poseidon2 Posté(e) le 22 juin 2018 Share Posté(e) le 22 juin 2018 [center][url="https://www.bdfugue.com/le-rapport-brazza?ref=44"]<img src="https://www.bdfugue.com/media/catalog/product/cache/1/image/400x/17f82f742ffe127f42dca9de82fb58b1/9/7/9782754816649_1_75.jpg" HEIGHT=320 WIDTH=240/>[/url][/center] [b]Série :[/b] Le rapport de Brazza [b]Scenario :[/b] : Tristan Thil [b]Dessin :[/b] Vincent Bailly [b]Genre [/b]: Histoire même pas romancée [b]Edition :[/b] Futuropolis [url=https://www.bdfugue.com/le-rapport-brazza?ref=44"][b]Acheter sur BDfugue[/b][/url] [b]Résumé :[/b][i]Au XXe siècle naissant, l'Afrique est un enjeu majeur pour les puissances européennes et les grandes entreprises privées. Alors que le bassin du Congo devient le théâtre de tensions internationales croissantes, la presse se fait l'écho de crimes commis envers les populations locales. Quelque part au nord de Bangui (actuelle Centrafrique), deux administrateurs coloniaux français assassinent un homme dans un raffinement de cruauté. Révélée par la presse le 15 février 1905, ce qui devient rapidement « l'affaire Gaud et Toqué » est un véritable choc pour l'opinion. Pour le gouvernement, l'urgence est d'en démontrer le caractère isolé. Sous la pression parlementaire, une mission d'enquête est envoyée au Congo sous la direction d'un explorateur à la réputation d'honnêteté et d'humaniste incontestée : Pierre Savorgnan de Brazza. Pendant les quatre mois passés au Congo, Brazza et ses enquêteurs, malgré l'obstruction zélée de l'administration française, vont arpenter des centaines de kilomètres, interroger de nombreux témoins, multiplier les découvertes macabres...[/i] Il est des périodes de l'histoire avec un grand H que tout un pays cherche à oublier. En effet chaque pays à au minima une fois dans son histoire fait des choses dont il ne peut pas être fier. Mais oublier n'est pas forcément la meilleure des choses si l'on ne veut pas que les générations futures retombent dans les même travers. Et c'est exactement le but de Tristan Thil et Vincent Bailly . Le devoir de mémoire comme on dit. ET quand on finit ce Rapport de Brazza, on se dit forcement que c'est une bonne chose. Car à l'heure actuelle on n'imagine pas que cela ait un jour pu se passer comme cela. Et on en vient à bien mieux comprendre les fameux liens noués entre les politiciens et industriels historiques français. Très bien illustré par un Vincent Bailly au sommet de sa forme, ce rapport de Brazza est une vraie bonne lecture qu'il faudrait faire lire à nos petits collégiens. [b]Ma Note: [/b][img]http://www.1001bd.com/tmp/pic/note/4.0.png[/img] Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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