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  1. Titre de l'album : Reperes tome 2 - 2000 nouveaux dessins pour comprendre le monde Scenariste de l'album : Jochen Gerner Dessinateur de l'album : Jochen Gerner Coloriste : Editeur de l'album : Casterman Note : Résumé de l'album : Un 2e volume des planches de la rubrique phare de l'hebdo le 1 ! Depuis le tout premier numéro de l'hebdo le 1, à travers ses planches de Repères, Jochen Gerner multiplie les trouvailles et parvient avec humour et concision à nous raconter l'économie, l'histoire, la France, l'Europe, le monde, les sciences... la vie. Sa plume est sûre, sa ligne claire et son encre indélébile. Ce deuxième recueil rassemble de nouvelles planches qui éclairent avec pédagogie et malice l'actualité récente. Critique : Un nouveau livre de référence pour les toilettes !!! Cool ! Sans blague ce n'est absolument pas une insulte pour moi. Loin de Là. Cela décrit juste des lectures qui prennent moins de 5 minutes et qui sont autonomes. Et c'est exactement le cas de ce Repères. Il nous livre des explications rapides et intéressantes sur le monde en générale. Différents sujets sans aucun lien entre eux mais qui sont expliqués rapidement (2 petites pages avec les dessins) et rendent certaines informations accessibles aux plus grands nombres. Par des explications historiques il permet aussi, rapidement donc, de mieux comprendre certains enjeux actuels. Une vraie mine d'information qui se distille au rythme d'un ou deux par jour pour ne pas être en overdose d'informations. Certains diraient que c'est une BD pour préparer le café entre collègues et ils n'auraient pas tort. Moi je préfère le terme de BD de toilette. Car vu le temps qu'on y passe sur toute une vie, ça en fait les albums les plus ouvert de toute bibliothèque. . Autres infos : La nouvelle référence du petit coin Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/reperes-2000-nouveaux-dessins-pour-comprendre-le-monde-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. Le retour de Barbe rouge. Je vais être honnête, c''est pour moi le retour des BDs que je lisais chez mes grands-parents. Les BDs de mon papa. Les couvertures souples, les lectures de vacances, les odeurs de poussière et une nostalgie qui monte rien qu'à y penser. C'est donc une critique pas complètement neutre que je vais faire. Car il est difficile de séparer ses souvenirs de cette lecture. Surtout que mon bilan de cette lecture serait que nos auteurs on "trop bien fait" leur travail. En effet on s'y croirait. On se croirait vraiment dans une aventure de barbe rouge. On y retrouve le caractère fort en gueule de notre pirate, son envie d’aventure mais aussi le classicisme des BDs d'autres fois. Ce classicisme n'enlève aux qualités de l'aventure qui reste une vraie aventure de pirate mais elle tranche un peu avec ouvrage plus récent sur le sujet. Mais c'est aussi ce côté classique qui a fait ressortir mes souvenirs de jeunesse et m'a offert un bon moment de lecture, en-plein d’une belle nostalgie. En bref, porté par un dessin très sympa, ce barbe rouge ravira les fans de récit de pirate et les fans des premiers barbe rouge mais aura peut-être plus de mal à convaincre de plus jeunes (et nouveaux) lecteurs. PS: j'ai essayé avec ma fille de 12 ans, ça n'a pas marché 😞
  3. Titre de l'album : Les nouvelles aventures de Barbe rouge t1 : pendu haut au court Scenariste de l'album : Jean-Charles Kraehn Dessinateur de l'album : Stefano Carloni Coloriste : Stefano Carloni Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : À présent corsaires du Roy, Barbe-Rouge, Éric, Baba et Triple-Patte partent en chasse du « Spectre », un mystérieux pirate qui rançonne les planteurs de Pamticoe Sound. Une course mortelle s'engage contre un adversaire machiavélique... Entre hommage respectueux aux créateurs, Jean-Michel Charlier et Victor Hubinon, et nécessaire actualisation du mythe, Jean-Charles Kraehn et Stefano Carloni signent un retour fracassant du plus célèbre pirate de la BD franco-belge dans ce premier tome d'un diptyque ! Critique : Le retour de Barbe rouge. Je vais être honnête, c''est pour moi le retour des BDs que je lisais chez mes grands-parents. Les BDs de mon papa. Les couvertures souples, les lectures de vacances, les odeurs de poussière et une nostalgie qui monte rien qu'à y penser. C'est donc une critique pas complètement neutre que je vais faire. Car il est difficile de séparer ses souvenirs de cette lecture. Surtout que mon bilan de cette lecture serait que nos auteurs on "trop bien fait" leur travail. En effet on s'y croirait. On se croirait vraiment dans une aventure de barbe rouge. On y retrouve le caractère fort en gueule de notre pirate, son envie d’aventure mais aussi le classicisme des BDs d'autres fois. Ce classicisme n'enlève aux qualités de l'aventure qui reste une vraie aventure de pirate mais elle tranche un peu avec ouvrage plus récent sur le sujet. Mais c'est aussi ce côté classique qui a fait ressortir mes souvenirs de jeunesse et m'a offert un bon moment de lecture, en-plein d’une belle nostalgie. En bref, porté par un dessin très sympa, ce barbe rouge ravira les fans de récit de pirate et les fans des premiers barbe rouge mais aura peut-être plus de mal à convaincre de plus jeunes (et nouveaux) lecteurs. PS: j'ai essayé avec ma fille de 12 ans, ça n'a pas marché 😞 Autres infos : Le retour de barbe rouge ! Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-nouvelles-aventures-de-barbe-rouge-pendu-haut-et-court?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. poseidon2

