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  1. poseidon2

    Grand Blue t7&8

    Ah le retour de mon manga de détente favoris. Avec cette fois un peu moins de déconne que d'habitude pour plus de relationnel. Si l'humour reste le principal trait du manga, ces deux tomes ci sont beaucoup plus orientés sur l'évolution de Iori. Que ce soit son passé avec la présence de sa sœur ou l'évolution des relations avec Chisa, on avance pas mal sur le personnage de Iori et plus uniquement sur la déconne entre copain. Et ce n'est pas un mal. Cela permet de voir que, mine de rien, les personnages murissent (un peu) et changent. Je vous rassure on rigole toujours mais c'est couplé avec une vraie évolution. Pile ce qu'il fallait pour éviter que l'on ne se lasse.
  2. poseidon2

    Grand Blue t7&8

    Titre de l'album : Grand Blue t7&8 Scenariste de l'album : Kenji Inoue Dessinateur de l'album : Kimitake Yoshioka Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Je suis prête à jouer la petite soeur trop attachée à son frère jusqu'au bout ! Shiori, la petite soeur de Iori, fait subitement irruption au Grand Blue. Déterminée à ramener son bon-à-rien de frère à la maison, elle va user de tous les stratagèmes ! Critique : Ah le retour de mon manga de détente favoris. Avec cette fois un peu moins de déconne que d'habitude pour plus de relationnel. Si l'humour reste le principal trait du manga, ces deux tomes ci sont beaucoup plus orientés sur l'évolution de Iori. Que ce soit son passé avec la présence de sa sœur ou l'évolution des relations avec Chisa, on avance pas mal sur le personnage de Iori et plus uniquement sur la déconne entre copain. Et ce n'est pas un mal. Cela permet de voir que, mine de rien, les personnages murissent (un peu) et changent. Je vous rassure on rigole toujours mais c'est couplé avec une vraie évolution. Pile ce qu'il fallait pour éviter que l'on ne se lasse. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/grand-blue-tome-8?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Nickad

    Look back

    L’histoire commence à l’école primaire, Fujino écrit des mangas en 4 cases pour le journal de l’école, elle est admirée par ses camarades jusqu’au jour où elle doit partager cette place avec Kyômoto. Les dessins de cette dernière sont nettement plus travaillés, Fujino ne compte pas se laisser faire devant cette élève qui ne vient même plus à l’école, cet esprit la pousse à s’améliorer. Sur le point de laisser tomber, elle rencontre Kyômoto pour la 1ère fois et les deux jeunes filles vont alors se rapprocher. L’auteur Tatsuki FUJIMOTO est connu et célèbre pour ses deux séries Fire punch et Chainsaw man, avec Look back il explore un nouveau genre, plus intimiste et plus poétique, on pourrait même se demander si l’histoire de ces jeunes filles qui vont devenir mangaka n’a pas quelque chose d’autobiographique. Le graphisme du manga est superbe et aux travers de certaines planches, certaines sans texte, on comprend bien la passion qui anime les mangakas et le travail acharné qu’ils produisent. Si le livre a été reconnu par ses pairs et a déjà remporté des prix, j’y mettrais un bémol. En effet, il faut plusieurs lectures pour bien comprendre le dernier tiers du livre, et ce n’est qu’après avoir lu la plaquette accompagnant cette sortie que j’ai compris de quoi il retournait. Je pense également qu’il touche plus les personnes évoluant dans un milieu similaire que des lecteurs ordinaires, ceux-là doivent s’y reconnaitre alors que pour nous, l’influence du processus de création sur le quotidien n’est pas intuitive. Je lui reconnais des qualités mais je n’irai pas jusqu’à l’encenser.
  4. Nickad

    Look back

    Titre de l'album : Look back Scenariste de l'album : FUJIMOTO Tatsuki Dessinateur de l'album : FUJIMOTO Tatsuki Coloriste : Editeur de l'album : Kaze Note : Résumé de l'album : Fujino, adolescente surdouée, a une confiance absolue en son talent. Kyômoto, elle, se terre dans sa chambre et pratique sans relâche. Deux jeunes filles d'une même ville de province, qu'une passion fervente pour le dessin va faire se rencontrer, et unir par un lien indéfectible... Critique : L’histoire commence à l’école primaire, Fujino écrit des mangas en 4 cases pour le journal de l’école, elle est admirée par ses camarades jusqu’au jour où elle doit partager cette place avec Kyômoto. Les dessins de cette dernière sont nettement plus travaillés, Fujino ne compte pas se laisser faire devant cette élève qui ne vient même plus à l’école, cet esprit la pousse à s’améliorer. Sur le point de laisser tomber, elle rencontre Kyômoto pour la 1ère fois et les deux jeunes filles vont alors se rapprocher. L’auteur Tatsuki FUJIMOTO est connu et célèbre pour ses deux séries Fire punch et Chainsaw man, avec Look back il explore un nouveau genre, plus intimiste et plus poétique, on pourrait même se demander si l’histoire de ces jeunes filles qui vont devenir mangaka n’a pas quelque chose d’autobiographique. Le graphisme du manga est superbe et aux travers de certaines planches, certaines sans texte, on comprend bien la passion qui anime les mangakas et le travail acharné qu’ils produisent. Si le livre a été reconnu par ses pairs et a déjà remporté des prix, j’y mettrais un bémol. En effet, il faut plusieurs lectures pour bien comprendre le dernier tiers du livre, et ce n’est qu’après avoir lu la plaquette accompagnant cette sortie que j’ai compris de quoi il retournait. Je pense également qu’il touche plus les personnes évoluant dans un milieu similaire que des lecteurs ordinaires, ceux-là doivent s’y reconnaitre alors que pour nous, l’influence du processus de création sur le quotidien n’est pas intuitive. Je lui reconnais des qualités mais je n’irai pas jusqu’à l’encenser. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/look-back?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. Nickad

