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  1. Nickad

    Ajin tome 15

    Titre de l'album : Ajin tome 15 Scenariste de l'album : SAKURAI Gamon Dessinateur de l'album : SAKURAI Gamon Coloriste : Editeur de l'album : Glenat Note : Résumé de l'album : Kei Nagai a tout parié sur un plan exécuté à la dernière minute pour coincer Sato. Le piège qui devait l'enfermer à jamais reste cependant désespérément silencieux. Alors que tout semble perdu, un personnage inattendu fait une entrée fracassante au coeur de la base en flammes... Critique : Ajin c’est un scénario original, un personnage principal un peu fade à mon gout (Nagai) mais qui n’est pas le héros. Car il n’y a pas de « bon clan » dans ce manga, chacun a des raisons d’agir qui se défendent. Mais Ajin, c’est surtout la présence forte de Sato, le « méchant » et celui qui porte l’histoire. Nagai a beau échafauder des plans et penser à un maximum de possibilités, Sato déjoue tous les pronostics et nous surprend régulièrement. Si parfois, j’ai trouvé que certains tomes étaient moins aboutis, j’ai vraiment été estomaquée dans ce volume, genre « quoi ??!! non mais t’as vu ça ? incroyable ! Ouahh ! » Voilà un manga qui mérite le détour et qui promet encore des moments palpitants !! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ajin-tome-15?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. Nickad

    Chacun ses gouts tome 1

    Haru est une otaku qui s’affirme comme telle et le revendique, elle ne comprend pas que les autres essayent de la changer, elle est heureuse comme ça. Sauf que de temps en temps, elle arrive à saturation et va noyer son trop plein dans un restaurant. C’est là qu’elle va rencontrer AO, un homme effeminé, les verres aidant, ils finissent par décider de se lancer dans une cohabitation. A première vue, ils n’ont rien en commun et vont devoir apprendre à vivre ensemble, leur complicité va se développer au fur et à mesure du manga et surtout au travers une règle qu’ils ont établie : une fois par semaine, préparer un bento pour l’autre. Difficile de savoir si le plus important est le côté cuisine (il y a une recette à chaque chapitre) ou la relation entre les personnages. Mais après tout peu importe, car au travers de l’histoire, l’auteur aborde plusieurs sujets de société sans trop épiloguer toutefois : la compréhension des otaku (leur mode de vie, leur perception du quotidien…), l’intégration de personnes hors norme, la vie en société, l’acceptation de l’autre… Le côté « cuisine » permet de parler de tout ça avec une certaine légèreté, Haru est particulièrement positive et nous permet de voir les choses du bon côté. Un manga plaisant qui donne envie de cuisiner.
  3. Titre de l'album : Chacun ses gouts tome 1 Scenariste de l'album : MACHITA Dessinateur de l'album : MACHITA Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Haru est une jeune fille otaku qui n'a aucun intérêt pour les relations humaines. Elle travaille et consacre son temps libre et son argent à sa passion. Un soir, dans un café et après une soirée arrosée, elle rencontre une très belle femme, Ao. Elle se révèle être un homme travesti. Ao va lui qui fait prendre conscience à la fois qu'elle n'a pas à avoir honte de son côté otaku et qu'elle peut vivre comme elle en a envie mais aussi que cela ne doit pas l'empêcher de faire attention à elle ! Ao aide Haru à changer son point de vue sur elle-même et sur les autres. Ils s'entendent si bien qu'ils décident de vivre en collocation. L'une des règles de leur coloc' : chaque semaine, ils doivent préparer un bento l'un pour l'autre. Critique : Haru est une otaku qui s’affirme comme telle et le revendique, elle ne comprend pas que les autres essayent de la changer, elle est heureuse comme ça. Sauf que de temps en temps, elle arrive à saturation et va noyer son trop plein dans un restaurant. C’est là qu’elle va rencontrer AO, un homme effeminé, les verres aidant, ils finissent par décider de se lancer dans une cohabitation. A première vue, ils n’ont rien en commun et vont devoir apprendre à vivre ensemble, leur complicité va se développer au fur et à mesure du manga et surtout au travers une règle qu’ils ont établie : une fois par semaine, préparer un bento pour l’autre. Difficile de savoir si le plus important est le côté cuisine (il y a une recette à chaque chapitre) ou la relation entre les personnages. Mais après tout peu importe, car au travers de l’histoire, l’auteur aborde plusieurs sujets de société sans trop épiloguer toutefois : la compréhension des otaku (leur mode de vie, leur perception du quotidien…), l’intégration de personnes hors norme, la vie en société, l’acceptation de l’autre… Le côté « cuisine » permet de parler de tout ça avec une certaine légèreté, Haru est particulièrement positive et nous permet de voir les choses du bon côté. Un manga plaisant qui donne envie de cuisiner. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/chacun-ses-gouts-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. Nickad

