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Nickad

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Messages posté(e)s par Nickad

  1. Bon ben raté pour la dédicace de Junji Ito, en fait ceux qui ont réussi à avoir un ticket (les 100 premiers) ont dormi sur place, le numéro 1 est arrivé vers minuit et le dernier l'a eu à 5h du mat !!!

    En plus, si vous avez un peu suivi, il y a eu un bug le 1er jour car des journalistes sont passés avant ceux qui faisaient la queue et ont raflé une cinquantaine de ticket...

    Il vaut mieux essayer en librairie dans ces cas là !!

    je ferai un petit retour rapide sur cette journée découverte du FIBD.

    J'ai été plus que raisonnable en achats : 3 mangas (dont 1 avec dédicace de l'autrice française) et un comics ! Et oui, j'ai pris The nice house on the lake , avec ses goodies bien sûr : poster, lunette et sous-bok (pour info le tome 2 sortira en mars)


  2. Titre de l'album : Dans les coulisses de HomeRoom tomes 1 et 2 (fin)
    Scenariste de l'album : KOSHIORA Tsubame
    Dessinateur de l'album : KOSHIORA Tsubame
    Coloriste :
    Editeur de l'album : Hana
    Note :
    Résumé de l'album :

    HomeRoom, c'est le jeune duo à la mode composé de Tachibana Rui et Shinjô Hibiki. L'un est mignon et extraverti, l'autre est placide et pince-sans-rire. Leur succès est entièrement lié aux fantasmes de leurs fans : celles-ci les imaginent en couple, et dans tout un tas de situations très, très explicites... Ils vivent dans l'ignorance bienheureuse de ce phénomène jusqu'au jour où ils tombent sur un site consacré à leurs activités sexuelles présumées. Là, Hibiki propose d'essayer pour de vrai... et Rui accepte.

    Critique :

    Connaissez-vous le terme shipper ? C’est le fait d’imaginer des gens en couple, un phénomène très tendance chez les Fujoshis (les fans de boy’s love). Alors quand il s’agit du groupe HomeRoom composé de Hibiki et Rui, les fantasmes vont bon train, mais les deux jeunes chanteurs ne sont pas forcément au courant. Le jour où Rui tombe sur une fiction le mettant en scène de façon très très coquine avec Hibiki, ses hormones commencent à s’emballer. Et quand en plus, leur manager leur propose de jouer sur cette thématique, la fiction va très vite devenir réalité.

    L’histoire est assez légère, même si on aperçoit des aspects du monde du showbizz japonais avec ses jeunes stars montantes qui doivent faire tout un tas de travaux (représentation, publicité, émissions de télé…) pour répondre à la demande. Et que l’on voit aussi quelques comportements des fans, surtout les fujoshis, comment elles imaginent des histoires et comment cela leur suffit. Le manga reste majoritairement sur l’histoire d’amour entre Hibiki et Rui. Les fan fictions provoquent un déclic chez Rui et peu à peu, il va se rendre compte de ses sentiments. Une histoire d’amour mignonne assez classique en somme, avec de nombreuses scènes érotiques et un peu d’humour, le tout sous les feux des projecteurs !

    Autres infos :

    Type de l'album : Manga
    Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/dans-les-coulisses-de-homeroom-tome-1?ref=44

    Voir la totalité de enregistrement

  3. On est parti à 5h ce matin on a pris le 1er train, arrivée à Angoulême à 8h25 et devant l'exposition de Junji Itô il y a déjà foule, autant dire qu'être dans les 100 chanceux risque d'être compliqué 

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  4. Titre de l'album : Leviathan Deep Water tome 1
    Scenariste de l'album : LEE Gyungtak
    Dessinateur de l'album : NOH Miyoung
    Coloriste :
    Editeur de l'album : Kmicks
    Note :
    Résumé de l'album :

    Le niveau de la mer s'est élevé pour recouvrir les continents. Sur une planète inhabitable où il n'y a plus de terre ferme, la famille du jeune Bota vit sur un petit bateau et erre dans le vaste océan. D'étranges monstres habitent ces eaux hostiles. Un harponneur qui chasse en eau profonde peut être la proie d'un monstre à tout moment, ceux qui n'apparaissent que la nuit. Bota et sa famille parviendront-ils un jour à se mettre en sécurité et à échapper à cet enfer aquatique ? Prix « Dynamic bridge » du Festival International du webtoon de Busan 2018 - Prix de la bande dessinée d'aujourd'hui 2018 - Prix Science-Fiction 2018 : Grand Prix dans la catégorie Dessin animé et Webtoon - Ministère de la culture, des sports et du tourisme : Prix de la « créativité de contenu » de Corée du Sud 2019

    Critique :

    Pfiou, ce webtoon a reçu plein de prix, comme vous pouvez le voir dans le résumé, et c'est mérité ! 

