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  1. Nickad

    Golden Guy tome 1

    Titre de l'album : Golden Guy tome 1 Scenariste de l'album : WATANABE Jun Dessinateur de l'album : WATANABE Jun Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : Kai Sakurai est le chef d'un petit clan, appartenant à la famille Kamezuru, une influente organisation de yakuzas. Alors qu'il pense couler des jours heureux avec une partie de ses membres, un de ses compagnons est sauvagement assassiné ! Prêt à tout pour retrouver le meurtrier, Kai est loin de se douter que cette affaire va faire remonter d'anciens conflits à l'intérieur du clan, et pourrait même le mener au fameux trésor des Tokugawa...Désir, violence et complot seront les maîtres-mot de cette série de Jun Watanabe (Montage, Malédiction finale). Critique : Si les querelles entre des clans de yakuzas sont courantes, leurs motivations ne sont pas toujours les mêmes, et si en plus il y a un trésor mythique à trouver, certains ne vont reculer devant rien pour arriver à leur fin. Est-ce que les liens de la « famille » au sens mafieux pourront survivre à de tels événements ? Le manga se situe entre thriller et aventure car ce n’est pas juste une chasse au trésor, il s’agit aussi de relations humaines et des liens qui sont très forts entre les membres d’un clan de yakuza. Complots, meurtres, manipulations, combats, le clan Osaragi arrivera-t-il à s’en sortir surtout que l’argent fait tourner les têtes et que personne n’est à l’abri d’une trahison ? Soutenu par un graphisme fort et des personnages facilement identifiables avec des visages masculins bien marqués, le manga va droit au but avec ce qu’il faut de violence et de tension. On aime ça et on en redemande, vivement la suite ! Autres infos : 6 tomes en cours Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/golden-guy-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. Nickad

    Golden Guy tome 1

    Si les querelles entre des clans de yakuzas sont courantes, leurs motivations ne sont pas toujours les mêmes, et si en plus il y a un trésor mythique à trouver, certains ne vont reculer devant rien pour arriver à leur fin. Est-ce que les liens de la « famille » au sens mafieux pourront survivre à de tels événements ? Le manga se situe entre thriller et aventure car ce n’est pas juste une chasse au trésor, il s’agit aussi de relations humaines et des liens qui sont très forts entre les membres d’un clan de yakuza. Complots, meurtres, manipulations, combats, le clan Osaragi arrivera-t-il à s’en sortir surtout que l’argent fait tourner les têtes et que personne n’est à l’abri d’une trahison ? Soutenu par un graphisme fort et des personnages facilement identifiables avec des visages masculins bien marqués, le manga va droit au but avec ce qu’il faut de violence et de tension. On aime ça et on en redemande, vivement la suite !
  3. Titre de l'album : Le printemps d'un cœur brisé Scenariste de l'album : COCOMI Dessinateur de l'album : COCOMI Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Eisuke Kôga, 32 ans, rêve par dessous tout de devenir photographe. Lorsque son souhait s'effondre et qu'il ne croit plus au bonheur de la vie, il rencontre un lycéen sous le cerisier en fleurs de son quartier. Ce jeune homme n'est autre que Kai, l'aîné de la famille voisine. Une relation complice naît entre les deux hommes, qui s'encouragent mutuellement dans leurs projets. Mais quand Kai, qui s'apprête à partir pour l'université, lui annonce qu'il est amoureux de lui, Eisuke ne peut s'empêcher de se sentir mal à l'aise et lui demande de ne plus jamais revenir. Pourra-t-il passer outre la différence d'âge pour savourer pleinement les sentiments qui éclosent dans son cœur ? Critique : C’est l’histoire d’un homme de 32 ans, Eisuke, célibataire, un peu déçu par la vie qui a mis son rêve d’être photographe de côté, dont l’un des rares plaisirs est de profiter de la vue sur les cerisiers depuis son appartement. Un homme qui un jour perd ce dernier réconfort car une maison s’est construite devant chez lui et qui pense détester ses voisins jusqu’au jour où il rencontre le fils de la famille, un jeune lycéen qui va prendre une place non négligeable dans sa vie. L’histoire est toute en douceur, les deux hommes se côtoient sans arrière-pensée, passent du temps ensemble, partageant des moments tranquilles, l’un travaillant sur ses reportages photos, l’autre pour ses études. Et puis sans s’en rendre vraiment compte, la place que chacun va prendre dans le cœur de l’autre va s’agrandir. Seulement il est difficile pour Eisuke de franchir le pas, lui qui a 15 ans de plus, il se pose plus de questions sur ce qu’une relation avec un homme âgé peut avoir comme inconvénients. C’est une belle histoire d’amour racontée simplement avec beaucoup de tendresse, une histoire attachante. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-printemps-d-un-coeur-brise?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. Nickad

