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  1. alx23

    Brouhaha

    Titre de l'album : Brouhaha Scenariste de l'album : Arthur Levrard Dessinateur de l'album : Arthur Levrard Coloriste : Arthur Levrard Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Brouhaha : nom masculin, bruit confus produit par une foule. Ici, la foule en question, ce sont les multiples personnages qui se succèdent et qui parlent, parfois beaucoup, parfois fort, qui se confient, qui s'interpellent... pour arriver à une chute surprenante ou édifiante à chaque bas de page. Avec pour unique objectif de provoquer le fameux suffixe du titre : Haha ! Critique : Brouhaha est le dernier album de la collection Pataquès. Arthur Levrard propose une soixantaine d'histoire humoristique qui tiennent sur une planche avec la chute en fin de page. Le format de la planche varie entre trois et neuf cases pour poser le contexte. On peut qualifier d'humour noir les histoires qui vous attendent dans cet album. En effet, l'auteur pose une ambiance calme avec une chute assez surprenante et drôle. Certains personnages sont utilisés plusieurs fois durant l’album comme pour exemple, l'homme qui accepte tous les défis de ses amis pilier de bar. Les dessins ne laissent pas envisager la tournure de l’histoire et fonctionnent bien, en donnant cette impression de situation classique et banale. Les personnages sont souvent déformés avec un trait minimaliste et des couleurs pâle. Les amateurs d'humour et de cette excellente collection trouveront leur compte avec des histoires déjantées et amusantes. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/brouhaha?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. alx23

    L'impudence des chiens

    Cet album commence très fort avec une introduction qui donne vraiment l'ambiance qui va se poursuivre durant toute l'histoire. Aurélien Ducoudray revient cette fois avec une histoire s’inspirant d'une étrange pratique du XVII ième siècle en France et détournée avec beaucoup d'humour. On suit les mésaventures du Comte de Dardille qui souffre d'impuissance et fait appel à un expert du genre, le marquis. En effet, sa jeune femme demande l'épreuve du Congrès, une pratique odieuse où le couple doit démontrer sa force et passer à l'acte devant tout un public qui jugera du sort du mariage. A partir de ce concept assez étonnant, Aurélien Ducoudray nous offre des situations invraisemblables, tout en restant correct. On suit donc le pauvre Comte de Dardille en compagnie du marquis en quête de professionnelle pour lui redonner de la vigueur. Les dessins de Nicolas Dumontheuil servent à merveilles cette comédie avec un trait caricatural des hommes et femmes de l’époque. Les planches sont bien détaillées avec des décors très travaillés pour accompagner les déboires du Comte. A partir de ce fait historique peu connu, les auteurs nous livrent un récit très amusant avec des dialogues bien trouvés. L'impudence des chiens est une très bonne surprise.
  3. Titre de l'album : L'impudence des chiens Scenariste de l'album : Aurélien Ducoudray Dessinateur de l'album : Nicolas Dumontheuil Coloriste : Nicolas Dumontheuil Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Le Comte de Dardille est dans un bel imbroglio judiciaire ! Sa femme, Amélie de Figule l'accuse de renâcler à la besogne. Elle réclame donc le divorce et la moitié de sa fortune. Charge au facétieux marquis de préparer son ami le comte à l'épreuve du Congrès durant laquelle le malheureux devra, sous l'oeil de Dieu, contenter bibliquement sa femme. Critique : Cet album commence très fort avec une introduction qui donne vraiment l'ambiance qui va se poursuivre durant toute l'histoire. Aurélien Ducoudray revient cette fois avec une histoire s’inspirant d'une étrange pratique du XVII ième siècle en France et détournée avec beaucoup d'humour. On suit les mésaventures du Comte de Dardille qui souffre d'impuissance et fait appel à un expert du genre, le marquis. En effet, sa jeune femme demande l'épreuve du Congrès, une pratique odieuse où le couple doit démontrer sa force et passer à l'acte devant tout un public qui jugera du sort du mariage. A partir de ce concept assez étonnant, Aurélien Ducoudray nous offre des situations invraisemblables, tout en restant correct. On suit donc le pauvre Comte de Dardille en compagnie du marquis en quête de professionnelle pour lui redonner de la vigueur. Les dessins de Nicolas Dumontheuil servent à merveilles cette comédie avec un trait caricatural des hommes et femmes de l’époque. Les planches sont bien détaillées avec des décors très travaillés pour accompagner les déboires du Comte. A partir de ce fait historique peu connu, les auteurs nous livrent un récit très amusant avec des dialogues bien trouvés. L'impudence des chiens est une très bonne surprise. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-impudence-des-chiens?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. alx23

    Astra saga tome 1 - L'or des dieux

    Avec Astra saga, Philippe Ogaki démarre une nouvelle série de science-fiction alimenté par les croyances vikings pour poser le décor et le contexte. D’ailleurs, il est très important de lire les textes sur les gardes de la couverture pour comprendre tous les thermes employés dans l’histoire. Tous le jargon est tiré de la mythologie viking. Le démarrage est très prenant puisque l'on commence avec une bataille dans l'espace avec un enjeu de la plus grande importance. On est projeté dans le vif du sujet avec de l'action lors de la présentation des héros et tout cela durant l'introduction musclée avant de revenir sur la jeunesse des héros ensuite. Cette méthode nous permet de découvrir les membres de la troupe d'élite de l'empire mais aussi les enjeux politiques et conflits. La partie graphique est certainement l'atout majeur de ce titre face à un scénario assez convenu dans le monde de la bande dessinée. Philippe Ogaki montre tout son talent et l'évolution de son style depuis sa dernière réalisation Terra Prime. Les troupes d’élites avec leurs épées laser sont assez impressionnantes lors des phases d’action. Les lecteurs de science-fiction qui apprécient le genre space opéra seront comblés par ce premier tome.