    l'oiseau rare t1

    Voilà une BD qui correspond parfaitement à sa maison d'édition : la bd comme au cinéma. Car cet Oiseau Rare est une vraie histoire de cinéma. Un scénario robuste ni trop ambitieux ni trop déluré. Une mise en image superbe avec des belles vue de la capitale à une époque où le béton ne régnait pas en maître partout. Des personnages attachant qui portent une histoire dramatique et un premier tome qui énonce encore un peu plus nos amis avant, on s'en doute, une belle remontée dans le tome suivant. On se croirait au cinéma devant un drame d'époque dont l'on sait pertinemment qu'il finira bien mais qui nous fait vibrer quand même pour ses personnages. L'oiseau rare c'est tout cela mais porté en plus par le dessin toujours très beau. d'Eric Stalner L'oiseau rare c'est donc une réussite pour tous ceux qui ne sont pas à la recherche d'originalité.
  5. Titre de l'album : l'oiseau rare t1 Scenariste de l'album : Cédric SIMON Dessinateur de l'album : Eric Stalner Coloriste : Florence FANTINI Editeur de l'album : Grand Angle Note : Résumé de l'album : Ils sont prêts à toutes les combines pour atteindre leur rêve. Dans ce bidonville parisien, au milieu du petit peuple chassé par la spéculation immobilière, vit Eugénie et sa bande : le vieil Arthur, Tibor, l'ancien dompteur hongrois et les deux frères, Constantin et Lucien. Le ciment de cette famille, c'est Eugénie qui les entraîne dans son rêve fou de reconstruire L'Oiseau rare, le cabaret de son grand-père. Pour cela, chanter dans les rues ne suffit pas. C'est un prétexte pour attirer les bourgeois aux bourses pleines. Vols et filouteries sont leurs véritables activités. Mais les combines de plus en plus risquées, les problèmes avec les apaches et la police vont précipiter le petit groupe dans une spirale dangereuse. Critique : Voilà une BD qui correspond parfaitement à sa maison d'édition : la bd comme au cinéma. Car cet Oiseau Rare est une vraie histoire de cinéma. Un scénario robuste ni trop ambitieux ni trop déluré. Une mise en image superbe avec des belles vue de la capitale à une époque où le béton ne régnait pas en maître partout. Des personnages attachant qui portent une histoire dramatique et un premier tome qui énonce encore un peu plus nos amis avant, on s'en doute, une belle remontée dans le tome suivant. On se croirait au cinéma devant un drame d'époque dont l'on sait pertinemment qu'il finira bien mais qui nous fait vibrer quand même pour ses personnages. L'oiseau rare c'est tout cela mais porté en plus par le dessin toujours très beau. d'Eric Stalner L'oiseau rare c'est donc une réussite pour tous ceux qui ne sont pas à la recherche d'originalité. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-oiseau-rare-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. Apres deux superbes albums sur le Vendée Globe (Histoire du vendée globe et Seul autour du monde), Arnaud Garreta et Alexandre Chenet nous livre un nouvel album sur les marins et leurs univers. Cette fois il est question de Thomas Coville pour rien de moins que son record du tour du monde à la voile en solitaire. 49 neufs jours passés tout seul sur son bateau. 49 jours de mers differentes, de météos capricieuses et de choix tactiques et techniques pour réussir l'impossible : Un tour du monde en moins de 50 jours ! On retrouve avec enormement de plaisir les dessins et la coloration de Arnaud Garreta. Il reussit comme peut de monde à retranscrire aussi bien la beauté de la mer que sa complexité et ses dangers.Il nous fait vivre au jour le jours les désillusions, les joies et les frayeurs de Thomas Coville. Le petit changement sur cet album ci est la part belle donnée à l'équipe de suivit et à l'importance de ces personnes, tant au niveau preparation que suivit psycologique et technique.On y découvre une vraie relation de confiance entre le skipper et son équipe. Une vraie et belle aventure qui fait rêver son lecteur et l'emmenant la ou il ne pourrait aller. Il est a noter sur cet album ci que nos auteurs consacrent une partie de l'album sur la course aux évolutions technologiques des bateaux et sur l'ambitions des skipper à creer une course autour du monde. Cela ajoute un coté plus complet au métier de skipper avec la partie "conception de bateau" / planification/ entrainement en plus de la course elle meme. Une BD pour tous les aventuriers du quotidien !
  7. Titre de l'album : A bord avec thomas Coville - la quete ultime Scenariste de l'album : Chenet Alexandre Dessinateur de l'album : Garreta Arnaud Coloriste : Garreta Arnaud Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Après avoir signé deux albums sur le Vendée Globe, Alexandre Chenet et Renaud Garreta ont suivi pendant plusieurs années Thomas Coville, l'un des plus grands skippers au monde et tentent de comprendre « ce qui peut se passer dans la tête d'un marin », notamment lors du tour du monde en solitaire record de 2016, engagé à bord d'un trimaran géant dans une quête d'ultime. Une bande dessinée qui se présente comme un documentaire passionnant et qui paraîtra à une période où l'actualité voile battra son plein avec des tentatives de Trophée Jules Verne et une nouvelle édition du Vendée Globe. Cet ouvrage s'adresse à tous les publics amoureux d'aventure et désireux de mieux comprendre cette formidable aventure humaine, technologique et sportive. Critique : Apres deux superbes albums sur le Vendée Globe (Histoire du vendée globe et Seul autour du monde), Arnaud Garreta et Alexandre Chenet nous livre un nouvel album sur les marins et leurs univers. Cette fois il est question de Thomas Coville pour rien de moins que son record du tour du monde à la voile en solitaire. 49 neufs jours passés tout seul sur son bateau. 49 jours de mers differentes, de météos capricieuses et de choix tactiques et techniques pour réussir l'impossible : Un tour du monde en moins de 50 jours ! On retrouve avec enormement de plaisir les dessins et la coloration de Arnaud Garreta. Il reussit comme peut de monde à retranscrire aussi bien la beauté de la mer que sa complexité et ses dangers.Il nous fait vivre au jour le jours les désillusions, les joies et les frayeurs de Thomas Coville. Le petit changement sur cet album ci est la part belle donnée à l'équipe de suivit et à l'importance de ces personnes, tant au niveau preparation que suivit psycologique et technique.On y découvre une vraie relation de confiance entre le skipper et son équipe. Une vraie et belle aventure qui fait rêver son lecteur et l'emmenant la ou il ne pourrait aller. Il est a noter sur cet album ci que nos auteurs consacrent une partie de l'album sur la course aux évolutions technologiques des bateaux et sur l'ambitions des skipper à creer une course autour du monde. Cela ajoute un coté plus complet au métier de skipper avec la partie "conception de bateau" / planification/ entrainement en plus de la course elle meme. Une BD pour tous les aventuriers du quotidien ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/a-bord-avec-thomas-coville-la-quete-de-l-ultime?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. poseidon2