    Le printemps d'un cœur brisé

    C’est l’histoire d’un homme de 32 ans, Eisuke, célibataire, un peu déçu par la vie qui a mis son rêve d’être photographe de côté, dont l’un des rares plaisirs est de profiter de la vue sur les cerisiers depuis son appartement. Un homme qui un jour perd ce dernier réconfort car une maison s’est construite devant chez lui et qui pense détester ses voisins jusqu’au jour où il rencontre le fils de la famille, un jeune lycéen qui va prendre une place non négligeable dans sa vie. L’histoire est toute en douceur, les deux hommes se côtoient sans arrière-pensée, passent du temps ensemble, partageant des moments tranquilles, l’un travaillant sur ses reportages photos, l’autre pour ses études. Et puis sans s’en rendre vraiment compte, la place que chacun va prendre dans le cœur de l’autre va s’agrandir. Seulement il est difficile pour Eisuke de franchir le pas, lui qui a 15 ans de plus, il se pose plus de questions sur ce qu’une relation avec un homme âgé peut avoir comme inconvénients. C’est une belle histoire d’amour racontée simplement avec beaucoup de tendresse, une histoire attachante.
  5. Nickad

    Peach boy riverside tome 1

    le livre fait partie de la collection XS à 3.95 € le tome et compte 11 tomes actuellement
  6. Titre de l'album : Peach boy riverside tome 1 Scenariste de l'album : COOLKYOUSINNJYA Dessinateur de l'album : JOHANNE Coloriste : Editeur de l'album : Noeve Grafx Note : Résumé de l'album : Saltherine est la princesse du paisible royaume d’Aldarake et n’a jamais quitté la sécurité des murailles de sa capitale et pour cause : les horribles monstres nommés “oni” rôdent et menacent le voyageur imprudent… Mais Saltherine veut voyager, découvrir le monde. En rencontrant Mikoto Kibitsu, qui voyage en solitaire, elle pense tenir sa chance... mais celle-ci vole en éclat lorsqu’elle découvre la nature de Mikoto. Qu’à cela ne tienne, Saltherine voyagera seule. Commence pour elle un périple qui changera le monde. Critique : Dans le monde du manga, les hommes se sont réfugiées dans des villes défendues par de hautes murailles car des monstres dangereux et tueurs d’hommes vivent à l’extérieur. Parfois il y a des voyageurs comme Mikoto, un jeune homme qui souhaite exterminer tous les ogres ou Sally, une princesse en quête d’exploration qui va voyager avec Frau, un homlap (comprendre homme-lapin). Parmi ces voyageurs certains seraient la réincarnation de Momotarô, le garçon du conte, celui qui est né dans une pêche, doté d’une très grande force et parti combattre les démons. A sa façon, le manga exploite le conte en supposant qu’il n’y aurait pas qu’un Momotarô mais plusieurs, à part ça, le reste de la trame reste flou. D’abord on ne sait pas vraiment qui est le personnage principal, car si on suit surtout le périple de Sally, on s’attarde beaucoup sur Frau et Mikoto et comme chacun semble avoir un objectif différent on ne sait pas vers quoi tend le manga. Ensuite, on ne voit pas vraiment l’importance du conte : si c’était pour dire que plusieurs personnes ont des super pouvoirs et peuvent vaincre les ogres, était-ce bien la peine d’y faire référence ? J’ai découvert cette histoire avec son anime que j’ai un peu laissé de côté car je m’y ennuyais : les personnages parcourent le monde chacun de leur côté et après ? Certes le manga se lit bien, il est plutôt agréable et n’a pas de temps mort mais il manque un fil conducteur qui nous permettrait d’y voir plus clair. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/peach-boy-riverside-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Nickad

    Peach boy riverside tome 1

    Dans le monde du manga, les hommes se sont réfugiées dans des villes défendues par de hautes murailles car des monstres dangereux et tueurs d’hommes vivent à l’extérieur. Parfois il y a des voyageurs comme Mikoto, un jeune homme qui souhaite exterminer tous les ogres ou Sally, une princesse en quête d’exploration qui va voyager avec Frau, un homlap (comprendre homme-lapin). Parmi ces voyageurs certains seraient la réincarnation de Momotarô, le garçon du conte, celui qui est né dans une pêche, doté d’une très grande force et parti combattre les démons. A sa façon, le manga exploite le conte en supposant qu’il n’y aurait pas qu’un Momotarô mais plusieurs, à part ça, le reste de la trame reste flou. D’abord on ne sait pas vraiment qui est le personnage principal, car si on suit surtout le périple de Sally, on s’attarde beaucoup sur Frau et Mikoto et comme chacun semble avoir un objectif différent on ne sait pas vers quoi tend le manga. Ensuite, on ne voit pas vraiment l’importance du conte : si c’était pour dire que plusieurs personnes ont des super pouvoirs et peuvent vaincre les ogres, était-ce bien la peine d’y faire référence ? J’ai découvert cette histoire avec son anime que j’ai un peu laissé de côté car je m’y ennuyais : les personnages parcourent le monde chacun de leur côté et après ? Certes le manga se lit bien, il est plutôt agréable et n’a pas de temps mort mais il manque un fil conducteur qui nous permettrait d’y voir plus clair.
  8. Titre de l'album : Zone fantôme tome 1 Scenariste de l'album : ITO Junji Dessinateur de l'album : ITO Junji Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : Recueil de quatre nouvelles : - Le coteau aux pleureuses. - Maudite madone. - La rivière spectrale de Aokigahara. - Léthargie. À la suite d'un voyage improvisé, une jeune femme est prise de sanglots incontrôlables, un internat catholique au fonctionnement obscur semble vénérer la Sainte Vierge comme une divinité à part entière, la forêt tristement célèbre pour ses suicides qui s'étend au pied du mont Fuji devient le théâtre d'un déferlement d'âmes errantes et un étudiant en droit se demande s'il ne serait pas le tueur en série qui défraie la chronique depuis plusieurs jours... Critique : Zone fantôme est le dernier manga en date de Junji Itô, d’abord publié sous forme de nouvelles sur l’application Line Manga, il est ensuite sorti en version reliée en mars 2021 au Japon. Le 1er aspect à noter c’est le format de ces 4 histoires, en changeant de mode de publication (en partie dû au coronavirus), Junji Itô a pu prendre plus de temps sur les planches de zone fantôme, il n’a pas eu de contraintes quant aux nombres de pages à respecter, ce qui selon ses dires lui a permis de finir ses nouvelles sans avoir besoin de les remanier pour respecter un format imposé. Il a pu ainsi aller au bout de ses envies. L’autres aspect et qui ne se ressent absolument pas, c’est qu’il a travaillé uniquement en numérique. Zone fantôme regroupe 4 nouvelles autour de phénomènes plus ou moins psychiques/paranormaux. Les deux premières le coteau aux pleureuses et maudite madone sont particulièrement réussies : contenant des aspects fantastiques et inexplicables, ces histoires arrivent à nous captiver, on est à la fois dérouté et fasciné. La 3eme est plus mystique avec une recherche transcendantale de l’être. En ce qui me concerne, la dernière est un peu à part car elle relève moins du fantomatique que de la manipulation psychologique, l’histoire est très bien mais un peu moins dans le thème. En conclusion, ce recueil est un ouvrage très bien fait et intéressant qui nous prouve encore une fois que le maître peut toujours nous surprendre et nous amener sur des chemins inédits et énigmatiques. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/zone-fantome-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. Nickad

