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  1. poseidon2

    Harley et Ivy

    Alors j'ai lu ce Harley et Ivy à reculons. En effet je l'ai pris pour ma fille (qui, dès que c'est une histoire de filles, est bon public) mais moi j'en ai un peu marre de Harley la fofolle de service. Et bien j'ai été agréablement surpris. Déjà ce tome est un vrai tome du monde DC. Il explique comment est revenue Ivy suite à sa disparition dans l'excellent Hereos in crisis. Déjà c'est un bon point. Ensuite Harley n’est pas trop insupportable. Elle cherche vraiment à tout faire pour aider sa copine et songe sérieusement à devenir gentille. L'histoire est bien menée, la surprise sur la fin est bien foutu et les petits clins d'œil au reste de l'univers DC sympa. Ce one shot est donc une vraie lecture sympathique. Une bonne lecture de vacances que vous pourrez partager avec votre ado de service.
  2. poseidon2

    Harley et Ivy

    Titre de l'album : Harley et Ivy Scenariste de l'album : Jody Houser Dessinateur de l'album : Adriana Melo Coloriste : Hi-FI Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Il y a peu, Harley Quinn a bien cru qu'elle avait perdu Poison Ivy pour toujours... À nouveau réunies, elles ont maintenant la ferme intention de profiter de la vie. Imaginez donc la réaction de la reine de Coney Island quand sa meilleure amie devient la cible d'une nouvelle menace ! Ou plutôt... sa réaction quand elle réalise qu'Ivy a bien changé, et qu'elle fait plus que flirter avec le côté obscur ! Harley se laissera-t-elle séduire par cette nouvelle facette, ou saura-t-elle tenir tête à son alliée de toujours ? Critique : Alors j'ai lu ce Harley et Ivy à reculons. En effet je l'ai pris pour ma fille (qui, dès que c'est une histoire de filles, est bon public) mais moi j'en ai un peu marre de Harley la fofolle de service. Et bien j'ai été agréablement surpris. Déjà ce tome est un vrai tome du monde DC. Il explique comment est revenue Ivy suite à sa disparition dans l'excellent Hereos in crisis. Déjà c'est un bon point. Ensuite Harley n’est pas trop insupportable. Elle cherche vraiment à tout faire pour aider sa copine et songe sérieusement à devenir gentille. L'histoire est bien menée, la surprise sur la fin est bien foutu et les petits clins d'œil au reste de l'univers DC sympa. Ce one shot est donc une vraie lecture sympathique. Une bonne lecture de vacances que vous pourrez partager avec votre ado de service. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/harley-ivy?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. poseidon2

    Wonder Woman Dead Earth

    En voilà un étrange album. Si c'était un film je dirais que c'est un film calibré pour les récompenses. Dessin style roman graphique. Scénario dur mais plein de promesses sur l'humanité. Des combats fait pour être mythique et des questionnements philosophiques sur la vie tout ça tout ça..... Le problème c'est que je n'ai jamais trop aimé les films trop récompensés (sauf gladiator). Et j'ai pourtant bien aimé ce tome ci même s'il... en fait trop à mon gout. Trop dans l’exagération en terme d'histoire, trop dans l’émotion et dans le bon sentiment. Il n'y avait pas besoin d'en faire trop. L'histoire de base est top. Wonder woman perdue comme jamais, un monde post apo bien gérer avec les humains aux bout de leurs vies. Mais il a fallu que Daniel Warren Johnson en rajoute une couche. Couche qui n'est pas aussi crédible que l'auteur ne le voudrait. Couche qui cherche à ajouter une dimension encore plus triste et émouvante à une histoire qui l'était déjà. La folie des hommes était largement suffisante à mon avis. Bref ce Wonder Woman partait d'une très bonne idée. Une bonne idée malheureusement poussée trop loin.
  4. Titre de l'album : Wonder Woman Dead Earth Scenariste de l'album : Daniel Warren Johnson Dessinateur de l'album : Daniel Warren Johnson Coloriste : Daniel Warren Johnson Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Lorsque Wonder Woman se réveille du sommeil séculaire dans lequel elle a été plongée, elle découvre que la Terre n'est plus qu'un vaste désert radioactif... Piégée au coeur de cette plaine stérile tapissée des cendres d'un passé ravagé par l'arme nucléaire, la Princesse Amazone se doit alors de protéger la dernière cité humaine de monstres titanesques et tâche tant bien que mal de découvrir les secrets cachée sous la poussière de cette terre morte et désolée. Critique : En voilà un étrange album. Si c'était un film je dirais que c'est un film calibré pour les récompenses. Dessin style roman graphique. Scénario dur mais plein de promesses sur l'humanité. Des combats fait pour être mythique et des questionnements philosophiques sur la vie tout ça tout ça..... Le problème c'est que je n'ai jamais trop aimé les films trop récompensés (sauf gladiator). Et j'ai pourtant bien aimé ce tome ci même s'il... en fait trop à mon gout. Trop dans l’exagération en terme d'histoire, trop dans l’émotion et dans le bon sentiment. Il n'y avait pas besoin d'en faire trop. L'histoire de base est top. Wonder woman perdue comme jamais, un monde post apo bien gérer avec les humains aux bout de leurs vies. Mais il a fallu que Daniel Warren Johnson en rajoute une couche. Couche qui n'est pas aussi crédible que l'auteur ne le voudrait. Couche qui cherche à ajouter une dimension encore plus triste et émouvante à une histoire qui l'était déjà. La folie des hommes était largement suffisante à mon avis. Bref ce Wonder Woman partait d'une très bonne idée. Une bonne idée malheureusement poussée trop loin. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/wonder-woman-dead-earth?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. poseidon2

