poseidon2 Posté(e) le 17 mars 2011 Share Posté(e) le 17 mars 2011 [center][img]http://www.1001bd.com/tmp/pic/couverture_bd/Pain_d_alouette_2.gif[/img][/center] [b]Série :[/b] Le pain d'alouette [b]Scénario :[/b] Lax [b]Dessin :[/b] Lax [b]Genre :[/b] Roman graphique [b]Edition :[/b] Futuropolis [b]Résumé :[/b][i]1924, dans le Nord de la France, Élie Ternois, 14 ans, a définitivement pris sa décision : dès qu’il sera majeur, il sera coureur cycliste ! La souffrance et la persévérance de ces trimards du vélo ont bel et bien forcé le respect de ce jeune mineur, qui sait ce que douleur et risque signifient… Pour l’heure, il doit encore obéir à son père, et descendre avec lui dans la mine, tels de la chair à charbon. De toute façon, cela ne l’empêche pas de s’entraîner, plus ou moins en cachette mais avec les conseils précieux et la plus grande bienveillance de son oncle. À Flayssac, en Haute-Garonne, Reine Fario, la fille de l’Aigle sans orteils, qui a finalement été adoptée par Clémence et Camille Peyroulet, grandit dans l’affection et la tendresse de ses nouveaux parents, et dans le souvenir de son champion cycliste de père. À 14 ans, lors des étapes pyrénéennes du Tour de France, elle découvert l’univers du cyclisme et attrape elle aussi le virus [/i] Entre Le tour des Geants, l'aigle sans orteils et le premier tome du Pain d'alouette, les deux dernières années avait été pour moi une période de découverte des "forçats" de la route qu'étaient les coureurs du tour de France des années 20. Et j'ai surtout vu, essentiellement sous la plume de Lax, la beauté de la douleur, de l'humilité et de l'abnégation des coureurs de cette époque. Ici pas de Lance Amstrong qui refuse de s'avouer doper, pas de Ricardo Ricco qui malgré une attaque cardiaque ni tout en bloque. Ici seulement des hommes, ayant tous un métier et se retrouvant sur les routes de France avec un seul objectif : finir. Se dépasser, dépasser la douleur, dépasser les chutes et les crevaisons pour se battre vers une seul ligne : la ligne d'arriver. Et ce qui fait l'intérêt supplémentaire du pain d'alouette, c'est que Lax arrive à brancher des histoires n'ayant pas grand chose à voir avec le cyclisme sur cet univers. Il arrive à nous plonger non pas dans une seule course mais dans une époque ou le vélo, sport non professionnel pour beaucoup, fascinait les foules et faisait rêver les gens au point que certains mineurs de fond voyaient dans se sport la possibilité de changer de vie. Une très belle histoire très bien racontée. Pos2, qui est toujours autant fan de cette époque et de ces histoire de forçats des routes ! [b]Note : [/b][img]http://www.1001bd.com/tmp/pic/note/4.0.png[/img] Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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