  5. Titre de l'album : Astra saga tome 1 - L'or des dieux Scenariste de l'album : Philippe Ogaki Dessinateur de l'album : Philippe Ogaki Coloriste : Philippe Ogaki Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Un cargo spatial traverse l'espace profond. A son bord une cargaison des plus précieuses qui ne doit surtout pas tomber entre de mauvaises mains car les forces politiques qui régissent la galaxie pourraient changer drastiquement de camps et ainsi le cours de l'histoire. Une escouade de soldats dragons mandatée par l'empire aborde le cargo et perce sa coque épaisse en quête de l'Or Sacré. Critique : Avec Astra saga, Philippe Ogaki démarre une nouvelle série de science-fiction alimenté par les croyances vikings pour poser le décor et le contexte. D’ailleurs, il est très important de lire les textes sur les gardes de la couverture pour comprendre tous les thermes employés dans l’histoire. Tous le jargon est tiré de la mythologie viking. Le démarrage est très prenant puisque l'on commence avec une bataille dans l'espace avec un enjeu de la plus grande importance. On est projeté dans le vif du sujet avec de l'action lors de la présentation des héros et tout cela durant l'introduction musclée avant de revenir sur la jeunesse des héros ensuite. Cette méthode nous permet de découvrir les membres de la troupe d'élite de l'empire mais aussi les enjeux politiques et conflits. La partie graphique est certainement l'atout majeur de ce titre face à un scénario assez convenu dans le monde de la bande dessinée. Philippe Ogaki montre tout son talent et l'évolution de son style depuis sa dernière réalisation Terra Prime. Les troupes d’élites avec leurs épées laser sont assez impressionnantes lors des phases d’action. Les lecteurs de science-fiction qui apprécient le genre space opéra seront comblés par ce premier tome. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/astra-saga-tome-1-l-or-des-dieux?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. En voilà une BD qui redonne un peu d'espoir en l'humanité. Une histoire ou la motivation de certain à réussi à profiter au bien de tous. Thibaut Lambert réussi le périlleux exercice de nous montrer un reportage sur la construction d'un bar sans alourdir la lecture de détails trop technique. Pour ce faire, il choisit intelligemment de ne se baser que sur les anecdotes des créateurs, pas vraiment sur les faits. Cela rend le reportage plus vivant et la réalisation de ce bar associatif beaucoup plus réaliste et accessible. Ça aurait pu être nous. Ce qui est vraiment bien dans ce reportage, c'est que Thibaut Lambert va au-delà de la simple création. Il va jusqu'à la passation de pouvoir des créateurs aux petits nouveaux. Une passation qui marque la viabilité du projet, un pu comme le passage de l'adolescence à l'âge adulte. Reste plus qu'à aller boire un verre à la Bigaille !
