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  1. Titre de l'album : Elfen lied - tome 1 Scenariste de l'album : OKAMOTO Lynn Dessinateur de l'album : OKAMOTO Lynn Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Les diclonius, sont des êtres dangereux créés par les humains, puis gardés dans un laboratoire de haute sécurité. Après un accident, Lucy, une diclonius, parvient à s'échapper en tuant toutes les personnes sur son chemin ! Blessée, elle est recueillie par Kouta, un jeune homme qui se promenait avec sa cousine. L'armée utilise tous les moyens possibles pour retrouver Lucy. Critique : Elfen lied est le 1er manga de Lynn Okamoto connu en France avec Brynhildr in the darkness publié depuis 2013. Ce manga est surtout connu par son anime, devenu culte et sa sortie était très attendue ! Lucy arrive à s’échapper du laboratoire, ayant subi un choc à la tête, elle échoue sur une plage sans se rappeler de rien et ayant l’intelligence d’une enfant de 5 ans. Elle va être recueilli par Kôta et Yuka, deux cousins. Kôta a perdu sa famille 8 ans auparavant et semble lui aussi avoir la mémoire altérée suite à ce drame. Mais le laboratoire est déterminé à éliminer Lucy s’il ne parvient pas à la capturer pour poursuivre ses expériences et lancent les S.A.T. (special assault team) à sa recherche. D’un autre côté, Lucy semble avoir une double personnalité entre l’enfant ingénue et la tueuse sanguinaire. On retrouve les thèmes chers à l’auteur : une dénonciation des manipulations génétiques et des expériences sur des êtres vivants, une vision négative des services plus ou moins militaires qui font fi des droits des humains et qui n’hésitent pas à éliminer ceux qui les gênent. Même si Lucy est dangereuse, on ne peut que se révolter contre ces organisations qui ont tous les pouvoirs et aucune morale. Le manga est un mélange entre de l’action pure avec des affrontements sanglants et efficaces avec des moments plus détendus, plus amusants sur la cohabitation des jeunes avec les quiproquos provoqués par le comportement immature de Lucy. Il y a en même temps de la distraction par l’aventure et un appel à de la prise de conscience. C’est un début efficace ! L’édition double comptera 12 tomes, ce premier volume contient également 2 petites nouvelles. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/elfen-lied-double-edition-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. Nickad

    Monkey peak tome 12 (fin)

    Monkey peak est ce qu’on appelle un survival : le genre de manga où il y a un certain nombre de personnages au début et beaucoup moins à la fin… Une entreprise pharmaceutique décide d’emmener tous ses employés à la montagne afin de souder l’équipe, en plus de la randonnée, il est prévu des moments de convivialité entre cuisine et partage de tente. Hélas pour eux, au milieu de la nuit la troupe se fait attaquer par un énorme singe très belliqueux qui compte bien tous les éliminer. Les survivants s’empressent d’essayer de regagner la vallée mais le singe tueur n’est pas loin derrière. Il existe des légendes au sujet de ce singe, il serait le gardien de la montagne, mais qu’ont pu bien faire ces employés pour déclencher sa colère ? Ce n’est que petit à petit que l’explication arrive mais en attendant, survivre dans ce massif montagneux réputé pour sa difficulté, sans équipement, sans vivre, va attiser les tensions et dévoiler le vrai caractère des personnages. La montagne est très bien représentée, on ressent bien qu’au moindre faux pas c’est la mort qui guette. Le graphisme est assez dur, le design du singe tout en piquants pour rappeler que les personnages sont toujours sur le fil du rasoir. Le manga est violent, horrifique même, mais ce n’est pas de la violence gratuite car il y a une justification à cette situation, une leçon à retenir.
  3. Titre de l'album : Monkey peak tome 12 (fin) Scenariste de l'album : SHINASAKA Kôji Dessinateur de l'album : KUMETA Akihiro Coloriste : Editeur de l'album : Komikku Note : Résumé de l'album : Un groupe de collègues du laboratoire pharmaceutique Fujigaya part à la montagne pour une randonnée censée remotiver les troupes et resserrer les liens. Il faut dire que la compagnie vient de souffrir d'un scandale et le moral est assez bas. Tout se passe bien malgré les rivalités et la fatigue mais un soir, l'un des employés, Takashi, aperçoit un gigantesque singe qui ressemble à un démon ! La créature disparait mais peu après, de nombreuses personnes sont retrouvées massacrées. L'horreur et la panique s'installent et les survivants veulent s'enfuir au plus vite. Sans moyens de communication, le président de la société part en éclaireur chercher du secours. Les autres lui emboitent le pas mais ils sont mystérieusement déroutés par quelqu'un... le parcours est difficile, ils n'ont plus de provisions et le monstre les attaque plusieurs fois. Critique : Monkey peak est ce qu’on appelle un survival : le genre de manga où il y a un certain nombre de personnages au début et beaucoup moins à la fin… Une entreprise pharmaceutique décide d’emmener tous ses employés à la montagne afin de souder l’équipe, en plus de la randonnée, il est prévu des moments de convivialité entre cuisine et partage de tente. Hélas pour eux, au milieu de la nuit la troupe se fait attaquer par un énorme singe très belliqueux qui compte bien tous les éliminer. Les survivants s’empressent d’essayer de regagner la vallée mais le singe tueur n’est pas loin derrière. Il existe des légendes au sujet de ce singe, il serait le gardien de la montagne, mais qu’ont pu bien faire ces employés pour déclencher sa colère ? Ce n’est que petit à petit que l’explication arrive mais en attendant, survivre dans ce massif montagneux réputé pour sa difficulté, sans équipement, sans vivre, va attiser les tensions et dévoiler le vrai caractère des personnages. La montagne est très bien représentée, on ressent bien qu’au moindre faux pas c’est la mort qui guette. Le graphisme est assez dur, le design du singe tout en piquants pour rappeler que les personnages sont toujours sur le fil du rasoir. Le manga est violent, horrifique même, mais ce n’est pas de la violence gratuite car il y a une justification à cette situation, une leçon à retenir. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/monkey-peak-tome-12?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. Nickad

