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  1. poseidon2

    Girl Power

    Quand j'ai ouvert cet album, je me suis dit : Tiens je pense que je pourrais faire lire ça à ma fille en début d'adolescence. Et bien... non Non car cette BD n'est pas à mettre entre toutes les mains non plus de par son traitement quasi adulte de la condition d'ado. Un traitement qui rend cette BDs à destination de jeunes femmes plus que des ados. En effet ce roman graphique traite de tous les problèmes des jeunes lycéennes : De l'amour, au regard des autres en passant par la découverte des relations intimes, avec soi-même ou un autre. D'un point de vue graphique, le style journal intime tracé au styla rend vraiment bien et nous plonge directement dans l'ambiance souhaitée par Francesca Ruggiero. Cela donne une BD bien faite qui nous plonge bien dans les problématiques des jeunes filles des années 90....Sont-elles vraiment différentes des jeunes filles d’aujourd’hui ? Telle est la question
  2. Eux dites les enfants.... il n'en manquerait pas un bout ? Genre : Zero Hours ???? Car la sincèrement... c'est bizarre.... vraiment bizarre. Car cet album est super frustrant comme cela. ON a la chute de Hal, la naissance de Kyle.... et pas son ascension, pas sa participation à l'une des plus grosses crises de l'univers DC et on finit avec.... la fin des deux personnages.... C'est un peu comme si on regardait le seigneur des anneaux mais quon navait pas l'épisode 2. Juste le 1 et le 3..... Ce nest pas illisible, c'est juste super frustrant. Et c'est dommage car le personnage de Kyle Rayner est intéressant comme l'a pu le prouver Tom King dans son magnifique Omega Men. Bref une lecture vraiment frustrante qui nécessite d'avoir sous le coude Zero Hours pour bien comprendre.
  3. [center][url=https://www.bdfugue.com/green-lantern-emerald-twilight?ref=44"]<img src="https://www.bdfugue.com/media/catalog/product/cache/1/image/400x/17f82f742ffe127f42dca9de82fb58b1/9/7/9791026818199_1_75.jpg" HEIGHT=320 WIDTH=240/>[/url][/center] [b]Série :[/b] Green Lantern [b]Scenario :[/b] Ron Marz [b]Dessin :[/b] Darryl Banks [b]my 2 cents[/b] Il en manque un bout la.... [b]Edition :[/b] Urban Comics [url=https://www.bdfugue.com/green-lantern-emerald-twilight?ref=44"][b]Acheter sur BDfugue[/b][/url] [b]Résumé :[/b][i]La destruction de sa ville, Coast City, par Mongul le rend amer et déprimé. Petit à petit, Hal se laisse corrompre et décide d'accumuler les anneaux de puissance de ses équipiers afin de réécrire l'Histoire en tant que Parallax ! Le dernier des Gardiens, Ganthet, n'aura d'autre solution que de livrer le seul anneau restant à un jeune illustrateur terrien : Kyle Rayner. Contenu vo : Green Lantern #48-55, #0, #78.[/i] Eux dites les enfants.... il n'en manquerait pas un bout ? Genre : Zero Hours ???? Car la sincèrement... c'est bizarre.... vraiment bizarre. Car cet album est super frustrant comme cela. ON a la chute de Hal, la naissance de Kyle.... et pas son ascension, pas sa participation à l'une des plus grosses crises de l'univers DC et on finit avec.... la fin des deux personnages.... C'est un peu comme si on regardait le seigneur des anneaux mais qu’on n’avait pas l'épisode 2. Juste le 1 et le 3..... Ce n’est pas illisible, c'est juste super frustrant. Et c'est dommage car le personnage de Kyle Rayner est intéressant comme l'a pu le prouver Tom King dans son magnifique Omega Men. Bref une lecture vraiment frustrante qui nécessite d'avoir sous le coude Zero Hours pour bien comprendre. [b]Ma Note: [/b][img]http://www.1001bd.com/tmp/pic/note/2.5.png[/img]
  4. Ou en étions nous resté ? A oui au départ de Hop avec Cable pour le future... toujours poursuivit par Bishop ! A partir de la cet arc se découpe en deux parties : L'histoire de Cable ou encore appelé la guerre du messie et la lutte pour la survie des derniers mutants de notre époque ! La guerre du messie : Cable est partit dans le futur avec Hope. Mais premier soucis : il a été touché lors de la bataille et ne peux qu'avancer dans le temps, sans espoir de retour tant qu'il ne repart pas. En plus, ils se rendent vite compte que Bishop peut lui aussi voyager dans le temps et est à leur poursuite. S'en suit donc une course poursuite dan le temps pour que Cable et Hope échappe à Bishop ! Le coté sombre des X-Men : De leurs cotés, les X-Men tente de survivre fasse aux hordes des anti mutants. Et pour endiguer la baisse du nombre de mutants sur terre, Cyclope, chef unique après la tombée dans le coma du professeur Xavier, prends la décision secrète de créer une nouvelle troupe de X-Men : Les X-Force. Cette équipe qui regroupe Wolverine, X-23, Wolfbane, Warpath, ArchAngel, Domino et Elixir a été créé dans un seul but : réduire définitivement la menace "anti-mutants" en éliminant de manière définitive les leader des mouvements anti mutants. C'est cette équipe qui va occuper le gros de l'historie X-Men de cette période. En effet ils vont découvrir, entre autre, la régénération de Bastion par les Purifieurs à l'aide d'un virus extra terrestre. Bastion qui va réussir, malgré les X-Force, à faire renaitre de leurs cendres (grâce au virus) tout les plus grands ennemis des X-Men ! La fin de Bishop : Toujours en fuite, Hope et Câble sont repérés dans l'espace temps par Cyclope qui décide d'envoyer les X-Force dans le future pour aider Cable à se débarrasser de la menace Bishop et pour leur demander de rentrer. Sur ce les X-force sont envoyés en urgence dans un futur ou il découvre que Bishop à amener avec lui... Stryfe, le fils d'Apocalypse et clone de Cable. Bishop a en effet, durant ces errances dans le futur, retrouver le corps d'Apocalypse et a promis à Stryfe de le lui donner en échange de son aide lors de la capture et l'élimination de Hope. Seulement se que Bishop n'imagine pas c'est que ArchAngel, en tant que serviteur d'Apocalypse, pourrait retrouver ce dernier et s'allier avec lui pour délivrer ces amis de X-Forces mais aussi, pour Apocalyspe, supprimer Stryfe. Une fois Bishop et Stryfe défais, les X-Force sont condamné à rejoindre leur temps sans pouvoir emmener avec eux Cable et Hope. Utopia : Durant ce temps, Cyclope doit lui faire fasse à une nouvel menace : Osborn et ces Dark X-Men. Car Osborn en a marre de ces mutants qui nie son pouvoir sur la coté ouest. Il envoie donc ces Dark X-Men pour jeter en dehors du territoire américain les dernier Mutants. Ce a quoi Cyclope répond en faisant remonter du fond des océans une ile engloutie sur laquelle il fonde "Utopia", le refuge pour tout les mutants du monde. Suite à cela ils mettent une grosse bourre aux Dark X-Men et se déclare "zone hors de contrôle du HAMMER de Osborn" Necrosha : Une fois rentré, les X-Forces découvrent qu'une antique sorcière du nom de Selène vient de mettre la main sur le Virus TO et peut donc enfin mettre son plan à exécution : faire revenir d'entre les morts des humains pour les sacrifier et récupérer leurs énergies vitales pour accéder au rang de déesse. Cela est d'autant plus grave quand elle se rend compte que les âmes des mutants la nourrissaient plus que n'importes qu'elles autres. Problème pour Selene : les mutants ont perdu leurs gène mutant lors du M-Day. Mais pas tous. Et en tout cas pas les morts ! Elle se rend donc à Genosha et entreprend de ressusciter les mutants morts avant Genosha pour se nourrir de leurs âmes. Et quitte à avoir une armée de mutants, autant se débarrasser des derniers en vie qui lutte contre elle. S'en suit une bataille ou tout les Mutants luttes pour leurs vies en combattants.. d'ancien amis mort au champ d'honneur. Un nouvel Espoir : Hope et Cable sont de retour ! Et avec eux tout les espoirs des mutants même si Hope n'a pas encore de pouvoir ! Mais les X-Men ne sont pas les seuls à attendre Hope. Bastion et ces troupes sont la aussi et de façon étrange ils sont toujours en avance sur les X-Men. Pour absolument sauver Hope, Cyclope envoi les X-Force et les X-Men à sa rescousse. Lors du combat pour la sauvegarde de Hope, l'équipe régulière des X-Men se rend compte de la violence de l'équipe des X-Force et du choix prix par Cyclope. La lutte avec bastion est rude pour récupérer Hope au point de Kurt doivent donner sa vie pour sauver la jeune fille qui se voit, en plus des espoirs de tout le monde, se voir endosser la responsabilité de la mort d'un des X-Men les plus aimé. Le combat avec les forces de Bastion fait rage au point que Bastion enclenche un mécanisme encerclant l'ile pour ne pas permettre aux X-Men d'appeler des renforts. S'en suis un combat dantesque durant lequel Bastion amène des troupes du futur et ou les X-Men accompagné de Cable ont pour mission d'aller dans le futur pour interrompre l'arrivée des forces de Bastion. Durant cette mission, Cable se sacrifie pour permettre aux autres X-Men de revenir dans le présent. Assistant au sacrifice de Cable, Hope entre dans une rage incontrôlé et se découvre un pouvoir incommensurable et arrive à terrasser Bastion. Reconstruire : Le combat étant finit, Hope ayant trouvé ces pouvoirs, l'incroyable se produisit : Cerebro détecta la déclaration de nouveaux mutants ! Mais malgré cette joie les X-Men ne sont pas au mieux. En effet le leadership de Cylcope est remis en cause par les anciens pour son implication dans les X-Forces et nombre de cadre de l'équipe sont partit ou mort sans compter le nouveau rôle de Hope à prendre en compte....
