une telle situation que ce soit pour le malade ou la famille. Il montre aussi la méconnaissance et l’isolement. Ce manga est touchant car il nous met face à une réalité que l’on préférerait éviter, il n’est pas facile de se dire que cela pourrait nous arriver. extrait : Souvenirs en bataille - AKATA (akazoom.fr) Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/souvenirs-en-bataille?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. Nickad

    Made in Abyss tome 9

    Quelque part au milieu de l’océan, se trouve une ile spéciale et sur cette ile se trouve l’entrée de l’Abysse : un gouffre énorme qui aurait abrité une ancienne civilisation avancée. Les aventuriers se sont établis au bord du gouffre, ont fondé une ville, ne vivent que par et pour l’Abysse à la recherche de reliques. Seules les personnes habilitées « les caverniers » peuvent y descendre mais comme les dangers y sont nombreux (plantes vénéneuses et animaux hostiles), chaque niveau n’est accessible qu’en fonction de ses capacités : chaque cavernier a ainsi une couleur de sifflet attribuée, les plus expérimentés et donc ceux qui peuvent descendre le plus profond sont appelées les sifflets blancs. Rico vit dans un orphelinat, sa mère sifflet blanc est portée disparue et considérée comme morte. Rico n’y croit pas et décide de partir à sa recherche avec l’aide de son ami Legu. Les deux enfants vont donc s’aventurer dans l’Abysse l’une pour retrouver sa mère et l’autre pour découvrir ses origines. Si à la vue des couvertures le manga semble tout mignon, il n’en est rien car l’Abysse est effrayant, il y a un prix pour s’y aventurer, chaque niveau à sa malédiction, et passé un certain stade, il n’y a plus de retour possible. Si Made in Abyss détonne dans le paysage manga de par son originalité et la richesse de son univers, il est par moment difficile d’accès de par sa complexité. L’auteur a vraiment crée un nouveau monde, de nouvelles créatures, de nouveaux mots et il faut prendre son temps. Tout le passage dans le village d’Ilbru (tomes 7 à 9) est dense. Le graphisme semble parfois fouillis et on a l’impression que cela part dans tous les sens. En cela regarder l’anime peut aider au départ. Mais attention, il n’est pas à mettre entre les mains des plus jeunes car il y a des scènes très violentes, c’est un peu comme si à chaque niveau de l’Abysse, on descendait dans les ténèbres de l’âme humaine. Il y a un étrange mélange entre douceur (rendue par le design très kawaii des enfants) et l’univers très sombre du gouffre. A découvrir absolument. (image en noir et blanc le livre, an couleur l'anime)
  12. Titre de l'album : Made in Abyss tome 9 Scenariste de l'album : TSUKUSHI Akihito Dessinateur de l'album : TSUKUSHI Akihito Coloriste : Editeur de l'album : Ototo Note : Résumé de l'album : Grâce à Veko, Rico connait désormais l'abominable origine d'Ilbru et le sacrifice d'Ilmyhui. Afin de racheter Nanachi à Belaf, prisonnier de drôles de songes aux côtés d'une réplique de Meethi, elle a chargé Légu de rapporter un morceau de Faputa au village. Toutefois, alors qu'il revient victorieux, Ilbru tout entier se met à trembler et rugir... Que pense Ilmyhui de l'arrivée de ces lambeaux de chair arrachés à sa fille ? Et surtout, à quel prix Légu est-il parvenu à les obtenir ? Critique : Quelque part au milieu de l’océan, se trouve une ile spéciale et sur cette ile se trouve l’entrée de l’Abysse : un gouffre énorme qui aurait abrité une ancienne civilisation avancée. Les aventuriers se sont établis au bord du gouffre, ont fondé une ville, ne vivent que par et pour l’Abysse à la recherche de reliques. Seules les personnes habilitées « les caverniers » peuvent y descendre mais comme les dangers y sont nombreux (plantes vénéneuses et animaux hostiles), chaque niveau n’est accessible qu’en fonction de ses capacités : chaque cavernier a ainsi une couleur de sifflet attribuée, les plus expérimentés et donc ceux qui peuvent descendre le plus profond sont appelées les sifflets blancs. Rico vit dans un orphelinat, sa mère sifflet blanc est portée disparue et considérée comme morte. Rico n’y croit pas et décide de partir à sa recherche avec l’aide de son ami Legu. Les deux enfants vont donc s’aventurer dans l’Abysse l’une pour retrouver sa mère et l’autre pour découvrir ses origines. Si à la vue des couvertures le manga semble tout mignon, il n’en est rien car l’Abysse est effrayant, il y a un prix pour s’y aventurer, chaque niveau à sa malédiction, et passé un certain stade, il n’y a plus de retour possible. Si Made in Abyss détonne dans le paysage manga de par son originalité et la richesse de son univers, il est par moment difficile d’accès de par sa complexité. L’auteur a vraiment crée un nouveau monde, de nouvelles créatures, de nouveaux mots et il faut prendre son temps. Tout le passage dans le village d’Ilbru (tomes 7 à 9) est dense. Le graphisme semble parfois fouillis et on a l’impression que cela part dans tous les sens. En cela regarder l’anime peut aider au départ. Mais attention, il n’est pas à mettre entre les mains des plus jeunes car il y a des scènes très violentes, c’est un peu comme si à chaque niveau de l’Abysse, on descendait dans les ténèbres de l’âme humaine. Il y a un étrange mélange entre douceur (rendue par le design très kawaii des enfants) et l’univers très sombre du gouffre. A découvrir absolument. (image en noir et blanc le livre, en couleur l'anime) Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/made-in-abyss-tome-9?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. Nickad