  7. Titre de l'album : La bigaille - histoire d'une utopie culturelle collective Scenariste de l'album : Thibaut Lambert Dessinateur de l'album : Thibaut Lambert Coloriste : Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : Face aux difficultés d'accès à la culture en milieu rural, un groupe de citoyens a créé une association qui donne vie à un projet culturel collectif : La Bigaille, un bar associatif, ouvert à tous et géré par des bénévoles depuis 10 ans. Leur programmation artistique séduisante redynamise la petite ville de campagne et ses environs. L'expérience, véritable modèle de réussite, montre à quel point l'important n'est pas d'avoir ni d'être, mais de faire ensemble ; elle nous invite à co construire nos propres projets écologiques ayant du sens dans un monde en mutation. Critique : En voilà une BD qui redonne un peu d'espoir en l'humanité. Une histoire ou la motivation de certain à réussi à profiter au bien de tous. Thibaut Lambert réussi le périlleux exercice de nous montrer un reportage sur la construction d'un bar sans alourdir la lecture de détails trop technique. Pour ce faire, il choisit intelligemment de ne se baser que sur les anecdotes des créateurs, pas vraiment sur les faits. Cela rend le reportage plus vivant et la réalisation de ce bar associatif beaucoup plus réaliste et accessible. Ça aurait pu être nous. Ce qui est vraiment bien dans ce reportage, c'est que Thibaut Lambert va au-delà de la simple création. Il va jusqu'à la passation de pouvoir des créateurs aux petits nouveaux. Une passation qui marque la viabilité du projet, un pu comme le passage de l'adolescence à l'âge adulte. Reste plus qu'à aller boire un verre à la Bigaille ! Autres infos : Des ronds dans l'O Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-bigaille/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. poseidon2

    Automne, en baie de Somme

    Philippe Pelaez est des auteurs prolixes du moment. Pinard/Bagnard de guerre, Enfer pour Aube, Furioso, Maudit soit-tu, le bossu de montfaucon..... et j'en oublie surement. Mais s'il réussit à maintenir ce niveau de qualité et à nous sortir quelques perles comme ce "Automne en baie de Somme", on ne s'en plaindra pas. Car cet album est aussi beau qui bien écrit. Le choix de la belle époque est supporté par une écriture en français "soutenu" dirait-on maintenant. Il contient surtout une très belle enquête policière que madame Agatha Christie ou les plus grands écrivains d'enquêtes ne pourraient renier tellement on est baladé de gauche à droite par Philippe Pelaez. Une enquête qui, lorsque que toutes les pièces s'imbriquent, forme un puzzle bien pensé et logique. Bien aidé par des sublimes dessins d'Alexis Chabert qui réussi à reproduire à merveille l'ambiance bohème de la Belle époque , cet Automne en baie de Somme est une des excellentes surprises de ce printemps qui ravira tous les amateurs d'enquêtes policières !
  9. Titre de l'album : Automne, en baie de Somme Scenariste de l'album : Philippe Pelaez Dessinateur de l'album : Alexis Chabert Coloriste : Alexis Chabert Editeur de l'album : Drakoo Note : Résumé de l'album : « À la Belle Époque, elles détiennent deux armes d'exception : la beauté et l'argent.». 1896. Le corps d'un riche industriel est découvert à bord d'une goélette échouée dans la baie de Somme. Pour une affaire de cette importance, on envoie le meilleur policier de Paris, Amaury Broyan. Très vite, l'inspecteur soupçonne la veuve, héritière de l'immense empire. L'enquête révèle alors que l'industriel avait également une maîtresse, Axelle Valencourt, un modèle ayant posé pour de nombreux artistes et notamment Alfons Mucha. Des quartiers cossus de Paris aux cabarets de la Butte Montmartre, l'inspecteur se retrouve plongé dans une affaire complexe et périlleuse, dans laquelle chaque personnage, y compris l'inspecteur, va révéler sa part d'ombre. Critique : Philippe Pelaez est des auteurs prolixes du moment. Pinard/Bagnard de guerre, Enfer pour Aube, Furioso, Maudit soit-tu, le bossu de montfaucon..... et j'en oublie surement. Mais s'il réussit à maintenir ce niveau de qualité et à nous sortir quelques perles comme ce "Automne en baie de Somme", on ne s'en plaindra pas. Car cet album est aussi beau qui bien écrit. Le choix de la belle époque est supporté par une écriture en français "soutenu" dirait-on maintenant. Il contient surtout une très belle enquête policière que madame Agatha Christie ou les plus grands écrivains d'enquêtes ne pourraient renier tellement on est baladé de gauche à droite par Philippe Pelaez. Une enquête qui, lorsque que toutes les pièces s'imbriquent, forme un puzzle bien pensé et logique. Bien aidé par des sublimes dessins d'Alexis Chabert qui réussi à reproduire à merveille l'ambiance bohème de la Belle époque , cet Automne en baie de Somme est une des excellentes surprises de ce printemps qui ravira tous les amateurs d'enquêtes policières ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/automne-en-baie-de-somme?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. Les adaptations des nouvelles de l'auteur à succès Liu Cixin se poursuivent avec ce cinquième tome, sur la perfection du cercle. Xavier Besse se charge de l'adaptation de l'histoire pour le format bande dessinée et également des dessins. Avec la perfection du cercle, nous découvrons la dynastie Qin en Chine, au temps féodal au contraire des premiers tomes qui nous plongeaient dans le futur, comme souvent avec les récits de science-fiction. Un mystérieux savant et mathématicien va sauver le roi d'un attentat pour lui dévoiler un immense secret. Le roi Ying Zheng convoque toute une assemblée de savants pour déterminer l'importance du secret en question. Le sauveur affirme qu'avec des travaux importants il pourrait réaliser un cercle parfait et découvrir le langage du ciel. Les dessins de Xavier Besse sont de qualité avec des planches de textes pour expliquer les informations du récit initial, qui ralentissent la fluidité lors de la lecture. On retrouve la page à déplier pour former un panorama sur trois pages qui est la touche de la série. La finalité de ce tome apportera la subtilité à cette histoire de guerre féodal.