    Ivre du Japon

    J.P. Nishi nous avait déjà habitué à des mangas autobiographiques sur sa vie à Paris, ses impressions sur la France et les Français. Dans ivre du Japon, c’est l’autobiographie de son épouse qu’il raconte. Tandis que lui était venu en France pour découvrir une nouvelle culture, sa femme Karen, faisait une expérience similaire. Originaire de la Bourgogne et travaillant pour une chaine de télévision, elle décide, un jour d’aller solder ses congés au Japon. Ce fut une véritable révélation pour elle, à peine débarquée, elle a su que c’est là-bas qu’elle voulait vivre et y enchaina de nombreux séjours. C’est avec humour, qu’elle dépeint la société japonaise du point de vue français, les décalages de culture, elle n’hésite pas à faire une critique des 2 pays, en précisant ce qui est bien et beaucoup moins bien ! Bon on en prend pour notre grade mais comme ce n’est pas vraiment faux… C’est un manga à la fois autobiographique mais aussi culturel, c’est assez marrant de voir les différences, les spécificités d’une société. Les personnages sont dessinés de façon un peu caricaturale, la lecture est fluide, c’est une livre plutôt plaisant et instructif.
  5. Nickad

    Ivre du Japon

    Titre de l'album : Ivre du Japon Scenariste de l'album : NISHI Jean Paul / NISHIMURA Taku Dessinateur de l'album : NISHI Jean Paul / NISHIMURA Taku Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : 1996, Japon... Une Française atterrit à l'aéroport de Narita... Karen a 26 ans. Elle est née en France et y a grandi. Directrice technique pour une chaîne de télévision, elle choisit une destination plutôt insolite pour passer ses cinq semaines de congés payés : le Japon ! Elle était loin de s'imaginer que ce pays, qu'elle avait choisi un peu au hasard, allait changer le cours de sa vie. Un aéroport propre, un système qui fonctionne et respecte les horaires fixés, la foule de Shibuya, les différents looks extravagants, les annonces de la ligne Yamanote, les téléphones portables et l'i-mode, le kabuki, les kimonos, les toilettes... Tout ce qui fait le charme du Japon, parfois même là où on ne l'attend pas ! Suivez Karen dans sa rencontre avec le pays du Soleil levant, son mariage avec un Japonais, ou encore l'éducation de ses deux enfants dans une société aux antipodes de la société française ! Critique : J.P. Nishi nous avait déjà habitué à des mangas autobiographiques sur sa vie à Paris, ses impressions sur la France et les Français. Dans ivre du Japon, c’est l’autobiographie de son épouse qu’il raconte. Tandis que lui était venu en France pour découvrir une nouvelle culture, sa femme Karen, faisait une expérience similaire. Originaire de la Bourgogne et travaillant pour une chaine de télévision, elle décide, un jour d’aller solder ses congés au Japon. Ce fut une véritable révélation pour elle, à peine débarquée, elle a su que c’est là-bas qu’elle voulait vivre et y enchaina de nombreux séjours. C’est avec humour, qu’elle dépeint la société japonaise du point de vue français, les décalages de culture, elle n’hésite pas à faire une critique des 2 pays, en précisant ce qui est bien et beaucoup moins bien ! Bon on en prend pour notre grade mais comme ce n’est pas vraiment faux… C’est un manga à la fois autobiographique mais aussi culturel, c’est assez marrant de voir les différences, les spécificités d’une société. Les personnages sont dessinés de façon un peu caricaturale, la lecture est fluide, c’est une livre plutôt plaisant et instructif. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ivre-du-japon?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. Nickad

