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  1. Nickad

    Mon coloc est une gameuse tome 1

    Takumi Satsuki est un gameur, il joue à dragon quest X et y incarne un personnage féminin Powder. Au fur et à mesure, il s’est fait des amis dans la guilde du jeu et a sympathisé avec un personnage masculin Goro. Ayant avoué à ses amis qu’il était en réalité un garçon, celui ne l’a pas dérangé quand Goro a eu besoin d’un logement, et lui a proposé une colocation. Seulement voilà, en réalité Goro est une fille et n’avait pas compris que Powder était un garçon ! Bon, le pitch était sympathique et je m’attendais à ce qu’il y ait plus d’interactions entre les personnages dans la vraie vie (enfin celle du manga !). Hélas, la majorité du manga est plus centré sur le jeu, la création des personnages, les événements du jeu que leurs relations passent au second plan. Pour tout dire, je m’ennuyais tellement que j’ai eu du mal à aller au bout… Pourtant, des livres sur des MMORPG, j’en ai lus et je vous en ai présenté plusieurs. Je pense que le plus gros problème de ce 1er tome est l’équilibre entre les mondes réel et virtuel. Je suppose, car c’est un peu ce que ‘on ressent sur la fin (et aussi parce qu’il y a 8 tomes en cours), que cette cohabitation va peu à peu avoir une répercussion entre eux, côté sentiment probablement. En attendant, ce tome est quelconque, le caractère des personnages n’est pas poussé, les caractéristiques du jeu nous laissent de marbre (un intérêt peut-être pour ceux qui jouent à dragon quest X) et le graphisme correct sans être remarquable ; bref, je n’ai pas été convaincue.
  2. Titre de l'album : Mon coloc est une gameuse tome 1 Scenariste de l'album : KINDAICHI Renjûrô Dessinateur de l'album : KINDAICHI Renjûrô Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Takumi Satsuki est un joueur invétéré de Dragon Quest X Online. Son personnage, la mignonne Powder, fait régulièrement équipe avec Goro-san, un personnage masculin. Un jour, Goro-san dit qu'il recherche un appartement et Takumi lui propose de partager le sien. Mais lorsqu'ils se rencontrent, il est surpris de découvrir que Goro-san est une femme très belle et moderne, Miyako Okamoto. Critique : Takumi Satsuki est un gameur, il joue à dragon quest X et y incarne un personnage féminin Powder. Au fur et à mesure, il s’est fait des amis dans la guilde du jeu et a sympathisé avec un personnage masculin Goro. Ayant avoué à ses amis qu’il était en réalité un garçon, celui ne l’a pas dérangé quand Goro a eu besoin d’un logement, et lui a proposé une colocation. Seulement voilà, en réalité Goro est une fille et n’avait pas compris que Powder était un garçon ! Bon, le pitch était sympathique et je m’attendais à ce qu’il y ait plus d’interactions entre les personnages dans la vraie vie (enfin celle du manga !). Hélas, la majorité du manga est plus centré sur le jeu, la création des personnages, les événements du jeu que leurs relations passent au second plan. Pour tout dire, je m’ennuyais tellement que j’ai eu du mal à aller au bout… Pourtant, des livres sur des MMORPG, j’en ai lus et je vous en ai présenté plusieurs. Je pense que le plus gros problème de ce 1er tome est l’équilibre entre les mondes réel et virtuel. Je suppose, car c’est un peu ce que ‘on ressent sur la fin (et aussi parce qu’il y a 8 tomes en cours), que cette cohabitation va peu à peu avoir une répercussion entre eux, côté sentiment probablement. En attendant, ce tome est quelconque, le caractère des personnages n’est pas poussé, les caractéristiques du jeu nous laissent de marbre (un intérêt peut-être pour ceux qui jouent à dragon quest X) et le graphisme correct sans être remarquable ; bref, je n’ai pas été convaincue. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mon-coloc-est-une-gameuse-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Nickad