  5. Suite à différentes discussion, je m'étais rendu compte qu'il était tous sauf facile de se retrouver dans les parutions mensuels de Panini au niveau des X-Men. J'avais alors fais un post nommé "histoire d'X-Men" ou j'avais recensé les histoires les plus importantes à lire mais sans rien dire de l'histoire. Plus un guide d'achat en quelque sorte. Maintenant que cette arc touche aussi à sa fin en France, je pense qu'il peut être utile de dévoiler ce qu'il s'est passé durant ces 4 années de "l'arc du messie". Point de départ : Le monde est maintenant clairement divisé en deux parties : celui des humains et celui des mutants. En effet le nombre croissants de mutant en à fait une population part entière, avec des quartiers bien à eux, des envies de reconnaissance mais aussi des profiteurs et bien sur... des héros. Mais ces héros ne suffisent pas à rassurer la population "humaine" qui se demande comment elle peut lutter contre tout ces mutants et leurs pouvoirs... Mais la balance des forces est bien contrôlée par les X-Men d'un coté et les Vengeurs de l'autre. Ces deux entités cherchant à faire cohabiter les deux races, le monde avance plutôt dans le bon sens. A un tel point que des mutants font partis des Vengeurs. Le début de la fin Et l'un de ces mutants n'est autre de La sorcière rouge aussi connu sous le nom de Wanda Maximoff, fille de Eric Lehnsherr, alias Magneto. Wanda est la sorcière suprême, elle possède le pouvoir de faire ce qu'elle veut, à un point tel que même le Docteur Strange est dépassé. Et cela est d'une grande aide aux Vengeurs. Seulement Wanda est aussi, de part son enfance difficile, psychologiquement instable. Alors quand un malheur apparait, elle va jusqu'à s'en prendre à ces amis vengeurs et tue Clint Barton alias oeil de faucon (voir le recueil News Avengers T1 chez pantin)! Complètement paniqués par le pouvoir sans contrôle de la sorcière rouge, les vengeurs tout comme les X-Men prennent une terrible décision: Laisser vivre Wanda est un trop gros danger pour la planète. Alors l'attaque est lancée. Rien de moins que les Vengeurs et les X-Men se mettent ensembles pour arriver à éliminer la menace "sorcière rouge". Mais la réaction de Wanda fut immédiate : elle changea le monde tout entier (House of M chez Panini). Elle crea un monde ou tout les veux les plus chers des personnes qui vivent sur cette planète sont réalisés. Et si Logan, en recherche de ces souvenais depuis très longtemps, ne c'était pas réveillé, le monde entier aurait continué à vivre dans le monde de Wanda. Seulement une fois Logan réveillé, d'autre reprennent conscience et prennent d'assaut la maison de Magneto pourvue Wanda remette le monde en place. Seulement Wanda a elle aussi réalisé sont rêve : elle a ces deux enfants avec elle et ne veut pas les quitter. La mise devant le fait accomplit de la "non-existence" de ces enfants est la goute d'eau qui fait déborder le vase : Wanda a trop souffert d'être une mutante et prononce le souhait fatidique : plus de mutant. Espèces en danger et ce que la sorcière rouge veut, elle le peut. Instantanément la population de mutant de la planète passe de plusieurs millions à quelques 200 personnes ayant miraculeusement (grâce à Dr Strange et à Emma Frost) échappé au fléau. Car Wanda a fait les choses bien : non seulement il n'y a plus aucune naissances de mutants, mais tout les autres ont perdus leurs pouvoirs instantanément, elle comprise. Seulement nombre de mutants ne pouvaient vivre que grâce à leurs pouvoirs. S'en suis une retombée dans le monde des humains terribles pour les anciens mutants. Surtout que le pire est à venir. En effet en apprenant cela certains groupe d'an i mutants sont sortis de leur cachette pour déclarer la guerre aux derniers mutants et ainsi exterminer une espèce déjà en danger. Les Purifiacteurs ou autres ligues des humains partent à la chasses aux derniers mutants dans le but de tous les exterminer, même si poupe cela il doit y avoir des dommages collatéraux. Ce forme alors parmi les mutants restant deux groupes : les X-Men d'un coté et les rebelles de l'autre. Rebelles bien décider à exterminer les Purificateurs avant de se faire exterminer. naissance d'un espoir C'est dans ce monde empli de violence qu'un miracle survient : Cerebro détecte la naissance d''un bébé mutant. Le premier mutant depuis House of M ! Les X-Men en font tout de suite leur priorité principale mais le temps d'arriver sur les lieux ils découvrent la ville ou est né le bébé en flamme. Les purificateurs mais surtout les rebelles étaient arrivés avant eux. Sans suis une course poursuite entre les X-M'en et les rebelles pour essayer de récupérer l'enfant. Ceci pour se rendre compte que quelqu'un avait précédé tout le monde et enlevé le bébé : Câble ! Câble devient donc l'enjeu d'une bataille et d'une course poursuite entre tous les protagonistes. Courses poursuites qui va mener à l'une des énormes révélations de ce début d'arc : l'objectif de bishop. Car l'arrivee de Bishop dans son passé n'est par fortuit. Il est revenu pour empêcher une chose: empêcher le " messie" de déclencher une guerre avec les humains. Une guerre que les mutants vont perdre. Une guerre au cours de laquelle tous les mutants vont être enfermer dans des camps et marqués au fer rouge.... D'un M au visage ! Dans le combat qui suit, Scott est obligé de se rendre à l'évidence que si Hope reste ici, elle ne sera en sécurité nul part. Il demande donc à Nathan d'emmener Hope dans le future et de ne revenir que lorsqu'elle aura grandit. Cependant Bishop entend la conversation et juste après avoir descendu par erreur le professeur Xavier, il part dans le temps à la poursuite de Hope.