    Papa est une licorne

    Issei, lycéen, se retrouve à devoir cohabiter du jour au lendemain avec son nouveau beau-père qui est une licorne ! Cette licorne peut se transformer en humain et il prend alors l’apparence d’un bel homme blond (un étranger pour les japonais). Au travers de situations plus ou moins humoristiques, l’auteur parle des familles recomposées, de l’acceptation des étrangers (sujet assez sensible au Japon), des différences de cultures et d’éducation, des problèmes de voisinage… Ici, comme on a affaire à une licorne, tout est un peu extrême : du foin au petit déjeuner, du repassage avec les sabots, une boisson préparée avec une corne… C’est une one shot divertissant et drôle, on peut réfléchir aux thèmes abordés ou on peut tout simplement en profiter sans se poser de questions. En tout cas, c’est une lecture rafraichissante qui vous fera passer un bon moment.
  14. Titre de l'album : Papa est une licorne Scenariste de l'album : SUZUKI Monaka Dessinateur de l'album : SUZUKI Monaka Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : Quand on est adolescent, apprendre à vivre avec son nouveau beau-père n'est jamais facile... Issei ne l'avait pas vu venir. Quand sa mère lui annonce qu'elle va se remarier, il s'imagine le pire. Et il faut avouer qu'il avait bien raison ! Car même dans ses plus sombres cauchemars, il n'aurait jamais pu imaginer une chose : Masaru, son beau-père n'est autre... qu'un(e) licorne ? !! Ce dernier est bien décidé à être le mari au foyer parfait ainsi qu'un super papa. Un nouveau quotidien magique (ou pas ? ) commence alors pour Issei... Critique : Issei, lycéen, se retrouve à devoir cohabiter du jour au lendemain avec son nouveau beau-père qui est une licorne ! Cette licorne peut se transformer en humain et il prend alors l’apparence d’un bel homme blond (un étranger pour les japonais). Au travers de situations plus ou moins humoristiques, l’auteur parle des familles recomposées, de l’acceptation des étrangers (sujet assez sensible au Japon), des différences de cultures et d’éducation, des problèmes de voisinage… Ici, comme on a affaire à une licorne, tout est un peu extrême : du foin au petit déjeuner, du repassage avec les sabots, une boisson préparée avec une corne… C’est une one shot divertissant et drôle, on peut réfléchir aux thèmes abordés ou on peut tout simplement en profiter sans se poser de questions. En tout cas, c’est une lecture rafraichissante qui vous fera passer un bon moment. Autres infos : Collection WTF Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mon-papa-est-une-licorne?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. Nickad

