Aller au contenu
  • S’inscrire

Rechercher dans la communauté

Affichage des résultats pour les étiquettes 'sf'.

  • Rechercher par étiquettes

    Saisir les étiquettes en les séparant par une virgule.
  • Rechercher par auteur

Type du contenu


Forums

  • Les forums BD
    • Toute la BD
    • Projets participatifs
    • Petites Annonces BD
    • Liens BD vers ailleurs
  • Et si on parlait d'autre chose que la bande dessinée ?
    • Améliorons 1001BD
    • Films et séries TV
    • 1001 Jeux Video
    • Livres - Musique - Spectacles - Théatre - Musées
    • 1001 choses à dire
  • TEAM

Rechercher les résultats dans…

Rechercher les résultats qui contiennent…


Date de création

  • Début

    Fin


Dernière mise à jour

  • Début

    Fin


Filtrer par nombre de…

Inscription

  • Début

    Fin


Groupe


  1. Titre de l'album : Fin de serie : Black Science t9 : Mnesterophonie Scenariste de l'album : Rick Remender Dessinateur de l'album : Mattéo Scalera Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Grant et Sara se sont retrouvés et sont partis à la recherche de leurs enfants, Pia et Nate, dans toutes les dimensions. et leurs versions alternatives ont fait de même. Seulement, s'ils ne renoncent pas tous à cette quête, le multivers risque de s'effondrer. Alors qu'ils avaient atteint la dimension originelle, le coeur de l'Oignon, et abandonné tout espoir de les retrouver, leurs enfants refont surface en les téléportant dans leur vaisseau. Peut-être est-ce bientôt la fin du cauchemar pour la famille McKay ? Contenu vo : BLACK SCIENCE #39-43. Critique : Qu'il est difficile de finir ce genre de série..........Quand on commence une des séries scientifique parmi les plus complexe du comics actuel et de l'on s'enfonce dans des niveaux de détails scientifiques quasi microscopique, le dernier tome et la conclusion de l'histoire ont tout du piège. En effet comment faire revenir le lecteur à un niveau émotionnel tel qu'il se souviendra de la série comme une belle lecture et non comme une lecture compliquée ? Et bien c'est exactement ce que réussi Rick Remender dans ce tome 9 et dernier de Black Science. Et pour se faire il fait un choix osé qui ne sera pas apprécié par tous : il coupe court à son histoire pour faire des 3/4 de ce tome 9 une belle et profonde conclusion. L'histoire telle que nous la suivons depuis 8 tomes, enfin sa partie exploration/fin du monde, est conclue dans le premier chapitre, à coup de sous-entendu et de référence aux albums précédents. Pour être clair, si vous ne relisez pas le dernier (et peut être l'avant dernier), cette fin vous laissera un gout d'inachevé dans la bouche. Mais en y réfléchissant, en faisant cela, Rick Remender se réserve la possibilité d'une fin de série centrée sur Grant lui-même et au final c'est très bien. Car on avait perdu de vu a fil des tomes que cette histoire complète est partie d'un homme et de ses problèmes relationnels. Ce "grand nombre de pages de conclusion" offre aussi à Rick Remender l'occasion de nous livrer une fin comme il les aime : à double lecture. Une fois n'est pas coutume et sans trop vous en dire, la couverture de ce tome 9 ne triche pas. Elle est même parfaite. Vraiment parfaite. En résumé je dirais que ce tome clôture une série de SF tel que le monde du comic n'en a jamais vu. Un niveau de complexité et de folie rarement atteint. Mais une série qui a le mauvais côté de prendre tout son sens quand elle est lue d'une traite ! Il faut donc que je me trouve 48h sans rien faire...... Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/black-science-tome-9?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. Qu'il est difficile de finir ce genre de série..........Quand on commence une des séries scientifique parmi les plus complexe du comics actuel et de l'on s'enfonce dans des niveaux de détails scientifiques quasi microscopique, le dernier tome et la conclusion de l'histoire ont tout du piège. En effet comment faire revenir le lecteur à un niveau émotionnel tel qu'il se souviendra de la série comme une belle lecture et non comme une lecture compliquée ? Et bien c'est exactement ce que réussi Rick Remender dans ce tome 9 et dernier de Black Science. Et pour se faire il fait un choix osé qui ne sera pas apprécié par tous : il coupe court à son histoire pour faire des 3/4 de ce tome 9 une