    Dans un monde post-apocalyptique ou les eaux ont recouvert toutes les terres, une famille essaye de survivre tant bien que mal en espérant rencontrer un jour d'autres survivants. Le jour, le père explore les villes submergées pour remonter des conserves et autres objets divers. La nuit, la famille se cache au fond du bateau sans faire de bruit pour ne pas se faire repérer par les Leviathans, des monstres marins dévoreurs d'humains. 

    Leviathan est un webtoon avec un super scénario qui n'est pas sans rappeler le film Water World. On découvre d'abord le quotidien de la famille avant de basculer dans une ambiance plus dramatique où combattre devient la seule option. De plus le graphisme est particulièrement bien réussi, plus travaillé que de nombreux autres webtoon, que ce soit au niveau des détails comme de la colorisation. 

    Dès le début, Leviathan Deep Water nous happe, et l'on a qu'une envie : aller voir se qui se cache dans ces eaux profondes. 

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    Autres infos : Édition Kmics

    Type de l'album : Manga
    Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/leviathan-deep-water-tome-1?ref=44

    Voir la totalité de enregistrement


  5. Titre de l'album : Tashiro est un peu... tome 1
    Scenariste de l'album : YAMADA
    Dessinateur de l'album : YAMADA
    Coloriste :
    Editeur de l'album : Taifu
    Note :
    Résumé de l'album :

    Son horoscope lui avait promis La rencontre de sa vie, pas celle d'un voleur terrifiant qui en voudrait à son porte-monnaie !! Ebihara n'en revient pas, et prend ses jambes à son cou quand le lendemain, il recroise ce fameux voleur dans la salle de son propre club. Finalement, il s'avère qu'il s'agissait d'un malentendu en partie provoqué par la grande timidité du nouveau venu, qui semble par ailleurs profondément attaché à Ebihara... Et malgré les quiproquos et ses expressions flippantes, ce dernier ne peut s'empêcher d'être intégré par ce...Tashiro, c'est bien ça ?

    Critique :

    Quand Ebihara, jeune étudiant, rencontre Tashiro pour la 1ère fois, il le prend pour un voleur. Il faut dire que Tashiro fait une tête effrayante, c’est surtout un garçon très maladroit et super timide qui en plus est très gêné devant Ebihara, le garçon qu’il aime. De son côté, Ebihara ne fait partie d’aucun club, il traine souvent avec son ami d’enfance au club manga et il a bon fond, il ne juge pas sur les apparences et sait reconnaitre les bonnes intentions. Mais comme Tashiro a rejoint le club manga, les voilà, contraints de se revoir.

    Tashiro est un peu… porte bien son nom, derrière le « un peu » on peut y mettre beaucoup de choses ; il est un peu timide, maladroit, décalé étrange… C’est un manga avec des personnages touchants qui parle de la vie d’un club et de ses membres avec beaucoup de simplicité et de douceur. C’est l’amour qui éclot, c’est les expressions gênées, les rougissements dans l’ombre, les gestes hésitants. C’est une histoire mignonne et pleine de fraicheur qui se consomme sans modération.