    Moi, Sherlock tome 1

    Forcément une nouvelle adaptation de Sherlock Holmes ça attire l’attention, donc je me lance dans la lecture entre bonheur parce que j’adore cet univers et appréhension, car beaucoup de choses ont déjà été explorées, alors que faire de nouveau ? Quand la série Sherlock est sortie, j’ai trouvé que c’était bien fait, habilement transposé dans notre époque moderne tout en gardant le caractère des personnages, ici, l’auteur va encore plus loin (temporellement parlant), on est dans une époque futuriste avec réalité virtuelle, androïdes, moult réseaux sociaux…. Sherlock est un androïde, mais un modèle unique, non connecté à internet (car « le net regorge de données fausses »), il a bien sûr des capacités d’analyse hors du commun et des logiciels avancés mais il a surtout la capacité d’apprendre par lui-même. Et pour en savoir plus sur la nature humaine et tous ses petits défauts qui font que nous ne sommes pas toujours cohérents, il va cohabiter avec Watson qui est selon ses informations « le plus grand raté de tout Londres » et surtout totalement imprévisible. La trame de l’histoire suit globalement l’œuvre originale et débute par « une étude en rouge », la différence (en dehors du contexte futuriste), vient du caractère des personnages Sherlock est une IA qui va évoluer progressivement et Watson, une sorte de voyou rebelle. Je trouve que la résolution des enquêtes est un peu trop facile, Sherlock peut se connecter aux différents appareils sur les lieux (caméras, ordinateurs…) et a des logiciels d’analyse plus que performants. L’intérêt se situe ailleurs : d’abord, il faut souligner le travail des auteurs que ce soit pour le rendu graphique de tout ce qui relève du virtuel et aussi pour la modernisation des histoires (utilisation de nouvelles technologies et motivations des personnages). Ensuite, il y a la thématique sur l’évolution de l’Intelligence Artificielle et les relations qui en découle avec les humains. Un premier tome plutôt réussi. Série finie en 4 tomes.
  5. Titre de l'album : Moi, Sherlock tome 1 Scenariste de l'album : IO Naomichi Dessinateur de l'album : TAKATA Kotaro Coloriste : Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Le détective le plus connu de tous les temps est de retour accompagné de son fidèle acolyte Watson ! Les deux comparses vont être confrontés à des affaires aux frontières du réel. Heureusement, la logique implacable de Sherlock sera là pour démêler le vrai du faux. Dans cette histoire, l'intelligence, le flegme et la froideur de Sherlock sont poussés à son paroxysme car il est un androïde ! Critique : Forcément une nouvelle adaptation de Sherlock Holmes ça attire l’attention, donc je me lance dans la lecture entre bonheur parce que j’adore cet univers et appréhension, car beaucoup de choses ont déjà été explorées, alors que faire de nouveau ? Quand la série Sherlock est sortie, j’ai trouvé que c’était bien fait, habilement transposé dans notre époque moderne tout en gardant le caractère des personnages, ici, l’auteur va encore plus loin (temporellement parlant), on est dans une époque futuriste avec réalité virtuelle, androïdes, moult réseaux sociaux…. Sherlock est un androïde, mais un modèle unique, non connecté à internet (car « le net regorge de données fausses »), il a bien sûr des capacités d’analyse hors du commun et des logiciels avancés mais il a surtout la capacité d’apprendre par lui-même. Et pour en savoir plus sur la nature humaine et tous ses petits défauts qui font que nous ne sommes pas toujours cohérents, il va cohabiter avec Watson qui est selon ses informations « le plus grand raté de tout Londres » et surtout totalement imprévisible. La trame de l’histoire suit globalement l’œuvre originale et débute par « une étude en rouge », la différence (en dehors du contexte futuriste), vient du caractère des personnages Sherlock est une IA qui va évoluer progressivement et Watson, une sorte de voyou rebelle. Je trouve que la résolution des enquêtes est un peu trop facile, Sherlock peut se connecter aux différents appareils sur les lieux (caméras, ordinateurs…) et a des logiciels d’analyse plus que performants. L’intérêt se situe ailleurs : d’abord, il faut souligner le travail des auteurs que ce soit pour le rendu graphique de tout ce qui relève du virtuel et aussi pour la modernisation des histoires (utilisation de nouvelles technologies et motivations des personnages). Ensuite, il y a la thématique sur l’évolution de l’Intelligence Artificielle et les relations qui en découle avec les humains. Un premier tome plutôt réussi. Série finie en 4 tomes. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/moi-sherlock-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. Nickad

