Ed

Comme il n'y a pas de sujet concernant cette formidable série et que le tome 4 est sorti début juillet, je me lance. Un bref rappel sur les trois premiers tomes pour commencer : L'histoire : XVII°siècle, Isaac Sofer, peintre désargenté mais heureux en amour, vit de petits boulots et rêve d'aventure. Lorsqu'on lui propose d'embarquer sur un navire, Isaac accepte sans savoir qu'il fera le tour du monde ! A noter : Cet album a obtenu le prix du meilleur album au festival d'Angoulème 2002. L'histoire : Après les eaux chaudes des Caraibes, le voici découvrant le grand nord et les icebergs terrifiants. Un voyage éprouvant pour tous les hommes du navire à commencer par Isaac qui sera transformé par ces événements. L'histoire : L'arrivée d'Isaac aux Amériques. ************************************************************* Isaac le Pirate Tome 4 : la Capitale De Christophe Blain Ed. Dargaud Coll Poisson Pilote L'histoire : C'est avec Jacques, qu'Isaac rentre à Paris, à peine remis de leur incroyable périple. Isaac retrouve son père et Marinette : l'émotion est à son comble mais, très vite, Isaac part à la recherche d'Alice dont il n'a plus aucune nouvelle. Celle-ci est introuvable, personne ne sait vraiment où Alice est réfugiée. Inquiet, Isaac rôde dans les rues en compagnie de Jacques et c'est là qu'ils feront d'étranges rencontres avant d'être tout simplement enlevés. L'identité de leurs ravisseurs reste mystérieuse, le danger se fait plus présent que jamais. Mon avis :Après avoir été enrôlé dans la marine marchande, être passé du côté des pirates, essuyé vents, tempêtes et glaces, atteri après bien des déboires aux Amériques, voici donc le retour tant attendu d’Isaac le pirate à Paris. Accompagné de Jacques, compagnon de piraterie et d’infortune, notre héros part à la recherche d’Alice, son amour perdu, et va une fois de plus se retrouver impliqué, plus ou moins contre son gré, dans des affaires douteuses. Une fois encore Christophe Blain nous offre une histoire pleine d’actions et de rebondissements où la finesse se dispute à l’humour. On ne s’ennuie pas un instant dans ce quatrième tome des aventures d’Isaac et on suit avec délice son retour cahotique dans la capitale à la recherche de sa fiancée. Comme pour les trois tomes précédents, les dialogues sont savoureux et l’humour vaut tant par le dessin que par l’intelligence et l’ingéniosité du texte. Plus encore dans ce tome que dans les autres, Blain exagère le trait et les expressions des personnages pour notre plus grand plaisir : Isaac, proche de l’anti-héros, n’en apparaît que plus humain dans sa recherche désespérée d’Alice et sa quête de reconnaissance artistique. Le dessin de Blain, qui peut au premier abord dérouter le lecteur, est parfaitement adapté à l’histoire et chaque case foisonne de détails qui nous immergent à merveille dans l’ambiance du Paris de la fin du XVIIème siècle. Le découpage, enfin, est parfaitement maîtrisé, laissant peu de place aux temps morts et donne un rythme effréné à l’histoire qui nous fait regretter que cet album ne compte que 45 pages… Pour en finir avec les éloges et à titre plus personnel, Isaac le pirate, bien qu’étant une série récente, est une de ces rares Bd (au même titre que Peter Pan ou Léon la came dans un style différent) qui m’a fait voir la Bd de manière différente et a réussi à m’ouvrir d’autres horizons de lecture, tant elle est riche par l’histoire qu’elle raconte, par la qualité de l’écriture et du dessin que par la véracité de ses personnages. Laissez-vous donc séduire si ce n’est déjà fait, vous ne sauriez le regretter…

