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Nickad

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Messages posté(e)s par Nickad


  1. Titre de l'album : Midnight Secretary perfect tome 1
    Scenariste de l'album : OHMI Tomu
    Dessinateur de l'album : OHMI Tomu
    Coloriste :
    Editeur de l'album : Soleil
    Note :
    Résumé de l'album :

    Kaya est une jeune secrétaire parmi tant d'autres. Cheveux tirés en arrière, petites lunettes et tailleur impeccable, elle a tout pour ne pas se faire remarquer. Mais voilà, elle se retrouve propulsée au poste de secrétaire particulière du grand patron, un jeune homme très séduisant et très... Vampirisant ! Elle fera son maximum pour percer les lourds secrets de son nouveau patron vampire...

    Critique :

    Sorti en version simple en 2010, ce manga est devenu un classique du shojo « vampire ». Je l’avais lu à l’époque et pas relu depuis. S’il n’est pas désagréable à la lecture et comporte tous les marqueurs du genre : un beau vampire, doué dans tout ce qu’il fait et séduisant toutes les femmes, une secrétaire issue de la classe moyenne, mignonne et travailleuse, une histoire d’amour qui va naître… il faut admettre qu’il est bien construit et répond à la demande du lectorat de shojo.

    Le style graphique est classique, se concentre sur les personnages sans trop d’arrière-plan, met en valeur le physique et les étoiles dans les yeux (typique de manga de romance). Côté intérêt : tout dépend de ce que vous avez déjà lu, si c’est votre 1er du genre, vous le trouverez certainement très bien, si vous êtes déjà habitué, vous ne serez pas forcément surpris par le scénario mais ce sera une bonne distraction, il n’y a rien de déplaisant !

    L’édition perfect est donc une édition en grand format (A5), un tome double, le papier est de qualité et il y a une belle jaquette. La série comportera 4 volumes. L’auteure Tomu OHMi est connue pour ses shojos gothiques, dont plusieurs titres ont été publiés par les éditions Soleil.

    Autres infos :

    Type de l'album : Manga
    Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/midnight-secretary-perfect-edition-tome-1?ref=44

    Voir la totalité de enregistrement

  2. king's game et secret : 2 incontournables du manga survival

    Poison city : un très bon thriller

    j'ai moins de souvenirs sur darker than black et Q mais je les ai gardés

    le seul que je ne conseillerai pas c'est barrage : c'était sympathique mais sans plus

    @poseidon2c'est quoi les dates de l'opération ? 4 euros pour 2 tomes ! ça vaut le coup

  3. Cédric Biscay, l’auteur de Blitz le dernier manga sur les échecs a eu la gentillesse de me recevoir lors du Paris-Manga.

    Comme je ne suis pas une pro de l’interview, je ne retranscrirai pas ses paroles mot à mot pour ne pas faire de fausses citations ! (Il aurait fallu l’enregistrer pour ça, puis retranscrire… )

    Qu’est-ce qui vous a donné l’envie de faire un manga ?

     

    Cédric est né en 1979, il a grandi avec le club Dorothée et l’arrivée du manga en France, c’est tout naturellement qu’il est devenu un passionné de manga. Adulte, il a voulu se rapprocher du Japon et a monté en 2002 son entreprise Shibuya International proposant des services aux entreprises françaises qui voudraient s’implanter au Japon. Lui-même a produit plusieurs jeux vidéo dont  la saga Shenmue, le documentaire Sad Hill unearthed ou l’anime Astroboy reboot qui arrivera bientôt.

    Côtoyant un certain nombre de mangakas dont Akira Toriyama ou Go Nagai, il a eu l’envie un jour de passer à la réalisation et n’étant pas dessinateur, s’est mis à la recherche de la perle rare.

    Pourquoi avoir choisi de travailler avec un dessinateur Japonais ?