    Jormungand tome 8

    Dans Jormungand, on suit la vie de Koko une vendeuse d’armes et de ses gardes du corps. Qu’ils soient d’anciens militaires, agents secrets ou même enfant soldat, chacun a ses raisons de la suivre. Chaque volume permet d’approfondir un personnage différent, d’en apprendre plus sur son passé et ses objectifs. L’histoire se fait au rythme des missions du groupe, et se rapproche vers un projet final dont on ignore encore tout. Jormungand, c’est un univers atypique, bourré d’actions, mais où on nous rappelle à chaque instant que les personnages ne sont pas gentils et qu’il n’y en a pas vraiment. C’est une ambiance assez froide où l’on suit à la fois la vendeuse d’armes aux motivations ambigües et Jonah, enfant soldat qui déteste les armes, au milieu de conflits militaires et politiques. Il faut prendre le manga comme une distraction car l’auteur ne fait pas de débat autour du métier de vendeur d’armes, il n’y a pas de propos philosophique. Côté action, il n’y a rien à redire, les scènes de fusillades, d’embuscades ou d’explosions ne manquent pas et sont plutôt bien faites. Série finie en 11 tomes.
  7. Nickad

    Jormungand tome 8

    Titre de l'album : Jormungand tome 8 Scenariste de l'album : TAKAHASHI Keitarô Dessinateur de l'album : TAKAHASHI Keitarô Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : R se révéla être un agent de la CIA envoyé par Bookman dans le cadre du projet Undershaft qui avait pour but d'amadouer la jeune Koko Hekmatyar. Il mourut en tentant de protéger cette dernière. Le coeur brisé, Koko poursuit son chemin vers sa nouvelle destination... Série terminée au Japon, Jormungand est un titre complet qui nous plonge dans un univers froid et sans pitié, même lorsqu'on est un enfant. Le caractère indifférent mais naïf de Jonah nous offre un contraste net entre le danger d'être marchande d'armes et la vie quotidienne lorsqu'on est un enfant. Jonah devra apprendre à parler anglais, résoudre des équations et vivre comme un enfant en dépit du fait que ce soit un soldat... Critique : Dans Jormungand, on suit la vie de Koko une vendeuse d’armes et de ses gardes du corps. Qu’ils soient d’anciens militaires, agents secrets ou même enfant soldat, chacun a ses raisons de la suivre. Chaque volume permet d’approfondir un personnage différent, d’en apprendre plus sur son passé et ses objectifs. L’histoire se fait au rythme des missions du groupe, et se rapproche vers un projet final dont on ignore encore tout. Jormungand, c’est un univers atypique, bourré d’actions, mais où on nous rappelle à chaque instant que les personnages ne sont pas gentils et qu’il n’y en a pas vraiment. C’est une ambiance assez froide où l’on suit à la fois la vendeuse d’armes aux motivations ambigües et Jonah, enfant soldat qui déteste les armes, au milieu de conflits militaires et politiques. Il faut prendre le manga comme une distraction car l’auteur ne fait pas de débat autour du métier de vendeur d’armes, il n’y a pas de propos philosophique. Côté action, il n’y a rien à redire, les scènes de fusillades, d’embuscades ou d’explosions ne manquent pas et sont plutôt bien faites. Série finie en 11 tomes. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/jormungand-tome-8?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. Nickad