    Welcome to the ballroom tome 1

    Tatara Fujita est un collégien qui n’a pas encore trouvé sa voie, il aimerait bien avoir un don, une passion, une motivation dans la vie, quelque chose qui pourrait lui faire ressentir qu’il est vivant, qu’il n’est pas vide et qui lui permettrait de changer, d’avancer. Un jour, suite à un concours de circonstances, il va découvrir le monde de la danse de salon (valse, salsa…) et pour la première fois, il va se sentir happé, fasciné et va décider de devenir danseur et faire de la compétition. Représenter la danse en dessins, pouvoir donner l’impression des mouvements, des enchainements, de la rapidité ce n’est jamais très facile à faire. Même si je n’ai pas été totalement convaincue par ces représentations, ce qui marche bien en revanche, c’est les sensations que la danse procure chez notre héros. On ressent bien l’éveil de son intérêt, sa fascination et son envie d’apprendre. Et puis, pour une fois, ce n’est pas de la danse classique, ni de la street, ici on parle de danse de salon : un genre souvent dénigré par les jeunes car souvent considéré comme obsolète. L’auteure joue donc l’originalité en choisissant ce style de danse et en prenant comme personnage principal un garçon, elle va donc à l’encontre des tendances et c’est très bien ! Une belle découverte, à suivre.
  6. Titre de l'album : Welcome to the ballroom tome 1 Scenariste de l'album : TAKEUCHI Tomo Dessinateur de l'album : TAKEUCHI Tomo Coloriste : Editeur de l'album : Noeve Grafx Note : Résumé de l'album : Collégien, Tatara Fujita n'a ni talent ni passion et ne sait pas quoi faire de sa vie. Le hasard et une bande de caïds mal intentionnés l'amènent à rencontrer Kaname Sengoku, un danseur professionnel qui l'attire dans un studio de danse de salon. Tatara y découvre l'univers de la danse sportive. Critique : Tatara Fujita est un collégien qui n’a pas encore trouvé sa voie, il aimerait bien avoir un don, une passion, une motivation dans la vie, quelque chose qui pourrait lui faire ressentir qu’il est vivant, qu’il n’est pas vide et qui lui permettrait de changer, d’avancer. Un jour, suite à un concours de circonstances, il va découvrir le monde de la danse de salon (valse, salsa…) et pour la première fois, il va se sentir happé, fasciné et va décider de devenir danseur et faire de la compétition. Représenter la danse en dessins, pouvoir donner l’impression des mouvements, des enchainements, de la rapidité ce n’est jamais très facile à faire. Même si je n’ai pas été totalement convaincue par ces représentations, ce qui marche bien en revanche, c’est les sensations que la danse procure chez notre héros. On ressent bien l’éveil de son intérêt, sa fascination et son envie d’apprendre. Et puis, pour une fois, ce n’est pas de la danse classique, ni de la street, ici on parle de danse de salon : un genre souvent dénigré par les jeunes car souvent considéré comme obsolète. L’auteure joue donc l’originalité en choisissant ce style de danse et en prenant comme personnage principal un garçon, elle va donc à l’encontre des tendances et c’est très bien ! Une belle découverte, à suivre. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/welcome-to-the-ballroom-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Retour du manga sur le quotidien de cet homme et de ce chat qui étaient tous les deux seuls et tristes et qui se sont trouvés. Si on fait un petit récapitulatif des mangas sur les chats, nous avons ceux qui racontent leur quotidien du point de vue des chats comme Chi, Plum ou Choubi ; ceux qui racontent la vie avec des chats comme la gameuse et son chat, les livres humoristiques tels que nyankees, desperate housecat, ceux où le chat est présent mais pas vraiment impliqué comme walking cat, ceux où un humain se retrouve dans le corps d’un chat tel que chat malgré moi et j’en oublie beaucoup car c’est un thème apprécié par les japonais (il y a beaucoup moins de mangas avec des chiens…). Alors qu’est-ce-qui fait que le chat qui rendait l’homme heureux et inversement se démarque ? C’est clairement les sentiments. Si la partie « pensées du chat » s’appuie sur les comportements connus des félins mais est forcément interprétée, les pensées de l’homme, elles, sont justes. Plus que de montrer des mignonneries, et il faut y arriver avec ce chat pas spécialement kawaii, le manga se penche sur le ressenti des personnages, sur ce qu’apporte la présence d’un animal du point de vue affectif. Bien que ponctué de courtes histoires, le manga a quand même une trame générale qui suit l’évolution de Fuyuki Kanda après avoir perdu sa femme et adopté le chat Fukumaru. Dans ce tome, on en apprend un peu plus sur son passé et son métier. Le manga apporte toujours une dose de tendresse et de chaleur, un pur moment de bien-être.
  8. Titre de l'album : Le chat qui rendait l'homme heureux - et inversement - tome 3 Scenariste de l'album : SAKURAI Umi Dessinateur de l'album : SAKURAI Umi Coloriste : Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Fuyuki Kanda est un homme seul et triste. Un jour, il décide d'entrer dans une animalerie où il remarque Fukumaru, un chat pas très beau, gros et plus très jeune. Ce dernier semble triste et désespéré car personne ne veut de lui. Pourtant, de manière inattendue, l'homme va l'adopter ! Ainsi commence l'histoire d'un quotidien plein de tendresse, entre un homme et un chat en mal d'amour. Critique : Retour du manga sur le quotidien de cet homme et de ce chat qui étaient tous les deux seuls et tristes et qui se sont trouvés. Si on fait un petit récapitulatif des mangas sur les chats, nous avons ceux qui racontent leur quotidien du point de vue des chats comme Chi, Plum ou Choubi ; ceux qui racontent la vie avec des chats comme la gameuse et son chat, les livres humoristiques tels que nyankees, desperate housecat, ceux où le chat est présent mais pas vraiment impliqué comme walking cat, ceux où un humain se retrouve dans le corps d’un chat tel que chat malgré moi et j’en oublie beaucoup car c’est un thème apprécié par les japonais (il y a beaucoup moins de mangas avec des chiens…). Alors qu’est-ce-qui fait que le chat qui rendait l’homme heureux et inversement se démarque ? C’est clairement les sentiments. Si la partie « pensées du chat » s’appuie sur les comportements connus des félins mais est forcément interprétée, les pensées de l’homme, elles, sont justes. Plus que de montrer des mignonneries, et il faut y arriver avec ce chat pas spécialement kawaii, le manga se penche sur le ressenti des personnages, sur ce qu’apporte la présence d’un animal du point de vue affectif. Bien que ponctué de courtes histoires, le manga a quand même une trame générale qui suit l’évolution de Fuyuki Kanda après avoir perdu sa femme et adopté le chat Fukumaru. Dans ce tome, on en apprend un peu plus sur son passé et son métier. Le manga apporte toujours une dose de tendresse et de chaleur, un pur moment de bien-être. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-chat-qui-rendait-l-homme-heureux-et-inversement-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. Nickad

