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  1. Titre de l'album : Tango - Tome 6 - Le fleuve aux trois-rivières Scenariste de l'album : Matz Dessinateur de l'album : Philippe Xavier Coloriste : Jérôme Maffre Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : La Triple Frontière, entre l'Argentine, le Paraguay et le Brésil. Les spectaculaires chutes d'Iguazú ne suffisent pas à en faire un paradis terrestre : la jungle est pleine de contrebandiers, de trafiquants et de tueurs. Tango et Mario croient donner un coup de main à Mike, mais il leur a caché les vraies raisons de sa présence. Les mauvaises surprises s'accumulent, et l'heure de régler les vieux comptes a sonné pour Tango... Critique : Aîe Aïe Aïe... On la sentait venir cette fin de cycle en déception. Après un tome 3 et 4 pas franchement à la hauteur des très réussis deux premiers, le duo Xavier/matz semblait commencer à s'essouffler sur cette série que pourtant j'adore. Peut être limité par le speech de départ faisant de Tango un héro "du quotidien" presque lambda au parcours très loin des super soldats/enquêteurs/policiers/combattants habituels, l'histoire présentée dans cette conclusion de cycle s'avère décevante à plus d'un titre. Primo, Tango n'est jamais vraiment poussé dans ses retranchements, il survole la mêlée tel Rambo dans Rambo 4. Hors Tango n'est pas vraiment sensé être Rambo. Ensuite l'intrigue est relativement plate et sans vrais rebondissements. D'habitude pleins de gouailles notre duo de héros souffre beaucoup du faible rôle accordé à Mario sur ce tome. Rajoutez à cela que l'intrigue principale liée au passé de Tango et à ses anciens démêlés avec la justice n'avance pas d'un iota et on se retrouve avec une déception scénaristique. Excepté le logo fin de cycle sur la couv', dur de voir une vraie différence entre la fin de ce tome et les deux précédents... Ce que par contre j'ai du mal à comprendre c'est que graphiquement, ce tome donne l'impression d'avoir été moins poussé que les premiers. Les arrières plans s'avèrent assez souvent fades et peu détaillés et si personnages et scènes d'actions sont toujours aussi réussies, à la fin demeure l'impression de ne pas retrouver ce qui nous avait séduit dans cette amérique du sud magnifiée par Xavier dans les premiers tomes. Difficile de comprendre cet essoufflement éditorial sur une série que j'adorais pourtant en seulement 6 tomes quand on connait l'imagination prolifique de Matz. Reste que ce tome sera un indispensable pour les fans de Tango comme moi, qui y prendront indéniablement du plaisir de lecture, en espérant quand même que le prochain cycle nous relance dans quelques chose de plus ambitieux. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/tango-tome-6-fleuve-aux-trois-frontieres?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. Aîe Aïe Aïe... On la sentait venir cette fin de cycle en déception. Après un tome 3 et 4 pas franchement à la hauteur des très réussis deux premiers, le duo Xavier/matz semblait commencer à s'essouffler sur cette série que pourtant j'adore. Peut être limité par le speech de départ faisant de Tango un héro "du quotidien" presque lambda au parcours très loin des super soldats/enquêteurs/policiers/combattants habituels, l'histoire présentée dans cette conclusion de cycle s'avère décevante à plus d'un titre. Primo, Tango n'est jamais vraiment poussé dans ses retranchements, il survole la mêlée tel Rambo dans Rambo 4. Hors Tango n'est pas vraiment sensé être Rambo. Ensuite l'intrigue est relativement plate et sans vrais rebondissements. D'habitude pleins de gouailles notre duo de héros souffre beaucoup du faible rôle accordé à Mario sur ce tome. Rajoutez à cela que l'intrigue principale liée au passé de Tango et à ses anciens démêlés avec la justice n'avance pas d'un iota et on se retrouve avec une déception scénaristique. Excepté le logo fin de cycle sur la couv', dur de voir une vraie différence entre la fin de ce tome et les deux précédents... Ce que par contre j'ai du mal à comprendre c'est que graphiquement, ce tome donne l'impression d'avoir été moins poussé que les premiers. Les arrières plans s'avèrent assez souvent fades et peu détaillés et si personnages et scènes d'actions sont toujours aussi réussies, à la fin demeure l'impression de ne pas retrouver ce qui nous avait séduit dans cette amérique du sud magnifiée par Xavier dans les premiers tomes. Difficile de comprendre cet essoufflement éditorial sur une série que j'adorais pourtant en seulement 6 tomes quand on connait l'imagination prolifique de Matz. Reste que ce tome sera un indispensable pour les fans de Tango comme moi, qui y prendront indéniablement du plaisir de lecture, en espérant quand même que le prochain cycle nous relance dans quelques chose de plus ambitieux.
  3. Chronique réalisée à partir du pdf de lecture et non de la bd d'origine.. Ce tome 15 de Samouraï est dans la lignée directe des précédents. Il offre une lecture agréable, et un japon médiéval bien moins fantastique qu'au démarrage de la série ce qui n'est pas pour me déplaire. Ceci dit les scénarios deviennent également plus simples et manquent un peu de complexité je trouve. Il faut également bien reconnaitre que le travail de Mormile n'est pas aussi remarquable à mon humble avis que le trait de Genêt, le premier dessinateur sur cette série. Du coup la série donne l'impression de s'essouffler un peu même si le plaisir de lecture est bien là. Mon avis peut sembler un peu dur tant j'ai apprécié les débuts de cette série qui reste toutefois de bonne facture globalement...
