Aller au contenu
  • S’inscrire

Rechercher dans la communauté

Affichage des résultats pour les étiquettes 'incal'.

  • Rechercher par étiquettes

    Saisir les étiquettes en les séparant par une virgule.
  • Rechercher par auteur

Type du contenu


Forums

  • Les forums BD
    • Toute la BD
    • Projets participatifs
    • Petites Annonces BD
    • Liens BD vers ailleurs
  • Et si on parlait d'autre chose que la bande dessinée ?
    • Améliorons 1001BD
    • Films et séries TV
    • 1001 Jeux Video
    • Livres - Musique - Spectacles - Théatre - Musées
    • 1001 choses à dire
  • TEAM

Rechercher les résultats dans…

Rechercher les résultats qui contiennent…


Date de création

  • Début

    Fin


Dernière mise à jour

  • Début

    Fin


Filtrer par nombre de…

Inscription

  • Début

    Fin


Groupe


2 résultats trouvés

  1. Kevin Nivek

    L'incal - Capitaine Kaiman

    A la lecture de ce one-shot centré sur ce personnage énigmatique de l'univers L'incal , on sent le respect total des auteurs pour Moëbius et Jodorowsky . Insérer les thématiques universelles comme l'amour , la musique, la violence et la religion dans un space-opéra , dans le paysage actuel de BD de science-fiction , il fallait oser le faire ! Ne manque que la poésie et les amputations pour être au niveau de Alejandro 🙂 Encore que , ce capitaine Kaïmann portant si bien son nom avec sa problématique de mutation , est dans une quête d'humanisation de sa personne , ce qui peut engendrer l'exérèse de sa queue ! Je rassure cependant les personnes étant allergique à l'univers du torturé auteur chilien , cette histoire est nettement plus "accessible" et moins foutraque que ce qu'il a pu écrire dans le passé (et encore de nos jours ) . Dans cette aventure , l'amour avec un grand A passe les frontières du temps et de l'espace , entre Kaïmann et Aurora membre d'une secte religieuse . Le capitaine pirate est seul avec un équipage d'hologrammes et elle , lutte contre un génocide prévu à l'encontre de sa planète sans que sa religion ne rejette cela . La musique d'un instrument bien particulier va les rapprocher à travers l'espace-temps . Ce duo d'auteurs britanniques réalise un travail remarquable de respect et complément de l'oeuvre "incalienne" . Un trait réaliste et élégant que Moëbius n'aurait pas renié , accompagné de la petite dose de folie scénaristique de Jodorowsky ; c'est en somme une histoire récente qui aurait pu trouver sa place aux débuts de la création de L'incal ! J'ajoute que la problématique de voyage dans le temps est très bien menée avec une narration limpide et un suspens présent jusqu'à la dernière page 😉
  2. Titre de l'album : L'incal - Capitaine Kaiman Scenariste de l'album : Dan Watter Dessinateur de l'album : Jon Davis Hunt Coloriste : Editeur de l'album : Les humanoides associés Note : Résumé de l'album : À bord de son vaisseau pirate, entouré des fantômes de son équipage disparu, le capitaine Kaïmann cherche à se délivrer de la malédiction qui le transforme lentement en reptile. Alors qu'il parcourt l'univers à la recherche d'un remède contre sa mutation, il trouve l'amour auprès de la mystérieuse Aurora, une femme toute droit venue d'un futur condamné à une destruction quasi-certaine. Critique : A la lecture de ce one-shot centré sur ce personnage énigmatique de l'univers L'incal , on sent le respect total des auteurs pour Moëbius et Jodorowsky . Insérer les thématiques universelles comme l'amour , la musique, la violence et la religion dans un space-opéra , dans le paysage actuel de BD de science-fiction , il fallait oser le faire ! Ne manque que la poésie et les amputations pour être au niveau de Alejandro 🙂 Encore que , ce capitaine Kaïmann portant si bien son nom avec sa problématique de mutation , est dans une quête d'humanisation de sa personne , ce qui peut engendrer l'exérèse de sa queue ! Je rassure cependant les personnes étant allergique à l'univers du torturé auteur chilien , cette histoire est nettement plus "accessible" et moins foutraque que ce qu'il a pu écrire dans le passé (et encore de nos jours ) . Dans cette aventure , l'amour avec un grand A passe les frontières du temps et de l'espace , entre Kaïmann et Aurora membre d'une secte religieuse . Le capitaine pirate est seul avec un équipage d'hologrammes et elle , lutte contre un génocide prévu à l'encontre de sa planète sans que sa religion ne rejette cela . La musique d'un instrument bien particulier va les rapprocher à travers l'espace-temps . Ce duo d'auteurs britanniques réalise un travail remarquable de respect et complément de l'oeuvre "incalienne" . Un trait réaliste et élégant que Moëbius n'aurait pas renié , accompagné de la petite dose de folie scénaristique de Jodorowsky ; c'est en somme une histoire récente qui aurait pu trouver sa place aux débuts de la création de L'incal ! J'ajoute que la problématique de voyage dans le temps est très bien menée avec une narration limpide et un suspens présent jusqu'à la dernière page 😉 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-incal-capitaine-kaiman/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
×
×
  • Créer...