    Autres infos :

    Type de l'album : Manga
    Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/tashiro-tome-1?ref=44

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  6. Titre de l'album : Sweet home tome 4
    Scenariste de l'album : KIM Carnby
    Dessinateur de l'album : HWANG Youngchan
    Coloriste :
    Editeur de l'album : Ki-oon
    Note :
    Résumé de l'album :

    Hyeon-Su, aidé de quelques voisins, est parvenu à sauver les enfants d'une mort certaine. Après s'être débarrassés du monstre géant, lui et ses compagnons décident de se réfugier dans l'appartement 1408 où vit Du-Shik Han, l'expert en bricolage, afin de se reposer et de réfléchir à un plan... Pendant ce temps, les habitants qui s'étaient regroupés dans le hall d'entrée ont monté une équipe pour explorer l'immeuble, dans le but de trouver des vivres et d'éventuels survivants. Mais alors que Sang-Wook et Eun-Yu s'apprêtent à barricader le quatrième étage, leurs voix attirent l'attention de la créature aveugle... qui se propulse jusqu'à eux ! Arriveront-ils à la tuer alors qu'ils ne sont que deux ?

    Critique :

    Le groupe du rez-de-chaussée grimpe dans les étages pour trouver de la nourriture et des survivants. Le groupe de Hyeon-Su décide de descendre pour trouver une voiture et voir au-delà de leur résidence, ils savent qu’ils ne pourront pas vivre indéfiniment dans l’immeuble. Après un affrontement avec un monstre, les deux groupes se rejoignent et Hyeon-Su est mis de côté car tout le monde sait à présent qu’il est infecté.

    Si au niveau de l’action à proprement parler, cela avance toujours aussi lentement, il y a un passage très intéressant sur ce qui se passe dans la tête de Hyeon-Su quand le monstre en lui essaye de sortir. On comprend mieux les mécanismes de transformation et on a des débuts de piste pour savoir comment refreiner ces pulsions. En plus de cela, on peut assister à une discussion du groupe qui montre bien les comportements humains en tant de crise : qui doit-être sauvé et qui doit-être sacrifié ?

    Un tome intéressant donc qui permet d’avancer dans l’analyse du phénomène mais qui n’apporte pas pour autant toutes les réponses. A suivre

    Autres infos :

    Type de l'album : Manga
    Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sweet-home-tome-4?ref=44

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  7. Titre de l'album : Dresseur dans un autre monde tomes 2 et 3
    Scenariste de l'album : YOSHIGAE Tamaki
    Dessinateur de l'album : RHYTHM Niwa / KATTO
    Coloriste :
    Editeur de l'album : Komikku
    Note :
    Résumé de l'album :

    Varius poursuit sa progression phénoménale et de nouveaux combats épiques s'annoncent !

    Critique :

    Toujours dans l’optique de faire reconnaitre la classe de dresseur, Valius passe le concours d’entrée de l’académie d’élite, il finit major avec des scores encore jamais vu. En parallèle, il s’inscrit à la guilde des aventuriers et commence sa première quête. C’est là qu’il rencontre Artemis, une sélénite, qui lui permet de récupérer des pouvoirs divins.

    Dans ma critique précédente, j’avais dit qu’il fallait attendre la suite pour se prononcer sur l’intérêt de la série. C’est plutôt un point négatif sui se profile : Valius utilise sa magie et ses sorts, il est tellement fort, que finalement être dresseur n’apporte rien de plus. Il ne rencontre aucune difficulté devant lui (ou les règle en claquant des doigts, façon de parler bien sûr) et en plus peut se rendre de la Terre à la Lune aussi facilement que s’il franchissait une porte ! Quant à la partie dresseur, elle est plutôt mise de côté dans ces deux tomes.

    Graphiquement parlant, s’il y a des idées intéressantes, notamment dans la mise en scène des combats, le manga pêche sur les personnages. Il y a des problèmes de proportion et l’auteur a tendance à aller à la facilité : il ne se donne pas toujours la peine de dessiner les deux yeux de ses héros ; un dessin globalement encore assez jeune. Une lecture finalement pas très passionnante, voir assez quelconque qui ne restera pas dans les annales.