  6. Série: Watchmen Dessinateur: Gibbons Scénariste: Moore A. Genre: Mythe Editeur: urban Comics L'acheter sur BDFugue Résumé : Le comédien est mort. La police a conclu à un crime crapuleux. Rorschach n'est pas du même avis. Trop de détails troublant, trop de personne s'en prenant aux anciens héros costumés.... Mais "who is watching the watchmen?" Mais cette histoire de meurtre est bien loin de faire la une des journaux. Car dans le monde se prépare quelque chose de bien plus terrifiant, de bien plus global. En effet la guerre froide dégénère et le monde entier sans arriver..... L'holocauste nucléaire. Alors les inquiétudes de Rorschach paraissent bien pauvre aux yeux de ces ex compagnons.... à tord ou à raison. Nous cherchions depuis quelques semaines à changer un peu les news. Nous nous sommes donc dis que présenter, à de plus jeunes lecteurs, ou à de nouveaux lecteurs, nos coups de coeurs et incontournables, pourrait être intéressant. Pour avoir des repères sur se qu'il faut absolument lire. Et comment, avec l'actualité brulante du film, trouver meilleur incontournable que "Watchmen". Car plus qu'un incontournable de 1001BD, c'est surtout un incontournable tout court. C'est le comic qui a été salué comme "la réponse du monde du comic aux grands romans du vingtième siècle". Seul, à ma connaissance, comic faisant partis des 100 meilleurs histoires du <i>Times</i> à ce jour. Qu'est ce qui rend "Watchmen" si incontournable me direz vous ? Tout d'abord le fait qu'il soit la plus grande oeuvre de Alan Moore. Et Mr Moore n'est pas n'importe qui. C’est l'auteur de V pour Vandetta, La ligues des gentlemen extraordinaire, Top 10, Promethea et j'en passe. Et en lisant Watchmen on se rend rapidement compte du talent de conteur de Moore. La mise en place de l'histoire, les présentations successives des personnages, le voile qui se lève petit à petit et la fin en apothéose sont passionnants ! Les personnages sont quand à eux très bien décris mais surtout très recherchés. Le personnage de Rorschach étant particulièrement bien fait malgré la difficulté de mettre en scène un homme qui est à la limite entre la psychose et le génie. Et il en va de même pour Dr Manhattan, Ozymandias et les autres ..... Tous cela sublimés par une réflexion très approfondis sur la société américaine des années 80, qui peux aisément se transfigurer à notre époque, et une fin ..... De toute beauté ! Le dessin de Gibbons est quand à lui bien adapté au scénario. Un poil vieillot mais collant bien à l'univers sombre et décadent de l'Amérique des années Nixon. Un véritable incontournable de la littérature américaine, à lire de toute urgence…Ou à relire de toute urgence. Note : Poseidon2 qui surveille les Watchmen
  7. <IMG SRC="https://www.bdfugue.com/media/catalog/product/cache/1/image/400x/17f82f742ffe127f42dca9de82fb58b1/9/7/9791026810698_1_75.jpg" HEIGHT=320 WIDTH=240/> La Bdthèque De 1001 Bd : Scalped Scénario : Jason Aaron Dessin : RM Guéra Couleur : Lee Loughridge Genre : Polar Edition : Urban Comics Date de parution : Dispo L'acheter sur BDFugue Résumé : Il y a quinze ans, Dashiell Bad Horse a fui la pauvreté et le désespoir que lui promettait la réserve indienne de Prairie Rose. Il est aujourd’hui de retour et fait le constat amer que rien n’a changé. Engagé dans la police tribale du chef Red Crow, futur propriétaire de casino et parrain de l’ensemble des trafics d’alcool et de drogue de la réserve, Dashiell a pour mission de faire passer aux traditionalistes l’envie de revendiquer leur ethnicité à coups de C4 et de limiter au maximum la prolifération des laboratoires de méthadone. Est-il de retour pour mettre de l’ordre ou tirer sa part du lion ? Scalped est certainement la dernière série culte du regretté label Vertigo, après 30 années de productions des meilleurs comics adultes, comme Sandman, 100 Bullets, V pour vendetta, Preacher et bien d’autres. Les éditions Urban comics reprennent la parution de la version française à la suite de Panini Comics en proposant les albums en version souple ou cartonnée avec des couvertures originales de RM Guéra spécialement pour le public français. Aujourd’hui, vous pouvez vous procurer la série en version intégrale au nombre de cinq albums. Voilà pour le petit historique des éditions de la série et maintenant au niveau de l’histoire, Jason Aaron s’est fait une excellente réputation de scénariste sur Scalped. Aaron nous propose de suivre l’histoire de Dashiell Bad Horse un agent du FBI infiltré dans le milieu mafieux, dans une réserve indienne pour faire tomber les dirigeants. On apprendra progressivement que cet agent est natif de cette réserve qu’il voulait fuir plus jeune. Au fil et à mesure des albums, l’auteur nous permet de remonter dans le temps pour mieux comprendre et suivre la vie de plusieurs protagonistes sur différentes époques charnières de la réserve. On découvre la famille de Bad Horse, le chef Red Crow qui dirige l’ensemble de la réserve avec beaucoup de violence et d’autres personnages secondaires charismatiques qui tentent de s’en sortir par tous les moyens. Au niveau de la partie graphique, on découvre également le talentueux RM Guéra, avec son style très sombre pour dépeindre de façon réaliste le quotidien dans les réserves. Les scènes d’action très musclées dès le début de l’histoire nous donnent un bon aperçu de ce qui nous attendra toute la série. Les encrages sont bien prononcés pour donner cette touche sombre qui ressort de l’histoire. D’autres dessinateurs participeront à l’aventure lors de quelques chapitres courts comme Davide Furnò, John Paul Leon, Danijel Zezelj, Jason LaTour, pour ne citer que quelques-uns. Les couvertures de Jock sont absolument magnifiques sur Scalped et participent au cachet de la série. Scalped s’impose comme une référence du polar en comics, dans une ambiance western très violent et réaliste. L’histoire est originale et se déroule dans un lieu peu connu et délaissé aux Etats-Unis. Les deux auteurs collaborent de nouveau sur une série intitulée The Goddamned, dont le deuxième tome est en préparation. Note : Alx23
  8. <IMG SRC="https://www.bdfugue.com/media/catalog/product/cache/1/image/400x/17f82f742ffe127f42dca9de82fb58b1/9/7/9782847893649_1_75.jpg" HEIGHT=320 WIDTH=240/> <b> Stray toasters</b> <b>Scénario :</b> Bill Sienkiewicz <b>Dessinateur :</b> Bill Sienkiewicz <b>Edition :</b> Delcourt <b>Date de parution :</b> janvier 2005 <b>Résumé de l'histoire :</b> Le psychologue Egon Rustemagik est spécialisé dans les affaires criminelles, il enquête sur deux affaires de meurtres compliquée, des femmes assassinées et des enfants étrangement mutilés. Egon a du mal à se concentrer sur ces affaires depuis qu'il est sorti de l'Hospital où sa compagne l'avait interné, pour alcoolisme et violence. Le scénario nous décrit une enquête policière difficile et bien particulière, avec une bonne part de fantastique. On suit les vacances d'un démon sur terre, on rencontre des personnages atteint de différents symptômes de folie et le héros souffre d'alcoolisme et n'hésite pas à tirer sur ces hallucinations. Il aura fallu attendre 15 ans avant de pouvoir lire la VF, de ce titre complètement déjanté. Bill Sienkiewicz dessine tous les styles graphiques imaginables, de sorte que l'on est la vision des personnages durant tout l'album ainsi on passe par des dessins Noir et blanc, à de la couleur, de la peinture, du collage et même quelques croquis de bases, tous en gardant une parfaite harmonie. Stray toasters est un véritable ovni du monde du comics US, cet album culte est a possédé absolument, Bill Sienkiewicz nous emmène au bord de la folie avec tous ces personnages hallucinés et sa parfaite maitrise des différents styles de dessins. La lecture de stray toasters ne laisse pas indifférent, perturbe au début par cette surenchère de dessins et de couleurs. Bill Sienkiewicz est au sommet de son art et repousse les limites des codes de la BD. Note : Alx23 en pleine folie. Bill Sienkiewicz est l'auteur de Jimi Hendrix (chez Delcourt), Elektra (avec Franck Miller, chez Delcourt), Dardevil (avec Franck Miller, chez Delcourt), Matrix le comics (panini comics), Sandman....