     

    Fan inconditionnel du manga, Cédric cherchait à être proche de l’esprit d’origine. Pour lui, il est indispensable qu’un manga ait une touche japonaise, il a donc prospecté plusieurs mois avant de collaborer avec Daitaro NISHIHARA.

    La collaboration ne s’arrête pas là, et Cédric travaille aussi avec une coscénariste japonaise Harumo SANAZAKI qui l’aide principalement pour la partie dialogues et mise en place dans les bulles.

    Ce n’est pas un peu gonflé de dire qu’un vrai manga se doit d’être japonais alors que vous êtes français ? Il n’y aurait pas comme une incohérence ?

     

    [Rires de Cédric]… A partir du moment où le style graphique du livre ne dénote pas par rapport aux autres mangas quand il le feuillette, il n’y a pas de problème.

    Comment se déroule votre collaboration ?

     

    Cédric est seul au scénario, il envoie son script et les caractéristiques des personnages au dessinateur. Ce dernier lui renvoie un storyboard, il voit alors si cela fonctionne, fait les modifications s’il y a besoin (il n’y a jamais eu de gros changements) et le manga est validé.

    Pourquoi le thème des échecs ?

     

    Il cherchait un sujet original qui n’avait pas ou peu été abordé dans d’autres mangas. Pratiquant lui-même les échecs depuis l’école primaire (en loisirs), et étant déjà fan de Garry KASPAROV, le sujet lui a semblé adéquat.

    [Pour information, le seul autre manga sur les échecs publié en France, s’appelle A l’assaut du roi (4 tomes) et n’a pas eu énormément de succès.]

    Garry Kasparov lui-même est conseiller sur certaines parties d’échecs, et apparaît dans le manga, comme le prince Albert d’ailleurs. Bien sûr, Cédric a eu leurs autorisations et a même joué aux échecs avec Garry !!

    Vous avez le scénario, le dessinateur, le conseiller, comment avez-vous trouvé la maison d’édition ?

     

    Pour être sûr d’avoir la main mise sur tout et être sûr d’obtenir ce qu’il voulait, Cédric a créé sa propre maison d’édition : IWA  (« rocher » en langue japonaise)

    Qu’envisagez-vous pour l’avenir de Blitz ?

     

    Le manga a été lancé le 18 mai 2019 au festival de Cannes, depuis il y a eu les confinements avec une expansion de la pratique des échecs et un regain d’intérêt grâce à la diffusion de la série Le Jeu de la dame depuis octobre 2020. La principauté de Monaco a également mis le manga à l’honneur dans son pavillon à l’exposition universelle de Dubai du 1er octobre 2021 au 31 mars 2022 où se déroule également en ce moment les championnats du monde des échecs !

    Rien n’était calculé d’avance mais ce sont de coïncidences qui ont permis de faire connaître le manga, 40 000 exemplaires ont déjà été vendus en France !

    Cédric est un visionnaire, le filage de son manga est fait jusqu’au tome 9, il a encore des idées pour aller jusqu’au tome 25 !! Une adaptation en anime est en cours de discussion.

    Retrouvez les critiques des tomes 1&2 ICI et des tomes 3&4 .

    Et pour en savoir plus sur Shibuya Productions c’est par ici

     

     

     

    La série Shinue détient 3 records mondiaux au World Guiness book. En juin 2021, Cédric s’est vu remettre le certificat d’honneur du ministre des affaires étrangères pour l’action de son entreprise Shibuya Productions.

    Tous ces succès, que nous lui souhaitons encore nombreux, ne lui sont pas montés à la tête: Cédric est accessible, de bonne humeur et fort sympathique.