    Rattrapage : Lord Jeffrey

    Je vous avais parlé des éditions Kennes durant les vacances via leur offre promotionelle deux acheté un offert. Et j'avais eu le tord, après lecture de ce Lord Jeffrey, de dire que ces éditions faisaient exclusivement des BD pour jeunes filles. Car ce Lord Jeffery est une vraie Excellente BD pour tous. Deja le maquettage de l'album est magnifique. Les "dorures" extérieures mais aussi l'album entier, sont somptueusement réalisées. Et cerise sur le gâteau, l’intérieur vaux autant le détour que l'extérieur. Lord Jeffrey c'est une aventure jeunesse comme on en trouve peu. En effet on se croirait dans une aventure à mi chemin entre le club des 5 et un roman d'Agatha Christie. Une BD qui ne prend pas le jeune lecteur pour un gamin non a même de comprendre une intrigue un peu complexe. Il y a un jeune héros tous sauf bête, un père mystérieux, une organisation secrète, un campus étrange et ,surtout, une construction du mystère superbement efficace ! On se délecte d’être mené par le bout du nez par notre scénariste du début à la fin. Comme dans un Hercule Poirot on essaye de rassembler tous les petits indices pour comprendre, comme le fait Jeffrey, l'ensemble du mystère qui plane autour du père. Une vraie petite pépite dont la suite arrive la 21 Octobre ! Chouette 🙂
  9. Titre de l'album : Rattrapage : Lord Jeffrey Scenariste de l'album : Henberg Dessinateur de l'album : Hamo Coloriste : Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : Édimbourg, 1958. Pour Scotland Yard, la disparition de David Archer n'a rien d'inquiétant. Après quatre mois d'absence, tout laisse penser qu'il a volontairement quitté le domicile familial pour refaire sa vie à Londres. L'affaire est classée sans suite. Mais pour Jeffrey, son fils de 13 ans, la police fait fausse route. Son père lui avait promis de revenir à temps pour assister à l'entrée en ville de la Reine et il n'a jamais manqué à sa parole. S'il n'est pas revenu, c'est qu'il lui est arrivé quelque chose. D'ailleurs, il se souvient que la veille de son départ, son père avait évoqué une mission mystérieuse. Et si c'était un agent secret ? Et s'il était retenu en otage quelque part ? C'est décidé, puisqu'il ne peut pas compter sur les adultes, il mènera sa propre enquête accompagné de son chien Sherlock ! Critique : Je vous avais parlé des éditions Kennes durant les vacances via leur offre promotionelle deux acheté un offert. Et j'avais eu le tord, après lecture de ce Lord Jeffrey, de dire que ces éditions faisaient exclusivement des BD pour jeunes filles. Car ce Lord Jeffery est une vraie Excellente BD pour tous. Deja le maquettage de l'album est magnifique. Les "dorures" extérieures mais aussi l'album entier, sont somptueusement réalisées. Et cerise sur le gâteau, l’intérieur vaux autant le détour que l'extérieur. Lord Jeffrey c'est une aventure jeunesse comme on en trouve peu. En effet on se croirait dans une aventure à mi chemin entre le club des 5 et un roman d'Agatha Christie. Une BD qui ne prend pas le jeune lecteur pour un gamin non a même de comprendre une intrigue un peu complexe. Il y a un jeune héros tous sauf bête, un père mystérieux, une organisation secrète, un campus étrange et ,surtout, une construction du mystère superbement efficace ! On se délecte d’être mené par le bout du nez par notre scénariste du début à la fin. Comme dans un Hercule Poirot on essaye de rassembler tous les petits indices pour comprendre, comme le fait Jeffrey, l'ensemble du mystère qui plane autour du père. Une vraie petite pépite dont la suite arrive la 21 Octobre ! Chouette 🙂 Autres infos : Editions kennes Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/lord-jeffrey-tome-1-le-train-de-16h54?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. poseidon2

