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  1. Presque 30 ans après son décès brutal, la princesse de Galles ou Lady Di, fascine toujours autant ! Elle ne pouvait donc passer au travers des écrits de l'autrice engagée en faveur des femmes inspirantes, Sophie Couturier. Ayant déjà réalisé un roman graphique sur Gisèle Halimi (Steinkis) avec Annick Cojean la grande reporter du journal Le Monde, il était donc logique que les deux auteures se retrouvent sur un autre projet. La dernière interview de la princesse Diana et par un journal français s'il vous plaît 🙂 ! Au fil des chapitres, vous suivrez donc pas à pas la genèse de cette rencontre et les répercussions nombreuses lui faisant suite. De l'étonnante facilité avec laquelle la journaliste obtiendra son interview, à l'échange donc entre les deux femmes dans un salon de Kensington palace et pour finir le déferlement médiatique dont elle fera l'objet, car jamais la princesse ne s'était livrée avec autant de franchise dans un média britannique ! Impossible de ne pas aborder en fin d'album le tragique accident lui ayant coûté la vie avec les nombreuses interrogations d'Annick Cojean sur les répercussions de son interview dans la vie publique de la princesse. Pour illustrer cette histoire, Sandrine Revel use d'un trait réaliste et expressif avec des couleurs douces et contrastées. Elle parvient à restituer les émotions avec une grande finesse, en centrant l'image sur un ou des personnages sans aucun arrière-plan. On associe l'atmosphère des années 90 et le style documentaire du récit. Si vous êtes fascinés par la figure de Diana, son héritage et son impact médiatique, cette bande dessinée offre une plongée immersive dans un moment clé de sa vie, tout en explorant les enjeux politiques et médiatiques de l’époque.
  2. Titre de l'album : Diana - Confidences d'une princesse rebelle Scenariste de l'album : Sophie Couturier Dessinateur de l'album : Sandrine Revel Coloriste : Sandrine Revel Editeur de l'album : Steinkis Note : Résumé de l'album : L'incroyable histoire de la dernière interview de la princesse Diana, par les autrices du best seller Une Farouche Liberté. 27 août 1997. Alors que la presse du monde entier traque Lady Diana, au faîte de sa gloire, le journal Le Monde publie une longue interview dans laquelle la princesse se livre avec sincérité. La publication fait l'effet d'une bombe. Les médias britanniques sont vent debout. Pourquoi la mère du futur roi d'Angleterre a-t-elle choisi de se confier dans un journal français ? Qui est donc Annick Cojean, la journaliste qui a obtenu ce scoop ? Comment la princesse se permet-elle une telle liberté de ton ? Voudrait-elle s'immiscer dans la politique britannique ? Critique : Presque 30 ans après son décès brutal, la princesse de Galles ou Lady Di, fascine toujours autant ! Elle ne pouvait donc passer au travers des écrits de l'autrice engagée en faveur des femmes inspirantes, Sophie Couturier. Ayant déjà réalisé un roman graphique sur Gisèle Halimi (Steinkis) avec Annick Cojean la grande reporter du journal Le Monde, il était donc logique que les deux auteures se retrouvent sur un autre projet. La dernière interview de la princesse Diana et par un journal français s'il vous plaît 🙂 ! Au fil des chapitres, vous suivrez donc pas à pas la genèse de cette rencontre et les répercussions nombreuses lui faisant suite. De l'étonnante facilité avec laquelle la journaliste obtiendra son interview, à l'échange donc entre les deux femmes dans un salon de Kensington palace et pour finir le déferlement médiatique dont elle fera l'objet, car jamais la princesse ne s'était livrée avec autant de franchise dans un média britannique ! Impossible de ne pas aborder en fin d'album le tragique accident lui ayant coûté la vie avec les nombreuses interrogations d'Annick Cojean sur les répercussions de son interview dans la vie publique de la princesse. Pour illustrer cette histoire, Sandrine Revel use d'un trait réaliste et expressif avec des couleurs douces et contrastées. Elle parvient à restituer les émotions avec une grande finesse, en centrant l'image sur un ou des personnages sans aucun arrière-plan. On associe l'atmosphère des années 90 et le style documentaire du récit. Si vous êtes fascinés par la figure de Diana, son héritage et son impact médiatique, cette bande dessinée offre une plongée immersive dans un moment clé de sa vie, tout en explorant les enjeux politiques et médiatiques de l’époque. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien Partenaire : https://www.bdfugue.com/diana-confidences-d-une-princesse-rebelle/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. The_PoP

    Au nom de catherine

    Bon soyons francs, je n'avais pas plus que ça envie de lire Au nom de Catherine. D'abord la couverture ne m'a pas attirée, trop austère. Ensuite je n'ai pas lu la première adaptation intitulée La guerre de Catherine qui avait remporté le fauve jeunesse à Angoulême en 2018. Pour finir je n'étais pas sûr d'avoir envie de lire sur les thèmes abordés dans cette bd. Et puis bon, on est sérieux où on ne l'est pas, je l'ai donc ouverte. Et j'ai été happé littéralement. Je me suis régalé, c'est fluide, c'est fin. Les dessins sont parfaits, avec cette empathie naturelle de Mayaen Goust pour ses personnages qui se ressent dans son trait, un régal. Les dialogues sont ciselés, les émotions bien rendues, on est dans le combat et pas dans l'auto apitoiement. C'est beau c'est positif, c'est fort. C'est un très beau roman graphique. Je ne peux que vous en recommander la lecture. Et puis comme jeune papa d'une petite fille, ce roman graphique sera dans ma bibliothèque pour quand elle aura la curiosité de le lire. Une réussite donc. Les bonnes nouvelles se cumulant parfois, on va bientôt vous en faire gagner un exemplaire par concours !!!!
