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  1. Titre de l'album : Madones et Médées Scenariste de l'album : Mathilde Ramadier | Laure Woestelandt Dessinateur de l'album : Maurane Mazars Coloriste : Maurane Mazars Editeur de l'album : Futuropolis Note : Résumé de l'album : Elsa est pédopsychiatre dans un service de périnatalité à l'hôpital public. Lors de ses consultations, des femmes, mères ou futures mères se confient : burn-out parental, dépression post-partum, ambivalence maternelle, regrets, deuils... tel est le lot quotidien des femmes, confrontées aux multiples injonctions de la société et percutées par les questions et difficultés que soulève la maternité. Elsa est engagée corps et âme dans leur accompagnement, mais en découvrant sur le tard qu'elle est elle-même enceinte, c'est le choc. A-t-elle envie de devenir mère, elle qui côtoie des mères en souffrance au quotidien ? Et ce jour-là, une patiente à bout frôle le passage à l'acte avec ses jumeaux. Que s'est-il passé pour que cette mère en arrive là ? Les femmes sont-elles condamnées à être des madones ou bien des Médées ? Tout en essayant d'aider au mieux cette femme et les autres, Elsa doit à son tour interroger son propre désir et tenter de dessiner une voie personnelle et émancipée. Mathilde Ramadier (La Belle de mai), Maurane Mazars (Fauve Révélation Angoulême 2021), et Laure Woestelandt, pédopsychiatre, analysent avec précision et sensibilité, mais sans concession, les figures imposées de la maternité contemporaine. Ce récit sensible et incarné plonge dans les parcours intimes et complexes de la maternité. Critique : Qu'est-ce que c'est bien quand le BD vous enchaine des superbes lectures comme en ce moment. Sur des sujets différents. Je suis désolé pour vos portefeuilles, mais après un webtoon, une bd classique, une BD "nouvelle vague", voici la BD tranche de vie / reportage du moment. Si graphiquement, c'est engagé(moi j'ai adoré), avec un jeu sur les monochromes super efficaces, marquants bien l'ambiance des différentes personnes et moment, le récit est, lui, assez poignants. Poignant autant sur ces femmes et ce malêtre encore "tabou" de la grossesse, que sur notre psychiatre qui nous montre que certains choix dans la vie restent difficiles, et ce, peu importe nos études et nos connaissances. Alors peut-être que cette histoire me parle, en tant que parent. Mais je pense qu'elle parlera à toute personne s'intéressant un tant soit peu à la condition de la femme. Nos autrices ne tombent pas dans la facilité de la condamnation d'un machisme généralisé. Le conjoint de notre psy est un personnage magnifiquement travaillé, très humain dans ses réactions malgré un rôle "mineur". De la même façon, dans ce milieu hospitalier très féminin, elles nous montrent bien qu'il y a tout type de femme, de l'hyper sensible à la carriériste en passant par la pragmatique. Autant de femme que de manière de vivre. La dualité entre notre psy qui tombe enceinte "par hasard" et son métier de pédopsychiatre dans un service de périnatalité, fait preuve d'un véritable talent de scénarisation, laissant le flou constant de l'impact de l'un sur l'autre et nous montrant bien, encore une fois, que l'adage "les cordonniers sont les plus mal chaussés" peut se décliner sur tous les métiers. A lire ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien Partenaire : https://www.bdfugue.com/madones-et-medees?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. poseidon2

    Madones et Médées

    Qu'est-ce que c'est bien quand le BD vous enchaine des superbes lectures comme en ce moment. Sur des sujets différents. Je suis désolé pour vos portefeuilles, mais après un webtoon, une bd classique, une BD "nouvelle vague", voici la BD tranche de vie / reportage du moment. Si graphiquement, c'est engagé(moi j'ai adoré), avec un jeu sur les monochromes super efficaces, marquants bien l'ambiance des différentes personnes et moment, le récit est, lui, assez poignants. Poignant autant sur ces femmes et ce malêtre encore "tabou" de la grossesse, que sur notre psychiatre qui nous montre que certains choix dans la vie restent difficiles, et ce, peu importe nos études et nos connaissances. Alors peut-être que cette histoire me parle, en tant que parent. Mais je pense qu'elle parlera à toute personne s'intéressant un tant soit peu à la condition de la femme. Nos autrices ne tombent pas dans la facilité de la condamnation d'un machisme généralisé. Le conjoint de notre psy est un personnage magnifiquement travaillé, très humain dans ses réactions malgré un rôle "mineur". De la même façon, dans ce milieu hospitalier très féminin, elles nous montrent bien qu'il y a tout type de femme, de l'hyper sensible à la carriériste en passant par la pragmatique. Autant de femme que de manière de vivre. La dualité entre notre psy qui tombe enceinte "par hasard" et son métier de pédopsychiatre dans un service de périnatalité, fait preuve d'un véritable talent de scénarisation, laissant le flou constant de l'impact de l'un sur l'autre et nous montrant bien, encore une fois, que l'adage "les cordonniers sont les plus mal chaussés" peut se décliner sur tous les métiers. A lire !
  3. Kevin Nivek