    Zone fantôme tome 1

    Zone fantôme est le dernier manga en date de Junji Itô, d’abord publié sous forme de nouvelles sur l’application Line Manga, il est ensuite sorti en version reliée en mars 2021 au Japon. Le 1er aspect à noter c’est le format de ces 4 histoires, en changeant de mode de publication (en partie dû au coronavirus), Junji Itô a pu prendre plus de temps sur les planches de zone fantôme, il n’a pas eu de contraintes quant aux nombres de pages à respecter, ce qui selon ses dires lui a permis de finir ses nouvelles sans avoir besoin de les remanier pour respecter un format imposé. Il a pu ainsi aller au bout de ses envies. L’autres aspect et qui ne se ressent absolument pas, c’est qu’il a travaillé uniquement en numérique. Zone fantôme regroupe 4 nouvelles autour de phénomènes plus ou moins psychiques/paranormaux. Les deux premières le coteau aux pleureuses et maudite madone sont particulièrement réussies : contenant des aspects fantastiques et inexplicables, ces histoires arrivent à nous captiver, on est à la fois dérouté et fasciné. La 3eme est plus mystique avec une recherche transcendantale de l’être. En ce qui me concerne, la dernière est un peu à part car elle relève moins du fantomatique que de la manipulation psychologique, l’histoire est très bien mais un peu moins dans le thème. En conclusion, ce recueil est un ouvrage très bien fait et intéressant qui nous prouve encore une fois que le maître peut toujours nous surprendre et nous amener sur des chemins inédits et énigmatiques.
  10. Titre de l'album : Re:zero chronicles : la ballade amoureuse de la lame démoniaque tome 2 Scenariste de l'album : NAGATSUKI Tappei Dessinateur de l'album : NOZAKI Tsubata Coloriste : Editeur de l'album : Ototo Note : Résumé de l'album : Bien avant que Subaru Natsuki n’apparaisse dans ce monde, le royaume draconique de Lugnica était en proie à une guerre opposant les humains et les semi-humains, surnommée « la Guerre des hommes-bêtes ». Le jeune Wilhelm, réputé pour trancher ses ennemis tel un démon depuis sa première bataille, se voit rapidement affublé du surnom de Lame démoniaque. Le jeune homme devient très vite membre de l’escouade d’élite du capitaine Zellgef et finit par rencontrer Theresia, une jeune fille qui aime contempler les fleurs près d’un champ à l’écart de la ville. Cette rencontre apportera-t-elle un nouvel avenir au jeune homme qui ne recherche que la force sur un champ de bataille où les combats redoublent d’intensité ? Critique : Ce manga se passe dans l’univers de re :zero mais bien avant la série principale et il n’y a pas vraiment de lien entre les deux. En fait, cette série peut être lue indépendamment et sans avoir aucune connaissance de re :zero : c’est une aventure dans un monde de fantasy qui raconte l’histoire d’un épéiste au milieu d’une guerre entre humains et semi-humains. Donc à part les rencontres de notre héros Wilhelm avec une jeune fille mystérieuse qui aime les fleurs, tout le reste est l’histoire du conflit où se mêlent combats classiques (épée, flèches, boucliers…) et magie. On suit Wilhelm et ses compagnons, on y rencontre ses alliés et ses ennemis mais surtout c’est l’évolution de notre héros qui est importante : lui qui ne souhaitait être qu’une épée dépourvue de sentiment va commencer à changer suite à la rencontre de la jeune fille. Si le scénariste est le même que pour les autres arc de re :zero vu que les mangas sont issus de light novels, on a affaire à un nouveau dessinateur dont le graphisme reste cohérent avec les autres arcs et surtout avec ce genre de récit. Ce spin-off n’est pas construit de la même façon (avec des boucles temporelles) et suit une histoire de façon chronologique, ce qui évitera peut-être certaines longueurs présentes dans la série principale. C’est une aventure plutôt agréable à lire qui a aussi sa part de mystère. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/re-zero-chronicles-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. Ce manga se passe dans l’univers de re :zero mais bien avant la série principale et il n’y a pas vraiment de lien entre les deux. En fait, cette série peut être lue indépendamment et sans avoir aucune connaissance de re :zero : c’est une aventure dans un monde de fantasy qui raconte l’histoire d’un épéiste au milieu d’une guerre entre humains et semi-humains. Donc à part les rencontres de notre héros Wilhelm avec une jeune fille mystérieuse qui aime les fleurs, tout le reste est l’histoire du conflit où se mêlent combats classiques (épée, flèches, boucliers…) et magie. On suit Wilhelm et ses compagnons, on y rencontre ses alliés et ses ennemis mais surtout c’est l’évolution de notre héros qui est importante : lui qui ne souhaitait être qu’une épée dépourvue de sentiment va commencer à changer suite à la rencontre de la jeune fille. Si le scénariste est le même que pour les autres arc de re :zero vu que les mangas sont issus de light novels, on a affaire à un nouveau dessinateur dont le graphisme reste cohérent avec les autres arcs et surtout avec ce genre de récit. Ce spin-off n’est pas construit de la même façon (avec des boucles temporelles) et suit une histoire de façon chronologique, ce qui évitera peut-être certaines longueurs présentes dans la série principale. C’est une aventure plutôt agréable à lire qui a aussi sa part de mystère.
  12. Titre de l'album : Darling in the franxx tomes 2 et 3 Scenariste de l'album : YABUKI Kentaro Dessinateur de l'album : YABUKI Kentaro Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Dans un futur lointain, l'humanité s'est retranchée dans des villes fortifiées mobiles, les Plantations. Elles sont régulièrement menacées par les Kyôryû. De jeunes pilotes affrontent ces ennemis à bord des Franxx, des robots géants. Hiro ne s'accorde pas avec sa partenaire et échoue à devenir pilote, jusqu'à l'arrivée de Zero Two, une étrange jeune fille avec laquelle il est capable de piloter. Critique : Hiro a réussi à piloter avec Zero Two, il essaye avec Ichigo mais s’il arrive à faire bouger le franxx il reste vite immobilisé. Devant cette incapacité, il ne peut obtenir son statut d’étamine, il est donc obligé de rester sur la touche quand une mission d’extermination d’hurleurs arrive. Pour sauver ses amis, il part quand même se battre avec Zero Two et fait mouche, seulement la malédiction liée à Zero Two semble réelle, la santé d’Hiro se détériore, ne lui reste-t-il qu’un vol à accomplir avant de mourir ? Les deux tomes sont centrés sur les premières missions de combats de l’équipe 13 : leur travail d’équipe et surtout la synchronisation entre les deux pilotes indispensables au bon fonctionnement du franxx. Si Hiro est un pilote hors pair, il ne semble pouvoir travailler qu’avec Zero Two et celle-ci semble cacher bien des mystères ! Un gros combat est annoncé pour le tome 4 et l’on découvrira peut-être plus d’informations sur la malédiction. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/darling-in-the-franxx-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. Nickad

