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  1. Cette suite de la montagne invisible apporte la fin de ce thriller ésotérique et fantastique qui se termine au Tibet. Les deux scénaristes Makyo, Frédéric Richaud poursuivent leur histoire sans grande surprise avec des liens importants avec la seconde guerre mondiale et les nazis. Ce thème est assez récurrent dans les histoires de bande dessinée avec une partie mystique que l'on trouvera dans les croyances bouddhistes et dans la montagne invisible. On suit le parcours des héros qui ont définitivement des objectifs différents entre retrouver un docteur de renommé ou gravir une montagne. Les dessins de Leomacs sont dans un style réaliste qui conviennent bien sur ce genre d'histoire. Les lecteurs amateurs d'ésotérisme et autres mystères pourront être comblés par cette série qui ne tire pas sur les longueurs grâce à son format en diptyque.
  2. Titre de l'album : La montagne invisible tome 2 - La mémoire du monde Scenariste de l'album : Makyo, Frédéric Richaud Dessinateur de l'album : Leomacs Coloriste : Claudia Chec Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Zacharie et Gunther se rendent au Tibet sur les traces du père de Zacharie, un talentueux neuro-chirurgien seul capable de sauver Nina. Sa piste les mène au mont Kailash, la montagne sacrée dont les pèlerins espèrent recevoir l'illumination, malgré la présence oppressante de l'occupant chinois. Les phénomènes étranges auxquels ils assistent pourraient être liés au mythe de la montagne invisible... Critique : Cette suite de la montagne invisible apporte la fin de ce thriller ésotérique et fantastique qui se termine au Tibet. Les deux scénaristes Makyo, Frédéric Richaud poursuivent leur histoire sans grande surprise avec des liens importants avec la seconde guerre mondiale et les nazis. Ce thème est assez récurrent dans les histoires de bande dessinée avec une partie mystique que l'on trouvera dans les croyances bouddhistes et dans la montagne invisible. On suit le parcours des héros qui ont définitivement des objectifs différents entre retrouver un docteur de renommé ou gravir une montagne. Les dessins de Leomacs sont dans un style réaliste qui conviennent bien sur ce genre d'histoire. Les lecteurs amateurs d'ésotérisme et autres mystères pourront être comblés par cette série qui ne tire pas sur les longueurs grâce à son format en diptyque. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-montagne-invisible-tome-2-la-memoire-du-monde?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Stephen Desberg annonçait dans une interview de casemate, ressentir le besoin de travailler sur un projet avec une pagination plus importante que sur une BD traditionnelle avec 54 pages au maximum. Avec les rivières du passé, l'auteur peut ainsi laisser libre court à son imagination mais donner aussi une plus large place pour l’ambiance. L'histoire se déroule sur deux époques distinctes entre le Paris du moyen âge et le Paris d'aujourd’hui, avec un contexte historique bien développé. On suit le parcours des deux héroïnes de l'histoire, Linn une voleuse proche de Catwoman et Lamia une femme plus intrigante. Bien évidemment les deux femmes vont se rapprocher au cours d'une scène d'action ou Linn essaie de voler un bijou égyptien. Pour la partie graphique, on retrouve le talentueux Yannick Corboz, l'auteur nous avait émerveillé avec l'assassin qu'elle mérite. On reconnait son style pour dessiner les personnages même si la coloration diffère entre le titre précédent et les rivières du passé. Paris est bien représenté sur les deux époques. Les dessins débordent des cases pour un très bon rendu. Une version en noir et blanc dans un format plus grand avec des bonus supplémentaires et un ex-libris sera disponible le jour de la sortie de l'édition classique qui comporte aussi des esquisses des personnages en fin d'album. Ce premier tome des rivières du passé commence très fort ce diptyque.
  4. Titre de l'album : Les rivières du passé tome 1 la voleuse Scenariste de l'album : Stephen Desberg Dessinateur de l'album : Yannick Corboz Coloriste : Yannick Corboz Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : Lynn, jeune paumée et voleuse surdouée, s’empare d’un médaillon égyptien et bascule dans un Paris médiéval. Même endroit, mais autre époque et autre Histoire... À Paris, de nos jours, on suit les pas d’une jeune femme solitaire et sauvage. Elle pratique la seule activité pour laquelle elle est incroyablement douée : Lynn est une voleuse ! Son dernier coup de maître : dérober pour le compte du sulfureux Argonovitch un médaillon d’une valeur inestimable. Il s’agit du médaillon du Dieu Aton dont aucune représentation n’existait à ce jour. En essayant d’échapper à la propriétaire du joyau, Lynn traverse une porte et se trouve projetée dans un Paris parallèle, moyenâgeux, dans lequel l’Histoire ne s’est pas déroulée de la même façon... Critique : Stephen Desberg annonçait dans une interview de casemate, ressentir le besoin de travailler sur un projet avec une pagination plus importante que sur une BD traditionnelle avec 54 pages au maximum. Avec les rivières du passé, l'auteur peut ainsi laisser libre court à son imagination mais donner aussi une plus large place pour l’ambiance. L'histoire se déroule sur deux époques distinctes entre le Paris du moyen âge et le Paris d'aujourd’hui, avec un contexte historique bien développé. On suit le parcours des deux héroïnes de l'histoire, Linn une voleuse proche de Catwoman et Lamia une femme plus intrigante. Bien évidemment les deux femmes vont se rapprocher au cours d'une scène d'action ou Linn essaie de voler un bijou égyptien. Pour la partie graphique, on retrouve le talentueux Yannick Corboz, l'auteur nous avait émerveillé avec l'assassin qu'elle mérite. On reconnait son style pour dessiner les personnages même si la coloration diffère entre le titre précédent et les rivières du passé. Paris est bien représenté sur les deux époques. Les dessins débordent des cases pour un très bon rendu. Une version en noir et blanc dans un format plus grand avec des bonus supplémentaires et un ex-libris sera disponible le jour de la sortie de l'édition classique qui comporte aussi des esquisses des personnages en fin d'album. Ce premier tome des rivières du passé commence très fort ce diptyque. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/damnatio-lynn-vol01?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. poseidon2