    Yasmina t1 Master classe

    Le retour de Yasmina ! Apres avoir vaincu bravement les mangeurs de patates, elle a le droit à sa propre série ! La voilà en quête d'un nouveau Graal : instaurer des cours de cuisine/bien manger dans son collège ! Rien de moins que toucher au Roi Burger des collégiens ! Entre critique de la mal bouffe et de l'absence (même si ça dépend des collèges, hein ) de réactions des instances, Mannaert nous reviens avec une Yasmina plus motivée que jamais. Pour ne pas sombrer dans l'extrémisme à fond, notre auteur ajoute à ce tome les problèmes de travail du père de Yasmina. Et heureusement car si on a vite fait le tour de la croisade de notre jeune chef, la réorientation du père est, elle, extrêmement savoureuse avec des gags très sympa et des personnages secondaires haut en couleurs. Un ensemble qui fait de Yasmina une lecture à la fois intéressante, pertinente et marrante. A lire et à faire lire !
  11. Titre de l'album : Yasmina t1 Master classe Scenariste de l'album : Mannaert Dessinateur de l'album : Mannaert Coloriste : Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Alarmée par les habitudes alimentaires des élèves et l'inertie de l'école en matière d'écologie, Yasmina a décidé d'agir ! Elle s'est donné pour mission de remplacer une heure d'anglais par un cours de cuisine et une heure de mathématiques par une initiation au jardinage. Pour ce faire, il lui faut réunir cinquante signatures sur sa pétition. Une mission quasiment impossible au vu du manque d'intérêt de ses camarades pour l'environnement... De son côté, Omran, le papa de Yasmina, apprend que la friterie dans laquelle il travaille doit mettre la clé sous la porte. Un véritable coup dur pour ce père célibataire. Aidé par ses amis, Cyril, Marco et Amaryllis, il ne se laisse toutefois pas abattre et décide de lancer son propre commerce ambulant. Au menu : nems végétariens, fromage de chèvre et miel, gaufres aux légumes... Malheureusement, aucune de ces innovations culinaires ne rencontre son public. Le monde ne semble définitivement pas prêt pour le changement d'alimentation... Si bien que Yasmina et son papa vont devoir jongler entre ruse et créativité pour changer les mentalités ! Une nouvelle série aussi trépidante que colorée, menée fourneaux battants par une héroïne aux préoccupations actuelles. Critique : Le retour de Yasmina ! Apres avoir vaincu bravement les mangeurs de patates, elle a le droit à sa propre série ! La voilà en quête d'un nouveau Graal : instaurer des cours de cuisine/bien manger dans son collège ! Rien de moins que toucher au Roi Burger des collégiens ! Entre critique de la mal bouffe et de l'absence (même si ça dépend des collèges, hein ) de réactions des instances, Mannaert nous reviens avec une Yasmina plus motivée que jamais. Pour ne pas sombrer dans l'extrémisme à fond, notre auteur ajoute à ce tome les problèmes de travail du père de Yasmina. Et heureusement car si on a vite fait le tour de la croisade de notre jeune chef, la réorientation du père est, elle, extrêmement savoureuse avec des gags très sympa et des personnages secondaires haut en couleurs. Un ensemble qui fait de Yasmina une lecture à la fois intéressante, pertinente et marrante. A lire et à faire lire ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/yasmina-tome-1-master-classe?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. alx23

    Tomahawk

    Titre de l'album : Tomahawk Scenariste de l'album : Patrick Prugne Dessinateur de l'album : Patrick Prugne Coloriste : Patrick Prugne Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : L’histoire d’une vengeance mettant en scène un homme et un grizzly, avec en toile de fond un tournant de l’Histoire Nord-Américaine. En 1756, la France se trouve au coeur d’un conflit majeur qui embrase toute l’Europe et qui l’oppose à la Prusse et à l’Angleterre, son ennemi héréditaire. C’est la guerre de sept ans. Pour les colonies françaises du Nouveau Monde, cette guerre a commencé dès 1754. Les sujets du roi George portent sans relâche l’escarmouche contre les forts français dressés sur leur frontière de l’Ouest. La bataille de Fort Carillon eut lieu au sud du lac Champlain, entre ce dernier et le lac George. Ces deux lacs séparaient la colonie britannique de New York de la colonie française du Canada (Nouvelle-France). L’histoire de Tomahawk débute un mois avant cette bataille et s’achève au moment de l’attaque. Nous suivons Jean Malavoy, jeune milicien, dans un combat contre un gigantesque grizzly... Critique : Patrick Prugne continue ses récits d'aventure sur le nouveau continent au XVIIIème siècle, avec des tribus amérindiennes même si cette fois c'est un soldat français qui est héros de l'histoire. Les scénarios de Prugne sont assez basiques en général et manquent de profondeur mais on se laisse vite prendre au jeu. On suit la chasse à l'ours d'un soldat qui veut se venger alors qu'il est lui-même poursuivit par des soldats anglais accompagnés de Mohawks. Avec Tomahawk, on se retrouve contemplatif des magnifiques planches de Prugne qui nous plonge dans son univers réaliste et historique avec le démarrage de la guerre de sept ans entre les anglais et français. L'album se termine sur plusieurs pages d'esquisses, de recherches graphique et autres illustrations ainsi que quelques explications de l'auteur pour ses influences. Tomahawk est la sixième bande dessinée sur les amérindiens et l’Amérique du nord depuis Canöe Bay. Les dessins et peintures de Prugne gagnent en qualité et c’est toujours avec beaucoup plaisir que je découvre ses nouveaux albums. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/tomahawk/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. poseidon2

