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Nickad

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Messages posté(e)s par Nickad

  1. de mon point de vue adulte, ça ne m'a pas posé de souci, même le petit problème de la soeur je l'avais compris dès le départ. Après, je trouve que ça va très vite sur les phases d'apprentissage de chamane, mais j'ai l'impression, et ce n'est que mon avis, que c'est le côté poétique qui est important et que le reste n'est qu'accessoire

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  2. Titre de l'album : Honey come honey tome 6
    Scenariste de l'album : SHIRAISHI Yuki
    Dessinateur de l'album : SHIRAISHI Yuki
    Coloriste :
    Editeur de l'album : Delcourt
    Note :
    Résumé de l'album :

    Tout le monde pense que la douce Mitsu est une fragile jeune fille. Mais c'est une redoutable combattante. Kumagaya, lui, est grand et son allure sombre effraie les autres. Cela lui a valu le surnom de « Grizzli enragé ». Mitsu va découvrir qu'en réalité, il est sensible et qu'il est le créateur des peluches qu'elle affectionne. Elle va alors tenter de se rapprocher de lui, contre l'avis de ses amis.

    Critique :

    Honey come Honey est un shojo type : une fille toute mignonne qui a du caractère et un garçon antipathique au premier abord qui cache un grand cœur.

    Mitsu et Kumagaya se rapproche un peu plus dans ce volume, ils affrontent le passé de Mitsu et font face à des désirs plus adultes, l’évolution normale d’une histoire d’amour dans le monde du shojo.

    Et même si le déroulement de l’histoire est plutôt classique, le manga déborde de bons sentiments, c’est tout mielleux, il y a des fleurs partout et ça fait du bien.

    J’espère qu’il y aura par la suite un peu plus d’originalité mais en attendant, cela reste une lecture agréable. Un peu de bonheur dans le monde actuel ne peut pas faire de mal.

    Autres infos : Edition Delcourt/Tonkam

    Type de l'album : Manga
    Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/honey-come-honey-tome-6?ref=44

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  3. Titre de l'album : Le jeu de la mort tomes 1 et 2
    Scenariste de l'album : SORA
    Dessinateur de l'album : SORA
    Coloriste :
    Editeur de l'album : Delcourt
    Note :
    Résumé de l'album :

    « Avant de mourir, ça ne te dit pas d'avoir une histoire d'amour avec moi ? » Mikoto Ochiai, souhaite se suicider en sautant du toit de son lycée suite à une déception amoureuse. Mais Jin Haiba, un nouveau professeur de physique qui était là pour fumer, l'en dissuade. Pour cela, il va lui proposer de se mettre en danger en devenant son petit ami de substitution. L'adrénaline causée par cette relation inappropriée va alors les rapprocher dangereusement

    Critique :

    C’est l’histoire d’amour entre une élève et un professeur… rien de très original me direz-vous. Certes, il y en a déjà eu beaucoup, et pour que cela fonctionne il faut des personnages originaux et attachants.

    C’est exactement ce que renferme le jeu de la mort : une élève dépressive un peu trop altruiste et un prof nonchalant qui se comporte comme un ado attardé.

    Mais ça, ce n’est que la surface, les personnages sont un peu plus consistants, ils ne se dévoilent que petit à petit. Il y a certes un jeu de séduction de la part du professeur qui en même temps a un comportement « je m’en-foutiste », il se fait d’ailleurs régulièrement taclé. Il y a des situations qui portent à quiproquos, des petites touches d’humour, mais surtout, des petites interactions entre les personnages et le manga qui apportent de la fraicheur.

    « les personnages dans ton genre, les lecteurs les détestent »

    L’auteure a su tirer son épingle du jeu et nous offre un manga très agréable, sans temps mort ni niaiserie. Une belle réussite !!