La lecture d’une bd de Taniguchi est toujours pour moi une manière de sortir un peu du temps, de se poser au calme et de s’imerger dans un monde qui semble révolu tant il parait loin de nos vies actuelles. L’orme du Caucase ne déroge pas à cette règle, ces huit nouvelles superbement illustrées nous plongent dans ce japon fait de traditions et de valeurs tels le respect, la pudeur et la retenue. Et c’est bien cela qui fait que cette lecture est apaisante, la pudeur et la retenue, pas la peine de trop en dire, de trop en faire, les choses se lisent sur les visages et dans les gestes des personnages. Chaque nouvelle est une réflexion sur le temps qui passe, sur nos choix de vie, sur les regrets qu’on peut avoir par rapport à nos actes ou aux mots que nous avons prononcés. Des thèmes qui renvoient à notre propre vie et qui sont chers à Taniguchi qui a trouvé en Utsumi un auteur à la hauteur de son talent. Une bd à lire cet été à l’ombre d’un grand arbre (et pourquoi pas d’un orme) en se laissant aller à la langueur de ce temps qui passe.

Bon, ben je pense qu'on en a déjà trop dit, je ne vais donc pas en rajouter, mais je suis déçu, déçu, déçu....

Tu n'as pas tout à fait tort, mais la dernière question reste pour moi pour l'instant sans réponse... (quelque chose m'aurait-il échappé ? :? )

CITATION(Monfreid...)euh...ed...tu peux encore le recevori non?(on est pas au pièce  :wink: ) Ben oui, mais selon mes savants calculs j'aurais déjà du l'avoir depuis un paquet de temps, ce qui me fait dire qu'il y a peut-être eu un problème. Si cela n'était pas le cas et que je le reçoive la semaine prochaine, je me ferai une joie de le commenter.

Bon, alors je n'ai pas reçu mon Fluide du mois de Juillet et je viens de le voir en kiosque . Alors soit je dois prendre mon mal en patience, soit mon ami le facteur n'avait plus grand chose à lire, soit encore les éditions Audie m'ont démasqué et ont résilié mon abonnement pour avoir dit du mal des nouvelles aventures de J-C Thergal :roll: .... Toujours est-il que je ne peux commenter le Fluide de ce mois et que si quelqu'un veut se dévouer, ce sera avec plaisir (je reprendrai la main au mois d'août).

Et donc je ne l'ai pas reposée une troisième fois... Grand bien m'en a pris, l'histoire est superbe (avec un vrai scénario dedans :roll: ), le dessin est splendide et rappelle effectivement Bourgeon (merci RR, je me demandais à qui ça me faisait penser avant de relire ta chronique). On sort de ce premier tome ravi mais aussi un peu dépité de voir l'histoire s'arrêter alors que toutes les questions du lecteur restent en suspens :| : SPOILER [size=7]- Qu'est devenu Clément ? - Comment se fait-il que le professeur Mesmer reçoive tout de même régulièrement son rapport ? - Qu'est il arrivé à la mère de Marie ? - Qui a tué le père Anselme (et d'ailleurs est-il bien mort ?) ? Pour quelle raison ? SPOILER'S END Quand on se pose autant de questions à la sortie d'une lecture, c'est que cette lecture a été riche. A lire ! Et vivement la suite...

Wouaaah :shock: , ben va falloir que je relise ça alors :shock: . C'est une des seules bd où j'ai dû me forcer pour arriver à la fin tellement le scénar me semblait invraisemblable et mal construit. Ca m'avait vraiment donné l'impression d'être écrit sur un coin de table en 15 minutes, en se demandant toute les deux pages "bon ben maintenant, qu'est-ce que je pourais bien lui faire faire à mon héros ?" Ce n'est pas que j'en ai spécialement envie, mais je relirai ça à l'occasion, j'étais peut-être dans un mauvais jour. :?

Une bd que j'attendais avec impatience (comme tous les Poissons Pilote d'ailleurs ) sûrement un peu trop... :? Ca reste bien sûr un bon moment de lecture, mais j'ai eu du mal à compatir avec les malheurs de Guy. Cet album oscille beaucoup entre l'humour voir la caricature (cf le concert de Britney) et le sérieux (la crise de la quarantaine du héros) : le mélange prend à certains moments mais ennuie à d'autres. Peut-être aurait-il mieux valu se cantoner à l'humour (ce n'est que mon humble avis hein...). Le deuxième point qui vaut cet avis un peu mitigé et qui là aussi est purement subjectif, c'est que le héros ne m'a pas touché, et que je l'ai même trouvé agaçant par certains côtés (son atitude lorsqu'il est imbibé est toujours aigrie et revancharde par exemple). Bon, je charge quand même beaucoup cette bd alors que bon... j'ai pas trouvé ça trop mal, même si la déception l'a emporté.