    Skip

    Mmmhhhh il y a des BDs comme ca qui sont plus des œuvres d'art que des bandes dessinées. Et celle ci est clairement dans cette catégorie. On ne va pas dire que je n'ai rien compris mais il est sur que je n'ai pas réussi à saisir ce que l'auteur voulait nous faire ressentir. Je n'ai pas réussi à entrer dedans. Tout simplement. D'autant plus que je n'ai pas compris l'intérêt (ni vraiment comment ca marchait et pourquoi certains mots et pas d'autres) de l'écriture inclusive. Ca m'a perturbé et je n'a pas joué en faveur de ma compréhension de cet album. Je vous laisserais donc juger par vous même.... Désolé 🙂
  6. poseidon2

    Skip

    Titre de l'album : Skip Scenariste de l'album : Molly Mendoza Dessinateur de l'album : Molly Mendoza Coloriste : Molly Mendoza Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Pour échapper à la violence de sa ville d'origine, Bloom, un jeune garçon, vit en exil avec la survie pour seul but. Il est brutalement jeté dans un autre monde et rencontre Gloopy, une drôle de créature foncièrement dilettante, chassée de chez elle par ses amis. Ballotés de dimensions en dimensions, ils vont tomber pêle-mêle sur des géants pleureurs, des îles alligators ou des mondes en 2D inversés. Pour rentrer chez eux et vaincre leurs propres peurs, ils ne pourront compter que sur eux-mêmes et leur belle amitié. Critique : Mmmhhhh il y a des BDs comme ca qui sont plus des œuvres d'art que des bandes dessinées. Et celle ci est clairement dans cette catégorie. On ne va pas dire que je n'ai rien compris mais il est sur que je n'ai pas réussi à saisir ce que l'auteur voulait nous faire ressentir. Je n'ai pas réussi à entrer dedans. Tout simplement. D'autant plus que je n'ai pas compris l'intérêt (ni vraiment comment ca marchait et pourquoi certains mots et pas d'autres) de l'écriture inclusive. Ca m'a perturbé et je n'a pas joué en faveur de ma compréhension de cet album. Je vous laisserais donc juger par vous même.... Désolé 🙂 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/hors-collection-skip?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. poseidon2

    Champignac t2

    Mais qu'est ce qu'il est bon ce champignac ! Fiouuuu un album qui frise la perfection. On a tout d'abord un vrai scenario d'aventure. Un scénario qui n'est pas sans rappeler les meilleures périodes de Spirou. De l'aventure intelligente, bien rythmée, portée par des personnages super attachants et avec juste une petite pointe d'humour pour alléger le sujet. Le personnage de Blair est une vraie merveille et une vraie trouvaille. Elle apporte, en plus d'une dose de feminisme bienvenue dans des années de guerre ou les hommes ont le beau rôle à chaque fois, une fraicheur et une spontanéité qu'il manque à notre Pacome. Ce scenario d'espionnage est lui aussi super bien ficelé. Les temps morts sont évacués pour se concentrer sur les parties importantes du récit qui sont, elles, rondemment menées. Un scenario qui dégage un sentiment de nouveauté sur un thème deja archi traité. Mais ce qui fait de ce tome 2 un tome au dessus du lot, c'est que ce super scenario se marie avec un dessin de David Etien tout bonnement magique. Un dynamisme impressionnant, des personnages maitrisés, un dessins detaillés mais pas surchargés.... bref le dessin parfait pour cette série. Comme on l'avait deja souligné sur les 4 de baker street, le trait de David Etien est tout bonnement époustouflant. Cela créé un ensemble qu'on dévore comme si c'était notre première bd ! Et pourtant j'en suis assez loin ! Et au vu des dernières pages... j'attends la suite avec impatience car elle promet d'etre excellente !! Encore !
  8. poseidon2