     

     

     

     

    le jeu de la mort 1_petit.jpg

    le jeu de la mort 2_petit.jpg

    Autres infos : Edition Delcourt/Tonkam

    Type de l'album : Manga
    Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-jeu-de-la-mort-tome-1?ref=44

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  4. Titre de l'album : Dans les pas de Nietzsche tome 2
    Scenariste de l'album : HARADA Mariru
    Dessinateur de l'album : ARAKI Tsukasa / SUGIMOTO Iqura
    Coloriste :
    Editeur de l'album : Soleil
    Note :
    Résumé de l'album :

    La philosophie est-elle en mesure de trouver toutes les réponses aux questions des adolescents d'aujourd'hui ? Nietzsche peut-il aider une jeune fille au coeur brisé ? Arisa est confrontée à un grave dilemme. En découvrant son petit copain et sa meilleure amie ensemble. Elle est partagée car elle trouve qu'ils sont bien assortis et elle leur souhaite tout le bonheur, mais elle éprouve aussi de la jalousie à leur égard. Elle formule alors le voeu de devenir plus sage et réfléchie. Le destin met alors sur son chemin un jeune homme venu l'aider et qui prétend être la réincarnation de Nietzsche.

    Critique :

    Le concept est intéressant, à travers l’intervention de personnages historiques, l’auteur introduit des notions philosophiques qui, pour ceux qui en ont fait l’expérience, ne sont pas toujours faciles à comprendre. Ici, l’histoire va permettre d'illustrer concrètement ces notions, une sorte de guide pour les nuls en quelque sorte.

    Les sujets abordés portent sur notre quotidien : le choix, la liberté, le sens moral… pour permettre d’avancer dans la vie, c’est plutôt bien fait.

    Dans ce volume, les conseils de Nietzsche et Kierkegaard permettent à Arisa de tourner la page pour aller de l’avant et Schopenhauer nous fait une belle leçon sur l’obtention du bonheur.

    « La folie des hommes, c’est d’accorder beaucoup trop d’importance au regard des autres ».

    Ce second tome est plus facile à appréhender que le premier mais cela reste de la philosophie, il faut donc prendre son temps pour l’analyser.

    Intéressant donc, mais pas toujours facile à digérer.

    Autres infos : série finie en 3 tomes

    Type de l'album : Manga
    Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/dans-les-pas-de-nietzsche-tome-2?ref=44

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  5. Titre de l'album : Ajin tome 15
    Scenariste de l'album : SAKURAI Gamon
    Dessinateur de l'album : SAKURAI Gamon
    Coloriste :
    Editeur de l'album : Glenat
    Note :
    Résumé de l'album :

    Kei Nagai a tout parié sur un plan exécuté à la dernière minute pour coincer Sato. Le piège qui devait l'enfermer à jamais reste cependant désespérément silencieux. Alors que tout semble perdu, un personnage inattendu fait une entrée fracassante au coeur de la base en flammes...

    Critique :

    Ajin c’est un scénario original, un personnage principal un peu fade à mon gout (Nagai) mais qui n’est pas le héros. Car il n’y a pas de « bon clan » dans ce manga, chacun a des raisons d’agir qui se défendent. Mais Ajin, c’est surtout la présence forte de Sato, le « méchant » et celui qui porte l’histoire.

    Nagai a beau échafauder des plans et penser à un maximum de possibilités, Sato déjoue tous les pronostics et nous surprend régulièrement.

    Si parfois, j’ai trouvé que certains tomes étaient moins aboutis, j’ai vraiment été estomaquée dans ce volume, genre « quoi ??!! non mais t’as vu ça ? incroyable ! Ouahh ! »

    Voilà un manga qui mérite le détour et qui promet encore des moments palpitants !!

    Autres infos :

    Type de l'album : Manga
    Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ajin-tome-15?ref=44

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  6. Titre de l'album : Nosferatu tome 1
    Scenariste de l'album : SHINJIRO
    Dessinateur de l'album : SHINJIRO
    Coloriste :
    Editeur de l'album : Soleil
    Note :
    Résumé de l'album :

    Face à des créatures diaboliques à visage humain, une jeune guerrière va se dresser face à eux. Mais parfois, seul le Mal peut contrer le Mal. Les nosferatus, derrière leurs visages humains, font perdre la raison à toutes les créatures qui les approchent. Laura, découvre un village infecté et ne survit que grâce à l'intervention d'Arnold, un homme d'église chargé de purger les populations concernées. Bientôt elle découvre l'atroce vérité : Arnold est un nosferatu qui peut massacrer librement des cités entières. Elle doit trouver un moyen de l'arrêter.

