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  1. Conan le Cimmérien - Les mangeurs d'hommes de Zamboula Scénario : Gess Dessin : Gess Couleur : Gess Genre : Fantastique Edition : Glénat Date de parution : Dispo L'acheter sur BDFugue Résumé : Conan au pays des mille et une nuits ! Carrefour de croyances, de langues et de cultures, la mythique cité marchande de Zamboula est également le théâtre de nombreuses et sombres légendes. Sur place depuis peu, Conan est averti des dangers de la demeure d’Aram Baksh. On raconte que la plupart des étrangers qui y séjournent disparaissent dans des circonstances obscures... cela tombe bien, c’est justement ici que le cimmérien a décidé de passer la nuit ! Mais en levant le voile sur ces mystérieuses affaires d’enlèvements, Conan va découvrir un autre secret, plus terrible encore, lié à l’ensemble de la cité de Zamboula... Cet épisode de Conan le Cimmérien, Les mangeurs d'hommes de Zamboula n’est certainement pas le meilleur récit de Robert E. Howard. Cette histoire répond aux attentes de son éditeur et recycle des thèmes déjà abordés par l’auteur. L’adaptation en bande dessinée reprend donc ce récit auquel on accorde que peu d’importance aux mangeurs d’homme qui sont représentés par des clichés de l’époque. Mais l’adaptation de Gess est fantastique, même si l’histoire n’est pas parfaite on plonge avec beaucoup de plaisir dans cette aventure du Cimmérien, dans des contrées très orientales. On retrouve de la magie comme souvent dans les récits de Conan. La partie graphique apporte l’intérêt majeure de cette adaptation. J’ai découvert Gess avec les récits des contes de la pieuvre. Depuis, je suis de près son travail et avec Conan, Gess nous montre l’étendue de son talent. Les planches sont magnifiques ainsi que la mise en couleur, surtout durant la première partie avec des teintes de violet pour l’obscurité. Je vais prendre la version noir et blanc qui sortira la semaine prochaine en librairie pour profiter d’une deuxième lecture et du format plus agrandie. Cette série d’adaptation des récits de Conan en bande dessinée est une réussite à tous les niveaux. On peut voir plusieurs équipes artistiques donner vie au Cimmérien avec des styles différents. La performance de Gess est impeccable sur les mangeurs d'hommes de Zamboula. Note : Alx23
  2. poseidon2

    Alter t2

    Rhaaa ce tome 2 est rageant. Suffisamment pour que j'interrompe mes vacances de critiques pour vous faire part de ma frustration : on avait besoin de 3 tomes ! Car qu'est ce que la première partie de ce tome 2 va trop vite. La ou le tome 1 m'avais charmé en prenant bien son temps, ce tome 2 démarre en trombe et survole tous les sujets commencés plus tôt pour se mettre en place pour la conclusion. Et ce qui est vraiment rageant c'est que la fin de l'album est lui très bon et les choix scénaristiques intéressant. Mais la qualité de la fin de l'album ne peut enlever un goût de 'trop peu' qui ressort du début. On aurait adoré en savoir plus sur ce qu'il s'est passé sur l'Alter et encore plus avoir des précisions sur..... vous verrez 😊 En bref une très bonne histoire dans un bel écrin chez Drakoo. Une histoire qui méritait, après la disparition de Sandawe, une seconde vie.... mais aussi un troisième tome. Ps: je rappelle que Laval nous a gratifié d'une très sympathique interview dessinée disponible dans la rubrique idoine 😉 PS2 : première critique écrite depuis la nouvelle interface pour smartphone du site. Soyez indulgent ☺
  3. poseidon2

    Alter t2

    Titre de l'album : Alter t2 Scenariste de l'album : Philippe Pelaez Dessinateur de l'album : Laval NJ Editeur de l'album : Drakoo Note : Résumé de l'album : Nous sommes en 2082, près de Jupiter. Les vaisseaux Achlys et Hybris, commandés respectivement par Pavel Vonichev et Sylan Kassidy, continuent leur mission : Pour l'Hybris, il s'agit d'assembler les éléments qui formeront la future base sur Callisto ; les membres de l'Achlys, eux, récoltent des minerais sur (617) Patrocle dans des conditions extrêmes, les perturbations magnétiques se faisant plus intenses. Mais soudain, alors qu'un étrange nuage bleu se forme au voisinage de l'astéroïde, une navette incontrôlable vient se crasher sur le vaisseau, endommageant gravement les déflecteurs censés protéger l'équipage de l'Achlys de la magnétosphère de Jupiter. Critique : Rhaaa ce tome 2 est rageant. Suffisamment pour que j'interrompe mes vacances de critiques pour vous faire part de ma frustration : on avait besoin de 3 tomes ! Car qu'est ce que la première partie de ce tome 2 va trop vite. La ou le tome 1 m'avais charmé en prenant bien son temps, ce tome 2 démarre en trombe et survole tous les sujets commencés plus tôt pour se mettre en place pour la conclusion. Et ce qui est vraiment rageant c'est que la fin de l'album est lui très bon et les choix scénaristiques intéressant. Mais la qualité de la fin de l'album ne peut enlever un goût de 'trop peu' qui ressort du début. On aurait adoré en savoir plus sur ce qu'il s'est passé sur l'Alter et encore plus avoir des précisions sur..... vous verrez 😊 En bref une très bonne histoire dans un bel écrin chez Drakoo. Une histoire qui méritait, après la disparition de Sandawe, une seconde vie.... mais aussi un troisième tome. Ps: je rappelle que Laval nous a gratifié d'une très sympathique interview dessinée disponible dans la rubrique idoine 😉 PS2 : première critique écrite depuis la nouvelle interface pour smartphone du site. Soyez indulgent ☺ Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/alter-tome-2-ceux-qui-restent?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. poseidon2