belle et profonde conclusion. L'histoire telle que nous la suivons depuis 8 tomes, enfin sa partie exploration/fin du monde, est conclue dans le premier chapitre, à coup de sous-entendu et de référence aux albums précédents. Pour être clair, si vous ne relisez pas le dernier (et peut être l'avant dernier), cette fin vous laissera un gout d'inachevé dans la bouche. Mais en y réfléchissant, en faisant cela, Rick Remender se réserve la possibilité d'une fin de série centrée sur Grant lui-même et au final c'est très bien. Car on avait perdu de vu a fil des tomes que cette histoire complète est partie d'un homme et de ses problèmes relationnels. Ce "grand nombre de pages de conclusion" offre aussi à Rick Remender l'occasion de nous livrer une fin comme il les aime : à double lecture. Une fois n'est pas coutume et sans trop vous en dire, la couverture de ce tome 9 ne triche pas. Elle est même parfaite. Vraiment parfaite. En résumé je dirais que ce tome clôture une série de SF tel que le monde du comic n'en a jamais vu. Un niveau de complexité et de folie rarement atteint. Mais une série qui a le mauvais côté de prendre tout son sens quand elle est lue d'une traite ! Il faut donc que je me trouve 48h sans rien faire......
  3. Titre de l'album : Labyrinthus t2/2 Scenariste de l'album : Christophe Bec Dessinateur de l'album : Fabrice Neaud Coloriste : Fabrice Neaud Editeur de l'album : Glenat Note : Résumé de l'album : Et si nous n'étions que des cobayes ? 2057. La Terre est en prise à un phénomène sans précédent : de mystérieuses cendres provenant d'étranges typhons recouvrent les paysages et villes d'une couche uniforme. Et partout dans le monde, les cas de maladies respiratoires mortelles se multiplient exponentiellement. Très vite, les autorités scientifiques et politiques sont unanimes : la Cendre est en réalité une arme de destruction massive envoyée pour décimer l'humanité ! Pour comprendre les origines de ce fléau et tenter de l'enrayer, une équipe est envoyée vers Phobos, satellite de Mars, qui abriterait le centre névralgique de la pandémie. En parallèle de la mission américaine, un autre vaisseau concurrent a été envoyé par les chinois. Les deux équipes découvrent que Phobos est en réalité un satellite artificiel conçu par une civilisation extraterrestre extrêmement avancée. La super intelligence artificielle qui dirige le satellite réside dans son coeur, mais pour y accéder, il faudra traverser toute une série de salles piégées. Phobos s'adapte et se réorganise en fonction des personnalités des personnes qui y pénètrent. Et tous ses pièges sont mortels... Critique : Allez c'est officiel, je ne suis pas (plu) client des scénarios de Christophe Bec. Sur ses séries à rallonge il me perd au bout de 3 tomes d'introductions. Alors cette série courte m'a fait de l'œil pour voir s’il réussissait à vraiment condenser son récit. La réponse est, pour moi, non. Pour tout vous dire c'est dommage car cette histoire ci... aurait mérité un tome de plus. 🙂 Oui oui. Car la première moitié de l'histoire, celle de l'exploration du "vaisseau" est pas loin d’être.... incompréhensible/illisible. Pour garder du temps pour développer sa conclusion, Bec va à 200 à l'heure sur l’exploration. On saute de scènes en scènes sans rien comprendre. On nous balance des sino russes à la tête qui ne servent à rien sauf à nous faire mélanger les personnages. Personnages qui, de par la coloration sombres, se ressemble tous avec leurs scaphandre ce qui fait qu'on ne reconnait pas qui est qui.... Bref une première partie brouillonne et inutilement dense. Et c'est dommage car la deuxième partie, avec l'explication, est, elle, vraiment bien pensée. Un peu "facile" mais bien pensée et réalisée. Et 'est ça qui est vraiment dommage : Pourquoi a t il fallut que Bec se force à nous mettre un coté barbouse tiré de Sanctuaire dans cette histoire ? Il aurait très bien resté sur une exploration simple et réfléchis qui en aurait été suivi d'exactement la même fin. Pourquoi a t il fallut qu'il ressorte les mêmes clichés sur la pensée humaine ? Bref un demi-tome qui mérite une demi-note. Un tome qui plaira peut être aux fans de bec mais qui n'ira pas plus loin. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/labyrinthus-tome-2-la-machine?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. poseidon2

