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BD Cool

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Tout ce qui a été posté par BD Cool

  1. BD Cool

    Alain Maindron

    Voilà, j'ouvre ce sujet car je voudrai m'excuser auprès de Alain Maindron pour avoir vitupérer aussi bêtement sur lui et son travail. L'année passée (date de mon message), j'étais dans une période pas facile, ma grand-mère était très malade,... et j'ai eu une réaction digne d'un véritable imbécile. Donc je vous prie d'accepter, si vous le voulez bien, mes plus sincères excuses. Cependant, je pense que le lecteur à le droit de donner son avis. Subjectif, certes, mais qui a le mérite de la franchise. Je respecte votre travail, mais mon avis de lecteur - qui ne sera pas le même que Pierre, Paul et Jacques - est que je n'ai pas accroché à vos albums. Autant j'aime le côté chaleureux, esthétique et lumineux qui se dégage chez Beltran, Woolley ou encore Formosa, autant, chez vous, j'ai eu peine à aller au bout des albums. C'est mon avis évidemment et j'ai trouve que c'était dommage face à un scénario lui, aboutis. Après avoir lu votre parcours je me suis posé la question: est-ce moi qui suis dans mon tort ? Je viens donc de relire "Hack & Cash" et "L'impondérable", mais j'en suis arrivé au même jugement. J'espère donc que nous pourrons discuter de ceci intelligement sans se jeter des noms d'oiseaux à la figure. Je vous renouvelle une seconde fois mes excuses pour mes injures invectives et idiotes.
  2. BD Cool

    Megalex

    Je suis plutôt déçu par ce genre de réaction de la part d'un auteur. J'ai dit que c'était de la ********** et j'en suis désolé. C'est vrai que j'ai exagéré. Mais par rapport à des auteurs comme Beltran et Woolley, je suis désolé, il y a, pour moi, un manque d'esthétisme. J'arrive pas à accrocher. Comme formation en dessin ? Je suis diplômé en infographie! Vous avez travaillé avec Bilal, tant mieux, avec Tardi, je suis contents pour vous aussi, ce n'est pas pour autant que je vais apprécier votre travail. J'ai mon libre-arbitre et si mon avis est subjectif il a toutefois le mérite d'exister. Bien entendus je serai totalement incapble de faire votre travail, mais en tant que lecteur j'ai le droit de donner mon opinion, qu'il vous plaise ou pas!
  3. BD Cool

    Mariages!

    Je ne crois pas vraiment au mariage. J'ai l'impression que c'est un engagement tellement important qu'il faut sans cesse être à la hauteur. Je préfère de loin la vie de coupe, dans le péché comme on dit mais au moins il n'y a pas de "contrat" et on peut sincèrement mener une vie digne d'un mariage sans l'être. Mais bien entendus, terminé les sorties, les pots avec les copains,... (soupir) c'est dur la vie parfois
  4. BD Cool

    Megalex

    C'est pas nouveau ce sujet Alain Maindron, pour moi, n'a aucune esthétique. C'est flou et là où le 3D devrait ressortir comme chez Beltran ou Woolley, chez lui on a l'impression que les personnages, les décors,... vont être engloutis par les pages. Bon, j'ai peut-être été vite pour dire que c'est de la m.... je suis désolé si j'ai vexé certaines personnes. C'est vrai que j'aurais peut-être dû garder ce commentaire pour moi. Mais j'ai plusieurs fois tenté de lire les albums de Maindron et à chaque fois ça été pareil: pas moyen! Je ne cherche pas à faire de comparaison avec d'autres dessinateurs 3D, d'ailleurs Woolley et Beltran ont des styles différents. Mais je pense que pour faire de la 3D, et je reprends là les dire des infographistes qui ont bossés sur "Les Triplettes de Belleville", il faut oser sortir des sentiers battus pour que la 3D ne garde pas un côté trop rigide. Dans Hack & Cash - et c'est un autre problème - on dirait que les personnages sont des images holographiques qui s'effacent lentement. Heureusement dans l'impodérable ce n'était pas le cas et c'est peut-être la série la plus aboutie.
  5. BD Cool