    Sonata T1

    Titre de l'album : Sonata T1 Scenariste de l'album : Brian Haberlin Dessinateur de l'album : David Hine Coloriste : David Hine Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Deux peuples et deux cultures s'affrontent sur une planète que chacun croit être sa terre promise. Les Rans sont un peuple épris de paix en phase avec la nature, mais les Tayans sont une race de guerriers qui cherchent à coloniser, à contrôler et à détruire. Les mystérieux géants endormis habitent aussi cet endroit, mais personne ne sait s'ils sont des monstres ou des Dieux de la légende. Au milieu de tout cela, une jeune femme nommée Sonata est prête à enfreindre toutes les règles pour trouver sa place au sein de ce monde. Critique : Delcourt, via Image comics, enchaine les bonnes sorties comics en ce moment. Et ce tome 1 de Sonata fait partie du lot. Il aurait pu faire partie de mes comics préférés de l'année. Il aurait pu car le scenario science fiction est vraiment excellent. Tout ce qui me plait : de la SF lointaine, des races extra-terrestres soit disant reculées, des monde hostiles, des humains beliqueux et une héroine forte en caractère. Le tout accompagné d'une bonne gestion des révélations et du suspens et on a la une super histoire de SF. Ca aurait donc pu... mais ca ne l'est pas... à cause de la coloration et du choix de la réalité augmentée. Cette réalité augmentée consiste à ajouter au dessin une surcouche "realiste". Mix entre photos et dessin réaliste..... Et je trouve que cela gâche le dessin. Surtout qu'en fin de tome on peut voir la qualité des planches encrées... et bien en voyant cela on preferait une version noire et blanche ! La realité augmentée rend le tout un peu trop sombre et, si c'est très éfficace sur les décors il faut le reconnaitre, fige les visages et rend le dessin très statique. Et je trouve ca dommage. Un style Ponzio qui ne m'a jamais plu. Pour le coup, et je ne le dis pas souvent, une édition Noire et Blanche aurait surement obtenu un beau 5/5 Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sonata-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. poseidon2

    Sonata T1

    Delcourt, via Image comics, enchaine les bonnes sorties comics en ce moment. Et ce tome 1 de Sonata fait partie du lot. Il aurait pu faire partie de mes comics préférés de l'année. Il aurait pu car le scenario science fiction est vraiment excellent. Tout ce qui me plait : de la SF lointaine, des races extra-terrestres soit disant reculées, des monde hostiles, des humains beliqueux et une héroine forte en caractère. Le tout accompagné d'une bonne gestion des révélations et du suspens et on a la une super histoire de SF. Ca aurait donc pu... mais ca ne l'est pas... à cause de la coloration et du choix de la réalité augmentée. Cette réalité augmentée consiste à ajouter au dessin une surcouche "realiste". Mix entre photos et dessin réaliste..... Et je trouve que cela gâche le dessin. Surtout qu'en fin de tome on peut voir la qualité des planches encrées... et bien en voyant cela on preferait une version noire et blanche ! La realité augmentée rend le tout un peu trop sombre et, si c'est très éfficace sur les décors il faut le reconnaitre, fige les visages et rend le dessin très statique. Et je trouve ca dommage. Un style Ponzio qui ne m'a jamais plu. Pour le coup, et je ne le dis pas souvent, une édition Noire et Blanche aurait surement obtenu un beau 5/5
  7. poseidon2

    Death Metal t1

    Voilà le début du tant attendu Death Metal. La "fin" d'un run pensé de longues dates par les scénaristes de DC car aillant des bases... dans la cours des hiboux. Rien que ça. Et ce tome 1 est.... introductif. J'exagère un peu. Le début est vraiment sympa car il nous prend de court en présentant l'histoire bien après la fin de Doom War Epilogue. On nous épargne la "chute" des héros pour nous présenter la reconquête. Ça permet à Snyder de caler deux trois flash-back pour nous occuper avant le tome suivant. Car oui, même si c'est très sympa de découvrir des héros au fond du gouffre, on en apprend pas beaucoup plus sur ce tome ci. Snyder met les personnages en places, ressorts les vieux dossiers, montre Lobo (car Lobo c'est toujours un événement en soi. Ils ne sortent pas le mec plus ultra à chaque fois) et... nous dit qu'il se passera pleins de truc sympa au prochain tome. La preuve on a ici, pour combler, un recueil d’histoires courtes autour de la chute des héros en fin de tome. Histoires sympathiques mais ne faisant pas avancer le schmilblick. Bref il est urgent d'attendre pour lire cette intro plus la suite !
  8. poseidon2