    Un petit ami trop parfait tome 9

    Nos deux tourtereaux habitent maintenant sous le même toit (en tout bien tout honneur, car l’oncle d’Iroha veille au grain), ils semblent filer le parfait amour. Mais quand une ex de Kusakabe débarque dans leur vie et demande à devenir l’amie d’Iroha, cette dernière se retrouve confronté à des sentiments plus noirs qui la perturbe et la laisse dans l’incertitude. Le manga suit toujours un déroulement assez classique d’un shojo, après les doutes sur les 1ers sentiments et apprendre à sortir avec quelqu’un, voici venu la confrontation avec le passé. Vu leurs caractères respectifs, il n’y a pas vraiment de risques, Kusakabe est assez exclusif et quand une histoire est finie, elle est finie ! Ce qui n’empêche pas Iroha de ressentir de la jalousie, le problème c’est qu’elle trouve son ex-petite amie sympathique et qu’elles voudraient bien être amies. De nouveaux sentiments sont donc étudiés dans ce tome : la confiance et la jalousie. Le manga reste globalement agréable ; en cours de route, Kusakabe a un peu perdu de son caractère atypique qui faisait l’originalité du manga, il reste très tranchant parfois et c’est tant mieux, car c’est ce qui fait le piquant de cette série.
  4. Titre de l'album : Un petit ami trop parfait tome 9 Scenariste de l'album : HOSHINO Mizuki Dessinateur de l'album : HOSHINO Mizuki Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Quand elle apprend que Kusakabe se retrouve au camp d'étude avec son ex-petite amie, Iroha est incapable de rester les bras croisés et décide de passer lui faire un petit coucou. L'incident semble finalement se résoudre sans problème, mais Haruka a l'air de cacher quelque chose... Haruki, de son côté, est bien décidé à rattraper le temps perdu au camp et à fêter son anniversaire avec Iroha dignement. Et, comme d'habitude avec ce petit pervers, ça va vite dégénérer ! Critique : Nos deux tourtereaux habitent maintenant sous le même toit (en tout bien tout honneur, car l’oncle d’Iroha veille au grain), ils semblent filer le parfait amour. Mais quand une ex de Kusakabe débarque dans leur vie et demande à devenir l’amie d’Iroha, cette dernière se retrouve confronté à des sentiments plus noirs qui la perturbe et la laisse dans l’incertitude. Le manga suit toujours un déroulement assez classique d’un shojo, après les doutes sur les 1ers sentiments et apprendre à sortir avec quelqu’un, voici venu la confrontation avec le passé. Vu leurs caractères respectifs, il n’y a pas vraiment de risques, Kusakabe est assez exclusif et quand une histoire est finie, elle est finie ! Ce qui n’empêche pas Iroha de ressentir de la jalousie, le problème c’est qu’elle trouve son ex-petite amie sympathique et qu’elles voudraient bien être amies. De nouveaux sentiments sont donc étudiés dans ce tome : la confiance et la jalousie. Le manga reste globalement agréable ; en cours de route, Kusakabe a un peu perdu de son caractère atypique qui faisait l’originalité du manga, il reste très tranchant parfois et c’est tant mieux, car c’est ce qui fait le piquant de cette série. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/un-petit-ami-trop-parfait-tome-9?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. Subaru et Emilia ont rejoint le sanctuaire, ils apprennent que nul ne peut en sortir à moins qu’un sang-mêlé ne réussisse à passer les épreuves du tombeau de la sorcière de l’Avarice. Le soir tombé, Emilia se lance et contre toute attente, Subaru est également autorisé à passer l’épreuve. On pourrait penser qu’arrivé au 4eme arc, on se lasse du manga mais chaque arc, bien que s’articulant autour d’un problème particulier et d’une boucle, permet également d’avancer dans la trame principale, c’est-à-dire, l’histoire de la sorcière et la sélection pour devenir la nouvelle reine. Chaque arc arrive à innover et nous mettre dans des situations différentes, on en apprend un peu plus sur les personnages et leurs relations s’approfondissent. Le rythme toujours dynamique, le graphisme de qualité font que l’on ne s’ennuie pas du tout. Re :zero est un bon shonen qui a le succès qu’il mérite. Pour info, l’anime est disponible gratuitement sur crunchyroll.
  6. Titre de l'album : Re:zero - 4eme arc : Le sanctuaire de la sorcière de l'Avarice tome 2 Scenariste de l'album : NAGATSUKI Tappei Dessinateur de l'album : ATORI Haruno Coloriste : Editeur de l'album : Ototo Note : Résumé de l'album : Subaru Natsuki, un lycéen subitement invoqué dans un autre monde, a pénétré avec Émilia dans le Sanctuaire où se trouvent Ram et Roswaal. Afin de résoudre les problèmes de cette terre à l’histoire compliquée, une épreuve leur est imposée. Néanmoins, celle-ci s’avère pour le moins déstabilisante... Critique : Subaru et Emilia ont rejoint le sanctuaire, ils apprennent que nul ne peut en sortir à moins qu’un sang-mêlé ne réussisse à passer les épreuves du tombeau de la sorcière de l’Avarice. Le soir tombé, Emilia se lance et contre toute attente, Subaru est également autorisé à passer l’épreuve. On pourrait penser qu’arrivé au 4eme arc, on se lasse du manga mais chaque arc, bien que s’articulant autour d’un problème particulier et d’une boucle, permet également d’avancer dans la trame principale, c’est-à-dire, l’histoire de la sorcière et la sélection pour devenir la nouvelle reine. Chaque arc arrive à innover et nous mettre dans des situations différentes, on en apprend un peu plus sur les personnages et leurs relations s’approfondissent. Le rythme toujours dynamique, le graphisme de qualité font que l’on ne s’ennuie pas du tout. Re :zero est un bon shonen qui a le succès qu’il mérite. Pour info, l’anime est disponible gratuitement sur crunchyroll. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/re-zero-arc-4-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Une fois n’est pas coutume, je ne vais pas revenir sur le résumé mais plutôt rentrer directement dans le vif du sujet. Le manga, sur fond vaguement historique, raconte une lutte contre un gouvernement despotique avec un ajout fantastique venant d’artefacts qui permettraient d’octroyer des pouvoirs. Je ne suis pas contre une histoire fantastique historique à condition bien sûr qu’il y ait un semblant de cohérence, et ici, on a à la fois Oda Nobunaga et le Shinsengumi dans la même temporalité alors qu’en réalité 300 ans les séparent !! Si c’est pour mélanger tout et n’importe quoi, autant créer une histoire de toute pièce !! Si on fait abstraction de cet aspect et que l’on se concentre sur l’action, l’histoire n’est pas si mal, il y a une recherche de trésors, une soif de pouvoirs, une vengeance, des affrontements et des personnages bien caractérisés. Le graphisme est soigné, les combats bien dynamiques… bref, un vrai shonen qui donne envie. Et puis là, on apprend que c’est fini en 2 tomes, on se demande forcément comment traiter tout cette révolte en aussi peu de temps. Eh bien, ce n’est pas possible, le deuxième tome se termine sur « la bataille commence maintenant » et pour faire un semblant de fin l’auteur explique que c’est l’histoire de ceux qui ont décidé de prendre les armes et non l’histoire de leur combat : une pirouette pas très convaincante… Après quand on sait que le manga n’a pas vraiment eu de succès lors de sa prépublication au Japon, on se doute que l’éditeur a dû mettre fin à la série prématurément. Alors même s’il y avait de bons éléments dans ces « prémices » qui auraient mérités d’être poursuivis, vous risquez de rester sur votre faim et forcément, comme je l’ai été, d’être déçus.
  8. Titre de l'album : La lame de la rébellion tomes 1 & 2 (fin) Scenariste de l'album : TSUBAKI Taro Dessinateur de l'album : TSUBAKI Taro Coloriste : Editeur de l'album : Michel Lafon Note : Résumé de l'album : Japon, 1570. Décidé à mettre fin au règne d'Oda Nobunaga qui lui a infligé tant de souffrances, Asuka Asagiri s'empare d'une antique épée dotée d'une puissance hors norme. Mais l'intervention de la mystérieuse Sôki, détentrice du collier de la soumission qui lui permet de totalement contrôler une personne, bouleverse son plan. Critique : Une fois n’est pas coutume, je ne vais pas revenir sur le résumé mais plutôt rentrer directement dans le vif du sujet. Le manga, sur fond vaguement historique, raconte une lutte contre un gouvernement despotique avec un ajout fantastique venant d’artefacts qui permettraient d’octroyer des pouvoirs. Je ne suis pas contre une histoire fantastique historique à condition bien sûr qu’il y ait un semblant de cohérence, et ici, on a à la fois Oda Nobunaga et le Shinsengumi dans la même temporalité alors qu’en réalité 300 ans les séparent !! Si c’est pour mélanger tout et n’importe quoi, autant créer une histoire de toute pièce !! Si on fait abstraction de cet aspect et que l’on se concentre sur l’action, l’histoire n’est pas si mal, il y a une recherche de trésors, une soif de pouvoirs, une vengeance, des affrontements et des personnages bien caractérisés. Le graphisme est soigné, les combats bien dynamiques… bref, un vrai shonen qui donne envie. Et puis là, on apprend que c’est fini en 2 tomes, on se demande forcément comment traiter tout cette révolte en aussi peu de temps. Eh bien, ce n’est pas possible, le deuxième tome se termine sur « la bataille commence maintenant » et pour faire un semblant de fin l’auteur explique que c’est l’histoire de ceux qui ont décidé de prendre les armes et non l’histoire de leur combat : une pirouette pas très convaincante… Après quand on sait que le manga n’a pas vraiment eu de succès lors de sa prépublication au Japon, on se doute que l’éditeur a dû mettre fin à la série prématurément. Alors même s’il y avait de bons éléments dans ces « prémices » qui auraient mérités d’être poursuivis, vous risquez de rester sur votre faim et forcément, comme je l’ai été, d’être déçus. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-lame-de-la-rebellion-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. Nickad