    Critique :

    Souvent repris dans les shojos de façon classique, nous avons affaire ici à une revisite du genre : pas de vampires buveurs de sang ou torturés par l’idée d’en boire, pas de jeune fille éperdument amoureuse du vampire…

    Nous sommes dans une époque moyenâgeuse, où l’église à une très forte influence et où les conflits entre les races (humains et Nosferatus) sont usuels.

    Alors qu’est-ce qui fait l’originalité de ce manga ? Et bien d’abord, nous avons une héroïne, ce qui n’est pas si courant dans ce genre d’histoire, ensuite elle est amnésique et découvre qu’elle est une nosferatu. Mais qu’est-ce donc qu’un nosferatu ? Et bien, tout comme Laura, on va le découvrir au fur et à mesure de ses recherches, ce qui crée une sorte de complicité entre l’héroïne et le lecteur et enfin, ici ce sont les humains qui peuvent être assoiffés de sang.

    Ce premier tome est plutôt intéressant, il ne manque pas d’actions et annonce plusieurs affrontements futurs. La lecture est facile et le dessin bien travaillé avec suffisamment de détails, attention certains passages sont violents. Je regrette toutefois le manque de caractère des personnages car pour le moment, on ne s’y attache pas.  A suivre donc.

    Autres infos :

    Type de l'album : Manga
    Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/nosferatu-tome-1?ref=44

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  7. Titre de l'album : Iruma à l'école des démons tome 1
    Scenariste de l'album : NISHI Osamu
    Dessinateur de l'album : NISHI Osamu
    Coloriste :
    Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions
    Note :
    Résumé de l'album :

    Un jour, le jeune Iruma devient, bien malgré lui, le petit-fils adoptif d’un papy démon excentrique. Une nouvelle vie commence alors pour lui à Babyls, une école peuplée de monstres en tout genre, où personne n’a jamais vu d’humain mais tout le monde rêve d’en dévorer un ! Et entre les démons qui le défient en duel, les succubes extravagantes et les épreuves scolaires mettant sa vie en péril, Iruma ne pourra compter que sur un atout : sa gentillesse désarmante. Mais comment un humain au bon cœur va-t-il pouvoir survivre dans cet enfer ?!

    Critique :

    En lisant le résumé, j’ai cru que j’allais me retrouver entre Hayate the combat butler et Rosario vampire. Mais finalement, ce manga a été une bonne surprise, le décalage entre Iruma humain naïf et son entourage démoniaque provoque des quiproquos et des situations cocasses.

    Vous l’aurez compris, Iruma est un manga fantastique mais surtout humoristique. Les personnages sont pris à contre-pied, le héros fait tout pour passer inaperçu et ne pas être au centre de l’attention, ça ne fonctionne jamais bien sûr et cela provoque des situations inattendues très drôles.

    C’est un vrai moment de distraction pour toute la famille, de la bonne humeur rythmée où l’on ne s’ennuie pas.

    Un très bon début de série.

    à partir de 8 ans Autres infos : édition Nobi nobi!

    Type de l'album : Manga
    Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/iruma-a-l-ecole-des-demons-tome-1?ref=44

    Voir la totalité de enregistrement


  8. Titre de l'album : 17 ans - une chronique du mal tome 1
    Scenariste de l'album : FUJII Seiji
    Dessinateur de l'album : KAMATA Yoji
    Coloriste :
    Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions
    Note :
    Résumé de l'album :

    Sachiko, 17 ans, est séquestrée, agressée et torturée par un groupe de garçons dont le seul but est de s'amuser. Personne ne veut la libérer par peur de faire face aux conséquences. Devant l'inaction de la police et de ses parents, sa soeur jumelle poursuit sans relâche ses recherches.