    Death Metal t1

    Titre de l'album : Death Metal t1 Scenariste de l'album : Collectif Dessinateur de l'album : Collectif Coloriste : Collectif Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : La victoire du Batman Qui Rit est désormais totale. Seigneur d'une Terre cauchemardesque, transformée à son image grâce aux pouvoirs de la mère du Multivers Perpetua, il tient les héros survivants à sa merci et semble avoir anéanti toute résistance. Toute ? Dans l'ombre, le véritable Batman poursuit la lutte, bataille après bataille, contre l'oppresseur, alors que Wonder Woman, devenue cerbère des Enfers, rêve de renverser le tyran une bonne fois pour toutes. C'est à ce prix que l'espoir renaîtra de ses cendres... Critique : Voilà le début du tant attendu Death Metal. La "fin" d'un run pensé de longues dates par les scénaristes de DC car aillant des bases... dans la cours des hiboux. Rien que ça. Et ce tome 1 est.... introductif. J'exagère un peu. Le début est vraiment sympa car il nous prend de court en présentant l'histoire bien après la fin de Doom War Epilogue. On nous épargne la "chute" des héros pour nous présenter la reconquête. Ça permet à Snyder de caler deux trois flash-back pour nous occuper avant le tome suivant. Car oui, même si c'est très sympa de découvrir des héros au fond du gouffre, on en apprend pas beaucoup plus sur ce tome ci. Snyder met les personnages en places, ressorts les vieux dossiers, montre Lobo (car Lobo c'est toujours un événement en soi. Ils ne sortent pas le mec plus ultra à chaque fois) et... nous dit qu'il se passera pleins de truc sympa au prochain tome. La preuve on a ici, pour combler, un recueil d’histoires courtes autour de la chute des héros en fin de tome. Histoires sympathiques mais ne faisant pas avancer le schmilblick. Bref il est urgent d'attendre pour lire cette intro plus la suite ! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/batman-death-metal-tome-1-187846?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. Titre de l'album : DC Confidential : Great Darknesse Saga Scenariste de l'album : Paul Levitz Dessinateur de l'album : Keith Giffen Coloriste : Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Au XXXe siècle, à l'époque de la glorieuse Légion des Super-Héros, une poignée d'êtres d'ombre particulièrement agressifs se mettent en quête d'artefacts magiques et affrontent différents légionnaires aux quatre coins de la galaxie. Ces créatures sont en réalité contrôlées par un être maléfique venu tout droit du XXe siècle : le seigneur d'Apokolips, Darkseid ! Critique : Bon je vais être très honnête, j'ai eu énormément de mal à finir de DC Confidential. Non pas parce que l'histoire est mauvaise. C'est même plutôt l'inverse. L'histoire est très prenante et tous ces nouveaux héros sont assez rafraîchissants. En fait j'ai eu un mal fou avec le coté 1980 de l'album. En effet c'est une époque où les comics étaient TRÈS verbeux, ou l'on ne faisait pas suffisamment confiance aux dessins pour être explicite. Il y a donc des tartine de textes, des tartines de personnages qui pense via des bulles et quand on est obligé de tout lire parce que cela concerne des personnages que l'on ne connait pas..... Ça fait bizarre. On est vraiment à mi-chemin avec le roman. Ce n'est pas forcément un reproche en soit, c'est juste qu'il ne faut pas prendre ce comics comme un comics de détente. L'histoire n'est pas compliquée comme un Batman Metal mais la lecture est plus "lourde" que les comics actuels. Donc comme les autres DC Confidential, vous pouvez y aller. Par contre vous êtes prévenus : prenez 3h et fermez la porte. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/legion-of-super-heroes-the-great-darkness-saga?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. Bon je vais être très honnête, j'ai eu énormément de mal à finir de DC Confidential. Non pas parce que l'histoire est mauvaise. C'est même plutôt l'inverse. L'histoire est très prenante et tous ces nouveaux héros sont assez rafraîchissants. En fait j'ai eu un mal fou avec le coté 1980 de l'album. En effet c'est une époque où les comics étaient TRÈS verbeux, ou l'on ne faisait pas suffisamment confiance aux dessins pour être explicite. Il y a donc des tartine de textes, des tartines de personnages qui pense via des bulles et quand on est obligé de tout lire parce que cela concerne des personnages que l'on ne connait pas..... Ça fait bizarre. On est vraiment à mi-chemin avec le roman. Ce n'est pas forcément un reproche en soit, c'est juste qu'il ne faut pas prendre ce comics comme un comics de détente. L'histoire n'est pas compliquée comme un Batman Metal mais la lecture est plus "lourde" que les comics actuels. Donc comme les autres DC Confidential, vous pouvez y aller. Par contre vous êtes prévenus : prenez 3h et fermez la porte.