    Deux passantes dans la nuit t1

    On ne voyait pas Patrice Lecomte revenir à ses premières amours. En effet avec plus de 30 films a son actifs dont certains légèrement connus comme les Bronzés, la fille sur le pont ou encore Tandem. Je ne m'attendais pas à ce qu'il ne revienne à la bande dessinée, là où il fit ses premières armes dans le journal Pilote de 1970 à 1974. On se dit donc qu'un personnage comme cela ne revient pas pour rien et effectivement il nous livre un scénario très rafraîchissant avec une vision spéciale de l'occupation. Une vision de l’intérieur d'un Paris occupée de nuit. Une vision de 2 filles aux destins complètement différents mais qu'une nuit réunie. Et cette vision nous montre... et bien que malgré ce qu'on en montre et ce qu'on en sait, les nuits parisiennes étaient vraiment agitées durant l'occupation. Entre les allemands en permission venus dépenser leurs soldes dans les bars parisien et les français qui se sont créés une vie nocturne dans des caves en contournant le couvre feu, le périple de nos jeunes filles nous fait découvrir un coté de guerre qu'on ne connaissait pas. Il est à remarquer que Patrice Lecomte a choisi un dessinateur intéressant en la personne de Jerome Tonnerre. Les dessins sont très sympas mais c'est surtout la coloration qui se démarque pour nous livrer des effets de nuit très sympa et surtout ne pas tomber dans le piège d'un album trop sombre.
  5. Titre de l'album : Deux passantes dans la nuit t1 Scenariste de l'album : Patrice Leconte Dessinateur de l'album : Jerome Tonnerre Coloriste : Jerome Tonnerre Editeur de l'album : Grand Angle Note : Résumé de l'album : La longue nuit de deux femmes en fuite dans le Paris désert de l'Occupation. Après des années de détention, Arlette recouvre la liberté dans un Paris occupé par les nazis. Et elle entend bien rattraper le temps perdu. Anna, elle, cherche à sauver sa peau. Magicienne et israélite, elle a fui un danger qui l'a rattrapée. La ville occupée est une cage dont elle doit s'échapper au plus vite. Elles sillonneront en une nuit ce Paris obscurci. L'inquiétante étrangeté de l'Occupation, avec ses contrôles d'identité, ses fonctionnaires tatillons, ses sombres ombres et ses connaissances qu'on ne connaît pas si bien que ça et à qui il ne faut pas faire confiance... Critique : On ne voyait pas Patrice Lecomte revenir à ses premières amours. En effet avec plus de 30 films a son actifs dont certains légèrement connus comme les Bronzés, la fille sur le pont ou encore Tandem. Je ne m'attendais pas à ce qu'il ne revienne à la bande dessinée, là où il fit ses premières armes dans le journal Pilote de 1970 à 1974. On se dit donc qu'un personnage comme cela ne revient pas pour rien et effectivement il nous livre un scénario très rafraîchissant avec une vision spéciale de l'occupation. Une vision de l’intérieur d'un Paris occupée de nuit. Une vision de 2 filles aux destins complètement différents mais qu'une nuit réunie. Et cette vision nous montre... et bien que malgré ce qu'on en montre et ce qu'on en sait, les nuits parisiennes étaient vraiment agitées durant l'occupation. Entre les allemands en permission venus dépenser leurs soldes dans les bars parisien et les français qui se sont créés une vie nocturne dans des caves en contournant le couvre feu, le périple de nos jeunes filles nous fait découvrir un coté de guerre qu'on ne connaissait pas. Il est à remarquer que Patrice Lecomte a choisi un dessinateur intéressant en la personne de Jerome Tonnerre. Les dessins sont très sympas mais c'est surtout la coloration qui se démarque pour nous livrer des effets de nuit très sympa et surtout ne pas tomber dans le piège d'un album trop sombre. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/deux-passantes-dans-la-nuit-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. poseidon2