    Exposition TATSUKI FUJIMOTO à Angoulême

    jusqu’à
    Avec la sortie de Look back et l'arrivée de 2 autres de ses oeuvres "17-21" le 18 mai et "22-26" le 8 juin ne librairie, l'auteur de Fire Punch et Chainsaw Man est mis à l'honneur au festival International de la Bande Dessinée d'Angoulême.
  10. Nickad

    Sans préambule

    Sans préambule est une œuvre qu’Akane TORIKAI a réalisé entre le siège des exilées et saturn return. Ce qui frappe en premier c’est le rendu graphique, entièrement réalisé au crayon, on a parfois l’impression de n’avoir que des esquisses mais cela apporte au livre une certaine authenticité et rapproche plus l’œuvre du roman graphique que du manga. Le découpage des cases va également dans ce sens avec des images à cheval sur les deux pages et des points de vue jouant sur différents plans. Concernant l’histoire, il s’agit de 6 courtes histoires de lycéennes, des réflexions ou des pensées qu’elles ont sur leur avenir, leurs envies ou leur place dans la société. Comme toujours l’auteure met à l’honneur les femmes et elle est soucieuse d’en montrer différents aspects. Toutes ces héroïnes ont ce point commun de faire face à ce qu’elles sont à un moment donné et d’aller de l’avant. Je serai peut-être moins emballée que d’autres sur le récit, j’ai trouvé que la réflexion n’était pas toujours pertinente, un peu comme si on prenait une page au hasard d’un livre sans aller plus loin. Pas toujours compréhensible non plus car si les histoires sont indépendantes, certaines semblent se chevaucher par moment, j’ai parfois eu du mal à identifier les personnages et je pense qu’il va me falloir une relecture pour mieux appréhender le contenu. Le manga reste une œuvre intéressante, surtout dans sa conception graphique et Akata a pris le soin d’en faire une belle édition avec un format plus grand (A5) et une couverture cartonnée.
  11. Nickad