  11. Titre de l'album : Fin de serie : Black Science t9 : Mnesterophonie Scenariste de l'album : Rick Remender Dessinateur de l'album : Mattéo Scalera Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Grant et Sara se sont retrouvés et sont partis à la recherche de leurs enfants, Pia et Nate, dans toutes les dimensions. et leurs versions alternatives ont fait de même. Seulement, s'ils ne renoncent pas tous à cette quête, le multivers risque de s'effondrer. Alors qu'ils avaient atteint la dimension originelle, le coeur de l'Oignon, et abandonné tout espoir de les retrouver, leurs enfants refont surface en les téléportant dans leur vaisseau. Peut-être est-ce bientôt la fin du cauchemar pour la famille McKay ? Contenu vo : BLACK SCIENCE #39-43. Critique : Qu'il est difficile de finir ce genre de série..........Quand on commence une des séries scientifique parmi les plus complexe du comics actuel et de l'on s'enfonce dans des niveaux de détails scientifiques quasi microscopique, le dernier tome et la conclusion de l'histoire ont tout du piège. En effet comment faire revenir le lecteur à un niveau émotionnel tel qu'il se souviendra de la série comme une belle lecture et non comme une lecture compliquée ? Et bien c'est exactement ce que réussi Rick Remender dans ce tome 9 et dernier de Black Science. Et pour se faire il fait un choix osé qui ne sera pas apprécié par tous : il coupe court à son histoire pour faire des 3/4 de ce tome 9 une belle et profonde conclusion. L'histoire telle que nous la suivons depuis 8 tomes, enfin sa partie exploration/fin du monde, est conclue dans le premier chapitre, à coup de sous-entendu et de référence aux albums précédents. Pour être clair, si vous ne relisez pas le dernier (et peut être l'avant dernier), cette fin vous laissera un gout d'inachevé dans la bouche. Mais en y réfléchissant, en faisant cela, Rick Remender se réserve la possibilité d'une fin de série centrée sur Grant lui-même et au final c'est très bien. Car on avait perdu de vu a fil des tomes que cette histoire complète est partie d'un homme et de ses problèmes relationnels. Ce "grand nombre de pages de conclusion" offre aussi à Rick Remender l'occasion de nous livrer une fin comme il les aime : à double lecture. Une fois n'est pas coutume et sans trop vous en dire, la couverture de ce tome 9 ne triche pas. Elle est même parfaite. Vraiment parfaite. En résumé je dirais que ce tome clôture une série de SF tel que le monde du comic n'en a jamais vu. Un niveau de complexité et de folie rarement atteint. Mais une série qui a le mauvais côté de prendre tout son sens quand elle est lue d'une traite ! Il faut donc que je me trouve 48h sans rien faire...... Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/black-science-tome-9?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. Qu'il est difficile de finir ce genre de série..........Quand on commence une des séries scientifique parmi les plus complexe du comics actuel et de l'on s'enfonce dans des niveaux de détails scientifiques quasi microscopique, le dernier tome et la conclusion de l'histoire ont tout du piège. En effet comment faire revenir le lecteur à un niveau émotionnel tel qu'il se souviendra de la série comme une belle lecture et non comme une lecture compliquée ? Et bien c'est exactement ce que réussi Rick Remender dans ce tome 9 et dernier de Black Science. Et pour se faire il fait un choix osé qui ne sera pas apprécié par tous : il coupe court à son histoire pour faire des 3/4 de ce tome 9 une belle et profonde conclusion. L'histoire telle que nous la suivons depuis 8 tomes, enfin sa partie exploration/fin du monde, est conclue dans le premier chapitre, à coup de sous-entendu et de référence aux albums précédents. Pour être clair, si vous ne relisez pas le dernier (et peut être l'avant dernier), cette fin vous laissera un gout d'inachevé dans la bouche. Mais en y réfléchissant, en faisant cela, Rick Remender se réserve la possibilité d'une fin de série centrée sur Grant lui-même et au final c'est très bien. Car on avait perdu de vu a fil des tomes que cette histoire complète est partie d'un homme et de ses problèmes relationnels. Ce "grand nombre de pages de conclusion" offre aussi à Rick Remender l'occasion de nous livrer une fin comme il les aime : à double lecture. Une fois n'est pas coutume et sans trop vous en dire, la couverture de ce tome 9 ne triche pas. Elle est même parfaite. Vraiment parfaite. En résumé je dirais que ce tome clôture une série de SF tel que le monde du comic n'en a jamais vu. Un niveau de complexité et de folie rarement atteint. Mais une série qui a le mauvais côté de prendre tout son sens quand elle est lue d'une traite ! Il faut donc que je me trouve 48h sans rien faire......