    Je le remercie encore pour m’avoir accordé du temps, et nous nous reverrons peut-être un jour autour d’une bonne raclette (ne me demandez pas comment on en est arrivé là…)

     

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  4. Titre de l'album : Interspecies reviewers tome 3
    Scenariste de l'album : AMAHARA
    Dessinateur de l'album : MASHA
    Coloriste :
    Editeur de l'album : Ototo
    Note :
    Résumé de l'album :

    Dans un monde où cohabitent humains et démons, géants et centaures, fées et sirènes, l'aventure tend les bras à tout un chacun. Mais que vous soyez sensible ou non à l'attrait des épées et des boules de feu magiques, un tout autre genre d'aventures s'offre également à vous. Des établissements spécialisés pour les personnes en quête de belle compagnie ont éclos à travers tout le continent, et les « succubes » qui y officient ont autant de tours dans leur sac qu'il y a d'espèces en ce bas monde. Que vous souhaitiez draguer la dragonne, monter la minotaure ou harponner la harpie, il existe un cabaret de succubes pour vous ! Et pour vous permettre de savoir à l'avance si votre route vous-même à un lupanar de luxe ou dans un bordel crasseux, n'hésitez pas à consulter les critiques de Stunk et de ses joyeux compagnons : ils sauront vous renseigner.

    Critique :

    Notre petite troupe est revenue de son séjour à la cité magique. L’ange Curim se trouve presque à court d’argent et doit se concentrer sur son travail mais c’est sans compter sur la grosse somme d’argent venant des critiques. Nos amis peuvent donc repartir écumer les lupanars ! Au programme cette fois : centaures, aquarium, cluricaunes et démones…

    J’avais besoin d’un livre pour me détendre et me vider la tête, c’est celui-là que j’ai choisi et ô combien il a rempli son rôle !! Franchement, Interspecies Reviewers c’est de la détente, du pur loisir, amusant et inattendu, des réponses à des questions que vous ne vous êtes jamais posées tellement elles sont improbables ! D’ailleurs chapeau l’auteur, car des idées, il n’en manque pas. Et même si le thème général est le même (expérimentation de maisons closes et critiques dans la foulée), il n’y a pas de redondance, jamais deux fois la même relation.

    C’est agréable pour une fois de ne pas se préoccuper du scénario, ici, comme il est impossible de savoir la suite et que cela n’apporterait rien, il suffit de se laisser aller et de profiter ! Attention, tout de même, c’est un sujet réservé aux adultes !

    Autres infos :

    Type de l'album : Manga
    Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/interspecies-reviewers-tome-3?ref=44

    Voir la totalité de enregistrement


  5. Titre de l'album : Kageki Shojo ! season zero
    Scenariste de l'album : SAIKI Kumiko
    Dessinateur de l'album : SAIKI Kumiko
    Coloriste :
    Editeur de l'album : Noeve Grafx
    Note :
    Résumé de l'album :

    L'académie Kôka Kageki, dédiée à la comédie musicale, est sélective, prestigieuse et exigeante. Elle n'admet que des jeunes femmes qu'elle forme à jouer des rôles féminins ou masculins. Ai Narada, ancienne idol désabusée, intègre cette prestigieuse école et y fait la connaissance de Sarasa Watanabe, adolescente enjouée et surmotivée, qui rêve d'incarner un jour la fameuse Lady Oscar...

    Critique :

    Plusieurs jeunes filles venant de tous horizons intègrent la prestigieuse école d’arts en scène Kôka Kageki qui permet ensuite de faire partie d’une troupe reconnue et admirée. Cette académie est réservée aux filles et elles y apprennent, danse, comédie, chant… 1 candidate sur 25 seulement a la chance d’y entrer. Il y a Ai Narata, ex-idole, venue pour y trouver un refuge, Sarasa Watanabe, jeune fille pleine de fraicheur, un peu naïve, venue pour exaucer son souhait de jouer Lady Oscar, le rôle phare de la troupe de Kôka. Chacune des élèves a de l’ambition et des rêves à réaliser mais toutes ne pourront pas devenir la star de la troupe.