  4. Titre de l'album : Samuraï - Tome 15 - Insoupçonnable Scenariste de l'album : Di Giorgio Dessinateur de l'album : Mormile Coloriste : Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Qui a empoisonné la rivière de Tadami ? Est-ce la même personne qui, depuis deux mois, assassine des villageois à l'aide d'un kunai ?Le rôle de Takeo va-t-il consister à compter les cadavres ou à chercher la vérité ?L'aventure ne sera pas de tout repos. Certains villageois n'hésitant pas à faire appel à des tueurs, chargés d'éliminer toutes personnes susceptibles de nuire à leurs objectifs... Critique : Chronique réalisée à partir du pdf de lecture et non de la bd d'origine.. Ce tome 15 de Samouraï est dans la lignée directe des précédents. Il offre une lecture agréable, et un japon médiéval bien moins fantastique qu'au démarrage de la série ce qui n'est pas pour me déplaire. Ceci dit les scénarios deviennent également plus simples et manquent un peu de complexité je trouve. Il faut également bien reconnaitre que le travail de Mormile n'est pas aussi remarquable à mon humble avis que le trait de Genêt, le premier dessinateur sur cette série. Du coup la série donne l'impression de s'essouffler un peu même si le plaisir de lecture est bien là. Mon avis peut sembler un peu dur tant j'ai apprécié les débuts de cette série qui reste toutefois de bonne facture globalement... Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/samurai-tome-15-insoupconnable?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. Titre de l'album : Conquêtes - Tome 8 - Neïta Scenariste de l'album : Jean-Luc Istin Dessinateur de l'album : Erion Campanella Avdisha Coloriste : Olivier Héban Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Les Croisés, en route pour la planète Jérusalem, se posent sur Neïta où vit une colonie de mineurs. L'inquisiteur Evangelisti découvre que Nazareth Prime est devenue une ville fantôme. Commence alors une enquête qui le mènera au coeur de la mine, auprès d'une entité qui dit s'appeler Yahvé. Alors que les colons réapparaissent dans un état proche de la catatonie, sur Neïta, le mystère s'épaissit... Critique : Chronique réalisée à partir du pdf de lecture et non de la bd Papier. Des différences peuvent être constatées. Vérifiez par vous même en librairie avant tout achat. Qu'il est difficile de se forger son avis sur Conquêtes. J'ai beau savoir que ce n'est plus très original depuis longtemps, que le format one shot ne permet guère de complexité et mise sur une action menée tambour battant, j'ai toujours plaisir à en ouvrir un, et souvent à le lire. Ce tome 8 ne fait pas plus exception à la règle que le 6 ou le 7... On passe toujours un beau moment, graphiquement c'est très soigné, peut être même un peu plus que la plupart des Conquêtes, mais je suis également resté sur ma faim tant l'intrigue aurait pu être plus développée. Et la fin est un petit peu parachutée également. La lassitude viendra-t-elle face à ces histoires individuellement indéniablement réussies, mais collectivement finalement redondantes ? Je ne sais pas y répondre. Après tout l'une de mes meilleurs lectures de SF de cette année reste un tome d'Androïdes, série pour laquelle j'aurais également pu écrire le paragraphe ci-dessus. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/conquetes-tome-8-neita?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. The_PoP

    Conquêtes - Tome 8 - Neïta

    Chronique réalisée à partir du pdf de lecture et non de la bd Papier. Des différences peuvent être constatées. Vérifiez par vous même en librairie avant tout achat. Qu'il est difficile de se forger son avis sur Conquêtes. J'ai beau savoir que ce n'est plus très original depuis longtemps, que le format one shot ne permet guère de complexité et mise sur une action menée tambour battant, j'ai toujours plaisir à en ouvrir un, et souvent à le lire. Ce tome 8 ne fait pas plus exception à la règle que le 6 ou le 7... On passe toujours un beau moment, graphiquement c'est très soigné, peut être même un peu plus que la plupart des Conquêtes, mais je suis également resté sur ma faim tant l'intrigue aurait pu être plus développée. Et la fin est un petit peu parachutée également. La lassitude viendra-t-elle face à ces histoires individuellement indéniablement réussies, mais collectivement finalement redondantes ? Je ne sais pas y répondre. Après tout l'une de mes meilleurs lectures de SF de cette année reste un tome d'Androïdes, série pour laquelle j'aurais également pu écrire le paragraphe ci-dessus.