  11. Titre de l'album : Les futurs de Liu Cixin - La perfection du cercle Scenariste de l'album : Xavier Besse Dessinateur de l'album : Xavier Besse Coloriste : Xavier Besse Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : 227 avant JC, époque des Royaumes combattants. Ying Zheng, roi de la dynastie Qin, veut unifier la Chine. S'il prouve qu'il connaît le langage du Ciel et en comprend les desseins, il les mènera tous vers un avenir meilleur. Grâce à un tout nouveau mode de calcul de données à grande échelle, le savant Jing Ke va lui enseigner ce langage qui réside dans la forme la plus parfaite au monde, le cercle. Critique : Les adaptations des nouvelles de l'auteur à succès Liu Cixin se poursuivent avec ce cinquième tome, sur la perfection du cercle. Xavier Besse se charge de l'adaptation de l'histoire pour le format bande dessinée et également des dessins. Avec la perfection du cercle, nous découvrons la dynastie Qin en Chine, au temps féodal au contraire des premiers tomes qui nous plongeaient dans le futur, comme souvent avec les récits de science-fiction. Un mystérieux savant et mathématicien va sauver le roi d'un attentat pour lui dévoiler un immense secret. Le roi Ying Zheng convoque toute une assemblée de savants pour déterminer l'importance du secret en question. Le sauveur affirme qu'avec des travaux importants il pourrait réaliser un cercle parfait et découvrir le langage du ciel. Les dessins de Xavier Besse sont de qualité avec des planches de textes pour expliquer les informations du récit initial, qui ralentissent la fluidité lors de la lecture. On retrouve la page à déplier pour former un panorama sur trois pages qui est la touche de la série. La finalité de ce tome apportera la subtilité à cette histoire de guerre féodal. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-futurs-de-liu-cixin-la-perfection-du-cercle?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. Comment ca Spirou est mort ? Hein ? Commenttttttttttttt Vous l'aurez compris, le titre de cet album est plus un spoiler qu'autre chose, car cet album est le premier d'un diptyque (enfin, on l'espère) et la mort de Spirou... est la fin de l'album. Le début de l'album est une grande aventure qui mène donc au titre. Nos duettistes sont dans leurs éléments en ce début d'album avec un Fantasio aussi soupe au lait que d'habitude et un Spirou toujours réfléchit. Si l'album se lit avec plaisir, il est quand même vraiment orienté pour les enfants, avec certaines décisions et choix de nos héros qui sont dans le sens de faire avancer le récit, mais pas forcément réfléchis (Le voyage qui ne peut pas attendre la fête dès 100 ans par exemple). Graphiquement, le trait d'Olivier Schwartz n'est pas ans rappeler celui d'Emilie Bravo, remis à XXIieme siècle bien sur. On se retrouve avec un tome qui plaira aux enfants, mais qui est différent, par son absence de second degré de lecture, de la frange pour adulte de la série.
  13. Titre de l'album : Spirou et Fantasio t56 : la mort de Spirou Scenariste de l'album : Sophie Guerrive / Benjamin Abitan Dessinateur de l'album : Olivier Schwartz Coloriste : Olivier Schwartz Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : À l'approche du centenaire des Éditions Dupuis, Spirou et Fantasio ont la mauvaise idée de disparaître de la surface de la Terre ! Peut-être justement parce qu'ils sont en dessous. Dans la cité sous-marine de Korallion, qu'ils avaient déjà visitée lors d'une précédente et mythique aventure de Franquin :Spirou et les Hommes-Bulles... Merveilleuse passerelle entre le glorieux passé de Spirou et les codes narratifs de l'aventure contemporaine, La Mort de Spirou lui offre une renaissance enivrante, entre grande aventure et réflexion sur notre société. Aux manettes graphiques de ce Spirou "next gen" : Olivier Schwartz, dont le dessin vintage pratiqué sur « Le Groom vert-de-gris » se mue en merveilleux traducteur de la modernité contemporaine. À l'écriture du scénario, un duo piquant, composé de Benjamin Abitan, auteur et homme de radio, et Sophie Guerrive, auteure des remarqués Tulipe et Le Club des amis. Critique : Comment ca Spirou est mort ? Hein ? Commenttttttttttttt Vous l'aurez compris, le titre de cet album est plus un spoiler qu'autre chose, car cet album est le premier d'un diptyque (enfin, on l'espère) et la mort de Spirou... est la fin de l'album. Le début de l'album est une grande aventure qui mène donc au titre. Nos duettistes sont dans leurs éléments en ce début d'album avec un Fantasio aussi soupe au lait que d'habitude et un Spirou toujours réfléchit. Si l'album se lit avec plaisir, il est quand même vraiment orienté pour les enfants, avec certaines décisions et choix de nos héros qui sont dans le sens de faire avancer le récit, mais pas forcément réfléchis (Le voyage qui ne peut pas attendre la fête dès 100 ans par exemple). Graphiquement, le trait d'Olivier Schwartz n'est pas ans rappeler celui d'Emilie Bravo, remis à XXIieme siècle bien sur. On se retrouve avec un tome qui plaira aux enfants, mais qui est différent, par son absence de second degré de lecture, de la frange pour adulte de la série. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/spirou-et-fantasio-tome-56-la-mort-de-spirou?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. Ce deuxième tome clôture les aventures de Lamia et Linn, les deux jeunes aventurières des rivières du passé. Avec cette série, Stephen Desberg mélange les genres entre fantastiques et histoire de l'ancienne Egypte avec Ay, le pharaon maudit. La partie fantastique de l'histoire offre aux personnages la possibilité de voyager entre deux univers parallèles à l'aide de porte. Lamia et Linn sont en quête de vérité, l'une est passionnée par l'histoire de l’Egypte et ses secrets et l'autre est une voleuse réputée. Avec leur compétences, on va affronter les pires dangers. La partie graphique de Yannick Corboz est somptueuse, l'auteur nous fait voyager dans les différentes époques avec un univers post-apocalyptique ouvert aux monstres sanguinaires qui ravagent le monde. L’album se termine sur des illustrations de l’auteur. Une version luxueuse en noir et blanc en grand format est disponible avec un ex-libris comme pour le premier tome afin de profiter des dessins de Corboz. D'ailleurs, les planches originales de la série sont exposées à la galerie Maghen jusqu'au 10 septembre. Les rivières du passé est un diptyque efficace sur l’histoire de l’Egypte avec beaucoup d’action et des dessins magnifiques. Chronique premier tome : Les rivières du passé tome 1 la voleuse
  15. Titre de l'album : Les rivières du passé tome 2 - Lamia Scenariste de l'album : Stephen Desberg Dessinateur de l'album : Yannick Corboz Coloriste : Yannick Corboz Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : Dans les ruines d’une Venise ravagée, Lamia est à la recherche du codex qu’elle a subtilisé au seigneur de la peur. Avec l’aide de Linn, son amie et complice, elle part sur les traces de Ay, le pharaon maudit et le plus grand mystère de l’Égypte ancienne. En approchant de Venise, Lamia se remémore sa première rencontre avec le Seigneur de la peur, au Palazzo Grassi. La jeune archéologue a immédiatement été fascinée par cet homme étrange, dangereux, et qui n’ignorait rien des mystères de l’Égypte ancienne. Il lui fit visiter son palais, véritable musée constitué de trésors que l’on pensait disparus, en particulier une représentation de Ay, le pharaon maudit, dont toutes les représentations ont en principe été détruites. Ce pharaon oublié a-t-il été l’inventeur du premier Dieu unique ? Critique : Ce deuxième tome clôture les aventures de Lamia et Linn, les deux jeunes aventurières des rivières du passé. Avec cette série, Stephen Desberg mélange les genres entre fantastiques et histoire de l'ancienne Egypte avec Ay, le pharaon maudit. La partie fantastique de l'histoire offre aux personnages la possibilité de voyager entre deux univers parallèles à l'aide de porte. Lamia et Linn sont en quête de vérité, l'une est passionnée par l'histoire de l’Egypte et ses secrets et l'autre est une voleuse réputée. Avec leur compétences, on va affronter les pires dangers. La partie graphique de Yannick Corboz est somptueuse, l'auteur nous fait voyager dans les différentes époques avec un univers post-apocalyptique ouvert aux monstres sanguinaires qui ravagent le monde. L’album se termine sur des illustrations de l’auteur. Une version luxueuse en noir et blanc en grand format est disponible avec un ex-libris comme pour le premier tome afin de profiter des dessins de Corboz. D'ailleurs, les planches originales de la série sont exposées à la galerie Maghen jusqu'au 10 septembre. Les rivières du passé est un diptyque efficace sur l’histoire de l’Egypte avec beaucoup d’action et des dessins magnifiques. Chronique premier tome : Les rivières du passé tome 1 la voleuse Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-rivieres-du-passe-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. alx23

    Hercule Poirot - Poirot joue le jeu

    Ce nouvel album d'Hercule Poirot est le huitième épisode de la série d'adaptation en bande dessinée des romans d'Agatha Christie. Marek avait déjà réalisé la partie graphique de rendez-vous avec ma mort, le second tome de la série. Aujourd'hui, il réalise en auteur complet cet épisode où une chasse au faux meurtre est organisée par l'amie du détective lors d'une kermesse pour récolter des fonds. Dès les premières planches, on plonge dans le vif du sujet avec Hercule Poirot qui est présenté à tout une galerie de personnages qui semblent et peuvent être tout plus ou moins suspect. Car la jeune femme qui joue le rôle du cadavre va vraiment être tué. En plus des dialogues, on profite également d'une voix-off qui nous donne des indications et réflexions du détective alors qu'il discute où observe des situations banales. Les dessins sont agréables et participent bien à l'enquête avec des points de vue orientés sur des objets ou des personnages pour nous guider dans la résolution de l'enquête. Cet album est bien entendu très classique pour une enquête d'Hercule Poirot et devrait convenir aux adeptes du détective. Le rythme est bien évidemment très calme comme d'habitude.
