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Kaze no shô


Monfreid...
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Kaze no Shô (le livre du vent)
Par Taniguchi et Furuyama
Aux éditions Generation comics

Résumé
:En l'an deux de l'ère Keian, époque d'Edo, deux clans s'affrontent dans une guerre sans merci autour d'un manuscrit secret, les Chroniques Secrètes des Yagyû. Dans ses pages se trouvent des secrets capables de faire trembler le shogunat des Tokugawa. C'est à Yagyû Jûbei, escrimeur légendaire et gardien des Chroniques Secrètes, d'empêcher le Japon de sombrer dans une guerre civile sanglante.

Avis: Si Taniguchi est connu en France par sa récompense à Angoulème et par ses scénarii proche d'un esprit "zen". Il n'en reste pas moins un dessinateur hors pair.

Si ce manga est aujourd'hui édité c'est sans aucuns doute du fait de sa récente notoriété...Les autres oeuvres du scénariste Furuyama n'étant à ce jour pas traduit en France.

La trame de ce récit est sommes toutes conventionelle et le gout du "déja lu" pointe sur nos persistances rétiniennes. L'ère des samouraïs a eu plus d'échos dans le japon moderne que ne l'a pour nous le moyen-âge, ainsi les aventures d'un sabreur hors pair durant la période Edo sont elles monnaies courantes (Vagabonds (reprenant les aventures de Musashi) ou encore Lone wolf and cub).
Pourtant le début de l'histoire est suprenant...puisqu'il se situe en 1899 et que l'histoire qui va nous être conter va l'être sous forme d'un flash back"!
Ce simple fait nous en dit déjà long sur les intentions de l'auteur. Des faits s'étant déroulés 250 ans auparavant sont encore d'actualitée, ont encore une importance plus de deux siècles après lors déroulement! Le devoir de mémoire n'est pas seulement basé sur le respect des ancestres mais sur la vitalité d leur coryance, de leur mode de vie et la vigueur de leur choix pour gouverner le pays!
Nous savons alors que nous allons pas assisté à suite de combats sans fondements...et effectivement ce qui est en jeux ce n'est ni plus ni moins que l'équilibre du Japon!
Bien évidement on va nous parler d'honneur, du mode de vie des samouraïs et de technique de sabre...mais surtout Furuyama rappel sans cesse que l'homme est soumis à sa fonction à son clan...que son libre arbitre ne peut exister qu'en son fort intérieur. L'art de la guerre c'est avant totu l'art de la maitrise de soi. Enchevetrés qu'ils sont dans les luttes politiques et les alliances secrètes entre clans ou villages, les combats en sortent grandis, investient qu'ils sont du poids que suposent leur dénouement.

Furuyama opte pour une linéarité de l'intrigue dotn la complexité s'effectue par couche successive. L'esprit combattif (qu'il ne faut pas confondre avec celui guerrier) n'a alors pas besoin d'explication ou de caution. Il s'agit même de la chose qui est laissé à l'apréciation du lecteur. Les dialogues rendent compte de la situation "extérieure"...et n'interviennent que très rarement pendant un affrontement. Le silence des champs de bataille rompant avec le bruissement du monde. Plongeant le lecteur dans un état hésitant constament entre la ferveur des inrigues que nouent les protagonistes et le mutisme respectueux face aux samouraïs!