  7. Titre de l'album : I.S.S. Snipers - Tome 2 - Khol Murdock Scenariste de l'album : Louis Dessinateur de l'album : Stéphane Créty & Juliette Créty Coloriste : J. Nanjan Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : La planète Khaliste 24 est prisonnière du traître Gunnar, un monstre modifié qui surclasse les Snipers eux-mêmes ! Incapables de se déployer car limités en autonomie les Snipers enragent. Une unité expérimentale et secrète a cette précieuse autonomie, on les appelle « les Loups ». L'avenir de l'humanité est entre les mains d'un seul loup et pas n'importe lequel, Khôl Murdock, l'alpha de la meute ! Critique : Chez Soleil on ne traine pas vraiment, à peine le tome 1 digéré que voici le second tome sur le thème des ISS Snipers. Las, si Soleil a probablement voulu retenter le joli coup réalisé avec sa série Conquêtes en s'en inspirant, force est de constater que la recette : one shot dans le même univers, SF classique, Action prépondérante, peu de lien entre chaque one shot ne fonctionne pas vraiment ici. Il faut croire qu'il manque d'autres ingrédients. Le tome 1 n,'était pas si inintéressant, mais ce tome 2 sera malheureusement oublié aussi vite qu'il a été lu. Est-ce que cela en fait une mauvaise BD ? Loin de là, puisque graphiquement ou scénaristiquement, le contenu est largement honorable. Simplement je suis déçu par la direction éditoriale donnée à cette série. Les personnages sont monoblocs, taillés à la serpe dans le granit, et la plupart du temps complètement dépourvus d'émotions. On ne croise que très peu d'humains dans cette série. L'action est certes présente, mais elle manque souvent de finesse, d'enjeux palpitants et de rebondissements. Le destin de ces anti-héros m'ai finalement assez complètement indifférent, et l'univers de SF présenté est sympa mais a déjà été vu et revu des dizaines de fois. Alors si globalement j'ai adhéré à Conqu^tes, pour le moment ISS Snipers m'a laissé sur la touche. Espérons que les prochains tomes viennent étoffer un peu cette série dont les auteurs font pourtant le job. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/i-s-s-snipers-t02-khol-murdock?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. Chez Soleil on ne traine pas vraiment, à peine le tome 1 digéré que voici le second tome sur le thème des ISS Snipers. Las, si Soleil a probablement voulu retenter le joli coup réalisé avec sa série Conquêtes en s'en inspirant, force est de constater que la recette : one shot dans le même univers, SF classique, Action prépondérante, peu de lien entre chaque one shot ne fonctionne pas vraiment ici. Il faut croire qu'il manque d'autres ingrédients. Le tome 1 n,'était pas si inintéressant, mais ce tome 2 sera malheureusement oublié aussi vite qu'il a été lu. Est-ce que cela en fait une mauvaise BD ? Loin de là, puisque graphiquement ou scénaristiquement, le contenu est largement honorable. Simplement je suis déçu par la direction éditoriale donnée à cette série. Les personnages sont monoblocs, taillés à la serpe dans le granit, et la plupart du temps complètement dépourvus d'émotions. On ne croise que très peu d'humains dans cette série. L'action est certes présente, mais elle manque souvent de finesse, d'enjeux palpitants et de rebondissements. Le destin de ces anti-héros m'ai finalement assez complètement indifférent, et l'univers de SF présenté est sympa mais a déjà été vu et revu des dizaines de fois. Alors si globalement j'ai adhéré à Conqu^tes, pour le moment ISS Snipers m'a laissé sur la touche. Espérons que les prochains tomes viennent étoffer un peu cette série dont les auteurs font pourtant le job.
  9. Bon il y a définitivement deux mondes, et si je ne peux décemment pas prétendre être un fan des Tortues Ninja façon comics, je suis bien obligé d'essayer de faire la passerelle entre les fans et ceux qui n'imaginent même pas essayer un jour. Le monde développé par les auteurs au fil de ces 14 tomes finit par être aussi complexe, fouillé et tortueux que certains Marvel ou DC. Oui on reste dans le super héros, non on est aussi proche du dessin animé que les Batman en dessins animés de notre enfance le sont des comics de Miller. Oui c'est de l'action, du fantastique, quelques vannes, et des héros un peu particuliers. Mais ça fonctionne bien, et le cocktail est en plus servi depuis 14 tomes par des dessinateurs de talent. Ici Dave Wachter et Cory Smith nous livrent une nouvelle fois une partition inspirée sur les scènes d'actions, bien que bien plus classique que le fantasque Matteus Santolouco. Pour les non initiés, inutile d'espérer vous plonger dans l'univers via ce tome, cela n'aurait probablement que peu de sens. Pour les autres, ce tome continue d'ouvrir de nouveaux horizons qu'on imagine fournis.