    Kageki shojo est un manga plein de fraicheur, le texte est agréable, le dessin aussi (Sarasa a des faux airs de Candy, par ses couettes et son côté positif). Il n’y a pas de lourdeur dans la narration, pas de clichés non plus, il y a un juste équilibre entre la vie de l’académie et la vie (et problèmes) des jeunes filles. Je ne m’y suis pas ennuyée un seul instant et j’ai vraiment envie de lire la suite.

    L’académie Kôka est grandement inspirée de la troupe Takarazuka, troupe féminine où les membres jouent aussi bien les hommes que les femmes. D’un côté, le manga nous propose de découvrir l’envers du décor avec une formation exigeante, la concurrence ou l’entraide entre les élèves. D’un autre, il aborde plein de thèmes secondaires, le monde des idoles, la façon de surmonter les problèmes, d’aller de l’avant, l’amitié…

    Ce 1er tome est un tome double qui compte 472 pages, les autres seront des tomes simples, la série en est à 12 actuellement. La critique ayant été faite à partir d’un pdf, je ne peux rien vous dire sur l’édition à part que Noeve Grafx a toujours soigné ses mangas pour le moment.

    Kageki Shojo T00 visuel 01.jpg

    Kageki Shojo T00 visuel 03.jpg

    Autres infos :

    Type de l'album : Manga
    Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/kageki-shojo-zero?ref=44

    Voir la totalité de enregistrement

  6. il y a 58 minutes, Kevin Nivek a dit :

    De toute façon , le résultat est publié tous les jours , ce n'est pas comme l'année dernière , on aucune chance de gagner quoi que ce soit lol .

    il y a quand même de moins en moins de personnes qui répondent... ça devient plus dur aussi

    • Like 1
  7. Il y a 7 heures, kvin a dit :

    bon du coup, selon Vimaire, c'est "les strates" de pénélope Bagieu 😉 Je me suis trompé sur l'album et la couv, mais du coup j'avais juste sur la dessinatrice 🙂 (j'avais tapé Pénélope en pensant qu c'était le nom de la-dite BD^^). Mais du coup, a ne me dity pas quelle BD j'avais en tête et ça m'énerve! xD

    c'est quoi,Vimaire ???

    sinon je voyais bien la couverture dont tu parlais mais impossible de mettre un nom dessus !!!


  8. Titre de l'album : Old fashion cupcake
    Scenariste de l'album : SAGAN SAGAN
    Dessinateur de l'album : SAGAN SAGAN
    Coloriste :
    Editeur de l'album : Akata
    Note :
    Résumé de l'album :

    À 39 ans, Nozue réalise qu'à force de s'être laissé porter par son quotidien, il a fini par s'enfermer dans sa routine : métro, boulot, dodo. Mais à l'approche de la quarantaine, le salarié n'a ni l'envie ni l'énergie d'essayer d'évoluer. C'est Togawa, son subordonné de 29 ans, qui bouscule ses habitudes en lui proposant un jour d'aller grignoter des pâtisseries dans un établissement particulièrement en vogue chez les jeunes filles. D'un goûter à l'autre, Nozue se sent rajeunir... Mais estce vraiment l'effet de ces gourmandises ou plutôt celui de sentiments naissants ?

    Critique :

    Nozue a 39 ans, il est salarié mais ne cherche pas à évoluer dans son entreprise, il se contente d’un quotidien bien monotone : métro, boulot, dodo. Au cours d’un déplacement d’affaires, il se confie à son subordonné Togawa, en disant qu’il admire les lycéennes qui croquent la vie à pleine dents. Togawa va alors inciter Nozue à se comporter de la même manière.

    Old fashion Cupcake est d’abord une tranche de vie, celle de Nozue, lassé par le temps, se voyant vieillir, pris dans la routine du boulot, se rendant compte qu’il n’y a pas grand-chose dans sa vie à part le travail. Un homme proche de la quarantaine qui ne cherche pas à changer la situation de peur de l’échec. Puis c’est Togawa, un trentenaire qui admire son chef car ce dernier a su trouver les mots qu’il fallait pour l’encourager au début de sa carrière, un jeune homme intéressé par Nozue qui ne veut pas voir ce dernier regretter sa vie. C’est leur quotidien qui change petit à petit, ce sont les relations de travail, les attentes d’adultes dans le monde du travail.