    Killing stalking tome 1

    Si j’ai choisi de parler de killing stalking c’est d’une part, parce que c’est le 1er webtoon papier sorti en France (le 2eme tome est sorti le 16 avril) mais surtout parce que ce titre est très prisé chez les adolescents et qu’il est important d’en parler aux parents ! Ce manwha est un thriller psychologique qui va opposer 2 jeunes hommes. Le 1er « stalking » a un comportement amoureux assez extrême : il espionne, se renseigne, colle la personne aimée jusqu’à s’introduire chez elle. Le second « killing » n’est pas aussi parfait que l’image qu’il renvoie et cache de lourds secrets. La relation des deux hommes est étrange, le premier oscille entre peurs et attirance et le deuxième entre violence et troubles psychologiques. Le manga est violent (scènes de tortures et sexe), ses personnages sont tous les deux malsains, on sait qu'il n’y a rien de bon dans cette histoire mais elle intrigue quand même ! Attention, il est conseillé à partir de 16 ans ! Concernant l’édition, le manhwa est publié dans le sens occidental (qui est aussi le sens coréen), c’est un format 15x21, Taifu a ré agencé les cases du webtoon sans surcharger les pages pour que la lecture reste fluide.
  16. Titre de l'album : Killing stalking tome 1 Scenariste de l'album : KOOGI Dessinateur de l'album : KOOGI Coloriste : Editeur de l'album : Taifu Note : Résumé de l'album : Yoon bum, un jeune homme frêle et effacé, tombe sous le charme de Sangwoo, un camarade d’école très populaire. Quelques années plus tard, après avoir fait leur service militaire dans la même promo, Yoon bum n’arrive plus à restreindre ses sentiments et s’introduit chez lui dans l’espoir de rasséréner son amour obsessionnel. Seulement, il ne se doutait pas que Sangwoo cachait un tel secret. Secret qu’il aurait mieux fait de ne jamais découvrir... Critique : Si j’ai choisi de parler de killing stalking c’est d’une part, parce que c’est le 1er webtoon papier sorti en France (le 2eme tome est sorti le 16 avril) mais surtout parce que ce titre est très prisé chez les adolescents et qu’il est important d’en parler aux parents ! Ce manwha est un thriller psychologique qui va opposer 2 jeunes hommes. Le 1er « stalking » a un comportement amoureux assez extrême : il espionne, se renseigne, colle la personne aimée jusqu’à s’introduire chez elle. Le second « killing » n’est pas aussi parfait que l’image qu’il renvoie et cache de lourds secrets. La relation des deux hommes est étrange, le premier oscille entre peurs et attirance et le deuxième entre violence et troubles psychologiques. Le manga est violent (scènes de tortures et sexe), ses personnages sont tous les deux malsains, on sait qu'il n’y a rien de bon dans cette histoire mais elle intrigue quand même ! Attention, il est conseillé à partir de 16 ans ! Concernant l’édition, le manhwa est publié dans le sens occidental (qui est aussi le sens coréen), c’est un format 15x21, Taifu a ré agencé les cases du webtoon sans surcharger les pages pour que la lecture reste fluide. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/killing-stalking-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. Nickad