    Hardcore maternity

    Prenez un soupçon de Sex and the city et un zest de Workin' moms, le tout enrobé d'un dessin pop art, vous aurez ainsi une petite idée du contenu de ce roman graphique au format carré. La vie de quatre quadras dans la ville de New York, avec leurs peines de coeur, leurs rencontres mais aussi et surtout leur vie de mère, dans un format court façon strip, les auteures illustrent les péripéties du quotidien avec beaucoup de véracité et d'humour. Elles dépeignent le portrait de femmes modernes en démystifiant la maternité avec un grand talent. Certains passages résonneront forcément en écho avec la vie d'un grand nombre de lectrices 😉 . Les phantasmes et autres plaisirs en tous genres ne sont pas forcément mis au placard sous prétexte d'un rôle de mère accompli. La couverture est à ce sujet parfaitement représentative de ce qui vous attend : une mère se faisant servir un verre de rouge et semblant flirter avec le serveur, délaissant la surveillance de son fils ! Des pages scindées en 4 cases, de courts chapitres avec une fin surprise et bien souvent hilarante, vous ne verrez pas passer le temps dans cet agréable moment de lecture. Le trait rappelle les images des pubs américaines des années 50, avec des lignes droites et anguleuses, un style épuré allant à l'essentiel.
  4. Titre de l'album : Hardcore maternity Scenariste de l'album : Marga Castano Dessinateur de l'album : Esther La Rosa Coloriste : Esther La Rosa Editeur de l'album : Steinkis Note : Résumé de l'album : Quatre amies au bord de la crise de mères tentent désespérément de trouver un équilibre entre leur vie de femme et leur vie de maman. À travers des strip hilarants et cinglants, Marga Castaño et Esther de la Rosa tentent de démystifier la maternité en abordant notamment le sentiment de culpabilité qui peut naître chez les mères qui tentent de sortir des normes établies. Si elles ne veulent pas remettre en question la maternité, elles s'interrogent sur le mystère de la maternité et cette idée de la mère parfaite, qui s'oublie en tant que femme. Au fil des strips, elles s'amusent ainsi à mettre en scène des mères-rebelles, décomplexées, qui veulent continuer à s'amuser et à prendre du plaisir. Critique : Prenez un soupçon de Sex and the city et un zest de Workin' moms, le tout enrobé d'un dessin pop art, vous aurez ainsi une petite idée du contenu de ce roman graphique au format carré. La vie de quatre quadras dans la ville de New York, avec leurs peines de coeur, leurs rencontres mais aussi et surtout leur vie de mère, dans un format court façon strip, les auteures illustrent les péripéties du quotidien avec beaucoup de véracité et d'humour. Elles dépeignent le portrait de femmes modernes en démystifiant la maternité avec un grand talent. Certains passages résonneront forcément en écho avec la vie d'un grand nombre de lectrices 😉 . Les phantasmes et autres plaisirs en tous genres ne sont pas forcément mis au placard sous prétexte d'un rôle de mère accompli. La couverture est à ce sujet parfaitement représentative de ce qui vous attend : une mère se faisant servir un verre de rouge et semblant flirter avec le serveur, délaissant la surveillance de son fils ! Des pages scindées en 4 cases, de courts chapitres avec une fin surprise et bien souvent hilarante, vous ne verrez pas passer le temps dans cet agréable moment de lecture. Le trait rappelle les images des pubs américaines des années 50, avec des lignes droites et anguleuses, un style épuré allant à l'essentiel. Autres infos : Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/hardcore-maternity/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. Titre de l'album : Les nageuses de Minuit Scenariste de l'album : Valentina Grande Dessinateur de l'album : Francesco Dibattista Coloriste : Francesco Dibattista Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Il y a des événements qui changent la vie. C'est ce qui arrive à Vik, une enseignante qui vit seule dans son appartement new-yorkais. Elle a le sentiment de ne pas être arrivée là où elle le voulait. Est-ce qu'elle a fait les mauvais choix ? Lorsqu'un jour elle entre par hasard dans une piscine publique, elle est attirée par une équipe de natation synchronisée, en plein ballet aquatique. Quelle est l'histoire de ces femmes plus âgées, qui semblent se mouvoir dans l'eau avec une telle aisance ? Vik, elle, ne sait pas nager. Mais elle n'est pas la seule à cacher un secret et ces nouvelles amitiés la mèneront plus loin qu'elle ne l'imagine... car c'est peut-être le moment d'affronter ses peurs et de faire le grand saut ? Critique : Voilà un joli roman graphique comme je les aime. Des sujets lourds mais pas improbables, des destins mêlés sans être trop pleins de dramaturgies, avec surtout beaucoup des petits rien qui constituent la vie. Des incompréhensions, des injustices, tout ce avec quoi on se construit et sur lequel on doit vivre. Et surtout cette belle amitié naissante entre femmes, entre battantes qui présentent le féminisme comme une lutte presque contre soi, contre son regard avant même d'être une lutte contre une société ou les hommes. Il se dégage de cette bd une belle force et une belle atmosphère. J'ai bien aimé le fait que les personnages semblent réels, sans fausses pudeurs, sans être tous beaux, regardant leurs propres défauts, y compris corporels en face. Bref, une BD sur de vrais gens, avant même d'être une bd sur l'émancipation ou les combats raciaux. C'est fin et intelligent. Autres infos : Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-nageuses-de-minuit/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. The_PoP