    Labyrinthus t1/2

    Efficace. C'est le terme qui correspond surement le mieux à notre amis Christophe Bec. Car sans ne rien vous dévoiler du scénario... j'ai eu comme une grosse impression de déjà-vu. On retrouve des vaisseaux extraterrestres, la fin du monde, une team de scientifique et de barbouze, une mission qui tient la fin du monde dans ses mains... Mais comme souvent (sur les premiers tomes en tout cas) c'est efficace. Un dessin un peu dur pour nous montrer la difficulté de la tâche et représenter la fin du monde. La coloration est sombre parce que l'ambiance est la tension est en à son comble.... du 100% Bec. Les seules vraies surprises sont : l'éditeur les deux tomes (annoncés .....) Donc je ne saurais trop quoi vous dire : Si vous adorez le genre Bec et que vous n’êtes pas lassé, vous pouvez y aller. Si vous ne connaissez pas Bec, allez y à (100%) car vous aurez une histoire clôturée en 2 tomes. Si vous n'aimez pas Bec... vous êtes déjà partit de toute façon 🙂 . Pour ma part je demande à voir une histoire qui finit en 2 tomes.
  7. Titre de l'album : Labyrinthus t1/2 Scenariste de l'album : Bec Dessinateur de l'album : Neaud Coloriste : Editeur de l'album : Glenat Note : Résumé de l'album : Et si nous n'étions que des cobayes ? 2057. La Terre est sous la menace d'un phénomène sans précédent. Depuis quelque temps, de mystérieuses cendres tombées du ciel recouvrent les paysages et villes d'une couche uniforme. Et partout dans le monde, de nombreux cas de maladies respiratoires sont recensés. Très vite, les autorités scientifiques et politiques sont unanimes : la « cendre » est en réalité une arme de destruction massive envoyée pour décimer l'humanité ! Pour comprendre les origines de ce fléau et tenter d'y mettre fin, une équipe est alors envoyée vers Phobos, satellite de Mars duquel proviendrait l'épidémie... Christophe Bec, scénariste de Carthago et de Siberia 56, revient à son genre de prédilection dans un captivant thriller de SF aux accents lovecraftien, mené par une équipe de héros aussi bigarrée que charismatique. Mystères, aventure et angoisse sont au menu de ce diptyque duquel émergent de véritables questions sur notre rapport à l'écologie. Critique : Efficace. C'est le terme qui correspond surement le mieux à notre amis Christophe Bec. Car sans ne rien vous dévoiler du scénario... j'ai eu comme une grosse impression de déjà-vu. On retrouve des vaisseaux extraterrestres, la fin du monde, une team de scientifique et de barbouze, une mission qui tient la fin du monde dans ses mains... Mais comme souvent (sur les premiers tomes en tout cas) c'est efficace. Un dessin un peu dur pour nous montrer la difficulté de la tâche et représenter la fin du monde. La coloration est sombre parce que l'ambiance est la tension est en à son comble.... du 100% Bec. Les seules vraies surprises sont : l'éditeur les deux tomes (annoncés .....) Donc je ne saurais trop quoi vous dire : Si vous adorez le genre Bec et que vous n’êtes pas lassé, vous pouvez y aller. Si vous ne connaissez pas Bec, allez y à (100%) car vous aurez une histoire clôturée en 2 tomes. Si vous n'aimez pas Bec... vous êtes déjà partit de toute façon 🙂 . Pour ma part je demande à voir une histoire qui finit en 2 tomes. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/labyrinthus-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. Un nouveau livre de référence pour les toilettes !!! Cool ! Sans blague ce n'est absolument pas une insulte pour moi. Loin de Là. Cela décrit juste des lectures qui prennent moins de 5 minutes et qui sont autonomes. Et c'est exactement le cas de ce Repères. Il nous livre des explications rapides et intéressantes sur le monde en générale. Différents sujets sans aucun lien entre eux mais qui sont expliqués rapidement (2 petites pages avec les dessins) et rendent certaines informations accessibles aux plus grands nombres. Par des explications historiques il permet aussi, rapidement donc, de mieux comprendre certains enjeux actuels. Une vraie mine d'information qui se distille au rythme d'un ou deux par jour pour ne pas être en overdose d'informations. Certains diraient que c'est une BD pour préparer le café entre collègues et ils n'auraient pas tort. Moi je préfère le terme de BD de toilette. Car vu le temps qu'on y passe sur toute une vie, ça en fait les albums les plus ouvert de toute bibliothèque. .
  9. Titre de l'album : Reperes tome 2 - 2000 nouveaux dessins pour comprendre le monde Scenariste de l'album : Jochen Gerner Dessinateur de l'album : Jochen Gerner Coloriste : Editeur de l'album : Casterman Note : Résumé de l'album : Un 2e volume des planches de la rubrique phare de l'hebdo le 1 ! Depuis le tout premier numéro de l'hebdo le 1, à travers ses planches de Repères, Jochen Gerner multiplie les trouvailles et parvient avec humour et concision à nous raconter l'économie, l'histoire, la France, l'Europe, le monde, les sciences... la vie. Sa plume est sûre, sa ligne claire et son encre indélébile. Ce deuxième recueil rassemble de nouvelles planches qui éclairent avec pédagogie et malice l'actualité récente. Critique : Un nouveau livre de référence pour les toilettes !!! Cool ! Sans blague ce n'est absolument pas une insulte pour moi. Loin de Là. Cela décrit juste des lectures qui prennent moins de 5 minutes et qui sont autonomes. Et c'est exactement le cas de ce Repères. Il nous livre des explications rapides et intéressantes sur le monde en générale. Différents sujets sans aucun lien entre eux mais qui sont expliqués rapidement (2 petites pages avec les dessins) et rendent certaines informations accessibles aux plus grands nombres. Par des explications historiques il permet aussi, rapidement donc, de mieux comprendre certains enjeux actuels. Une vraie mine d'information qui se distille au rythme d'un ou deux par jour pour ne pas être en overdose d'informations. Certains diraient que c'est une BD pour préparer le café entre collègues et ils n'auraient pas tort. Moi je préfère le terme de BD de toilette. Car vu le temps qu'on y passe sur toute une vie, ça en fait les albums les plus ouvert de toute bibliothèque. . Autres infos : La nouvelle référence du petit coin Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/reperes-2000-nouveaux-dessins-pour-comprendre-le-monde-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. Le retour de Barbe rouge. Je vais être honnête, c''est pour moi le retour des BDs que je lisais chez mes grands-parents. Les BDs de mon papa. Les couvertures souples, les lectures de vacances, les odeurs de poussière et une nostalgie qui monte rien qu'à y penser. C'est donc une critique pas complètement neutre que je vais faire. Car il est difficile de séparer ses souvenirs de cette lecture. Surtout que mon bilan de cette lecture serait que nos auteurs on "trop bien fait" leur travail. En effet on s'y croirait. On se croirait vraiment dans une aventure de barbe rouge. On y retrouve le caractère fort en gueule de notre pirate, son envie d’aventure mais aussi le classicisme des BDs d'autres fois. Ce classicisme n'enlève aux qualités de l'aventure qui reste une vraie aventure de pirate mais elle tranche un peu avec ouvrage plus récent sur le sujet. Mais c'est aussi ce côté classique qui a fait ressortir mes souvenirs de jeunesse et m'a offert un bon moment de lecture, en-plein d’une belle nostalgie. En bref, porté par un dessin très sympa, ce barbe rouge ravira les fans de récit de pirate et les fans des premiers barbe rouge mais aura peut-être plus de mal à convaincre de plus jeunes (et nouveaux) lecteurs. PS: j'ai essayé avec ma fille de 12 ans, ça n'a pas marché 😞
  11. Titre de l'album : Les nouvelles aventures de Barbe rouge t1 : pendu haut au court Scenariste de l'album : Jean-Charles Kraehn Dessinateur de l'album : Stefano Carloni Coloriste : Stefano Carloni Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : À présent corsaires du Roy, Barbe-Rouge, Éric, Baba et Triple-Patte partent en chasse du « Spectre », un mystérieux pirate qui rançonne les planteurs de Pamticoe Sound. Une course mortelle s'engage contre un adversaire machiavélique... Entre hommage respectueux aux créateurs, Jean-Michel Charlier et Victor Hubinon, et nécessaire actualisation du mythe, Jean-Charles Kraehn et Stefano Carloni signent un retour fracassant du plus célèbre pirate de la BD franco-belge dans ce premier tome d'un diptyque ! Critique : Le retour de Barbe rouge. Je vais être honnête, c''est pour moi le retour des BDs que je lisais chez mes grands-parents. Les BDs de mon papa. Les couvertures souples, les lectures de vacances, les odeurs de poussière et une nostalgie qui monte rien qu'à y penser. C'est donc une critique pas complètement neutre que je vais faire. Car il est difficile de séparer ses souvenirs de cette lecture. Surtout que mon bilan de cette lecture serait que nos auteurs on "trop bien fait" leur travail. En effet on s'y croirait. On se croirait vraiment dans une aventure de barbe rouge. On y retrouve le caractère fort en gueule de notre pirate, son envie d’aventure mais aussi le classicisme des BDs d'autres fois. Ce classicisme n'enlève aux qualités de l'aventure qui reste une vraie aventure de pirate mais elle tranche un peu avec ouvrage plus récent sur le sujet. Mais c'est aussi ce côté classique qui a fait ressortir mes souvenirs de jeunesse et m'a offert un bon moment de lecture, en-plein d’une belle nostalgie. En bref, porté par un dessin très sympa, ce barbe rouge ravira les fans de récit de pirate et les fans des premiers barbe rouge mais aura peut-être plus de mal à convaincre de plus jeunes (et nouveaux) lecteurs. PS: j'ai essayé avec ma fille de 12 ans, ça n'a pas marché 😞 Autres infos : Le retour de barbe rouge ! Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-nouvelles-aventures-de-barbe-rouge-pendu-haut-et-court?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. poseidon2

