Toujours dans l’optique de faire reconnaitre la classe de dresseur, Valius passe le concours d’entrée de l’académie d’élite, il finit major avec des scores encore jamais vu. En parallèle, il s’inscrit à la guilde des aventuriers et commence sa première quête. C’est là qu’il rencontre Artemis, une sélénite, qui lui permet de récupérer des pouvoirs divins.
Dans ma critique précédente, j’avais dit qu’il fallait attendre la suite pour se prononcer sur l’intérêt de la série. C’est plutôt un point négatif sui se profile : Valius utilise sa magie et ses sorts, il est tellement fort, que finalement être dresseur n’apporte rien de plus. Il ne rencontre aucune difficulté devant lui (ou les règle en claquant des doigts, façon de parler bien sûr) et en plus peut se rendre de la Terre à la Lune aussi facilement que s’il franchissait une porte ! Quant à la partie dresseur, elle est plutôt mise de côté dans ces deux tomes.
Graphiquement parlant, s’il y a des idées intéressantes, notamment dans la mise en scène des combats, le manga pêche sur les personnages. Il y a des problèmes de proportion et l’auteur a tendance à aller à la facilité : il ne se donne pas toujours la peine de dessiner les deux yeux de ses héros ; un dessin globalement encore assez jeune. Une lecture finalement pas très passionnante, voir assez quelconque qui ne restera pas dans les annales.
Commentaires recommandés
Il n’y a aucun commentaire à afficher.
Rejoindre la conversation
Vous pouvez publier maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous avez un compte, connectez-vous maintenant pour publier avec votre compte.