Alors je ne dirai qu'un mot : merci, merci et merci :bravo: à tous pour m'avoir fait découvrir cette Bd. J'étais passé totalement à côté de cette série qui s'annonce grandiose. Rien a ajouter à ce que vous avez déjà dit : le dessin est superbe, les couleurs idem, les couvertures :shock: :shock: , le découpage maîtrisé et l'univers mis en place par Charlet réaliste et dérangeant à souhait. J'aime quand on sent que les auteurs savent où ils vont, et là, Charlet me semble être un maître en la matière : il met en place son univers et ses personnages et on sent sans réelement savoir comment l'histoire va se poursuivre que quelque chose d'énorme va se passer pour troubler le fragile équilibre et faire basculer ce monde. Certaines bd (de plus en plus rares hélas ) me rendent accroc et me réconcilient avec la bd. Kabbale en fait partie, vivement la suite !!!

Une bd qui rappelera à certains les petites galères de la vie étudiante :roll: et un vrai bon moment de lecture. Comme le dit Méso, Cyan est un personnage vraiment attachant, on entre facilement dans son quotidien et au long de la lecture on n'espère qu'une chose... que les choses s'arrangent pour elle et qu'elle trouve son bonheur. Le dessin est un peu naïf (c'est peut-être voulu d'ailleurs, je ne sais pas...) mais s'accorde très bien à l'histoire et nous immerge parfaitement dans l'ambiance barcelonaise. Une bd sans prétention mais qui se lit d'une traite avec beaucoup de plaisir.

Une très belle Bd, et une série qui s'annonce prometteuse pour les amateurs du genre (il serait d'ailleurs dommage que le lectorat de cette série ne se limite aux enfants / ados). On suit avec délice et beaucoup de tendresse ce petit bout de femme qui oscille entre vie d'enfant et vie de grande. Les personnages sont extrèmement attachants (en plus de Lou, la maman est vraiment hors-norme ) et on entre avec plaisir dans leur univers. L'humour est présent à chaque page et on sort de la lecture le sourire aux lèvres. Une bd à découvrir.

Rien à ajouter à la chronique de Monfreid, ce nouvel album supporte effectivement assez mal la comparaison avec Quelques mois à l'Amélie . J'ai été assez déçu par cette histoire notamment par la fin (innachevée selon moi) quand bien même on rentre avec plaisir dans cette petite tranche de vie. Reste tout de même le dessin de Denis...

Celle-là je l'ai reposée deux fois de suite c'est dire si elle me tentait... C'est le fait que l'intrigue semblait se passer en vase clos qui m'a fait hésiter. Mais après ton avis RR, sûr que je ne le reposerai pas une troisième fois

CITATION(Snoopy l'impatient :wink: )C'est pas toi qui m'avait dit que tu dirai ce que tu pensais de Lou! ??? Arf mon petit Snoopy, j'ai un paquet de Bd en retard (chroniques de sillage, Barcelona, Lou, premières chaleurs, Quabbale...) et mon avis viendra dès que j'aurai un peu de temps libre ! :roll:

Je me permets juste une petite parenthèse sur la création de topics, moi qui suis relativement laborieux, ça me prend pas mal de temps pour faire une chronique qui à la relecture ne me paraît pas gégéne. :? C'est ce qui me freine un peu même si j'ai toujours l'envie de faire découvrir les bd qui m'ont touché. Pour en venir à la remarque de Méso, je trouve effectivement plus agréable de faire les commentaires dans les topics consacrés (même d'ailleurs pour ne dire que j'aime / j'aime pas), ne serait-ce que pour partager son avis avec celui qui s'est embêté à créer le topic.