    l'oiseau rare t1

    Voilà une BD qui correspond parfaitement à sa maison d'édition : la bd comme au cinéma. Car cet Oiseau Rare est une vraie histoire de cinéma. Un scénario robuste ni trop ambitieux ni trop déluré. Une mise en image superbe avec des belles vue de la capitale à une époque où le béton ne régnait pas en maître partout. Des personnages attachant qui portent une histoire dramatique et un premier tome qui énonce encore un peu plus nos amis avant, on s'en doute, une belle remontée dans le tome suivant. On se croirait au cinéma devant un drame d'époque dont l'on sait pertinemment qu'il finira bien mais qui nous fait vibrer quand même pour ses personnages. L'oiseau rare c'est tout cela mais porté en plus par le dessin toujours très beau. d'Eric Stalner L'oiseau rare c'est donc une réussite pour tous ceux qui ne sont pas à la recherche d'originalité.
  13. Titre de l'album : l'oiseau rare t1 Scenariste de l'album : Cédric SIMON Dessinateur de l'album : Eric Stalner Coloriste : Florence FANTINI Editeur de l'album : Grand Angle Note : Résumé de l'album : Ils sont prêts à toutes les combines pour atteindre leur rêve. Dans ce bidonville parisien, au milieu du petit peuple chassé par la spéculation immobilière, vit Eugénie et sa bande : le vieil Arthur, Tibor, l'ancien dompteur hongrois et les deux frères, Constantin et Lucien. Le ciment de cette famille, c'est Eugénie qui les entraîne dans son rêve fou de reconstruire L'Oiseau rare, le cabaret de son grand-père. Pour cela, chanter dans les rues ne suffit pas. C'est un prétexte pour attirer les bourgeois aux bourses pleines. Vols et filouteries sont leurs véritables activités. Mais les combines de plus en plus risquées, les problèmes avec les apaches et la police vont précipiter le petit groupe dans une spirale dangereuse. Critique : Voilà une BD qui correspond parfaitement à sa maison d'édition : la bd comme au cinéma. Car cet Oiseau Rare est une vraie histoire de cinéma. Un scénario robuste ni trop ambitieux ni trop déluré. Une mise en image superbe avec des belles vue de la capitale à une époque où le béton ne régnait pas en maître partout. Des personnages attachant qui portent une histoire dramatique et un premier tome qui énonce encore un peu plus nos amis avant, on s'en doute, une belle remontée dans le tome suivant. On se croirait au cinéma devant un drame d'époque dont l'on sait pertinemment qu'il finira bien mais qui nous fait vibrer quand même pour ses personnages. L'oiseau rare c'est tout cela mais porté en plus par le dessin toujours très beau. d'Eric Stalner L'oiseau rare c'est donc une réussite pour tous ceux qui ne sont pas à la recherche d'originalité. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-oiseau-rare-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. Apres deux superbes albums sur le Vendée Globe (Histoire du vendée globe et Seul autour du monde), Arnaud Garreta et Alexandre Chenet nous livre un nouvel album sur les marins et leurs univers. Cette fois il est question de Thomas Coville pour rien de moins que son record du tour du monde à la voile en solitaire. 49 neufs jours passés tout seul sur son bateau. 49 jours de mers differentes, de météos capricieuses et de choix tactiques et techniques pour réussir l'impossible : Un tour du monde en moins de 50 jours ! On retrouve avec enormement de plaisir les dessins et la coloration de Arnaud Garreta. Il reussit comme peut de monde à retranscrire aussi bien la beauté de la mer que sa complexité et ses dangers.Il nous fait vivre au jour le jours les désillusions, les joies et les frayeurs de Thomas Coville. Le petit changement sur cet album ci est la part belle donnée à l'équipe de suivit et à l'importance de ces personnes, tant au niveau preparation que suivit psycologique et technique.On y découvre une vraie relation de confiance entre le skipper et son équipe. Une vraie et belle aventure qui fait rêver son lecteur et l'emmenant la ou il ne pourrait aller. Il est a noter sur cet album ci que nos auteurs consacrent une partie de l'album sur la course aux évolutions technologiques des bateaux et sur l'ambitions des skipper à creer une course autour du monde. Cela ajoute un coté plus complet au métier de skipper avec la partie "conception de bateau" / planification/ entrainement en plus de la course elle meme. Une BD pour tous les aventuriers du quotidien !
  15. Titre de l'album : A bord avec thomas Coville - la quete ultime Scenariste de l'album : Chenet Alexandre Dessinateur de l'album : Garreta Arnaud Coloriste : Garreta Arnaud Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Après avoir signé deux albums sur le Vendée Globe, Alexandre Chenet et Renaud Garreta ont suivi pendant plusieurs années Thomas Coville, l'un des plus grands skippers au monde et tentent de comprendre « ce qui peut se passer dans la tête d'un marin », notamment lors du tour du monde en solitaire record de 2016, engagé à bord d'un trimaran géant dans une quête d'ultime. Une bande dessinée qui se présente comme un documentaire passionnant et qui paraîtra à une période où l'actualité voile battra son plein avec des tentatives de Trophée Jules Verne et une nouvelle édition du Vendée Globe. Cet ouvrage s'adresse à tous les publics amoureux d'aventure et désireux de mieux comprendre cette formidable aventure humaine, technologique et sportive. Critique : Apres deux superbes albums sur le Vendée Globe (Histoire du vendée globe et Seul autour du monde), Arnaud Garreta et Alexandre Chenet nous livre un nouvel album sur les marins et leurs univers. Cette fois il est question de Thomas Coville pour rien de moins que son record du tour du monde à la voile en solitaire. 49 neufs jours passés tout seul sur son bateau. 49 jours de mers differentes, de météos capricieuses et de choix tactiques et techniques pour réussir l'impossible : Un tour du monde en moins de 50 jours ! On retrouve avec enormement de plaisir les dessins et la coloration de Arnaud Garreta. Il reussit comme peut de monde à retranscrire aussi bien la beauté de la mer que sa complexité et ses dangers.Il nous fait vivre au jour le jours les désillusions, les joies et les frayeurs de Thomas Coville. Le petit changement sur cet album ci est la part belle donnée à l'équipe de suivit et à l'importance de ces personnes, tant au niveau preparation que suivit psycologique et technique.On y découvre une vraie relation de confiance entre le skipper et son équipe. Une vraie et belle aventure qui fait rêver son lecteur et l'emmenant la ou il ne pourrait aller. Il est a noter sur cet album ci que nos auteurs consacrent une partie de l'album sur la course aux évolutions technologiques des bateaux et sur l'ambitions des skipper à creer une course autour du monde. Cela ajoute un coté plus complet au métier de skipper avec la partie "conception de bateau" / planification/ entrainement en plus de la course elle meme. Une BD pour tous les aventuriers du quotidien ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/a-bord-avec-thomas-coville-la-quete-de-l-ultime?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. poseidon2