    Les nageuses de Minuit

    Voilà un joli roman graphique comme je les aime. Des sujets lourds mais pas improbables, des destins mêlés sans être trop pleins de dramaturgies, avec surtout beaucoup des petits rien qui constituent la vie. Des incompréhensions, des injustices, tout ce avec quoi on se construit et sur lequel on doit vivre. Et surtout cette belle amitié naissante entre femmes, entre battantes qui présentent le féminisme comme une lutte presque contre soi, contre son regard avant même d'être une lutte contre une société ou les hommes. Il se dégage de cette bd une belle force et une belle atmosphère. J'ai bien aimé le fait que les personnages semblent réels, sans fausses pudeurs, sans être tous beaux, regardant leurs propres défauts, y compris corporels en face. Bref, une BD sur de vrais gens, avant même d'être une bd sur l'émancipation ou les combats raciaux. C'est fin et intelligent.
  7. Kevin Nivek

    Seule contre Hollywood

    L'artiste complet Halim se lance dans l'adaptation d'une histoire vraie, un scandale hollywoodien à ses débuts dans les années 30. Patricia Douglas a été agressée sexuellement par deux hommes lors d'une soirée organisée par la toute puissante voire omnipotente Metro-Goldwin-Mayer (MGM) où 120 femmes avaient été invitées sans savoir que 282 hommes seraient présents pour se "distraire". Un véritable guet-apens où l'alcool coulait à flot avec les dérives qu'il peut entraîner dans une société patriarcale au possible. Nous suivrons le combat de cette femme qui va attaquer le studio de cinéma en justice. La grande partie de récit se déroule au tribunal avec les joutes verbales des avocats faisant intervenir une grande quantité de témoins et spécialistes. La MGM sentant le mauvais coup venir, distribue les pots de vin et autres arrangements pour faire plier la jeune Patricia. Halim mélange les cases et découpe le gaufrier en diagonales pour tonifier l'action, mais cela perd un peu le lecteur qui ne comprend plus trop dans quel sens lire les bulles. La trichromie est assez réussie et nous plonge bien dans l'ambiance "films noirs" de ces années, les personnages sont assez reconnaissables malgré leur nombre important, il faut s'accrocher à la lecture pour ne pas perdre le fil. Il s'agit d'une histoire vaste aux enjeux dépassant les protagonistes, même la pauvre victime Patricia ! Un scandale dans la lignée de celui de Wenstein, sauf que celui-ci aura mis 60 ans à être véritablement dénoncé, la vie de Patricia Douglas ayant été irrémédiablement brisée ! On peut reprocher à Halim cette fin qui nous laisse pantois suite au verdict prononcé : "sans suite" . Un final expédié un peu trop vite, qui aurait gagné en épaisseur au détriment de passages superflus en amont. Le plus important reste la dénonciation de cette affaire, et il le réussit plutôt bien.
  8. Titre de l'album : Seule contre Hollywood Scenariste de l'album : Halim Dessinateur de l'album : Halim Coloriste : Halim Editeur de l'album : Steinkis Note : Résumé de l'album : L'affaire Patricia Douglas est probablement le plus gros scandale jamais enterré de l'histoire de Hollywood. " Je n'essayais pas d'obtenir quoi que ce soit. Je voulais juste que quelqu'un me croie. " Patricia Douglas A peine âgée de 20 ans, Patricia Douglas, ainsi que 120 danseuses professionnelles, sont recrutées pour un tournage par la Metro-Goldwyn-Mayer. Elles sont convoquées le soir du 5 mai 1937, mais, bien loin de participer au " tournage " prévu, les jeunes femmes se retrouvent propulsées dans une gigantesque soirée privée organisée pour les 282 représentants commerciaux. Agressée durant la soirée, Patricia Douglas décide de porter plainte contre le plus puissant des studios hollywoodiens. A l'époque, ce genre d'affaires se dénoue en privé, à coups d'intimidation et d'arrangements financiers mais, 80 ans avant #MeToo, Patricia Douglas aura le courage d'aller jusqu'au bout... Critique : L'artiste complet Halim se lance dans l'adaptation d'une histoire vraie, un scandale hollywoodien à ses débuts dans les années 30. Patricia Douglas a été agressée sexuellement par deux hommes lors d'une soirée organisée par la toute puissante voire omnipotente Metro-Goldwin-Mayer (MGM) où 120 femmes avaient été invitées sans savoir que 282 hommes seraient présents pour se "distraire". Un véritable guet-apens où l'alcool coulait à flot avec les dérives qu'il peut entraîner dans une société patriarcale au possible. Nous suivrons le combat de cette femme qui va attaquer le studio de cinéma en justice. La grande partie de récit se déroule au tribunal avec les joutes verbales des avocats faisant intervenir une grande quantité de témoins et spécialistes. La MGM sentant le mauvais coup venir, distribue les pots de vin et autres arrangements pour faire plier la jeune Patricia. Halim mélange les cases et