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    Autres infos :

    Type de l'album : Manga
    Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/dresseur-dans-un-autre-monde-tome-3?ref=44

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  8. Titre de l'album : Ikusa no Ko - La légende d'Oda Nobunaga tomes 1 et 2
    Scenariste de l'album : KITAHARA Seibô
    Dessinateur de l'album : HARA Tetsuo
    Coloriste :
    Editeur de l'album : Mangetsu
    Note :
    Résumé de l'album :

    Dans le ventre de sa mère, Nobunaga Oda entendait le fracas des batailles. La guerre le prit dans ses bras à sa naissance et ne le lâcha plus jamais. Les champs de bataille furent son berceau. Tout ce qu'il sut, il l'apprit des combats. Plus que nul autre, Nobunaga fut l'enfant de la guerre !Avant d'être Nobunaga Oda, il fut Kippôshi, le pire vaurien qu'on n'ait jamais vu. Voici le récit des méfaits flamboyants qu'il signa fièrement dans le Japon des provinces en guerre ! Retrouvez la toute nouvelle série de Tetsuo Hara et Seibô Kitahara, ancien responsable éditorial du mangaka chez Shueisha, dans cette biographie romancée de la vie d'Oda Nobunaga.

    Critique :

    Ikusa no Ko ou la légende d’Oda Nobunaga est un manga historique retraçant, comme son nom l’indique, la vie de Nobunaga Oda. On commence d’abord par voir ses derniers instants avant d’avoir un aperçu rapide de sa naissance. Le récit commence vraiment quand il a 12 ans, il s’appelait alors Kippôshi Oda.

    Honnêtement, l’histoire est très intéressante, la façon dont le récit se déroule ressemble à une aventure où l’on commence à comprendre pourquoi Oda est devenu une légende. C’est un garçon curieux, très intelligent qui cherche sans cesse à se cultiver et quand c’est fait, il expérimente, il essaye, il tente ! En plus de ça, il n’a pas d’a priori et pour lui, tout est bon à prendre ! On ne s’ennuie pas du tout à la lecture et on a même très envie de voir comment ce garçon va réussir à évoluer.

    Hélas, si le dessin de Tetsuo Hara est toujours aussi travaillé, surtout dans les décors et les ombrages, sa tendance à la disproportion devient de plus en plus gênante. Dans Soten no Ken, il y avait déjà des personnages peu crédibles (au niveau de la taille notamment) ce qui déservait le manga. Ici, c’est encore plus visible, notamment un rendu du corps féminin dérangeant ou des enfants à la tête disproportionnée. Peut-être qu’au travers de ce graphisme l’auteur cherche à faire ressortir un trait de caractère… ce n’est pas flagrant. Heureusement l’histoire est passionnante et aide à aller au-delà de ce problème.

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    Autres infos :

    Type de l'album : Manga
    Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ikusa-no-ko-la-legende-d-oda-nobunaga-tome-1?ref=44

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  9. Titre de l'album : Slice of life tome 2
    Scenariste de l'album : YOSHINO Satsuki
    Dessinateur de l'album : YOSHINO Satsuki
    Coloriste :
    Editeur de l'album : Ki-oon
    Note :
    Résumé de l'album :

    Naruhiko vivote depuis dix ans de sa plume de mangaka. Ses récits remplis de dragons et de magie lui ont permis de se faire une place dans les pages des magazines, sans lui assurer un revenu suffisant pour quitter sa petite île natale... Il vit donc dans la maison de sa grand-mère, entouré des bons soins de sa mère et de Toshihito, son assistant dévoué. Alors que sa dernière série vient encore d'être interrompue par manque de succès, il se lance sans conviction dans une histoire tirée de son environnement immédiat : les aventures quotidiennes de quatre garçons nés sur une petite île et liés par une amitié indéfectible.

    Critique :

    Naruhiko fait pour la 1ère fois face à ses fans ! D’abord avec une fillette de 10 ans amoureuse d’un des personnages du manga et qui est complétement obsédée même au point de menacer les autres fans. Ensuite parce qu’il doit se rendre à Tokyo pour sa 1ère séance de dédicaces, une première pour lui car malgré ses 10 ans de carrière, on ne lui avait encore jamais proposé. C’est une épreuve de taille pour le mangaka qui non seulement doute beaucoup de lui-même lais qui n’a jamais vraiment quitté sa petite ile.

    J’avoue que ce second tome m’a bien fait rire, la jeune fan de 10 ans est assez extrême, on comprend mieux les comportements d’hystériques que l’on voit parfois à la télé. Et puis il y a le duo de Naruhiko et de son jeune assistant Toshi, le dernier s’amuse beaucoup des déboires du mangaka, il y a des dialogues souvent drôles. Mais on voit aussi toute la complexité du métier, comment il s’inspire des petites scènes du quotidien pour construire son histoire, et surtout les doutes et les angoisses de l’auteur confronté pour la 1ere fois de sa vie à un succès. Un manga fort sympathique où il fait bon de vivre.