    Rattrapage : Lord Jeffrey

    Je vous avais parlé des éditions Kennes durant les vacances via leur offre promotionelle deux acheté un offert. Et j'avais eu le tord, après lecture de ce Lord Jeffrey, de dire que ces éditions faisaient exclusivement des BD pour jeunes filles. Car ce Lord Jeffery est une vraie Excellente BD pour tous. Deja le maquettage de l'album est magnifique. Les "dorures" extérieures mais aussi l'album entier, sont somptueusement réalisées. Et cerise sur le gâteau, l’intérieur vaux autant le détour que l'extérieur. Lord Jeffrey c'est une aventure jeunesse comme on en trouve peu. En effet on se croirait dans une aventure à mi chemin entre le club des 5 et un roman d'Agatha Christie. Une BD qui ne prend pas le jeune lecteur pour un gamin non a même de comprendre une intrigue un peu complexe. Il y a un jeune héros tous sauf bête, un père mystérieux, une organisation secrète, un campus étrange et ,surtout, une construction du mystère superbement efficace ! On se délecte d’être mené par le bout du nez par notre scénariste du début à la fin. Comme dans un Hercule Poirot on essaye de rassembler tous les petits indices pour comprendre, comme le fait Jeffrey, l'ensemble du mystère qui plane autour du père. Une vraie petite pépite dont la suite arrive la 21 Octobre ! Chouette 🙂
  17. Titre de l'album : Rattrapage : Lord Jeffrey Scenariste de l'album : Henberg Dessinateur de l'album : Hamo Coloriste : Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : Édimbourg, 1958. Pour Scotland Yard, la disparition de David Archer n'a rien d'inquiétant. Après quatre mois d'absence, tout laisse penser qu'il a volontairement quitté le domicile familial pour refaire sa vie à Londres. L'affaire est classée sans suite. Mais pour Jeffrey, son fils de 13 ans, la police fait fausse route. Son père lui avait promis de revenir à temps pour assister à l'entrée en ville de la Reine et il n'a jamais manqué à sa parole. S'il n'est pas revenu, c'est qu'il lui est arrivé quelque chose. D'ailleurs, il se souvient que la veille de son départ, son père avait évoqué une mission mystérieuse. Et si c'était un agent secret ? Et s'il était retenu en otage quelque part ? C'est décidé, puisqu'il ne peut pas compter sur les adultes, il mènera sa propre enquête accompagné de son chien Sherlock ! Critique : Je vous avais parlé des éditions Kennes durant les vacances via leur offre promotionelle deux acheté un offert. Et j'avais eu le tord, après lecture de ce Lord Jeffrey, de dire que ces éditions faisaient exclusivement des BD pour jeunes filles. Car ce Lord Jeffery est une vraie Excellente BD pour tous. Deja le maquettage de l'album est magnifique. Les "dorures" extérieures mais aussi l'album entier, sont somptueusement réalisées. Et cerise sur le gâteau, l’intérieur vaux autant le détour que l'extérieur. Lord Jeffrey c'est une aventure jeunesse comme on en trouve peu. En effet on se croirait dans une aventure à mi chemin entre le club des 5 et un roman d'Agatha Christie. Une BD qui ne prend pas le jeune lecteur pour un gamin non a même de comprendre une intrigue un peu complexe. Il y a un jeune héros tous sauf bête, un père mystérieux, une organisation secrète, un campus étrange et ,surtout, une construction du mystère superbement efficace ! On se délecte d’être mené par le bout du nez par notre scénariste du début à la fin. Comme dans un Hercule Poirot on essaye de rassembler tous les petits indices pour comprendre, comme le fait Jeffrey, l'ensemble du mystère qui plane autour du père. Une vraie petite pépite dont la suite arrive la 21 Octobre ! Chouette 🙂 Autres infos : Editions kennes Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/lord-jeffrey-tome-1-le-train-de-16h54?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. poseidon2