    Proposition idéale

    Un jour, Hirokuni, jeune travailleur dans une société, doit héberger un ancien ami d’enfance, Kaï, qu’il n’a pas vu depuis 12 ans. Si les garçons étaient proches à l’époque, chacun a mené sa vie. Kaï dit toujours être prêt à honorer une promesse de demande en mariage, Hirokuni prend tout cela à la rigolade, surtout que son travail ne lui laisse pas le temps de souffler. La relation entre les deux garçons n’est pas ce qui marque le plus dans ce manga, certes c’est la finalité de l’histoire mais elle est tellement dépendante du travail d’Hirokuni qu’elle passerait presque au second plan par moment. Car ce que l’on retient surtout, c’est le rythme effréné du travail d’Hirokuni, ce n’est pas la première fois que ce genre d’entreprises japonaise est décrite dans les mangas : des sociétés dite « esclavagistes » où les employés font tellement d’heures qu’ils en tombent parfois malades. Certains isekai voient d’ailleurs leur personnage principal être réincarné après être mort d’épuisement !! Les droits du travail ne sont pas les même partout, félicitons-nous de ne pas en être arrivé à ce stade ! L’arrivée de Kaï, va permettre à Hirokuni de revoir ses priorités (par rapport à sa santé et sa vie privée) et va surtout lui permettre d’oser prendre une décision. Concernant le côté romance, la seule scène à tendance érotique, se trouve à la fin du livre. Un livre bien équilibré avec un vrai contexte et une romance toute mignonne.
  10. Titre de l'album : Proposition idéale Scenariste de l'album : TSURUKAME Mayo Dessinateur de l'album : TSURUKAME Mayo Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Hirokuni subit le harcèlement moral de son supérieur hiérarchique. Alors qu'il était au bord de l'effondrement, Kaï, un ami d'enfance qu'il n'avait pas vu depuis 12 ans, fait irruption dans sa vie. Kaï, qui n'a plus nulle part où loger, va se faire héberger par Hirokuni. Il y a un seul petit souci : Kaï est gay et Hirokuni lui avait autrefois fait une promesse de mariage ! Il craint grandement pour sa vertu. Pourtant Kaï se contente de lui concocter de bons petits plats chaque jour. Ne serait-ce pas plutôt Kaï qui prend soin de Hirokuni, au final ? C'est là que commence la cohabitation le concubinage entre l'homme d'intérieur et l'employé lassé de la vie. Critique : Un jour, Hirokuni, jeune travailleur dans une société, doit héberger un ancien ami d’enfance, Kaï, qu’il n’a pas vu depuis 12 ans. Si les garçons étaient proches à l’époque, chacun a mené sa vie. Kaï dit toujours être prêt à honorer une promesse de demande en mariage, Hirokuni prend tout cela à la rigolade, surtout que son travail ne lui laisse pas le temps de souffler. La relation entre les deux garçons n’est pas ce qui marque le plus dans ce manga, certes c’est la finalité de l’histoire mais elle est tellement dépendante du travail d’Hirokuni qu’elle passerait presque au second plan par moment. Car ce que l’on retient surtout, c’est le rythme effréné du travail d’Hirokuni, ce n’est pas la première fois que ce genre d’entreprises japonaise est décrite dans les mangas : des sociétés dite « esclavagistes » où les employés font tellement d’heures qu’ils en tombent parfois malades. Certains isekai voient d’ailleurs leur personnage principal être réincarné après être mort d’épuisement !! Les droits du travail ne sont pas les même partout, félicitons-nous de ne pas en être arrivé à ce stade ! L’arrivée de Kaï, va permettre à Hirokuni de revoir ses priorités (par rapport à sa santé et sa vie privée) et va surtout lui permettre d’oser prendre une décision. Concernant le côté romance, la seule scène à tendance érotique, se trouve à la fin du livre. Un livre bien équilibré avec un vrai contexte et une romance toute mignonne. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/proposition-ideale?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. Nickad

    Our green birdcage tome 1

    Midori 17 ans, elle est lycéenne et depuis le décès de sa mère, doit s’occuper de tout chez elle : l’entretien de la maison et veiller sur son petit frère. Mais c’est aussi une élève modèle qui s’investit dans tout ce qu’elle fait et qui a du mal à dire non quand on compte sur elle. Parfois, elle se réfugie dans un coin du lycée interdit aux élèves, c’est là qu’un jour elle rencontre Sakiya, un jeune salaryman, ancien élève du lycée, qui vient également y trouver refuge. Petit à petit, Midori va se sentir attirée par lui. Bien que ce soit avant tout une rencontre et une romance, l’auteure a choisi de prendre des personnages en souffrance : Midori qui est écrasée sous le poids des responsabilités mais qui veut absolument tout faire pour respecter les dernières volontés de sa mère tout en espérant avoir du temps pour elle. Et Sakiya, fatigué de vivre après la mort d’un proche, se laissant aller aux souvenirs. Les deux abordent le deuil de façon différente mais vont peut-être apprendre à regarder les choses autrement au contact de l’autre. Un dessin tout en douceur pour une ambiance mélancolique, parfois nimbée de tristesse mais touchante. Un beau 1er tome pour une série finie en 4 tomes Extrait ICI
  12. Titre de l'album : Our green birdcage tome 1 Scenariste de l'album : TESHIMA Chia Dessinateur de l'album : TESHIMA Chia Coloriste : Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Depuis le décès de sa mère, Midori, une lycéenne, prend soin de son petit frère et de son père. Elle ploie sous le poids de la charge mentale et trouve refuge dans un petit jardin de l'école. Elle y retrouve Sakiya-san, un ancien élève qui travaille à côté. Ils vont découvrir chacun chez l'autre cette légèreté dont la vie a besoin pour être vécue, mais jusqu'où les mèneront ces sentiments ? Critique : Midori 17 ans, elle est lycéenne et depuis le décès de sa mère, doit s’occuper de tout chez elle : l’entretien de la maison et veiller sur son petit frère. Mais c’est aussi une élève modèle qui s’investit dans tout ce qu’elle fait et qui a du mal à dire non quand on compte sur elle. Parfois, elle se réfugie dans un coin du lycée interdit aux élèves, c’est là qu’un jour elle rencontre Sakiya, un jeune salaryman, ancien élève du lycée, qui vient également y trouver refuge. Petit à petit, Midori va se sentir attirée par lui. Bien que ce soit avant tout une rencontre et une romance, l’auteure a choisi de prendre des personnages en souffrance : Midori qui est écrasée sous le poids des responsabilités mais qui veut absolument tout faire pour respecter les dernières volontés de sa mère tout en espérant avoir du temps pour elle. Et Sakiya, fatigué de vivre après la mort d’un proche, se laissant aller aux souvenirs. Les deux abordent le deuil de façon différente mais vont peut-être apprendre à regarder les choses autrement au contact de l’autre. Un dessin tout en douceur pour une ambiance mélancolique, parfois nimbée de tristesse mais touchante. Un beau 1er tome pour une série finie en 4 tomes Extrait ICI Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/our-green-birdcage-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. Nickad