    Autres infos :

    Type de l'album : Manga
    Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/slice-of-life-tome-2?ref=44

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  10. Solo Leveling revient !

    A la fin de la série, les auteurs avaient annoncés qu'il y aurait quelques chapitres épilogues. Le décès de Jang Sungrak (ou Seong Rak) alias DUBU en juillet dernier a retardé ces épisodes.

    Ce sont ses disciples qui ont repris la suite en lui rendant hommage

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    La série a donc repris sont cours

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  11. Le webtoon est à la mode, les confinements et la crise sanitaire a permis son expansion numérique qui s'est vite transformée en expansion du livre physique en plus des plateformes de lecture en ligne.

    Retrouvez ici les éditeurs de Webtoon papier !

    K!ADDICT

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    KAMONDO Books

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    KBOOKS (Delcourt)

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    KI-OON

    KMICS

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    KOTOON (Kurokawa)

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    KOYOHAN

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    OTOTO

    SIKKU (Michel Lafon)

    TAIFU

    VEGA (Dupuis)

     

     

     

     

     

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  12. Titre de l'album : Raspoutine le patriote tome 2
    Scenariste de l'album : NAGASAKI Takashi
    Dessinateur de l'album : ITO Junji
    Coloriste :
    Editeur de l'album : Delcourt - Tonkam
    Note :
    Résumé de l'album :

    Celui qu'on appelle le Raspoutine du ministère des affaires étrangères a été arrêté par la brigade spéciale du ministère public de Tokyo. Pourquoi ce diplomate semble-t-il impliqué dans la rétrocession des îles du nord de Hokkaido par la Russie? Basé sur l'expérience personnelle de l'ancien diplomate Masaru Satô, ce récit présente son combat contre un procureur de la brigade spéciale au cours de ses interrogatoires quotidiens

    Critique :

    Yuki répond aux interrogatoires du procureur tous les jours. Il ne se laisse pas faire, non seulement il tient bon, ne cède pas à la pression mais il réfléchit aussi à tout ce qui se trame ou pourrait se tramer en arrière-plan. Cela lui permet de garder son calme et d’attaquer également le procureur. C’est alors que Tsuzuki est à son tour arrêté.

    Au départ je me suis demandé pourquoi Junji Itô était dessinateur dans cette série politique assez loin de son univers. Finalement son graphisme fait excessivement bien ressortir les émotions des personnages et toute la pression qu’il y a dans ces attaques verbales. De son côté le scénario retraçant une histoire vraie rappelons-le, est bien travaillé, on suit le déroulé de l’enquête au travers des interrogatoires. On voit les réflexions de Yuki qui passe en revue ses souvenirs pour analyser la situation et qui n’a aucun moyen de savoir si ce que l’on dit est vrai ou non. C’est un manga qui demande à réfléchir et à comprendre.

    D’un autre côté, on y dépeint aussi une justice manipulatrice et dérangeante où l’on ne peut que revenir à un questionnement universel : la fin justifie-t-elle les moyens ?

    Autres infos :

    Type de l'album : Manga
    Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/raspoutine-le-patriote-tome-2?ref=44

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  13. Titre de l'album : Adieu Eri
    Scenariste de l'album : FUJIMOTO Tatsuki
    Dessinateur de l'album : FUJIMOTO Tatsuki
    Coloriste :
    Editeur de l'album : Crunchyroll
    Note :
    Résumé de l'album :

    « Je veux que tu me filmes jusqu'à ma mort. » Yûta, adolescent mordu de cinéma, accomplit cette dernière volonté de sa mère avec un brio... explosif. Dépité par la réception de son court-métrage, il s'apprête à en finir à son tour. Lorsqu'il rencontre Eri. Cinéphile, comme lui, la mystérieuse jeune fille va inspirer Yûta et l'aider à réaliser un nouveau film... Après Look Back, Tatsuki Fujimoto revient explorer la frontière floue entre le réel et la fiction, pour livrer, dans ce troublant court-métrage dessiné, une vibrante déclaration d'amour au septième art.