Le dessin de Taniguchi n'est pas en reste comparé à ce scénario des plus palpitant. Son trait est toujours ausis fin et précis. Une seule ligne suffit à rendre compte d'une multitude de détails. Si le minimalisme peut-être le signe d'un manque total de savoir faire chez certains auteurs, ce n'est pas le cas ici! Le dessinateur choisit encore uen fois la clarté et l'harmonie pour mettre en scène une histoire!
Ce choix peut surprendre, car le traitement graphique qui rend souvent à la perfetion les combats de samouraïs tend vers le sombre, le clair -obscur cherchant à ramasser le temps à montrer l'éphèmere instant ou tout ce joue. Mais c'est sanc ompter sur la maitrise (insolente) de ce dessinateur.
Les lieux sont dépeind avec vitalité (carpes dans l'étang, feuilles des arbres) et tendresse...mais souvent vides. Les rues désertent n'en sont pas pour autant figées dans le temps du récit, il en ressort au contraire une véritable présence uen indépendance vis à vis de l'histoire qui se joue sous nos yeux!
Mais ce choix devient véritablement génial lorsqu'il s'agit de mettre en scène les combats (nombreux) qui émaillent ce manga. Lesmouvements y sont comme suspendu dans le temps! La scène reste fluide et compréhensible, mais par le biais d'instantanés, de croquis pris sur le vif. Là ou nombres de mangaka expériementent des tchniques plus ou moisn floues et incomprehensibles pour donner des impressions de vitesse et de combativité (ce qui n'aboutit souvent qu'a des images informes et indigeste); Taniguchi reste proche de la réalité. Les "instants" qu'ils nous donne à voir ne sotn pas extrait, tels des clichés, d'un affrontement du fait du débordement d'énergie qui les caractérise. Il y a une véritable science des positions dans ces dessins!
Il en résulte un graphisme, oscillant constament entre onirisme et survie pure, le tout baignant en harmonie pour le plus grand plaisir du lecteur.

Ce manga offre donc la possibilité de se régaler d'une histoire à la fois linéaire et complexe servit par un dessin magnifique. Les dialogues laissant le champ libre au images lors des duels et l'image se vidant (sans perdre de son essence) pour laisser la place au sceau de l'intrigue.

Une lecture réelement palpitante vous attend à la lecture de ce bijou!
(à noté des notes en fin de volumes très instructives...une traduction qui me semble parfois un peu confuse...et le fait que l'histoire soit un "livre" de plus une marque dans l'histoire,une reflexion sur la notion de sacrifice...etc etc)

Autres oeuvres de Taniguchi chroniqués ici: Au temps du botchan (le tome 1 pour le moment), Quartier lointain et Le journal de mon père

Bonne lecture
Monfreid...
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Je viens de finir la lecture de Kaze no sho. Je ne reviendrai pas sur la qualité narrative et graphique de cette bd, Monfreid l'a si bien fait, mais juste exprimer comment j'ai été une fois de plus bluffer par ce mélange de reflexion et de divertissement que les japonais savent instiller dans leurs BD.
Ce n'est pas seulement une histoire de sabre que les auteurs ont ici développé mais aussi une véritable reflexion sur l'histoire de leur pays.
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  • 2 weeks later...
De plus en plus, on peut constater que Taniguchi est devenu un label de qualité. Chaque nouvel album que cet auteur sort est une réussite graphique et scénaristique et Kaze No Sho ne faillit pas à la règle.

Le scénario de Kan Furuyama est convaincant à tout point de vue. Tout d'abord , la précision historique est remarquable. Puis, au niveau du récit, celui-ci est passionnant. Et pour terminer, la narration est très fluide malgrès certains termes typiquement japonnais. Toutes ces ingrédients font de cet album un parfait livre de chevet.
L'histoire en elle même nous plonge dans le Japon féodal, celui des samouraïs et du Shôgun. En fait, ce récit nous décrit une guerre civile entre deux clans.
Les différentes techniques des écoles de Samouraï sont présentées avec beaucoup de précision mais ce que l'on retient le plus dans cette histoire c'est surtout la dimension humaine dévéloppée ici grace au talent de l'auteur. A cette époque, le Japon est instable et on le comprend très vite.
Les personnages, quant à eux, sont convaincant dans le choix de leurs convictions et de ce fait, on les suit avec beaucoup d'attention.

Au niveau du dessin, il y a rien à dire de particulier. Jirô Taniguchi est toujours en grande forme et son dessin est sans faille .
J'ai, peut-être, senti l'auteur un peu moins à l'aise dans les scènes de combat mais excepté ce détail, son traît est toujours aussi appaisant. Les ambiances qui émanent de cet époque sont rendues avec beaucoup de fidelité et les vues des temples et des demeures sont très réalistes.

Incontestablement, Kaze No sho est à suivre. Sans hésitation.
Ce one-shot de 244 pages se lit très aisément alors pourquoi s'en priver.
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  • 4 weeks later...
Lecture le week-end dernier ce album.