    & (and) tome 6

    Le docteur Yagai semble plus joyeux depuis qu’il fréquente Kaoru, cette dernière mène ses deux emplois en parallèle, elle bosse beaucoup mais la venue d’une nouvelle cliente la met devant des réalités concrètes, des questions qu’elle se posait déjà. La petite amie de Shiro, Iku n’arrive toujours pas à trouver sa place, elle voit bien que malgré tous les efforts qu’elle fait, le regard de Shiro se porte toujours vers Kaoru. Les personnages continuent à se chercher, à avancer entre leurs envies et leur passé. On a l’impression qu’ils se débattent mais en même temps qu’ils font des efforts pour changer. Tout est toujours raconté avec une certaine retenue, une certaine élégance que l’on retrouve aussi dans le graphisme. Et même si parfois, cela met un peu de distance avec le lecteur, le manga dégage une ambiance de spleen et de beauté qui ne laisse pas insensible.
  14. Nickad

    & (and) tome 6

    Titre de l'album : & (and) tome 6 Scenariste de l'album : OKAZAKI Mari Dessinateur de l'album : OKAZAKI Mari Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Forte et indépendante, Kaoru suit des cours supplémentaires pour intégrer le nouveau département de l'hôpital. De son côté, le docteur Yagai est toujours tourmenté par son passé et sa grande différence d'âge avec Kaoru l'empêche de se rapprocher d'elle autant qu'il le voudrait. Au fil du temps, heureusement, les sentiments de la jeune femme vont lui réchauffer le coeur et l'aider à s'ouvrir à elle. Mais, un jour, une nouvelle cliente débarque au salon de Kaoru. Cette femme, qui semble également connaître le docteur Yagai, ne manquera pas de la mettre mal à l'aise avec ses réflexions... Critique : Le docteur Yagai semble plus joyeux depuis qu’il fréquente Kaoru, cette dernière mène ses deux emplois en parallèle, elle bosse beaucoup mais la venue d’une nouvelle cliente la met devant des réalités concrètes, des questions qu’elle se posait déjà. La petite amie de Shiro, Iku n’arrive toujours pas à trouver sa place, elle voit bien que malgré tous les efforts qu’elle fait, le regard de Shiro se porte toujours vers Kaoru. Les personnages continuent à se chercher, à avancer entre leurs envies et leur passé. On a l’impression qu’ils se débattent mais en même temps qu’ils font des efforts pour changer. Tout est toujours raconté avec une certaine retenue, une certaine élégance que l’on retrouve aussi dans le graphisme. Et même si parfois, cela met un peu de distance avec le lecteur, le manga dégage une ambiance de spleen et de beauté qui ne laisse pas insensible. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/and-by-mari-okazaki-tome-6?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. poseidon2