    Rock of destruction

    Un groupe de 8 jeunes qui ne se connaissent pas vraiment bien décide de partir quelques jours dans une ville où un drame sanglant s’est déroulé quelques années auparavant. La situation vire vite au cauchemar quand il retrouve l’un des leurs affreusement mutilé ! L’horreur s’installe très vite, ce n’est qu’au fur et à mesure de leur fuite que les explications arrivent. Le graphisme est assez brut, carré, surtout centré sur les personnages et moins de travail sur l’arrière-plan, ce qui fait que non seulement on ne s’attache pas aux personnages mais qu’en plus on ne ressent pas vraiment l’ambiance horrifique. On voit qu’il y a des monstres, du sang et des corps mais on reste un spectateur éloigné, il manque la tension que l’on recherche dans les livres d’horreur, le sursaut que l’on attend ! Bien sûr, avec l’explication qui arrive, l’histoire s’étoffe, prend de la consistance, l’analyse sur la forme des monstres pourraient nous en dire plus sur la nature humaine. Car le manga est axé sur la théorie de la singularité (une certaine forme d’évolution), sauf qu’ici c’est un peu lâché à la va-vite sans vraiment prendre le temps de pousser le sujet. Finalement, si le thème était intéressant, le manga n’est pas abouti ni dans l’horreur ni dans la réflexion, on n’a pas vraiment envie d’y revenir.
  7. Titre de l'album : Rock of destruction Scenariste de l'album : KURAZONO Norihiko Dessinateur de l'album : KURAZONO Norihiko Coloriste : Editeur de l'album : Omaké Note : Résumé de l'album : Une bande de potes décide de passer quelques jours dans une immense demeure, située dans une région réputée pour ses phénomènes paranormaux particulièrement sordides. Le but du week-end pour ces étudiants ? Manger, picoler, passer du bon temps avec les filles et surtout, s'offrir quelques sensations fortes. Sauf que les légendes primitives ne sont parfois que pas de simples légendes. Lorsqu'ils retrouvent l'un de leurs amis affreusement mutilé et démembrés, ils comprennent que la nuit va être longue, très longue. Et surtout, l'apparition de monstres hyper violents ne leur laisse aucun espoir de survie. À moins que... Critique : Un groupe de 8 jeunes qui ne se connaissent pas vraiment bien décide de partir quelques jours dans une ville où un drame sanglant s’est déroulé quelques années auparavant. La situation vire vite au cauchemar quand il retrouve l’un des leurs affreusement mutilé ! L’horreur s’installe très vite, ce n’est qu’au fur et à mesure de leur fuite que les explications arrivent. Le graphisme est assez brut, carré, surtout centré sur les personnages et moins de travail sur l’arrière-plan, ce qui fait que non seulement on ne s’attache pas aux personnages mais qu’en plus on ne ressent pas vraiment l’ambiance horrifique. On voit qu’il y a des monstres, du sang et des corps mais on reste un spectateur éloigné, il manque la tension que l’on recherche dans les livres d’horreur, le sursaut que l’on attend ! Bien sûr, avec l’explication qui arrive, l’histoire s’étoffe, prend de la consistance, l’analyse sur la forme des monstres pourraient nous en dire plus sur la nature humaine. Car le manga est axé sur la théorie de la singularité (une certaine forme d’évolution), sauf qu’ici c’est un peu lâché à la va-vite sans vraiment prendre le temps de pousser le sujet. Finalement, si le thème était intéressant, le manga n’est pas abouti ni dans l’horreur ni dans la réflexion, on n’a pas vraiment envie d’y revenir. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/rock-of-destruction?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. Nickad

    Corps solitaires tome 3

    Bien que Michi Yoshino a enfin eu une relation intime avec son époux, après plusieurs années d’abstinence, elle se rend compte que les choses ont changées, ils ont juste fait l’acte, sans complicité, sans échanger de regard. De son côté Nina, déçu par son anniversaire de mariage, décide de se rapprocher de Michi. Ce qui est bien, c’est que l’auteure suit les différents personnages dans leurs pensées et motivations, on n’a pas qu’un seul point de vue, et on se rend compte que si des erreurs sont commises, au final ce n’est pas forcément de leur faute, plutôt un concours de circonstances. Si l’histoire n’est pas forcément optimiste car c’est la déchéance de 2 couples que l’on suit, c’est intelligent de montrer que cela peut-être la réalité. Les sentiments évoluent, les gens changent, murissent et parfois se font envahir par des facteurs extérieurs (le travail notamment). Alors oui, même s’il est dur de penser que cela peut nous arriver, il est bien de comprendre que c’est juste l’évolution de la vie et qu’il n’y a pas forcément de coupable. C’est un manga touchant, toujours bien écrit avec beaucoup de sensibilité et de finesse.
  9. Titre de l'album : Corps solitaires tome 3 Scenariste de l'album : HARUNO Haru Dessinateur de l'album : HARUNO Haru Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Michi a 32 ans. Sa relation avec son mari n'est pas mauvaise mais une seule chose fait défaut : cela fait 2 ans qu'ils n'ont plus de relations sexuelles. Lors d'une soirée entre collègues, elle se confie à l'un deux. Makoto a le même problème mais c'est sa femme qui ne semble plus avoir de désir pour lui... Pouvoir en parler permet à Michi de reprendre espoir et de se lancer dans la reconquête de son mari... Critique : Bien que Michi Yoshino a enfin eu une relation intime avec son époux, après plusieurs années d’abstinence, elle se rend compte que les choses ont changées, ils ont juste fait l’acte, sans complicité, sans échanger de regard. De son côté Nina, déçu par son anniversaire de mariage, décide de se rapprocher de Michi. Ce qui est bien, c’est que l’auteure suit les différents personnages dans leurs pensées et motivations, on n’a pas qu’un seul point de vue, et on se rend compte que si des erreurs sont commises, au final ce n’est pas forcément de leur faute, plutôt un concours de circonstances. Si l’histoire n’est pas forcément optimiste car c’est la déchéance de 2 couples que l’on suit, c’est intelligent de montrer que cela peut-être la réalité. Les sentiments évoluent, les gens changent, murissent et parfois se font envahir par des facteurs extérieurs (le travail notamment). Alors oui, même s’il est dur de penser que cela peut nous arriver, il est bien de comprendre que c’est juste l’évolution de la vie et qu’il n’y a pas forcément de coupable. C’est un manga touchant, toujours bien écrit avec beaucoup de sensibilité et de finesse. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/corps-solitaires-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. Ce deuxième et dernier tome se déroule sur un rythme plus soutenu que le premier, car enfin on quitte l’ambiance apathique pour un peu d’action ! Le « gouvernement » a mis la main sur le jeune homme Reihô, on découvre le nouveau système de reproduction, mais le groupe d’amies ayant perdu leur motivation et n’ayant plus d’objectif dans la vie, décide de tenter le tout pour le tout et de libérer Reihô. Ne vous attendez pas non plus à de l’action tout le long du volume, car encore une fois, ce sont les idées et la réflexion qui sont importantes. L’auteure nous livre des pistes philosophiques sur l’amour, la reproduction, le sens de la vie, la liberté, la société régie par des femmes, la nature violente des hommes… Des pistes seulement, car il y a un constat à la fin : le temps qui nous ait donné n’appartient qu’à nous-mêmes et qu’il appartient à chacun de trouver sa raison de vivre. Il aurait peut-être été intéressant que ce manga s’étale sur plus de tomes pour développer tous les thèmes qu’il aborde ou peut-être qu' Akane Torikai souhaite nous laisser du temps pour y réfléchir. En tout cas la série est originale, intelligente et ne laisse pas indifférent. extrait du tome 1 : Le siège des exilées T.1 - AKATA (akazoom.fr)
  11. Titre de l'album : Le siège des exilées tome 2 (fin) Scenariste de l'album : TORIKAI Akane Dessinateur de l'album : TORIKAI Akane Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : Les institutions ont repéré la présence de Reihô, un homme fécond qui a fui dans le bidonville. Prête à tout pour être enceinte, Tsugaru prend rendez-vous pour passer une nuit aux côtés de ce dernier et essayer, par la même occasion, de le capturer. Mais ce plan aura-t-il l’effet escompté ? C’est sans compter sur Sanada. Critique : Ce deuxième et dernier tome se déroule sur un rythme plus soutenu que le premier, car enfin on quitte l’ambiance apathique pour un peu d’action ! Le « gouvernement » a mis la main sur le jeune homme Reihô, on découvre le nouveau système de reproduction, mais le groupe d’amies ayant perdu leur motivation et n’ayant plus d’objectif dans la vie, décide de tenter le tout pour le tout et de libérer Reihô. Ne vous attendez pas non plus à de l’action tout le long du volume, car encore une fois, ce sont les idées et la réflexion qui sont importantes. L’auteure nous livre des pistes philosophiques sur l’amour, la reproduction, le sens de la vie, la liberté, la société régie par des femmes, la nature violente des hommes… Des pistes seulement, car il y a un constat à la fin : le temps qui nous ait donné n’appartient qu’à nous-mêmes et qu’il appartient à chacun de trouver sa raison de vivre. Il aurait peut-être été intéressant que ce manga s’étale sur plus de tomes pour développer tous les thèmes qu’il aborde ou peut-être qu' Akane Torikai souhaite nous laisser du temps pour y réfléchir. En tout cas la série est originale, intelligente et ne laisse pas indifférent. extrait du tome 1 : Le siège des exilées T.1 - AKATA (akazoom.fr) Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mandarin-le-siege-des-exilees-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. Nickad