    Critique :

    Il y a plusieurs histoires dans Adieu Eri, on ne sait pas vraiment ce qui est vrai, ce qui ne l’est pas et peu importe à vrai dire. Car ce qui est important c’est l’histoire, les images, ce que l’on peut en faire. Là où le scénario peut nous emmener. Et Le manga est riche de possibilités, les histoires sont imbriquées, comme si chacune incluait la précédente. On est d’abord un peu spectateur puis on est touché, submergé par l’émotion du scénario. Le sujet est délicat (filmer la fin d’un proche) et le propos interroge. Puis on revient vers une tranche de vie qui ressemble à un épilogue mais qui finalement ne l’est pas.

    Le manga est comme un film, ou plutôt comme plusieurs courts métrages, il est monté comme un storyboard, avec l’enchainement des plans, la mise au point des images, le jeu des acteurs. On ne sait jamais vraiment ce qui est filmé ou ce qui ne l’est pas, ce qui est histoire ou vérité.

    Adieu Eri est une expérience intéressante, d’abord déroutante et assez bouleversante car l’auteur est bon et sait nous emmener là où il veut. C’est un bel hommage au 7e art !

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    Autres infos :

    Type de l'album : Manga
    Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/adieu-eri?ref=44

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  14. Bonjour,

    Au mois de juin, Ki-oon vous entraîne sur les routes désertiques avec un titre qui parlera autant à votre amour pour la nourriture qu’à votre goût pour la castagne : Crazy Food Truck !
     
    Savoureux mélange de cours de cuisine et de courses-poursuites endiablées en plein désert, ce manga en 3 tomes est une véritable explosion de saveurs, d’humour et d’action !
     
    Les chasses à l’homme c’est chouette… avec le ventre plein, c’est encore mieux. Entre Mad Max et Top Chef, suivez le road trip détonant de deux hors-la-loi qu’une bonne bouffe revigore autant qu’une bonne baston !
     
    Crazy Food Truck, sortie du tome 1 le 1er juin 2023.
     
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    Crazy Food Truck – Sortie du tome 1 le 1er juin 2023
    (Rokurou Ogaki, seinen, 7,95 euros, série en 3 tomes)
     
    Paré de son tablier de cuisine, Gordon sillonne le désert au volant de son food truck. Mais, faute de client, il finit souvent par manger ses propres sandwichs… Sur la route d’une oasis, il manque de peu d’écraser le sac de couchage posé en plein milieu du chemin où dort… une adolescente ! Réveillée par l’odeur de nourriture, elle dévore tout ce qu’elle trouve. Sa faim est sans limite ! Le chef est plutôt content d’avoir enfin quelqu’un pour apprécier ses plats.
     
    Le lendemain, il est interpellé par l’armée, à la recherche d’une certaine Alisa, qui n’est autre que la jeune goinfre… Gordon tente de la dissimuler, mais ses efforts sont inutiles : elle se lance d’elle-même à l’attaque de ses poursuivants avec une dextérité extraordinaire ! Son protecteur n’est pas en reste. En pleine course-poursuite, il dévoile les options de son restaurant ambulant : un moteur à nitroglycérine et un canon géant intégré ! Loin d’être un simple cuistot, Gordon est lui aussi un hors-la-loi en fuite…
     
    Embarquez dans une joyeuse cavale en plein désert, à la frontière entre Mad Max et Top Chef ! Dénicher des ingrédients, inventer de nouvelles recettes, satisfaire le client, tout ça entre deux combats épiques… Le quotidien du Crazy Food Truck est loin d’être monotone !
     
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  15. Titre de l'album : lost children tome 10 (Fin)
    Scenariste de l'album : SUMIYAMA Tomomi
    Dessinateur de l'album : SUMIYAMA Tomomi
    Coloriste :
    Editeur de l'album : Ki-oon
    Note :
    Résumé de l'album :

    Alhuma n'est plus qu'un champ de bataille... Révolutionnaires et villageois se sont alliés pour faire face à l'armée, mais leurs ennemis les submergent et les pertes sont lourdes. Les assiégés ne sont cependant pas sans soutiens?: l'arrivée de troupes menées par Itoku puis par Tahn Oulrajir pourrait leur permettre de tenir... Loin du front, c'est un autre combat qui se joue, car Uro s'est rebellé contre les prêtres décidés à tuer le kussuf. Le pauvre homme choisit de se sacrifier pour mettre fin à la sinistre tradition des meurtres rituels, libérant Yuri de cette influence néfaste... et le laissant seul avec ses démons.