  9. Fables Scénario : Bill Willingham Dessin : Lan Medina, Mark Buckingham, Bryan Talbot, Linda Medley, Craig Hamilton, P.Craig Russel, Tony Akins, David Hahn, Jim Fern, Shawn MCManus, Gene Ha, etc... etc... Editeur : Urban Comics Collection : Vertigo Série de 25 tomes (en version softcover) et 23 tomes (en version hardcover) Date de parution du tome 1 (en français, chez Semic) : 2004 Date de parution du dernier tome (en français) : janvier 2016 Good bye, farewell, good bye farewell... Le titre original du dernier tome de Fables ("Farewell", isn't it ?) a pour moi les accents de cette chanson de marins bien connue. Avec cette sensation de tristesse qui se mêle à celle d'un aboutissement que l'on espère à la hauteur de treize années d'aventures. Ce n'est en tout cas pas sans une émotion certaine que j'ai refermé le vingt-cinquième et dernier tome de cette série au long cours, créée et scénarisée par Bill Willingham qui, en plus d'être doté d'un talent de conteur hors-normes, a réussi à garder un niveau d'excellence tout au long de cette relecture originale et inspirée des contes classiques, comptines et autres mythes. Et de gratifier le lecteur d'une conclusion (de l'histoire principale) inattendue qui le prend à contre-pied. Une fois encore. Car le scénariste, cocasse et iconoclaste, ne s'est jamais privé de surprendre et de faire prendre des directions imprévues dans ses arcs narratifs. Une de ses nombreuses qualités qui permet de tenir le lecteur en haleine. Serait-ce trop exagéré d'affirmer aujourd'hui, à l'aune de la saga maintenant complète, que Fables restera une référence incontournable du monde des comics et déjà un classique ? Le panégyrique est toujours forcément subjectif mais la série ne m'a de toute façon pas attendu pour récolter succès critique et public. Et de fait, je dois dire qu'il y avait longtemps qu'une BD n'avait pas suscité chez moi un tel engouement, d'autant que je n'ai jamais été très attiré par la BD anglo-saxonne à part de très rares exceptions (Courtney Crumrin, Locke & Key, Y le dernier homme). Mais comment rester de marbre devant un tel feu d'artifice d'inventivité, d'audaces, de qualité d'écriture, de densité psychologique, de suspense, d'émerveillement autant que de violence et de cruauté ? A partir d'un matériau brut qui plonge dans l'imaginaire collectif et même la culture universelle, Willingham a patiemment ouvragé et poli ces petits bijoux - certes plaisants mais limités - se perpétuant de générations en générations et qui n'offraient théoriquement plus guère de surprises en une saga véritablement littéraire où Blanche Neige, Pinocchio, Rose Rouge ou Barbe-Bleue ne sont plus de simples silhouettes réduites à une fonction souvent édifiante mais des êtres (presque) humains vivant, agissant, aimant, complotant, empêtrés dans leurs contradictions, leurs dilemmes moraux, leurs actes de gloire ou leurs erreurs (voir leur monstruosité). Tel est le premier aspect remarquable de Fables : celui d'avoir donné du relief à des figures archétypales sans consistance. On se surprend, du coup, à suivre les aventures de ces dizaines de personnages dont les destins se croisent ou s'activent en parallèle en oubliant presque leurs origines enfantines. C'est que Willingham s'est tellement bien emparé d'eux et permis d'énormes libertés (que ce soit dans leur comportement ou leur "pedigree") que l'on a l'impression d'avoir affaire à des personnages complètement originaux. Ce qui n'est pas tout à fait faux, vu le traitement en profondeur qu'il fait subir à certains. Exit la Blanche Neige, éternelle victime faisant le ménage en chantant dans la chaumière des sept nains avant de croquer la pomme : bonjour Mlle Blanche, femme de tête, survivante, gestionnaire impeccable et superviseuse implacable en temps de guerre. Pour ne donner qu'un exemple de la manière dont le scénariste détache ces personnages de leur contexte féérique un brin neu-neu pour les rendre plus pragmatiques et en phase avec un monde complexe où sévit rarement un rassurant manichéisme. Ce qui n'empêche nullement le merveilleux la fantaisie et surtout la magie (très présente à un certain stade de la série) de garder leurs prérogatives. Car l'auteur ne démolit pas les mythes et légendes pour en faire une sorte de soap au Perrault : avec un art consommé de la référence (parfois très pointue) et du clin d'oeil, il se les réapproprient, les modernisent, les triturent, les fait entrer dans des genres a priori fort éloignés des contes tel que le policier, l'espionnage ou encore l'univers des super-héros, pour en parsemer sa vaste (re)création flamboyante et en faire l'un des univers les plus riches et denses que j'ai pu rencontrer en bande dessinée. Evidemment, la matière première étant elle-même quasi illimitée, on ne s'en étonnera pas et Fables aurait tout aussi bien pu continuer jusqu'au tome 250. Encore faut-il être capable de puiser dans ce riche vivier à histoires et personnages hauts en couleur sans tomber dans la confusion, la répétitivité, l'incohérence, voir le n'importe quoi. La série n'est pas exempte de défauts pour autant. On peut ainsi reprocher au scénariste certaines facilités : utilisation d'événements, de personnages ou du fameux Deus Ex Machina venant débloquer une situation sans que l'auteur n'en explique vraiment la raison et/ou la cause. Comme si le fait que ses histoires se déroulent dans un monde féerique et gorgé de magie (bref un monde où tout est possible ou presque) le dispensait d'explications. Ou encore certains personnages aux destinées trop vite expédiés (conséquence fatale lorsque l'on jongle avec plus d'une centaine de protagonistes). Le besoin de surprendre à tout prix, peut-être aussi. Mais Willingham parvient toujours à rester clair et cohérent avec l'essentiel, malgré une structure souvent très éclatée où l'on passe souvent d'une histoire à une autre le temps d'une page ou deux, avant d'y revenir... Loin de donner une lecture saccadée, ce rapide passage d'un lieu à l'autre, d'un personnage à l'autre, crée une dynamique qui empêche tout ennui sans risquer de rompre pour autant le(s) fil(s) narratif(s). Devant l'impossibilité évidente de rendre compte, même superficiellement, du contenu de vingt cinq tomes de plus de cent pages chacun (sans compter les spin-offs de la série-mère comme Jack of Fables ou Fairest), j'en suis donc réduit ici à simplement dégager ces généralités, notamment sur la réappropriation inspirée et décalée du vaste corpus de l'imaginaire enfantin à la sauce ado-adulte, le développement des principaux protagonistes et une narration fragmentée mais néanmoins fluide. Amateurs de contes ou non, je ne peux que conseiller l'acquisition d'une série dont la longueur pourrait en rebuter plus d'un. Car, contrairement à tant d'autres séries contemporaines qui s'éternisent inutilement, Fables offre dans chacun de ses volumes (évidemment avec des hauts et des bas) de quoi contenter le lecteur, que ce soit en terme d'intrigues ou de révélations venant enrichir toujours davantage le background. Un mot en ce qui concerne les récits courts, intercalés ou placés en fin des tomes : ceux-ci ont généralement pour fonction d'approfondir l'histoire personnelle de certains personnages plus secondaires tandis que d'autres ressemblent plus à de simples récréations un brin anecdotiques et inégalement appréciables, surtout en ce qui concerne les dessinateurs différents qui s'y succèdent. Voilà qui me permet d'en venir au travail graphique effectué sur la série, celui-ci étant bien souvent le critère principal d'adhésion ou non à une bande... dessinée. Qu'on se le dise : davantage habitué à la BD franco-belge/européenne, j'apprécie généralement peu les styles et parti-pris graphiques des comics, notamment en ce qui concerne l'encrage et surtout la colorisation (souvent trop "flashy"). Comme d'autres séries made in US/UK, Fables n'échappe pas à la règle (cela dit, ça reste subjectif, bien sûr). La colorisation, surtout, reste toujours trop criarde à mes yeux et donne ainsi la (fausse) impression de lire une BD ciblée jeunesse. C'est d'autant plus frappant si on établi la comparaison avec les couvertures de James Jean. Mais ce contraste est, on le sait, assez fréquent dans les comics. Toutefois, outre le fait que cela colle bien à l'univers, j'ai fini par m'y habituer et le savoir-faire du scénariste m'a permis d'aller au-delà de mes préférences/a-priori esthétiques. De même, le dessin de Mark Buckingham (qui, heureusement, officie sur la plus grande partie de la série) reste assez agréable et colle bien à l'univers, bien qu'assez basique. Idem pour un découpage classique cherchant avant tout la plus grande lisibilité tout en s'autorisant quelques audaces (les fameuses frises en bordure de planches, certains découpages plus osés, des splash pages ou double-pages, etc...) Les autres dessinateurs qui prennent parfois le relais le temps d'un chapitre n'ont pas son talent. Attendez-vous ainsi sur certains chapitres à