    Crypto

    J'ai bien aimé l'histoire, je trouve originale cette quête à la recherche d'un dinosaure. Mais si l'histoire est bien, elle manque cependant de bien nous éclairer sur les personnages. Le découpage me semble parfois asez brouillon et un peu plus de rigueur n'aura pas fait de mal. Le dessin est plutôt réussi et il y a avec les couleurs directes une luminosités qui se remarque même dans les scènes plus sombres. Mais je suis toutefois resté sur ma faim, j'aurais voulu dans certaines scènes être plus saisis, avoir plus de surprises et c'est peut-être finalement ce qui fait défaut.
  6. Nous avons la chance à Liège d'avoir deux salles qui nous offrent du cinéma d'art et d'essai et qui, en plus, organise des soirées dites "classiques" L'ouverture du festival du film fantastique de Bruxelles à permis à ce cinéma (Le Churchill) d'organiser une soirée qui a été consacrée au film de James Whale - Bride of Frankenstein - de 1935 avec Boris Karloff. Nous avons eu droit à une conférence intéressante sur le fim par un spécialiste en cinématographie de l'ULG (Université de Liège). Voici mon compte rendu et critique du film. Et je vous annonce déjà que j'ai été bien coté pour ce travail. En effet, je devais faire un "devoir" sur un film pour un cour et j'ai choisis ce symbole du film fantastique d'avant-guerre. Lorsque les studios « Universal » proposent à James Whale de tourner une suite au « Frankenstein » de 1931, ce dernier hésite, il est proche du refus. La raison donnée par James Whale est qu’après avoir tourné « Invisible Man », sa volonté est de ne plus être cantonné dans le film fantastique. Les pressions du studio sont énormes, Whale fini par accepter ! Aussitôt, le cinéaste va proposer à Boris Karloff de recouvrer une nouvelle fois les traits du monstre le plus célèbre du cinéma. Mais Karloff ne l’entend pas de cette oreille. En effet, dans le scénario « Le monstre » parle. Il n’utilise pas des phrases complètes, simplement des brides de mots. Boris Karloff refuse que le personnage soit humanisé, il apprécie le rôle muet qu’il a joué dans le premier opus car son personnage représente tout ce qu’il y a de plus niais dans le regard. Finalement, il accepte le rôle. On comprend dés lors que, le film n’ayant pas encore débuté, certains problèmes se posent chez l’acteur et le cinéaste. Pourtant, « Bride of Frankenstein » surplombera le premier film. Tout d’abord, on doit ce succès aux effets spéciaux qui, pour l’époque, furent surprenants. Ensuite, la transition imaginée par James Whale pour entamer ce second film est digne du plus habile des magiciens. Il nous plonge au cœur de cette nuit d’orage en la demeure de Lord Byron. Mary Shelley est là, prête à conter la suite de son personnage. L’intelligence du film n’est pas à négliger. Nous sommes dans les années 30, l’Amérique puritaine n’agit que par des préjugés. Lorsque « le monstre » poursuit, sans but hostile, une jeune bergère les villageois le harcèlent, le ligotent et le condamnent à mort. Plusieurs fois James Whale met en point d’orgue les difficultés des minorités face à la médisance d’une société enclavée dans des idées proches du « Ku-Klux-Klan » ! C’est donc attendrissant de voir ce « monstre » qui n’a pas le but de tuer, être persécuté à cause de son côté niais, simplet même. Notons aussi que cet être est conscient de son état, lorsqu’il se regarde dans l’eau il ressent alors ce même sentiment que les habitants ont envers lui. Il se déteste et à plusieurs reprises éprouve l’envie de retourner à la mort. Clin d-œil à la phrase de la fin ! Boris Karloff est donc à l’apogée de son rôle. Jack Pierce, qui signe le maquillage, nous gratifie une fois de plus de ce physique étonnant. Le front large et la couche de maquillage offrent un effet des plus saisissant. Lorsqu’on pense à Frankenstein c’est automatiquement le visage de Karloff qui nous vient à l’esprit. La profondeur du regard dont Karloff nous fait part sert admirablement le personnage. L’acteur, lorsqu’il prête sa voix dure et gutturale à la créature, partage avec le spectateur un moment intense qui restera dans les anales du cinéma fantastique. « Bride of Frankenstein » est donc un film incontournable pour tous les vrais fans de cinéma. Le 7ème art à atteint avec cette production un paroxysme qu’il n’avait plus connu depuis longtemps, enfin si l’on excepte quelques films comme : « King Kong (1933 de Schoedsak et Cooper) », « Dracula (1931 de Tod Browning) » ou encore « Invisible Man (1933 de James Whale) » !
  7. BD Cool