    Critique :

    Plus qu’une critique du tome c’est plutôt une mise en garde que j’ai à faire car il faut l’aborder avec précautions : pas pour son contenu mais plutôt pour ce que cela implique.

    Ce n’est pas tant le volume en lui-même qui est choquant car l’auteur a su garder, pour l’instant,  une certaine retenue mais comment ne pas aller se renseigner sur l’histoire vraie dont est tirée l’œuvre quand le nom de la victime est clairement indiqué sur le livre ? C’est bien sûr ce que j’ai fait et je me suis sentie mal, car hélas, la réalité dépasse la fiction et cela peut-être traumatisant.

    Car le malaise est indéniable, il y a une incompréhension totale : mais comment la situation a-t-elle pu dégénérer à ce point ? Comment l’être humain peut en arriver à de telles extrémités ?

    Est-ce pour tenter d’expliquer cela que nous suivons la narration au travers des yeux d’un des coupables ?

    J’espère vraiment que cette approche permettra une critique de la société japonaise car entre l’indifférence des policiers, l’engrenage dans lequel se retrouve les jeunes, l’influence des clans liés aux yakuzas, la non implication des témoins, la peur d’agir, il y a de quoi se révolter.

    Alors oui, si c’est une critique qui pointe à l’horizon pour que les choses bougent, pour que cela ne se reproduise plus jamais alors lisons ce manga car sinon, ce ne sera que du voyeurisme sordide.

    Autres infos : édition naBan

    Type de l'album : Manga
    Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/17-ans-tome-1-une-chronique-du-mal?ref=44

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  9. Titre de l'album : Dans le sens du vent - nord, nord-ouest tome 3
    Scenariste de l'album : IRIE Aki
    Dessinateur de l'album : IRIE Aki
    Coloriste :
    Editeur de l'album : Soleil
    Note :
    Résumé de l'album :

    Kei Miyama, un détective indépendant de 17 ans, vit avec son grand-père français en Islande. Comme les autres hommes de sa famille, il dispose d'un pouvoir atypique. Le sien consiste à pouvoir communiquer avec les appareils électriques et les automobiles. Mais sa vie bascule soudainement lorsqu'un détective japonais en congés sur l'île lui annonce l'assassinat de son oncle et sa tante par son propre frère. Qui croire ? Convaincu de l'innocence de ce dernier, le jeune détective va mener l'enquête. Régulièrement cité parmi les meilleurs mangas publiés récemment au Japon, Dans le sens du vent - Nord, Nord-Ouest interpelle par son dessin très occidental, ses lignes allongées et ses paysages islandais oniriques.

    Critique :

    Les éditions Soleil nous proposent un titre loin de leur catalogue habituel, car oui, « dans le sens du vent » est un manga atypique.

    D’abord par son graphisme plutôt occidental aux personnages élancés, au trait fin et aux paysages détaillés. Après car l’action se situe en Islande et enfin car il d’un genre indéfinissable.

    Le manga tient à la fois du guide touristique, de l’aventure et du suspense avec une pointe de fantastique et de romance. Et c’est ce qui fait son charme, tout est lié à un équilibre subtil entre ces genres.

    Je me suis demandée quand j’ai lu le 1er volume ce qui se cachait derrière un tel titre et puis après la lecture, ça m’est apparu comme une évidence, car ce manga vous emporte comme le vent, il vous emmène dans un voyage où l’Islande vous accueille et vous retient car plus qu’un guide touristique c’est une expérience que vous vivez, celle de partager le ressenti des personnages.

    D’habitude quand je lis, je me demande ce qui va se passer, j’aperçois certains déroulés, il m’arrive même de connaître l’issue ou la finalité de l’histoire. Ici rien, pas parce l’histoire est inintéressante mais plutôt parce que je n’ai pas envie de me poser des questions tellement je m’y trouve bien. Je prends les choses comme elles viennent et je les savoure. En plus ce manga sortant des sentiers battus, qu’y a-t-il de mieux à faire que de se laisser porter ?