un résultat parfois franchement médiocre, voir carrément... laid (tout simplement) ou très convenu. On se dit que certains tâcherons n'ont apparemment été convoqués que lorsque le dessinateur attitré était indisponible. Plus gênant est lorsque l'un de ces "seconds de cordée" trahit carrément la physionomie d'un personnage en accord avec son caractère (établis sans doute conjointement par Willingham et Buckingham : je pense notamment à Pinocchio ou Bigby). Soit... L'essentiel étant dû au pinceau de Mark Buckingham et en considérant un nombre de pages plus conséquent et/ou un rythme de parution plus soutenu, on s'en contentera. On notera que sur le dernier tome, le travail des 20 dessinateurs conviés pour illustrer les mini-récits de la seconde partie de l'ouvrage est nettement supérieur à leurs prédécesseurs, parmi lesquels on trouve il est vrai quelques pointures comme Gene Ha, Neal Adams ou encore Terry Dodson. Histoire de fêter le baisser de rideau en grande pompe. Au final, Fables aura réussi le pari de proposer une série grand public (mais pas tout public, comme le mentionne les couvertures) se dégageant des histoires de super-héros et de ses codes/contraintes de continuité souvent obscurs pour le néophyte autant que des comics à la limite de l'underground pour un public très ciblé. Accessible tout en étant audacieuse, dotée d'une narration (et d'un découpage) classique mais solide, maniant un sens du décalage par rapport à son matériau de base qui amuse autant qu'il surprend tout en exploitant au maximum les possibilités, Fables est une série dont le succès, la notoriété et le statut de classique s'expliquent assez aisément. Post par Phileas, le 8 février 2016 Note générale :
  10. <img src="https://www.bdfugue.com/media/catalog/product/cache/1/image/400x/17f82f742ffe127f42dca9de82fb58b1/9/7/9782365772297_1_75.jpg" HEIGHT=320 WIDTH=240/><img src="https://www.bdfugue.com/media/catalog/product/cache/1/image/400x/17f82f742ffe127f42dca9de82fb58b1/9/7/9782365772303_1_75.jpg" HEIGHT=320 WIDTH=240/><img src="https://www.bdfugue.com/media/catalog/product/cache/1/image/400x/17f82f742ffe127f42dca9de82fb58b1/9/7/9782365772310_1_75.jpg" HEIGHT=320 WIDTH=240/> Série : American Vampire Scenario : Stephen King / Scott Snyder Dessin : Rafael Albuquerque my 2 cents Le top Edition : Urban Comics Acheter American Vampire sur BDfugue Résumé :Amérique, fin du XIXe siècle. Le bandit Skinner Sweet est freiné dans sa tentative d'évasion par un vampire venu du d'Europe. Laissé pour mort, il revient à la vie et découvre qu'en plus d'être l'un d'entre eux, il est aussi la plus puissante, la plus rapide et la plus redoutable des créatures de la nuit. Plus d'un siècle plus tard, à Los Angeles, il contamine à son tour la jeune Pearl Jones afin d'en faire le second vampire d'une nouvelle espèce sur le continent, capable de marcher sous le soleil. Pour ne pas faire de jaloux dès le début, après une série de BD, voici un comic. Et pas n'importe quel comic, un comic résolument pour adulte qui me tient à cœur : American Vampire. Le principe de ce comic se résume bien par l'introduction de monsieur Stephen King lui-même : "Tais-toi, et suce !" Cette introduction représente vraiment le cœur de la série. Stephen King y décrit la dérive des vampires dans l’imaginaire commun. En effet suivant les modes d'Entretien avec un Vampire ou encore de Twilight, le vampire est devenu un personnage presque aimable ou sur lequel on s’apitoie. Mais un vampire (et ce n'est pas monsieur Carpenter qui nous dira le contraire ) c'est avant tout un monstre assoiffée de sang ! Et American Vampire, via un premier tome aux mains du maître Stephen King lui-même, nous remet dans le droit chemin en nous montrant des Vampire plus méchant que nature. Des vampires qui considère les humains comme de la nourriture et règnent sur le monde. Mais des vampires tellement sur de leurs forces qu'ils ne se méfient pas d'une nouvelle race de vampire. Vous l'aurez compris ici pas de chichis. Porté par les sublimes dessins de Rafael Albuquerque, ce premier cycle (formé par les 3 premiers tomes) est un incontournable du comic fantastique. Incontournable niveau dessin. Incontournable car c'est l'un des rares comic originaux de Stephen King. Incontournable par ses personnages et surtout notre Vampire American qu'est Skinner Sweet qui passe à travers les âges pour devenir le croquemitaine des vampire d’Amérique. Ma Note:
  11. poseidon2

    Ascender T1

    Série : Ascender Scenario : Jeff Lemire Dessin : Dustin Nugyen my 2 cents J'avais tord d'avoir peur Edition : Urban Comics Acheter sur BDfugue Résumé : Dix ans après que les machines ont quitté la galaxie, la magie a repris ses droits au seul bénéfice de Mère, personnage terrifiant parvenu à soumettre plusieurs planètes à sa volonté. Sur Sampson, la jeune Mila et son père Andy recueillent contre toute attente un petit droïde qui va attirer l'attention des sbires de Mère. Ils doivent quitter la planète, mais dans un monde sans technologie, la tâche n'est pas aisée... Contenu vo : Ascender #1-5. Jeff Lemire est un vrai génie. Bon ok j'ai déjà du le dire... J’avais énormement de réticences à lire Ascender… En effet la décision prise durant Descender de changer la fin m'avais déçu car on avait senti que cette fin n'était pas celle souhaitée au départ. Même si l'auteur a bien expliqué sa décision, cela me laissait un gout d'inachevé. Et bien j'ai angoissé pour rien. Ce tome 1 d'Ascender est absolument génial. La façon dont Jeff Lemire réussit à créer la filiation entre les séries, à gérer les flash back explicatifs et à nous pondre une histoire intéressante… c’est vraiment du grand art ! Car si le début nous laisse perplexe, le doute sur le lien avec Descender se lève vite et on retrouve avec plaisir des personnages laissés en plan à la fin de Descender. Ce qu'il réussit super bien c'est de répondre à nos interrogations juste apres que celle-ci nous viennent en tête. Porté par les dessins sublimes de Nguyen, ce tome 1 d'Ascender est, sans doute aucun, la meilleur lecture comic de ce debut d'année. Et j'étais très loin de penser lui mettre une note pareil avant le debutt de la lecture. Ma Note:
  12. poseidon2

    Gideon Falls T1

    Série : Gideon Falls Scenario : Jeff Lemire Dessin : Andrea Sorrentino Genre : Thriller fantastique Edition : Urban comics Acheter sur BDfugue Résumé :Norton Sinclair est un jeune homme perturbé, marginal et légèrement paranoïaque. Persuadé que les déchets des citadins renferment les clés d'une conspiration d'envergure, il accumule, classe et livre ses conclusions hallucinées au sujet d'une grange noire au docteur Xu, la psychiatre qui le suit depuis sa sortie de l'hôpital. Ailleurs, dans la petite bourgade de Gideon Falls, le père Fred prend contact avec la nouvelle communauté dont il a désormais la charge après la disparition subite du précédent prêtre. Au cours de sa première nuit sur place, une sinistre grange noire vient ponctuer une série d'événements pour le moins dérangeants... Contient Gideon Falls #1-6 Nouvelle série du bon et prolifique Jeff Lemire avec cette fois quelque chose de vraiment diffèrent. Point de SF ni de critique sociétale ici. Ici on est dans le thriller fantastique. Vous aimez les films genre "Prisonners" ou encore les épisodes les plus sombre de "X-Files" pour les plus anciens, vous serez ravi. Car là on est dans une quête bien sombre. Jeff Lemire nous a concocté une histoire bien glauque comme à chaque fois bien pensée. Car eu histoire glauque se doit d'être bien racontée. Et là c'est encore le cas. Jeff Lemire manipule avec intelligence les histoires croisées de notre prêtre parachuté à Gideon Falls contre son gré et Norton Sinclair qui est pris pour un fou parce qu'il a l'air de connaitre la "vérité". Cela lui permet d'osciller entre "action" et explication sans que cela paraisse choquant. Cela permet aussi de subtilement rapprocher les deux personnages qui n'ont rien en commun. Coté dessin, Andrea Sorrentino nous livre une copie parfaitement en lien avec l'histoire avec un dessin sombre et torturé qui nous plonge dans cette ambiance glauque voulut par Lemire. Ne vous y trompez pas cependant : cela à beau être du Jeff Lemire c'est une BD pour adultes qui a de forte chance de ne pas finir bien. A ne pas mettre entre toutes les mains selon moi. Ma Note:
