VladNirky Posté(e) le 13 janvier 2004 Share Posté(e) le 13 janvier 2004 Et hop.... un mini site avec tout plein d'info, de goodies, d'interviews (de Cubik par exemple), de dessins et un concours... Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Sylvain Ricard Posté(e) le 13 janvier 2004 Share Posté(e) le 13 janvier 2004 Pitain, elle est balaise l'interview ! Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
cubik Posté(e) le 13 janvier 2004 Share Posté(e) le 13 janvier 2004 c'est po ma faute, j'ai presque rien dit Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
VladNirky Posté(e) le 13 janvier 2004 Auteur Share Posté(e) le 13 janvier 2004 Ouais, et j'ai pioché les réponses au concours dedans bien sur. 8) Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
VladNirky Posté(e) le 17 janvier 2004 Auteur Share Posté(e) le 17 janvier 2004 et quand je fais des fotes énormes de grammaire ou d'autre chose faut pas hésiter à la dire non plus... :oops: Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
BD Cool Posté(e) le 19 février 2004 Share Posté(e) le 19 février 2004 Mon petit commentaire sur l'album. D'avance, pardonnez-moi. " La Flûte Enchantée " de Mozart est une œuvre intemporelle qui ne vieillit pas et qui s'écoute toujours avec autant de plaisirs. Son adaptation en Bande Dessinée, quoique originale, risque pourtant bien de rendre sceptique le lecteur. On y ressent une espèce d'adaptation très bohême, trop libre peut-être ? Le personnage de Mozart lui-même, apparaît comme un marginal décadent. L'atmosphère qui pèse sur " Tamino " est légère et parfois un rien ennuyeuse. Au dessin, Maël nous offre un trait quelque peu indécis, ce dernier semble se chercher et quelques irrégularités viendront perturber le lecteur. Cependant, sa vivacité est à souligner ! Les personnages ne restent pas figés et le découpage leur donne un rythme sur mesure. Sur ce point là, le dessinateur est irréprochable. Au scénario, Nathal-Gibert se livre à une adaptation sensuelle, mais qui ne laisse pas entendre la douceur de la musique. Si le mysticisme tient une place prépondérante dans ce récit, le scénariste oublie de rendre la trame plus souple et plus dégagée, de façon à permettre au lecteur de mieux comprendre l'aboutissement de ce premier opus. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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