    Insomniaques tome 1

    Le titre est explicite, au travers de cette histoire, l’auteure va aborder le sujet de l’insomnie et de ses conséquences. Ganta Nakami est un jeune homme qui est souvent de mauvaise humeur, pas très sociable et pour cause, souffrant d’insomnie la nuit, il est épuisé en journée, souffre de migraines et s’emporte facilement Or comme il n’est pas facile de faire la sieste à l’école il cherche un endroit plus tranquille. C’est là qu’il va atterrir dans l’observatoire de l’ancien club d’astronomie où il va rencontrer Isaki Magari, souffrant elle-aussi d’insomnie mais gérant son problème de façon différente. Ce qui est surprenant dans ce manga, c’est la façon dont les 2 personnages cachent leur problème comme si être insomniaque était une maladie honteuse, on comprend qu’ils ne veulent pas que cela se sache (seule l’infirmière de l’école et le meilleur ami de Ganta sont au courant). Cette attitude peut-être assez difficile à comprendre pour nous, nous n’avons pas la même pudeur par rapport au japonais, pas la même volonté de cacher nos problèmes. Isaki dit qu’elle ne veut pas « inquiéter ses copines », je ne vois pas en quoi l’insomnie pourrait déranger leurs relations ; cela vient certainement d’une différence de culture. En dehors de ce constat, l’histoire met en lumière les problèmes que provoquent les troubles du sommeil que ce soit sur la santé ou sur le relationnel. Après, Makoto Ojiro aborde ça avec une certaine légèreté, elle en profite pour exploiter les activités de nuit, pour rapprocher les protagonistes. La lecture et le graphisme sont agréables, l’histoire promet des développements et on ne s’ennuie pas un instant.
  13. Titre de l'album : Insomniaques tome 1 Scenariste de l'album : OJIRO Makoto Dessinateur de l'album : OJIRO Makoto Coloriste : Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Ganta Nakami est insomniaque. À l'école, Il semble donc fatigué, voire associable. Un jour, dans la salle d'astronomie, il découvre Isaki Magari, endormie dans un coin. Insomniaque comme lui, mais bien plus sociable, elle lui propose de partager l'endroit pour y dormir en cachette. Leur rapprochement semble les aider à retrouver le sommeil, chacun étant sensible aux battements de cœur de l'autre... Critique : Le titre est explicite, au travers de cette histoire, l’auteure va aborder le sujet de l’insomnie et de ses conséquences. Ganta Nakami est un jeune homme qui est souvent de mauvaise humeur, pas très sociable et pour cause, souffrant d’insomnie la nuit, il est épuisé en journée, souffre de migraines et s’emporte facilement Or comme il n’est pas facile de faire la sieste à l’école il cherche un endroit plus tranquille. C’est là qu’il va atterrir dans l’observatoire de l’ancien club d’astronomie où il va rencontrer Isaki Magari, souffrant elle-aussi d’insomnie mais gérant son problème de façon différente. Ce qui est surprenant dans ce manga, c’est la façon dont les 2 personnages cachent leur problème comme si être insomniaque était une maladie honteuse, on comprend qu’ils ne veulent pas que cela se sache (seule l’infirmière de l’école et le meilleur ami de Ganta sont au courant). Cette attitude peut-être assez difficile à comprendre pour nous, nous n’avons pas la même pudeur par rapport au japonais, pas la même volonté de cacher nos problèmes. Isaki dit qu’elle ne veut pas « inquiéter ses copines », je ne vois pas en quoi l’insomnie pourrait déranger leurs relations ; cela vient certainement d’une différence de culture. En dehors de ce constat, l’histoire met en lumière les problèmes que provoquent les troubles du sommeil que ce soit sur la santé ou sur le relationnel. Après, Makoto Ojiro aborde ça avec une certaine légèreté, elle en profite pour exploiter les activités de nuit, pour rapprocher les protagonistes. La lecture et le graphisme sont agréables, l’histoire promet des développements et on ne s’ennuie pas un instant. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/insomniaques-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. Nickad