    Et puis, il y a le personnage principal, assez froid en apparence, limite associal qui nous intrigue, de même que son entourage, atypique lui-aussi.

    Ce 3eme tome nous permet d’en savoir un peu plus sur le frère de Kei, avec un peu moins de paysages et un peu plus de polar. Mais comme à chaque fois, rien de trop évident et pas trop d’informations d’un coup, toujours dans l’équilibre. Et comme à chaque fois aussi, arrivée à la fin, je n’ai qu’une envie : lire la suite.

    Un véritable coup de cœur.

    Autres infos :

    Type de l'album : Manga
    Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/dans-le-sens-du-vent-tome-3-nord-nord-ouest?ref=44

    Voir la totalité de enregistrement


  10. Titre de l'album : The promised neverland tome 16
    Scenariste de l'album : SHIRAI Kaiu
    Dessinateur de l'album : DEMIZU Posuka
    Coloriste :
    Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions
    Note :
    Résumé de l'album :

    Emma, Norman et Ray coulent des jours heureux à l'orphelinat Grace Field House. Entourés de leurs petits frères et soeurs, ils s'épanouissent sous l'attention pleine de tendresse de «Maman», qu'ils considèrent comme leur véritable mère. Mais tout bascule le soir où ils découvrent l'abominable réalité qui se cache derrière la façade de leur vie paisible ! Ils doivent s'échapper, c'est une question de vie ou de mort !

    Critique :

    Je profite de la sortie du tome 16 pour parler d’une façon plus générale de la série.

    The promised neverland est un manga qui surprend, il nous plonge très vite dans un univers cruel où il faut lutter pour survivre.

    Il est à la fois fantastique en mélangeant humains et démons mais sans tomber dans la caricature, aventure puisque les enfants vont devoir évoluer dans un milieu dont ils ignorent tout pour rejoindre le monde humain qui n’existe peut-être même pas, humaniste dans le sens où, à l’instar des personnages principaux, ce manga nous met face à certaines réflexions.

    Ici, ce n’est ni la force physique ni d’éventuels pouvoirs qui sont mis en avant. Les évadés de Gracefield ne peuvent compter que sur leurs capacités intellectuelles pour atteindre leurs objectifs, sauf que lorsqu’on a 12 ans et un groupe d’enfants plus jeunes à protéger, cela peut se compliquer très vite.

    En dehors de l’aspect manga d’aventure qui est très plaisant et qui enchaine les rebondissements ; de vraies questions se posent : faut-il exterminer tous les démons pour survivre? faut-il se venger ? faut-il en sacrifier certains pour le bien de la communauté ? Quel est le meilleur choix ?

    Le tome 16 se trouve à un tournant de l’histoire, nos héros sont divisés quant à la suite des opérations à mener, qui de Norman ou de Rey et Emma vont réussir à appliquer leur plan en premier ? Est-ce que Sonju et Mujika vont-être protéger ou tuer ?

    On se rapproche du dénouement (série finie en 20 tomes) mais pas un seul instant, on ne s’en lasse. La série est en plus servie par un univers graphique riche et a déjà obtenue plusieurs prix (Daruma du meilleur scénario et de la meilleure nouvelle série, prix konishi de la meilleure traduction, prix manga news pour le meilleur shonen…)

    A mon avis, une série incontournable.

    promised-neverland-1-kaze.jpg

    Autres infos : Edition Kaze manga

    Type de l'album : Manga
    Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-promised-neverland-tome-16?ref=44

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  11. Je suis d'accord, j'ai vraiment été emballée par le 1er tome, j'aime beaucoup le caractère du personnage principal. Dans le même genre, il y a Arifureta de zéro à héros, qui ne manque pas non plus d'actions.

    Après, il y a toujours le risque de tomber dans la trame classique : au cours de son parcours, le héros va rencontrer une alliée (non humaine de préférence) pour rajouter un peu de charme à l'histoire et après ils sauvent le monde...

    A voir dans les prochains tomes, mais pour le moment, c'est agréable à lire.