Je confirme (une fois de plus), cet excellent moment de lecture, c'est très beau et très interessant sur le contexte historique du japon de l'époque. Seul bémol, difficile de s'y retrouver dans les 1er temps de lecture avec l'avalanche de noms et de fonctions japonaises peut-être.
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Je suis du même avis que RR. C'est un ouvrage d'une très grande richesse d'un point de vue historique, toujours très beau graphiquement(je retrouve la patte Otomo, époque Mother Sarah...merci M. Taniguchi!) mais parfois dure à suivre tant les personnages sont nombreux, et les éléments de la tradition japonaise idem.
Un ouvrage à lire attentivement (évitez lecteurs les entourages bruyants! :wink: ), et à relire afin de mieux apprécier la finesse du scénario...
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  • 9 months later...
Je l'ai acheté samedi dernier, tout heureux de la revoir enfin édité. J'attendais cette Bd de tanigushi avec impatiance. Et je ne fus encore une fois pas déçu. Je ne disserterai pas dessus, je trouve cela bien difficile sur les oeuvres du maitre, mais je soulignerai une des multiples qualitées de l'ouvrage, le découpage des combats. J'ai rarement vu quelque chose d'aussi bien fait. Et sans l'utilisation de cases et de cases... Vraiment fantastique. Le scenario est une nouvelle fois à la hauteur ( Tanigushi sait choisir ses compagnons d'écriture ) et la lecture est une nouvelle fois passionnante. Seul bémol pour certain, la lecture pourrait ^^etre difficileà cause du contexte politique, mais avec un peu d'attention je pense que les quelques difficultés peuvent facilement être contourné biggrin.gif
Et bien il ne me reste plus qu'a acheter l'orme du caucasse avec mes étrenne de Noël biggrin.gif
Bonne soirée,
ATcHoUm
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je ne suis pas d'accord avec vous
j'avais commencé a le lire en me disant que ca allait etre un taniguchi comme tous ceux que j'avais adoré (bon j'avoue que j'ai pas été plus loin que le tome 1 du chien blanco) et là c'est le drame.
Scenario tres confus, passage historique sans grande importance (une sorte d'equivalent des histoires du Godefroy de Bouillon japonais ... tout un programme), personnages confus au point qu'on confond tout le monde, deroulement scenaristique chaotique (flashback, flashover, 200 ans dans un sens et dans l'autre sans repere)
Resultat j'ai pas compris grand chose et j'ai fermé le bouquin au bout de 40 pages sans regret ...
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salut,

à lire ton avis je le trouve un peu expéditif en fait

déjà je n'ais pas compris, tu n'as lu que le premier tome du chien blanco ou tu n'as pas tenu plus loin que ça, comparé aux autres.

parce que dans un cas, je trouve que tu es passé à côté de l'auteur
dans l'autre je trouve que c'est un peu ne pas vouloir revenir aux sources de l'auteurs.

sinon, je trouve justement que le contexte historique( quoique déjà vu) est parfaitement justifié dans le sens, ou il ne s'agit pas que d'une simple histoire de samouraï.
et l'on remarquera que les "grands" mangas de samourai (l'habitant de l'infini, satsuma, lone wolf and cub) ont tous cette tendance à montrer leurs personnages dans un cadre historique précis.

je pense que là, devant le fait que "tout" avait déjà était dit, le scénariste (qui n'est pas taniguchi) à voulu adopter un point de vue différent.
que l'on contexte ce point de vue...aucun souci.

mais ce qui j'avoue me surprend le plus, c'est l'assurance dont tu fais preuve...quand tu passes des procédés en eux même (flash back etc) à la valeur intrinsèque de l'album, que tu n'as pas lu en entier.
là j'avoue je ne comprends pas trop.
que cela ne t'es pas plus, pas de soucis :wink:
pour les raisons que tu évoques, pas de soucis non plus :wink:
mais il me semble qu'émettre un avis aussi définitif au bout de seulement 40 pages c'est un peu rapide.

bien à toi,
Monfreid...
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Bon c'est vrai qu'en me relisant je me suis rendu compte que mon petit laius n'etait pas d'une grande precision
pour le chien blanco il fallait comprendre que ma culture "taniguchienne" n'est pas complete parce que je n'ai lu que le 1er tome de cette oeuvre. Oeuvre qui ne m'a pas subjuguée mais qui etait assez agreable quand meme.