    Don't call it mystery tome 1

    Le concept du livre selon l’auteure : une histoire qui se passe uniquement en paroles dans un lieu fermé. Et c’est réussi ! On a un personnage principal Totonô, étudiant atypique, pas très sociable, qui se retrouve au cœur d’intrigues ou d’événements inattendus. Comme il n’a pas d’amis, de copine, ni de famille à proximité, il cogite beaucoup. Il a l’art d’aborder les faits sous un autre jour, ils poussent les autres à réfléchir, à se remettre en question, et cela va avoir des conséquences. Difficile d’en dire plus sans trop en dévoiler car on se trouve dans un contexte policier. Ce premier volume contient une histoire courte entière et le début d’une suivante. Sachez seulement qu’il y a du texte à lire et du temps à prendre pour y réfléchir. Ce manga est fait pour tous ceux qui sont adeptes d’enquêtes et de mystères, qui aiment se creuser les méninges. Le cheminement de réflexion de Totonô est travaillé, il va au-delà des déductions classiques et apporte des pensées philosophiques sur des sujets généraux tels que la Vérité ou sur des comportements humains. Un très bon 1er tome.
  15. Titre de l'album : Don't call it mystery tome 1 Scenariste de l'album : TAMURA Yumi Dessinateur de l'album : TAMURA Yumi Coloriste : Editeur de l'album : Noeve Grafx Note : Résumé de l'album : Etudiant solitaire, Totono Kuno n'aspire qu'à profiter de ses journées tranquilles en cuisinant et en observant le passage des saisons. Son quotidien est bouleversé le jour où la police se présente à sa porte. L'un de ses camarades a été assassiné et il est le seul suspect. Totono doit déployer toutes ses capacités de déduction pour lever les soupçons qui pèsent sur lui. Critique : Le concept du livre selon l’auteure : une histoire qui se passe uniquement en paroles dans un lieu fermé. Et c’est réussi ! On a un personnage principal Totonô, étudiant atypique, pas très sociable, qui se retrouve au cœur d’intrigues ou d’événements inattendus. Comme il n’a pas d’amis, de copine, ni de famille à proximité, il cogite beaucoup. Il a l’art d’aborder les faits sous un autre jour, ils poussent les autres à réfléchir, à se remettre en question, et cela va avoir des conséquences. Difficile d’en dire plus sans trop en dévoiler car on se trouve dans un contexte policier. Ce premier volume contient une histoire courte entière et le début d’une suivante. Sachez seulement qu’il y a du texte à lire et du temps à prendre pour y réfléchir. Ce manga est fait pour tous ceux qui sont adeptes d’enquêtes et de mystères, qui aiment se creuser les méninges. Le cheminement de réflexion de Totonô est travaillé, il va au-delà des déductions classiques et apporte des pensées philosophiques sur des sujets généraux tels que la Vérité ou sur des comportements humains. Un très bon 1er tome. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/dont-call-it-mystery-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. En lisant le début de la série, j’ai tout de suite pensé à 6eme sens, les deux sont assez proches. Ici, on a une lycéenne Miko qui se met à voir des êtres / créatures/ esprits que personne d’autre ne semble voir. Bien qu’on ne sache pas vraiment ce que sont ces monstres, on comprend très vite qu’ils attendent quelque chose de Miko. De son côté, elle ne sait pas quoi faire, et comme elle se rend compte que les gens normaux ne les voient pas, elle essaye de faire comme si de rien était, ce qui n’est pas toujours évident. L’évolution de Miko est assez lente : dans le 1er tome elle découvre les créatures et tente de les ignorer, dans le 2eme tome, elle rencontre une jeune médium et pense qu’elle pourra enfin en parler à quelqu’un et dans le 3eme, elle commence juste à comprendre qu’elle pourrait peut-être faire quelque chose ! C’est le reproche principal de ce manga : l’auteur s’amuse plus à faire un musée des horreurs en enchainant les situations où apparaissent les monstres qu’à faire avancer l’action. Et côté monstres, il s’en donne à cœur joie : tous plus horribles les uns que les autres ! Là-dessus, chapeau pour l’imagination et le rendu graphique. Pour le moment le manga n’est pas désagréable, malgré quelques longueurs dues à l’accumulation des apparitions. A noter que le prénom de l’héroïne Miko désigne parfois dans la littérature japonaise les prêtresses qui combattent les mauvais esprits, démons ou fantômes, le choix n’est donc pas anodin.
  17. Titre de l'album : Mieruko-Chan - slice of horror tome 3 Scenariste de l'album : IZUMI Tomoki Dessinateur de l'album : IZUMI Tomoki Coloriste : Editeur de l'album : Ototo Note : Résumé de l'album : Miko continue sa vie de lycéenne en employant toutes ses forces à ignorer les êtres que les gens normaux ne peuvent pas voir. Un professeur remplaçant est temporairement affecté à sa classe : il s’agit de Zen Tôno, un jeune homme entouré d’étranges créatures. Est-ce que ce dernier ne va pas créer encore plus de chaos dans la vie de celle qui peut les « voir »… ? Critique : En lisant le début de la série, j’ai tout de suite pensé à 6eme sens, les deux sont assez proches. Ici, on a une lycéenne Miko qui se met à voir des êtres / créatures/ esprits que personne d’autre ne semble voir. Bien qu’on ne sache pas vraiment ce que sont ces monstres, on comprend très vite qu’ils attendent quelque chose de Miko. De son côté, elle ne sait pas quoi faire, et comme elle