    One-shot

    Ben à la rigueur... Récent... - Le rêve de Pierre - La maison Winchester - Assassine - Sous la peau du serpent - Betty Blues - Banquise et Kuklos - Un pas vers les étoiles - La mauvaise fée - El perceptor - Le Sang des Valentines - Le psychopompe
  8. BD Cool

    Le petit bucheron

    Un peu moins aimé. Même si le scénario reste efficace je me suis sentis un peu trop proche d'un conte à la Perrault ou à la Grimm. Mais le personnage est attachant et il y a tout de même un plaisirs à feuilleter cet opus.
  9. BD Cool

    Cyrill

    C'est ce que j'ai trouvé amusant dans cet album. Il s'adapte aussi bien aux petits et aux grands. C'est une rêverie de gosse qu'on a tous fait et on sent que Tarek a envie de leur donner vie. Le personnage me fait un peu penser au protagoniste du Collège Invisible en plus décalé. :wink:
  10. BD Cool

    Demon Yak

    J'aime beaucoup Tarek. Je trouve que c'est un scénariqte très "polyvalent" et il le prouve avec Demon Yäck. J'ai particulièrement aimé les ambiances sombres qui se dégagent de cet album, ce côté très envoûtant qu'il procure. Je n'ai pas encore lu le second tome, mais ça ne saurait tarder :wink:
  11. BD Cool