    Corps solitaires tome 1

    Ce manga est à destination de lecteurs plus matures, non pas parce qu’il est rempli de scènes osées (il n’y en a pas d’ailleurs) mais parce qu’il met à nu les sentiments et les questionnements d’un jeune couple. Mariés depuis quelques années, Michi et son mari n’ont plus de relations intimes. A quoi est-ce dû ? Haru Haruno met en avant les interrogations que tout couple est potentiellement amener à se poser, que faire quand il n’y a plus de désir, quand les époux n’ont plus les mêmes envies, est-ce que l’amour dans sa forme la plus sentimentale peut suffire. ? Si dans ce premier tome, c’est surtout le ressenti de l’épouse qui est mis en avant, le point de vue du mari est aussi analysé. Il n’y a pas de parti pris, l’auteure décrit les sentiments de ses personnages avec beaucoup de justesse et de sensibilité. Un manga touchant
  9. Titre de l'album : Corps solitaires tome 1 Scenariste de l'album : HARUNO Haru Dessinateur de l'album : HARUNO Haru Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Michi a 32 ans. Sa relation avec son mari n'est pas mauvaise mais une seule chose fait défaut : cela fait 2 ans qu'ils n'ont plus de relations sexuelles. Lors d'une soirée entre collègues, elle se confie à l'un deux. Makoto a le même problème mais c'est sa femme qui ne semble plus avoir de désir pour lui... Pouvoir en parler permet à Michi de reprendre espoir et de se lancer dans la reconquête de son mari... Critique : Ce manga est à destination de lecteurs plus matures, non pas parce qu’il est rempli de scènes osées (il n’y en a pas d’ailleurs) mais parce qu’il met à nu les sentiments et les questionnements d’un jeune couple. Mariés depuis quelques années, Michi et son mari n’ont plus de relations intimes. A quoi est-ce dû ? Haru Haruno met en avant les interrogations que tout couple est potentiellement amener à se poser, que faire quand il n’y a plus de désir, quand les époux n’ont plus les mêmes envies, est-ce que l’amour dans sa forme la plus sentimentale peut suffire. ? Si dans ce premier tome, c’est surtout le ressenti de l’épouse qui est mis en avant, le point de vue du mari est aussi analysé. Il n’y a pas de parti pris, l’auteure décrit les sentiments de ses personnages avec beaucoup de justesse et de sensibilité. Un manga touchant Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/corps-solitaires-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. Au 19eme siècle, en Europe, l’état militariste du WEIβEN décide d’envoyer le commandant Baltzar dans l’état voisin du Baselland afin de les aider à réformer leur système militaire et rattraper leur retard technologique. Il se retrouve dans une école militaire à devoir enseigner à de futurs officiers mais surtout à déterminer la situation exacte du pays allié. Il va se retrouver au cœur de relations politiques, que ce soit au Baselland ou dans son propre pays, il va très vitre comprendre qu’il y a des manigances un peu partout et découvrir que les vrais ennemis ne sont pas toujours ceux que l’on croit. Entre son devoir envers son pays et son attachement à ses élèves, Baltzar va devoir prendre des décisions sans savoir à qui se fier. Il est cependant obligé d’obéir aux ordres et se retrouve éloigné de l’école. Même si parfois il y a pas mal de texte afin de comprendre toute la situation entre les différents protagonistes, l’histoire est bien menée et ne manque de rebondissements. L’action se déroule sur plusieurs niveaux : école, politique, champs de guerre, complots, relations avec les civils… Un univers complet et riche qui ne manque pas d’intérêt et qui donne envie de connaître la suite !
  11. Titre de l'album : Baltzar - La guerre dans le sang tome 7 Scenariste de l'album : Nakajima Michitsune Dessinateur de l'album : Nakajima Michitsune Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Liebknecht conduit Baltzar à une entrevue secrète avec l'Impératrice et le prince Theodore. Le voeu le plus cher de la souveraine étant de rapprocher leurs trois pays, celle-ci compte marier chaque prince du Baselland à une princesse d'un pays voisin. Elle demande donc à Baltzar de persuader le prince August d'épouser une jeune princesse d'Erzreich. Une mission presque impossible, surtout que Baltzar est surveillé de près par les deux jeunes espions du Chef d'État-Major. Critique : Au 19eme siècle, en Europe, l’état militariste du WEIβEN décide d’envoyer le commandant Baltzar dans l’état voisin du Baselland afin de les aider à réformer leur système militaire et rattraper leur retard technologique. Il se retrouve dans une école militaire à devoir enseigner à de futurs officiers mais surtout à déterminer la situation exacte du pays allié. Il va se retrouver au cœur de relations politiques, que ce soit au Baselland ou dans son propre pays, il va très vitre comprendre qu’il y a des manigances un peu partout et découvrir que les vrais ennemis ne sont pas toujours ceux que l’on croit. Entre son devoir envers son pays et son attachement à ses élèves, Baltzar va devoir prendre des décisions sans savoir à qui se fier. Il est cependant obligé d’obéir aux ordres et se retrouve éloigné de l’école. Même si parfois il y a pas mal de texte afin de comprendre toute la situation entre les différents protagonistes, l’histoire est bien menée et ne manque de rebondissements. L’action se déroule sur plusieurs niveaux : école, politique, champs de guerre, complots, relations avec les civils… Un univers complet et riche qui ne manque pas d’intérêt et qui donne envie de connaître la suite ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/baltzar-la-guerre-dans-le-sang-tome-7?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. Nickad