  4. Titre de l'album : Au nom de catherine Scenariste de l'album : Mayalen Goust Dessinateur de l'album : Mayalen Goust Coloriste : Mayalen Goust Editeur de l'album : Rue de sevres Note : Résumé de l'album : Après plusieurs mois passés aux côtés d'Étienne, Rachel Cohen décide de conserver Catherine Colin comme nouvelle identité et revient à Sèvres pleine d'incertitudes. Étienne lui suggère de s'accorder une année loin de lui pour réfléchir à ses sentiments, à ses aspirations comme photographe et à ses envies de femme adulte. Après en avoir discuté avec Goéland, Pingouin et son ami de toujours Jeannot, Catherine décide de se consacrer pleinement à son art et se lance comme photographe professionnelle pour gagner ainsi son indépendance. Entre la fête de l'Humanité, une utopique colonie de vacances franco-allemande et un sujet social qui va la conduire jusqu'aux Etats-Unis, elle connaît un début de carrière fulgurant. Toujours en proie avec les traumatismes de son passé, Catherine va néanmoins, à travers son art et les relations qu'elle noue, s'ouvrir au monde et s'affirmer comme femme dans une société encore marquée par la guerre et la domination masculine. Critique : Bon soyons francs, je n'avais pas plus que ça envie de lire Au nom de Catherine. D'abord la couverture ne m'a pas attirée, trop austère. Ensuite je n'ai pas lu la première adaptation intitulée La guerre de Catherine qui avait remporté le fauve jeunesse à Angoulême en 2018. Pour finir je n'étais pas sûr d'avoir envie de lire sur les thèmes abordés dans cette bd. Et puis bon, on est sérieux où on ne l'est pas, je l'ai donc ouverte. Et j'ai été happé littéralement. Je me suis régalé, c'est fluide, c'est fin. Les dessins sont parfaits, avec cette empathie naturelle de Mayaen Goust pour ses personnages qui se ressent dans son trait, un régal. Les dialogues sont ciselés, les émotions bien rendues, on est dans le combat et pas dans l'auto apitoiement. C'est beau c'est positif, c'est fort. C'est un très beau roman graphique. Je ne peux que vous en recommander la lecture. Et puis comme jeune papa d'une petite fille, ce roman graphique sera dans ma bibliothèque pour quand elle aura la curiosité de le lire. Une réussite donc. Les bonnes nouvelles se cumulant parfois, on va bientôt vous en faire gagner un exemplaire par concours !!!! Autres infos : D'après le roman de Julia Billet Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/au-nom-de-catherine?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. C'est une équipe de baroudeurs qui nous propose ce récit en terres africaines . Karim Lebhour a effectué des séjours au Proche-Orient et à New-York en tant que journaliste et correspondant à l'ONU . Vincent Defait a fait des piges en tant que journaliste indépendant pour Le Monde et la revue XXI entre autres , tout en vivant en Ethiopie et en Ouganda . Enfin , le coloriste , Leo Trinidad est originaire du Costa-Rica et travaille sur toute l'Amérique centrale dans l'animation et illustrations de livres pour enfants . C'est donc avec une profonde expérience de la vie à l'étranger que les auteurs posent leur regard sur ce pays de la corne de l'Afrique au riche passé . Seul pays à n'avoir jamais été colonisé ! Un empereur Haïlé Sélassié connu mondialement et idole de Bob Marley . Seconde plus grande population du continent (après le Nigeria) , se vantant de posséder sur ses terres le fameux Arche d'Alliance de Moïse et ses 10 commandements , dans une église à Aksoum . Hélas , la visite est interdite au public ! Mais , un pays ayant connu cette terrible famine au début des années 80 , symbole persistant car tout le monde a en tête ces images d'enfants dénutris avec le ventre gonflé . Des souvenirs insoutenables qu'ils tentent d'effacer dans un renouveau économique et politique , non sans encombres . Dans cette bichromie au trait simple mais avec un découpage tonique , les auteurs décrivent leur séjour avec précision .Depuis son arrivée à l'aéroport , Karim Lebhour détaille sa vie personnelle et professionnelle au cours des années passées dans ce pays qui gagne à être connu . Au rythme des (nombreuses) coupures de courant , nous allons suivre leur quotidien et découvrir une population vivant mieux (mangeant à sa faim) mais subissant la politique unilatérale , d'un régime "unipartite" avec un contrôle exacerbé de la presse , et l'omniprésence des chinois , immenses pourvoyeurs économiques de toute la corne d'Afrique . Les auteurs mettent vraiment l'accent sur cette mainmise chinoise qui n'a d'autres buts que de rendre ces pays dépendants économiquement de l'empire du milieu . Les éthiopiens apprennent le chinois car ces derniers ne font aucun effort d'adaptation , on peut même remarquer à quel point ils sont adoubés par la population locale , ayant réussi à se rendre indispensables et endosser un rôle de sauveur . C'est une immersion réussie dans ce pays qui semble sur une bonne voie de développement , mais se rendant de plus en plus dépendant des chinois . On apprend énormément sur les us et coutumes , ce pays est pourvu de trésors d'architectures , ainsi que des paysages d'une beauté saisissante . Malgré l'oppression politique , les auteurs parviennent à nous donner envie de visiter ce pays et cette ville Addis-Abeba située à 2400m d'altitude .