  13. Série : Punk Rock Jesus Scenario : Sean Murphy Dessin : Sean Murphy Genre : Utopie Edition : Urban Comics Acheter sur BDfugue Résumé :À l'occasion de ses 5 ans, Urban Comics publie en novembre 5 albums qui ont marqué son évolution depuis 2012. Ces 5 albums anniversaire bénéficieront d'un très grand format cartonné, d'un papier de qualité supérieure, d'un ex-libris et de nombreux contenus inédits. Tirage limité à 2 500 exemplaires. Dans un futur proche, la maison de production OPHIS tient le sujet de son prochain programme de télé-réalité : filmer la vie de Jésus Christ. Recréé génétiquement à partir des traces ADN du suaire de Turin, le clone du Messie grandit sous le regard avide des caméras et d'une Amérique subjuguée par ce qu'elle pense être la Seconde Venue du Christ. Quelques années plus tard, l'expérience tourne court lorsque l'adolescent entre en révolte totale contre le système et devient le prophète d'une autre Amérique. Contenu : Punk Rock Jesus Deluxe Edition.. Les éditions Urban comics ont 5 ans. 5 années que nous avons enfin le droit de voir des parutions d'albums de qualités jusqu'à present oubliés par nos importateurs comme la majorité de ce qui est paru chez Urban Indies ou encore Vertigo. 5 ans que nous avons aussi, pour les fans, le droit à des parutions de comics de super héros quasiment en direct avec les US et des éditions cartonnées collectors de toutes beautés. Et pour féter cet anniversaire, Urbanc Comics a choisi d'éditer 5 versions collectors (tirées à 2500 exemplaires pile poil) de 5 des leurs incontournables. Une chance pour moi car j'ai pu comme cela combler un manque chez moi : Punk Rock Jesus de Sean Murphy. Je ne vais pas revenir sur l'excellence de l'histoire qui marqua l'entrée fracassante de Sean Murphy au sein des saints du comics US. Non non (meme si j'en ai envi !). Je parlerais plus de cette édition 5 ieme anniversaire : Pour parler rapidement, cette edition contient autant de pages de bonus divers et variés que d'histoire plus un ex libris special pour l'occasion. Cela nous permet, une fois la lecture finie et digérée, de se plonger dans le travail de creation et de concept de ce comic surréaliste qu'est punk Rock Jesus. On pourrait tout juste noter que le trop plein donne limite à l'ouvrage l'impression de deborder mais la reliure à l'aire à toute épreuve. Un sublime album qui ravira les fans des 5 histoires en questions mais surtout un anniversaire en fanfare pour l'éditeur le plus en vue des editeurs de comics francais. Bon anniversaire Urban comics ! Ma Note :
  14. Série : Tokyo ghost Scenario : Rick remender Dessin : Sean Murphy Genre : Anticipation sauvage Edition : Urban comics Acheter sur BDfugue Résumé :Nichés en plein coeur des Jardins Préservés de Tokyo, Led Dent et Debbie Decay n'ont pas pu échapper longtemps à l'enfer technologique instauré par Flak Corporation. Le pirate Davey Trauma a pris le contrôle de l'esprit et du corps de Dent, qu'il pousse désormais à tuer et à détruire tout ce qui peut se trouver sur ton passage. La ville de Tokyo a été la première à en payer le prix... Contient : Tokyo Ghost vol.2 (#6-10) Et bien dites donc la grosse surprise que ce tome deux de Tokyo ghost. Grosse surprise déjà car.... et bien c'est la fin. En effet Rick Remender nous as habitué à de très bonne histoires mais qui dure sur au moins 5 ou 6 recueils. Mais ce format diptyque va très bien à notre histoire. En effet cela permet à ce deuxième et dernier tome de garder l'intensité du premier et de nous livrer une fin d'histoire qui va aussi vite que la moto de Led : à 100 à l'heure. Mais cette vitesse de traitement va aussi très bien avec une époque où les gens sont lobotomisés par des flux d'information constants et ou toute information est relayée à la vitesse de la lumière. Une fin cash, sans fioriture qui réjouira les fans du premier tome dont je fais partie mais qui ne permettra pas de rattraper les déçu de l’excès de violence visuels et verbal qui se dégageait du premier. Un excellent diptyque à ne cependant pas mettre entre toutes les mains. Ma Note:
  15. poseidon2

    The Wake

    Série : the wake Scénario : Scott Snyder Dessin : Sean Murphy Genre : Anticipation Edition : Urban comics Acheter sur BDfugue Résumé : Lorsqu'elle est arrachée à ses recherches pour rejoindre une expédition secrète gouvernementale en plein Arctique, la biologiste marine Lee Archer ne se doute pas une seconde de ce qu'elle s'apprête à découvrir par 300 pieds sous la calotte glaciaire. Après avoir été présentée à l'équipe de spécialistes en tous genres, Lee découvre dans un caisson la raison d'être de cette expédition top secrète : un spécimen vivant de véritable chimère marine, une sirène. Décidément voici deux auteurs qui se sont bien trouvés. Après l'excellente série American Vampire legacy, les voici venir avec une histoire d'anticipation horrifique tout bonnement géniale. Découpée en deux parties avant et après le déluge, cette histoire nous raconte tout d'abord un huit clos angoissant à souhait avant de nous livrer une aventure futuriste aux petits oignons. C'est difficile pour moi de vous décrire la qualité de cette BD sans en révéler le contenu. Mais l'idée de Snyder est vraiment bonne. Bien recherchée et un peu à contre-courant des extraterretreries standards, cette histoire nous surprend autant qu'elle nous prend aux tripes par son intensité. Les sublimes dessins de Murphy sont bien évidement partie prenante de cette sensation d'angoisse avec son style graphique habituel. Sans trop en dire j'ai juste trouvé la fin un poil tirée par les cheveux mais bon c'est en chipotant. Ma Note :
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    La Saga Sandman

    Une fois n'est pas coutume, je vous conseil vivement de lire les préfaces des Sandman. Elle sont toutes réalisées par de grands écrivains américains et offre un oeil critique vraiment intéressant ! tomes et non Note au nouveau lecteur : Attention chez Urban il n'y a, de mémoire, que comme les parutions étaient quand ces critiques on été écrites ! Intégrale 1 de Urban comics : Sandman T1 : Preludes et nocturnes Série: Sandman Dessinateur: Collectif Scénariste: Gaiman Genre: Fantastique-Etrange Editeur: Urban Comics Résumé : Sandman, le Maître des Rêves, a été fait prisonnier pendant 70 ans par une famille de petits magiciens. Après s'être libéré, il doit réclamer son royaume, le Rêve, ainsi que ses attributs de pouvoir: son heaume, sa bourse, et son rubis. Sa quête est difficile, mais il peut compter sur l'aide de personnages très inattendus ! Ces deux histoires que sont Preludes et Nocturnes portent bien leurs noms. Elles sont tout d'abord le Prélude à l'oeuvre de Gaiman avec la libération, après 70 ans, de Dream. 70 ans que Dream a passé enfermé dans une bulle de verre, prisonnier par des apprentis sorcier cherchant à emprisonner.... sa grande soeur Death des Eternels. C'est dans ce premiers tome que Gaiman commence à nous introduire son Univers. C'est la première fois ou l'on entends parler des Eternels, ces 7 frères et soeurs étant aussi vieux que l'univers et ayant des roles aussi cruciaux. Dans ce premier tome on nous montre surtout le personnage centrale des histoires à venir : Dream. L'impassible maître du domaine des rêves. Celui qui permet à tout homme ou espèce vivante sur terre de rêver... ou de cauchemarder. On comprend bien qu'en temps qu'Eternel, Sandman n'a que faire d'être emprisonné. Car le temps lui importe peu. Il sait pertinemment que les hommes font toujours des erreurs. La deuxième partie s'appelle Nocturne en rapport à l'état du monde des rêves et du monde tout court à la sortie de Dream de sa prison. Les gens ne dorme plus. Ou alors il dorment tout le temps. En tout cas ils ne rêvent plus. Leurs sommeil est plongé dans le noir. Dream cherche donc à récupérer ces attributs de maître du rêve qui ont été disséminé aux quatre coins du globe. C'est l'occasion pour Gaiman de commencer sa démonstration de scénariste magique. En effet il réussi avec brio à nous faire plonger dans ces deux histoires en nous présentant petit à petit des choses sortant de l'ordinaire tout en les plaçant dans le monde réel. Cain et Abel vous connaissez ? La mort aussi ? Azazel ? Lucifer ? Ou encore l'asile d'Arkham ? C'est se nombre de personnages et la facon de les introduires qui fait, des le premier tome, aliver quand à la suite. Avec raison ! Sandman T2 : La maison de poupée Série: Sandman Dessinateur: Collectif Scénariste: Gaiman Genre: Fantastique-Etrange Editeur: Urban Comics Résumé : Ces attributs retrouvés, Dream reconstruit son royaume petit à petit et se rend compte que 3 des ces rêves ont disparus et non des moindres : Les cauchemardeux Brute et Glob, l'étrange Finaud la verdure et surtout le terrible Corinthien ! En plus de cela, un vortex apparaît se mêlant à cette difficile reconquête de royaume. Mais si tout ces événements étaient liés? Qui en tirerait les ficelles ? La construction du monde de Dream continu. Gaiman nous entraine cette fois à la poursuite de rêves important, montrant Sandman dans un rôle de chefs implacables souhaitant voir revenir ces sujet. Entre l'histoire du Vortex qui est le file rouge de ce tome et les trois autres histoires de la chasse aux rêves, nous suivons dream dans un certains nombres d'histoires, plus tordues et bizarres les unes que les autres. Ce qui est impressionnant dans cet album qui peut sembler être un albums "Annexes", sans reel impact sur l'histoire globale de Sandman, c'est que l'on se rend bien compte que gaiman avait déja un plan d'envergure pour Dream. En effet, en deuxième lecture comme je