    Champignac t2

    Titre de l'album : Champignac t2 Scenariste de l'album : Béka Dessinateur de l'album : David Etien Coloriste : David Etien Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Mai 1941, le village de Bletchley, dans la banlieue de Londres. Pacôme Hégésippe Adélard Ladislas, comte de Champignac, est amoureux de la charmante Blair McKenzie. Recrutés tous deux pour aider Alan Turing à décrypter la machine Enigma (voir tome 1), les deux jeunes gens surdoués et incompris de leur famille se sont rapprochés jusqu'à l'idylle. Mais la romance est de courte durée car Pacôme reçoit un message codé de scientifiques forcés de participer au programme de recherches des nazis. Une fois le message décrypté, l'identité des malheureux est révélée : il s'agit de Schwartz, un chimiste, et Bruynseelke, un biologiste... Deux amis proches de Champignac ! La décision est vite prise de partir sauver leurs amis à Berlin. Un voyage à haut risque où ils croiseront Göring en grand ordonnateur de fêtes décadentes, Wernher von Braun, qui tentera de séduire Blair, et même un certain patient "A", drogué, comme tous les soldats de son peuple, à la Pervitine. Critique : Mais qu'est ce qu'il est bon ce champignac ! Fiouuuu un album qui frise la perfection. On a tout d'abord un vrai scenario d'aventure. Un scénario qui n'est pas sans rappeler les meilleures périodes de Spirou. De l'aventure intelligente, bien rythmée, portée par des personnages super attachants et avec juste une petite pointe d'humour pour alléger le sujet. Le personnage de Blair est une vraie merveille et une vraie trouvaille. Elle apporte, en plus d'une dose de feminisme bienvenue dans des années de guerre ou les hommes ont le beau rôle à chaque fois, une fraicheur et une spontanéité qu'il manque à notre Pacome. Ce scenario d'espionnage est lui aussi super bien ficelé. Les temps morts sont évacués pour se concentrer sur les parties importantes du récit qui sont, elles, rondemment menées. Un scenario qui dégage un sentiment de nouveauté sur un thème deja archi traité. Mais ce qui fait de ce tome 2 un tome au dessus du lot, c'est que ce super scenario se marie avec un dessin de David Etien tout bonnement magique. Un dynamisme impressionnant, des personnages maitrisés, un dessins detaillés mais pas surchargés.... bref le dessin parfait pour cette série. Comme on l'avait deja souligné sur les 4 de baker street, le trait de David Etien est tout bonnement époustouflant. Cela créé un ensemble qu'on dévore comme si c'était notre première bd ! Et pourtant j'en suis assez loin ! Et au vu des dernières pages... j'attends la suite avec impatience car elle promet d'etre excellente !! Encore ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/champignac-tome-2-le-patient-a?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. VladNirky

    Fukushima

    Après la très réussie série Tchernobyl que j'avais "dévorée" , ce titre : Fukushima , a très vite retenu mon attention . Plonger en plein chaos , voir ces femmes et hommes évoluer en plein cataclysme ! Le récit , très bien documenté (malgré les informations non révélées encore à ce jour ) se construit comme un enquête policière . Nous suivons le chef de la centrale à l'époque , passant devant une commission afin d'éluder les faits . Nous passons donc de l'entretien , aux scènes dans la centrale . Le directeur exposant heures après heures les décisions prises avec ou sans l'aval des dirigeants et ministres bien au chaud chez eux et à l'abri des radiations menaçantes . Les tensions montent à l'intérieur et suivre les directives n'est pas toujours souhaitable , cela saute aux yeux en lisant ce déroulé d'informations façon 24H chrono ! Bien écrit , le vocabulaire dit "technique" est enrichi d'un glossaire en fin de livre ; ainsi qu'une série de docs donnant plus d'informations sur cette tragédie humaine , et je pèse mes mots sur "humaine" ! Le dessin , que j'ai trouvé très franco-belge est efficace et je regrette juste certains visages difficilement reconnaissables car nous rencontrons une multitude de personnages . Recommandé par le magazine Science et vie , cette bd comblera les amateurs de ce genre de faits et les profanes dont je fais partie , n'ayant pas une grande expérience en physique . Au delà des explications techniques , très accessibles , ce sont les relations entre les employés qui sont aussi intéressantes , surtout dans ce pays ou honneur et hiérarchie ne sont pas de vains mots . Par Kevin
  10. VladNirky