    Yasmina t1 Master classe

    Le retour de Yasmina ! Apres avoir vaincu bravement les mangeurs de patates, elle a le droit à sa propre série ! La voilà en quête d'un nouveau Graal : instaurer des cours de cuisine/bien manger dans son collège ! Rien de moins que toucher au Roi Burger des collégiens ! Entre critique de la mal bouffe et de l'absence (même si ça dépend des collèges, hein ) de réactions des instances, Mannaert nous reviens avec une Yasmina plus motivée que jamais. Pour ne pas sombrer dans l'extrémisme à fond, notre auteur ajoute à ce tome les problèmes de travail du père de Yasmina. Et heureusement car si on a vite fait le tour de la croisade de notre jeune chef, la réorientation du père est, elle, extrêmement savoureuse avec des gags très sympa et des personnages secondaires haut en couleurs. Un ensemble qui fait de Yasmina une lecture à la fois intéressante, pertinente et marrante. A lire et à faire lire !
  19. Titre de l'album : Yasmina t1 Master classe Scenariste de l'album : Mannaert Dessinateur de l'album : Mannaert Coloriste : Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Alarmée par les habitudes alimentaires des élèves et l'inertie de l'école en matière d'écologie, Yasmina a décidé d'agir ! Elle s'est donné pour mission de remplacer une heure d'anglais par un cours de cuisine et une heure de mathématiques par une initiation au jardinage. Pour ce faire, il lui faut réunir cinquante signatures sur sa pétition. Une mission quasiment impossible au vu du manque d'intérêt de ses camarades pour l'environnement... De son côté, Omran, le papa de Yasmina, apprend que la friterie dans laquelle il travaille doit mettre la clé sous la porte. Un véritable coup dur pour ce père célibataire. Aidé par ses amis, Cyril, Marco et Amaryllis, il ne se laisse toutefois pas abattre et décide de lancer son propre commerce ambulant. Au menu : nems végétariens, fromage de chèvre et miel, gaufres aux légumes... Malheureusement, aucune de ces innovations culinaires ne rencontre son public. Le monde ne semble définitivement pas prêt pour le changement d'alimentation... Si bien que Yasmina et son papa vont devoir jongler entre ruse et créativité pour changer les mentalités ! Une nouvelle série aussi trépidante que colorée, menée fourneaux battants par une héroïne aux préoccupations actuelles. Critique : Le retour de Yasmina ! Apres avoir vaincu bravement les mangeurs de patates, elle a le droit à sa propre série ! La voilà en quête d'un nouveau Graal : instaurer des cours de cuisine/bien manger dans son collège ! Rien de moins que toucher au Roi Burger des collégiens ! Entre critique de la mal bouffe et de l'absence (même si ça dépend des collèges, hein ) de réactions des instances, Mannaert nous reviens avec une Yasmina plus motivée que jamais. Pour ne pas sombrer dans l'extrémisme à fond, notre auteur ajoute à ce tome les problèmes de travail du père de Yasmina. Et heureusement car si on a vite fait le tour de la croisade de notre jeune chef, la réorientation du père est, elle, extrêmement savoureuse avec des gags très sympa et des personnages secondaires haut en couleurs. Un ensemble qui fait de Yasmina une lecture à la fois intéressante, pertinente et marrante. A lire et à faire lire ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/yasmina-tome-1-master-classe?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. alx23