    Darling in the franxx tomes 2 et 3

    Hiro a réussi à piloter avec Zero Two, il essaye avec Ichigo mais s’il arrive à faire bouger le franxx il reste vite immobilisé. Devant cette incapacité, il ne peut obtenir son statut d’étamine, il est donc obligé de rester sur la touche quand une mission d’extermination d’hurleurs arrive. Pour sauver ses amis, il part quand même se battre avec Zero Two et fait mouche, seulement la malédiction liée à Zero Two semble réelle, la santé d’Hiro se détériore, ne lui reste-t-il qu’un vol à accomplir avant de mourir ? Les deux tomes sont centrés sur les premières missions de combats de l’équipe 13 : leur travail d’équipe et surtout la synchronisation entre les deux pilotes indispensables au bon fonctionnement du franxx. Si Hiro est un pilote hors pair, il ne semble pouvoir travailler qu’avec Zero Two et celle-ci semble cacher bien des mystères ! Un gros combat est annoncé pour le tome 4 et l’on découvrira peut-être plus d’informations sur la malédiction.
  14. On parle beaucoup de la Japan expo, on s’en fait une certaine idée mais au fait c’est quoi exactement ? La Japan expo est le plus grand événement européen autour de la culture du Japon, situé au parc des expositions de Villepinte au nord-est de Paris, pas très loin de l’aéroport Charles de Gaulle. L’exposition se déroule sur 4 jours (en général le 1er week-end de juillet) il s’étend sur plusieurs halls du parc des expositions, comme vous pouvez le voir sur le plan ci-dessous. Qu’est-ce qu’on y trouve ? - Une grosse partie est dédiée à l’univers du manga avec la présence d’une bonne partie des éditeurs français et quelques indépendants : chacun propose une partie librairie où vous pouvez obtenir des goodies inédits ou exclusifs, les éditeurs qui ont plus de moyens propose aussi des animations autour de leurs séries phares, vous pouvez aussi retrouver un espace dédicace et y rencontrer des auteurs. Il y a aussi certaines plateformes de webtoon avec événements cadeaux et dédicaces. - Une partie fanart où il y a des auteurs indépendants, des artistes qui font des illustrations originales ou dérivées de personnages connus, des créations kawaii… - Une partie merchandising où vous pouvez acheter figurines, produits dérivés, katanas, vêtements de cosplay, peluches… - Une autre grosse partie autour des jeux video avec des bornes pour tester les jeux, des quizzs avec des cadeaux à gagner… - Une partie autour de la musique avec des scènes où l’on peut voir des groupes K-pop ou des idoles japonaises - Un espace jeux et sports pour pratiquer des jeux de société traditionnels ou faire une initiation au sumo - Un village d’artisans japonais (ambiance très zen !) avec des objets et des artisans en provenance directe du Japon, on n’a notamment pu assister à un aiguisage de couteaux par un maitre coutelier selon les méthodes traditionnelles. Cet espace avait également une scène pour y entendre de la musique et y voir des danses traditionnelles (concert de shamisen par exemple) - Un espace détente pour découvrir le shiatsu, suivre un court enseignement ou profiter d’une séance de 30 minutes - Un espace autour du cosplay avec la possibilité de rencontrer des cosplayeurs célèbres, de faire réparer son costume si un problème est survenu pendant le salon, de se faire prendre en photo par des professionnels, de faire des photos de groupe autour d’un même thème et donc d’y faire des rencontres !! - Une zone était réservée pour la diffusion de films : épisodes d’anime en avant-première ou festival autour d’un metteur en scène le soir - Une scène avec des démonstrations de cuisine, une pour des conférences et je dois certainement en oublier ! - Un hall entièrement réservé pour l’ECG : l’European Cosplay Gathering pour un show exceptionnel le samedi soir et la sélection française le dimanche - Ensuite des stands qui n’avaient pas grand-chose à voir avec le Japon (genre Starwars et Harry Potter) mais qui ont toujours du succès - Et bien sûr, disséminés çà et là, de la restauration autour de l’Asie pour y déguster Onigiri, Omerice, Corn dog, Poulet Karage… Du coup devant tout ce qu’il est possible de faire ou de voir, il faut s’organiser un minimum, voici donc les conseils : - Réserver un hôtel dès que vous savez que vous venez, car certaines enseignes n’hésitent pas à augmenter considérablement leur prix (j’en ai vu un passer de 47 à 190 euros la nuit !!) - Ne prenez pas l’hôtel trop loin du parc des expo, envisager de pouvoir éventuellement vous y rendre à pied (j’ai dû revenir à pied un soir et j’ai mis 30 minutes) - Pensez que si vous devez reprendre des transports en commun pour vous y rendre, cela vous coutera de l’argent en plus, le RER est pratique mais il n’y en a pas tout le temps. Il y a pas mal de bus qui desservent le parc mais attention le week-end, il y en a moins et vu le nombre de visiteurs ils sont souvent blindés. Heureusement, les chauffeurs n’étaient pas regardant sur les titres de transports et beaucoup ont pris le bus gratuitement - Si vous pouvez, venez avec vos sandwichs, il est tentant de découvrir la nourriture sur place mais si vous restez 4 jours, cela peut vite devenir cher. Attention, les hôtels et supérettes sur place se sont vite retrouvés à sec. - Prévoyez de l’argent liquide, les petits stands ne prennent pas forcément la carte bleue et la consigne à l’entrée de la Japan pour laisser vos sacs ou valises ne prend que de l’espèce ! Pareil, les distributeurs sur place étaient à sec dès le 2eme jour ! - Si vous voulez absolument avoir certains goodies ou dédicaces, privilégiez ces endroits le matin en arrivant et même comme cela, il faut être au début de la file d’attente car les visiteurs qui ont les moyens achètent le pass zen et arrivent 1H avant les autres - Pareil pour les animations : certaines demandent du temps et les files d’attente s’allongent rapidement. Certaines activités (comme la séance de shiatsu) peuvent être réservées pour les jours qui suivent. N’hésitez pas à vous renseigner. - Pour les goodies éditeurs : ils sont normalement obtenus avec l’achat de mangas. Cependant, il y a aussi des goodies gratuits (comme des badges) que vous pouvez avoir en demandant à la caisse. Après tout dépend de la personne que vous avez en face de vous ! Certains goodies partent très vite alors prenez les en début de salon. Et dans la dernière heure du dimanche, certains stands donnent ce qui leur reste. - Pour le spectacle ECG, si vous avez un billet ou un star pass, vous aurez une file d’attente prioritaire et des chaises au plus près de la scène. Pour les autres, si vous faites la queue assez tôt, il y aura encore des chaises, sinon les autres sont assis par terre et voient le spectacle sur grand écran (à noter que la queue a commencé 2 heures avant le début du spectacle) - Et le plus important ; prenez conscience que vous ne pourrez pas tout faire, donc faites-vous un petit planning avec vos priorités et vous caserez le reste quand vous pourrez !!
  15. Nickad