  17. Titre de l'album : Hercule Poirot - Poirot joue le jeu Scenariste de l'album : Marek Dessinateur de l'album : Marek Coloriste : Marek Editeur de l'album : Paquet Note : Résumé de l'album : Une chasse au faux meurtre, mais un vrai cadavre. Un cadre enchanteur et des secrets de famille. La disparition de la maitresse des lieux, et l'arrivée d'un invité surprise. Au coeur d'une intrigue complexe, Hercule Poirot se trouve à nouveau confronté au mal. Mais pour le détective belge, il n'est pas question de jouer avec le crime. Utilisant toute la puissance de ses petites cellules grises, il va tout mettre en oeuvre pour confondre le coupable. Situé dans une des propriétés de la Reine du crime, une enquête policière qui prouve une fois de plus que Poirot ne plaisante pas avec le crime ! Critique : Ce nouvel album d'Hercule Poirot est le huitième épisode de la série d'adaptation en bande dessinée des romans d'Agatha Christie. Marek avait déjà réalisé la partie graphique de rendez-vous avec ma mort, le second tome de la série. Aujourd'hui, il réalise en auteur complet cet épisode où une chasse au faux meurtre est organisée par l'amie du détective lors d'une kermesse pour récolter des fonds. Dès les premières planches, on plonge dans le vif du sujet avec Hercule Poirot qui est présenté à tout une galerie de personnages qui semblent et peuvent être tout plus ou moins suspect. Car la jeune femme qui joue le rôle du cadavre va vraiment être tué. En plus des dialogues, on profite également d'une voix-off qui nous donne des indications et réflexions du détective alors qu'il discute où observe des situations banales. Les dessins sont agréables et participent bien à l'enquête avec des points de vue orientés sur des objets ou des personnages pour nous guider dans la résolution de l'enquête. Cet album est bien entendu très classique pour une enquête d'Hercule Poirot et devrait convenir aux adeptes du détective. Le rythme est bien évidemment très calme comme d'habitude. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/hercule-poirot-poirot-joue-le-jeu?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. alx23

    Perpendiculaire au soleil

    Perpendiculaire au soleil est un roman graphique relatant la correspondance entre une jeune femme française et un détenu dans le couloir de la mort aux Etats-Unis. Valentine Cuny-Le Callet réalise son premier projet de bande dessinée sur cette correspondance en accord avec Renaldo McGirth, le détenu. Valentine Cuny-Le Callet reprend depuis le départ son objectif et pourquoi elle souhaite établir cette relation avec un détenu condamné à mort. Elle choisit le noir et blanc pour réaliser les dessins avec de temps à autre quelques illustrations de couleur pour accentuer les moments agréables pour le détenu. Elle retrace ainsi tout son parcours, mais aussi le système judiciaire aux Etats-Unis, la condition des détenus en attente de la date fatidique de leurs exécutions mais aussi le combat de ce détenu pour faire réviser son jugement et la thématique bien présente de la peine de mort. Le récit est évidemment très intense comme il se base sur une histoire vraie. Le choix de cette histoire pour son premier roman graphique est très fort et on le ressent à la lecture. Les dessins alternent entre très réalise, illustrations ou style enfantin ou alors seulement d'ombre. Perpendiculaire au soleil est un pavé imposant de quatre cent pages intimistes entre la relation des deux protagonistes, souvent émouvant et qui donne une réflexion sur la peine de mort.