  10. Titre de l'album : Teenage Mutant Ninja Turtles - Tome 14 - Le procès de Krang Scenariste de l'album : Kevin Eastman & Tom Waltz & Bobby Curnow Dessinateur de l'album : Dave Wachter & Cory Smith Coloriste : Ronda Pattinson Editeur de l'album : Hi-Comics Note : Résumé de l'album : Les Tortues prennent une toute nouvelle dimension ! Leo, Raph, Donnie et Mike se téléportent dans la dimension X pour assister au procès de Krang. Mais le règne de terreur du plus cruel des utroms est-il définitivement fini ? Dans cet endroit étrange, un visage familier et de nouveaux ennemis mortels attendent les fils de Splinter, tandis qu'ailleurs, c'est tout le Panthéon qui se réunit pour décider du sort du monde... à commencer par celui des mutants ! Critique : Bon il y a définitivement deux mondes, et si je ne peux décemment pas prétendre être un fan des Tortues Ninja façon comics, je suis bien obligé d'essayer de faire la passerelle entre les fans et ceux qui n'imaginent même pas essayer un jour. Le monde développé par les auteurs au fil de ces 14 tomes finit par être aussi complexe, fouillé et tortueux que certains Marvel ou DC. Oui on reste dans le super héros, non on est aussi proche du dessin animé que les Batman en dessins animés de notre enfance le sont des comics de Miller. Oui c'est de l'action, du fantastique, quelques vannes, et des héros un peu particuliers. Mais ça fonctionne bien, et le cocktail est en plus servi depuis 14 tomes par des dessinateurs de talent. Ici Dave Wachter et Cory Smith nous livrent une nouvelle fois une partition inspirée sur les scènes d'actions, bien que bien plus classique que le fantasque Matteus Santolouco. Pour les non initiés, inutile d'espérer vous plonger dans l'univers via ce tome, cela n'aurait probablement que peu de sens. Pour les autres, ce tome continue d'ouvrir de nouveaux horizons qu'on imagine fournis. Autres infos : Tortues Ninja sans pizzas Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-tortues-ninja-tmnt-tome-14-le-proces-de-krang?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. Titre de l'album : Gunblast girls - Tome 2 - Koyaanisqatsi Scenariste de l'album : Crisse Dessinateur de l'album : Crisse Coloriste : Besson - Nino Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Zdenka avait reformé les Gunblast Girls pour un plan simple : escorter discrètement une gamine à l'autre bout du système sidéral, prendre l'oseille et se mettre au vert. Et puis ladite gamine s'est révélée être le réceptacle d'une entité cosmique convoitée par la moitié de la galaxie, et sujette à des crises de panique qui téléportent tout le monde à travers l'espace... et maintenant, le temps ! Et là, forcément, le plan a légèrement dérapé... Critique : En voilà un ouvrage étonnant... Ce GunblastGirls tome 2 clôture un diptyque de sf hyper ambitieux démarré en... 2017. Crisse est donc totalement aux commandes de cet ouvrage d'action survitaminé nous présentant des héroïnes mercenaires combattant pour accomplir une mission qui les a emmené beaucoup plus loin que prévu. Ce qui est étonnant c'est que l'univers, l'intrigue et ses implications sont hyper riches, et qu'on ne fait finalement qu'effleurer le tout, sans avoir toutes les réponses. Cela m'a donné l'impression d'une série qu'on finit en catastrophe car elle n'a pas rencontré son public. Sympa pour les acheteurs du premier tome puisqu'une série non terminée est la terreur de tout lecteur de BD. Cependant cela ne suffit pas en faire une BD de science fiction qui sort du lot. L'action avance très vite, bien servie par les illustrations de Crisse dans son style habituel. Gunblast Girls 2 est donc pour vous si vous avez aimé le premier tome, si vous aimez la sf qui défouraille à tout va, et si vous n'aimez pas les series à rallonge. Pour les purs amateurs de SF par contre cela risque d'être un peu juste. Autres infos : Dyptique de science fiction survitaminée par Crisse Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/gunblast-girls-tome-2-koyaanisqatsi?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. En voilà un ouvrage étonnant... Ce GunblastGirls tome 2 clôture un diptyque de sf hyper ambitieux démarré en... 2017. Crisse est donc totalement aux commandes de cet ouvrage d'action survitaminé nous présentant des héroïnes mercenaires combattant pour accomplir une mission qui les a emmené beaucoup plus loin que prévu. Ce qui est étonnant c'est que l'univers, l'intrigue et ses implications sont hyper riches, et qu'on ne fait finalement qu'effleurer le tout, sans avoir toutes les réponses. Cela m'a donné l'impression d'une série qu'on finit en catastrophe car elle n'a pas rencontré son public. Sympa pour les acheteurs du premier tome puisqu'une série non terminée est la terreur de tout lecteur de BD. Cependant cela ne suffit pas en faire une BD de science fiction qui sort du lot. L'action avance très vite, bien servie par les illustrations de Crisse dans son style habituel. Gunblast Girls 2 est donc pour vous si vous avez aimé le premier tome, si vous aimez la sf qui défouraille à tout va, et si vous n'aimez pas les series à rallonge. Pour les purs amateurs de SF par contre cela risque d'être un peu juste.
  13. Et voici le dernier né dans les sorties récentes de chez Soleil en Science Fiction. Pour ceux qui ont raté la bande annonce de cette nouvelle série, je vous laisse avec le lien pour la découvrir. https://www.editions-soleil.fr/videos/iss-snipers-la-nouvelle-serie-de-jean-luc-istin Alors ce Tome 1 il a quoi dans le ventre ? D'abord de l'action survitaminée, ensuite un personnage fort, foncièrement badass et pas vraiment gentil, et enfin une science fiction où l'on retrouve quand même nos humains et leurs relations au centre de tout. Oui la réflexion sur l'avenir métaphysique de la trans humanité n'est pas vraiment au coeur de ISS Snipers. Ici c'est la guerre, et en version sale. Côté scénario donc des clins d'oeils appuyés à quelques cadors du genre, une histoire relativement courte pour coller au format et une fin ou le Deus Ex Machina intervient un peu rapidement pour ne pas nous faire hausser un sourcil à mon avis. C'est d'ailleurs l'un des défauts de cette BD : ce Background mérite d'être traité sur une série et non en multiples One-Shot. A voir ce que les prochains tomes nous réserveront, mais j'ai un doute sur l'intérêt à long terme de cette série si l'on se contente comme pour Conquêtes de One shot. Reste que comme pour Conquêtes justement, cela nous fait toujours une lecture divertissante de SF survitaminée sans trop avoir besoin de ses neurones. Graphiquement cependant je dis chapeau bas. On sort clairement des standards habituels de chez Soleil, mais on le fait en douceur avec le trait splendide et assez fin de Erwan Seure-Le-Bihan. Sa mise en couleur renforce d'ailleurs l'originalité de son traitement de la SF chez Soleil, et c'est Tant mieux tant cela donne un résultat très frais. Seul bémol, ce que l'on gagne sur les personnages on le perd un peu sur les plans larges façon Space Opéra qui sont un peu moins mis en valeur qu'habituellement sur ce genre de parutions. Mais personnellement je ne m'en plaindrais pas.