    Kengan ashura T15-16

    Le tableau final vient de démarrer et les "vrais" combats commencent. Des combats à mort d'une intensité supérieure à ce que l'on a pu voir précédemment. Et dans le tome 16 c'est au tour de notre héros d'en découdre. Un Ohma complètement transformé par l'écrasante gifle que lui a mis le croc. Si ces tomes n'ont rien de très nouveaux, ils sont d'une intensité impressionnante en termes de combat et les retournements de situation sont nombreux. Le côté "coulisse" prend lui aussi une ampleur plus importante avec des menaces sur l'entourage des combattants et de leur boss, dont particulièrement Mr Yamashita. La bonne dose de baston mensuelle
  16. Titre de l'album : Kengan ashura T15-16 Scenariste de l'album : Sandrovich Yabako Dessinateur de l'album : Daromeon Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Les assurances Wakasa. Cette société d'assurance mutuelle a été fondée au cours de la 22e année de l'ère Meiji (1889). Liée à une centaine d'entreprises dans des secteurs variés, elle est l'un des plus grands investisseurs institutionnels de l'association Kengan. Palmarès KENGAN : 1366 victoires et 909 défaites. AVEC MOI, LA JUSTICE TRIOMPHE TOUJOURS. UNDER MOUNT. Cette entreprise fondée la 18e année de l'ère Heisei (2006) est spécialisée en moteurs de recherches et en réseaux sociaux. Sa plus grosse plate-forme compte 1,6 milliard d'inscrits dans le monde. Depuis quelques années, elle investit aussi dans la recherche en biologie et en neurosciences. Palmarès KENGAN : 68 victoires et 5 défaites. JE VAIS TE PIÉTINER COMME UNE CARPETTE. Critique : Le tableau final vient de démarrer et les "vrais" combats commencent. Des combats à mort d'une intensité supérieure à ce que l'on a pu voir précédemment. Et dans le tome 16 c'est au tour de notre héros d'en découdre. Un Ohma complètement transformé par l'écrasante gifle que lui a mis le croc. Si ces tomes n'ont rien de très nouveaux, ils sont d'une intensité impressionnante en termes de combat et les retournements de situation sont nombreux. Le côté "coulisse" prend lui aussi une ampleur plus importante avec des menaces sur l'entourage des combattants et de leur boss, dont particulièrement Mr Yamashita. La bonne dose de baston mensuelle Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/kengan-ashura-tome-15?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. Nickad

    Le monstre et la bête tome 3

    Dans un monde aux accents de fantasy, un homme d’âge mur, Liam, rencontre un jour au cœur d’une forêt Kavo, un monstre ou démon, de forme humanoïde, il est très grand, costaud, a la peau foncée et un visage effrayant (que l’on ne verra pas). Contre toute attente, Liam n’a pas peur de Kavo, il l’accepte facilement et dit de lui qu’il est mignon et gentil. Kavo décide d’accompagner Liam dans son voyage, ce dernier a le charme facile et aime bien aller « s’amuser ». Petit à petit, Kavo, qui a toujours vécu seul, développe des sentiments pour Liam et malgré le comportement de ce dernier décide de l’accepter, y compris ses secrets et ses dérives. Car Liam semble avoir un passé un peu lourd et il est poursuivi par la garde royale, il n’a d’autres choix que d’embarquer à bord d’un bateau pour changer de continent. Le monstre et la bête et un manga qui réserve des surprises, il y a une lecture a plusieurs niveaux et différents thèmes abordés. C’est d’abord une histoire d’amour entre un homme et une bête (les scènes osées sont plutôt soft, pas de gros plans, quelques nudités et rougissements et des postures sans équivoque). Puis c’est de l’aventure, la fuite de Liam, son passé et ses secrets, un peu de combat et des voyages. Enfin et c’est sans doute le point le plus importants c’est la réflexion sur la différence et l’acceptation de l’autre, il y a Kavo un monstre dont l’apparence fait peur à tout le monde mais qui est très gentil. Et c’est justement là-dessus que joue le titre du manga : qui est vraiment le monstre ? Cela peut être Kavo par son physique ou Liam par ce qu’il fait : sa manière de séduire sans se soucier du lendemain, ou bien ce qu’il a fait dans le passé, ou encore, on peut supposer que le monstre est tout simplement l’attitude des hommes par rapport à Kavo. Et dans ce cas, qui est la bête ? Encore une fois, on peut penser à Kavo, mais peut-être qu’il s’agit de Liam quand il est poussé par ses envies charnelles. Un manga intéressant donc, avec un trait fin et agréable et puis des imprévus de dernière page qui augmentent l’envie d’y revenir.
  18. Titre de l'album : Le monstre et la bête tome 3 Scenariste de l'album : RENJI Dessinateur de l'album : RENJI Coloriste : Editeur de l'album : Taifu Note : Résumé de l'album : Il était une fois, une forêt où résidaient de nombres créatures. Parmi elles, une bête nommée Kavo vivait dans la solitude. Un jour, alors que Liam se fait agresser au milieu des bois, la bête le sauve. S'attendant à le voir partir en courant et en hurlant, comme tant d'autres avant lui, il est étonné de découvrir que l'homme d'âge mûr n'a pas peur de lui et souhaite même le remercier de lui être venu en aide. Critique : Dans un monde aux accents de fantasy, un homme d’âge mur, Liam, rencontre un jour au cœur d’une forêt Kavo, un monstre ou démon, de forme humanoïde, il est très grand, costaud, a la peau foncée et un visage effrayant (que l’on ne verra pas). Contre toute attente, Liam n’a pas peur de Kavo, il l’accepte facilement et dit de lui qu’il est mignon et gentil. Kavo décide d’accompagner Liam dans son voyage, ce dernier a le charme facile et aime bien aller « s’amuser ». Petit à petit, Kavo, qui a toujours vécu seul, développe des sentiments pour Liam et malgré le comportement de ce dernier décide de l’accepter, y compris ses secrets et ses dérives. Car Liam semble avoir un passé un peu lourd et il est poursuivi par la garde royale, il n’a d’autres choix que d’embarquer à bord d’un bateau pour changer de continent. Le monstre et la bête et un manga qui réserve des surprises, il y a une lecture a plusieurs niveaux et différents thèmes abordés. C’est d’abord une histoire d’amour entre un homme et une bête (les scènes osées sont plutôt soft, pas de gros plans, quelques nudités et rougissements et des postures sans équivoque). Puis c’est de l’aventure, la fuite de Liam, son passé et ses secrets, un peu de combat et des voyages. Enfin et c’est sans doute le point le plus importants c’est la réflexion sur la différence et l’acceptation de l’autre, il y a Kavo un monstre dont l’apparence fait peur à tout le monde mais qui est très gentil. Et c’est justement là-dessus que joue le titre du manga : qui est vraiment le monstre ? Cela peut être Kavo par son physique ou Liam par ce qu’il fait : sa manière de séduire sans se soucier du lendemain, ou bien ce qu’il a fait dans le passé, ou encore, on peut supposer que le monstre est tout simplement l’attitude des hommes par rapport à Kavo. Et dans ce cas, qui est la bête ? Encore une fois, on peut penser à Kavo, mais peut-être qu’il s’agit de Liam quand il est poussé par ses envies charnelles. Un manga intéressant donc, avec un trait fin et agréable et puis des imprévus de dernière page qui augmentent l’envie d’y revenir. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/monstre-et-la-bete-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. Nickad