se rend compte que les gens normaux ne les voient pas, elle essaye de faire comme si de rien était, ce qui n’est pas toujours évident. L’évolution de Miko est assez lente : dans le 1er tome elle découvre les créatures et tente de les ignorer, dans le 2eme tome, elle rencontre une jeune médium et pense qu’elle pourra enfin en parler à quelqu’un et dans le 3eme, elle commence juste à comprendre qu’elle pourrait peut-être faire quelque chose ! C’est le reproche principal de ce manga : l’auteur s’amuse plus à faire un musée des horreurs en enchainant les situations où apparaissent les monstres qu’à faire avancer l’action. Et côté monstres, il s’en donne à cœur joie : tous plus horribles les uns que les autres ! Là-dessus, chapeau pour l’imagination et le rendu graphique. Pour le moment le manga n’est pas désagréable, malgré quelques longueurs dues à l’accumulation des apparitions. A noter que le prénom de l’héroïne Miko désigne parfois dans la littérature japonaise les prêtresses qui combattent les mauvais esprits, démons ou fantômes, le choix n’est donc pas anodin. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mieruko-chan-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. Les carnets de l’apothicaire se déroulent dans la cour intérieure du palais impérial, la cour où vivent les concubines de l’empereur, leurs suivantes et tout le personnel dédié au fonctionnement du palais. Mao Mao, apprentie apothicaire, se retrouve malgré elle à devoir travailler dans cet endroit, si elle essaye de se faire discrète, elle ne peut s’empêcher d’agir quand les problèmes de maladies surgissent. Le manga n’est pas sans rappeler le très beau film épouses et concubines, nous assistons ici au quotidien de ces femmes, à leurs conditions de vie selon leur statut, aux intrigues de la cour, aux rivalités. Il y a en même temps un côté historique et un côté policier car les malveillances sont régulières dans un tel environnement : Mao Mao observe, examine, émet des théories, cherche à comprendre. Si l’action se situe principalement (pour ces 3 premiers tomes) au cœur du palais impérial, les auteurs nous font aussi découvrir d’autres lieux tel que le quartier des plaisirs. Ce début de série est très prenant, on a une héroïne intelligente et attachante, un cadre original, des personnages mystérieux, des coutumes à découvrir… La lecture est fluide, le graphisme agréable, rien à critiquer. Laissez-vous tenter ! 7 volumes en cours https://youtu.be/c7iYyfpsJPU
  19. Titre de l'album : Les carnets de l'apothicaire tomes 1, 2 et 3 Scenariste de l'album : ITSUKI Nanao Dessinateur de l'album : NEKOKURAGE Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : À 17 ans, Mao Mao a une vie compliquée. Formée dès son jeune âge par un apothicaire du quartier des plaisirs, elle se retrouve enlevée et vendue comme servante dans le quartier des femmes du palais impérial ! Entouré de hauts murs, il est coupé du monde extérieur. Afin de survivre dans cette prison de luxe grouillant de complots et de basses manœuvres, la jeune fille tente de cacher ses connaissances pour se fondre dans la masse. Mais, quand les morts suspectes de princes nouveau-nés mettent la cour en émoi, sa passion pour les poisons prend le dessus. Elle observe, enquête... et trouve la solution ! En voulant bien faire, la voilà repérée... Jinshi, haut fonctionnaire aussi beau que calculateur, devine son talent et la promeut goûteuse personnelle d'une des favorites de l'empereur. Au beau milieu de ce nid de serpents, le moindre faux pas peut lui être fatal ! Découvrez la face cachée du lieu le plus secret de la cité impériale ! Dans ce monde de femmes régi par les hommes, Mao Mao aura besoin de toute son intelligence et de tout son savoir pour démêler les intrigues de la cour... Avec son héroïne hors norme et ses décors magnifiques, ce manga événement adapté d'un roman à succès a tout pour plaire ! Et vous, aurez-vous le courage de goûter à ses délices ? Critique : Les carnets de l’apothicaire se déroulent dans la cour intérieure du palais impérial, la cour où vivent les concubines de l’empereur, leurs suivantes et tout le personnel dédié au fonctionnement du palais. Mao Mao, apprentie apothicaire, se retrouve malgré elle à devoir travailler dans cet endroit, si elle essaye de se faire discrète, elle ne peut s’empêcher d’agir quand les problèmes de maladies surgissent. Le manga n’est pas sans rappeler le très beau film épouses et concubines, nous assistons ici au quotidien de ces femmes, à leurs conditions de vie selon leur statut, aux intrigues de la cour, aux rivalités. Il y a en même temps un côté historique et un côté policier car les malveillances sont régulières dans un tel environnement : Mao Mao observe, examine, émet des théories, cherche à comprendre. Si l’action se situe principalement (pour ces 3 premiers tomes) au cœur du palais impérial, les auteurs nous font aussi découvrir d’autres lieux tel que le quartier des plaisirs. Ce début de série est très prenant, on a une héroïne intelligente et attachante, un cadre original, des personnages mystérieux, des coutumes à découvrir… La lecture est fluide, le graphisme agréable, rien à critiquer. Laissez-vous tenter ! 7 volumes en cours https://youtu.be/c7iYyfpsJPU Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-carnets-de-l-apothicaire-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Nickad