  14. Titre de l'album : I.S.S. Snipers - Tome 1 - Reid Eckart Scenariste de l'album : Jean Luc Istin Dessinateur de l'album : Erwan Seure-Le-Bihan Coloriste : Erwan Seure-Le-Bihan Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Je suis le I.S.S. Sniper Reid Eckart, on me surnomme Stock parce que je moissonne la mort et fais un stock de cadavres là où je colle mes bottes. Comme on arrive, on repart. On enchaîne les missions parce que le vent de révolte sur des planètes aussi éloignées, ça souffle plus vite que l'ordre. Ça, c'était avant ! Car depuis qu'on nous a envoyés sur Okeelia, faut bien l'avouer, la donne a changé ! Critique : Et voici le dernier né dans les sorties récentes de chez Soleil en Science Fiction. Pour ceux qui ont raté la bande annonce de cette nouvelle série, je vous laisse avec le lien pour la découvrir. https://www.editions-soleil.fr/videos/iss-snipers-la-nouvelle-serie-de-jean-luc-istin Alors ce Tome 1 il a quoi dans le ventre ? D'abord de l'action survitaminée, ensuite un personnage fort, foncièrement badass et pas vraiment gentil, et enfin une science fiction où l'on retrouve quand même nos humains et leurs relations au centre de tout. Oui la réflexion sur l'avenir métaphysique de la trans humanité n'est pas vraiment au coeur de ISS Snipers. Ici c'est la guerre, et en version sale. Côté scénario donc des clins d'oeils appuyés à quelques cadors du genre, une histoire relativement courte pour coller au format et une fin ou le Deus Ex Machina intervient un peu rapidement pour ne pas nous faire hausser un sourcil à mon avis. C'est d'ailleurs l'un des défauts de cette BD : ce Background mérite d'être traité sur une série et non en multiples One-Shot. A voir ce que les prochains tomes nous réserveront, mais j'ai un doute sur l'intérêt à long terme de cette série si l'on se contente comme pour Conquêtes de One shot. Reste que comme pour Conquêtes justement, cela nous fait toujours une lecture divertissante de SF survitaminée sans trop avoir besoin de ses neurones. Graphiquement cependant je dis chapeau bas. On sort clairement des standards habituels de chez Soleil, mais on le fait en douceur avec le trait splendide et assez fin de Erwan Seure-Le-Bihan. Sa mise en couleur renforce d'ailleurs l'originalité de son traitement de la SF chez Soleil, et c'est Tant mieux tant cela donne un résultat très frais. Seul bémol, ce que l'on gagne sur les personnages on le perd un peu sur les plans larges façon Space Opéra qui sont un peu moins mis en valeur qu'habituellement sur ce genre de parutions. Mais personnellement je ne m'en plaindrais pas. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/i-s-s-snipers-tome-1-reid-eckart?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. Décidément, l'actualité du scénariste du Convoyeur est chargée en ce moment puisqu'après la conclusion de son excellent diptyque Psykoparis sortie toute récemment et que j'avais déjà adoré, voici la sortie du non moins attendu tome 2 du Convoyeur, l'une des nouvelles séries qui nous avait le plus impressionné l'année dernière. Rien que ça. Alors si je vous dis qu'en plus M. Armand, le dessinateur est aussi l'homme derrière les excellentissimes Sykes et Texas Jack, et qu'on a là une superbe aventure de post apo, encore plus ambitieuse qu'entrevue dans le tome 1, je vous avoue que je vais avoir du mal à garder ma mesure. Commençons par les bémols : la partie graphique est excellente encore une fois, mais je trouve Le Convoyeur un léger cran en dessous de Sykes en terme d'effet Waouh. Rien de gênant, cette série se plaçant de toute façon en haut des sorties du genre graphiquement. Les couleurs sont belles, l'action est fluide, les découpages soignés, et les personnages aisément identifiables. Et c'est tout pour les bémols. Oui j'ai adoré tout le reste. L'histoire m'a plu. J'ai aimé qu'elle prenne encore plus d'ampleur, et que l'on ai immédiatement envie de relire le premier tome une fois le second bouclé. J'ai aimé l'évolution des personnages. J'ai aimé que l'on soit finalement bousculés dans ce que l'on croyait avoir compris. L'univers présenté est toujours plus fascinant, et je n'ai finalement qu'une hâte : La suite vite !