    Le jour ou la nuit s'est levée

    Je vais commencer par dire que je suis plutôt client des "Le jour où..." et de ses thèmes qui tournent autour du questionnement intérieur. J'avais donc vraiment hâte de livre ce tome ci, qui ressemblait à une "conclusion" avec différents personnages vu précédemment qui se retrouvent. Et bien.... j'ai été déçu. Déçu car j'ai trouvé, en tant que papa de 3 enfants, ce tome trop à charge sur les parents. Il sort de cet album qu'il n'y a pas de bons parents. Sans jamais prendre en compte le coté de l'adulte, Beka nous livre une série d'enfance difficile mais vu du point de vue de l'ancien enfant qui fait son auto psychanalyse La partie qui m'a le plus choqué est l’affirmation comme quoi il n'y a pas de famille où les gens s'aiment et où tout va bien. Dire que cela induit forcement de se voiler la face c'est super dur comme affirmation. En effet cela montre un coté très sombre de la famille qui ne montre pas qu'une famille (un groupe en général) c'est une sommes de personnes qui font des compromis. Enfants comme parents bien entendu. Je suis surpris de l'analyse de Beka sur le sujet. Tout montre dans ce récit qu'on est que mieux tout seul sans personne. Alors même que, sans être parents, être en couple est la plus grande preuve de l'existence du compromis. Sans compromis d’aucun membre, dans une famille, on aurait une somme d’égoïsme qui tournerait au drame. Et je pense que Beka s'en est rendu compte en faisant une conclusion qui va à l'encontre de la diatribe anti famille qu'est le début d'album. Mais cette conclusion ne suffit pas, pour moi, à contrebalancer le reste de l'album. On ne parle jamais du côté des parents débordés, en dépressions ou encore du point de vue des parents qui, par des fait de vie, ne s’entendent plus et dont leur côté égoïste/enfantin (on boucle J ) reprend le dessus ce qui amène à l’explosion de la famille (enfants y compris). Bref je trouve cette analyse vraiment trop simpliste et j’avoue que je suis étonné que Beka se soit contenté de cela. Si Beka est de passage sur le net, j'aimerai son éclaircissement sur la question 🙂
  14. Titre de l'album : Le jour ou la nuit s'est levée Scenariste de l'album : Beka Dessinateur de l'album : Marko Coloriste : Maëla Cosson Editeur de l'album : Bamboo Note : Résumé de l'album : Une "feel good" BD pleine d'optimisme ! L'hiver, en fin de journée... Une tempête de froid et de neige s'abat sur Paris, bloquant plusieurs personnes dans la librairie de Clémentine. Dont Guillaume et Naori, maintenant installés dans la capitale, ainsi que Chantal l'écrivaine. Cette bulle de temps imprévue sera l'occasion pour chacun de faire remonter ses souvenirs d'enfance, de réfléchir au poids de l'héritage familial, de l'éducation qu'il a reçue, à l'influence de ses parents et de sa famille sur sa vie et ses choix... Jusqu'à ce que la tempête se calme et que la nuit se lève sur un nouveau jour... et peut-être une nouvelle façon de voir et de mener sa vie. Critique : Je vais commencer par dire que je suis plutôt client des "Le jour où..." et de ses thèmes qui tournent autour du questionnement intérieur. J'avais donc vraiment hâte de livre ce tome ci, qui ressemblait à une "conclusion" avec différents personnages vu précédemment qui se retrouvent. Et bien.... j'ai été déçu. Déçu car j'ai trouvé, en tant que papa de 3 enfants, ce tome trop à charge sur les parents. Il sort de cet album qu'il n'y a pas de bons parents. Sans jamais prendre en compte le coté de l'adulte, Beka nous livre une série d'enfance difficile mais vu du point de vue de l'ancien enfant qui fait son auto psychanalyse La partie qui m'a le plus choqué est l’affirmation comme quoi il n'y a pas de famille où les gens s'aiment et où tout va bien. Dire que cela induit forcement de se voiler la face c'est super dur comme affirmation. En effet cela montre un coté très sombre de la famille qui ne montre pas qu'une famille (un groupe en général) c'est une sommes de personnes qui font des compromis. Enfants comme parents bien entendu. Je suis surpris de l'analyse de Beka sur le sujet. Tout montre dans ce récit qu'on est que mieux tout seul sans personne. Alors même que, sans être parents, être en couple est la plus grande preuve de l'existence du compromis. Sans compromis d’aucun membre, dans une famille, on aurait une somme d’égoïsme qui tournerait au drame. Et je pense que Beka s'en est rendu compte en faisant une conclusion qui va à l'encontre de la diatribe anti famille qu'est le début d'album. Mais cette conclusion ne suffit pas, pour moi, à contrebalancer le reste de l'album. On ne parle jamais du côté des parents débordés, en dépressions ou encore du point de vue des parents qui, par des fait de vie, ne s’entendent plus et dont leur côté égoïste/enfantin (on boucle J ) reprend le dessus ce qui amène à l’explosion de la famille (enfants y compris). Bref je trouve cette analyse vraiment trop simpliste et j’avoue que je suis étonné que Beka se soit contenté de cela. Si Beka est de passage sur le net, j'aimerai son éclaircissement sur la question 🙂 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-jour-ou-tome-5-la-nuit-s-est-levee?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. Titre de l'album : Dylan Dog : Le point de vue des Zombies Scenariste de l'album : Tiziano Sclavi Dessinateur de l'album : Gigi Cavenago Coloriste : Gigi Cavenago Editeur de l'album : Mosquito Note : Résumé de l'album : Dylan Dog achète chez un antiquaire un bien étrange livre qui prédit l'avenir... Quelques contes fantastiques avec des zombies aux couleurs pimpantes : l'horreur en Technicolor ! Notre détective du mystère va vivre une bien étrange aventure. De celles où on ne sait plus ce qui est réel ou fantasmé. Il craque complètement pour un étrange grimoire chez un bouquiniste. La lecture de ce dernier est une succession de révélations sur notre monde et sur celui d'outre-tombe. Dylan Dog parviendra-t-il à différencier la réalité des apparences ? Critique : Avec le point de vue des zombies on arrive au cinquième épisode la série Dylan Dog aux éditions Mosquito. Comme pour les précédents, on retrouve une nouvelle équipe artistique avec Tiziano Sclavi et Gigi Cavenago qui se chargent d'un tome qui regroupe quelques histoires courtes autour de Dylan Dog. L'ambiance est fantastique avec une touche horrifique comme souvent, avec des zombies, de la magie et de l'ésotérisme. Dylan dog ne participe pas à toutes les histoires courtes de ce recueil de 70 pages. La partie graphique est très originale et apporte énormément au titre. Les dessins sont dans un style réaliste avec une mise en couleur très colorée et des couleurs flashy pour un rendu de qualité. Le démarrage du point de vue des zombies est très impressionnant graphiquement, sans parole avec Dylan qui extermine quelques zombies en costard dans un cimetière. Dommage que l'histoire principale ne dure pas plus de page, même si la fin reste ouverte pour une suite plus tard. Les amateurs de la série s'y retrouveront avec ce tome et les autres pourront découvrir la série comme il n'est pas nécessaire de connaitre les premiers tomes qui sont des histoires indépendantes. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/dylan-dog-tome-5-le-point-de-vue-des-zombies/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. poseidon2