    L'Ordre Impair

    Titre: Anvers (le "S" n'est pas muet) 1585 Auteurs: Teng, Miel et Cuadra Editeur: Le Lombard Collection: Polyptyque Prix: 11,97 euros RESUME: Nord de la France, 1297. Mechtilde d'Arras, jeune mystique, habitée par des "visions", meurt sur le bûcher. Mais son manuscrit sulfureux "Visio veritatis" échappe aux flammes des inquisiteurs. Anvers, 1576. La ville, assiégée par les troupes mutinées de Philippe II, Roi d'Espagne est mise à sac par des mercenaires qui sèment la mort et la désolation. Une jeune fille, Leonora, pleure sa mère, emportée par l'intolérance des hommes. Neuf ans plus tard, toujours déchirée par le chagrin et la colère, elle imprime en mémoire de sa mère l'étrange manuscrit qu'elle lui a légué : "Visio veritatis". Paris, aujourd'hui. Patrick Prada, auteur de romans historiques à succès, raconte, dans un livre à paraître, la fin tragique de Mechtilde. Sa femme, Virginia, conseillère au Cabinet des Affaires Economiques à Bruxelles, est en charge d'un dossier délicat de demande d'autorisation de matériel nucléaire vers l'Inde. Leur destin bascule de façon cruelle lorsque Virginia, en quête d'un cadeau pour Patrick, achète chez un bouquiniste un ouvrage du seizième siècle, scellé par un fermoir, qui s'avère être une édition rare de… "Visio veritatis" de Mechtilde. MON AVIS: " L'Ordre Impair " est, autant le dire tout de suite, un album qui ravira les passionnés des univers mystiques. C'est presque une malédiction qui a traversé le temps, sous la forme d'un livre, et qui, de nos jours, se répercutent. C'est aussi l'histoire dans l'histoire. Des faits historiques mêlés à la fiction. C'est aussi le récit d'un écrivain et d'une jeune femme chargée d'un dossier qui concerne l'exportation d'un produit nucléaire. Le lien ? A vous de tenter de le découvrir. Et ce n'est pas simple. L'album prend une allure assez vive, on se retrouve dans le passé, on revient à notre époque,… et cela dans un rythme effréné. Ce premier tome, c'est aussi l'occasion de retrouver Paul Teng. Après " Shane " le revoici dans une nouvelle série où il nous prouve une nouvelle fois sa maîtrise du dessin. Le trait engagé, agressif, vient renforcer l'ambiance de l'album. Teng ne laisse rien au hasard et semble prendre plaisirs. Au scénario, Cristina Cuadra et Rudi Miel se partagent la plume. Et ce qui est encore plus amusant, c'est que ce scénario est né d'un rêve, celui de Cristina. Mais le rêve, au réveil se dissipe, aussi faut-il combler l'oubli et on le ressent dans le scénario qui, même s'il est plutôt bien abouti, est parfois un peu brouillon. Cela se ressent principalement dans les retours dans le passé. Outre cela, l'intrigue est à son comble et le récit passionnant à souhait !
  12. Auteur: Reinhard Kleist Editeur: Akileos Prix: 10,93 euros RESUME: Les Rats dans les murs : 1923 dans le prieuré d'Exham, un jeune homme retourne sur les terres de sa famille et il fait tout pour reconstruire le domaine. Ne connaissant pas l'histoire de sa famille, il la découvrira par les rumeurs qui court sur les étranges mœurs de ces aïeux. La culpabilité, la tragédie et l'innommable vont remonter à la surface, réveillés par la sarabande des rats dans les murs. Celui qui hantait les ténèbres : Robert Blake, écrivain et peintre peu connu aperçut un jour par sa fenêtre un clocher où les oiseaux ne se posaient pas. Intrigué par cette découverte, il décide de mener son enquête. Horreur à Red Hook : Indicible et innommable, l'horreur est partout. Une menace universelle, aux dimensions démesurées du cosmos : au grand temple d'Ilarnek, dans lequel les hideux servants de Bokrug, destructeurs de la ville de Samath, adorent encore aujourd'hui leur idole impie… Air Froid : Le docteur Munoz mène un redoutable combat contre la faucheuse, et pour mener à bien ses expériences, il doit évoluer dans un environnement réfrigéré. Mais un jour de grandes chaleurs, le compresseur tombe en panne et tout bascule… MON AVIS: " Howard-Philip Lovecraft " est certainement l'un des écrivains fantastiques les plus lu. Peut-être aussi, au même titre que Edgar Alan Poe, le plus adapté dans divers registres. Cinéma, théâtre et Bande Dessinée. Les éditions Akileos ont ainsi la chance de publier une sorte de recueil librement adapté des œuvres de l'auteur anglais. On y retrouve plusieurs histoires qui, sous la plume de Reinhard Kleist, prennent une tournure pour des moins inattendue. L'adaptation passe bien, insérer les personnages de Lovecraft dans notre époque offre une perspective intéressante et une découverte agréable qui, et c'est certainement un point fort, nous permet de (re)découvrir l'œuvre de ce grand auteur. Une adaptation expressionniste, aux lignes anguleuses, une brutalité qui se domine par des ombres atypiques, une adaptation à l'atmosphère lourde, Reinhard Kleist n'a rien laissé au hasard. Même le blanc semble ajouter une touche sombre. Après nous avoir séduit avec " Berlinoir ", également chez Akileos, c'est avec un plaisir certain que l'on retrouve cet auteur allemand dans un album aussi réussi et aboutis. Attention, si l'album est beau, il n'est pas toujours facile de l'aborder. La complexité du scénario - ou de l'adaptation c'est comme on l'entend - révèle toutefois une légère fébrilité. Quoiqu'il en soit, je ne peux que vous conseiller cet album. Amoureux de l'horreur, du fantastique et l'épouvante, vous y trouverez de quoi vous régaler.
  13. BD Cool