    Tomahawk

    Titre de l'album : Tomahawk Scenariste de l'album : Patrick Prugne Dessinateur de l'album : Patrick Prugne Coloriste : Patrick Prugne Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : L’histoire d’une vengeance mettant en scène un homme et un grizzly, avec en toile de fond un tournant de l’Histoire Nord-Américaine. En 1756, la France se trouve au coeur d’un conflit majeur qui embrase toute l’Europe et qui l’oppose à la Prusse et à l’Angleterre, son ennemi héréditaire. C’est la guerre de sept ans. Pour les colonies françaises du Nouveau Monde, cette guerre a commencé dès 1754. Les sujets du roi George portent sans relâche l’escarmouche contre les forts français dressés sur leur frontière de l’Ouest. La bataille de Fort Carillon eut lieu au sud du lac Champlain, entre ce dernier et le lac George. Ces deux lacs séparaient la colonie britannique de New York de la colonie française du Canada (Nouvelle-France). L’histoire de Tomahawk débute un mois avant cette bataille et s’achève au moment de l’attaque. Nous suivons Jean Malavoy, jeune milicien, dans un combat contre un gigantesque grizzly... Critique : Patrick Prugne continue ses récits d'aventure sur le nouveau continent au XVIIIème siècle, avec des tribus amérindiennes même si cette fois c'est un soldat français qui est héros de l'histoire. Les scénarios de Prugne sont assez basiques en général et manquent de profondeur mais on se laisse vite prendre au jeu. On suit la chasse à l'ours d'un soldat qui veut se venger alors qu'il est lui-même poursuivit par des soldats anglais accompagnés de Mohawks. Avec Tomahawk, on se retrouve contemplatif des magnifiques planches de Prugne qui nous plonge dans son univers réaliste et historique avec le démarrage de la guerre de sept ans entre les anglais et français. L'album se termine sur plusieurs pages d'esquisses, de recherches graphique et autres illustrations ainsi que quelques explications de l'auteur pour ses influences. Tomahawk est la sixième bande dessinée sur les amérindiens et l’Amérique du nord depuis Canöe Bay. Les dessins et peintures de Prugne gagnent en qualité et c’est toujours avec beaucoup plaisir que je découvre ses nouveaux albums. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/tomahawk/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. poseidon2

    Le jour ou la nuit s'est levée

    Je vais commencer par dire que je suis plutôt client des "Le jour où..." et de ses thèmes qui tournent autour du questionnement intérieur. J'avais donc vraiment hâte de livre ce tome ci, qui ressemblait à une "conclusion" avec différents personnages vu précédemment qui se retrouvent. Et bien.... j'ai été déçu. Déçu car j'ai trouvé, en tant que papa de 3 enfants, ce tome trop à charge sur les parents. Il sort de cet album qu'il n'y a pas de bons parents. Sans jamais prendre en compte le coté de l'adulte, Beka nous livre une série d'enfance difficile mais vu du point de vue de l'ancien enfant qui fait son auto psychanalyse La partie qui m'a le plus choqué est l’affirmation comme quoi il n'y a pas de famille où les gens s'aiment et où tout va bien. Dire que cela induit forcement de se voiler la face c'est super dur comme affirmation. En effet cela montre un coté très sombre de la famille qui ne montre pas qu'une famille (un groupe en général) c'est une sommes de personnes qui font des compromis. Enfants comme parents bien entendu. Je suis surpris de l'analyse de Beka sur le sujet. Tout montre dans ce récit qu'on est que mieux tout seul sans personne. Alors même que, sans être parents, être en couple est la plus grande preuve de l'existence du compromis. Sans compromis d’aucun membre, dans une famille, on aurait une somme d’égoïsme qui tournerait au drame. Et je pense que Beka s'en est rendu compte en faisant une conclusion qui va à l'encontre de la diatribe anti famille qu'est le début d'album. Mais cette conclusion ne suffit pas, pour moi, à contrebalancer le reste de l'album. On ne parle jamais du côté des parents débordés, en dépressions ou encore du point de vue des parents qui, par des fait de vie, ne s’entendent plus et dont leur côté égoïste/enfantin (on boucle J ) reprend le dessus ce qui amène à l’explosion de la famille (enfants y compris). Bref je trouve cette analyse vraiment trop simpliste et j’avoue que je suis étonné que Beka se soit contenté de cela. Si Beka est de passage sur le net, j'aimerai son éclaircissement sur la question 🙂
  22. Titre de l'album : Le jour ou la nuit s'est levée Scenariste de l'album : Beka Dessinateur de l'album : Marko Coloriste : Maëla Cosson Editeur de l'album : Bamboo Note : Résumé de l'album : Une "feel good" BD pleine d'optimisme ! L'hiver, en fin de journée... Une tempête de froid et de neige s'abat sur Paris, bloquant plusieurs personnes dans la librairie de Clémentine. Dont Guillaume et Naori, maintenant installés dans la capitale, ainsi que Chantal l'écrivaine. Cette bulle de temps imprévue sera l'occasion pour chacun de faire remonter ses souvenirs d'enfance, de réfléchir au poids de l'héritage familial, de l'éducation qu'il a reçue, à l'influence de ses parents et de sa famille sur sa vie et ses choix... Jusqu'à ce que la tempête se calme et que la nuit se lève sur un nouveau jour... et peut-être une nouvelle façon de voir et de mener sa vie. Critique : Je vais commencer par dire que je suis plutôt client des "Le jour où..." et de ses thèmes qui tournent autour du questionnement intérieur. J'avais donc vraiment hâte de livre ce tome ci, qui ressemblait à une "conclusion" avec différents personnages vu précédemment qui se retrouvent. Et bien.... j'ai été déçu. Déçu car j'ai trouvé, en tant que papa de 3 enfants, ce tome trop à charge sur les parents. Il sort de cet album qu'il n'y a pas de bons parents. Sans jamais prendre en compte le coté de l'adulte, Beka nous livre une série d'enfance difficile mais vu du point de vue de l'ancien enfant qui fait son auto psychanalyse La partie qui m'a le plus choqué est l’affirmation comme quoi il n'y a pas de famille où les gens s'aiment et où tout va bien. Dire que cela induit forcement de se voiler la face c'est super dur comme affirmation. En effet cela montre un coté très sombre de la famille qui ne montre pas qu'une famille (un groupe en général) c'est une sommes de personnes qui font des compromis. Enfants comme parents bien entendu. Je suis surpris de l'analyse de Beka sur le sujet. Tout montre dans ce récit qu'on est que mieux tout seul sans personne. Alors même que, sans être parents, être en couple est la plus grande preuve de l'existence du compromis. Sans compromis d’aucun membre, dans une famille, on aurait une somme d’égoïsme qui tournerait au drame. Et je pense que Beka s'en est rendu compte en faisant une conclusion qui va à l'encontre de la diatribe anti famille qu'est le début d'album. Mais cette conclusion ne suffit pas, pour moi, à contrebalancer le reste de l'album. On ne parle jamais du côté des parents débordés, en dépressions ou encore du point de vue des parents qui, par des fait de vie, ne s’entendent plus et dont leur côté égoïste/enfantin (on boucle J ) reprend le dessus ce qui amène à l’explosion de la famille (enfants y compris). Bref je trouve cette analyse vraiment trop simpliste et j’avoue que je suis étonné que Beka se soit contenté de cela. Si Beka est de passage sur le net, j'aimerai son éclaircissement sur la question 🙂 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-jour-ou-tome-5-la-nuit-s-est-levee?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. Titre de l'album : Dylan Dog : Le point de vue des Zombies Scenariste de l'album : Tiziano Sclavi Dessinateur de l'album : Gigi Cavenago Coloriste : Gigi Cavenago Editeur de l'album : Mosquito Note : Résumé de l'album : Dylan Dog achète chez un antiquaire un bien étrange livre qui prédit l'avenir... Quelques contes fantastiques avec des zombies aux couleurs pimpantes : l'horreur en Technicolor ! Notre détective du mystère va vivre une bien étrange aventure. De celles où on ne sait plus ce qui est réel ou fantasmé. Il craque complètement pour un étrange grimoire chez un bouquiniste. La lecture de ce dernier est une succession de révélations sur notre monde et sur celui d'outre-tombe. Dylan Dog parviendra-t-il à différencier la réalité des apparences ? Critique : Avec le point de vue des zombies on arrive au cinquième épisode la série Dylan Dog aux éditions Mosquito. Comme pour les précédents, on retrouve une nouvelle équipe artistique avec Tiziano Sclavi et Gigi Cavenago qui se chargent d'un tome qui regroupe quelques histoires courtes autour de Dylan Dog. L'ambiance est fantastique avec une touche horrifique comme souvent, avec des zombies, de la magie et de l'ésotérisme. Dylan dog ne participe pas à toutes les histoires courtes de ce recueil de 70 pages. La partie graphique est très originale et apporte énormément au titre. Les dessins sont dans un style réaliste avec une mise en couleur très colorée et des couleurs flashy pour un rendu de qualité. Le démarrage du point de vue des zombies est très impressionnant graphiquement, sans parole avec Dylan qui extermine quelques zombies en costard dans un cimetière. Dommage que l'histoire principale ne dure pas plus de page, même si la fin reste ouverte pour une suite plus tard. Les amateurs de la série s'y retrouveront avec ce tome et les autres pourront découvrir la série comme il n'est pas nécessaire de connaitre les premiers tomes qui sont des histoires indépendantes. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/dylan-dog-tome-5-le-point-de-vue-des-zombies/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. poseidon2