  19. Titre de l'album : Perpendiculaire au soleil Scenariste de l'album : Valentine Cuny-Le Callet Dessinateur de l'album : Valentine Cuny-Le Callet Coloriste : Valentine Cuny-Le Callet Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Au travail au crayon et en gravure sur bois, se mêlent des images singulières, colorées, qui parlent de la beauté du monde, qui ont vu le jour dans des conditions extrêmes. Témoignage bouleversant sur une amitié naissante, ce récit se penche sur la brutalité du système carcéral, et la ténacité avec laquelle les condamnés reconstruisent leur vie, depuis une cellule de cinq mètres carrés. Critique : Perpendiculaire au soleil est un roman graphique relatant la correspondance entre une jeune femme française et un détenu dans le couloir de la mort aux Etats-Unis. Valentine Cuny-Le Callet réalise son premier projet de bande dessinée sur cette correspondance en accord avec Renaldo McGirth, le détenu. Valentine Cuny-Le Callet reprend depuis le départ son objectif et pourquoi elle souhaite établir cette relation avec un détenu condamné à mort. Elle choisit le noir et blanc pour réaliser les dessins avec de temps à autre quelques illustrations de couleur pour accentuer les moments agréables pour le détenu. Elle retrace ainsi tout son parcours, mais aussi le système judiciaire aux Etats-Unis, la condition des détenus en attente de la date fatidique de leurs exécutions mais aussi le combat de ce détenu pour faire réviser son jugement et la thématique bien présente de la peine de mort. Le récit est évidemment très intense comme il se base sur une histoire vraie. Le choix de cette histoire pour son premier roman graphique est très fort et on le ressent à la lecture. Les dessins alternent entre très réalise, illustrations ou style enfantin ou alors seulement d'ombre. Perpendiculaire au soleil est un pavé imposant de quatre cent pages intimistes entre la relation des deux protagonistes, souvent émouvant et qui donne une réflexion sur la peine de mort. Autres infos : Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/perpendiculaire-au-soleil?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Le premier tome avait réussi à me séduire par ses qualités et son esthétisme soigné. Il n'aura fallu que sept mois aux auteurs pour nous proposer la suite de leur aventure d'Heroic fantasy se déroulant dans un monde désertique avec des signes annonciateur de la fin prochaine. Fred Duval est à l'aise sur ce récit fantastique, en apportant plusieurs éléments importants pour la compréhension. L'intrigue s'accélère et les différents protagonistes vont devoir oublier leur querelle et mésentente pour s'unir face à une problématique plus dévastatrice. On participe cette fois à une course poursuite dans un désert immense qui sert de prison où plusieurs créatures vivent aux cotés des hommes. Le design est réalisé par Armel Gaulme, un spécialiste des illustrations fantastique en collaboration avec Fred Blanchard. La partie graphique de Stéphane Créty apporte la touche finale pour parfaire à merveilles les planches de cet univers. Les enfants du magma sont particulièrement bien réussis mais comme l'ensemble du bestiaire présent dans cette série. Le deuxième tome de cette trilogie poursuit cette aventure très prenante et bien réalisée avec beaucoup d'action et de révélations.
  21. Titre de l'album : Hurlevent tome 2 - Les enfants du magma Scenariste de l'album : Fred Duval Dessinateur de l'album : Stéphane Créty Coloriste : Jérôme Maffre Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Avec Hurlevent, les auteurs abordent l'heroïc fantasy en l'adossant à une esthétique Renaissance puissante pour y situer la plus fantastique épreuve à laquelle une société peut se trouver confrontée... Dans l'Hélios, Alceste de Hurlevent accompagne le Duc de Batz, sa fille et les survivants de leur expédition de chasse dans une course vers la citadelle des Bannis, pour gagner les hautes terres. Les phénomènes issus des éruptions de lave se multiplient et génèrent monstres et guerriers. Les enfants du magma cheminent, à la vitesse d'une coulée de lave vers leur destin vengeur... Critique : Le premier tome avait réussi à me séduire par ses qualités et son esthétisme soigné. Il n'aura fallu que sept mois aux auteurs pour nous proposer la suite de leur aventure d'Heroic fantasy se déroulant dans un monde désertique avec des signes annonciateur de la fin prochaine. Fred Duval est à l'aise sur ce récit fantastique, en apportant plusieurs éléments importants pour la compréhension. L'intrigue s'accélère et les différents protagonistes vont devoir oublier leur querelle et mésentente pour s'unir face à une problématique plus dévastatrice. On participe cette fois à une course poursuite dans un désert immense qui sert de prison où plusieurs créatures vivent aux cotés des hommes. Le design est réalisé par Armel Gaulme, un spécialiste des illustrations fantastique en collaboration avec Fred Blanchard. La partie graphique de Stéphane Créty apporte la touche finale pour parfaire à merveilles les planches de cet univers. Les enfants du magma sont particulièrement bien réussis mais comme l'ensemble du bestiaire présent dans cette série. Le deuxième tome de cette trilogie poursuit cette aventure très prenante et bien réalisée avec beaucoup d'action et de révélations. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/hurlevent-tome-2-les-enfants-du-magma?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. poseidon2

    Filles uniques t3 : Sierra

    Troisième tome de nos filles uniques. Cette fois on se concentre sur Sierra, la jeune colérique. On comprend enfin pourquoi Sierra est toujours en colère. Encore une fois, Béka réussi à nous faire bien comprendre les problématiques de notre jeune fille. Si cette fois l'histoire de Sierra et de sa mère est un peu plus tirée par les cheveux que pour nos deux précédentes (enfin, on l'espère) , on retrouve quand même une morale sur la vie, mais surtout sur le fait de tous faire pour prendre son destin en main et ne pas se laisser guider par la vie de ses parents. Une série qui continue de se démarquer des autres séries pour adolescents en cherchant à faire réfléchir le lecteur sur les gens qu'ils croisent et qui n sont pas comme lui.