    Baltzar tome 12

    Titre de l'album : Baltzar tome 12 Scenariste de l'album : NAKAJIMA Michitsune Dessinateur de l'album : NAKAJIMA Michitsune Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Rentré au pays sur convocation de l'armée de WeiBen, Baltzar est soumis à une commission d'enquête. Il est désemparé : en contrepartie d'une promotion, il est relégué dans une forteresse près de la frontière. Mais la situation se dégrade très vite à WeiBen et la guerre secrète entre le clan du Roi et celui du chef d'État-Major s'intensifie. Le malheur va s'abattre sur le Roi qui avait finalement pris Baltzar sous son aile... La vie de Baltzar va-t-elle en être bouleversée !? Critique : Partis en train pour protéger le roi de WeiBen devant les manigances de l’Etat-major, la petite équipe de Baltzar se fait rattraper par des terroristes en automobiles, hélas la situation tourne à la catastrophe et il faut agir vite pour empêcher un coup d’état. Une première partie de livre très dynamique avec des combats dans le train suivie d’une course contre la montre pour tenter de stabiliser la situation politique avant qu’il ne soit trop tard. Baltzar va finir par comprendre qu’impliqué comme il est, il ne peut plus prétendre à une petite vie tranquille et qu’il a un rôle à jouer. Le graphisme est toujours superbe et détaillé et appuie vraiment le récit, le rythme de l’action est soutenu et les événements vont en s’accélérant tenant le lecteur en haleine. Le manga ne s’essouffle pas et trouve même de nouveaux rebondissements, on ne s’en lasse vraiment pas ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/baltzar-la-guerre-dans-le-sang-tome-12?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. Nickad