  13. Décidément cette série Urban porte bien son nom : les récits qui sont choisi sont assez hors normes et toujours très réussit. Sur celui-là on a une ode à l'Age d'or du comics. Un hommage à une période des comics bien spécifiques. On a ici un bon gout de Watchmen. Sincèrement cette utilisation de la voie off... Ce scénario compliqué ou les combats ne sont pas le centre de l'histoire et ces ramifications post guerre avec manipulation de la foule.... c'est tout une mise en place et un scénario qui prend le temps de se décanter comme les scénarios actuels ne prennent plus le temps de la faire. Ici on a quand même une histoire suffisamment dense pour que l'on réussisse à être surpris par le twist du milieu de l'album. On a des personnages eux aussi très denses, en proie au doute et à la résignation. Une histoire très lointaine de celles des héros d'aujourd’hui qui sont dans l'action permanente et dans la comparaison du plus grand méchant qu'il puisse battre. Un comics qui prend son temps. Un bon comics. Plus profond et peu intéressant que les actuels diraient certains esprit passéistes. Moi j'aime bien les deux et trouve qu'un comics qui ralentit comme ça, ça fait du bien. Idéalement si c'était une suite à Watchmen ça serait un 5/5 ..... A mais attendez ... on me glisse à l'oreille que....
  14. Titre de l'album : DC Confidential : JSA- l'Age d'or Scenariste de l'album : James Robinson Dessinateur de l'album : Paul Smith Coloriste : Paul Smith Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : La fin des années 1940. Après la victoire des alliés lors de la Seconde Guerre mondiale, les États-Unis connaissent un boom économique prodigieux mais sombrent également dans la paranoïa anti-communiste. Dans ce contexte de guerre froide naissante, plusieurs justiciers masqués tentent de trouver leur place au sein de cette nouvelle société pleine de promesses d'avenir. Mais le retour au pays de l'un d'entre eux, Manhunter, va signaler le début d'une enquête tortueuse révélant les liens troubles entre la communauté des super-héros et le gouvernement ainsi qu'un complot visant à l'asservissement de ces anciens protecteurs de la nation. Critique : Décidément cette série Urban porte bien son nom : les récits qui sont choisi sont assez hors normes et toujours très réussit. Sur celui-là on a une ode à l'Age d'or du comics. Un hommage à une période des comics bien spécifiques. On a ici un bon gout de Watchmen. Sincèrement cette utilisation de la voie off... Ce scénario compliqué ou les combats ne sont pas le centre de l'histoire et ces ramifications post guerre avec manipulation de la foule.... c'est tout une mise en place et un scénario qui prend le temps de se décanter comme les scénarios actuels ne prennent plus le temps de la faire. Ici on a quand même une histoire suffisamment dense pour que l'on réussisse à être surpris par le twist du milieu de l'album. On a des personnages eux aussi très denses, en proie au doute et à la résignation. Une histoire très lointaine de celles des héros d'aujourd’hui qui sont dans l'action permanente et dans la comparaison du plus grand méchant qu'il puisse battre. Un comics qui prend son temps. Un bon comics. Plus profond et peu intéressant que les actuels diraient certains esprit passéistes. Moi j'aime bien les deux et trouve qu'un comics qui ralentit comme ça, ça fait du bien. Idéalement si c'était une suite à Watchmen ça serait un 5/5 ..... A mais attendez ... on me glisse à l'oreille que.... Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/jsa-l-age-d-or?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. Titre de l'album : American jesus t1&2 Scenariste de l'album : Mark Millar Dessinateur de l'album : Peter Gross Coloriste : Peter Gross Editeur de l'album : Panini Comics Note : Résumé de l'album : Il faut admettre l'évidence : cet enfant de 12 ans, capable de transformer l'eau en vin et de guérir les infirmes est l'élu, le nouveau Jésus Christ. Mais comment peut-on si jeune, endosser une telle destinée ? Critique : La dernière création de chez Millarworld. Création destinée, depuis le rachat par Netflix des studios Mark Millar, à être transformé en série dans les années à venir. Voir même quasiment conçue pour être une série avant même d'être un comic. Ça se retranscrit un peu dans le comic. Mais pas de façon péjorative. Ça amène une gestion du suspens plutôt positive. Car si Mark Millar se sert du succès de Punk Rock Jésus et de Preacher pour lancer lui aussi sa série sur le christianisme et le retour de jésus, il y met la patte Millar avec un découpage et une gestion du suspens très proche d'un film ou d'une série. On utilise la voie off qui raconte des événements passés pour pouvoir inclure le lecteur dans l'histoire. On gère le suspens chapitre par chapitre, chaque chapitre correspondant bien à un futur épisode de série. Niveau histoire cela serait cruel de vous en dire trop. Je vous dirais juste que les dessins de Peter Gross (Fables entre autres) correspondent bien au style souhaité. Millar réussi à ne pas tomber dans l'apologie d'une religion plus qu'une autre et réussi la transposition de Jésus dans le corps d'un ado ! C'est aussi prenant qu’intéressant. Je ne saurais que vous conseillez de prendre les deux tomes en même temps. Deux tomes qui nous présentent le fils de dieu pour l'un et celui du diable pour l'autre. Le troisième tome qui marquera la confrontation entre les deux promet d’être....biblique 🙂 Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/american-jesus-l-elu?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. poseidon2