    Labyrinthus t2/2

    Allez c'est officiel, je ne suis pas (plu) client des scénarios de Christophe Bec. Sur ses séries à rallonge il me perd au bout de 3 tomes d'introductions. Alors cette série courte m'a fait de l'œil pour voir s’il réussissait à vraiment condenser son récit. La réponse est, pour moi, non. Pour tout vous dire c'est dommage car cette histoire ci... aurait mérité un tome de plus. 🙂 Oui oui. Car la première moitié de l'histoire, celle de l'exploration du "vaisseau" est pas loin d’être.... incompréhensible/illisible. Pour garder du temps pour développer sa conclusion, Bec va à 200 à l'heure sur l’exploration. On saute de scènes en scènes sans rien comprendre. On nous balance des sino russes à la tête qui ne servent à rien sauf à nous faire mélanger les personnages. Personnages qui, de par la coloration sombres, se ressemble tous avec leurs scaphandre ce qui fait qu'on ne reconnait pas qui est qui.... Bref une première partie brouillonne et inutilement dense. Et c'est dommage car la deuxième partie, avec l'explication, est, elle, vraiment bien pensée. Un peu "facile" mais bien pensée et réalisée. Et 'est ça qui est vraiment dommage : Pourquoi a t il fallut que Bec se force à nous mettre un coté barbouse tiré de Sanctuaire dans cette histoire ? Il aurait très bien resté sur une exploration simple et réfléchis qui en aurait été suivi d'exactement la même fin. Pourquoi a t il fallut qu'il ressorte les mêmes clichés sur la pensée humaine ? Bref un demi-tome qui mérite une demi-note. Un tome qui plaira peut être aux fans de bec mais qui n'ira pas plus loin.
  5. Titre de l'album : Sillage - Premières Armes Tome 2 - Vitesse de croisière Scenariste de l'album : Jean-David Morvan / Philippe Buchet Dessinateur de l'album : Pierre-Mony Chan Coloriste : Alice Picard et Pierre-Mony Chan Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Dans un rôle de barmaid qui lui sert de couverture et où elle s'ennuie à mourir, Nävis a infiltré un vaisseau de croisière spatiale pour assurer sa sécurité car de nombreux cargos disparaissent mystérieusement sans laisser de trace. L'agent spécial et son commandement croient avoir affaire à de simples actes de piraterie mais les choses sont rarement ce qu'elles semblent être. Critique : Au premier contact, cet album est très joli visuellement. Avec des planches très efficaces et contemplatives. Le dessin de Pierre-Mony Chan est impeccable, d'ailleurs j'ai cru que c'était Philippe Buchet. La mise en couleur donne beaucoup de dynamisme à l'ensemble. C’est un petit plaisir coupable de retrouver Navïs dans ce Tome 2 de Sillage - Premières armes. La série qui explique la période de formation de Navïs en tant qu'agent de la Constituante et ses 1ères missions. Lecteur, tu trouveras ici un scénario limpide à base de pirates qui abordent des vaisseaux de croisière. Tu trouveras aussi beaucoup d'action mais aussi des nez cassés et un peu d'alcool, Morbleu! C'est simple et efficace. C'est une aventure quasi indépendante à la série mère (je dis quasi car il y a quelques références et un fort lien quand même sur le final). L’album se situe entre le T2 (collection privée) et l'excellent T3 (engrenages), on repart loin en amont et c'est tout de même très sympathique de retrouver notre héroïne placée au début de la série, avec sa jeunesse, sa fougue, ses défauts d'alors et sans tous ses supers pouvoirs et son équipe de fidèles qu'elle s'est constituée au fil des albums, et qui l'a rendent invincible. Bref ici, on ne se prend pas la tête. C'est un chouette album. J’ai même cru que l’Atlantis de ma jeunesse allait sortir d’un portail au détour d'une case tellement on est dans l'ambiance avec les pirates spatiaux, mais non, quand même pas. 😀 Navïs prend son nouveau rôle d’agent de Sillage à cœur en cassant, quelques os au passage dans les nombreuses scènes d'action présentes dans l'histoire. Le tout est présenté avec beaucoup d'humour. Le ton est ici très léger tout au long de l'album. Et c'est très bien. Le principal défaut s'il fallait en trouver un ? Je ne suis pas sûr que cet album marque beaucoup à terme, la série principale nous a habitué à des scénarios plus profonds la majorité du temps. Mais il ne faut pas bouder son plaisir ! Les bonnes choses sont rares ces temps ci. Compagnons lancez l'abordage sinon je vous envoie nourrir les poissons! Autres infos : Ex-libris offert sur le site de BDfugue Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sillage-premieres-armes-tome-2-vitesse-de-croisiere Voir la totalité de enregistrement
  6. Au premier contact, cet album est très joli visuellement. Avec des planches très efficaces et contemplatives. Le dessin de Pierre-Mony Chan est impeccable, d'ailleurs j'ai cru que c'était Philippe Buchet. La mise en couleur donne beaucoup de dynamisme à l'ensemble. C’est un petit plaisir coupable de retrouver Navïs dans ce Tome 2 de Sillage - Premières armes. La série qui explique la période de formation de Navïs en tant qu'agent de la Constituante et ses 1ères missions. Lecteur, tu trouveras ici un scénario limpide à base de pirates qui abordent des vaisseaux de croisière. Tu trouveras aussi beaucoup d'action mais aussi des nez cassés et un peu d'alcool, Morbleu! C'est simple et efficace. C'est une aventure quasi indépendante à la série mère (je dis quasi car il y a quelques références et un fort lien quand même sur le final). L’album se situe entre le T2 (collection privée) et l'excellent T3 (engrenages), on repart loin en amont et c'est tout de même très sympathique de retrouver notre héroïne placée au début de la série, avec sa jeunesse, sa fougue, ses défauts d'alors et sans tous ses supers pouvoirs et son équipe de fidèles qu'elle s'est constituée au fil des albums, et qui l'a rendent invincible. Bref ici, on ne se prend pas la tête. C'est un chouette album. J’ai même cru que l’Atlantis de ma jeunesse allait sortir d’un portail au détour d'une case tellement on est dans l'ambiance avec les pirates spatiaux, mais non, quand même pas. 😀 Navïs prend son nouveau rôle d’agent de Sillage à cœur en cassant, quelques os au passage dans les nombreuses scènes d'action présentes dans l'histoire. Le tout est présenté avec beaucoup d'humour. Le ton est ici très léger tout au long de l'album. Et c'est très bien. Le principal défaut s'il fallait en trouver un ? Je ne suis pas sûr que cet album marque beaucoup à terme, la série principale nous a habitué à des scénarios plus profonds la majorité du temps. Mais il ne faut pas bouder son plaisir ! Les bonnes choses sont rares ces temps ci. Compagnons lancez l'abordage sinon je vous envoie nourrir les poissons!
  7. poseidon2