    Brisée par ton amour... tome 1

    Plus que l’histoire d’amour, qui est juste naissante dans ce tome, c’est la souffrance de Kanae qui est mise en avant. Kanae ne trouve sa place nulle part, ni au lycée où elle ne peut pas être elle-même de peur d’être mise à l’écart (ce qui lui est déjà arrivé au collège où elle a subi des brimades), ni chez elle, où elle semble incomprise. Cette jeune fille souffre énormément et l’auteur a très bien su s’y prendre pour nous le faire ressentir. C’est une histoire dure, poignante, qui ne laisse pas insensible et qui dépeint parfaitement les traumatismes laissés par le harcèlement Pour public averti.
  13. Titre de l'album : Brisée par ton amour... tome 1 Scenariste de l'album : Shiruka Bakaudon Dessinateur de l'album : Shiruka Bakaudon Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Victime de harcèlement scolaire pendant ses années au collège, Kanae est maintenant lycéenne. Encore traumatisée, elle est très sensible sur ce que pense d'elle ses camarades de classe. Hors du lycée, elle assouvit son désir de reconnaissance en entretenant des relations payées avec des hommes plus âgés. Un jour, lors d'une sortie dans un karaoké, elle fait la rencontre de Hiroshi. Mais ce dernier va la surprendre avec l'un de ses clients. Cela ne va pas l'empêcher de se montrer gentil, et Kanae va tomber amoureuse de lui. Cet amour va marquer le début de nombreux événements tragiques... Critique : Plus que l’histoire d’amour, qui est juste naissante dans ce tome, c’est la souffrance de Kanae qui est mise en avant. Kanae ne trouve sa place nulle part, ni au lycée où elle ne peut pas être elle-même de peur d’être mise à l’écart (ce qui lui est déjà arrivé au collège où elle a subi des brimades), ni chez elle, où elle semble incomprise. Cette jeune fille souffre énormément et l’auteur a très bien su s’y prendre pour nous le faire ressentir. C’est une histoire dure, poignante, qui ne laisse pas insensible et qui dépeint parfaitement les traumatismes laissés par le harcèlement Pour public averti. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/brisee-par-ton-amour-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. Nickad

    Nosferatu tome 1

    Souvent repris dans les shojos de façon classique, nous avons affaire ici à une revisite du genre : pas de vampires buveurs de sang ou torturés par l’idée d’en boire, pas de jeune fille éperdument amoureuse du vampire… Nous sommes dans une époque moyenâgeuse, où l’église à une très forte influence et où les conflits entre les races (humains et Nosferatus) sont usuels. Alors qu’est-ce qui fait l’originalité de ce manga ? Et bien d’abord, nous avons une héroïne, ce qui n’est pas si courant dans ce genre d’histoire, ensuite elle est amnésique et découvre qu’elle est une nosferatu. Mais qu’est-ce donc qu’un nosferatu ? Et bien, tout comme Laura, on va le découvrir au fur et à mesure de ses recherches, ce qui crée une sorte de complicité entre l’héroïne et le lecteur et enfin, ici ce sont les humains qui peuvent être assoiffés de sang. Ce premier tome est plutôt intéressant, il ne manque pas d’actions et annonce plusieurs affrontements futurs. La lecture est facile et le dessin bien travaillé avec suffisamment de détails, attention certains passages sont violents. Je regrette toutefois le manque de caractère des personnages car pour le moment, on ne s’y attache pas. A suivre donc.
  15. Nickad