    American jesus t1&2

    La dernière création de chez Millarworld. Création destinée, depuis le rachat par Netflix des studios Mark Millar, à être transformé en série dans les années à venir. Voir même quasiment conçue pour être une série avant même d'être un comic. Ça se retranscrit un peu dans le comic. Mais pas de façon péjorative. Ça amène une gestion du suspens plutôt positive. Car si Mark Millar se sert du succès de Punk Rock Jésus et de Preacher pour lancer lui aussi sa série sur le christianisme et le retour de jésus, il y met la patte Millar avec un découpage et une gestion du suspens très proche d'un film ou d'une série. On utilise la voie off qui raconte des événements passés pour pouvoir inclure le lecteur dans l'histoire. On gère le suspens chapitre par chapitre, chaque chapitre correspondant bien à un futur épisode de série. Niveau histoire cela serait cruel de vous en dire trop. Je vous dirais juste que les dessins de Peter Gross (Fables entre autres) correspondent bien au style souhaité. Millar réussi à ne pas tomber dans l'apologie d'une religion plus qu'une autre et réussi la transposition de Jésus dans le corps d'un ado ! C'est aussi prenant qu’intéressant. Je ne saurais que vous conseillez de prendre les deux tomes en même temps. Deux tomes qui nous présentent le fils de dieu pour l'un et celui du diable pour l'autre. Le troisième tome qui marquera la confrontation entre les deux promet d’être....biblique 🙂
  17. Titre de l'album : Batman Metal : le multivers noir Scenariste de l'album : Collectif Dessinateur de l'album : Collectif Coloriste : Collectif Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Et si Azrael avait refusé de rendre la cape du Chevalier Noir à Bruce Wayne ? Et si, après la mort de son mari, Lois Lane avait hérité de Superman ses pouvoirs pour faire régner la justice à sa place ? Et si les Black Lanterns avaient consommé la quasi-totalité de l'Univers lors de la Crise Blackest Night ? Et si, les plus grands événements de DC avaient eu une tournure différente dans un autre monde ? Bienvenue dans les univers dystopiques du Batman qui Rit. Critique : Sur le papier je trouvais l'idée un peu vaseuse. Ca faisait un peu ventes facile que de dire : tient et si on refaisait les succès de DC mais dans l'autre sens, en mode sombre. Si l'idée st sympathique car on aime tous revisiter les mythes, ça paraissait un peu facile. Est-ce pour cela ou juste par justesse éditoriale, je ne saurais trop dire, mais Urban (je ne saurais dire si c'est pareil dans l'édition VO de chez DC) a pris en compte ce point de vue et a décidé d'ajouter..... Le numéro principale de l'histoire de base et ce pour chacune des histoires revisitées. On passe donc d'un divertissement sympathique mais un peu facile et un tome vraiment intéressant. Intéressant car en plus de ces histoires revisitée, il permet aux nouveaux lecteurs d'avoir une idée des originaux. Une idée autant au niveau du dessin que de de la narration. Et ça c'est top. En effet on entend souvent parler de récits mythiques mais on se retrouve parfois déçu par le ton, le dessin old school ou encore la narration d'un autre temps. Avec le mix proposé ici on a une histoire sympa (dans l'univers du multivers noir) mais aussi le premier volume de son pendant historique. Cela fait de ce tome un album aussi sympa qu’intéressant. Reste seulement à savoir pourquoi cet album est titré Batman Metal.... vu qu'il n'y a qu'une histoire sur batou..... Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/batman-metal-le-multivers-noir?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. Sur le papier je trouvais l'idée un peu vaseuse. Ca faisait un peu ventes facile que de dire : tient et si on refaisait les succès de DC mais dans l'autre sens, en mode sombre. Si l'idée st sympathique car on aime tous revisiter les mythes, ça paraissait un peu facile. Est-ce pour cela ou juste par justesse éditoriale, je ne saurais trop dire, mais Urban (je ne saurais dire si c'est pareil dans l'édition VO de chez DC) a pris en compte ce point de vue et a décidé d'ajouter..... Le numéro principale de l'histoire de base et ce pour chacune des histoires revisitées. On passe donc d'un divertissement sympathique mais un peu facile et un tome vraiment intéressant. Intéressant car en plus de ces histoires revisitée, il permet aux nouveaux lecteurs d'avoir une idée des originaux. Une idée autant au niveau du dessin que de de la narration. Et ça c'est top. En effet on entend souvent parler de récits mythiques mais on se retrouve parfois déçu par le ton, le dessin old school ou encore la narration d'un autre temps. Avec le mix proposé ici on a une histoire sympa (dans l'univers du multivers noir) mais aussi le premier volume de son pendant historique. Cela fait de ce tome un album aussi sympa qu’intéressant. Reste seulement à savoir pourquoi cet album est titré Batman Metal.... vu qu'il n'y a qu'une histoire sur batou.....