    Baltzar tome 12

    Partis en train pour protéger le roi de WeiBen devant les manigances de l’Etat-major, la petite équipe de Baltzar se fait rattraper par des terroristes en automobiles, hélas la situation tourne à la catastrophe et il faut agir vite pour empêcher un coup d’état. Une première partie de livre très dynamique avec des combats dans le train suivie d’une course contre la montre pour tenter de stabiliser la situation politique avant qu’il ne soit trop tard. Baltzar va finir par comprendre qu’impliqué comme il est, il ne peut plus prétendre à une petite vie tranquille et qu’il a un rôle à jouer. Le graphisme est toujours superbe et détaillé et appuie vraiment le récit, le rythme de l’action est soutenu et les événements vont en s’accélérant tenant le lecteur en haleine. Le manga ne s’essouffle pas et trouve même de nouveaux rebondissements, on ne s’en lasse vraiment pas !
  17. Titre de l'album : Les enfants d'Hippocrate tomes 1 et 2 Scenariste de l'album : HIGASHIMOTO Toshiya Dessinateur de l'album : HIGASHIMOTO Toshiya Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : Maco Suzukake est un jeune pédiatre, qui adore son métier, bien qu'il ne soit pas des plus évidents. Dans un pays où la baisse de la natalité se fait de plus en plus ressentir, il doit faire face à des parents surprotecteurs qui exigent un service immédiat. Cependant, il en faut plus pour décourager Maco, qui décide de se dévouer corps et âme pour aider ses petits patients.Après Le Bateau de Thésée, Toshiya Higashimoto revient avec une nouvelle oeuvre pleine d'humanité, portée par un héros sincère au grand coeur. Critique : Des mangas sur le monde hospitalier, il y en a déjà eu plusieurs, certains étaient centrés sur les services d’urgence, sur les équipes d’intervention sur les lieux des accidents, sur des chirurgiens, sur des infirmières… Celui-ci se penche sur le domaine de la pédiatrie : on y suit le quotidien d’un jeune pédiatre, un peu étrange, ses relations avec ses patients, sa conception de son métier mais aussi une partie sur sa vie privée et les relations compliquées avec sa famille. Ce qui frappe d’abord, et c’est un aspect que j’avais déjà noté dans d’autres livres : c’est l’aspect financier des hôpitaux. Au Japon, il est possible de fermer un service parce que celui-ci n’est pas rentable même si ce service existe pour sauver des vies ! Le service administratif est également très regardant sur tout ce qui peut lui apporter des problèmes : par exemple, on ne va s’occuper d’un patient si le risque que la famille porte plainte est trop important. Il y a un passage très marquant dans le livre où des médecins parlent entre eux « Quand on est dans un avion et qu’on demande s’il y a un médecin à bord, est-ce qu’on lève la main ? Ben non ! Parce que le faire, ça revient à prendre ses responsabilités. » L’autre thème important est bien sûr autour de l’enfant : sa façon d’exprimer sa douleur ou plutôt de ne pas l’exprimer, ce qui apporte de la difficulté pour établir des diagnostics. Le rôle du pédiatre est également mis à l’honneur, son comportement vis-à-vis de l’enfant pour le rassurer et aussi par rapport aux parents pour arriver à s’imposer et à faire comprendre la maladie. Et en plus de tout ça, il y a aussi les relations parents-enfants qui sont abordées et comment celles-ci peuvent mettre l’enfant en danger. Avec son drôle de médecin, les enfants d’Hippocrate aborde pleins d’aspects autour de l’enfance et de la santé mais parle aussi de relations familiales. C’est un récit qui se lit bien et qui interpelle quand il le faut, il y a une leçon à tirer dans chaque histoire. Un très bon début. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-enfants-d-hippocrate-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. Des mangas sur le monde hospitalier, il y en a déjà eu plusieurs, certains étaient centrés sur les services d’urgence, sur les équipes d’intervention sur les lieux des accidents, sur des chirurgiens, sur des infirmières… Celui-ci se penche sur le domaine de la pédiatrie : on y suit le quotidien d’un jeune pédiatre, un peu étrange, ses relations avec ses patients, sa conception de son métier mais aussi une partie sur sa vie privée et les relations compliquées avec sa famille. Ce qui frappe d’abord, et c’est un aspect que j’avais déjà noté dans d’autres livres : c’est l’aspect financier des hôpitaux. Au Japon, il est possible de fermer un service parce que celui-ci n’est pas rentable même si ce service existe pour sauver des vies ! Le service administratif est également très regardant sur tout ce qui peut lui apporter des problèmes : par exemple, on ne va s’occuper d’un patient si le risque que la famille porte plainte est trop important. Il y a un passage très marquant dans le livre où des médecins parlent entre eux « Quand on est dans un avion et qu’on demande s’il y a un médecin à bord, est-ce qu’on lève la main ? Ben non ! Parce que le faire, ça revient à prendre ses responsabilités. » L’autre thème important est bien sûr autour de l’enfant : sa façon d’exprimer sa douleur ou plutôt de ne pas l’exprimer, ce qui apporte de la difficulté pour établir des diagnostics. Le rôle du pédiatre est également mis à l’honneur, son comportement vis-à-vis de l’enfant pour le rassurer et aussi par rapport aux parents pour arriver à s’imposer et à faire comprendre la maladie. Et en plus de tout ça, il y a aussi les relations parents-enfants qui sont abordées et comment celles-ci peuvent mettre l’enfant en danger. Avec son drôle de médecin, les enfants d’Hippocrate aborde pleins d’aspects autour de l’enfance et de la santé mais parle aussi de relations familiales. C’est un récit qui se lit bien et qui interpelle quand il le faut, il y a une leçon à tirer dans chaque histoire. Un très bon début.