le fait la, on se rend compte que chaque personnages, même minime, aura un rôle dans les tomes suivants ! On se délecte donc encore plus de ce tome en deuxième lecture ! Initégrale 2 de Urban Comics : Sandman T3 : Domaine du rêve Série: Sandman Dessinateur: Collectif Scénariste: Gaiman Genre: Fantastique-Etrange Editeur: Urban Comics Résumé : Quatre histoires dans le domaine de Sandman qui ont déclenché le triomphe américain de la série, grâce à l'imagination et l'audace du véritable maître du rêve, Neil Gaiman ! Un écrivain en panne d'inspiration parvient à se procurer la plus jeune des Neuf Muses, Calliope. Mais à quoi peut bien ressembler le rêve de 1 000 chats ? Une nuit d'été, Sandman convoque un certain Will Shekespeare pour qu'il donne la pièce qu'il lui a commandée. Depuis des siècles, Urania sait qu'elle ne peut pas mourir et implore Death de la délivrer. Peut être le moins bon recueil de la série. En effet les quatre histoires présentes dans ce volume sont vraiment anecdotiques dans l'univers de sandman. On y poursuit la découverte de personnages récurrents comme les royaumes des elfes mais ce sont des personnages de moins grande importance. Mais je suis un peu méchant en disant que les quatre sont anecdotiques. EN effet la dernière est l'historie ou Gaiman nous présente son personnage qui, d'après les critiques, est le plus aboutit j'ai nommé : Death. La grande soeur de Dream est une très jolie jeune fille, habillée en grung, et blanche comme son frère. C'est une vision différente de la mort qu'on peut voir d'habitude. Pas effrayante, plutôt gentille, très mignonne et surtout n'ayant pas de faux. Dans cette histoire courte, on l'aperçoit "venant en aide" à une femme ensorcelée...... C'est le personnage le plus attachant, avec Dream, de l'univers de Gaiman. Au point qu'elle est elle même une série à son nom (très bien d'ailleurs mais c'est une autre histoire). Pour cette histoire ce tome mérite d'être lue, mais juste pour celle la. Les autres mérites juste de présenter des personnages important. Mais la qualité narrative reste quand même immuable.... Sandman T4 : La saison des brumes Série: Sandman Dessinateur: Collectif Scénariste: Gaiman Genre: Fantastique-Etrange Editeur: Urban Comics Résumé : L'histoire narrée dans "La Saison des Brumes" trouve son origine il y a dix mille ans, quand Sandman condamna aux Enfers une femme qui l'aimait. Aujourd'hui rassemblée pour la première fois depuis des siècles, la famille de Sandman, les entités connues sous le nom des Eternels, le convain d'aller sauver l'être aimé. Mais Lucifer, Seigneur des Enfers, a juré un jour de détruire Morphée. Le face-à-face aura lieu, et rien ne se déroulera vraiment comme Sandman le prévoyait. Les plans de Lucifer Morningstar sont très subtils. Voici, après le premier tome, le véritable départ de la série Sandman. Après une présentation un peu longue dans les deux tomes précèdent, d'un certain nombre de protagonistes, on entre ici dans un cycle de tomes comprenant des histoires complètes, faisant apparaître les personnages présentés plus haut. La saison des brumes, considérés par certains comme l'un des meilleurs de la série, est une histoire complète se penchant vraiment sur le personnage de Morphée (et non dream comme nous le verrons plus tard). Car Morphée a fait une bêtise. Non pas vraiment à l'échelle de son royaume, mais plus une bêtise d'orgueil. Il condamna, suite à un refus, une femme à une torture éternelle en enfer. Lors d'un repas de famille orchestré par Destiny, ce même Destiny provoqua une dispute qui amena Morphée à se remettre en question sur cette maladresse. Et à vouloir la corriger, avec les énormes conséquences que cela va avoir ! Mais peut-on vraiment en vouloir à Destiny ? Car après tout, il ne fait que lire son livre....... Ce tome est particulièrement intéressant car il nous présente réellement pour la première fois l'existence de Dream dans toutes les religions et surtout les interactions entre les dieux eux-mêmes. C'est un des concepts de base de sandman que de dire que les Eternels sont, par définitions, éternels mais que les différents dieux n'ont d'existence que tant que des personnes croient en eux. Et ils se connaissent donc du temps de leur existence. Aussi complexe que cela puisse paraître, Gaiman arrive avec talent à nous faire comprendre sa façon de penser et à nous montrer petit à petit comment Morphée (pas Dream hein <img src="http://www.1001bd.com/forums_BD/public/style_emoticons/<#EMO_DIR#>/wink.gif" style="vertical-align:middle" emoid="" border="0" alt="wink.gif" /> évolue. En plus d'action sur la longueur, ce tome est donc la première étape qui va nous amener.... 6 tomes plus loin ! Intégrale 3 de Urban comics : SANDMAN T5 : Jouons à etre toi Série: Sandman Dessinateur: Collectif Scénariste: Gaiman Genre: Comics Editeur: Urban Comics Résumé : Dans Jouons à Etre Toi Gaiman passe d'un monde à l'autre, d'un immeuble miteux à un univers dans la lignée de Narnia, menacé par un ennemi simplement appelé Le Coucou. Les allusions mythologiques placent le récit hors du temps, mais comme toujour, l'accent est mis sur les personnages. La distribution haute en couleur inclut cette fois un travelo, un couple de lesbiennes punks, divers animaux et une tête coupée doués de la parole, l'héroine paumée Barbie, et bien sûr, le rôle-titre, Morphée lui-même, alias Sandman, alias Dream, le Roi du Rêve. Cette deuxième histoire complète de Sandman est peut-être une des plus "difficile". Difficile car de premier abord, et comme c'est très bien dit dans la préface, ce récit peut paraître quelque peut idiot et enfantin. En effet on passe la moitié du temps entre le monde réel et le monde imaginaire, monde imaginaire bien étrange, un peu à la Narnia ou Sandman apparaît très peu. Le personnage central est une fille un peu perdue, qui à pour meilleure amie une travestie, et fréquente deux lesbiennes. En ne regardant que les personnages, on pourrait se dire que Gaiman fait dans le "trash", se servant de recette de tabloïd en parlant de chose à l'époque encre plus taboues que maintenant. Mais la n'est pas le propos de cet album. Pour bien lire cet album il faut essayer de ne pas faire de différences entre le monde réel et le monde imaginaire. A partir du moment où l’on imagine le monde imaginaire aussi réel que le monde réel, l'histoire prend un autre sens. Beaucoup plus sombre, beaucoup plus intense qu'une histoire de travestie et de lesbienne. Je risque de me répéter, mais le talent de narration de Gaiman fait le reste. Une fois immergé dans les deux univers, on n’a aucun mal à être complètement aspiré par le récit !! SANDMAN T6 : Fables et reflexions Série: Sandman Dessinateur: Collectif Scénariste: Gaiman Genre: Comics Editeur: Urban Comics Résumé : Fables et Réflexions suit le Roi des Rêves à travers neuf contes remarquables, où il insuffle la vie aux brumes du passé et aux cauchemars du présent. Dans cet ouvrage, rois et espions, empereurs et acteurs, corneilles et loups-garous nous invitent à partager leur histoire et leurs rêves de vie, d'amour, de puissance ou de ténèbres. Petite incartade dans la suite des événements qui vont amener à la fin de Sandman. Une petite pause sous forme de 9 très beaux contes. Je vous avais dit que je n'appréciais que moyennement les petites histoires de Gaiman. Et bien celles-ci font exceptions. En effet ces histoires la sont vraiment des Fables. Racontées comme tel, elles nous emmènent dans des endroits improbables, à la rencontre des plus grands hommes de notre histoire. De l'unique empereur des Amériques au sultan de Bagdad la flamboyante en passant par l'empereur Auguste, Marco Polo et Mde Constantine, nous voyageons dans toutes les contrés, dans toutes les époques, dans tous les rêves.... Nous en apprenons aussi beaucoup plus sur Orphée, le fils de Morphée, au destin tragique et à l'avenir encore plus tragique. Avec, comme toujours, des dessins superbement adaptés aux 9 différentes nouvelles, Gaiman nous présente les dernières pièces de son puzzle, avant de le mettre à leur place. Mais cette fois ci il le fait de façon très romancer, très poétique et un poil romantique. Le vrai enseignement de ce tome, en plus du simple plaisir de lecture, pourrait vraiment être selon moi : Qui que l'on soit, ou que l'on soit, on a tous un point commun, nous rêvons ! Intégrale 4 de Urban Comics SANDMAN T7 : VIES BRÈVES Série: Sandman Dessinateur: Thompson,Locke Scénariste: Gaiman Genre: Comics Editeur: Urban Comics Résumé : Voici maintenant plus de 300 ans que Destruction est parti. Parti pour quoi ? À cause de quoi ? C’est la question que se pose Delirium. Car plus le temps passe chez les Eternels, plus ce manque augmente chez Delirium. Elle passe donc voir ces frères et sœurs les uns après les autres pour chercher un compagnon de recherche, qu’elle trouve en la personne de Dream…. « Vies brèves » est le tome numéro 7 des aventures de Sandman. Décrire ce tome est, comme quasiment tous les tomes