    Soul Liquid Chambers tome 1

    Soul liquid chambers est un mélange de genre : un côté post-apocalyptique puisqu’il se passe 20 ans après l’invasion de zombies, un côté robotique avec de la technologie cybernétique avancée, un côté horreur car il y a du zombie et des humains monstrueux, de l’action car il faut bien se défendre : ça coupe, ça explose et il y a des morceaux de corps un peu partout ! Mais il y a aussi une réflexion sur l’âme, l’immortalité, la science et les travers de la recherche poussée par l’ambition démesurée des puissants. C’est quand même le côté action et combats qui prédomine dans ce 1er volume ! Et de l’action, on n’en manque pas, après un début où l’auteur pose les bases de son univers, le rythme s’accélère et il y a des rebondissements, il faut cependant un peu de temps pour assembler les pièces du puzzle. Par contre, il faut bien dire que c’est violent, des images choquantes et des propos vulgaires, il est donc réservé pour un public averti ! C’est un bon début pour ce type d’histoire, qui ne se cantonne pas qu’à casser du zombie, un manga qui a sa place dans votre collection WTF, la série est finie en 3 tomes.
  18. Titre de l'album : Soul Liquid Chambers tome 1 Scenariste de l'album : TAMAKI Nozomu Dessinateur de l'album : TAMAKI Nozomu Coloriste : Editeur de l'album : Noeve Grafx Note : Résumé de l'album : 22e siècle. Alors que l’humanité lutte pour survivre, Emile arpente un monde désormais connu comme le Terrain de jeu des macchabées. Sa profession: guide en terrain irradié. Sa nouvelle cliente, une riche et adorable gamine, n’est pas vraiment le profil que l’on s’attendrait à trouver au milieu des zombies et autres mutants. Mais manifestement, toutes les petites filles ne sont pas faites de sucre et d'épices... Critique : Soul liquid chambers est un mélange de genre : un côté post-apocalyptique puisqu’il se passe 20 ans après l’invasion de zombies, un côté robotique avec de la technologie cybernétique avancée, un côté horreur car il y a du zombie et des humains monstrueux, de l’action car il faut bien se défendre : ça coupe, ça explose et il y a des morceaux de corps un peu partout ! Mais il y a aussi une réflexion sur l’âme, l’immortalité, la science et les travers de la recherche poussée par l’ambition démesurée des puissants. C’est quand même le côté action et combats qui prédomine dans ce 1er volume ! Et de l’action, on n’en manque pas, après un début où l’auteur pose les bases de son univers, le rythme s’accélère et il y a des rebondissements, il faut cependant un peu de temps pour assembler les pièces du puzzle. Par contre, il faut bien dire que c’est violent, des images choquantes et des propos vulgaires, il est donc réservé pour un public averti ! C’est un bon début pour ce type d’histoire, qui ne se cantonne pas qu’à casser du zombie, un manga qui a sa place dans votre collection WTF, la série est finie en 3 tomes. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/soul-liquid-chambers-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. Nickad

    Le Fossoyeur tome 1

    Le fossoyeur marque le retour de Chihiro Watanabe après le remarqué Pygmalion. Il s’essaye ici à un genre mélangeant le shonen et l’horreur. Encore une fois, il ne lésine pas sur les représentations choquantes, limites gore (corps découpés). Sa vision de la possession par des esprits est dérangeante, glauque à la fois par le rendu graphique mais aussi dans le message que la seule issue est la mort. Concernant l’histoire, on a un adolescent devenu fossoyeur après un drame familial qui va devoir accomplir jour après jour son lugubre travail. Entendez par fossoyeur celui qui peut délivrer l’âme humaine arrivée à un tel niveau de possession que la mort est le seul recours. On peut craindre que l’histoire soit un peu répétitive, même si certains éléments sur la fin montre qu’il va y avoir un développement. En plus, le personnage principal étant tourmenté par l’obligation de tuer, cherche une autre solution pour sauver les possédés, cela amènera peut-être un tournant dans l’histoire. Ceux qui aiment l’action et l’horreur devraient y trouver leur compte, la série est finie en 4 tomes.
  20. Titre de l'album : Le Fossoyeur tome 1 Scenariste de l'album : WATANABE Chihiro Dessinateur de l'album : WATANABE Chihiro Coloriste : Editeur de l'album : Komikku Note : Résumé de l'album : « On ne peut les sauver, qu'en les tuant ». Les «possédés» sont des humains hantés par des esprits. On dit que ceux, qui ont vu leur âme se faire corrompre au moins pour moitié, ont atteint la «phase de la mort» et deviennent par conséquent une menace pour les autres humains. C'est aux «fossoyeurs» qu'il incombe de les éradiquer. Hitsugi, qui fait partie d'une lignée de fossoyeurs, admire son père pour le travail qu'il accomplit. Seulement, cette tâche particulière cache une vérité bien cruelle qu'il s'apprête à apprendre à ses dépens... Critique : Le fossoyeur marque le retour de Chihiro Watanabe après le remarqué Pygmalion. Il s’essaye ici à un genre mélangeant le shonen et l’horreur. Encore une fois, il ne lésine pas sur les représentations choquantes, limites gore (corps découpés). Sa vision de la possession par des esprits est dérangeante, glauque à la fois par le rendu graphique mais aussi dans le message que la seule issue est la mort. Concernant l’histoire, on a un adolescent devenu fossoyeur après un drame familial qui va devoir accomplir jour après jour son lugubre travail. Entendez par fossoyeur celui qui peut délivrer l’âme humaine arrivée à un tel niveau de possession que la mort est le seul recours. On peut craindre que l’histoire soit un peu répétitive, même si certains éléments sur la fin montre qu’il va y avoir un développement. En plus, le personnage principal étant tourmenté par l’obligation de tuer, cherche une autre solution pour sauver les possédés, cela amènera peut-être un tournant dans l’histoire. Ceux qui aiment l’action et l’horreur devraient y trouver leur compte, la série est finie en 4 tomes. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-fossoyeur-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. Nickad