    Nosferatu tome 1

    Titre de l'album : Nosferatu tome 1 Scenariste de l'album : SHINJIRO Dessinateur de l'album : SHINJIRO Coloriste : Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Face à des créatures diaboliques à visage humain, une jeune guerrière va se dresser face à eux. Mais parfois, seul le Mal peut contrer le Mal. Les nosferatus, derrière leurs visages humains, font perdre la raison à toutes les créatures qui les approchent. Laura, découvre un village infecté et ne survit que grâce à l'intervention d'Arnold, un homme d'église chargé de purger les populations concernées. Bientôt elle découvre l'atroce vérité : Arnold est un nosferatu qui peut massacrer librement des cités entières. Elle doit trouver un moyen de l'arrêter. Critique : Souvent repris dans les shojos de façon classique, nous avons affaire ici à une revisite du genre : pas de vampires buveurs de sang ou torturés par l’idée d’en boire, pas de jeune fille éperdument amoureuse du vampire… Nous sommes dans une époque moyenâgeuse, où l’église à une très forte influence et où les conflits entre les races (humains et Nosferatus) sont usuels. Alors qu’est-ce qui fait l’originalité de ce manga ? Et bien d’abord, nous avons une héroïne, ce qui n’est pas si courant dans ce genre d’histoire, ensuite elle est amnésique et découvre qu’elle est une nosferatu. Mais qu’est-ce donc qu’un nosferatu ? Et bien, tout comme Laura, on va le découvrir au fur et à mesure de ses recherches, ce qui crée une sorte de complicité entre l’héroïne et le lecteur et enfin, ici ce sont les humains qui peuvent être assoiffés de sang. Ce premier tome est plutôt intéressant, il ne manque pas d’actions et annonce plusieurs affrontements futurs. La lecture est facile et le dessin bien travaillé avec suffisamment de détails, attention certains passages sont violents. Je regrette toutefois le manque de caractère des personnages car pour le moment, on ne s’y attache pas. A suivre donc. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/nosferatu-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. Plus qu’une critique du tome c’est plutôt une mise en garde que j’ai à faire car il faut l’aborder avec précautions : pas pour son contenu mais plutôt pour ce que cela implique. Ce n’est pas tant le volume en lui-même qui est choquant car l’auteur a su garder, pour l’instant, une certaine retenue mais comment ne pas aller se renseigner sur l’histoire vraie dont est tirée l’œuvre quand le nom de la victime est clairement indiqué sur le livre ? C’est bien sûr ce que j’ai fait et je me suis sentie mal, car hélas, la réalité dépasse la fiction et cela peut-être traumatisant. Car le malaise est indéniable, il y a une incompréhension totale : mais comment la situation a-t-elle pu dégénérer à ce point ? Comment l’être humain peut en arriver à de telles extrémités ? Est-ce pour tenter d’expliquer cela que nous suivons la narration au travers des yeux d’un des coupables ? J’espère vraiment que cette approche permettra une critique de la société japonaise car entre l’indifférence des policiers, l’engrenage dans lequel se retrouve les jeunes, l’influence des clans liés aux yakuzas, la non implication des témoins, la peur d’agir, il y a de quoi se révolter. Alors oui, si c’est une critique qui pointe à l’horizon pour que les choses bougent, pour que cela ne se reproduise plus jamais alors lisons ce manga car sinon, ce ne sera que du voyeurisme sordide.
  17. Titre de l'album : 17 ans - une chronique du mal tome 1 Scenariste de l'album : FUJII Seiji Dessinateur de l'album : KAMATA Yoji Coloriste : Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : Sachiko, 17 ans, est séquestrée, agressée et torturée par un groupe de garçons dont le seul but est de s'amuser. Personne ne veut la libérer par peur de faire face aux conséquences. Devant l'inaction de la police et de ses parents, sa soeur jumelle poursuit sans relâche ses recherches. Critique : Plus qu’une critique du tome c’est plutôt une mise en garde que j’ai à faire car il faut l’aborder avec précautions : pas pour son contenu mais plutôt pour ce que cela implique. Ce n’est pas tant le volume en lui-même qui est choquant car l’auteur a su garder, pour l’instant, une certaine retenue mais comment ne pas aller se renseigner sur l’histoire vraie dont est tirée l’œuvre quand le nom de la victime est clairement indiqué sur le livre ? C’est bien sûr ce que j’ai fait et je me suis sentie mal, car hélas, la réalité dépasse la fiction et cela peut-être traumatisant. Car le malaise est indéniable, il y a une incompréhension totale : mais comment la situation a-t-elle pu dégénérer à ce point ? Comment l’être humain peut en arriver à de telles extrémités ? Est-ce pour tenter d’expliquer cela que nous suivons la narration au travers des yeux d’un des coupables ? J’espère vraiment que cette approche permettra une critique de la société japonaise car entre l’indifférence des policiers, l’engrenage dans lequel se retrouve les jeunes, l’influence des clans liés aux yakuzas, la non implication des témoins, la peur d’agir, il y a de quoi se révolter. Alors oui, si c’est une critique qui pointe à l’horizon pour que les choses bougent, pour que cela ne se reproduise plus jamais alors lisons ce manga car sinon, ce ne sera que du voyeurisme sordide. Autres infos : édition naBan Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/17-ans-tome-1-une-chronique-du-mal?