Ensuite pour Kaze No Sho en lui meme je ne retire pas ce que j'ai pu dire. Ce manga est d'une tres grande confusion.
Et puis c'est comme ca ! Des fois tu n'as pas envie d'aller plus loin quand la 1ere impression est mauvaise. J'ai pas fait beaucoup d'efforts c'est vrai aussi. Taniguchi n'est que dessinateur sur ce manga (et quels dessins !!! 8) ) donc le scenarion chaotique c'est pas sa faute non plus.

Je prefere ne pas perdre mon temps et me tourner vers le sommet des dieux ou vers lone wolf c'est tout ...
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8)

merci c'est plus clair pour moi
alors :
pour taniguchi : je te conseille plus que vivement! de ne pas t('arrêter au chien blanco, certes ce récit initiatique et humaniste conté sous un mode aventureux est bien.
mais (et je ne suis pas le seul à le pense ici) cela n'a rien à voir avec l'envergure de ses autres projets personnels.

le sommet de dieux n'est pas non plus l'idéal pour "commencer"!
je te conseille directement
le journal de mon père
quartier lointain
ou
l'homme qui marche.

dans ces oeuvres intimiste le dessin de l'auteur prend toutes sa valeur et sa force.
de plus l'histoire étant de lui (et assez autobio/romancé) cela devrait te changer des mésaventures d'un chien loup dans la neige :wink:

les chroniques de ses bouquins sont dispo ici
ensuite je conseille "'orme du caucase", puis le sommet de dieux et enfin le manga dont on parle ici.
pour bien "cerner" le dessin et son impact.
qui est loin de se résumer (je ne dis pas que c'est ce que tu fais ) à "je dessine bien"!
il y a là une véritable recherche autour de l'épure, digne d'intêret.

quand à lone wolf and cub! ce n'est pas de taniguchi.
et ce manga n'est pas "brouillon" puisque composé d'histoires courtes et d'un arrière fond historique passionant (pas mal d'amateurs de manga le conseille).

pour le reste, je n'ais rien contre toi :wink: (bien au contraire puisque tu viens nous faire part de ton avis)
c'est juste que je ne comprends pas (au sens d'incompréhension), ce "mouvement" qui consiste à arrêter une lecture en fait.
j'ai arrêter 1 seul livre en cours de route dans ma vie, pas une bd et juste 2 film...enfin de mon fait :wink:
je suis peut être jusqu'au boutiste et cela vient peut être de moi.
reste que je ne comprends pas :roll:

bien à toi,
Monfreid...qui espère que tu auras l'occasion (sans forcément les acheter) de lire d'autres mangas de taniguchi (ne commence pas non plus par "au temps du botchan). :wink:
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CITATION(fredodo)
.
Scenario tres confus, passage historique sans grande importance (une sorte d'equivalent des histoires du Godefroy de Bouillon japonais ... tout un programme), personnages confus au point qu'on confond tout le monde, deroulement scenaristique chaotique (flashback, flashover, 200 ans dans un sens et dans l'autre sans repere)
Resultat j'ai pas compris grand chose et j'ai fermé le bouquin au bout de 40 pages sans regret ...

Tu considère que l'ouvre est mauvaise car tu n'as pas compris grand chose? Pour un avis :| Tu déclare que le contexte historique n'est pas d'une grande importance alors que c'est une des époques qui passionnent le plus beaucoup de gens qui aprécie le japon :| Personnages confus, pour toi peut être encore une fois, mais demande toi pourquoi pour les autres lecteur rien n'a semblé confus, bien au contraire... Drôle de critique...
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euh non mais là faut que je reprenne tout depuis le debut.
certes je ne poste sur le forum que depuis quelques jours mais je suis pas pour autant un newbie
donc que ce soit le journal de mon pere, l'homme qui marche, quartier lointain ou l'orme du caucase, je les ai tous lu (et relu). par contre je n'ai lu QUE le 1er tome du chien blanco. j'espere pouvoir bientot me faire le sommet des dieux meme si je sais que je continuerais de preferer les oeuvres intimistes de taniguchi.