    Eden perfect edition tome 1

    Hiroki Endo est un perfectionniste, il dit qu’il est toujours à la recherche de l’œuvre ultime, celle qui lui fera oublier toutes les autres, c’est dans cet esprit qu’il a conçu Eden. Il crée un univers riche, détaillé et largement documenté où l’on retrouve certaines de ces inspirations comme Akira ou Neon Genesis Evangelion. Eden n’a pas vieilli et aujourd’hui, en pleine pandémie, il a toute sa place et les questions qu’il soulève sont bien d’actualité. Dans un contexte post-épidémie, il pose des questions sur l’humanité, la science, la religion, sur l’adaptabilité de l’homme face à l’environnement. Il met aussi l’accent sur tous les travers humains : ce qui ressort d’une crise mondiale, qui en profite, qui survit et comment. Etrangement, Eden m’a fait la même impression qu’à ma première lecture : un graphisme travaillé, une histoire moderne et complexe, un peu trop parfois. Même si Eden est résolument un manga incontournable, il n’est pas facilement accessible dans la mesure où il y a beaucoup d’informations, il faut prendre le temps de le lire et de comprendre. 18 ans après sa 1ere sortie en France, Panini nous offre une réédition de qualité avec un format un peu plus grand qui permet de mieux apprécier le dessin très détaillé de Hiroki Endo. (série en 9 tomes, tomes doubles par rapport à la 1ère édition)
  22. Titre de l'album : Eden perfect edition tome 1 Scenariste de l'album : ENDO Hiroki Dessinateur de l'album : ENDO Hiroki Coloriste : Editeur de l'album : Panini Note : Résumé de l'album : La Terre, dans un futur proche. Le closure virus, un mal mortel et incurable dont l'origine est inconnue, a dévasté la population mondiale. Dans les décombres de la civilisation, l'humanité tente de se relever. Une famille, en particulier, fait tout ce qu'elle peut pour survivre : la famille Ballard, dont l'un des membres, Enoa, est immunisé contre le virus depuis sa naissance. Si l'espèce humaine a frôlé l'extinction, ses travers sont toujours bien présents : l'égoïsme, l'avarice, la volonté de domination, l'individualisme... Critique : Hiroki Endo est un perfectionniste, il dit qu’il est toujours à la recherche de l’œuvre ultime, celle qui lui fera oublier toutes les autres, c’est dans cet esprit qu’il a conçu Eden. Il crée un univers riche, détaillé et largement documenté où l’on retrouve certaines de ces inspirations comme Akira ou Neon Genesis Evangelion. Eden n’a pas vieilli et aujourd’hui, en pleine pandémie, il a toute sa place et les questions qu’il soulève sont bien d’actualité. Dans un contexte post-épidémie, il pose des questions sur l’humanité, la science, la religion, sur l’adaptabilité de l’homme face à l’environnement. Il met aussi l’accent sur tous les travers humains : ce qui ressort d’une crise mondiale, qui en profite, qui survit et comment. Etrangement, Eden m’a fait la même impression qu’à ma première lecture : un graphisme travaillé, une histoire moderne et complexe, un peu trop parfois. Même si Eden est résolument un manga incontournable, il n’est pas facilement accessible dans la mesure où il y a beaucoup d’informations, il faut prendre le temps de le lire et de comprendre. 18 ans après sa 1ere sortie en France, Panini nous offre une réédition de qualité avec un format un peu plus grand qui permet de mieux apprécier le dessin très détaillé de Hiroki Endo. (série en 9 tomes, tomes doubles par rapport à la 1ère édition) Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/eden-perfect-edition-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. Nickad