    Team Phoenix tome 1

    Les robots ont pris le pouvoir dans l’univers, ils ont décidé d’éliminer toutes les autres races mais quelques-uns pensent que certains humains peuvent être rééduqués et servir leur cause. C’est à ce moment que Saphir décide de se rebeller et monte son équipage de pirates de l’espace. Kenny Ruiz, auteur et dessinateur de bandes dessinées, s’est prêté à l’hommage rendu à Osamu Tezuka dans Tezucomi (critique ICI), c’est à ce moment que Team Phoenix est né : utiliser les personnages phares de Tezuka dans un space opera. Il n’est pas nécessaire de connaître l’œuvre du maître, pour apprécier le manga, l’histoire est cohérente, le trait de Kenny Ruiz précis et détaillé. Je trouve qu’on rentre facilement et rapidement dans le récit, il y a certes beaucoup de personnages mais assez de scenario et de développements pour en faire plus qu’une simple galerie hommage. C’est une véritable aventure qui vous attend avec ce qu’il faut d’actions et de suspens, on retrouve toutes les questions sur les conflits humains/robots, la cohabitation entre espèces, les sentiments chez les IA…. Et les fans de Tezuka auront plaisir à chercher ou redécouvrir leurs héros dans de nouvelles situations. La série est prévue en 6 tomes Bande annonce
  20. Titre de l'album : Team Phoenix tome 1 Scenariste de l'album : RUIZ Kenny / TEZUKA Osamu Dessinateur de l'album : RUIZ Kenny Coloriste : Editeur de l'album : VEGA Note : Résumé de l'album : La Grande Guerre qui fit rage entre les espèces vivantes et les robots se solda par la victoire de ses derniers. Après des décennies de conflit émergeait ainsi l'Union Robotique, un gouvernement totalitaire dirigé par le puissant Atlas. Sous son régime, ceux jugés utiles reçoivent « un permis de vivre » délivré par le gouvernement. Pour les autres, c'est la mort. Une poignée de rebelles, survivants de l'ancienne Alliance Biologique, lui résiste. Au sein de cette résistance se forme bientôt une nouvelle équipe de champions : la Team Phoenix. Critique : Les robots ont pris le pouvoir dans l’univers, ils ont décidé d’éliminer toutes les autres races mais quelques-uns pensent que certains humains peuvent être rééduqués et servir leur cause. C’est à ce moment que Saphir décide de se rebeller et monte son équipage de pirates de l’espace. Kenny Ruiz, auteur et dessinateur de bandes dessinées, s’est prêté à l’hommage rendu à Osamu Tezuka dans Tezucomi (critique ICI), c’est à ce moment que Team Phoenix est né : utiliser les personnages phares de Tezuka dans un space opera. Il n’est pas nécessaire de connaître l’œuvre du maître, pour apprécier le manga, l’histoire est cohérente, le trait de Kenny Ruiz précis et détaillé. Je trouve qu’on rentre facilement et rapidement dans le récit, il y a certes beaucoup de personnages mais assez de scenario et de développements pour en faire plus qu’une simple galerie hommage. C’est une véritable aventure qui vous attend avec ce qu’il faut d’actions et de suspens, on retrouve toutes les questions sur les conflits humains/robots, la cohabitation entre espèces, les sentiments chez les IA…. Et les fans de Tezuka auront plaisir à chercher ou redécouvrir leurs héros dans de nouvelles situations. La série est prévue en 6 tomes Bande annonce Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/team-phoenix-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. Nickad