    Fukushima

    Titre de l'album : Fukushima Scenariste de l'album : Bertrand Galic Dessinateur de l'album : Roger Vidal Coloriste : Editeur de l'album : Glenat Note : Résumé de l'album : Dans les entrailles du monstre. Japon, 11 mars 2011. Un séisme effroyable accouche d'une vague immense, qui vient frapper de plein fouet le nord-est du pays. C'est là que se trouve, entre autres, la centrale de Fukushima-Daiichi... D'une violence inouïe, le cataclysme provoque alors le pire accident nucléaire du XXIe siècle. Comment réagir face au chaos engendré ? Que faire quand l'inconcevable vient d'arriver ? Masao Yoshida doit répondre dans l'urgence. La réputation de son pays est en jeu, la vie de ses employés et de ses concitoyens en dépend. Dans un univers complètement dévasté, où les bâtiments sont plongés dans l'obscurité, tandis que les explosions se multiplient et que les radiations sont toujours plus toxiques, le directeur de la centrale fait preuve d'une ingéniosité et d'un sang-froid hors du commun. Il prend seul des décisions vitales, transgresse les procédures et les directives de sa hiérarchie pour éviter l'apocalypse... Mais, malgré tous ses efforts, après cinq jours durant lesquels les secondes passent comme des heures, un énième incendie se déclare et oblige à l'évacuation de la majorité des employés. Ne reste alors sur place qu'une poignée de volontaires qui travaillera d'arrache-pied pour stabiliser tant bien que mal la situation. Critique : Après la très réussie série Tchernobyl que j'avais "dévorée" , ce titre : Fukushima , a très vite retenu mon attention . Plonger en plein chaos , voir ces femmes et hommes évoluer en plein cataclysme ! Le récit , très bien documenté (malgré les informations non révélées encore à ce jour ) se construit comme un enquête policière . Nous suivons le chef de la centrale à l'époque , passant devant une commission afin d'éluder les faits . Nous passons donc de l'entretien , aux scènes dans la centrale . Le directeur exposant heures après heures les décisions prises avec ou sans l'aval des dirigeants et ministres bien au chaud chez eux et à l'abri des radiations menaçantes . Les tensions montent à l'intérieur et suivre les directives n'est pas toujours souhaitable , cela saute aux yeux en lisant ce déroulé d'informations façon 24H chrono ! Bien écrit , le vocabulaire dit "technique" est enrichi d'un glossaire en fin de livre ; ainsi qu'une série de docs donnant plus d'informations sur cette tragédie humaine , et je pèse mes mots sur "humaine" ! Le dessin , que j'ai trouvé très franco-belge est efficace et je regrette juste certains visages difficilement reconnaissables car nous rencontrons une multitude de personnages . Recommandé par le magazine Science et vie , cette bd comblera les amateurs de ce genre de faits et les profanes dont je fais partie , n'ayant pas une grande expérience en physique . Au delà des explications techniques , très accessibles , ce sont les relations entre les employés qui sont aussi intéressantes , surtout dans ce pays ou honneur et hiérarchie ne sont pas de vains mots . Par Kevin Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/fukushima-chronique-d-un-accident-sans-fin?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. poseidon2