  16. Titre de l'album : Le convoyeur - Tome 2 - La cité des mille flèches Scenariste de l'album : Tristan Roulot Dessinateur de l'album : Dimitri Armand Coloriste : Dimitri Armand Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : De retour d'une de ses missions, le Convoyeur est attaqué par surprise par la mystérieuse Chasseresse. Il sort vainqueur de l'affrontement, mais renonce à achever son adversaire. Les deux ennemis se croisent à nouveau à la cour du Duc d'Arcasso, où cruauté et dépravation règnent en maîtres. Face à un mal qui les dépasse, Convoyeur et Chasseresse seront-ils capables de s'allier ? Critique : Décidément, l'actualité du scénariste du Convoyeur est chargée en ce moment puisqu'après la conclusion de son excellent diptyque Psykoparis sortie toute récemment et que j'avais déjà adoré, voici la sortie du non moins attendu tome 2 du Convoyeur, l'une des nouvelles séries qui nous avait le plus impressionné l'année dernière. Rien que ça. Alors si je vous dis qu'en plus M. Armand, le dessinateur est aussi l'homme derrière les excellentissimes Sykes et Texas Jack, et qu'on a là une superbe aventure de post apo, encore plus ambitieuse qu'entrevue dans le tome 1, je vous avoue que je vais avoir du mal à garder ma mesure. Commençons par les bémols : la partie graphique est excellente encore une fois, mais je trouve Le Convoyeur un léger cran en dessous de Sykes en terme d'effet Waouh. Rien de gênant, cette série se plaçant de toute façon en haut des sorties du genre graphiquement. Les couleurs sont belles, l'action est fluide, les découpages soignés, et les personnages aisément identifiables. Et c'est tout pour les bémols. Oui j'ai adoré tout le reste. L'histoire m'a plu. J'ai aimé qu'elle prenne encore plus d'ampleur, et que l'on ai immédiatement envie de relire le premier tome une fois le second bouclé. J'ai aimé l'évolution des personnages. J'ai aimé que l'on soit finalement bousculés dans ce que l'on croyait avoir compris. L'univers présenté est toujours plus fascinant, et je n'ai finalement qu'une hâte : La suite vite ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-convoyeur-tome-2-la-cite-des-mille-fleches?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. Chapeau bas à M. Runberg pour nous proposer sur ce tome d'Optic Squad un vrai scénario bien foutu, complexe, avec de mutliples intérêts et intrigues croisées. Le rythme est bon, très soutenu, et les enjeux finissent pas être clairs. C'est un plaisir de lire M. Runberg quand il est à ce niveau là. C'est un grand oui, cet Optic Squad commence sérieusement à se rapprocher de ce que Carmen Mc Callum a pu nous proposer. Alors comme c'est une sacrée référence, je vais quand même y apporter un bémol. Les dessins du tome 1 m'avaient laissé une belle impression, mais là en lisant ce tome 2 il y a quelque chose qui m'a un peu gêné. C'est beau, c'est bien fait, mais j'ai eu du mal à rentrer dans le dessin. Hors le dessinateur n'a pas changé et seul le coloriste à changé entre les deux tomes. J'aurais beaucoup de mal à vous expliquer quelles sont les différences qui m'ont embêté, même en ayant posé et ouvert les deux tomes côte à côte. Alors faites vous votre impression puisque pour moi ce dont je parle est déjà visible en comparant les deux couv'. Puis venez en discuter avec moi. Quoiqu'il en soit Optic Squad est une bonne série de science fiction que je ne peux que vous recommander.
  18. Titre de l'album : Optic Squad - Tome 2 - Mission Los Angeles Scenariste de l'album : Sylvain Runberg Dessinateur de l'album : Stéphane Bervas Coloriste : Stéphane Astier Editeur de l'album : Rue de sevres Note : Résumé de l'album : Californie, le candidat favori Zak Demarest, est en campagne et brigue son deuxième mandat de Président des Western States. Tandis qu’il promeut son futur projet de santé publique d’Imunocard, la délégation est violemment attaquée par un groupe néofaciste, qui considère le programme social de Demarest comme une atteinte aux valeurs de la liberté. L’attentat fait plusieurs victimes dont l’un des agents des Optic Squad infiltrés dans le staff du candidat. Katryn est désignée pour poursuivre la mission d’infiltration avec Valdo. Suite à une série de décès assez obscurs au sein des sympathisants de Demarest, de forts soupçons de dangerosité et de manipulation pèsent sur la technologie envisagée. Les Optic Squad n’ont que les quelques jours qui les séparent des élections pour découvrir si les bonnes intentions du Président sont bien réelles. Critique : Chapeau bas à M. Runberg pour nous proposer sur ce tome d'Optic Squad un vrai scénario bien foutu, complexe, avec de mutliples intérêts et intrigues croisées. Le rythme est bon, très soutenu, et les enjeux finissent pas être clairs. C'est un plaisir de lire M. Runberg quand il est à ce niveau là. C'est un grand oui, cet Optic Squad commence sérieusement à se rapprocher de ce que Carmen Mc Callum a pu nous proposer. Alors comme c'est une sacrée référence, je vais quand même y apporter un bémol. Les dessins du tome 1 m'avaient laissé une belle impression, mais là en lisant ce tome 2 il y a quelque chose qui m'a un peu gêné. C'est beau, c'est bien fait, mais j'ai eu du mal à rentrer dans le dessin. Hors le dessinateur n'a pas changé et seul le coloriste à changé entre les deux tomes. J'aurais beaucoup de mal à vous expliquer quelles sont les différences qui m'ont embêté, même en ayant posé et ouvert les deux tomes côte à côte. Alors faites vous votre impression puisque pour moi ce dont je parle est déjà visible en comparant les deux couv'. Puis venez en discuter avec moi. Quoiqu'il en soit Optic Squad est une bonne série de science fiction que je ne peux que vous recommander. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/optic-squad-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. Et voilà le tome 3 de Ghost War qui clôture ce premier cycle d'action futuriste avec brio. Attention il ne fallait pas trop s'attacher aux personnages car le scénariste Jean-Pierre Pécau, plus habitué des Uchronies, n'a lui clairement pas prévu de les choyer. Les planches de Stefano Martino sont très réussies pour donne vie à ce futur proche, et les scènes d'action sont super bien mises en scène, nerveuse et pleines de mouvements. Décors comme personnages sont bien travaillés et participent au plaisir de lecture ressenti sur ces 3 tomes. Ces graphismes réussis et cette histoire très dynamique, très orientée action, ne manquera pas de nous faire parfois penser à Travis ou Carmen Mc Callum. Ce qui est plutôt un compliment ici chez 1001bd. Si Ghost War ne va probablement pas marquer durablement la SF en BD, le résultat de ce premier tryptique me donne clairement envie d'avoir 3 tomes de rab' car je pense que le scénariste peut en avoir encore sous le coude.