découpe le gaufrier en diagonales pour tonifier l'action, mais cela perd un peu le lecteur qui ne comprend plus trop dans quel sens lire les bulles. La trichromie est assez réussie et nous plonge bien dans l'ambiance "films noirs" de ces années, les personnages sont assez reconnaissables malgré leur nombre important, il faut s'accrocher à la lecture pour ne pas perdre le fil. Il s'agit d'une histoire vaste aux enjeux dépassant les protagonistes, même la pauvre victime Patricia ! Un scandale dans la lignée de celui de Wenstein, sauf que celui-ci aura mis 60 ans à être véritablement dénoncé, la vie de Patricia Douglas ayant été irrémédiablement brisée ! On peut reprocher à Halim cette fin qui nous laisse pantois suite au verdict prononcé : "sans suite" . Un final expédié un peu trop vite, qui aurait gagné en épaisseur au détriment de passages superflus en amont. Le plus important reste la dénonciation de cette affaire, et il le réussit plutôt bien. Autres infos : Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/seule-contre-hollywood/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. J'aime bien cette série chez Rue de Sèvres qui vient nous parler de philosopie en la vulgarisant un peu, mais aidé de véritables professeurs de philosophie. Certes cela n'a que peu à voir avec mon univers de la bd habituel, mais je vous avoue qu'en vieillissant, certains de mes cours de philosophie me sont restés en mémoire et ont pris du sens avec le temps, l'expérience, les épreuves. Bref, j'apprécie un peu de philosophie accessible. Nietzsche étant par exemple un peu trop touffu pour moi, ce Libres de penser vient, en plus de mettre en lumière des personnages que l'histoire a un peu oublié, jeter des sujets passionnants avec des approches pas forcément classiques. De beaux sujets de réflexion et d'enrichissement intellectuel, faits pourtant en douceur. C'est parfois honteux, mais c'est un ouvrage que je recommande pour ceux qui aiment parfois lire de petits passage lors de moments de calme et d'intimité. Oui sur les toilettes par exemple. On apprendra ici, tout en finesse, sans facilité, mais avec fluidité. Le dessin de Marie Dubois et sa mise en scène sont finalement très classiques, et malheureusement l'amateur de bd n'en retiendras peut être pas grand chose, mais l'essentiel est ici ailleurs, et son trait permet de garder la fluidité de la pensée.
  10. Titre de l'album : Libres de penser - Dix femmes, dix vies philosophiques Scenariste de l'album : Jérôme Vermer & Anne Idoux & Jean-Philippe Thivet & Marie Dubois Dessinateur de l'album : Marie Dubois Coloriste : Marie Dubois Editeur de l'album : Rue de sevres Note : Résumé de l'album : Littérature, mathématiques, société ou encore philosophie : les réflexions et les avancées de nos civilisations antiques et modernes sont-elles l'apanage des hommes ? Les autrices et auteurs de Libres de penser reviennent sur 10 personnalités féminines auxquelles l'Histoire n'a, pour la plupart, pas rendu hommage malgré leur avance évidente sur leur temps. Sei Shonagon et ses innovations littéraires, Christine de Pizan et sa recherche de sagesse par l'érudition, ou encore Simone de Beauvoir et ses réflexions novatrices sur l'égalité des sexes : 10 femmes innovantes dont les modes de pensée ont traversé les âges et les frontières. Critique : J'aime bien cette série chez Rue de Sèvres qui vient nous parler de philosopie en la vulgarisant un peu, mais aidé de véritables professeurs de philosophie. Certes cela n'a que peu à voir avec mon univers de la bd habituel, mais je vous avoue qu'en vieillissant, certains de mes cours de philosophie me sont restés en mémoire et ont pris du sens avec le temps, l'expérience, les épreuves. Bref, j'apprécie un peu de philosophie accessible. Nietzsche étant par exemple un peu trop touffu pour moi, ce Libres de penser vient, en plus de mettre en lumière des personnages que l'histoire a un peu oublié, jeter des sujets passionnants avec des approches pas forcément classiques. De beaux sujets de réflexion et d'enrichissement intellectuel, faits pourtant en douceur. C'est parfois honteux, mais c'est un ouvrage que je recommande pour ceux qui aiment parfois lire de petits passage lors de moments de calme et d'intimité. Oui sur les toilettes par exemple. On apprendra ici, tout en finesse, sans facilité, mais avec fluidité. Le dessin de Marie Dubois et sa mise en scène sont finalement très classiques, et malheureusement l'amateur de bd n'en retiendras peut être pas grand chose, mais l'essentiel est ici ailleurs, et son trait permet de garder la fluidité de la pensée. Autres infos : D'après une idée originale de Jean-Philippe Thivet Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/libres-de-penser-dix-femmes-dix-vies-philosophiques?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. The_PoP