    • Like 1

  12. Titre de l'album : Shaman king flowers tome 3
    Scenariste de l'album : TAKEI Hiroyuki
    Dessinateur de l'album : TAKEI Hiroyuki
    Coloriste :
    Editeur de l'album : Kana
    Note :
    Résumé de l'album :

    Alors que rien ne devait se passer durant les 500 ans suivants le dernier Shaman Fight, auquel Yoh et ses amis ont participé, un désaccord entre les dieux déclenche un nouvel affrontement entre les shamans à l'issue duquel la forme de ce monde risque de changer. Hana, le fils de Yoh et Anna, est choisi pour devenir le leader de la « Team Hao », l'équipe représentant le dieu Hao en ce bas-monde. Mais avant même d'entrer dans le tournoi, il devra surmonter une épreuve inattendue et beaucoup plus périlleuse qu'il n'y paraît..

    Critique :

    Ce tome explore un peu le passé de Hana où l’on a le plaisir de revoir brièvement ses parents. Il nous permet aussi d’apercevoir ses véritables capacités. De nouveaux ennemis apparaissent mais leurs identités restent floues.

    Même si l’on ressent que la pression monte autour du « flower of maize », il reste encore beaucoup de zones d’ombre, et quand on sait que la série est finie en 6 tomes, on se demande si l’auteur va réussir à explorer toutes les pistes qu’il lance. Car finalement le problème est là, nous n’en sommes qu’à l’échauffement. D’un autre côté, il ne s’agit que d’un nouvel arc de shaman king et plusieurs spin-off sont déjà en route.

    De quoi s’assurer de rester encore un certain temps dans l’univers de Hiroyuki Takei.

    Un clin d’œil amusant à la « star edition » se cache dans ce tome, le trouverez-vous ?

    Autres infos :

    Type de l'album : Manga
    Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/shaman-king-flowers-tome-3?ref=44

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  13. Titre de l'album : Battle game in 5 seconds tome 12
    Scenariste de l'album : HARAWATA Saizou
    Dessinateur de l'album : KASHIWA Miyako
    Coloriste :
    Editeur de l'album : Doki-Doki
    Note :
    Résumé de l'album :

    Le désastre, orchestré par l'observateur Leonhardt, a maintenant débuté. Dans un parc d'attractions abandonné, d'anciens participants aux programmes sont devenus des zombies... Ils attaquent les nouveaux venus dans un horrible jeu du loup. Yûri y retouve Ôji Hoshino, le responsable de sa mort. Kirisaki et Kumagiri doivent livrer bataille dans deux autres endroits du parc. Quant à Akira, désormais vulnérable parce qu'il ne peut pas recourir à son pouvoir, il mise tout sur ce jeu insensé !

    Critique :

    Au beau milieu de leurs recherches des membres des autres équipes, une partie des camarades d'Akira se retrouve piégée dans le désastre, il n'a d'autre choix que de les rejoindre, à la fois pour les aider mais aussi parce que seul, son pouvoir n'est pas très utile.

    Nous voici enfin plongés en plein cœur du désastre, un événement qui était encore obscur jusqu’à présent et qui a pour objectif la réduction drastique du nombre de joueurs.

    La lutte contre les zombies mais aussi entre les joueurs piégés fait rage. Et même si on suppose que nos « héros » vont s’en sortir, la question est de savoir qui d’autre va y survivre.

    En même temps, on en apprend plus sur le caractère de Tôya, le père d’Akira qui semble être un manipulateur de première, mais son pouvoir comme ses motivations restent mystérieux.

    Les combats s’enchainent sans longueur et nous offre un volume pleins d’actions. De nouveaux personnages font leur apparition mais qui, vu les règles du jeu, risquent de ne pas rester trop longtemps (il y en a déjà beaucoup !).

    En dehors de l'aspect purement combats, qui sont plutôt bien menés, j'apprécie la façon dont l'auteur dissémine les informations sur nos héros, cela entretient le suspense et donne l'envie d'en savoir plus. A suivre donc.

    Autres infos :

    Type de l'album : Manga
    Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/battle-game-in-5-seconds-tome-12?ref=44

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