Bon, puisqu'on m'a honteusement reproché mon non-assumage de lecture de Largo Winch :roll: :wink: , je vais pour la peine en faire une courte chronique. Résumé : Largo Winch est l'invité de la célèbre émission télévisée "Le prix de l'argent". Les journalistes l'interrogent sur la mondialisation, les rachats et autres fusions d'entreprises. Après des considérations générales, ils en viennent à un cas précis: Speed One, racheté depuis peu par le Groupe W, vient d'annoncer le licenciement de deux mille cinq cents travailleurs. Surpris d'être entraîné sur ce terrain, Largo marque le coup. L'un des journalistes fait alors entrer sur le plateau, Dennis Tarrant, le directeur de l'un des quatre sites de production de Speed One. Et c'est le drame. En direct, devant des millions de télespectateurs, Tarrant se loge une balle dans la tête. Largo est aussitôt désigné par une partie de la presse et de l'opinion, comme le responsable de la mort du désespéré. C'est ensuite June, la fille de Tarrant, qui l'accuse. Pour le bel aventurier milliardaire, les ennuis commencent. Mon avis : Ce qui est agaçant dans cette série, c'est qu'en commençant une nouvelle histoire, on ne sait jamais vraiment quelle option le scénariste aura choisie : une nouvelle aventure dans le milieu des affaires (O.P.A. ou L'héritier) ou une enième aventure de Largo le baroudeur, tuant les méchants à la douzaine (La forteresse de Makiling ou Voir Venise...). Vous aurez sûrement deviné où se situe ma préférence... Dans ce tome 13 (Le prix de l'argent), Van Hamme met entre parenthèses le côté aventurier du héros pour se recentrer sur ce qui faisait à mon goût le charme et l'originalité de la série, c'est-à-dire le milieu de la finance. Largo enquête sur une de ses sociétés qui a déposé le bilan, laissant sur le carreau un directeur qui va commettre l'irréparable et des centaines d'employés mécontents. L'enquête se déroule sur fond de mondialisation, de délocalisations, de stock-options et d'actionnaires véreux, le tout mettant notre héros en fort mauvaise posture... Le scénario est bien construit (on attend avec impatience le dénouement) et le dessin de Francq se bonifie au fil des albums pour notre plus grand plaisir ! Pour résumer, un album qui me réconcilie un peu avec la série et qui devrait ravir les amateurs du genre.

« Marrant » de lire ce topic aujourd’hui puisque je me faisais des réflexions similaires hier soir en lisant une interview de Crisse dans La lettre de Dargaud. En substance ça parlait de son attachement à Kookabura à la base et de ce qu’il en a fait par la suite, du choix entre favoriser L’épée de Cristal ou Kooka (qui s’est joué à pile ou face avec son éditeur :shock: :? ) ou encore du fait qu’il ne dessinerait plus que les 6 premières planches puis déleguerait pour assurer le rendement (c’était bien sûr dit autrement…). Je trouve ça assez suréaliste de parler d’attachement à une série ou à un personnage dans ces conditions… Pour ma part, concernant les éditions Sol***, il peuvent bien sortir 4 219 albums par an, je n’en ai pas grand-chose à fiche vu que en 5 ans, je n’ai jamais réussi à en trouver trois de potables pour pouvoir avoir Les filles de Soleil, et ce n’est pas faute d’avoir essayé ! Là ou ça devient plus génant c’est que d’autres éditeurs se sont lancés dans cette logique, l’exemple le plus flagrant étant La compagnie des glaces chez Dargaud qui est une ***** sans nom et qui n’est visiblement là que pour faire rentrer des pepettes sur X tomes. Idem pour Delcourt qui est un éditeur que j’apprécie non seulement pour ses parutions, mais également parce que le sieur est lui-même amateur de Bd, et qui s’acharne actuellement à sortir un tas de trucs (notamment de la SF effectivement) dont on ne sait même plus si on l’a déjà lu ou non (véridique, et pourtant je m’estime encore à peu près opérationnel au niveau de la mémoire…) tant les parutions se ressemblent et ne nous marquent pas. Enfin et pour finir, je suis entièrement d’accord avec ce qui a été dit sur les collections de qualité (Poisson pilote et Aire libre) qui disparaissent trop vite des étals (essayer de me trouver un Inspecteur Moroni ou un Venezzia la prochaine fois que vous allez chez votre libraire…) alors que si l’on ne fait pas attention on se mange sur le coin de la gueule une pile de trois mètres de haut de Trolls ou de XIII…. Je ne parle même pas de la collection Ecritures qui est inconnue au bataillon dans la librairie ou je fais mes achats. C’est en fait là que c’est triste et qu’il y a un coup de gueule à pousser : ces sorties commerciales asphyxient le marché de la bd et laissent trop peu de place à des bd et à des collections trop confidentielles qui mériteraient un meilleur sort. Pour le reste, l’expérience aidant j’arrive maintenant à peu près à choisir mes bd sans être trop déçu, en suivant quelques auteurs « pas trop prolifiques » et quelques collections que j’aime…