    Après le monde

    En voilà un véritable coup de cœur.... graphique. Vraiment. Une énorme claque tant pas les décors que part ces personnages dont les sentiments transpirent comme rarement et qu'on a envie de suivre et de soutenir tout au long de l'album. Et la coloration n'est pas en reste avec une gestion des ombrages qui est somptueuse et qui rend l'atmosphère post apocalyptique palpable. Mais pourquoi cette BD n'a-t-elle pas de petit cœur devant elle alors ? Et bien (et j'ai hésité) parce que la fin m'a légèrement déçue. Non pas qu'elle ne soit pas belle. Non juste parce qu'elle, comme beaucoup trop d'album en ce moment, laisse au lecteur imaginer sa fin. Très peu directive elle évite un certain nombre de réponses et, sous couvert de faire travailler notre imaginaire, se défausse du risque de trouver une vraie réponse aux questions que l'on se pose. Si j'aime bien les fin ouverte qui nous font réfléchir, quand cela l'est trop on a quasiment l'impression que l'auteur lui-même ne savait pas vraiment conclure. Et cela vaut malheureusement la perte d'un coup de cœur pour une BD qui reste néanmoins superbe visuellement et porteuse d'une belle histoire.
  25. poseidon2

    Après le monde

    Titre de l'album : Après le monde Scenariste de l'album : Timothée Leman Dessinateur de l'album : Timothée Leman Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : La vie d'Héli est simple et gaie au sein de sa famille aimante et dans sa ville calme. Un jour, une tour de lumière blanche apparaît dans la cité. A partir de ce moment, tous ses habitants disparaissent peu à peu, jusqu'au père et à la sœur d'Heli. Celui-ci est le dernier survivant et n'a d'autre choix que d'aller voir cette tour pour comprendre ce qui se passe. Critique : En voilà un véritable coup de cœur.... graphique. Vraiment. Une énorme claque tant pas les décors que part ces personnages dont les sentiments transpirent comme rarement et qu'on a envie de suivre et de soutenir tout au long de l'album. Et la coloration n'est pas en reste avec une gestion des ombrages qui est somptueuse et qui rend l'atmosphère post apocalyptique palpable. Mais pourquoi cette BD n'a-t-elle pas de petit cœur devant elle alors ? Et bien (et j'ai hésité) parce que la fin m'a légèrement déçue. Non pas qu'elle ne soit pas belle. Non juste parce qu'elle, comme beaucoup trop d'album en ce moment, laisse au lecteur imaginer sa fin. Très peu directive elle évite un certain nombre de réponses et, sous couvert de faire travailler notre imaginaire, se défausse du risque de trouver une vraie réponse aux questions que l'on se pose. Si j'aime bien les fin ouverte qui nous font réfléchir, quand cela l'est trop on a quasiment l'impression que l'auteur lui-même ne savait pas vraiment conclure. Et cela vaut malheureusement la perte d'un coup de cœur pour une BD qui reste néanmoins superbe visuellement et porteuse d'une belle histoire. Autres infos : Edition Sarbacane Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : http://www.bdfugue.com/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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