  20. Titre de l'album : Ghost War - tome 3 - Machinen Krieg Scenariste de l'album : Jean-Pierre Pecau Dessinateur de l'album : Stefano Martino Coloriste : Elmer B. Santos Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Après le débarquement de mystérieux mécas qui ont pris le contrôle d'une station minière du Grand Nord finlandais, la résistance s'est organisée. Mais nul n'est en mesure d'expliquer les objectifs et l'origine des envahisseurs. La vérité va bientôt éclater, stupéfiant tout le monde, et chacun va devoir choisir son camp... Pour les différents protagonistes luttant pour leur survie, l'heure des comptes a sonné. Critique : Et voilà le tome 3 de Ghost War qui clôture ce premier cycle d'action futuriste avec brio. Attention il ne fallait pas trop s'attacher aux personnages car le scénariste Jean-Pierre Pécau, plus habitué des Uchronies, n'a lui clairement pas prévu de les choyer. Les planches de Stefano Martino sont très réussies pour donne vie à ce futur proche, et les scènes d'action sont super bien mises en scène, nerveuse et pleines de mouvements. Décors comme personnages sont bien travaillés et participent au plaisir de lecture ressenti sur ces 3 tomes. Ces graphismes réussis et cette histoire très dynamique, très orientée action, ne manquera pas de nous faire parfois penser à Travis ou Carmen Mc Callum. Ce qui est plutôt un compliment ici chez 1001bd. Si Ghost War ne va probablement pas marquer durablement la SF en BD, le résultat de ce premier tryptique me donne clairement envie d'avoir 3 tomes de rab' car je pense que le scénariste peut en avoir encore sous le coude. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ghost-war-tome-3-machinen-krieg?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. The_PoP

    Adventureman

    Allez hop, je tiens mon chouchou de ce début d'année, et à mon avis de cette année tout court. Que cela soit dit, j'adore le travail de Terry Dodson depuis Songes. Mais quel plaisir de le voir mettre son immense talent au service d'une histoire ambitieuse et d'un scénariste de talent : Matt Fraction (connu surtout pour son travail chez Marvel)... D'un point de vue éditorial on sent qu'ils se sont laissé beaucoup de libertés et c'est tant mieux. Bravo à Glénat d'être allé chercher cette perle. Côté scénario, prenez tout ce que vous aimez dans les vieux Pulp fantastiques, rajoutez y une belle pincée d'Onirisme, une actualisation prenante, des personnages qui déclenchent de l'empathie, des supers méchants très réussi, et un découpage des scènes absolument à couper le souffle et vous obtenez ce qui sera l'un des titres de l'année je pense. Certes il y a du texte et c'est un petit peu verbeux parfois, le début de l'histoire semble aussi un peu fouilli, mais le potentiel d'une grande histoire est clairement présent, et vu l'audace et la réussite de ce premier opus, je n'attendrais pas le second pour y mettre 5 étoiles. Je vous aurais prévenu, pour ma part je tire un très grand coup de chapeau à M. Dodson et Fraction. Si vous me lisez, merci, merci, merci. J'ai adoré.