    Sans préambule

    Titre de l'album : Sans préambule Scenariste de l'album : TORIKAI Akane Dessinateur de l'album : TORIKAI Akane Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : Elles sont lycéennes, elles fréquentent le même établissement. Chacune d'entre elles, au quotidien, se pose des questions qui lui est propre. Sur son avenir, sur la vie, sur l'amour. Mais aucune, jamais, ne baissera les bras... Car toujours, il faut aller de l'avant. Avec son regard toujours unique, Akane Torikai croque (littéralement) le portrait de jeunes filles bien contemporaines. Critique : Sans préambule est une œuvre qu’Akane TORIKAI a réalisé entre le siège des exilées et saturn return. Ce qui frappe en premier c’est le rendu graphique, entièrement réalisé au crayon, on a parfois l’impression de n’avoir que des esquisses mais cela apporte au livre une certaine authenticité et rapproche plus l’œuvre du roman graphique que du manga. Le découpage des cases va également dans ce sens avec des images à cheval sur les deux pages et des points de vue jouant sur différents plans. Concernant l’histoire, il s’agit de 6 courtes histoires de lycéennes, des réflexions ou des pensées qu’elles ont sur leur avenir, leurs envies ou leur place dans la société. Comme toujours l’auteure met à l’honneur les femmes et elle est soucieuse d’en montrer différents aspects. Toutes ces héroïnes ont ce point commun de faire face à ce qu’elles sont à un moment donné et d’aller de l’avant. Je serai peut-être moins emballée que d’autres sur le récit, j’ai trouvé que la réflexion n’était pas toujours pertinente, un peu comme si on prenait une page au hasard d’un livre sans aller plus loin. Pas toujours compréhensible non plus car si les histoires sont indépendantes, certaines semblent se chevaucher par moment, j’ai parfois eu du mal à identifier les personnages et je pense qu’il va me falloir une relecture pour mieux appréhender le contenu. Le manga reste une œuvre intéressante, surtout dans sa conception graphique et Akata a pris le soin d’en faire une belle édition avec un format plus grand (A5) et une couverture cartonnée. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sans-preambule?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. Nickad

    Sexy cosplay doll tome 7

    Quand d’autres élèves demandent à Gojô et Marine s’ils sortent ensemble, ce dernier nie farouchement, plus parce qu’il estime ne pas être à la hauteur de la jeune fille et ne voulant pas lui faire honte que par manque de sentiments. Marine, elle, ignorant le ressenti de son ami, est un peu dépitée par cette réaction. Il est temps que Gojô s’assume enfin, qu’il se montre tel qu’il est devant les autres et affirme ses choix, la fête du lycée va peut-être pouvoir l’aider : il y a un costume à confectionner et tout le monde apprends alors qu’il est doué dans ce domaine. Ce tome est donc consacré à Gojô, la façon qu’il a eu de se comporter par rapport aux autres à la fois en se mettant en retrait pour ne déranger personne et aussi en cachant sa passion. On est donc un peu plus sur sa psychologie et les traces que lui ont laissé les remarques blessantes de son enfance. L’histoire va donc enfin pouvoir avancer, tant que lui était bloqué, leur relation l’était aussi ! Un manga toujours agréable à lire, plus ou moins dosé en cosplay selon les tomes (pas trop dans celui-là). Si vous voulez vous en faire une idée, vous pouvez aller voir l’anime sur crunchyroll (titre : my dress-up darling)
  13. Titre de l'album : Sexy cosplay doll tome 7 Scenariste de l'album : FUKUDA Shinichi Dessinateur de l'album : FUKUDA Shinichi Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : "Gojô et Marine, est-ce que vous sortez ensemble ? ! " Comment Gojô et Marine vont-ils réagir à l'intervention de Nowa ? ! En tout cas, ils n'auront pas trop le temps de gamberger : le festival culturel du lycée approche à grands pas ! Marine trépigne à l'idée de participer au concours de beauté du deuxième jour : ce sera pour elle l'occasion de se cosplayer à l'école ! Sans compter que, cette fois encore, c'est une grande première qui l'attend. Critique : Quand d’autres élèves demandent à Gojô et Marine s’ils sortent ensemble, ce dernier nie farouchement, plus parce qu’il estime ne pas être à la hauteur de la jeune fille et ne voulant pas lui faire honte que par manque de sentiments. Marine, elle, ignorant le ressenti de son ami, est un peu dépitée par cette réaction. Il est temps que Gojô s’assume enfin, qu’il se montre tel qu’il est devant les autres et affirme ses choix, la fête du lycée va peut-être pouvoir l’aider : il y a un costume à confectionner et tout le monde apprends alors qu’il est doué dans ce domaine. Ce tome est donc consacré à Gojô, la façon qu’il a eu de se comporter par rapport aux autres à la fois en se mettant en retrait pour ne déranger personne et aussi en cachant sa passion. On est donc un peu plus sur sa psychologie et les traces que lui ont laissé les remarques blessantes de son enfance. L’histoire va donc enfin pouvoir avancer, tant que lui était bloqué, leur relation l’était aussi ! Un manga toujours agréable à lire, plus ou moins dosé en cosplay selon les tomes (pas trop dans celui-là). Si vous voulez vous en faire une idée, vous pouvez aller voir l’anime sur crunchyroll (titre : my dress-up darling) Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sexy-cosplay-doll-tome-7?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. Nickad

    Alpi the soul sender tome 6

    Dans l’univers de ce manga, les humains vivent sous la protection d’esprits divins qui leurs prodiguent leurs protections et les bienfaits de la nature. Quand un esprit vient à mourir, de son corps se dégagent des miasmes toxiques comme si une malédiction s’abattait sur terre. C’est à ce moment qu’interviennent les soul senders, des êtres qui par leurs prières peuvent pratiquer une cérémonie pour apaiser l’âme de l’esprit divin, l’envoyer dans l’au-delà et mettre fin aux miasmes. Alpi est une jeune soul sender partie à l’aventure avec son serviteur Pelenai à la recherche de ses parents disparus, eux-aussi soul senders. C’est la première fois qu’Alpi collabore avec d’autres soul senders pour apaiser l’esprit du grand serpent, seulement l’équipe se heurte à des esprits qui pensent que les humains doivent à un moment payer pour les bienfaits qu’ils demandent. C’est dans ce contexte tendu qu’Alpi découvre que Pelenai est en réalité un esprit gardien, venu eu monde pour la protéger. Il va alors lui raconter son passé. Alpi the soul sender est un manga d’aventure dans un contexte fantastique. Au travers de ce périple, elle apprend à connaitre la différence, découvre les différents rapports que l‘homme entretient avec la nature. Mais sans aller jusqu’à une analyse pointue, le manga peut juste être apprécié au 1er degré (côté aventure). Le graphisme est vraiment très soigné, que ce soit dans les décors, les tenues ou même les traits des personnages. C’est un manga agréable et dépaysant.
  15. Titre de l'album : Alpi the soul sender tome 6 Scenariste de l'album : RONA Dessinateur de l'album : RONA Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Une fable écologique au coeur d'un monde fantastique ! Après une longue recherche, Alpi et les autres soul senders ont enfin localisé le corps du grand serpent ! Ils érigent une immense barrière autour afin d'accomplir le rite, mais le lendemain matin ils découvrent avec horreur que tout a été détruit. En effet, quelqu'un semble vouloir éviter à tout prix que la divinité ne trouve le repos... Tandis que le groupe tente de trouver une solution, il est attaqué par plusieurs esprits à l'apparence humaine et un combat s'engage entre Dia et Pelenai ! Alpi découvre alors le lourd secret de celui qui l'accompagne depuis si longtemps... Critique : Dans l’univers de ce manga, les humains vivent sous la protection d’esprits divins qui leurs prodiguent leurs protections et les bienfaits de la nature. Quand un esprit vient à mourir, de son corps se dégagent des miasmes toxiques comme si une malédiction s’abattait sur terre. C’est à ce moment qu’interviennent les soul senders, des êtres qui par leurs prières peuvent pratiquer une cérémonie pour apaiser l’âme de l’esprit divin, l’envoyer dans l’au-delà et mettre fin aux miasmes. Alpi est une jeune soul sender partie à l’aventure avec son serviteur Pelenai à la recherche de ses parents disparus, eux-aussi soul senders. C’est la première fois qu’Alpi collabore avec d’autres soul senders pour apaiser l’esprit du grand serpent, seulement l’équipe se heurte à des esprits qui pensent que les humains doivent à un moment payer pour les bienfaits qu’ils demandent. C’est dans ce contexte tendu qu’Alpi découvre que Pelenai est en réalité un esprit gardien, venu eu monde pour la protéger. Il va alors lui raconter son passé. Alpi the soul sender est un manga d’aventure dans un contexte fantastique. Au travers de ce périple, elle apprend à connaitre la différence, découvre les différents rapports que l‘homme entretient avec la nature. Mais sans aller jusqu’à une analyse pointue, le manga peut juste être apprécié au 1er degré (côté aventure). Le graphisme est vraiment très soigné, que ce soit dans les décors, les tenues ou même les traits des personnages. C’est un manga agréable et dépaysant. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/alpi-the-soul-sender-tome-6?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. Nickad

    Whispering you a love song tome 1

    Pour fêter la rentrée des classes, le lycée organise une fête en fin de journée, c’est là que Kino Himari assiste à son 1er concert, en entendant la chanteuse elle a le coup de foudre et la rencontrant plus tard, elle se permet de l’aborder et de lui dire. Seulement voilà, Kino a eu le coup de foudre pour la musique de Yori et celle-ci croyant que c’est un coup de foudre amoureux s’emballe rapidement. Kino est un personnage très spontané qui dit tout ce qu’elle a sur le cœur sans aucune arrière-pensée, Yori est une jeune fille plus réservée, qui se retrouve à devoir gérer des sentiments amoureux tout en sachant que ce n’est pas réciproque. Comme c’est la 1ere fois pur elle qu’elle tombe amoureuse, elle ne peut s’empêcher d’espérer dès que Kino lui fait un compliment. Le manga est très enjoué de par le personnage de Kino, cela apporte de la légèreté et de la fraicheur. Et quand Yori se pose des questions, c’est tellement naïf et mignon que c’en est touchant. Un manga plein de bons sentiments à savourer. 5 tomes en cours
  17. Titre de l'album : Whispering you a love song tome 1 Scenariste de l'album : TAKESHIMA Eku Dessinateur de l'album : TAKESHIMA Eku Coloriste : Editeur de l'album : Taifu Note : Résumé de l'album : Où se trouve la frontière entre le coup de coeur et le coup de foudre ? Pendant la cérémonie de rentrée au lycée, Himari est profondément touchée par le chant de la vocaliste du groupe jouant sur scène, une belle et grande fille répondant au nom de Yori. Incapable de retenir son enthousiasme, elle va à sa rencontre pour lui partager ce sentiment, en tant que fan. Mais ce qu'elle ne réalise pas tout de suite, c'est que cette dernière a eu le coup de foudre pour elle de façon bien plus romantique ! Que fera Himari quand elle se rendra compte que les sentiments qu'elle éprouve pour Yori ne sont peut-être pas au niveau de ceux que cette dernière ressent pour elle ? Critique : Pour fêter la rentrée des classes, le lycée organise une fête en fin de journée, c’est là que Kino Himari assiste à son 1er concert, en entendant la chanteuse elle a le coup de foudre et la rencontrant plus tard, elle se permet de l’aborder et de lui dire. Seulement voilà, Kino a eu le coup de foudre pour la musique de Yori et celle-ci croyant que c’est un coup de foudre amoureux s’emballe rapidement. Kino est un personnage très spontané qui dit tout ce qu’elle a sur le cœur sans aucune arrière-pensée, Yori est une jeune fille plus réservée, qui se retrouve à devoir gérer des sentiments amoureux tout en sachant que ce n’est pas réciproque. Comme c’est la 1ere fois pur elle qu’elle tombe amoureuse, elle ne peut s’empêcher d’espérer dès que Kino lui fait un compliment. Le manga est très enjoué de par le personnage de Kino, cela apporte de la légèreté et de la fraicheur. Et quand Yori se pose des questions, c’est tellement naïf et mignon que c’en est touchant. Un manga plein de bons sentiments à savourer. 5 tomes en cours Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/whispering-you-a-love-song-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. Nickad

    Failure frame tomes 1 et 2

    Toute la classe de Tôka Mimori, jeune lycéen, est invoqué dans un autre monde pour devenir des héros et combattre le mal. Jusque-là, rien de très original… Chacun se voit attribuer un rang et des compétences, Tôka obtient le rang E, le plus faible qui soit, la déesse Vicius, ne lui voyant aucun intérêt décide de l’envoyer dans des ruines qui lui servent d’oubliettes et dont personne n’est jamais ressorti. On pourrait penser que le début est un peu comme Chillin life, sauf qu’ici, le personnage de Tôka est beaucoup plus sombre, au fur et à mesure qu’il combat des monstres au péril de sa vie et parfois avec difficulté, il développe des compétences mais il développe surtout son esprit de vengeance, au point que lorsqu’il affronte des humains pour la première fois, il n’hésite pas une seconde à s’en débarrasser et plutôt cruellement. Tôka est-il en passe de devenir un monstre sans cœur ? Le côté héros sombre qui ne ressent plus rien est assez intéressant (un aspect que l’on a aussi dans Arifureta). Cependant, à partir du moment où il va rencontrer d’autres humains, Tôka va perdre un peu ce côté négatif, j’espère que l’on ne retombera pas dans une trame trop classique… Le manga est bien dessiné, les scènes d’action sont efficaces et l’auteur a su apporter du renouveau dans les sorts et techniques utilisées. Un isekai efficace pour le moment.
  19. Titre de l'album : Failure frame tomes 1 et 2 Scenariste de l'album : SHINOZAKI Kaoru Dessinateur de l'album : UYOSHI Shô Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : VENGEANCE DANS UN AUTRE MONDE. Tôka Mimori, lycéen aussi discret qu'un PNJ appartenant au décor, a été invoqué dans un autre monde avec ses camarades de classe afin que tous deviennent des héros. Mais tandis qu'autour de lui se succèdent les attributions de rangs S ou A, lui se voit qualifié de rang E, autrement dit bon à jeter, et se retrouve expédié au fin fond de ruines dont personne n'est jamais ressorti vivant. C'est alors qu'il découvre que ses compétences d'altération d'état, à première vue inutiles, lui permettent en fait de terrasser de puissants monstres !Je vais me rebeller contre ce monde... Avec ces capacités dont ils se sont tant moqués ! Ainsi débute le récit de vengeance de ce héros rejeté de tous aux pouvoirs hors normes, en passe de devenir un démon.En terrassant des monstres, un adolescent se métamorphose peu à peu en démon. Critique : Toute la classe de Tôka Mimori, jeune lycéen, est invoqué dans un autre monde pour devenir des héros et combattre le mal. Jusque-là, rien de très original… Chacun se voit attribuer un rang et des compétences, Tôka obtient le rang E, le plus faible qui soit, la déesse Vicius, ne lui voyant aucun intérêt décide de l’envoyer dans des ruines qui lui servent d’oubliettes et dont personne n’est jamais ressorti. On pourrait penser que le début est un peu comme Chillin life, sauf qu’ici, le personnage de Tôka est beaucoup plus sombre, au fur et à mesure qu’il combat des monstres au péril de sa vie et parfois avec difficulté, il développe des compétences mais il développe surtout son esprit de vengeance, au point que lorsqu’il affronte des humains pour la première fois, il n’hésite pas une seconde à s’en débarrasser et plutôt cruellement. Tôka est-il en passe de devenir un monstre sans cœur ? Le côté héros sombre qui ne ressent plus rien est assez intéressant (un aspect que l’on a aussi dans Arifureta). Cependant, à partir du moment où il va rencontrer d’autres humains, Tôka va perdre un peu ce côté négatif, j’espère que l’on ne retombera pas dans une trame trop classique… Le manga est bien dessiné, les scènes d’action sont efficaces et l’auteur a su apporter du renouveau dans les sorts et techniques utilisées. Un isekai efficace pour le moment. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/failure-frame-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Nickad

    Afterimage slow motion

    Ce manga est un spin-off de twilight outfocus, il met en scène une histoire entre les deux meneurs du club de cinéma. Kikuchihara est le président du club, comme il est en terminale c’est sa dernière année et son dernier film avant de quitter le lycée. Ichikawa est le metteur en scène des premières, il estime que son ainé ne fait que des films nuls et ne rate pas une occasion de lui dire. Les deux personnages sont comme chien et chat mais cachent peut-être leurs vrais sentiments. Le manga est dynamique, rythmé par leurs disputes. Il y a de l’humour mais également des réflexions plus poussées sur l’organisation d’une équipe de cinéma, le rôle du metteur en scène… Un titre fort sympathique, limite mieux que la série d’origine car il a une petite touche de folie rafraichissante agréable et distrayante.
  21. Titre de l'album : Afterimage slow motion Scenariste de l'album : JYANOME Dessinateur de l'album : JYANOME Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Jin Kikuchihara, en classe de terminale, est le président du club de cinéma de son lycée. Extérieurement, il a tout de l'homme idéal, mais en réalité, il a de nombreux défauts. Giichi Ichikawa, en première, est également dans le même club. Lui et Kikuchihara s'entendent comme chien et chat , Kikuchihara, de son côté, le considère comme son rival.Mais ce qu'Ichikawa ignore, c'est qu'ils se sont déjà rencontrés par le passé... Et voilà que par hasard, ils se retrouvent à partager la même chambre à l'internat ? Critique : Ce manga est un spin-off de twilight outfocus, il met en scène une histoire entre les deux meneurs du club de cinéma. Kikuchihara est le président du club, comme il est en terminale c’est sa dernière année et son dernier film avant de quitter le lycée. Ichikawa est le metteur en scène des premières, il estime que son ainé ne fait que des films nuls et ne rate pas une occasion de lui dire. Les deux personnages sont comme chien et chat mais cachent peut-être leurs vrais sentiments. Le manga est dynamique, rythmé par leurs disputes. Il y a de l’humour mais également des réflexions plus poussées sur l’organisation d’une équipe de cinéma, le rôle du metteur en scène… Un titre fort sympathique, limite mieux que la série d’origine car il a une petite touche de folie rafraichissante agréable et distrayante. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/afterimage-slow-motion?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. Titre de l'album : Appare ranman ! t1 Scenariste de l'album : Ahndongshik Dessinateur de l'album : Ahndongshik Coloriste : Editeur de l'album : Doki-Doki Note : Résumé de l'album : Une course automobile acharnée en plein coeur des États-Unis du 19e siècle... L'adaptation en manga de l'animé diffusé sur Wakanim ! Fin du 19e siècle. À la suite d'un accident, Sorano Appare, un ingénieur brillant mais asocial et Isshiki Kosame, un samouraï un peu couard, se retrouvent en Amérique après avoir dérivé depuis le Japon. Afin de rentrer chez eux, les deux compères sans le sou décident de participer à "l'American Transcontinental Race", une course acharnée reliant la côte ouest à la côte est des États-Unis. À bord d'une voiture à vapeur qu'ils ont construite, ils devront traverser des contrées sauvages, se battre contre des rivaux fous à lier, tout en se protégeant de l'environnement hostile et des hors-la-loi... Les deux amis pourront-ils gagner cette course impitoyable et obtenir la récompense afin de rentrer au bercail ? Critique : Gros coup pour Doki-Doki qui vient de sortir la minisérie de l'auteur de Sky Wars. Sky Wars étant pour moi LE manga référence que ce soit en termes de cohérence entre scenario et nombre de volumes (8) qu'en terme de qualité graphique. Je trépignais d'excitation (et ma fille aussi) lorsque ce tome 1 est arrivé et.... Je n'ai pas été déçu. Déjà cette histoire sera finie en 3 tomes. Ensuite c'est toujours graphiquement sublime. Les visages et les personnages ont des détails que les mangas actuels ne se donnent plus la peine de faire. Ensuite niveau histoire, on retrouve le coté inventif de Ahndongshik. Ce n’est rien de ce que l'on peut avoir lu ailleurs. Cette histoire de japonais se retrouvant à prendre part à une course automobile en plein cœur des états unis à la fin du 19ieme siècle c'est tout bonnement une idée géniale. Cela permet, en peu de pages, à Ahndongshik de parler aussi bien du choc des cultures que du besoin d'avoir un but dans la vie et de pouvoir chercher ou sont ses limites. Un vrai régal de lecture loisir ! Vivement le prochain. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/appare-ranman-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. poseidon2

    Appare ranman ! t1

    Gros coup pour Doki-Doki qui vient de sortir la minisérie de l'auteur de Sky Wars. Sky Wars étant pour moi LE manga référence que ce soit en termes de cohérence entre scenario et nombre de volumes (8) qu'en terme de qualité graphique. Je trépignais d'excitation (et ma fille aussi) lorsque ce tome 1 est arrivé et.... Je n'ai pas été déçu. Déjà cette histoire sera finie en 3 tomes. Ensuite c'est toujours graphiquement sublime. Les visages et les personnages ont des détails que les mangas actuels ne se donnent plus la peine de faire. Ensuite niveau histoire, on retrouve le coté inventif de Ahndongshik. Ce n’est rien de ce que l'on peut avoir lu ailleurs. Cette histoire de japonais se retrouvant à prendre part à une course automobile en plein cœur des états unis à la fin du 19ieme siècle c'est tout bonnement une idée géniale. Cela permet, en peu de pages, à Ahndongshik de parler aussi bien du choc des cultures que du besoin d'avoir un but dans la vie et de pouvoir chercher ou sont ses limites. Un vrai régal de lecture loisir ! Vivement le prochain.
  24. Delcourt/Tonkam sort une nouvelle édition de dragon quest : the adventure of Daï, ce manga avait été publié sous le titre Fly entre 1996 et 1999 chez j’ai lu puis été ressorti en version simple chez Tonkam entre 2007 et 2013 avec une nouvelle traduction. La version simple compte 37 tomes et cette nouvelle édition en comptera 25, elle bénéficie d’un papier de qualité et de plusieurs pages en couleur en milieu de livre. Le manga est un classique, voir un incontournable du genre. Nous avons des apprentis héros qui vont s’allier pour lutter contre le retour du roi du mal dans un monde d’heroic fantasy. Pas de super pouvoirs comme l’on peut voir dans les isekai, mais un travail acharné pour s’améliorer et même si certains ont des prédispositions pour l’épée ou la magie, ils n’arrivent à gagner qu’au prix de nombreux efforts. J’ai lu la version fly, il y a donc plus de 20 ans, je trouve que le manga a bien vieilli, le graphisme a peut-être un coté vintage mais les scènes d’actions sont efficaces. Ce n’est pas qu’un manga de combats, il y a des passages plus drôles ou plus touchants et les personnages vont avoir une véritable évolution. Bien sûr comme il y a eu une nouvelle traduction, le nom des personnages a changé et même si j’ai oublié certains détails, j’ai bien la trame de l’histoire en tête. Il m’est même arrivé d’y penser de temps en temps, à certaines scènes ou déroulements que je n’ai jamais revus dans d’autres mangas. Il se peut que comme c’est l’une de mes premières séries et qu’il n’y en n’avait pas autant à l’époque, j’ai une affection particulière pour ce manga mais celui-là je l’ai gardé contrairement à d’autres et ça m’a fait plaisir de le relire.
  25. Titre de l'album : Dragon quest : the adventure of Daï tomes 1 et 2 Scenariste de l'album : SANJO Riku Dessinateur de l'album : INADA Koji Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Le Roi du Mal est ressuscité ! Encore plus puissant qu'avant, Hadlar arrive sur l'île Dermline pour se venger de celui qui l'avait tué autrefois : Avan. Celui-ci n'a d'autre choix que d'affronter son ennemi de toujours pour protéger ses disciples. Mais sera-t-il à la hauteur pour terrasser Hadlar, alors qu'il vient de consommer presque toute son énergie pour l'entraînement de Daï ? Critique : Delcourt/Tonkam sort une nouvelle édition de dragon quest : the adventure of Daï, ce manga avait été publié sous le titre Fly entre 1996 et 1999 chez j’ai lu puis été ressorti en version simple chez Tonkam entre 2007 et 2013 avec une nouvelle traduction. La version simple compte 37 tomes et cette nouvelle édition en comptera 25, elle bénéficie d’un papier de qualité et de plusieurs pages en couleur en milieu de livre. Le manga est un classique, voir un incontournable du genre. Nous avons des apprentis héros qui vont s’allier pour lutter contre le retour du roi du mal dans un monde d’heroic fantasy. Pas de super pouvoirs comme l’on peut voir dans les isekai, mais un travail acharné pour s’améliorer et même si certains ont des prédispositions pour l’épée ou la magie, ils n’arrivent à gagner qu’au prix de nombreux efforts. J’ai lu la version fly, il y a donc plus de 20 ans, je trouve que le manga a bien vieilli, le graphisme a peut-être un coté vintage mais les scènes d’actions sont efficaces. Ce n’est pas qu’un manga de combats, il y a des passages plus drôles ou plus touchants et les personnages vont avoir une véritable évolution. Bien sûr comme il y a eu une nouvelle traduction, le nom des personnages a changé et même si j’ai oublié certains détails, j’ai bien la trame de l’histoire en tête. Il m’est même arrivé d’y penser de temps en temps, à certaines scènes ou déroulements que je n’ai jamais revus dans d’autres mangas. Il se peut que comme c’est l’une de mes premières séries et qu’il n’y en n’avait pas autant à l’époque, j’ai une affection particulière pour ce manga mais celui-là je l’ai gardé contrairement à d’autres et ça m’a fait plaisir de le relire. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/dragon-quest-the-adventure-of-dai-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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