  6. Titre de l'album : Une saison en Ethiopie : Chinafrique, répression et macchiato Scenariste de l'album : Karim Lebhour Dessinateur de l'album : Vincent Defait Coloriste : Leo Trinidad Editeur de l'album : Steinkis Note : Résumé de l'album : Karim et Vincent sont correspondants de presse à Addis-Abeba. ils sont voisins et se retrouvent tous les jours autour d'un macchiato. Souvent ensemble, parfois chacun de leur côté, ils découvrent et explorent un pays en pleine transformation, véritable creuset des mutations du continent. L'Éthiopie - second état le plus peuplé d'Afrique et le seul à n'avoir jamais été colonisé - aspire à devenir le « lion africain ». Les deux journalistes observent cette marche forcée vers la modernité, opérée à coups de bulldozers et financée par la Chine. Mais la tension monte au sein d'une population multiethnique muselée par son gouvernement. De conférences de presse ampoulées en manifestations anti-régime, Karim et Vincent tentent de faire au mieux leur travail dans un pays qui leur laisse peu de libertés pour le faire... Critique : C'est une équipe de baroudeurs qui nous propose ce récit en terres africaines . Karim Lebhour a effectué des séjours au Proche-Orient et à New-York en tant que journaliste et correspondant à l'ONU . Vincent Defait a fait des piges en tant que journaliste indépendant pour Le Monde et la revue XXI entre autres , tout en vivant en Ethiopie et en Ouganda . Enfin , le coloriste , Leo Trinidad est originaire du Costa-Rica et travaille sur toute l'Amérique centrale dans l'animation et illustrations de livres pour enfants . C'est donc avec une profonde expérience de la vie à l'étranger que les auteurs posent leur regard sur ce pays de la corne de l'Afrique au riche passé . Seul pays à n'avoir jamais été colonisé ! Un empereur Haïlé Sélassié connu mondialement et idole de Bob Marley . Seconde plus grande population du continent (après le Nigeria) , se vantant de posséder sur ses terres le fameux Arche d'Alliance de Moïse et ses 10 commandements , dans une église à Aksoum . Hélas , la visite est interdite au public ! Mais , un pays ayant connu cette terrible famine au début des années 80 , symbole persistant car tout le monde a en tête ces images d'enfants dénutris avec le ventre gonflé . Des souvenirs insoutenables qu'ils tentent d'effacer dans un renouveau économique et politique , non sans encombres . Dans cette bichromie au trait simple mais avec un découpage tonique , les auteurs décrivent leur séjour avec précision .Depuis son arrivée à l'aéroport , Karim Lebhour détaille sa vie personnelle et professionnelle au cours des années passées dans ce pays qui gagne à être connu . Au rythme des (nombreuses) coupures de courant , nous allons suivre leur quotidien et découvrir une population vivant mieux (mangeant à sa faim) mais subissant la politique unilatérale , d'un régime "unipartite" avec un contrôle exacerbé de la presse , et l'omniprésence des chinois , immenses pourvoyeurs économiques de toute la corne d'Afrique . Les auteurs mettent vraiment l'accent sur cette mainmise chinoise qui n'a d'autres buts que de rendre ces pays dépendants économiquement de l'empire du milieu . Les éthiopiens apprennent le chinois car ces derniers ne font aucun effort d'adaptation , on peut même remarquer à quel point ils sont adoubés par la population locale , ayant réussi à se rendre indispensables et endosser un rôle de sauveur . C'est une immersion réussie dans ce pays qui semble sur une bonne voie de développement , mais se rendant de plus en plus dépendant des chinois . On apprend énormément sur les us et coutumes , ce pays est pourvu de trésors d'architectures , ainsi que des paysages d'une beauté saisissante . Malgré l'oppression politique , les auteurs parviennent à nous donner envie de visiter ce pays et cette ville Addis-Abeba située à 2400m d'altitude . Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/une-saison-en-ethiopie-chinafrique-repression-et-macchiato/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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