  19. Titre de l'album : Wolf won't sleep - coffret intégrale Scenariste de l'album : SHIENBISHOP Dessinateur de l'album : SHINKAWA Gonbe Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : En plongeant dans un « trou noir » découvert dans un donjon, Lecan, dit « le loup borgne », est téléporté dans un monde parallèle. Son expérience d'aventurier lui permet, en arrivant dans ce nouvel environnement, d'évoluer sans montrer la moindre hésitation. Lecan se met en quête d'un nouveau donjon où il espère découvrir et affronter des créatures toujours plus puissantes. Critique : Les éditions Delcourt / Tonkam nous propose une intégrale en 3 tomes du manga Wolf Won’t Sleep issu d’un roman de Shienbishop dans un coffret très simple (juste un cartonnage léger). L’histoire nous permet de suivre les aventures de Lican, un aventurier d’un monde de fantasy, explorateur de donjons et plutôt doué dans son domaine qui va se retrouver projeté dans un autre monde de fantasy à la recherche de nouvelles aventures et surtout de monstres de plus en plus forts pour satisfaire sa soif de combat. Si le graphisme est absolument remarquable, avec une finesse du trait et des dessins très détaillés, l’histoire nous laisse sur notre faim. D’abord parce que le personnage principal Lican ne semble rien chercher de plus que des explorations de donjons dans le but d’être encore plus fort ; il ne s’inquiète même pas de ce qu’il a pu advenir de son compagnon ! Et ensuite car au bout du 3eme tome, qui est censé être la fin de l’histoire, il n’y a pas de vraies conclusion et on a même l’impression que c’est la début d’une nouvelle quête ! Ne connaissant pas le roman d’origine, je ne sais pas s’il existe une suite ou si c’est juste l’adaptation manga qui est succincte. Du coup, on obtient un manga très intéressant graphiquement dont l’histoire n’est pas exaltante, qui n’a pas de conclusion et dont le potentiel relecture est limité. Extrait Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/wolf-won-t-sleep?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Les éditions Delcourt / Tonkam nous propose une intégrale en 3 tomes du manga Wolf Won’t Sleep issu d’un roman de Shienbishop dans un coffret très simple (juste un cartonnage léger). L’histoire nous permet de suivre les aventures de Lican, un aventurier d’un monde de fantasy, explorateur de donjons et plutôt doué dans son domaine qui va se retrouver projeté dans un autre monde de fantasy à la recherche de nouvelles aventures et surtout de monstres de plus en plus forts pour satisfaire sa soif de combat. Si le graphisme est absolument remarquable, avec une finesse du trait et des dessins très détaillés, l’histoire nous laisse sur notre faim. D’abord parce que le personnage principal Lican ne semble rien chercher de plus que des explorations de donjons dans le but d’être encore plus fort ; il ne s’inquiète même pas de ce qu’il a pu advenir de son compagnon ! Et ensuite car au bout du 3eme tome, qui est censé être la fin de l’histoire, il n’y a pas de vraies conclusion et on a même l’impression que c’est la début d’une nouvelle quête ! Ne connaissant pas le roman d’origine, je ne sais pas s’il existe une suite ou si c’est juste l’adaptation manga qui est succincte. Du coup, on obtient un manga très intéressant graphiquement dont l’histoire n’est pas exaltante, qui n’a pas de conclusion et dont le potentiel relecture est limité. Extrait
  21. Titre de l'album : From the red fog tome 1 Scenariste de l'album : NOHARA Mosae Dessinateur de l'album : NOHARA Mosae Coloriste : Editeur de l'album : Panini Note : Résumé de l'album : Il nous transporte dans l'Angleterre du XIXe siècle au travers du jeune Ruwanda. Le mangaka met en scène une relation toxique entre une mère et son fils. Tiraillé entre l'amour et la haine, ce garçon se transforme peu à peu en une figure inquiétante, et même terrifiante. Ignorant tout du monde qui l'entoure, cet enfant, n'ayant connu que l'enfermement, commet des actes atroces quand il arrive dans le monde des vivants. Sans doute parce qu'il ne connaît que la mort, la noirceur et la solitude. Critique : L’Angleterre de 19e siècle a souvent donné lieu à des histoires horrifiques (Jack l’éventreur) ou des univers où la bonne société cache souvent des dessous plus sombres, voire glauques où les bas-fonds abritent toutes sortes de dérives. Si dans les mangas, on en a un aperçu dans Moriarty, From the red Fog en présente un autre : un enfant devenu un monstre sanguinaire après avoir été élevé dans une cave et forcé de dépecer des cadavres, victimes de sa mère. Quand ce garçon, Ruwanda, se retrouve seul au monde après avoir été éduqué de cette manière, il n’a aucune notion du bien et du mal, de ce qui est normal ou non et il va devenir un tueur que certains vont essayer d’utiliser. Très brut et sanglant dans les scènes d’action, l’auteur a bien su rendre la violence des situations et la folie meurtrière de Ruwanda, on retrouve également l’ambiance de cette Angleterre où les classes sociales étaient très marquées. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/from-the-red-fog-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. Nickad