    Hella et les hellboys t1

    Nouvel album du prolixe Kid Toussaint, avec un nouveau thème dans le panel de Drakoo : l'aventure horrifique pour jeune publique. Et Kid Toussaint était surement la meilleure personne pour produire cela. C'est l'auteur jeunesse du moment et l'auteur qui manipule le mieux les scenarios jeunesses avec des séries à succès chez Dupuis (Magic 7 et autres Kid Noize etc....). En effet, le sujet parait très adulte avec une histoire de descente aux enfers qui ressemble vraiment à un scenario d'Hellblazer plus qu'à un Magic 7. Il faut donc un vrai talent pour adapter cette histoire à un public jeunesse, sans perdre le coté frisson et descente aux enfers. Et Kid toussaint réussit plutôt bien ce challenge. Notre héroïne est un personnage fort en gueule et rebelle qui rentre bien dans le thème. La maison hantée est bien pensée tout comme le mythe qui l'entoure. Reste donc la partie la plus compliquée : représenter un enfer infernal mais pas trop horrible. Et la... cela restera à l'interprétation de chacun. J'avoue, pour ma part je trouve cet enfer un peu gentillet. Alors ce premier tome nous montre uniquement le premier niveau des enfers et on peut penser que cela se corsera pour notre héroïne dans les prochains tomes. Mais graphiquement on est vraiment sur de la lecture jeunesse évitant tout choc visuel au lecteur et niveau scenario on évite absolument les idées qui choquent/dérangent. C'est bien pour nos jeunes qui voient trop, par ailleurs, d'images traumatisantes. Mais pour les parents ca pourra paraitre un peu léger pour des "enfers".
  12. Titre de l'album : Hella et les hellboys t1 Scenariste de l'album : Kid Toussaint Dessinateur de l'album : Russo Coloriste : Russo Editeur de l'album : Drakoo Note : Résumé de l'album : La maison du 21 rue Duroc a mauvaise réputation. Les portes et fenêtres de cette vieille demeure sont murés depuis longtemps. Meurtres, suicides, incendies s'y sont succédés, et elle exerce une étrange fascination sur les adolescents du coin. Et c'est en voulant faire le malin que le petit copain d'Hella y disparaît. Adolescente en décrochage scolaire et en rébellion contre ses parents, Hella a peu d'amis et passe son temps à zoner. Elle retourne donc dans l'inquiétante demeure... et se trouve littéralement projetée en enfer. Plus précisément, dans le premier cercle de l'enfer. Perdue et agressée, Hella reçoit l'aide des Hellboyz, 3 demi-démons sur BMX et rollers qui s'avèrent être des anciennes victimes de la maison. Elle apprend que pour sauver son ami, elle devra traverser les 7 cercles de l'enfer. Dans sa quête, Hella découvrira la vérité sur ce lieu étrange... et sur elle-même. Critique : Nouvel album du prolixe Kid Toussaint, avec un nouveau thème dans le panel de Drakoo : l'aventure horrifique pour jeune publique. Et Kid Toussaint était surement la meilleure personne pour produire cela. C'est l'auteur jeunesse du moment et l'auteur qui manipule le mieux les scenarios jeunesses avec des séries à succès chez Dupuis (Magic 7 et autres Kid Noize etc....). En effet, le sujet parait très adulte avec une histoire de descente aux enfers qui ressemble vraiment à un scenario d'Hellblazer plus qu'à un Magic 7. Il faut donc un vrai talent pour adapter cette histoire à un public jeunesse, sans perdre le coté frisson et descente aux enfers. Et Kid toussaint réussit plutôt bien ce challenge. Notre héroïne est un personnage fort en gueule et rebelle qui rentre bien dans le thème. La maison hantée est bien pensée tout comme le mythe qui l'entoure. Reste donc la partie la plus compliquée : représenter un enfer infernal mais pas trop horrible. Et la... cela restera à l'interprétation de chacun. J'avoue, pour ma part je trouve cet enfer un peu gentillet. Alors ce premier tome nous montre uniquement le premier niveau des enfers et on peut penser que cela se corsera pour notre héroïne dans les prochains tomes. Mais graphiquement on est vraiment sur de la lecture jeunesse évitant tout choc visuel au lecteur et niveau scenario on évite absolument les idées qui choquent/dérangent. C'est bien pour nos jeunes qui voient trop, par ailleurs, d'images traumatisantes. Mais pour les parents ca pourra paraitre un peu léger pour des "enfers". Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/hella-et-les-hellboyz-tome-1-tout-droit-en-enfer?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. La série des adaptations des aventures de Conan le cimmérien se pousuivent avec Le dieu dans le sarcophage. Doug Headline se charge de l'adaptation en scénario avec beaucoup d'originalité dans la méthode de narration. A tour de rôle, l'auteur nous donne le point de vue de chaque protagoniste présent pour résoudre le meurte commis. Par ce biais, on découvre les pensées de Conan mais aussi des gardes alors que les tensions montent. L'histoire se déroule comme dans une enquête d'Agatha Christie. Plusieurs personnes peuvent être coupable du meurtre et le chef de garde doit résoudre le mystère, avec une partie fantastique en plus. Emmanuel Civiello nous livre sa vision du cimmérien avec beaucoup de maitrise pour mettre en image cet univers. Il est amusant de voir comment différens auteurs dessine Conan au fil des albums déjà disponibles. Civiello offre en plus des illustrations en fin d'album en plus de celles d'autres auteurs de bande dessinée comme pour les tomes précédents. Le dieu dans le sarcophage est une très bonne surprise avec cette histoire plus abutie et dessins de qualité.
  14. Titre de l'album : Conan le cimmérien - Le dieu dans le sarcophage Scenariste de l'album : Doug Headline Dessinateur de l'album : Emmanuel Civiello Coloriste : Emmanuel Civiello Editeur de l'album : Glenat Note : Résumé de l'album : Profitant d’une discrétion que seule la nuit permet d’offrir, Conan s’infiltre dans un somptueux palais pour y subtiliser une coupe représentant un rapide enrichissement. Aussi discret qu’un félin, il ne se fait repérer par le garde Arus que parce qu’il croit reconnaitre en lui un camarade malfaiteur. Sans le savoir, Conan vient de se présenter comme le coupable idéal pour le meurtre de Kallian Publico, le riche et détesté propriétaire du temple dans lequel il est venu voler... Critique : La série des adaptations des aventures de Conan le cimmérien se pousuivent avec Le dieu dans le sarcophage. Doug Headline se charge de l'adaptation en scénario avec beaucoup d'originalité dans la méthode de narration. A tour de rôle, l'auteur nous donne le point de vue de chaque protagoniste présent pour résoudre le meurte commis. Par ce biais, on découvre les pensées de Conan mais aussi des gardes alors que les tensions montent. L'histoire se déroule comme dans une enquête d'Agatha Christie. Plusieurs personnes peuvent être coupable du meurtre et le chef de garde doit résoudre le mystère, avec une partie fantastique en plus. Emmanuel Civiello nous livre sa vision du cimmérien avec beaucoup de maitrise pour mettre en image cet univers. Il est amusant de voir comment différens auteurs dessine Conan au fil des albums déjà disponibles. Civiello offre en plus des illustrations en fin d'album en plus de celles d'autres auteurs de bande dessinée comme pour les tomes précédents. Le dieu dans le sarcophage est une très bonne surprise avec cette histoire plus abutie et dessins de qualité. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/conan-le-cimmerien-le-dieu-dans-le-sarcophage?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. poseidon2

    Super Environman t1

    L'écologie est à la mode. Ça s’est vu durant les dernières élections. Plus qu'à la mode on peut dire que ça commence être entré dans les mœurs de beaucoup de Français. Il parait donc normal qu'une BD d'humour sorte sur le sujet. Le problème, de mon point de vu, c'est qu'en tant que premier tome, nos auteurs se basent sur les poncifs du genre. Des blagues déjà faites qui sont souvent portées par la petite fille et ses copines. Léa est une petite pleine d'idée et de convictions mais je trouve qu'en forçant le trait on perd le coté petite fille. Il aurait peut-être été plus sympa d'être moins caricaturale entre le papa qui fait l'enfant et l'enfant qui fait le papa. Car là on a un album sympathique mais un poil trop caricatural pour vraiment donner envie de suivre une série complète.
  16. Titre de l'album : Super Environman t1 Scenariste de l'album : Bruno Madaule Dessinateur de l'album : Thomas Priou Coloriste : Thomas Priou Editeur de l'album : Bamboo Note : Résumé de l'album : C'est un soir d'hiver, à l'approche de Noël, en pleine canicule, que la vie de Jean-Claude va basculer. Sa fille Léa, agacée par cet hiver exceptionnellement chaud, décide de ne plus aller à l'école tant que son jardin ne sera pas recouvert de neige. En effet, ça fait des années qu'il n'a pas neigé. Pire, les hivers deviennent de plus en plus doux et la possibilité de voir un jour tomber le moindre petit flocon, s'amenuise. Son papa décide alors d'agir, à sa manière, pour infléchir ce satané réchauffement climatique. Super Environman est né. Critique : L'écologie est à la mode. Ça s’est vu durant les dernières élections. Plus qu'à la mode on peut dire que ça commence être entré dans les mœurs de beaucoup de Français. Il parait donc normal qu'une BD d'humour sorte sur le sujet. Le problème, de mon point de vu, c'est qu'en tant que premier tome, nos auteurs se basent sur les poncifs du genre. Des blagues déjà faites qui sont souvent portées par la petite fille et ses copines. Léa est une petite pleine d'idée et de convictions mais je trouve qu'en forçant le trait on perd le coté petite fille. Il aurait peut-être été plus sympa d'être moins caricaturale entre le papa qui fait l'enfant et l'enfant qui fait le papa. Car là on a un album sympathique mais un poil trop caricatural pour vraiment donner envie de suivre une série complète. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/super-environman?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. Auzou est un nouvel entrant sur la scène de la BD française mais Auzou n'est pas n'importe qui. C'est un des acteurs majeurs de la publication de livre pour enfants. Et pour se lancer dans le monde de la BD, il choisit très intelligemment de rester dans ce qu'il fait très bien : les histoires pour enfants. Pour ce faire la première sortie concerne une petite princesse araignée qui débarque à l'école des princesses. C'est super bien réussi. Vraiment. Graphiquement on est dans du graphisme enfantin que ma fille de 6 ans a tout suite identifiée comme "pour elle". Et en termes de scenario, nos auteurs ont réussi un premier tome quasi parfait. En effet ils nous livrent un album à la double lecture intelligente avec aussi bien des blagues pour papa et maman que des histoires de fillettes qui rêvent de devenir des princesses. On rigole bien en suivant les aventures de notre princesses "forte en gueule" qui amène un vent de fraicheur dans le petit monde des princesses prout-prout comme on dit chez moi. Alors on ne peut que dire: Bienvenue à Auzou BD et continuez comme ça !
  18. Titre de l'album : Migali t1: bienvenue à l'académie royale Scenariste de l'album : Alexandre Arlene Dessinateur de l'album : Fabien Ockto Lambert Coloriste : Fabien Ockto Lambert Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : Migali est une princesse araignée : elle a donc 6 bras, deux jambes et un certain talent pour les catastrophes. Cette année, elle fait sa rentrée à la prestigieuse Académie Royale. Elle a hâte de commencer le programme, composé aussi bien de stratégie militaire que de cours de danse classique. Grâce à ses dons d'acrobate et son infatigable bonne humeur, Migali ne manquera pas d'impressionner toute sa classe. Critique : Auzou est un nouvel entrant sur la scène de la BD française mais Auzou n'est pas n'importe qui. C'est un des acteurs majeurs de la publication de livre pour enfants. Et pour se lancer dans le monde de la BD, il choisit très intelligemment de rester dans ce qu'il fait très bien : les histoires pour enfants. Pour ce faire la première sortie concerne une petite princesse araignée qui débarque à l'école des princesses. C'est super bien réussi. Vraiment. Graphiquement on est dans du graphisme enfantin que ma fille de 6 ans a tout suite identifiée comme "pour elle". Et en termes de scenario, nos auteurs ont réussi un premier tome quasi parfait. En effet ils nous livrent un album à la double lecture intelligente avec aussi bien des blagues pour papa et maman que des histoires de fillettes qui rêvent de devenir des princesses. On rigole bien en suivant les aventures de notre princesses "forte en gueule" qui amène un vent de fraicheur dans le petit monde des princesses prout-prout comme on dit chez moi. Alors on ne peut que dire: Bienvenue à Auzou BD et continuez comme ça ! Autres infos : Edition Auzou BD Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/migali-tome-1-bienvenue-a-l-academie-royale?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. On poursuit ce nouveau cycle qui a commencé avec le tome précédent que l'on peut d'ailleurs considérer comme des albums double au vu de la pagination. Jean-Pierre Pécau nous livre une version différente de l'histoire du monde avec une partie ésotérique très importante. On voyage au quatre coins de la planète pour découvrir que les sept tours fonctionnent de nouveau sans que personne ne sache comment ni pourquoi. Des soldats ou randonneurs vont en faire les frais en se rapprochant trop près de ces tours maléfiques pour l'instant. Pour la partie graphique, le style d'Igor Kordey me rappelle toujours celui de Corben dans la façon de dessiner les personnages. La mise en couleur d'Anubis renforce ce sentiment. Jean-Pierre Pécau est en train de mettre en place une saga immense après 36 tomes de l'histoire secrète et les deux autres séries du même univers, arcane majeur et arcanes.
  20. Titre de l'album : L'histoire secrète tome 36 - Les 7 tours du diable Scenariste de l'album : Jean-Pierre Pécau Dessinateur de l'album : Igor Kordey Coloriste : Anubis Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Le nouveau cycle des archontes se poursuit et les révélations s'enchaînent. La face cachée de L'Histoire secrète se dévoile. Lettre de René Guénon à Vasile Lovinescu, Le Caire, 19 mai 1936 : « À propos de la contre-initiation, je pense que vous avez vu ce que j'ai écrit l'an dernier sur les « 7 tours du diable »... » Erlin et les Archontes sont désormais certains que non seulement les 7 tours existent, mais qu'elles sont en train de se réactiver. Reste à savoir dans quel but et pour le compte de qui. Critique : On poursuit ce nouveau cycle qui a commencé avec le tome précédent que l'on peut d'ailleurs considérer comme des albums double au vu de la pagination. Jean-Pierre Pécau nous livre une version différente de l'histoire du monde avec une partie ésotérique très importante. On voyage au quatre coins de la planète pour découvrir que les sept tours fonctionnent de nouveau sans que personne ne sache comment ni pourquoi. Des soldats ou randonneurs vont en faire les frais en se rapprochant trop près de ces tours maléfiques pour l'instant. Pour la partie graphique, le style d'Igor Kordey me rappelle toujours celui de Corben dans la façon de dessiner les personnages. La mise en couleur d'Anubis renforce ce sentiment. Jean-Pierre Pécau est en train de mettre en place une saga immense après 36 tomes de l'histoire secrète et les deux autres séries du même univers, arcane majeur et arcanes. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-histoire-secrete-tome-36-les-7-tours?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. poseidon2

    les Elfées t12

    Nouveau tome des petites héroïnes préférées des petites filles : les Elfées. Et ce coup-ci les élfées ont un problème tout ce qu'il y a de plus "terrien". En effet Nina se retrouve dans une situation délicate à gérer les disputes entre ses parents et les risques de séparation. Disputes qui ont un effet sur son morale et toute la troupe des Elfées. Encore une fois Weissengel / Serge Carrère cadre bien leur sujet pour parler d'un sujet fort chez beaucoup de jeune fille : la pseudo normalité que devient une famille séparée. Une pseudo normalité pour adultes qui ne se rendent pas compte de l'impact sur leurs enfants. Impact souvent destructeur si la séparation est mal gérée. Ce thème et la gestion qui en est faite apporte une vraie réponse aux questions que pourraient se poser certaines jeunes filles. Et donc un bon tome pour jeune fille.
  22. poseidon2

    les Elfées t12

    Titre de l'album : les Elfées t12 Scenariste de l'album : Weissengel / Serge Carrère Dessinateur de l'album : Elisa Ferrari Coloriste : Elisa Ferrari Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Les Nephilims, ennemis jurés des Elfées, cherchent une fois de plus à les anéantir. Loin de se douter du danger qui les guettent, les quatre adolescentes organisent un concert à La Caverne pour éviter sa fermeture. Mais Nina a l'air peu concerné, au grand étonnement de ses amies. En effet, ses parents se disputent tout le temps et cela l'affecte terriblement. Les Nephilim, profitant de sa faiblesse, vont l'isoler peu à peu des autres Elfées et la faire plonger vers le côté obscur de la magie... Critique : Nouveau tome des petites héroïnes préférées des petites filles : les Elfées. Et ce coup-ci les élfées ont un problème tout ce qu'il y a de plus "terrien". En effet Nina se retrouve dans une situation délicate à gérer les disputes entre ses parents et les risques de séparation. Disputes qui ont un effet sur son morale et toute la troupe des Elfées. Encore une fois Weissengel / Serge Carrère cadre bien leur sujet pour parler d'un sujet fort chez beaucoup de jeune fille : la pseudo normalité que devient une famille séparée. Une pseudo normalité pour adultes qui ne se rendent pas compte de l'impact sur leurs enfants. Impact souvent destructeur si la séparation est mal gérée. Ce thème et la gestion qui en est faite apporte une vraie réponse aux questions que pourraient se poser certaines jeunes filles. Et donc un bon tome pour jeune fille. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-elfees-tome-12?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. alx23

    La météorite de Hodges

    Quelle étrange histoire que celle racontée dans la météorite de Hodges et de plus ce récit est réellement arrivé. Fabien Roché nous propose de revenir sur ce fait divers de l'année 1954 aux Etats-Unis. Il nous rapporte d'abord les faits avec cette météorite qui a traversé la toiture d'une maison puis à ricochet sur une radio avant de frapper Madame Hodges à la hanche. Ensuite, nous aurons plusieurs versions suivant la personne, comme la voisine propriétaire de la maison où vivait la famille Hodges, la version des scientifiques et on aura même le droit à une version assez amusante d'un insecte que je vous laisse découvrir. En effet, Fabien Roché trouve plusieurs cas de figure très intéressant et très bien amenés tout au long de ce roman graphique. Fabien Roché réalise intégralement l'album avec une partie graphique tout en bichromie avec une teinte entre le vert et le jaune qui convient bien pour cette histoire. Les dessins sont classiques et minimaliste mais c'est surtout la mise en page qui est originale avec pleins de petites cases pour décrire l'action. J’ai bien apprécié l’histoire mais surtout la façon dont Fabien Roché retranscrit en bande dessinée.
  24. Titre de l'album : La météorite de Hodges Scenariste de l'album : Fabien Roché Dessinateur de l'album : Fabien Roché Coloriste : Fabien Roché Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Frappée chez elle par une météorite tombée du ciel, Ann Elisabeth Hodges vit sa vie transformée par la célébrité, elle qui était devenue la première humaine heurtée par un corps céleste. Au travers d'un jeu graphique époustouflant, Fabien Roché vous propose de découvrir cette histoire vraie sous différents angles : personnel, astronomique, historique, judiciaire, poétique et bien sûr... émouvant. Critique : Quelle étrange histoire que celle racontée dans la météorite de Hodges et de plus ce récit est réellement arrivé. Fabien Roché nous propose de revenir sur ce fait divers de l'année 1954 aux Etats-Unis. Il nous rapporte d'abord les faits avec cette météorite qui a traversé la toiture d'une maison puis à ricochet sur une radio avant de frapper Madame Hodges à la hanche. Ensuite, nous aurons plusieurs versions suivant la personne, comme la voisine propriétaire de la maison où vivait la famille Hodges, la version des scientifiques et on aura même le droit à une version assez amusante d'un insecte que je vous laisse découvrir. En effet, Fabien Roché trouve plusieurs cas de figure très intéressant et très bien amenés tout au long de ce roman graphique. Fabien Roché réalise intégralement l'album avec une partie graphique tout en bichromie avec une teinte entre le vert et le jaune qui convient bien pour cette histoire. Les dessins sont classiques et minimaliste mais c'est surtout la mise en page qui est originale avec pleins de petites cases pour décrire l'action. J’ai bien apprécié l’histoire mais surtout la façon dont Fabien Roché retranscrit en bande dessinée. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-meteorite-de-hodges?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. alx23

    Le peintre hors-la-loi

    Frantz Duchazeau livre une biographie du peintre Lazare Bruandet en bande dessinée afin de revenir sur ce peintre hors normes. Le récit commence avec un fait historique qui rendra Bruandet un hors-la-loi, très recherché par les autorités de l'époque. Le récit se déroule juste au lendemain de la révolution française où le pays est encore à mal par la situation politique mais aussi avec les milices composées de voleurs ou d'assassins. Le peuple se meurt tout doucement alors que Bruandet se fait remarquer par sa folie qui le caractérise et ses faits d'armes pendant la révolution. L'homme sait très bien manier l'épée tout en donnant des techniques pour peindre un corps d'homme. Cette biographie sur une courte période est très intéressante dans son traitement. Les dessins de Frantz Duchazeau sont dans un style très simpliste mais l'auteur réussi à retranscrire une ambiance avec ce trait spécifique. La vie de Lazare Bruandet est mouvementée et prenante à lire pour un peintre, d’ailleurs le titre de ce roman graphique comme la couverture détermine bien cette deuxième facette de l'homme.
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