    Souvenirs en bataille

    L’auteur revient sur ses rapports avec sa grand-mère qui l’a élevé, il se remémore son enfance et surtout leurs relations quand il a commencé à travailler, quand elle est devenue sénile, quand la démence est arrivée. Au travers de ces moments difficiles, il décrit son ignorance et son incompréhension par rapport à la maladie, il montre les difficultés pour l’entourage, pour l’accompagnement des personnes âgées. Il a choisi de se représenter avec une drôle de tête qui lui permet de mieux faire ressortir ses émotions mais aussi de mettre en valeur l’humanité de sa grand-mère. C’est un sujet difficile de parler de la vieillesse et de la démence, le livre est émouvant mais nous montre aussi les difficultés à vivre une telle situation que ce soit pour le malade ou la famille. Il montre aussi la méconnaissance et l’isolement. Ce manga est touchant car il nous met face à une réalité que l’on préférerait éviter, il n’est pas facile de se dire que cela pourrait nous arriver. extrait : Souvenirs en bataille - AKATA (akazoom.fr)
  21. Titre de l'album : Souvenirs en bataille Scenariste de l'album : SHIKABANE Sensei Dessinateur de l'album : SHIKABANE Sensei Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : Shikabane n’a jamais connu sa mère. Abandonné par son père, c’est aux côtés de sa grand-mère qu’il vivait, enfant, dans la pauvreté. Mais grâce à la bonté de cette dernière, malgré un quotidien difficile et les propos blessants de ses camarades, il a réussi à grandir et se construire. Devenu adulte, il croyait enfin pouvoir profiter de la vie. Hélas, quand sa grand- mère semble montrer des signes de démence sénile, Shikabane perd pied et ne sait pas comment réagir. Critique : L’auteur revient sur ses rapports avec sa grand-mère qui l’a élevé, il se remémore son enfance et surtout leurs relations quand il a commencé à travailler, quand elle est devenue sénile, quand la démence est arrivée. Au travers de ces moments difficiles, il décrit son ignorance et son incompréhension par rapport à la maladie, il montre les difficultés pour l’entourage, pour l’accompagnement des personnes âgées. Il a choisi de se représenter avec une drôle de tête qui lui permet de mieux faire ressortir ses émotions mais aussi de mettre en valeur l’humanité de sa grand-mère. C’est un sujet difficile de parler de la vieillesse et de la démence, le livre est émouvant mais nous montre aussi les difficultés à vivre une telle situation que ce soit pour le malade ou la famille. Il montre aussi la méconnaissance et l’isolement. Ce manga est touchant car il nous met face à une réalité que l’on préférerait éviter, il n’est pas facile de se dire que cela pourrait nous arriver. extrait : Souvenirs en bataille - AKATA (akazoom.fr) Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/souvenirs-en-bataille?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. Nickad