    TERRE T1

    Titre de l'album : TERRE T1 Scenariste de l'album : Rodolphe Dessinateur de l'album : Christian Dubois Coloriste : Christian Dubois Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : Un récit de science-fiction haletant, dépaysant et poétique. Le nouveau cycle des aventures de Mandor, à la recherche de ses origines. En approche de la Terre, à bord d’une navette du vaisseau Jupiter, Mandor et ses compagnons explorent les environs et découvrent des éléments troublants : aucun signe d’activité humaine, une dent d’une taille gigantesque, et une faune monstrueuse qui manque de détruire le vaisseau... Les visiteurs devront choisir avec précaution le lieu de leur installation. Conscients que les ressources technologiques viendront bientôt à leur manquer, la petite communauté va devoir apprendre à vivre sans leurs outils évolués, pour réinventer une civilisation. Que s’est-il passé sur Terre depuis le départ du Jupiter ? Critique : Jeu de mot facile mais interessant, TERRE est bien la suite de TER. Mais la suite suffisamment directe pour que lire ce "tome 1" sans avoir lu les 3 autres soit vraiment compliqué tellement il manquera des références. Et une suite particulièrement réussie. Rodolphe réussi à donner un deuxième souffle à sa série via la découverte de cette planête. A l'instar des séries de SF comme Aldebaran, cela lui permet de nous livrer une belle et intriguante exploration de la planête. Exploration pleine de faune et de flore étrange laissant libre court au talent de Christian Dubois qui nous en met encore plein les yeux sur ce tome. Cela lui permet aussi de distiller l'histoire de l'humanité depuis le départ de Jupiter... et de nous mettre le doute sur l'endroit exacte ou sont tombés les survivants du Jupiter. Un récit qui part vers de la SF compliquée à base de décalage spatio temporel... qui n'est pas sans me déplaire. Un super premier tome pour les fans de la première série. Attention quand meme à ne pas commencer par là, de peur de ne pas comprendre l'historique entre les personnages. Historique qui devrait ressortir rapidement dans le prochain tome car étonnament absent sur celui ci. Autres infos : Edition Daniel Maghen Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/terre-tome-1-le-vieux-monde?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. poseidon2