    Le Cirque aléatoire

    Même si par moment j'ai trouvé que le scénario manquait de vitalité, je suis vraiment resté sous le charme de cet album. Le graphisme est magnifique et après deux bons albums chez Soleil, c'est un bonheur de retrouver Ricard et Gaultier dans cette aventure assez... étrange.
  14. BD Cool

    Lieutenant Kate

    C'est Lieutenant Kate. Mais c'est vrai que c'est trompeur vu que le titre de l'album est écrit en plus grand que celui de la série. :wink:
  15. Il y a Renaud qui est fan. Salvatore Adamo, les membres de Indochine, Jacques Dutronc, Vincent Venet,... Là comme ça j'en vois pas d'autres. :wink:
  16. BD Cool

    Lieutenant Kate

    En effet tu fais bien de signaler "Mon amie la pouffle", je ne l'ai pas citée car si mes souvenirs sont bons, cet album vient avant "K une jolie comète". C'est d'ailleurs bien meilleur que Lieutenant Kate.
  17. BD Cool

    Lieutenant Kate

    Série: Lieutenant Kate Numéro du tome: 1 Auteur: Efix Chric Edition: Petit à petit Prix: 12,83 RESUME: Starsky et Hutch n'ont qu'à bien se tenir, voici les nouveaux chevaliers au grand cœur de la police française. Josy avait dix amis. Josy et ses amis étaient donc onze et aimaient le foot. Les onze amis, le foot et les matches, c'était dans les années 70, dans la région lyonnaise, à la grande époque des Verts, Rocheteau, Bathenay et tous les glorieux stéphanois. Mais les onze amis, les matches, les années 70, Lyon, Rocheteau, St-Etienne, c'est fini. Loin. Mort. Josy n'a plus d'ami. 20 ans plus tard, Josy se réconcilie avec ses amis. C'est comme un long anniversaire. D'abord, c'est Fred qu'on retrouve en bouillie. Alors que Kate, Rob et Pop, en bons représentants de l'ordre, commencent à regrouper les indices, c'est le gros Jean-Pascal qu'on retrouve mort. C'est moche. Mais, bon, Kate, Rob et Pop sont payés pour ça, après tout. Il va falloir remuer les sales souvenirs de tout le monde, regarder dans leur boîte de Pandore et faire le ménage à leur place. Les flics sont payés pour ça, aussi. Pour éviter que les albums de photos-souvenirs explosent à la tête des gens. Le grand rouquin et sa légion étrangère, la petite coréenne adoptée qui se marre tout le temps, le capitaine trop sérieux. Comme s'ils n'avaient pas assez des leurs, de souvenirs... MON AVIS: Le nom de Efix ne vous est pas inconnu. Après " K une jolie comète " qui avait conquis les lecteurs grâce à ce dessin burlesque, on pouvait s'attendre avec le premier tome de " Lieutenant Kate " à un nouvel album de choc. Cependant, on risque de vite déchanter. Le découpage brouillon ou s'entremêle une série de textes est particulièrement harassant. Mais le summum est sans aucun doute le graphisme qui ne colle pas à l'histoire. Le trait caricatural dans un polar noir ne crédibilise pas vraiment l'histoire. On ne sait pas si on doit prendre cet album au sérieux ou s'il faut en rire. Pourtant, ce n'est pas si mauvais que l'on pourrait le croire. L'histoire est haletante et il y a véritablement une intrigue qui requiert une certaine attention. On aura aussi le plaisir de retrouver " Kate " et ses acolytes dans cette aventure qui, même si elle n'est pas à la hauteur de nos attentes, a le mérite de se laisser lire.
  18. BD Cool

    Soda

    CITATION(Vladimir)bien, et que pensez vous du dessin? moi je trouve qu'il change un peu des autres séries comme XIII, Largo Winch, les Lanfeust etc... ca vient de moi ou...??? Ce n'est peut-être pas très comparable. Soda s'adresse aux lecteurs de Spirou qui sont encore relativement jeune. Début de l'adolescence par exemple. Tandis que XIII, Largo,... s'attaque à un public déjà très avancé.
  19. BD Cool