  23. Titre de l'album : Filles uniques t3 : Sierra Scenariste de l'album : Béka Dessinateur de l'album : Camille Méhu Coloriste : Camille Méhu Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Dans le Club des mal-barrées, il y en a une qui râle tout le temps et plus fort que les autres. Pour rien. Ou plutôt, pour tout. C'est Sierra. Elle est comme Naruto, remarque Apolline : elle n'arrive pas à maîtriser le démon enfermé en elle. Sierra a de bonnes raisons d'être prisonnière de sa colère. Sa vie n'a pas été rose. Délaissée par une mère qui collectionne les amants, elle a été victime d'un petit copain indélicat qui a profité d'elle. Depuis, Sierra se méfie des hommes. Même Adrien, le nouveau tuteur de Paloma, ne trouve pas grâce à ses yeux. Pourtant, lui aussi a grandi auprès de Liselotte. Et lui aussi a souffert. Les marques sur son corps témoignent d'ailleurs de la violence de son père. La seule différence, c'est que les cicatrices d'Adrien sont bien visibles, alors que celles de Sierra sont enfouies au plus profond d'elle-même... Critique : Troisième tome de nos filles uniques. Cette fois on se concentre sur Sierra, la jeune colérique. On comprend enfin pourquoi Sierra est toujours en colère. Encore une fois, Béka réussi à nous faire bien comprendre les problématiques de notre jeune fille. Si cette fois l'histoire de Sierra et de sa mère est un peu plus tirée par les cheveux que pour nos deux précédentes (enfin, on l'espère) , on retrouve quand même une morale sur la vie, mais surtout sur le fait de tous faire pour prendre son destin en main et ne pas se laisser guider par la vie de ses parents. Une série qui continue de se démarquer des autres séries pour adolescents en cherchant à faire réfléchir le lecteur sur les gens qu'ils croisent et qui n sont pas comme lui. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/filles-uniques-tome-3-sierra?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. Amis des belles histoires d'amours, laissez tomber vos mangas ! Kris et Bailly, après un sac de billes, ou le multiplement primé Notre Mère la guerre, reviennent à leurs histoires Irlandaises (après coupures irlandaises) pour nous livrer une romance extrêmement prenante et humaine. L'histoire d'un couple qui pense et espère qu'au XXIe siècle les clivages religieux aient été dépassés et que tout le monde puisse les laisser s'aimer librement, malgré les tensions toujours présentes entre Unionistes et indépendantistes. Et c'est tout le mal qu'on leur souhaite tout au long de la lecture de cette belle histoire d'amour moderne. Une histoire comme on aimerait (ou on aurait aimé) en vivre : un coup de foudre réciproque, une histoire de découverte et d'acceptation des différences comme dans tous les bons contes. Si le graphisme de Vincent Bailly pourra paraitre étrange aux nouveaux lecteurs, tout en aquarelles et en crayonné, je vous encourage à franchir le pas pour découvrir une histoire d'amour... dont le deuxième volet de l'histoire nous dira si elle a été plus fort que la guerre.
  25. Titre de l'album : Partitions irlandaises premier couplet Scenariste de l'album : Kris Dessinateur de l'album : Vincent Bailly Coloriste : Vincent Bailly Editeur de l'album : Ankama Note : Résumé de l'album : Tim est protestant. Pas n'importe quel protestant : il est le fils de Frankie Brown, héros de la lutte unioniste, mort au combat à la fin des années 90. Mary est catholique, fille d'un ancien activiste de l'IRA, Patrick Pearse, qui a déposé les armes il y près de 20 ans, avant même les accords de paix du Vendredi Saint, signés le 10 avril 1998 entre les partisans de l'union avec la Grande-Bretagne et les nationalistes du Sinn Féin. Ces deux-là n'avaient aucune chance de se rencontrer. Mais ça leur est tombé dessus, comme ça. Tim et Mary. Mary et Tim. Alors ils se sont fait l'amour comme une dernière nuit avant la guerre. Sans voir qu'ils allumaient la mèche. Une histoire d'amour magnifique et tourmentée dans le Belfast tout aussi tourmenté d'aujourd'hui, entre Brexit et retour des tensions identitaires. Kris et Vincent Bailly reviennent en Irlande du Nord douze ans après le succès du récit complet Coupures irlandaises. Critique : Amis des belles histoires d'amours, laissez tomber vos mangas ! Kris et Bailly, après un sac de billes, ou le multiplement primé Notre Mère la guerre, reviennent à leurs histoires Irlandaises (après coupures irlandaises) pour nous livrer une romance extrêmement prenante et humaine. L'histoire d'un couple qui pense et espère qu'au XXIe siècle les clivages religieux aient été dépassés et que tout le monde puisse les laisser s'aimer librement, malgré les tensions toujours présentes entre Unionistes et indépendantistes. Et c'est tout le mal qu'on leur souhaite tout au long de la lecture de cette belle histoire d'amour moderne. Une histoire comme on aimerait (ou on aurait aimé) en vivre : un coup de foudre réciproque, une histoire de découverte et d'acceptation des différences comme dans tous les bons contes. Si le graphisme de Vincent Bailly pourra paraitre étrange aux nouveaux lecteurs, tout en aquarelles et en crayonné, je vous encourage à franchir le pas pour découvrir une histoire d'amour... dont le deuxième volet de l'histoire nous dira si elle a été plus fort que la guerre. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/partitions-irlandaises-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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