    Made in Abyss tome 9

    Quelque part au milieu de l’océan, se trouve une ile spéciale et sur cette ile se trouve l’entrée de l’Abysse : un gouffre énorme qui aurait abrité une ancienne civilisation avancée. Les aventuriers se sont établis au bord du gouffre, ont fondé une ville, ne vivent que par et pour l’Abysse à la recherche de reliques. Seules les personnes habilitées « les caverniers » peuvent y descendre mais comme les dangers y sont nombreux (plantes vénéneuses et animaux hostiles), chaque niveau n’est accessible qu’en fonction de ses capacités : chaque cavernier a ainsi une couleur de sifflet attribuée, les plus expérimentés et donc ceux qui peuvent descendre le plus profond sont appelées les sifflets blancs. Rico vit dans un orphelinat, sa mère sifflet blanc est portée disparue et considérée comme morte. Rico n’y croit pas et décide de partir à sa recherche avec l’aide de son ami Legu. Les deux enfants vont donc s’aventurer dans l’Abysse l’une pour retrouver sa mère et l’autre pour découvrir ses origines. Si à la vue des couvertures le manga semble tout mignon, il n’en est rien car l’Abysse est effrayant, il y a un prix pour s’y aventurer, chaque niveau à sa malédiction, et passé un certain stade, il n’y a plus de retour possible. Si Made in Abyss détonne dans le paysage manga de par son originalité et la richesse de son univers, il est par moment difficile d’accès de par sa complexité. L’auteur a vraiment crée un nouveau monde, de nouvelles créatures, de nouveaux mots et il faut prendre son temps. Tout le passage dans le village d’Ilbru (tomes 7 à 9) est dense. Le graphisme semble parfois fouillis et on a l’impression que cela part dans tous les sens. En cela regarder l’anime peut aider au départ. Mais attention, il n’est pas à mettre entre les mains des plus jeunes car il y a des scènes très violentes, c’est un peu comme si à chaque niveau de l’Abysse, on descendait dans les ténèbres de l’âme humaine. Il y a un étrange mélange entre douceur (rendue par le design très kawaii des enfants) et l’univers très sombre du gouffre. A découvrir absolument. (image en noir et blanc le livre, an couleur l'anime)
  23. Titre de l'album : Made in Abyss tome 9 Scenariste de l'album : TSUKUSHI Akihito Dessinateur de l'album : TSUKUSHI Akihito Coloriste : Editeur de l'album : Ototo Note : Résumé de l'album : Grâce à Veko, Rico connait désormais l'abominable origine d'Ilbru et le sacrifice d'Ilmyhui. Afin de racheter Nanachi à Belaf, prisonnier de drôles de songes aux côtés d'une réplique de Meethi, elle a chargé Légu de rapporter un morceau de Faputa au village. Toutefois, alors qu'il revient victorieux, Ilbru tout entier se met à trembler et rugir... Que pense Ilmyhui de l'arrivée de ces lambeaux de chair arrachés à sa fille ? Et surtout, à quel prix Légu est-il parvenu à les obtenir ? Critique : Quelque part au milieu de l’océan, se trouve une ile spéciale et sur cette ile se trouve l’entrée de l’Abysse : un gouffre énorme qui aurait abrité une ancienne civilisation avancée. Les aventuriers se sont établis au bord du gouffre, ont fondé une ville, ne vivent que par et pour l’Abysse à la recherche de reliques. Seules les personnes habilitées « les caverniers » peuvent y descendre mais comme les dangers y sont nombreux (plantes vénéneuses et animaux hostiles), chaque niveau n’est accessible qu’en fonction de ses capacités : chaque cavernier a ainsi une couleur de sifflet attribuée, les plus expérimentés et donc ceux qui peuvent descendre le plus profond sont appelées les sifflets blancs. Rico vit dans un orphelinat, sa mère sifflet blanc est portée disparue et considérée comme morte. Rico n’y croit pas et décide de partir à sa recherche avec l’aide de son ami Legu. Les deux enfants vont donc s’aventurer dans l’Abysse l’une pour retrouver sa mère et l’autre pour découvrir ses origines. Si à la vue des couvertures le manga semble tout mignon, il n’en est rien car l’Abysse est effrayant, il y a un prix pour s’y aventurer, chaque niveau à sa malédiction, et passé un certain stade, il n’y a plus de retour possible. Si Made in Abyss détonne dans le paysage manga de par son originalité et la richesse de son univers, il est par moment difficile d’accès de par sa complexité. L’auteur a vraiment crée un nouveau monde, de nouvelles créatures, de nouveaux mots et il faut prendre son temps. Tout le passage dans le village d’Ilbru (tomes 7 à 9) est dense. Le graphisme semble parfois fouillis et on a l’impression que cela part dans tous les sens. En cela regarder l’anime peut aider au départ. Mais attention, il n’est pas à mettre entre les mains des plus jeunes car il y a des scènes très violentes, c’est un peu comme si à chaque niveau de l’Abysse, on descendait dans les ténèbres de l’âme humaine. Il y a un étrange mélange entre douceur (rendue par le design très kawaii des enfants) et l’univers très sombre du gouffre. A découvrir absolument. (image en noir et blanc le livre, en couleur l'anime) Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/made-in-abyss-tome-9?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. Nickad

    Papa est une licorne

    Issei, lycéen, se retrouve à devoir cohabiter du jour au lendemain avec son nouveau beau-père qui est une licorne ! Cette licorne peut se transformer en humain et il prend alors l’apparence d’un bel homme blond (un étranger pour les japonais). Au travers de situations plus ou moins humoristiques, l’auteur parle des familles recomposées, de l’acceptation des étrangers (sujet assez sensible au Japon), des différences de cultures et d’éducation, des problèmes de voisinage… Ici, comme on a affaire à une licorne, tout est un peu extrême : du foin au petit déjeuner, du repassage avec les sabots, une boisson préparée avec une corne… C’est une one shot divertissant et drôle, on peut réfléchir aux thèmes abordés ou on peut tout simplement en profiter sans se poser de questions. En tout cas, c’est une lecture rafraichissante qui vous fera passer un bon moment.
  25. Titre de l'album : Papa est une licorne Scenariste de l'album : SUZUKI Monaka Dessinateur de l'album : SUZUKI Monaka Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : Quand on est adolescent, apprendre à vivre avec son nouveau beau-père n'est jamais facile... Issei ne l'avait pas vu venir. Quand sa mère lui annonce qu'elle va se remarier, il s'imagine le pire. Et il faut avouer qu'il avait bien raison ! Car même dans ses plus sombres cauchemars, il n'aurait jamais pu imaginer une chose : Masaru, son beau-père n'est autre... qu'un(e) licorne ? !! Ce dernier est bien décidé à être le mari au foyer parfait ainsi qu'un super papa. Un nouveau quotidien magique (ou pas ? ) commence alors pour Issei... Critique : Issei, lycéen, se retrouve à devoir cohabiter du jour au lendemain avec son nouveau beau-père qui est une licorne ! Cette licorne peut se transformer en humain et il prend alors l’apparence d’un bel homme blond (un étranger pour les japonais). Au travers de situations plus ou moins humoristiques, l’auteur parle des familles recomposées, de l’acceptation des étrangers (sujet assez sensible au Japon), des différences de cultures et d’éducation, des problèmes de voisinage… Ici, comme on a affaire à une licorne, tout est un peu extrême : du foin au petit déjeuner, du repassage avec les sabots, une boisson préparée avec une corne… C’est une one shot divertissant et drôle, on peut réfléchir aux thèmes abordés ou on peut tout simplement en profiter sans se poser de questions. En tout cas, c’est une lecture rafraichissante qui vous fera passer un bon moment. Autres infos : Collection WTF Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mon-papa-est-une-licorne?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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