  19. Titre de l'album : Punk Rock Jesus edition black label Scenariste de l'album : Sean Murphy Dessinateur de l'album : Sean Murphy Coloriste : N&B Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Dans un futur proche, la maison de production OPHIS tient le sujet de son prochain programme de télé-réalité : filmer la vie de Jésus Christ. Recréé génétiquement à partir des traces ADN du suaire de Turin, le clone du Messie grandit sous le regard avide des caméras et d'une Amérique subjuguée par ce qu'elle pense être la Seconde Venue du Christ. Quelques années plus tard, l'expérience tourne court lorsque l'adolescent entre en révolte totale contre le système et devient le prophète d'une autre Amérique. Critique : La collection Black Label de chez Urban n'en finit plus de ressembler à un best of DC... La preuve en est l'arrivée de LA BD qui a fait connaitre Sean Murphy au grand publique : Punk Rock Jesus. Car avant de réaliser le best seller de Batman du moment, Sean Murphy c'était avant tout l'un des graphistes les plus prometteur de sa generation et un auteur de comic engagé. Et Punk Rock Jesus est l'un des plus bels exemples. Sa critique du fanatisme religieux, l'introduction du débat sur le libre arbitre et sur les envies profondes de chacun était vraiment en avance de phase dans l'univers du comics. Bref je ne redirais pas combien cet album est excellent. C'est un fait et c'est reconnu. Je dirais juste qu'avec cette collection Black Label à "petit prix" (19 euros), cela serait limite honteux de ne pas avoir cette perle dans sa bibliotheque. Et cela fait un excellent cadeau en vu du Noel à venir ! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/punk-rock-jesus-edition-black-label?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. La collection Black Label de chez Urban n'en finit plus de ressembler à un best of DC... La preuve en est l'arrivée de LA BD qui a fait connaitre Sean Murphy au grand publique : Punk Rock Jesus. Car avant de réaliser le best seller de Batman du moment, Sean Murphy c'était avant tout l'un des graphistes les plus prometteur de sa generation et un auteur de comic engagé. Et Punk Rock Jesus est l'un des plus bels exemples. Sa critique du fanatisme religieux, l'introduction du débat sur le libre arbitre et sur les envies profondes de chacun était vraiment en avance de phase dans l'univers du comics. Bref je ne redirais pas combien cet album est excellent. C'est un fait et c'est reconnu. Je dirais juste qu'avec cette collection Black Label à "petit prix" (19 euros), cela serait limite honteux de ne pas avoir cette perle dans sa bibliotheque. Et cela fait un excellent cadeau en vu du Noel à venir !
  21. Titre de l'album : Shades of Magic t1 Scenariste de l'album : Schwab V.E. Dessinateur de l'album : Schwab V.E. Coloriste : Schwab V.E. Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Il est ici question d'un temps où quatre royaumes magiques coexistaient sans encombre, et où tous sorciers étaient en mesure de voyager sereinement de l'un à l'autre. Londres en était chaque fois le coeur et l'âme, jusqu'à la chute de l'un des mondes, corrompu par une magie noire dévorante. Ses trois voisins, pour éviter la contagion, décidèrent de sceller les portails qui leur permettaient de communiquer entre eux. C'était il y a deux cents ans, et aujourd'hui certains craignent leur réouverture. Le prince héritier Maxim, fils du roi Nokil Maresh de Arnes (Londres Rouge) fait partie de ceux-là. Son obsession est telle qu'il en délaisse même son propre peuple. Une situation que son père ne peut tolérer. C'est pourquoi il prend la lourde décision de l'exiler à Verose dans l'espoir de le voir se recentrer sur son avenir et les responsabilités qui sied à son rang. Critique : Urban Link continue sa mutation. Apres l'excellent Middlewest (en fin en même temps en fait c'est moi qui suis à la bourre), voici venir un autre récit qui n'a rien de super héroïque. Apres avoir accroché les gens avec des héros connus et populaires, on attaque maintenant des histoires originales. Au vu de la couverture je me faisais une joie d'ouvrir ce récit de cape et d'épée façon "les 3 mousquetaires fantastiques". Et bien l'ouverture de ce tome 1 m'a vite refroidi Et l'a chaleur n'est remontée qu'en fin d'album. Soyons clair : le dessin de cet album est trop brouillon. Dans le but de vouloir créer du mystère et une ambiance pesante, notre auteur a abusé des couleurs sombres et des traits "brouillons". On se retrouve avec un dessin parfois difficilement lisible qui nuit à l'histoire. Et c'est dommage car cette histoire est originale et bien traitée. Imaginative et pleine de bonnes idées, on se adorerait la voir dessinée par quelqu'un d'autre. En effet le fils exclu, la menace venue d'ailleurs, l’éveil du prince à la vie dans une bourgade loin des fastes de la capitale... tout est là pour faire une bonne aventure. Espérons que le t2 montre un net progrès dans le dessin ! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/shades-of-magic-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. poseidon2