    The Fable tome 1

    Un tueur professionnel de génie va devoir se faire discret et passer un an à vivre comme quelqu’un de normal. Le début du manga nous montre notre homme en pleine action, histoire de bien comprendre ses compétences en la matière, la suite nous permet de mieux cerner son caractère. Et c’est bien là le problème, quand on a quelqu’un qui ne vit que pour son métier, il va lui être difficile d’agir normalement. Son attitude suspicieuse, sa force hors norme, son manque de sociabilité sont autant de défauts quand on veut passer inaperçu. Bien entendu, l’arrivée de ce personnage dans une autre ville ne va pas plaire à tout le monde et toute la difficulté pour lui, va être de ne pas faire de vague. Il y a de l’action, de l’humour, des flingues et des yakuzas : une ambiance de pègre locale bien rendue. Un bon point côté graphisme car contrairement à beaucoup de mangas, l’auteur fait l’effort de remplir toutes ses cases même s’il s’agit parfois que d’’une trame de fond, il ne se laisse pas aller à la facilité. Et Pika, nous offre une édition de qualité avec une jaquette réversible ! Un bon premier tome dynamique, sur les 22 que compte la série, à suivre.
  24. Nickad

    The Fable tome 1

    Titre de l'album : The Fable tome 1 Scenariste de l'album : MINAMI Katsuhisa Dessinateur de l'album : MINAMI Katsuhisa Coloriste : Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : Muni de son arme favorite, un pistolet Nighthawk couleur anthracite, Fable est un tueur professionnel craint de toute la pègre japonaise. Hommes politiques, mafieux, personnalités publiques... Ce génie de l'assassinat peut envoyer n'importe laquelle de ses cibles six pieds sous terre. Et en six secondes, si le cœur lui en dit. Sauf qu'un beau jour, son commanditaire lui ordonne de tout mettre en pause et de mener la vie d'un citoyen ordinaire, dans la planque d'un clan de yakuzas à Osaka. Interdiction de tuer ou d'attaquer qui que ce soit pendant une année entière. Pour cette arme humaine au tempérament imprévisible, entourée de criminels à la gâchette facile, c'est le plus dur des contrats qui commence... Critique : Un tueur professionnel de génie va devoir se faire discret et passer un an à vivre comme quelqu’un de normal. Le début du manga nous montre notre homme en pleine action, histoire de bien comprendre ses compétences en la matière, la suite nous permet de mieux cerner son caractère. Et c’est bien là le problème, quand on a quelqu’un qui ne vit que pour son métier, il va lui être difficile d’agir normalement. Son attitude suspicieuse, sa force hors norme, son manque de sociabilité sont autant de défauts quand on veut passer inaperçu. Bien entendu, l’arrivée de ce personnage dans une autre ville ne va pas plaire à tout le monde et toute la difficulté pour lui, va être de ne pas faire de vague. Il y a de l’action, de l’humour, des flingues et des yakuzas : une ambiance de pègre locale bien rendue. Un bon point côté graphisme car contrairement à beaucoup de mangas, l’auteur fait l’effort de remplir toutes ses cases même s’il s’agit parfois que d’’une trame de fond, il ne se laisse pas aller à la facilité. Et Pika, nous offre une édition de qualité avec une jaquette réversible ! Un bon premier tome dynamique, sur les 22 que compte la série, à suivre. Autres infos : Edition PIKA Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-fable-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. En voilà une jolie surprise ! Si le manga débute assez classiquement avec un groupe d’amis collégiens dans une petite ville de province où il n’y a pas grand-chose à faire, il prend une autre tournure à partir du chapitre 2. Quelques mois ont passé et Keiko qui a été absente pour cause d’hospitalisation prolongée découvre que ses amis ont changé. C’est comme si elle était passé dans une autre dimension. Elle va chercher à comprendre ce qui s’est passé et essayer de sauver leur amitié. Si on a l’impression au début d’être dans une tranche de vie sympathique et déjà vue, on est vite happés par le récit : les personnages étant tour à tour narrateur, on voit ainsi la situation de différentes manières. Celles qui nous paraissaient un peu fades de prime abord montrent une forte personnalité et une forte détermination. Au travers de ce récit, on découvre aussi la triste réalité des campagnes. Les adolescents pensent à leur avenir, avec des rêves de grandes villes, d’un autre quotidien, et ils se retrouvent rattrapés par leurs situations familiales et le dépeuplement de la province. Laissez-vous tenter par ce diptyque rafraichissant aux personnages sympathiques, soutenu par un graphisme soigné notamment sur les paysages et autres arrières-plans. Concernant l'éditeur, ChattoChatto vient de fêter ses 3 ans d'existence et a sorti 7 titres dont Frankenstein family 💓 , carciphona ou dragon metropolis
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