de sandman, difficile. Difficile car le sentiment laissé par cette œuvre et lui-même difficile à comprendre, à analyser. Une chose est sur en tout cas, c’est que cette histoire fait réfléchir tout en étant envoûtante, attirante. Car nous ne pouvons nous aussi nous demander : pourquoi un dieu souhaiterait-il quitter son rôle ? Pourquoi ces frères ont-ils si peur de ce changement ? Car l’est toute la question soulevée par cette histoire de Sandman. Le changement et la peur qu’il inspire, à tous, même à des dieux…. Comme le dis très bien la superbe préface (agréablement repositionné à la fin par Panini), tout est question de changement. Delirium qui veut que son frère revienne pour que tout redevienne comme avant et Dream qui à peur de s’avouer que les humains s’en sortiraient très bien sans eux…. Plus qu’une BD, cette aventure de sandman nous entraîne corps et âmes dans le monde des éternels. On oublis tout lorsqu’on se plonge dans un Sandman. Nos misères, nos sujet de réflexion, le boulot…Tout. Et se plonge complètement dans les réflexions alambiquées de Dream mais aussi dans les petites phrases sans queue ni tête de Delirium. On a l’impression d’être à côté de Dream lorsqu’il revoit son fils, première fois depuis la mort d’Eurydice. Une vraie réussite pour un maître de la bande dessiné. Comme dit l’auteur de la préface : SI ceci n’en est pas, rien n’est littérature. Poseidon2, plus que fan… Intégrale 5 de Urban SANDMAN T8 : Au Bout des Mondes Série: Sandman Dessinateur: Gaiman Scénariste: Gaiman Genre: Comics Editeur: Urban Comics Résumé : Pris dans un orage, des naufragés de tous les temps, mythes et domaines de l'imaginaire convergent vers la mystérieuse auberge Au Bout des Mondes. En attendant que la tourmente s'apaise, dans la tradition des Contes de Cantorbéry, de Chaucer, les voyageurs se content des histoires de leurs pays respectifs, leurs expériences, leurs rêves. Le tome le plus à part de la série. Un tome sans reel lien avec la trame principale mais nous ramenant plein de personnages deja vue au paravent. Un peu comme is on retrouvait des amis venu de partout. Des amis venus assister à une conclusion d'une longue et belle histoire. Des amis qui permettent a Dream de se poser certaines questions. Intégrale 6 de urban cpomics SANDMAN T9 : Les Bienveillantes Série: Sandman Dessinateur: Collectif Scénariste: Gaiman Genre: Comics Editeur: Urban Comics Résumé : On les appelle d'une multitude de noms. Erinyes. Euménides. Furies. Elles sont des entités vengeresses, implacables, que rien ne saurait arrêter. Elles lavent le sang les crimes parvenus à leur connaissance. C'est à elles, les Bienveillantes, que Lyta Hall en appelle quand son petit Daniel lui est enlevé. Et dès cet instant, Dream des Eternels devient leur cible. Mais derrière le chagrin et la colère d'une mère, d'autres forces plus ténébreuses sont à l'oeuvre, qui exigeront un sacrifice sans précédent au royaume du rêve. Pourquoi, après un résumé si alléchant, suis-je triste ? C'est la question que vous vous posez surement ? Et bien car cette superbe BD marque la fin de l'histoire de Sandman. Non non ne me jeter pas la pierre tout de suite. Car cela n'est pas un mystère, c'est marqué noir sur blanc dans la préface : Personnes ne peut échapper aux bienveillantes, pas même le faiseur de rêves ! Gaiman nous livre ici la fin de l'histoire commencé il y a bon nombre d'année avec la libération de Dream suite à un enfermement de 80 ans dans une bouteille. Après bien nombre d'aventure comme la reconquête de son royaume, Morphée est mit, dans cet album, devant la responsabilité de ces actes : En acceptant de mettre fin au supplice de son fils, il a du même coup donner une possibilité pour les bienveillantes de faire leur travail. Il ne manquait pour cela qu'une demande émanant d'un mortel. Alors quand Lyta, trompé par on ne sait qui, rend Dream responsable de la disparition de son fils, les bienveillantes se mettent en chasse ! Ce livre est vraiment une merveille de narration. Gaiman est vraiment le dieu de son univers de dieux ! Il manie les croisements d'histoires, les indices et la dramaturgie comme peu dans le monde de la bande dessinée en générale ! Que ce soit les différentes facettes des bienveillantes, la revue discrète de tout les personnages des précédents épisodes ou le très subtile fil de vie de Dream que l'on voit passer de page en page, chaque petite partie du récit nous mène vers un tout. Subtilement. Magnifiquement. La fin du volume est particulièrement riche en émotion et prend aux tripes tout amateur du monde de Gaiman. Le dessin quand à lui à le bon gout.... de ne pas voler la vedette au scénario. C'est bizarre de dire ca, surtout sur un comic, mais les dessins assez simple et pourtant très démonstratif laisse place à la réflexion et à l'imaginaire. Une sublime fin pour une sublime série. Pour finir une série aussi bien qu'on l'a commencé, il faut vraiment avoir un immense talent. Merci bien Monsieur Gaiman et félicitation ! Pos², fan de sandman et en recherche de toute les BD de Gaiman qu'il n'a pas ! Intégrale 7 de Urban Comics Sandman T10 : Veillée Mortuaire Série: Sandman Dessinateur: Collectif Scénariste: Gaiman Genre: Comics Editeur: Urban Comics Résumé : Dieux antiques, amis et ennemis s'assemblent dans Veillée Mortuaire pour rendre un dernier hommage à feu le Roi du Rêve et conclure l'interminable histoire de Morphée l'Eternel. Après de très étranges obsèques, les échos de Morphée subsistent. Ils effleurent un homme qui refuse la mort, un lettré chinois perdu dans le désert du Rêve, et enfin Shakespeare qui, au crépuscule de sa vie, doit remplir envers Sandman une obligation consentie vingt ans auparavant. Morphée est mort. Non pas Dream des Eternel mais bien Morphée. Quelle différence me demanderez-vous? Et bien tout..... Ou rien. Enfin cela veut dire que vous n'avez pas lu les autres tomes de Sandman. Car Morphée est Dream... mais Dream n'est pas forcement Morphée. Dream est une représentation d'une idée, d'une puissance et est donc Eternel. Morphée était une de ces représentations....... Morphée à la fois dure et omniscient mais aussi bon et ignorant quand cela concerne l'amour ou les relations humaines. Morphée qui était pour beaucoup un ami, pour certains un ennemi mais que tous connaissaient et que tous viennent saluer dans leurs rêves. Gaiman nous livre ici le dernier tome de Sandman(le 11 étant un recueil d'autres histoires, indépendantes). Celui ou il clôture une fresque qui fait de lui l'un des scénaristes de BD les connus et les plus reconnus de la planète. Et à juste titre. A l'instar d'un Hugo Pratt, il nous à fait vivre durant toute ces années une fresque tellement bien construite et tellement magique sur plus de 3000 pages qu'elle nous ferait oublier toute les autres œuvres de ces contemporains. A la fois magique et émouvant, Sandman restera à jamais l'une des plus grandes série de tout le temps.... Ceux qui diront LA plus grande n'étant surement pas loin. Mais parlons plutôt de ce dernier tome. Sans être le meilleur de tous (relisez les tomes 4 à 9), il clôture quand de façon magique cette série. <a href="http://www.1001bd.com/forums_BD/index.php?showtopic=11244" target="_blank">Les bienveillantes </a> nous avaient laissé sur une fin possibles. Une fin intimiste entre Dream et sa Soeur.... Ici Gaiman a le bon gout de nous rappeler que mine de rien Morphée avait des amis, des gens qui le respectaient et qui souhaitent donc lui rendre hommage. Mais il nous révèle surtout, et cela va parfaitement dans le sens de cette œuvre, ceci : Tant que quelqu'un rêve encore de Morphée, peut on vraiment dire qu'il est mort ? Merci monsieur Gaiman pour toutes ces années et votre virtuosité jamais égalité. Pos², Triste comme rarement en BD.... A noter la sortie d'un tome 0 qui est ... intéressant pour les fan : Résumé : 25 ans après la sortie du tout premier épisode de la série devenue iconique, SANDMAN, Neil Gaiman est retour pour nous conter la prequel de la saga. Un récit complet agrémenté de TRÈS nombreux bonus et commentaires inédits des auteurs. Au dessin, J.H. William III (BATWOMAN) livre ses planches les plus éblouissantes. Une esthétique à vous donner le tournis. Depuis la création de l'univers jusqu'à la capture de Morphée, les pages de SANDMAN OUVERTURE révèleront tous les secrets de cette épopée. Les Éternels Destiny et Death, le Corinthian ou encore Lucien, tous sont de retour pour vous conter les origines inédites de l'une des sagas les plus acclamées du label Vertigo. Le rêve ne fait que commencer. Ce qui est vraiment bien dans cette ouverture c'est qu'elle nous raconte vraiment ce qu'il s'est passé avant et comment Dream a pu se faire capturer comme cela. Un lecture qui ravira les fan de la Série mais qui peut aussi marquer un debut logique à la lecture rendant juste le personnage un peu moins mystérieux
  17. Ou qu'il est ce site ? Pas encore en ligne ? :mrgreen:
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