    Shades of Magic t1

    Urban Link continue sa mutation. Apres l'excellent Middlewest (en fin en même temps en fait c'est moi qui suis à la bourre), voici venir un autre récit qui n'a rien de super héroïque. Apres avoir accroché les gens avec des héros connus et populaires, on attaque maintenant des histoires originales. Au vu de la couverture je me faisais une joie d'ouvrir ce récit de cape et d'épée façon "les 3 mousquetaires fantastiques". Et bien l'ouverture de ce tome 1 m'a vite refroidi Et l'a chaleur n'est remontée qu'en fin d'album. Soyons clair : le dessin de cet album est trop brouillon. Dans le but de vouloir créer du mystère et une ambiance pesante, notre auteur a abusé des couleurs sombres et des traits "brouillons". On se retrouve avec un dessin parfois difficilement lisible qui nuit à l'histoire. Et c'est dommage car cette histoire est originale et bien traitée. Imaginative et pleine de bonnes idées, on se adorerait la voir dessinée par quelqu'un d'autre. En effet le fils exclu, la menace venue d'ailleurs, l’éveil du prince à la vie dans une bourgade loin des fastes de la capitale... tout est là pour faire une bonne aventure. Espérons que le t2 montre un net progrès dans le dessin !
  23. Titre de l'album : Doom War épilogue Scenariste de l'album : Collectif Dessinateur de l'album : Collectif Coloriste : Collectif Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Alors qu'il vient de remporter une victoire décisive dans sa guerre contre les Justice League unies du Multivers, Lex Luthor pensait débuter son règne en préparant l'avènement de sa reine Perpetua sur Terre. Surgissant des ténèbres, entourés de ses agents infectés, le Batman Qui Rit entend cependant réclamer son dû et, pourquoi pas, récupérer la part du lion au passage. Le duel entre les deux prédateurs ultimes changera pour longtemps la face du monde. Critique : Pour nous faire patienter avec Death Metal, Urban publie de façon séparer la mini histoire liant les deux branche de l'arc de Snyder : Le Doom War de la Justice league et le Joker qui rit de Batman. Les deux menaces qui planaient en parallèle se télescopent pour donner... ben une bataille de méchants. C’est ce qui est sympa dans ce mini crossover. C'est un crossover de vilain duquel les héros sont réellement absents (normal si on a suivi). On se retrouve avec le jeu de qui sera le plus méchant (ok on s'en doute un peu :p) mais surtout qui sera le plus malin. Un Batman corrompu ou un Lex Luthor surpuissant? Un tome qui se lit agréablement bien et qui permet de bien mixer deux arc parallèles en gardant une cohérence scénaristique pas toujours au rendez-vous chez DC. Maintenant ... le plat de résistance est attendu 🙂 Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/justice-league-doom-war-epilogue?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. poseidon2

    Doom War épilogue

    Pour nous faire patienter avec Death Metal, Urban publie de façon séparer la mini histoire liant les deux branche de l'arc de Snyder : Le Doom War de la Justice league et le Joker qui rit de Batman. Les deux menaces qui planaient en parallèle se télescopent pour donner... ben une bataille de méchants. C’est ce qui est sympa dans ce mini crossover. C'est un crossover de vilain duquel les héros sont réellement absents (normal si on a suivi). On se retrouve avec le jeu de qui sera le plus méchant (ok on s'en doute un peu :p) mais surtout qui sera le plus malin. Un Batman corrompu ou un Lex Luthor surpuissant? Un tome qui se lit agréablement bien et qui permet de bien mixer deux arc parallèles en gardant une cohérence scénaristique pas toujours au rendez-vous chez DC. Maintenant ... le plat de résistance est attendu 🙂
  25. Titre de l'album : Young Justice T1 Scenariste de l'album : Micheal Brian Bendis Dessinateur de l'album : John Timms,, Patrick Gleason Coloriste : John Timms,, Patrick Gleason Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Suite à l'invasion de Metropolis par les forces de la dimension magique de Gemworld, une nouvelle équipe de jeunes héros se constitue. Red Robin, Impulse, Wonder Girl, Jinny Hex et Teen Lantern forment le groupe Young Justice ! Mais lorsque ces justiciers retrouvent Conner Kent, le clone de Superman, des souvenirs de vies et exploits passés leur reviennent en mémoire, et pour Young Justice, la véritable aventure commence ! Contenu vo : Young Justice #1-6. Critique : Nouvelle série (encore une ) de Bendis dans l'univers DC. Apres le très bon Naomi et le très très moyen Wonder Twins, j'ai pas mal hésité avant de me lancer dans ce Young Justice mais... les dessins m'ont convaincu. La très belle et innovante (pour du comics) couverture m'ont donné envie de voir le ton derrière cette série. Je pensais, en plus, que cette série plairait à mes enfants. Et j'ai bien fait de la lire.... pour moi 🙂 Pour mes enfants je serais plus sceptique. En effet sous ses dessins à la mode et sa bande de jeune, le scenario de Bendis sur retrouve lui etre assez compliqué. Il est bien plus compliqué que celui de Naomi par exemple (scenario avec pas mal de similitude d'ailleurs). En effet entre des héros inconnus, un monde magique à tendance Fantaisy, et des failles inter dimensionnelles, on est déjà à un niveau de complexité qui perdrait un gamin de 10 ans. Si on ajoute les deux personnages principaux qui sont des doubles de personnages très connus avec Tim Drake en tant que Robin (et non Damian le fils de Batman) et Conner Kent, le clone de Superman realisé par Luthor, en tant que Superboy (aucun lien avec le fils de Superman donc), on une histoire qui commence a être bien tordue pour des non connaisseurs de l'univers DC. Pour tout dire je l'ai commencé en soirée, puis reposée, puis re-comencée plus tranquillement. Une fois cette "complexité" acceptée, cette aventure est plutot bien faite. On a un historique de tous les nouveaux personnages amené au fur et à mesure. Un nouveau monde très sympa et vraiment différents du notre, un mystère au tour d'une perte de mémoire collective pour les futurs volumes et une aventure qui, même si elle est un peu rapide, se finit sur un seul tome et est plutot plaisante. Un bon tome de lancement pour une série vraiment sympa mais pas forcement aussi enfantine que ne le laisse paraitre le titre de Young Justice. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/young-justice-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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