  22. The_PoP

    Adventureman

    Titre de l'album : Adventureman Scenariste de l'album : Matt Fraction Dessinateur de l'album : Terry Dodson Coloriste : Terry & Rachel Dodson Editeur de l'album : Glenat - Comics Note : Résumé de l'album : Les vrais héros ne disparaissent jamais. Tic. Toc. Tic. Toc... L'horloge sonne l'heure fatidique de l'affrontement final entre Adventureman et son rival, le Baron Bizarre. Accompagnés de leurs frères et soeurs d'armes, héros et vilains déploient leurs forces dans un duel titanesque, digne d'une bataille olympienne. Mais tout cela est vain, car la règle est implacable: les héros vont gagner, le bien va l'emporter... Le bien l'emporte toujours. Pourtant cette fois, Adventureman est vaincu. Le Baron Bizarre a gagné. Tombée de rideau? Dans le monde réel, Tommy ferme le dernier roman de la saga Adventureman et s'indigne auprès de Claire, sa mère. Comment une telle histoire peut ainsi s'achever? La réponse : la suite n'existe pas. C'est du moins la conviction de Claire jusqu'au jour où une mystérieuse femme lui confie une édition inédite des récits d'Adventureman... Hommage vibrant aux récits d'aventures pulp, Matt Fraction et Terry Dodson délivrent dans les pages d'Adventureman, un condensé de fun et d'action terriblement moderne. Un voyage nostalgique et décomplexé au cours duquel une héroïne charismatique se laisse embarquer par une intrigue où s'entremêlent fiction et réalité. Critique : Allez hop, je tiens mon chouchou de ce début d'année, et à mon avis de cette année tout court. Que cela soit dit, j'adore le travail de Terry Dodson depuis Songes. Mais quel plaisir de le voir mettre son immense talent au service d'une histoire ambitieuse et d'un scénariste de talent : Matt Fraction (connu surtout pour son travail chez Marvel)... D'un point de vue éditorial on sent qu'ils se sont laissé beaucoup de libertés et c'est tant mieux. Bravo à Glénat d'être allé chercher cette perle. Côté scénario, prenez tout ce que vous aimez dans les vieux Pulp fantastiques, rajoutez y une belle pincée d'Onirisme, une actualisation prenante, des personnages qui déclenchent de l'empathie, des supers méchants très réussi, et un découpage des scènes absolument à couper le souffle et vous obtenez ce qui sera l'un des titres de l'année je pense. Certes il y a du texte et c'est un petit peu verbeux parfois, le début de l'histoire semble aussi un peu fouilli, mais le potentiel d'une grande histoire est clairement présent, et vu l'audace et la réussite de ce premier opus, je n'attendrais pas le second pour y mettre 5 étoiles. Je vous aurais prévenu, pour ma part je tire un très grand coup de chapeau à M. Dodson et Fraction. Si vous me lisez, merci, merci, merci. J'ai adoré. Autres infos : Comics pulp Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/adventureman-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. Attention, cette chronique a été faite à partir d'un pdf et non de l'original papier. Il peut donc y avoir des différences entre nos ressentis au niveau du graphisme notamment. Et voici un nouveau tome de Samuraï, qui se dirige doucement vers une construction d'histoire à la Thorgal. Dans ce nouveau dyptique à venir, Takeo poursuit inlassablement sa bien aimée pour tenter de la retrouver et se retrouve comme d'habitude mêlé malgré lui aux histoires locales. Une occasion en or pour nous de nous plonger dans ce Japon Féodal un peu fantastique qu'aime tant Jean François Di Giorgio. L'histoire en elle même est une histoire de vengeance un peu sombre et de conflits entre communauté mais ce tome nous laisse beaucoup de mystères planer. Côté dessin, on retrouve Christina Mormile avec son trait beaucoup plus rond et moins atypique que celui du dessinateur historique de la série Frédéric Genêt, parti depuis sur d'autres séries. La colorisation met en avant les ambiances et est très propre. Cette série s'oriente de plus en plus vers les production Soleil un peu plus standardisées. Ce samuraï ravira une fois de plus les amateurs de la série, même s'ils regretteront peut être la complexité des premiers cycles et du dessin dans l'histoire présentée sur ce tome 14. Cette série n'en reste pas moins un divertissement très agréable qui nous plonge avec délice dans ce Japon un peu fantastique.
  24. Titre de l'album : Samuraï - Tome 14 - L'épaule du maître Scenariste de l'album : Jean François Di Giorgio Dessinateur de l'album : Christina Mormile Coloriste : Lorenzo Pieri Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Préfecture de Yume. En route pour retrouver sa fiancée Sayuri, Takeo aide un vieil homme agressé par des inconnus. Pour le remercier, le vieil homme l'invite dans son village. Ce qui ne semblait être qu'une simple halte tourne rapidement au cauchemar, quand Takeo découvre que sur le village d'apparence paisible, pèse une étrange menace... Mais il n'est pas un samurai à se laisser intimider sans réagir. Critique : Attention, cette chronique a été faite à partir d'un pdf et non de l'original papier. Il peut donc y avoir des différences entre nos ressentis au niveau du graphisme notamment. Et voici un nouveau tome de Samuraï, qui se dirige doucement vers une construction d'histoire à la Thorgal. Dans ce nouveau dyptique à venir, Takeo poursuit inlassablement sa bien aimée pour tenter de la retrouver et se retrouve comme d'habitude mêlé malgré lui aux histoires locales. Une occasion en or pour nous de nous plonger dans ce Japon Féodal un peu fantastique qu'aime tant Jean François Di Giorgio. L'histoire en elle même est une histoire de vengeance un peu sombre et de conflits entre communauté mais ce tome nous laisse beaucoup de mystères planer. Côté dessin, on retrouve Christina Mormile avec son trait beaucoup plus rond et moins atypique que celui du dessinateur historique de la série Frédéric Genêt, parti depuis sur d'autres séries. La colorisation met en avant les ambiances et est très propre. Cette série s'oriente de plus en plus vers les production Soleil un peu plus standardisées. Ce samuraï ravira une fois de plus les amateurs de la série, même s'ils regretteront peut être la complexité des premiers cycles et du dessin dans l'histoire présentée sur ce tome 14. Cette série n'en reste pas moins un divertissement très agréable qui nous plonge avec délice dans ce Japon un peu fantastique. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/samurai-tome-14-l-epaule-du-maitre?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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