    Hauteville House

    Une uchronie. Voilà qui convient le qualificatif qui correspond le mieux à cette série et à ses personnages. J'ai adoré, le dessin est frais et engage à une découvrte graphique d'une grande assurance. Le scénario est bien ficelé, même si je trouve le début un peu brouillon, mais j'ai surtout apprécié les petites allusions à Victor Hugo. Bref, très bon album!
  20. BD Cool

    Soda

    Je rejoins l'avis de Seretur. Je trouve que pour une production "dupuiène" elle se démarque assez bien. Et puis le dessin de Gazzotti est vraiment superbe je trouve. Warnants aussi hein, mais Gazzo à une vivacité et une expression qui faut qu'on accroche rapidement.
  21. Un grand artiste de plus... c'est triste :cry:
  22. BD Cool

    Melissa

    Envie de plonger dans un thriller haletant ? Envie de vous fondre dans les méandres d’un récit psychologique ? Le premier tome de « Melissa » devrait répondre à vos désirs. Ce n’est pas seulement une vulgaire enquête de police sur la mort de Manon, c’est avant-tout une rencontre entre deux personnages. L’un est flic, c’est Angelo, l’autre est une meurtrière qu’il a bien connu, Melissa. Personnage complètement instable, elle a tué plusieurs personnes d’une façon plutôt morbide. Mais très vite le lecteur comprendra qui elle est vraiment. Enfin, on appréciera la tournure que prend l’album, il ne cesse de nous surprendre tout en nous glaçant le sang. Bref, un scénario comme on les aime ! Au dessin et au scénario, Alexis Laumaillé nous offre un graphisme fort et expressif qui donne toute sa dimension à la trame comme aux protagonistes. La force du trait et l’assurance du découpage donneront au lecteur le temps de son fondre totalement dans cette ambiance plutôt noire. Le scénario est, quant à lui, assurément aboutis. Même si quelques zones d’ombres entourent le personnage de la tueuse, le lecteur reste imperturbable face à la virtuosité de ce premier opus.
  23. BD Cool

    Le Dernier Troyen

    La collaboration avrc Thierry Demarez est une réussite. La beauté du dessin compilé au scénario sensationel de de Valérie Mangin, c'est fabuleux. D'autant que revisiter ce mythe à la façon inter-stellaire, comme dans le fléau des dieux, est une fois de plus originale. Bravo!
  24. BD Cool

    Charmed ?

    Si tu peux, mais alors il faut dézonner ton lecteur. Tu peux même le faire toi-même, il y a des sites qui expliquent comment faire.
  25. Haru, une collégienne au comportement instable, sauve par hasard un chat d'un accident de la circulation. Ce qu'elle ignore, c'est que le félin n'est autre que le fils du puissant roi des chats. Cette rencontre va complètement bouleverser le cours de son existence. Dans son aventure, trois personnages vont se révéler des amis précieux : le très élégant Chat Baron, Mouta, un gros matou errant, et le corbeau Toto. Les studios « Ghibli » sont connus pour nous offrir quelques productions de qualités. Notamment avec Hayaho Miyazaki et son célèbre « Voyage de Chihiro » ! « Le Royaume des Chats » est une nouvelle production, très réussie de Hiroyuki Morita qui nous plonge dans le monde fabuleux et poétique des chats. La fraîcheur du dessin, la douceur des décors et l’altruisme des personnages, sont autant de facteurs qui font de ce manga une œuvre particulière et agréable. Le spectateur sera partagé entre la poésie, le romantisme et une touche d’humour servie par un « matou » aussi attendrissant que bagarreur. Si l’on excepte quelques détails futiles, comme par exemple une accentuation des sentiments physiques trop présents, cette animation japonaise aura de quoi vous séduire, tant au niveau du scénario, du graphisme et même de la musique. Notons peut-être qu’elle fait parfois défaut. Bref, ce film qui s’inscrit dans le festival « Anima 2004 » (jusqu’au 29 février) saura plaire aux grands comme aux petits !
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