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. Les éditions Soleil nous proposent un titre loin de leur catalogue habituel, car oui, « dans le sens du vent » est un manga atypique. D’abord par son graphisme plutôt occidental aux personnages élancés, au trait fin et aux paysages détaillés. Après car l’action se situe en Islande et enfin car il d’un genre indéfinissable. Le manga tient à la fois du guide touristique, de l’aventure et du suspense avec une pointe de fantastique et de romance. Et c’est ce qui fait son charme, tout est lié à un équilibre subtil entre ces genres. Je me suis demandée quand j’ai lu le 1er volume ce qui se cachait derrière un tel titre et puis après la lecture, ça m’est apparu comme une évidence, car ce manga vous emporte comme le vent, il vous emmène dans un voyage où l’Islande vous accueille et vous retient car plus qu’un guide touristique c’est une expérience que vous vivez, celle de partager le ressenti des personnages. D’habitude quand je lis, je me demande ce qui va se passer, j’aperçois certains déroulés, il m’arrive même de connaître l’issue ou la finalité de l’histoire. Ici rien, pas parce l’histoire est inintéressante mais plutôt parce que je n’ai pas envie de me poser des questions tellement je m’y trouve bien. Je prends les choses comme elles viennent et je les savoure. En plus ce manga sortant des sentiers battus, qu’y a-t-il de mieux à faire que de se laisser porter ? Et puis, il y a le personnage principal, assez froid en apparence, limite associal qui nous intrigue, de même que son entourage, atypique lui-aussi. Ce 3eme tome nous permet d’en savoir un peu plus sur le frère de Kei, avec un peu moins de paysages et un peu plus de polar. Mais comme à chaque fois, rien de trop évident et pas trop d’informations d’un coup, toujours dans l’équilibre. Et comme à chaque fois aussi, arrivée à la fin, je n’ai qu’une envie : lire la suite. Un véritable coup de cœur.
  19. Titre de l'album : Dans le sens du vent - nord, nord-ouest tome 3 Scenariste de l'album : IRIE Aki Dessinateur de l'album : IRIE Aki Coloriste : Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Kei Miyama, un détective indépendant de 17 ans, vit avec son grand-père français en Islande. Comme les autres hommes de sa famille, il dispose d'un pouvoir atypique. Le sien consiste à pouvoir communiquer avec les appareils électriques et les automobiles. Mais sa vie bascule soudainement lorsqu'un détective japonais en congés sur l'île lui annonce l'assassinat de son oncle et sa tante par son propre frère. Qui croire ? Convaincu de l'innocence de ce dernier, le jeune détective va mener l'enquête. Régulièrement cité parmi les meilleurs mangas publiés récemment au Japon, Dans le sens du vent - Nord, Nord-Ouest interpelle par son dessin très occidental, ses lignes allongées et ses paysages islandais oniriques. Critique : Les éditions Soleil nous proposent un titre loin de leur catalogue habituel, car oui, « dans le sens du vent » est un manga atypique. D’abord par son graphisme plutôt occidental aux personnages élancés, au trait fin et aux paysages détaillés. Après car l’action se situe en Islande et enfin car il d’un genre indéfinissable. Le manga tient à la fois du guide touristique, de l’aventure et du suspense avec une pointe de fantastique et de romance. Et c’est ce qui fait son charme, tout est lié à un équilibre subtil entre ces genres. Je me suis demandée quand j’ai lu le 1er volume ce qui se cachait derrière un tel titre et puis après la lecture, ça m’est apparu comme une évidence, car ce manga vous emporte comme le vent, il vous emmène dans un voyage où l’Islande vous accueille et vous retient car plus qu’un guide touristique c’est une expérience que vous vivez, celle de partager le ressenti des personnages. D’habitude quand je lis, je me demande ce qui va se passer, j’aperçois certains déroulés, il m’arrive même de connaître l’issue ou la finalité de l’histoire. Ici rien, pas parce l’histoire est inintéressante mais plutôt parce que je n’ai pas envie de me poser des questions tellement je m’y trouve bien. Je prends les choses comme elles viennent et je les savoure. En plus ce manga sortant des sentiers battus, qu’y a-t-il de mieux à faire que de se laisser porter ? Et puis, il y a le personnage principal, assez froid en apparence, limite associal qui nous intrigue, de même que son entourage, atypique lui-aussi. Ce 3eme tome nous permet d’en savoir un peu plus sur le frère de Kei, avec un peu moins de paysages et un peu plus de polar. Mais comme à chaque fois, rien de trop évident et pas trop d’informations d’un coup, toujours dans l’équilibre. Et comme à chaque fois aussi, arrivée à la fin, je n’ai qu’une envie : lire la suite. Un véritable coup de cœur. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/dans-le-sens-du-vent-tome-3-nord-nord-ouest?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Nickad