    Très bien dessiné, c’est assez rare d’ailleurs, qu’il y ait autant de cases dans une planche, l’auteur prend vraiment le temps de développer la relation entre les deux hommes, une relation de travail au départ qui va ensuite devenir de l’amitié puis de l’amour. Le manga est d’une lecture agréable, les personnages attachants et, pour ceux qui se posent la question, il n’y a pas de scènes intimes explicites, juste légèrement érotiques et encore, qu’à la toute fin du livre.

     

    old fashion p2.png

    old fashio p1.jpg

    Autres infos :

    Type de l'album : Manga
    Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/old-fashion-cupcake-tome-1?ref=44

    Voir la totalité de enregistrement


  9. Titre de l'album : AO ASHI - playmaker tome 5
    Scenariste de l'album : KOBAYASHI Yûgo
    Dessinateur de l'album : KOBAYASHI Yûgo
    Coloriste :
    Editeur de l'album : Mangetsu
    Note :
    Résumé de l'album :

    Après un premier entraînement très difficile avec les U18 du Tokyo City Esperion, Ashito doit vite comprendre ce qu'il manque à son jeu s'il veut un jour accomplir son rêve et devenir professionnel. C'est au contact de l'équipe A que le jeune natif d'Ehime va débuter une progression fulgurante et affiner sa qualité première : la vision de jeu.

    Critique :

    L’équipe B (celle d’Ashito) va s’entrainer avec l’équipe A, le premier match sera à 11 contre 21 puis ce sera l’inverse. A la fin, deux camarades d’Ashito s’énerve contre lui, l’entraineur lui demande alors de comprendre pourquoi. Ashito, inexpérimenté et ne connaissant pas les bases va devoir se creuser les méninges pour avancer.

    Je le rappelle, je ne suis pas du tout fan de football, loin de là même et pourtant Ao Ashi réussi l’exploit de m’intéresser ! Le manga ne parle pas que de tournois, matchs, rivalités entre joueurs, non il s’attarde sur l’importance des bases que ce soit techniques ou sociales (on ne peut gagner un match seul). Mais ce qui est bien, c’est que l’on ne nous donne pas la réponse tout de suite, notre héros Ashito doit y réfléchir par lui-même, et cela nous permet nous aussi de nous poser la question. On est vraiment sur une logique d’apprentissage et d’évolution.

    Le graphisme est toujours aussi expressif et dynamique et nous plonge bien dans l’ambiance. Un bon manga de sport que l’on continuera à suivre.

    Autres infos :

    Type de l'album : Manga
    Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ao-ashi-tome-5?ref=44

    Voir la totalité de enregistrement

  10. le manga a commencé à être écrit en 2017, c'est la maison d'édition Omaké qui a choisi ce titre, avec  une ressemblance voulue pour attirer les ados

    la traduction du titre original serait quelque chose comme "note de suicide". Le roman qui a inspiré la série date de 2007.

    Si au 1er abord, il y a des ressemblancesa (une ado qui se suicide et laisse des indices derrière elle), le reste est différent. Dans la série, Anna dit clairement ce qui s'est passé, ici, les lettres sont cordiales à la 1ere lecture mais remplies de non-dit, c'est au cours de confrontations entre les élèves que la vérité surgit peu à peu. Le pitch disait que c'était à mi-chemin entre 13 reasons et 12 hommes en colère et c'est assez vrai : 13 reasons pour la trame de fond, et 12 hommes pour l'analyse : chercher ce qui cloche, ce qui est caché derrière les mots. C'est vraiment bien fait et la lecture est vraiment prenante.

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