    TERRE T1

    Jeu de mot facile mais interessant, TERRE est bien la suite de TER. Mais la suite suffisamment directe pour que lire ce "tome 1" sans avoir lu les 3 autres soit vraiment compliqué tellement il manquera des références. Et une suite particulièrement réussie. Rodolphe réussi à donner un deuxième souffle à sa série via la découverte de cette planête. A l'instar des séries de SF comme Aldebaran, cela lui permet de nous livrer une belle et intriguante exploration de la planête. Exploration pleine de faune et de flore étrange laissant libre court au talent de Christian Dubois qui nous en met encore plein les yeux sur ce tome. Cela lui permet aussi de distiller l'histoire de l'humanité depuis le départ de Jupiter... et de nous mettre le doute sur l'endroit exacte ou sont tombés les survivants du Jupiter. Un récit qui part vers de la SF compliquée à base de décalage spatio temporel... qui n'est pas sans me déplaire. Un super premier tome pour les fans de la première série. Attention quand meme à ne pas commencer par là, de peur de ne pas comprendre l'historique entre les personnages. Historique qui devrait ressortir rapidement dans le prochain tome car étonnament absent sur celui ci.
  9. poseidon2

    Labyrinthus t1/2

    Efficace. C'est le terme qui correspond surement le mieux à notre amis Christophe Bec. Car sans ne rien vous dévoiler du scénario... j'ai eu comme une grosse impression de déjà-vu. On retrouve des vaisseaux extraterrestres, la fin du monde, une team de scientifique et de barbouze, une mission qui tient la fin du monde dans ses mains... Mais comme souvent (sur les premiers tomes en tout cas) c'est efficace. Un dessin un peu dur pour nous montrer la difficulté de la tâche et représenter la fin du monde. La coloration est sombre parce que l'ambiance est la tension est en à son comble.... du 100% Bec. Les seules vraies surprises sont : l'éditeur les deux tomes (annoncés .....) Donc je ne saurais trop quoi vous dire : Si vous adorez le genre Bec et que vous n’êtes pas lassé, vous pouvez y aller. Si vous ne connaissez pas Bec, allez y à (100%) car vous aurez une histoire clôturée en 2 tomes. Si vous n'aimez pas Bec... vous êtes déjà partit de toute façon 🙂 . Pour ma part je demande à voir une histoire qui finit en 2 tomes.
  10. Titre de l'album : Labyrinthus t1/2 Scenariste de l'album : Bec Dessinateur de l'album : Neaud Coloriste : Editeur de l'album : Glenat Note : Résumé de l'album : Et si nous n'étions que des cobayes ? 2057. La Terre est sous la menace d'un phénomène sans précédent. Depuis quelque temps, de mystérieuses cendres tombées du ciel recouvrent les paysages et villes d'une couche uniforme. Et partout dans le monde, de nombreux cas de maladies respiratoires sont recensés. Très vite, les autorités scientifiques et politiques sont unanimes : la « cendre » est en réalité une arme de destruction massive envoyée pour décimer l'humanité ! Pour comprendre les origines de ce fléau et tenter d'y mettre fin, une équipe est alors envoyée vers Phobos, satellite de Mars duquel proviendrait l'épidémie... Christophe Bec, scénariste de Carthago et de Siberia 56, revient à son genre de prédilection dans un captivant thriller de SF aux accents lovecraftien, mené par une équipe de héros aussi bigarrée que charismatique. Mystères, aventure et angoisse sont au menu de ce diptyque duquel émergent de véritables questions sur notre rapport à l'écologie. Critique : Efficace. C'est le terme qui correspond surement le mieux à notre amis Christophe Bec. Car sans ne rien vous dévoiler du scénario... j'ai eu comme une grosse impression de déjà-vu. On retrouve des vaisseaux extraterrestres, la fin du monde, une team de scientifique et de barbouze, une mission qui tient la fin du monde dans ses mains... Mais comme souvent (sur les premiers tomes en tout cas) c'est efficace. Un dessin un peu dur pour nous montrer la difficulté de la tâche et représenter la fin du monde. La coloration est sombre parce que l'ambiance est la tension est en à son comble.... du 100% Bec. Les seules vraies surprises sont : l'éditeur les deux tomes (annoncés .....) Donc je ne saurais trop quoi vous dire : Si vous adorez le genre Bec et que vous n’êtes pas lassé, vous pouvez y aller. Si vous ne connaissez pas Bec, allez y à (100%) car vous aurez une histoire clôturée en 2 tomes. Si vous n'aimez pas Bec... vous êtes déjà partit de toute façon 🙂 . Pour ma part je demande à voir une histoire qui finit en 2 tomes. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/labyrinthus-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
×
×
  • Créer...