ensuite pour kaze no sho je n'en fais pas une critique virulente que pour gueuler gratuitement sur une oeuvre qui ne m'a pas plu.
en fait moi aussi je déteste m'arreter sur une 1ere impression et refermer un bouquin avant la fin.
mais il faut dire une chose : si on veut gouter au meilleur il faut savoir zapper ce qui n'en vaut pas le coup. j'ai appris ca avec les animés japonais. la production d'anim' japonaise est tellement énorme et tellement eclectique que si tu commences a tout mater tu y passes ta vie et c'est pas forcément enrichissant.
resultat avec le temps j'ai appris à épurer rapidement pour me concentrer sur la production que je juge de qualité.

conclusion : kaze no sho ca vous a plu et tant mieux mais moi qui ne kiffe deja pas particulierement les histoires de samourai au depart j'ai vite compris cette histoire etait pas pour moi et donc je suis rapidement passé a autre chose.

dans le meme registre si il y a des amateurs du manga de love hina qui veulent s'énerver : j'ai arreté d'acheter cette daube au volume 10 et je me suis re-mater mon coffret dvd

a bon entendeur 8) ...

ah oui j'oubliais : c'etait pas la peine de preciser que lone wolf est pas une oeuvre de taniguchi :arrow:
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ok :wink: (pour lone wolf la phrase me semblait à double sens, alors bon dans le doute :wink: )

je comprends mieux ton avis.
et ta position de lecteur, qui énoncé de cette manière me parait plus "logique" biggrin.gif

parce que sinon ça faisait un peu "sévère"

ensuite, sur les animé jap' je suis dans l'absolu d'accord, m'enfin, le souci est toujours pareil!
je trouve que parfois, il est difficile de cerner une oeuvre sans en avoir vu la fin, sans en conaitre tout les tenants et les aboutissants et les différentes périodes.
(bon faut pas être devin pour voir que naruto part en sucette totale en ce moment :? )

disons, que pour "efficace" qu'elle soit cette pratique ne me (et donc je n'engage que moi) permet pas de me remettre en cause ou d'être surpris.
j'ai l'impression d'être conforté dans mes attentes et dans mes goûts.

c'est aussi pour l'utilisation innatendue du dessin de taniguchi que j'aime ce manga de samourai :wink:

en tout cas merci de ta précision, c'est plus claire!
en même temps je te sent un poil provocateur, pas méchant, parce que balancer "grosse daube" sur love hina sans autres arguments, forcément ça n'amène pas à la discussion, mais plutôt à la réaction épidermique :roll:

bien à toi,
Monfreid...
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voila on commence a se comprendre ... :wink:

bien vu en tout cas ta reaction sur mes derniers propos sur love hina. j'ai un peu fait expres d'exagerer les termes pour rajouter une petite couche de provoc (gratuite mais sans arrieres pensées)

je ne veux attaquer personne
c'est juste que j'ai certaines opinions un peu marquées sur certains sujets comme beaucoup de passionés

hum ....
bon j'arrete ... biggrin.gif smile.gif :roll:
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  • 2 months later...
Moi je pense comprendre le point de vue d'Idéfix sur Kaze, car moi aussi je l'ai trouvée un peu difficile d'approche...

Je ne dis pas qu'elle est confuse (d'ailleurs je n'en sais rien car je n'ai toujours pas eu le courage de lire l'oeuvre en entier, mais ça viendra!). Je pense plutot que Kaze est difficile car détonnante par rapport à ses oeuvres plus intimistes (Le Journal de mon père, Quartier lointain)

D'autre part, la multitude de détails historiques m'a un peu rebutée : n'arrivant pas à retenir tous les évènements dans mon cerveau de blonde (même pas vrai pourtant! :bruit: ), je me suis découragée toute seule comme une grande en me disant que de toute façon j'allais être complétement paumée dans quelques pages...

Promis, je m'y remettrai, car je respecte beaucoup le travail de Taniguchi, mais avouons que cette BD n'est pas d'un abord facile :snif: (et c'est ce qui fait son charme aussi!) biggrin.gif
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