    Critique :

    C’est le dernier tome de la série et c’est le combat final, celui où l’on sait qui va survivre et qui va mourir. Un tome intense au milieu d’une bataille qui fait rage et où l’on reste en suspens jusqu’au bout en espérant que tous survivent. Mais c’est une guerre et il n’y a pas toujours de miracle… enfin, pas pour tout le monde.

    Une bien belle première œuvre pour Tomomi SUMIYAMA et une création Ki-oon, exportée au Japon depuis 2020. Lost Children aura su être une série forte tout le long des 10 tomes, une série avec des personnages attachants, des propos intéressants et un graphisme époustouflant. Une série émouvante et intelligente avec une fin cohérente et légitime.

     

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    Autres infos :

    Type de l'album : Manga
    Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/lost-children-tome-10?ref=44

    Voir la totalité de enregistrement

  16. Bonjour à tous,

    Il aura fallu quelques mois pour que ce concours arrive mais finalement pour fêter la nouvelle année, ce n’est peut-être pas plus mal !

    Je vous propose donc un concours pour gagner des GOODIES récupérés ici et là, certains étant exclusifs à la Japan expo 2022.

    Le principe est simple, vous avez deux questions par jour : 1 à choix multiple et 1 question ouverte, il y aura un lot pour chaque jour !

    Le concours durera 7 jours, soit 7 lots à gagner !

    Vous pouvez répondre seulement à un jour ou à plusieurs, les réponses seront possibles jusqu’à une semaine après la dernière question. Il est donc possible de gagner plusieurs lots !!

    Et surtout n’hésitez pas à répondre au hasard, on ne sait jamais d’autant plus qu’il n’y a pas forcément la réponse sur internet… En cas d’égalité, un tirage au sort sera effectué.

    Et comme je suis très gentille, il y aura aussi un lot BD/comics et pas que des goodies manga !

    Concours Janvier 2023 - Jour 1

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  17. Titre de l'album : Keiji tome 10
    Scenariste de l'album : RYU Keiichiro
    Dessinateur de l'album : HARA Tetsuo
    Coloriste :
    Editeur de l'album : Mangetsu
    Note :
    Résumé de l'album :

    « Si la vie a une fin, la gloire, elle, est éternelle ! »Keiji s'est rendu sur l'île de Sado pour épauler son ami Kanetsugu sur le champ de bataille. Le clan Honma, maître des lieux, s'est en effet scindé en deux factions : une loyale au clan Uesugi, l'autre qui lui est opposée. Alors que le conflit s'enlise devant le château de Kawarada, où sont retenus en otage les enfants des habitants, Keiji prend la tête d'un bataillon haut en couleur pour saisir la forteresse. Le kabuki-mono saura-t-il prouver, une fois de plus, que l'habit ne fait pas le moine ?

    Critique :

    Une fois n’est pas coutume, le tome entier suit une seule histoire : la prise du château de Kawarada. Le clan Uesugi fait le siège du château mais ne progresse pas du tout. La faute à Samanosuke Honma qui joue en fait sur les deux tableaux : il fait mine d’être fidèle à Uesugi mais aide l’autre partie. Keiji, en bon Kabuki-mono qui n’en fait qu’à sa tête et qui vite sa vie à fond, lance une attaque frontale aidé de prisonniers et de vieux paysans prêts à mourir dans l’honneur.

    On appréciera de voir un combat assez long, à la façon de l’époque, avec des seigneurs hautains qui traitent les autres comme de la chair à canon. Des traitrises, des alliances, des couardises mais aussi de la bravoure et un sens de l’honneur sans égal. Keiji est sérieux, compatissant et sait tirer le meilleur de ses hommes : c’est une présence forte que l’on ressent aussi à la lecture. Un tome différent pour un combat sans pitié.

    Autres infos :

    Type de l'album : Manga
    Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/keiji-tome-10?ref=44

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