    La tresse

    J'avais lu le roman de Laetitia Colombani dont est tirée cette adaptation mais je vous avoue avoir eu du mal à en comprendre le succès total. J'étais un peu passé à côté de cette histoire partagée entre 3 personnages sur 3 continents différents pourtant bien écrite et bien pensée. Autant vous dire tout de suite que la bd m'a laissé la même impression, son adaptation restant de mes souvenirs très fidèle au roman. Le dessin d'Algésiras est propre et adapté à ce genre d'ouvrage, mais il n'a pas su apporter non plus pour moi le supplément d'âme qui m'avait déjà manqué à la lecture du roman. J'en ressors donc un peu désappointé, mais je ne doute pas que les amateurs du roman où ceux qui n'ont pas eu l'occasion de le découvrir risquent fort d'y jeter un oeil et de ne pas être déçus puisque cette adaptation reste de qualité.
  12. The_PoP

    La tresse

    Titre de l'album : La tresse Scenariste de l'album : Lylian Dessinateur de l'album : Algésiras Coloriste : Algésiras Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Trois continents, trois vies, trois destins entremêlés, tissés, entrelacés dans une fresque humaniste et moderne. Des tréfonds de L'Inde pauvre aux immenses buildings canadiens, en passant par la flamboyante Sicile, le destin de Smita, Sarah et Giuila, liées sans le savoir, tisse une tresse d'espoir et de solidarité. Un voyage au coeur de la condition des femmes du monde moderne et un hommage à toutes celles qui se battent pour leur liberté. Critique : J'avais lu le roman de Laetitia Colombani dont est tirée cette adaptation mais je vous avoue avoir eu du mal à en comprendre le succès total. J'étais un peu passé à côté de cette histoire partagée entre 3 personnages sur 3 continents différents pourtant bien écrite et bien pensée. Autant vous dire tout de suite que la bd m'a laissé la même impression, son adaptation restant de mes souvenirs très fidèle au roman. Le dessin d'Algésiras est propre et adapté à ce genre d'ouvrage, mais il n'a pas su apporter non plus pour moi le supplément d'âme qui m'avait déjà manqué à la lecture du roman. J'en ressors donc un peu désappointé, mais je ne doute pas que les amateurs du roman où ceux qui n'ont pas eu l'occasion de le découvrir risquent fort d'y jeter un oeil et de ne pas être déçus puisque cette adaptation reste de qualité. Autres infos : D'après le roman de Laetitia Colombani Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-tresse?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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