je te dirais ce que j'en ai pensé dans le topic consacré, mais à priori j'aime bien ce genre de bd et je suis bon public pour la bd jeunesse .

Oui, le tome 13 intitulé Le prix de l'argent...

Barcelona : sur les conseils de Meso et Massive. Lou : sur les conseils de Snoopy. Samedi et Dimanche (les 3 tomes) : pour avoir l'intégralité des Poissons Pilote et parce qu'il n'y a vraiment rien à jeter dans cette collection. Les chroniques de Sillage : parce que j'aime me faire du mal... Premières chaleurs... (T.4) : parce que ça se lit bien même si ce n'est pas transcendant. Largo W. (le dernier) : Ok, je sors...

Arf ! Une fois de plus je suis passé à côté du truc. Certes le scénar est original et ouvre une foultitude de possibilités pour la suite, mais c'est le genre de Bd qui me fiche un peu la nausée. Les corps éclatés et les morts au kilomètre sur fond d'expérimentations nazis.... ben j'aime pas trop... :? Encore moins avec ce dessin "réaliste" comme le dit BdCool : c'est très premier degré et ça m'a empêché de prendre du recul par rapport à la Bd. Pour tout dire j'étais plutôt content de sortir de cet univers... Ed qui vit dans un monde où tout le monde il est gentil et qui n'aime pas beaucoup les ambiances malsaines de ce type (ça m'a fait pareil pour Requiem).

Mao Vs Chan Kai Tchek (veuillez vous incliner bien bas si j'ai fait moins de 2 fautes d'orthographe :wink:), voilà une période de l'histoire jamais exploitée en Bd à ma connaissance, et je me faisais une joie de lire cette Bd. C'est sur qu'on ne va pas reprocher à Bourgeron de manquer d'originalité, mais j'ai la triste impression d'être passé à côté de cette Bd. :? La lecture est certes agréable, mais quand je vois que cette histoire a été récompenséecomme Bd du mois de RTL (après Où le regard ne porte pas... et Blankets quand même ...), je me dis que j'ai du louper un truc. Le dessin est à mon goût, mais je regrette que l'histoire aille si vite : les retournements de situation se succèdent bien trop vite à mon avis et les différentes facettes et choix du personnage ne sont pas assez exploités. 47 ou 49 pages me paraissent peu pour raconter 4 années de la vie d'un personnage dans une période aussi trouble. C'est plutôt un tome de mise en place des personnages et de l'action, et j'attends avec impatience la suite (surtout que la fin laisse présager des moments assez jouissifs ! ).

Et ben tout pareil que Goffer, je n'y connais rien en Comics et me suis laissé tenter par vos commentaires, et je ne le regrette vraiment pas ! J'adore ce genre de scénar où les intrigues, les rebondissements et les personnages se multiplient, on sent que c'est maîtrisé de A à Z et que l'auteur sait exactement où il veut aller... Vivement le dénouement, c'est vraiment de la bonne Bd ! Si vous avez d'autres conseils dans le genre (où il ne faut pas avoir lu 35271 comics pour comprendre toutes les références :roll: ), n'hésitez pas !

Arfff , j'ai longuement hésité avant de la prendre celle-là... et je ne l'ai pas prise me disant que ça devait être un peu cul-cul .... Fallait sortir votre chronique en début de semaine, vais de nouveau être obligé de me taper des bornes pour réparer l'erreur moi... :roll: