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  1. poseidon2

    La bête

    Titre de l'album : La bête Scenariste de l'album : Zidrou Dessinateur de l'album : Franck Pé Coloriste : Franck Pé Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Capturé en pleine Palombie par des Indiens Chahutas et vendu à des trafiquants d'animaux exotiques, un marsupilami débarque dans les années 50 au port d'Anvers. Réussissant à s'enfuir, il arrive dans la banlieue de Bruxelles et est recueilli par François, un jeune garçon fan d'animaux dont le quotidien est loin d'être facile. Le début d'une aventure passionnante, parfois sombre mais toujours porteuse d'espoir, et d'une belle amitié. Critique : Que dire de plus que ce qui n'a déjà été dit sur cet album ? Ben surement rien.... mais un aussi bon album mérite qu'on en parle mais si c'est pour sortir des poncifs. Il me faut dire à ceux qui seraient encore passé à côté que les dessins de Franc Pé sont somptueux. J'avais hésité à le prendre car la forme est étrange et ces grosse pages pas facile à ranger dans une étagère. Mais ces grosses pages sont là pour nous permettre d'admirer le travail de l'auteur de Zoo. C’est sublime. Mais cet album n'est pas juste une ode au graphisme de Franck Pé. Zidrou non contact un album qui porte bien son nom : En effet nul part on ne parle du Marsupilami. On nous parle de cette bête étrange qui débarque en Belgique. Le traitement du Marsu sur son coté bête sauvage est une vraie trouvaille. Il rappelle qu'un animal est à la base sauvage et qu'on ne sait jamais quoi attendre d'animaux sauvages quand on les sort de leur milieu naturel. Une belle histoire dont on attend la fin avec impatience qui nous montre, en se servant d'une icône de la BD comme fer de lance, ce qu'il pourrait arriver à toute nouvelle espèce de nos jours Prenant et sublime. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-bete-marsupilami-frank-pe-zidrou?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. poseidon2

    La bête

    Que dire de plus que ce qui n'a déjà été dit sur cet album ? Ben surement rien.... mais un aussi bon album mérite qu'on en parle mais si c'est pour sortir des poncifs. Il me faut dire à ceux qui seraient encore passé à côté que les dessins de Franc Pé sont somptueux. J'avais hésité à le prendre car la forme est étrange et ces grosse pages pas facile à ranger dans une étagère. Mais ces grosses pages sont là pour nous permettre d'admirer le travail de l'auteur de Zoo. C’est sublime. Mais cet album n'est pas juste une ode au graphisme de Franck Pé. Zidrou non contact un album qui porte bien son nom : En effet nul part on ne parle du Marsupilami. On nous parle de cette bête étrange qui débarque en Belgique. Le traitement du Marsu sur son coté bête sauvage est une vraie trouvaille. Il rappelle qu'un animal est à la base sauvage et qu'on ne sait jamais quoi attendre d'animaux sauvages quand on les sort de leur milieu naturel. Une belle histoire dont on attend la fin avec impatience qui nous montre, en se servant d'une icône de la BD comme fer de lance, ce qu'il pourrait arriver à toute nouvelle espèce de nos jours Prenant et sublime.
  3. poseidon2

    La maison blanche

    C'est bientôt le grand jour. Un jour qui pourrait paraître petit pour un français mais qui est forcément important pour tous ceux qui s’intéressent un tant soit peu à la politique internationale. Un jour qui verra le Trumpisme gagner ou perdre. Et pour bien comprendre comment les américains ont pu en arriver à ce choix, rien de mieux de se renseigner sur l'histoire des précédents présidents. 45 présidents avec autant de personnalités différentes dans un pays qui ne manque de spécificité. On apprend (enfin moi) comme quoi leur système de vote bizarre à coup de grand électeurs.... vient rien de moins que Georges Washington. Depuis le début quoi. On y apprend tout plein de petits détails sur tous les présidents, même les moins connus ! Une vraie bonne introduction avant de sortir les chips et le beurre de cacahuète pour se faire une soirée élection américaine ce soir !!
  4. Titre de l'album : La maison blanche Scenariste de l'album : Herve Bourhis Dessinateur de l'album : Herve Bourhis Coloriste : Editeur de l'album : Casterman Note : Résumé de l'album : Tout sur l'homme le plus puissant du monde ! De Georges Washington à Donald Trump, en seulement deux doubles pages par mandat (alliant textes et illustrations), un condensé d'infos sur les 45 présidents à avoir dirigé la première puissance mondiale depuis sa création en 1776. Les anecdotes, les petites et grandes phrases, les innovations institutionnelles, les crises traversées pendant deux siècles et demi, mais aussi les représentations des Présidents dans les arts, la pub, la chanson, le cinéma, etc... Garantie sans fake news, une découverte ludique, mais véridique, de l'histoire des USA, à l'heure où Trump tente de gagner son second mandat ! Critique : C'est bientôt le grand jour. Un jour qui pourrait paraître petit pour un français mais qui est forcément important pour tous ceux qui s’intéressent un tant soit peu à la politique internationale. Un jour qui verra le Trumpisme gagner ou perdre. Et pour bien comprendre comment les américains ont pu en arriver à ce choix, rien de mieux de se renseigner sur l'histoire des précédents présidents. 45 présidents avec autant de personnalités différentes dans un pays qui ne manque de spécificité. On apprend (enfin moi) comme quoi leur système de vote bizarre à coup de grand électeurs.... vient rien de moins que Georges Washington. Depuis le début quoi. On y apprend tout plein de petits détails sur tous les présidents, même les moins connus ! Une vraie bonne introduction avant de sortir les chips et le beurre de cacahuète pour se faire une soirée élection américaine ce soir !! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/maison-blanche-histoire-usa?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. poseidon2

    Les Sisters t15

    Je pense que Casenove a une boule de cristal. Car ce qu'il décrit dans ce sisters est ce que l'on pense voir arriver dans les 2 ans à venir ! Et c'est souvent très rigolo 🙂 Vraiment 🙂 C'est rigolo pour les parents et les grandes sœurs. Car on a la une casse pieds de base comme petite sœur. Le genre à sortir : - papa les déménageurs ont oublié un paquet ! - lequel ma chérie ? - ils ont oublié de prendre ma sœur ! Que des gentillesses avec, sur ce tome ci, une grande sœur ado qui en prend plein la tête !! Le thème de l'album étant la recherche, par la petite sœur ... d'une sœur de remplacement. Pour un échange standard 😄 😄 😄 Bref c'est léger, c'est drôle et pas trop long. Ce qu'il faut pour un premier week end de reconfinement.
  6. poseidon2

    Les Sisters t15

    Titre de l'album : Les Sisters t15 Scenariste de l'album : Christophe Cazenove Dessinateur de l'album : William Coloriste : William Editeur de l'album : Bamboo Note : Résumé de l'album : Les deux tornades font souffler un vent de folie sur la BD ! Lorsque les parents décident de changer de cuisine, Marine se dit que serait une bonne idée pour elle d'en profiter pour changer de Sister, une moins râleuse, plus prêteuse et qui ferait tout ce qu'elle veut. Marine va s'activer pour que son plan aboutisse... Mais en fin de compte, a-t-elle vraiment envie d'avoir une sister si différente que celle qu'elle a déjà ? Car après tout, entre les chamailleries et les gros câlins, les fous rires et les envies de mordre, il n'y a rien de mieux qu'une frangine pour mettre un peu de piment dans la vie. Critique : Je pense que Casenove a une boule de cristal. Car ce qu'il décrit dans ce sisters est ce que l'on pense voir arriver dans les 2 ans à venir ! Et c'est souvent très rigolo 🙂 Vraiment 🙂 C'est rigolo pour les parents et les grandes sœurs. Car on a la une casse pieds de base comme petite sœur. Le genre à sortir : - papa les déménageurs ont oublié un paquet ! - lequel ma chérie ? - ils ont oublié de prendre ma sœur ! Que des gentillesses avec, sur ce tome ci, une grande sœur ado qui en prend plein la tête !! Le thème de l'album étant la recherche, par la petite sœur ... d'une sœur de remplacement. Pour un échange standard 😄 😄 😄 Bref c'est léger, c'est drôle et pas trop long. Ce qu'il faut pour un premier week end de reconfinement. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-sisters-tome-15?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. poseidon2

    Lord Jeffrey t2

    Je ne sais pas pourquoi.... mais j'étais partis du principe qu'il n'y aurait que deux tomes à Lord Jeffrey. Peut-être parce que ça aurait été très bien comme ça ? Car oui si ce tome 2 est bon, la fin de celui-ci m'a... surprises et un poil déçu. Mais n'allons pas trop vite. Le premier tome étant un de mes coups de cœurs jeunesse, j'avais beaucoup d'espoir sur cette suite. Espoir qui se sont révélés être globalement au rendez-vous. Pour ne pas être trop déçu, il faut que vous sachiez que l'aventure est moins présente avec notre Lord qui reste enquêter dans son "collège" pour futurs espions. Si le rythme des recherche reste soutenu, on a plus le coté grande aventure du premier. Mais on avance bien sur ce qu'est vraiment cette école et ce qu'il est arrivé au père de Jeffrey. En fait le seul truc qui m'a un peu gêné et légèrement "gâché" la fin de ma lecture... et bien c'est la fin justement. Je n'aime pas trop parler des fins des albums, c'est une des règles ici, pour que vous ailliez quelque chose à découvrir quand même. Reste que cette fin.... ouvre l'histoire vers une tout autre aventure. Mais cette ouverture semble un peu parachutée. Limite en mode: ça marche bien donc on va étendre la série. C'est plus cela qui embête. On va bien sur laisser à nos auteurs le bénéfice du doute et lire le tome 3 avec attentions. J'espère vraiment me tromper et que ce tome 3 se recentre sur l'histoire principale de la disparition du père de Jeffrey
  8. poseidon2

    Lord Jeffrey t2

    Titre de l'album : Lord Jeffrey t2 Scenariste de l'album : Joel Hemberg Dessinateur de l'album : Hamo Coloriste : Hamo Editeur de l'album : Kennes Note : Résumé de l'album : Fraîchement arrivé dans un collège destiné à former les futurs espions de Sa Majesté, Jeffrey Archer s'est vu proposer un marché par l'excentrique directeur des lieux : l'endroit où il a planqué la clé retrouvée dans le pardessus de son père contre sa liberté. Jeffrey hésite car il n'a aucune confiance en cet homme vaniteux qui prétend vouloir l'aider. Heureusement, il va trouver une alliée inattendue en la personne d'Eléonore. Avec sa camarade, il va explorer le dédale de couloirs du collège et découvrir le secret qui se cache derrière la porte du Terrier, l'unique endroit interdit aux pensionnaires. Critique : Je ne sais pas pourquoi.... mais j'étais partis du principe qu'il n'y aurait que deux tomes à Lord Jeffrey. Peut-être parce que ça aurait été très bien comme ça ? Car oui si ce tome 2 est bon, la fin de celui-ci m'a... surprises et un poil déçu. Mais n'allons pas trop vite. Le premier tome étant un de mes coups de cœurs jeunesse, j'avais beaucoup d'espoir sur cette suite. Espoir qui se sont révélés être globalement au rendez-vous. Pour ne pas être trop déçu, il faut que vous sachiez que l'aventure est moins présente avec notre Lord qui reste enquêter dans son "collège" pour futurs espions. Si le rythme des recherche reste soutenu, on a plus le coté grande aventure du premier. Mais on avance bien sur ce qu'est vraiment cette école et ce qu'il est arrivé au père de Jeffrey. En fait le seul truc qui m'a un peu gêné et légèrement "gâché" la fin de ma lecture... et bien c'est la fin justement. Je n'aime pas trop parler des fins des albums, c'est une des règles ici, pour que vous ailliez quelque chose à découvrir quand même. Reste que cette fin.... ouvre l'histoire vers une tout autre aventure. Mais cette ouverture semble un peu parachutée. Limite en mode: ça marche bien donc on va étendre la série. C'est plus cela qui embête. On va bien sur laisser à nos auteurs le bénéfice du doute et lire le tome 3 avec attentions. J'espère vraiment me tromper et que ce tome 3 se recentre sur l'histoire principale de la disparition du père de Jeffrey Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/lord-jeffrey-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. poseidon2

    Labyrinthus t2/2

    Allez c'est officiel, je ne suis pas (plu) client des scénarios de Christophe Bec. Sur ses séries à rallonge il me perd au bout de 3 tomes d'introductions. Alors cette série courte m'a fait de l'œil pour voir s’il réussissait à vraiment condenser son récit. La réponse est, pour moi, non. Pour tout vous dire c'est dommage car cette histoire ci... aurait mérité un tome de plus. 🙂 Oui oui. Car la première moitié de l'histoire, celle de l'exploration du "vaisseau" est pas loin d’être.... incompréhensible/illisible. Pour garder du temps pour développer sa conclusion, Bec va à 200 à l'heure sur l’exploration. On saute de scènes en scènes sans rien comprendre. On nous balance des sino russes à la tête qui ne servent à rien sauf à nous faire mélanger les personnages. Personnages qui, de par la coloration sombres, se ressemble tous avec leurs scaphandre ce qui fait qu'on ne reconnait pas qui est qui.... Bref une première partie brouillonne et inutilement dense. Et c'est dommage car la deuxième partie, avec l'explication, est, elle, vraiment bien pensée. Un peu "facile" mais bien pensée et réalisée. Et 'est ça qui est vraiment dommage : Pourquoi a t il fallut que Bec se force à nous mettre un coté barbouse tiré de Sanctuaire dans cette histoire ? Il aurait très bien resté sur une exploration simple et réfléchis qui en aurait été suivi d'exactement la même fin. Pourquoi a t il fallut qu'il ressorte les mêmes clichés sur la pensée humaine ? Bref un demi-tome qui mérite une demi-note. Un tome qui plaira peut être aux fans de bec mais qui n'ira pas plus loin.
  10. Titre de l'album : Labyrinthus t2/2 Scenariste de l'album : Christophe Bec Dessinateur de l'album : Fabrice Neaud Coloriste : Fabrice Neaud Editeur de l'album : Glenat Note : Résumé de l'album : Et si nous n'étions que des cobayes ? 2057. La Terre est en prise à un phénomène sans précédent : de mystérieuses cendres provenant d'étranges typhons recouvrent les paysages et villes d'une couche uniforme. Et partout dans le monde, les cas de maladies respiratoires mortelles se multiplient exponentiellement. Très vite, les autorités scientifiques et politiques sont unanimes : la Cendre est en réalité une arme de destruction massive envoyée pour décimer l'humanité ! Pour comprendre les origines de ce fléau et tenter de l'enrayer, une équipe est envoyée vers Phobos, satellite de Mars, qui abriterait le centre névralgique de la pandémie. En parallèle de la mission américaine, un autre vaisseau concurrent a été envoyé par les chinois. Les deux équipes découvrent que Phobos est en réalité un satellite artificiel conçu par une civilisation extraterrestre extrêmement avancée. La super intelligence artificielle qui dirige le satellite réside dans son coeur, mais pour y accéder, il faudra traverser toute une série de salles piégées. Phobos s'adapte et se réorganise en fonction des personnalités des personnes qui y pénètrent. Et tous ses pièges sont mortels... Critique : Allez c'est officiel, je ne suis pas (plu) client des scénarios de Christophe Bec. Sur ses séries à rallonge il me perd au bout de 3 tomes d'introductions. Alors cette série courte m'a fait de l'œil pour voir s’il réussissait à vraiment condenser son récit. La réponse est, pour moi, non. Pour tout vous dire c'est dommage car cette histoire ci... aurait mérité un tome de plus. 🙂 Oui oui. Car la première moitié de l'histoire, celle de l'exploration du "vaisseau" est pas loin d’être.... incompréhensible/illisible. Pour garder du temps pour développer sa conclusion, Bec va à 200 à l'heure sur l’exploration. On saute de scènes en scènes sans rien comprendre. On nous balance des sino russes à la tête qui ne servent à rien sauf à nous faire mélanger les personnages. Personnages qui, de par la coloration sombres, se ressemble tous avec leurs scaphandre ce qui fait qu'on ne reconnait pas qui est qui.... Bref une première partie brouillonne et inutilement dense. Et c'est dommage car la deuxième partie, avec l'explication, est, elle, vraiment bien pensée. Un peu "facile" mais bien pensée et réalisée. Et 'est ça qui est vraiment dommage : Pourquoi a t il fallut que Bec se force à nous mettre un coté barbouse tiré de Sanctuaire dans cette histoire ? Il aurait très bien resté sur une exploration simple et réfléchis qui en aurait été suivi d'exactement la même fin. Pourquoi a t il fallut qu'il ressorte les mêmes clichés sur la pensée humaine ? Bref un demi-tome qui mérite une demi-note. Un tome qui plaira peut être aux fans de bec mais qui n'ira pas plus loin. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/labyrinthus-tome-2-la-machine?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. poseidon2

    Cocteau l'enfant terrible

    Tout le monde connait jean Cocteau... de nom. Ou alors par ces films qui sont restés populaires pour les amateurs éclairés de cinéma. Mais réduire Jean Cocteau à un metteur en scène fantasque ne serait pas lui rendre honneur. Alors pour raviver les mémoires Laureline Mattiussi et Francois Rivière ont décidé de nous raconter la vie complète de Jean Cocteau. Et autant vous dire qu'elle est hors du commun. Sans jamais prendre parti sur les choix qu'il a fait, que ce soit durant la guerre ou après, nos deux auteurs nous narrent les aventures (car ce sont des aventures) de Jean. Jean qui restera toujours un enfant insatiable. Voulant toujours plus de fantaisie et de vie. Le trait aérien et caricatural de Laureline Mattiussi correspond bien au fantasque personnage et nous aide à vraiment imaginer la difficulté d’avoir une vie comme celle-ci. Une bien belle autobiographie pour un personnage comme on en fait plus.
  12. Titre de l'album : Cocteau l'enfant terrible Scenariste de l'album : François Rivière Dessinateur de l'album : Laureline Mattiussi Coloriste : Editeur de l'album : Casterman Note : Résumé de l'album : Écrivain, cinéaste, poète ou encore dessinateur, Jean Cocteau (1889-1963) semble avoir eu mille vies. Retour en détail sur la trajectoire d’un enfant terrible… Laureline Mattiussi et François Rivière mêlent éléments biographiques et évocations oniriques de Jean Cocteau.et de son œuvre aux multiples dimensions. Cocteau est un esthète d’une rare intensité, bouleversé par les avant-gardes de son époque : Richard Strauss, Picasso ou encore le jeune Raymond Radiguet, que Cocteau porte à bout de bras. Les amours, les excès, les bons mots et l’œuvre protéiforme de Cocteau se retrouvent dans cette biographie en noir et blanc au trait puissant et évocateur. Critique : Tout le monde connait jean Cocteau... de nom. Ou alors par ces films qui sont restés populaires pour les amateurs éclairés de cinéma. Mais réduire Jean Cocteau à un metteur en scène fantasque ne serait pas lui rendre honneur. Alors pour raviver les mémoires Laureline Mattiussi et Francois Rivière ont décidé de nous raconter la vie complète de Jean Cocteau. Et autant vous dire qu'elle est hors du commun. Sans jamais prendre parti sur les choix qu'il a fait, que ce soit durant la guerre ou après, nos deux auteurs nous narrent les aventures (car ce sont des aventures) de Jean. Jean qui restera toujours un enfant insatiable. Voulant toujours plus de fantaisie et de vie. Le trait aérien et caricatural de Laureline Mattiussi correspond bien au fantasque personnage et nous aide à vraiment imaginer la difficulté d’avoir une vie comme celle-ci. Une bien belle autobiographie pour un personnage comme on en fait plus. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/cocteau-l-enfant-terrible?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. poseidon2

    Rages t1

    Les BD anthropomorphes sont à la mode. Entre 5 terres ou sa majesté des ours, on est servi. Alors pour qu'une petite maison d'édition se lance dans le genre, il faut qu'il y ait quelque chose de différent. Et bien radicalement oui ! Car Rages c'est globalement une adaptation de Suiciders (Urban Comics) en mode anthropomorphe. Enfin un mix entre Suiciders et Gladiator. Je cite particulièrement ce film car un des scènes dans l'arène est clairement un hommage/source d'inspiration. Et donc cela change des récits anthropomorphes habituellement cantonné à des périodes passés. Là on est dans de l'anticipation pure. Les dessins de Dan font mouches même si les grandes cases donnent un peu une impression de vide sur certains décors. Ils font mouches par le rendu dynamique des combats mais aussi par l'attention toute particulière apportée aux visages. L’adaptation animaux/Anticipation est bien faite avec juste ce qu'il faut d'équipement high tech mais pas une transformation complète pour laisser place au caractère de chaque animal. Si l'histoire n'est pas, pour le moment, super innovante, le twist de fin est bien amené (même si un peu prévisible) et nous promet un second tome encore plus intense et surement plus surprenant.
  14. poseidon2

    Rages t1

    Titre de l'album : Rages t1 Scenariste de l'album : Tome Dessinateur de l'album : Dan Coloriste : Dan Editeur de l'album : Kennes Note : Résumé de l'album : Dans ce pays imaginaire (mais l'est-il tant que cela ?) peuplé exclusivement d'animaux, tout oppose le Nord et le Sud jadis en guerre et désormais séparés par un mur infranchissable : Le Rideau de Titane. D'un côté, la dictature, les persécutions ; de l'autre, ce qui apparaît comme la Liberté, la Terre promise. Dans cette amère fable politique, Saakhi et Jin, un couple de pandas, cherchent à se réunir. Mais le monde futuriste d'An-Ahm n'est pas le paradis espéré. La révolution éclate et le destin les porte bientôt à la tête de camps mortellement opposés. Critique : Les BD anthropomorphes sont à la mode. Entre 5 terres ou sa majesté des ours, on est servi. Alors pour qu'une petite maison d'édition se lance dans le genre, il faut qu'il y ait quelque chose de différent. Et bien radicalement oui ! Car Rages c'est globalement une adaptation de Suiciders (Urban Comics) en mode anthropomorphe. Enfin un mix entre Suiciders et Gladiator. Je cite particulièrement ce film car un des scènes dans l'arène est clairement un hommage/source d'inspiration. Et donc cela change des récits anthropomorphes habituellement cantonné à des périodes passés. Là on est dans de l'anticipation pure. Les dessins de Dan font mouches même si les grandes cases donnent un peu une impression de vide sur certains décors. Ils font mouches par le rendu dynamique des combats mais aussi par l'attention toute particulière apportée aux visages. L’adaptation animaux/Anticipation est bien faite avec juste ce qu'il faut d'équipement high tech mais pas une transformation complète pour laisser place au caractère de chaque animal. Si l'histoire n'est pas, pour le moment, super innovante, le twist de fin est bien amené (même si un peu prévisible) et nous promet un second tome encore plus intense et surement plus surprenant. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/rages-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. C'est fou le plaisir que j'ai pris à lire ce Lucky Luke. Il faut dire que comme beaucoup j'avais rangé cette série dans la case "souvenir d'enfance" et avait pris ce tome pour mes enfants plus que pour moi. Le l'ai lu par acquis de conscience et pour vous en faire un retour. Et au final j'ai vraiment aimé. Le scénario de Jul est tout d'abord très sympa avec cette "découverte" du sud des états unis par Luke. Un univers que, on l'oublie souvent, a en effet côtoyé celui des cowboys. Le faste des grandes maisons des cotonniers du Sud tranche avec les Saloon et Jul se sert de cette dichotomie à merveille. Cela lui permet de nous livrer un Lucky Luke outré par le comportement des blancs du sud. Pour ne pas tomber dans la critique pure et simple et rester dans le divertissement, il nous amène..... Nos potes les Daltons bien sûr! Daltons toujours aussi bête mais toujours aussi drôle avec des moments d'anthologie dans le Bayou ou encore quand ils confondent le rassemblement du KKK avec un groupe d'indien. Bref une excellente surprise pour moi et un tome qui ravira, je l'espère, mes enfants !!!
  16. Titre de l'album : Les nouvelles aventures de lucky luke t9 : un cowboy dans le coton Scenariste de l'album : Jul Dessinateur de l'album : Achdé Coloriste : Achdé Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Lucky Luke se retrouve bien malgré lui propriétaire d'une immense plantation de coton en Louisiane. Accueilli par les grands planteurs blancs comme l'un des leurs, Lucky Luke va devoir se battre pour redistribuer cet héritage aux fermiers noirs. Le héros du far-west réussira-t-il à rétablir la justice dans les terrains mouvants des marais de Louisiane ? Dans cette lutte, il sera contre toute attente épaulé par les Dalton venus pour l'éliminer, par les Cajuns du bayou, ces blancs laissés-pour-compte de la prospérité du Sud, et par Bass Reeves, premier marshall noir des Etats-Unis. Critique : C'est fou le plaisir que j'ai pris à lire ce Lucky Luke. Il faut dire que comme beaucoup j'avais rangé cette série dans la case "souvenir d'enfance" et avait pris ce tome pour mes enfants plus que pour moi. Le l'ai lu par acquis de conscience et pour vous en faire un retour. Et au final j'ai vraiment aimé. Le scénario de Jul est tout d'abord très sympa avec cette "découverte" du sud des états unis par Luke. Un univers que, on l'oublie souvent, a en effet côtoyé celui des cowboys. Le faste des grandes maisons des cotonniers du Sud tranche avec les Saloon et Jul se sert de cette dichotomie à merveille. Cela lui permet de nous livrer un Lucky Luke outré par le comportement des blancs du sud. Pour ne pas tomber dans la critique pure et simple et rester dans le divertissement, il nous amène..... Nos potes les Daltons bien sûr! Daltons toujours aussi bête mais toujours aussi drôle avec des moments d'anthologie dans le Bayou ou encore quand ils confondent le rassemblement du KKK avec un groupe d'indien. Bref une excellente surprise pour moi et un tome qui ravira, je l'espère, mes enfants !!! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-aventures-de-lucky-luke-d-apres-morris-tome-9?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. poseidon2

    Comédie francaise

    Matthieu Sapin est un des auteurs de BDs qui fait essentiellement du reportage en BD. Mais quand il le fait il le fait bien en faisant des reportages au long court, sur plusieurs années ou à minima de long mois. Il l'avait montré avec Gerard Depardieu mais aussi et surtout avec François Hollande. Ce dernier reportage était vraiment intéressant sur les coulisses du pouvoir. Pour ce livre ci, ou il replonge dans les méandres de la politique française en essayant d'atteindre Emmanuel Macron comme il avait plus le faire avec Hollande. Pour ne faire une redite, il s'amuse à comparer son parcours à celui de l'écrivain Jean racine. Et heureusement qu'il fait cela. En effet on sent rapidement qu'il n'a pas réussi à approcher d'aussi près le pouvoir que lors du quinquennat Hollande. Il choisit donc intelligemment et avec beaucoup d'humour de se comparer à racine et sa quête de louis XIV pour, au final, nous livrer un double documentaire. Sur Racine autant (voir plus) que sur Emmanuel Macron. Si la lecture est sympa par l'humour et surtout l'auto dérision développée par Matthieu Sapin, l'album est quand même un peu lourd à lire et au final un poil trompeur quand on s'attendait, comme moi, a un vrai reportage politique. Attention donc à ne pas le prendre pour un reportage politique comme le très bon Le château. Si c'est ce que vous cherchez ... et bien allez lire le Château 🙂
  18. Titre de l'album : Comédie francaise Scenariste de l'album : Mathieu Sapin Dessinateur de l'album : Mathieu Sapin Coloriste : Mathieu Sapin Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Il avait juré qu'on ne l'y reprendrait plus, mais après neuf mois passés à suivre la campagne présidentielle de 2012, deux années occupées à observer les coulisses de l'Elysée et cinq années dans les pattes de Gérard Depardieu, notre reporter bédé préféré depuis Tintin a replongé dans la marmite de la politique. En mettant en parallèle la trajectoire de Jean Racine qui se rêve courtisan de Louis XIV au XVIIe siècle et la sienne dans sa tentative d'approche du président Emmanuel Macron, Mathieu Sapin interroge les liens entre l'Art et le Pouvoir avec la finesse et l'autodérision qui font sa patte. Un must ! Critique : Matthieu Sapin est un des auteurs de BDs qui fait essentiellement du reportage en BD. Mais quand il le fait il le fait bien en faisant des reportages au long court, sur plusieurs années ou à minima de long mois. Il l'avait montré avec Gerard Depardieu mais aussi et surtout avec François Hollande. Ce dernier reportage était vraiment intéressant sur les coulisses du pouvoir. Pour ce livre ci, ou il replonge dans les méandres de la politique française en essayant d'atteindre Emmanuel Macron comme il avait plus le faire avec Hollande. Pour ne faire une redite, il s'amuse à comparer son parcours à celui de l'écrivain Jean racine. Et heureusement qu'il fait cela. En effet on sent rapidement qu'il n'a pas réussi à approcher d'aussi près le pouvoir que lors du quinquennat Hollande. Il choisit donc intelligemment et avec beaucoup d'humour de se comparer à racine et sa quête de louis XIV pour, au final, nous livrer un double documentaire. Sur Racine autant (voir plus) que sur Emmanuel Macron. Si la lecture est sympa par l'humour et surtout l'auto dérision développée par Matthieu Sapin, l'album est quand même un peu lourd à lire et au final un poil trompeur quand on s'attendait, comme moi, a un vrai reportage politique. Attention donc à ne pas le prendre pour un reportage politique comme le très bon Le château. Si c'est ce que vous cherchez ... et bien allez lire le Château 🙂 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/comedie-francaise-voyages-dans-l-antichambre-du-pouvoir?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. La fièvre d'Urbicande, le deuxième tome de la série des Cités obscures a reçu le prix du meilleur album d'Angoulême en 1985. Les auteurs ont réalisé cet album en le pesant avec de la couleur depuis le départ. Le choix du noir et blanc est venu ensuite pour permettre aux auteurs d'écrire une histoire de plus de 48 pages de bande dessinée à cette époque. 35 ans plus tard, Jack Durieux un graphiste et illustrateur revient sur cette œuvre pour la proposer en version colorisée. L'histoire de la fièvre d'Urbicande est assez fantastique avec la découverte d'un étrange cube qui ne cesse de grandir à travers une énorme cité séparée par une rivière. Eugen Robick est l'urbaniste en charge de la ville qui sera le premier à calculer la vitesse d'expansion du cube qui remplit très vite sa maison. Les dessins de François Schuiten sont magnifiques pour représenter la ville et les bâtiments qui la composent. L'auteur est très porté sur l'architecture. D'ailleurs toute la série des Cités obscures se focalise autour des villes d'un univers parallèle. Jack Durieux explique la technique et ses choix pour les couleurs en fin d'album. Cette nouvelle version colorisée est une bonne occasion pour découvrir ou redécouvrir la fièvre d’Urbicande. A noter qu'une version deluxe de cet album colorisé est disponible.
  20. Titre de l'album : Les cités obscures - La fièvre d'urbicande (éd. couleur) Scenariste de l'album : Benoît Peeters Dessinateur de l'album : François Schuiten Coloriste : Jack Durieux Editeur de l'album : Casterman Note : Résumé de l'album : La Commission des Hautes Instances, qui gouverne Urbicande, refuse l'aménagement d'un pont qui, selon Robick, rétablirait un équilibre urbain menacé. C'est dans ce contexte qu'un étrange objet fait son apparition sur le bureau de Robick : une structure cubique évidée d'origine inconnue, faite d'un métal indestructible, qui commence à lentement croître... Critique : La fièvre d'Urbicande, le deuxième tome de la série des Cités obscures a reçu le prix du meilleur album d'Angoulême en 1985. Les auteurs ont réalisé cet album en le pesant avec de la couleur depuis le départ. Le choix du noir et blanc est venu ensuite pour permettre aux auteurs d'écrire une histoire de plus de 48 pages de bande dessinée à cette époque. 35 ans plus tard, Jack Durieux un graphiste et illustrateur revient sur cette œuvre pour la proposer en version colorisée. L'histoire de la fièvre d'Urbicande est assez fantastique avec la découverte d'un étrange cube qui ne cesse de grandir à travers une énorme cité séparée par une rivière. Eugen Robick est l'urbaniste en charge de la ville qui sera le premier à calculer la vitesse d'expansion du cube qui remplit très vite sa maison. Les dessins de François Schuiten sont magnifiques pour représenter la ville et les bâtiments qui la composent. L'auteur est très porté sur l'architecture. D'ailleurs toute la série des Cités obscures se focalise autour des villes d'un univers parallèle. Jack Durieux explique la technique et ses choix pour les couleurs en fin d'album. Cette nouvelle version colorisée est une bonne occasion pour découvrir ou redécouvrir la fièvre d’Urbicande. A noter qu'une version deluxe de cet album colorisé est disponible. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-fievre-d-urbicande-edition-couleur?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. poseidon2

    Mercy T2

    Pour des séries qui s'annoncent assez courte, le fait d'avoir des tomes qui s'enchaînent est un vrai plaisir. Pas besoin d'attendre longtemps avant d'avoir le suite de notre histoire. Voir meme pas besoin de relire le tome 1 lors de l'ouverture du 2..... encore que... ah ben si en fait. En refermant le deux on se dit qu'on aurait surement bien fait. Car si graphiquement c'est toujours sublime et envoutant, autant que dire que coté scenario on est touours dans le "très brumeux". Si ce tome 2 amène des réponses, il pose quasiment encore plus de questions ! On se doutait que l'histoire ne serait pas simple mais la... ben on monte d'un cran. Et le problème de beaucoup de séries aux dessins magnifiques, c'est que ce sont ces dessins qui sont mis en avant très souvent au détriment du scénario. Et ce Mercy ne fait pas exception. SI chaque page est sublime, les sauts de scènes en scènes, les flashback, les "inceptions", les voies intérieures.... tout se mélange suffisamment pour perdre le lecteur encore en train d'admirer les illustrations. On sent que l'histoire est touffue et intéressante mais on ne comprend encore pas tout et on a un poil l'impression que Mirka Andolfo a été un peu trop ambitieuse. Le futur nous dira si je me trompe. Et j'espère me tromper.
  22. poseidon2

    Mercy T2

    Titre de l'album : Mercy T2 Scenariste de l'album : Mirka Andolfo Dessinateur de l'album : Mirka Andolfo Coloriste : Mirka Andolfo Editeur de l'album : Glenat Note : Résumé de l'album : Si la bourgade de Woodsburgh semble avoir accueilli la mystérieuse Lady Hellaine et son majordome les bras ouverts, des meurtres étranges viennent semer le trouble dans l’esprit des habitants. D’apparence paisible, la petite communauté n’est pas aussi solidaire qu’elle veut bien le faire croire et en particulier envers ses nouveaux arrivants. L’étau serait-il en train de se resserrer sur la belle étrangère et pourquoi donc a-t-elle recueilli Rory, cette orpheline amérindienne ? Alors qu’un groupe de redoutables chasseurs rend visite à Lady Swanson pour lui apporter la preuve irréfutable de la présence d’une créature démoniaque en ville, Hellaine met en marche son plan machiavélique... Critique : Pour des séries qui s'annoncent assez courte, le fait d'avoir des tomes qui s'enchaînent est un vrai plaisir. Pas besoin d'attendre longtemps avant d'avoir le suite de notre histoire. Voir meme pas besoin de relire le tome 1 lors de l'ouverture du 2..... encore que... ah ben si en fait. En refermant le deux on se dit qu'on aurait surement bien fait. Car si graphiquement c'est toujours sublime et envoutant, autant que dire que coté scenario on est touours dans le "très brumeux". Si ce tome 2 amène des réponses, il pose quasiment encore plus de questions ! On se doutait que l'histoire ne serait pas simple mais la... ben on monte d'un cran. Et le problème de beaucoup de séries aux dessins magnifiques, c'est que ce sont ces dessins qui sont mis en avant très souvent au détriment du scénario. Et ce Mercy ne fait pas exception. SI chaque page est sublime, les sauts de scènes en scènes, les flashback, les "inceptions", les voies intérieures.... tout se mélange suffisamment pour perdre le lecteur encore en train d'admirer les illustrations. On sent que l'histoire est touffue et intéressante mais on ne comprend encore pas tout et on a un poil l'impression que Mirka Andolfo a été un peu trop ambitieuse. Le futur nous dira si je me trompe. Et j'espère me tromper. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mercy-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. Chaque nouvel épisode la série Julius Corentin Acquefacques est un événement dans le monde de la bande dessinée. Marc-Antoine Mathieu réussi une fois de plus à nous surprendre comme pour les autres tomes de cette série d’albums conceptuels dont il a le secret. Et surtout quelle joie de retrouver l’univers décalé de Julius perdu dans les méandres de ses rêves ou de ceux de son voisin Hilarion. Dès l’introduction on part dans le vif du sujet et l’auteur s’amuse à dessiner toutes les situations étranges qu’on l’on rencontre dans les rêves de son héros. On n’est pas loin des lithographies d’Escher. Pour rappel, le héros vit dans une énorme ville où l’espace pour vivre manque cruellement avec des appartements trop petits. Cette société imaginaire est basée sur le travail et une foule immense peuple les rues pour se rendre au travail. L’histoire de l’hyperrêve est une nouvelle expérience étrange et insolite comme souvent avec Marc-Antoine Mathieu. L’auteur nous plonge dans les réflexions de l’infini avec quelques notes d’humour. La partie graphique est en noir et blanc avec ce style que l’on connait surtout pour la représentation caricaturale des personnages et de la recherche expérimentales des dessins dû à l’histoire. Ce septième tome de Julius Corentin Acquefacques, prisonnier des rêves est de grande qualité comme toute la série.
  24. Titre de l'album : Julius Corentin Acquefacques Tome 7 : L'hyperreve Scenariste de l'album : Marc-Antoine Mathieu Dessinateur de l'album : Marc-Antoine Mathieu Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Bien que contingenté à son espace livresque, Julius Corentin Acquefacques s'en évade à loisir par le rêve. Mais celui en cours, plus puissant qu'à l'accoutumée, est entré en collision avec celui tout aussi fort de son voisin Hilarion créant un hyperrêve, sorte de mise en abyme onirique à la puissance infinie... Seul le professeur Ouffe peut encore les aider à s'extraire de ce rêve cul-de-sac sans fin. Critique : Chaque nouvel épisode la série Julius Corentin Acquefacques est un événement dans le monde de la bande dessinée. Marc-Antoine Mathieu réussi une fois de plus à nous surprendre comme pour les autres tomes de cette série d’albums conceptuels dont il a le secret. Et surtout quelle joie de retrouver l’univers décalé de Julius perdu dans les méandres de ses rêves ou de ceux de son voisin Hilarion. Dès l’introduction on part dans le vif du sujet et l’auteur s’amuse à dessiner toutes les situations étranges qu’on l’on rencontre dans les rêves de son héros. On n’est pas loin des lithographies d’Escher. Pour rappel, le héros vit dans une énorme ville où l’espace pour vivre manque cruellement avec des appartements trop petits. Cette société imaginaire est basée sur le travail et une foule immense peuple les rues pour se rendre au travail. L’histoire de l’hyperrêve est une nouvelle expérience étrange et insolite comme souvent avec Marc-Antoine Mathieu. L’auteur nous plonge dans les réflexions de l’infini avec quelques notes d’humour. La partie graphique est en noir et blanc avec ce style que l’on connait surtout pour la représentation caricaturale des personnages et de la recherche expérimentales des dessins dû à l’histoire. Ce septième tome de Julius Corentin Acquefacques, prisonnier des rêves est de grande qualité comme toute la série. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/julius-corentin-acquefacques-tome-7-l-hyperreve?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. poseidon2

    Atom agency t2 : petit hanneton

    Deuxième tome de Atom Agency et deuxième suces pour cette série de one shot. Apres un premier tome jouant sur la nostalgie graphique et thématique des amateurs de BDs des années 70-80, Yann lance ses héros dans une histoire plus ambitieuse. Une histoire qui parle de la guerre, de l’après-guerre, mais qui parle aussi de façon savoureuse de la communauté Arménienne de Paris. Je dis "savoureuse" car ce lien familial est un filagramme intéressant à suivre, en marge de notre enquête. En effet le rapport entre Atom et sa famille Arménienne et ses "obligations" n'est pas sans rappeler des situations très actuelles. Si le personnage d'Atom gagne en épaisseur dans ce tome ci, on apprécie encore plus le rôle du père, ancien résistant au passé pas si claire que cela. Une bonne enquête, un dessin très sympa pour un super moment sans obligation de poursuite. Du tout bon quoi.
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