    Après le monde

    En voilà un véritable coup de cœur.... graphique. Vraiment. Une énorme claque tant pas les décors que part ces personnages dont les sentiments transpirent comme rarement et qu'on a envie de suivre et de soutenir tout au long de l'album. Et la coloration n'est pas en reste avec une gestion des ombrages qui est somptueuse et qui rend l'atmosphère post apocalyptique palpable. Mais pourquoi cette BD n'a-t-elle pas de petit cœur devant elle alors ? Et bien (et j'ai hésité) parce que la fin m'a légèrement déçue. Non pas qu'elle ne soit pas belle. Non juste parce qu'elle, comme beaucoup trop d'album en ce moment, laisse au lecteur imaginer sa fin. Très peu directive elle évite un certain nombre de réponses et, sous couvert de faire travailler notre imaginaire, se défausse du risque de trouver une vraie réponse aux questions que l'on se pose. Si j'aime bien les fin ouverte qui nous font réfléchir, quand cela l'est trop on a quasiment l'impression que l'auteur lui-même ne savait pas vraiment conclure. Et cela vaut malheureusement la perte d'un coup de cœur pour une BD qui reste néanmoins superbe visuellement et porteuse d'une belle histoire.
  17. poseidon2

    Après le monde

    Titre de l'album : Après le monde Scenariste de l'album : Timothée Leman Dessinateur de l'album : Timothée Leman Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : La vie d'Héli est simple et gaie au sein de sa famille aimante et dans sa ville calme. Un jour, une tour de lumière blanche apparaît dans la cité. A partir de ce moment, tous ses habitants disparaissent peu à peu, jusqu'au père et à la sœur d'Heli. Celui-ci est le dernier survivant et n'a d'autre choix que d'aller voir cette tour pour comprendre ce qui se passe. Critique : En voilà un véritable coup de cœur.... graphique. Vraiment. Une énorme claque tant pas les décors que part ces personnages dont les sentiments transpirent comme rarement et qu'on a envie de suivre et de soutenir tout au long de l'album. Et la coloration n'est pas en reste avec une gestion des ombrages qui est somptueuse et qui rend l'atmosphère post apocalyptique palpable. Mais pourquoi cette BD n'a-t-elle pas de petit cœur devant elle alors ? Et bien (et j'ai hésité) parce que la fin m'a légèrement déçue. Non pas qu'elle ne soit pas belle. Non juste parce qu'elle, comme beaucoup trop d'album en ce moment, laisse au lecteur imaginer sa fin. Très peu directive elle évite un certain nombre de réponses et, sous couvert de faire travailler notre imaginaire, se défausse du risque de trouver une vraie réponse aux questions que l'on se pose. Si j'aime bien les fin ouverte qui nous font réfléchir, quand cela l'est trop on a quasiment l'impression que l'auteur lui-même ne savait pas vraiment conclure. Et cela vaut malheureusement la perte d'un coup de cœur pour une BD qui reste néanmoins superbe visuellement et porteuse d'une belle histoire. Autres infos : Edition Sarbacane Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : http://www.bdfugue.com/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. Le retour de Lucien ! La première aventure de Lucien avait été une des bonnes surprises jeunesses de 2019. Ce tome deux confirme l’impression générale sur la série mais est néanmoins un ton en dessous du premier. L'enquête est plus facile à deviner et est trouvée un peu trop facilement par Lucien. Le coté Mysterieux phénomènes est moins bien mis en avant quoi. C'est un peu dommage car graphiquement par contre c'est mieux. Le dessin s'affirme et les jeux avec les cases sont aussi plus sympas. Le coté écolo est aussi toujours présent et plutôt amené de façon discrète et intelligente. En plus on retrouve une BD dans une Bretagne qui me plait toujours autant 🙂 En bref une bonne BD pour enfant juste un poil moins innovante que le précédent.
  19. Titre de l'album : Lucien et les mysterieux phénomenes T2 : le granit rouge Scenariste de l'album : Delphine Le Lay Dessinateur de l'album : Alexis Horellou Editeur de l'album : Casterman Note : Résumé de l'album : Lucien passe les vacances d’hiver chez ses grands-parents à Douarnenez. C’est la période du carnaval : une grande fête de cinq jours ! Mais cette année, les festivités sont perturbées par des agressions contre tous ceux qui veulent rejoindre l’île Tristan, petit coin de nature préservée, devenu lieu de culture et de convivialité. Tandis que la terreur s’empare des habitants, une rumeur prétend que les vols et pillages seraient perpétrés par le fantôme du cruel brigand La Fontenelle, aperçu dans les rues étroites du vieux port, et pourtant mort au XVIIe siècle. L'occasion pour Lucien de résoudre un nouveau mystère ! Critique : Le retour de Lucien ! La première aventure de Lucien avait été une des bonnes surprises jeunesses de 2019. Ce tome deux confirme l’impression générale sur la série mais est néanmoins un ton en dessous du premier. L'enquête est plus facile à deviner et est trouvée un peu trop facilement par Lucien. Le coté Mysterieux phénomènes est moins bien mis en avant quoi. C'est un peu dommage car graphiquement par contre c'est mieux. Le dessin s'affirme et les jeux avec les cases sont aussi plus sympas. Le coté écolo est aussi toujours présent et plutôt amené de façon discrète et intelligente. En plus on retrouve une BD dans une Bretagne qui me plait toujours autant 🙂 En bref une bonne BD pour enfant juste un poil moins innovante que le précédent. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/lucien-et-les-mysterieux-phenomenes-tome-2-granit-rouge?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Ayant un penchant assez naturel envers l'histoire, et plus particulièrement l'histoire récente, les tomes sur les compagnons de la libération m’intéressent vraiment. Je me pose souvent la question "et moi qu'est-ce que j'aurais fait ?". Découvrir comment ces hommes en sont arrivés là est donc vraiment intéressant pour moi. Mais sur ce tome ci, sur Romain Gary, j'ai eu plus de mal. En effet ce tome cherche à mettre en avant le coté littéraire de l'homme (qui recevra deux Goncourt quand même) et le côté "recherche du combat" d'un homme qui est quasiment passé à côté de la guerre qu'il cherchait. Mais en mettant cela en avant on laisse les vrais faits de guerre de Romain Gary au descriptif de fin d'album. Et c'est dommage car à la lecture de cette BD on se demande ce qui valait à cet homme cette prestigieuse distinction qu'est la croix de la libération. En lisant le résumé sur le reste de sa vie, on apprend qu'il a en fait beaucoup plus participé aux combats que l'on ne le voit dans la BD et est un des aviateurs français avec le plus de missions réussies. Si je comprends l’intérêt de relier l'homme à son œuvre littéraire, je trouve cela dommage que l'on ne se concentre pas sur ces faits de guerres comme le voudrait la série. Dommage.
  21. Titre de l'album : Les compagnons de la liberation : Romain Gary Scenariste de l'album : Catherine Valenti Dessinateur de l'album : Claude Plumail Editeur de l'album : Grand Angle Note : Résumé de l'album : Avant de devenir un homme de lettres, il était un homme qui voulait se battre. Si on connaît Romain Gary comme l'un des plus grands écrivains du XXe siècle, on ignore souvent le rôle important qu'il a joué pendant la Seconde Guerre mondiale. Incorporé dans l'armée de l'air en 1938, Gary se distingue par sa bravoure. En Angleterre, il intègre les Forces aériennes françaises libres pour combattre l'ennemi nazi. Le 25 janvier 1944, il réussit à bombarder des rampes de lancement de V1 allemands au sud de Saint-Omer, et bien que blessé, parvient à ramener son équipage sain et sauf. Ce fait d'armes lui vaut de recevoir le titre de Compagnon de la Libération. Critique : Ayant un penchant assez naturel envers l'histoire, et plus particulièrement l'histoire récente, les tomes sur les compagnons de la libération m’intéressent vraiment. Je me pose souvent la question "et moi qu'est-ce que j'aurais fait ?". Découvrir comment ces hommes en sont arrivés là est donc vraiment intéressant pour moi. Mais sur ce tome ci, sur Romain Gary, j'ai eu plus de mal. En effet ce tome cherche à mettre en avant le coté littéraire de l'homme (qui recevra deux Goncourt quand même) et le côté "recherche du combat" d'un homme qui est quasiment passé à côté de la guerre qu'il cherchait. Mais en mettant cela en avant on laisse les vrais faits de guerre de Romain Gary au descriptif de fin d'album. Et c'est dommage car à la lecture de cette BD on se demande ce qui valait à cet homme cette prestigieuse distinction qu'est la croix de la libération. En lisant le résumé sur le reste de sa vie, on apprend qu'il a en fait beaucoup plus participé aux combats que l'on ne le voit dans la BD et est un des aviateurs français avec le plus de missions réussies. Si je comprends l’intérêt de relier l'homme à son œuvre littéraire, je trouve cela dommage que l'on ne se concentre pas sur ces faits de guerres comme le voudrait la série. Dommage. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-compagnons-de-la-liberation-romain-gary?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. poseidon2

    Gentlemind t1

    Voilà ma bonne surprise de la rentrée. Bon ok les copains ont déjà commencé les coups de cœur cette semaine mais celle-ci est le mien. Et un vrai pour beaucoup de raison dont le principal est : l'originalité. Oui c'est un terme qui, malheureusement, n'est plus vraiment à la mode dans le petit monde de la BD. Ou alors seulement chez les éditeurs plus petits. La, bien aidé par la participation de Canales au scénario, la maison Dargaud prend le risque de nous sortir une BD qui est original sur... tout. Le graphisme déjà. Le dessin d'Antonio Lapone est aussi beau que différent de ce que l'on voit à l'heure actuelle. Des traits coupés au couteau, des visages anguleux et des jeux d'ombres inhabituels. Un parti prit qui ne plaira pas à tout le monde mais qui m'a séduit. Mais ce Gentlemind est aussi original au niveau du scénario avec une époque étonnante et un sujet tournant autour de la gestion de magasine dans les années 50 qui est rarement (jamais) évoqué. Là où on retrouve le talent du papa de Blacksad, c'est surtout sur le découpage et la gestion de l'évolution du récit. En effet nous n'avons pas là un scénario qui se suit de façon linéaire mais un scénario qui saute des étapes pour mieux se concentrer sur les moments forts de la vie Navit et de son magasine. Une vraie belle surprise qui ne fait que renforcer le bien que l'on eut dire de la bande dessinée espagnole.
  23. poseidon2