    Bride stories tome 12

    C’est toujours avec plaisir que j’accueille un nouveau tome de Bride Stories, comme si je retrouvais un vieil ami avec qui je sais que je vais passer un bon moment. Pour ceux qui ne connaissent pas, Bride Stories mélange histoires sentimentales, découvertes ethniques et vie de tous les jours au cœur des peuples nomades de la route de la soie au XIXeme siècle. Ce tome s’ouvre sur des scènes du quotidien des personnages que nous avons croisés au fur et à mesure des volumes précédents puis enchaine avec le voyage retour de Smith et ses premières retrouvailles. Encore une fois, on se laisse emporter par cet univers empreint de détails et toujours sublimé par la plume de Kaoru Mori.
  21. Titre de l'album : Bride stories tome 12 Scenariste de l'album : Kaoru Mori Dessinateur de l'album : Kaoru Mori Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Malgré les mises en garde de son ami Hawkins, Smith persévère dans son projet et se prépare à reprendre la route, cette fois-ci en sens inverse ! Son but est double : revoir les familles qui l'ont accueilli à bras ouverts lors de son périple, mais aussi les prendre en photo afin de garder d'elles une trace durable. Muni de son appareil, l'explorateur arrive à Antalya, escorté par Ali, Talas et Nikolovski, puis continue son chemin jusqu'en Perse. L'occasion pour sa future épouse de rencontrer à son tour les personnes qu'il avait croisées lors de son précédent voyage.. Critique : C’est toujours avec plaisir que j’accueille un nouveau tome de Bride Stories, comme si je retrouvais un vieil ami avec qui je sais que je vais passer un bon moment. Pour ceux qui ne connaissent pas, Bride Stories mélange histoires sentimentales, découvertes ethniques et vie de tous les jours au cœur des peuples nomades de la route de la soie au XIXeme siècle. Ce tome s’ouvre sur des scènes du quotidien des personnages que nous avons croisés au fur et à mesure des volumes précédents puis enchaine avec le voyage retour de Smith et ses premières retrouvailles. Encore une fois, on se laisse emporter par cet univers empreint de détails et toujours sublimé par la plume de Kaoru Mori. Autres infos : Aventure, romance et historique Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/bride-stories-tome-12?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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