    From the red fog tome 1

    L’Angleterre de 19e siècle a souvent donné lieu à des histoires horrifiques (Jack l’éventreur) ou des univers où la bonne société cache souvent des dessous plus sombres, voire glauques où les bas-fonds abritent toutes sortes de dérives. Si dans les mangas, on en a un aperçu dans Moriarty, From the red Fog en présente un autre : un enfant devenu un monstre sanguinaire après avoir été élevé dans une cave et forcé de dépecer des cadavres, victimes de sa mère. Quand ce garçon, Ruwanda, se retrouve seul au monde après avoir été éduqué de cette manière, il n’a aucune notion du bien et du mal, de ce qui est normal ou non et il va devenir un tueur que certains vont essayer d’utiliser. Très brut et sanglant dans les scènes d’action, l’auteur a bien su rendre la violence des situations et la folie meurtrière de Ruwanda, on retrouve également l’ambiance de cette Angleterre où les classes sociales étaient très marquées.
  23. Titre de l'album : Tower of god tome 6 Scenariste de l'album : SIU Dessinateur de l'album : SIU Coloriste : Editeur de l'album : Ototo Note : Résumé de l'album : Les élus arrivent à la fin du test des positions, qui se conclut par un examen final collectif. Répartis en deux équipes équitables, ils doivent jouer contre une personne choisie par les examinateurs, et rien ne va ! Bam, Khun et Rak ne sont pas ensemble, l’examen a lieu dans le noir, leur adversaire est outrageusement plus fort qu’eux… Comment vont-ils s’en sortir, cette fois-ci ? Critique : La prochaine épreuve commence, les candidats sont répartis en 2 équipe et doivent jouer à cache-cache avec un ranker, il faudra user de subtilité pour arriver à s’en sortir. J’avoue être assez inquiète sur le devenir de la série, à l’heure actuelle le webtoon est arrêté au chapitre 550 (ou saison 3 chapitre 133), l’auteur SIU est en pause pour raison de santé et quand on voit où en est l’ascension de Bam, on se demande si l’auteur pourra finir son histoire un jour (pour information la série a commencé en juillet 2010). Quoi qu’il en soit, si la série souffre parfois de certaines longueurs, elle reste très intéressante, le plus compliqué étant de suivre tous les personnages car plus ça va, plus il y en a et SIU essaye de tous les développer… Il déploie également beaucoup d’inventivité dans son univers, les techniques de combats, les capacités des personnages, une imagination sans fin qui nous permet de découvrir sans cesse de nouveaux aspects. Alors même si le graphisme n’est pas le point fort de la série (il y a quand même de belles illustrations dans les combats à venir) on s’attache aux personnages et on a envie de suivre leurs aventures. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/tower-of-god-tome-6?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. Nickad

    Tower of god tome 6

    La prochaine épreuve commence, les candidats sont répartis en 2 équipe et doivent jouer à cache-cache avec un ranker, il faudra user de subtilité pour arriver à s’en sortir. J’avoue être assez inquiète sur le devenir de la série, à l’heure actuelle le webtoon est arrêté au chapitre 550 (ou saison 3 chapitre 133), l’auteur SIU est en pause pour raison de santé et quand on voit où en est l’ascension de Bam, on se demande si l’auteur pourra finir son histoire un jour (pour information la série a commencé en juillet 2010). Quoi qu’il en soit, si la série souffre parfois de certaines longueurs, elle reste très intéressante, le plus compliqué étant de suivre tous les personnages car plus ça va, plus il y en a et SIU essaye de tous les développer… Il déploie également beaucoup d’inventivité dans son univers, les techniques de combats, les capacités des personnages, une imagination sans fin qui nous permet de découvrir sans cesse de nouveaux aspects. Alors même si le graphisme n’est pas le point fort de la série (il y a quand même de belles illustrations dans les combats à venir) on s’attache aux personnages et on a envie de suivre leurs aventures.
  25. Nickad

    Mardock Scramble tome 1

    j'espère que tu ne vas pas être déçu
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