    Gentlemind t1

    Titre de l'album : Gentlemind t1 Scenariste de l'album : Juan Diaz Canales / Teresa Valero Dessinateur de l'album : Antonio Lapone Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : New-York, 1940. Navit, une jeune artiste désargentée, hérite d'un journal de charme quelque peu désuet : 'Gentlemind'. Combative, intelligente et audacieuse, elle s'improvise patronne de presse et se lance le défi insensé d'en faire un magazine moderne. Hantée par le souvenir de son amant disparu sur le front en Europe, elle doit affronter la réalité d'une société américaine en plein âge d'or mais résolument machiste... Un récit profondément touchant, sur trois décennies, du rêve américain au féminin ! Critique : Voilà ma bonne surprise de la rentrée. Bon ok les copains ont déjà commencé les coups de cœur cette semaine mais celle-ci est le mien. Et un vrai pour beaucoup de raison dont le principal est : l'originalité. Oui c'est un terme qui, malheureusement, n'est plus vraiment à la mode dans le petit monde de la BD. Ou alors seulement chez les éditeurs plus petits. La, bien aidé par la participation de Canales au scénario, la maison Dargaud prend le risque de nous sortir une BD qui est original sur... tout. Le graphisme déjà. Le dessin d'Antonio Lapone est aussi beau que différent de ce que l'on voit à l'heure actuelle. Des traits coupés au couteau, des visages anguleux et des jeux d'ombres inhabituels. Un parti prit qui ne plaira pas à tout le monde mais qui m'a séduit. Mais ce Gentlemind est aussi original au niveau du scénario avec une époque étonnante et un sujet tournant autour de la gestion de magasine dans les années 50 qui est rarement (jamais) évoqué. Là où on retrouve le talent du papa de Blacksad, c'est surtout sur le découpage et la gestion de l'évolution du récit. En effet nous n'avons pas là un scénario qui se suit de façon linéaire mais un scénario qui saute des étapes pour mieux se concentrer sur les moments forts de la vie Navit et de son magasine. Une vraie belle surprise qui ne fait que renforcer le bien que l'on eut dire de la bande dessinée espagnole. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/gentlemind-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. Je vous avais deja parlé avant les vacances de l'offre des Editions Kennes de découverte via la BD juliette. Apres avoir lu la BD Sorcières Sorcières, je ne peux m'empêcher de refaire un coup de promo pour cette offre. Voir meme encore plus pour celle de Sorcières Sorcières!res que pour celle de Juliette. En effet ce Sorcières Sorcières est une petit merveille de lecture pour les plus petits. Portés par un graphisme tout en rondeur et en couleurs vivent, nos auteurs ont intelligemment choisit de nous livrer des histoires courtes et peu compliquées. Courte mais en evitant les sempiternels strips et blagues en une page. Ici on a deux histoires par album de 48 pages. Ca peut paraitre un détail mais pour les enfants qui ont une capacité de concentration moindre, c'est super. Ca leur permet de ne lire qu'une moitié d'album tout en ayant la fin de leur histoire. Ajoutez à cela des personnages bien pensés avec deux soeurs attachantes, un papa un peu savant fou et une mère directrice de l'école de ses filles et vous avez là tost les ingredients d'un véritable succes auprès des enfants. Alors jetez vous sur cette offre de decouverte tant qu'il en reste 🙂
  25. Titre de l'album : Sorcières sorcières offre decouverte 1+2 Scenariste de l'album : Joris Chamblain Dessinateur de l'album : Lucile Thibaudier Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : Profitez de ce pack promotionnel et découvrez pour le prix d'un les deux premiers albums de la série BD "Sorcières Sorcières", les aventures de deux adorables sorcières qui mènent l'enquête dans le village magique de Pamprelune. A Pamprelune, tous les habitants sont des sorciers et des sorcières. Dans ce petit village fantastique où des dragons apprivoisés côtoient des citrouilles-boîtes-aux-lettres et où magie et sortilèges font partie du quotidien, trois petites sorcières de huit ans sont victimes tour à tour d un mauvais sort. Harmonie, petite sorcière elle aussi, est la principale suspecte. Elle aura sans doute voulu venger sa petite soeur Miette, souffre-douleur des trois premières... Mais Harmonie est innocente ! Elle est aussi la seule à pouvoir enquêter et à découvrir qui est le mystérieux enchanteur... Critique : Je vous avais deja parlé avant les vacances de l'offre des Editions Kennes de découverte via la BD juliette. Apres avoir lu la BD Sorcières Sorcières, je ne peux m'empêcher de refaire un coup de promo pour cette offre. Voir meme encore plus pour celle de Sorcières Sorcières!res que pour celle de Juliette. En effet ce Sorcières Sorcières est une petit merveille de lecture pour les plus petits. Portés par un graphisme tout en rondeur et en couleurs vivent, nos auteurs ont intelligemment choisit de nous livrer des histoires courtes et peu compliquées. Courte mais en evitant les sempiternels strips et blagues en une page. Ici on a deux histoires par album de 48 pages. Ca peut paraitre un détail mais pour les enfants qui ont une capacité de concentration moindre, c'est super. Ca leur permet de ne lire qu'une moitié d'album tout en ayant la fin de leur histoire. Ajoutez à cela des personnages bien pensés avec deux soeurs attachantes, un papa un peu savant fou et une mère directrice de l'école de ses filles et vous avez là tost les ingredients d'un véritable succes auprès des enfants. Alors jetez vous sur cette offre de decouverte tant qu'il en reste 🙂 Autres infos : Edition Kennes Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sorcieres-sorcieres-en-bd-pack-tomes-1-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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