    Nomi & Shiba tome 2

    Nomiya et Mikoshiba s’embrassent, flirtent mais ne sortent toujours pas ensemble car chacun veut faire sa déclaration et ne sait pas comment s’y prendre. Personne n’est dupe dans le dortoir et tout le monde essaye de donner le change pour qu’ils ne se fassent pas attraper par le professeur responsable. Nomi et Shiba c’est un manga mignon, rien de choquant et plein de bons sentiments. Alors on pourrait se dire qu’ils sont niais à se demander si leurs sentiments sont réciproques vu tout ce qui se passe entre eux et trouver tout ça un peu exagéré… En fait, c’est assez réaliste, j’ai les mêmes à la maison ! Des ados qui ont besoin de dire « sors avec moi » pour estimer qu’ils sont ensemble alors qu’ils flirtent depuis des mois !!! Bref, tout ça pour dire que c’est un manga résolument positif, plein de fraicheur et très fleur bleue qui apporte du baume au cœur et fera sourire bêtement votre adolescent…
  22. Titre de l'album : Nomi & Shiba tome 2 Scenariste de l'album : TAGURA Tohru Dessinateur de l'album : TAGURA Tohru Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : Nomiya et Mikoshiba ont échangé un langoureux baiser. Et s'ils ne se sont pas encore réellement avoué leurs sentiments, ils savent tous les deux qu'ils ne tiendront pas très longtemps avant de vouloir passer à l'étape suivante. Chacun d'eux semble en effet prêt à partager son intimité avec l'élu de son cœur... Mais les deux bougres ne sont pas au bout de leurs peines : un nouveau surveillant impose une règle qui interdit à deux personnes en couple de partager la même chambre. Pour ne pas être séparés, Nomiya et Mikoshiba vont devoir faire semblant de ne pas être attirés l'un par l'autre... et surtout résister à leurs pulsions ! Critique : Nomiya et Mikoshiba s’embrassent, flirtent mais ne sortent toujours pas ensemble car chacun veut faire sa déclaration et ne sait pas comment s’y prendre. Personne n’est dupe dans le dortoir et tout le monde essaye de donner le change pour qu’ils ne se fassent pas attraper par le professeur responsable. Nomi et Shiba c’est un manga mignon, rien de choquant et plein de bons sentiments. Alors on pourrait se dire qu’ils sont niais à se demander si leurs sentiments sont réciproques vu tout ce qui se passe entre eux et trouver tout ça un peu exagéré… En fait, c’est assez réaliste, j’ai les mêmes à la maison ! Des ados qui ont besoin de dire « sors avec moi » pour estimer qu’ils sont ensemble alors qu’ils flirtent depuis des mois !!! Bref, tout ça pour dire que c’est un manga résolument positif, plein de fraicheur et très fleur bleue qui apporte du baume au cœur et fera sourire bêtement votre adolescent… Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/nomi-et-shiba-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. Konosuke est un samouraï qui ne peut utiliser de sabre en métal, en fait, tous les objets métalliques se tordent à son approche, il ne peut pas non plus se raser ni toucher à la monnaie. Avec un tel handicap, impossible pour lui de trouver du travail, ayant vendu presque tous les biens hérités de sa famille, il se retrouve sans argent et en plus, il est la cible de moqueries, on dit de lui qu’il a peur de se couper ! Désespéré, il décide de se jeter dans la rivière pour en finir. Quelqu’un le sauve et il se réveille chez lui avec une demande de mariage en prime. La dot lui fait accepter cette demande, mais que peut donc lui trouver cette belle épouse tombée du ciel ? Après le très remarqué Kasane, manga assez sombre, déroutant et magnifique, Daruma Maatsura revient avec la danse du soleil et de la lune. Situé à l’époque médiévale, elle dépeint le quotidien d’un homme désœuvré avec réalisme et en même temps ajoute un côté fantastique qui lui donne un aspect « contes et légendes ». La description de l’époque est très juste, là où la valeur d’un homme se mesure à son sabre, Konosuke est un paria et on ressent bien tous ses sentiments, le désespoir et le déshonneur. Et puis il y a l’arrivée de Tsuki, énigmatique et très belle, on ne sait pas vraiment qui elle est et ce qu’elle veut mais le fantastique n’est pas loin. Le scenario est bien ficelé, l’histoire bien menée, une intrigue inédite qui laisse beaucoup de questions en suspens. Le graphisme de l’auteure sait allier la simplicité et le dynamisme quand il le faut. Une série à découvrir, 3 tomes en cours.
  24. Titre de l'album : La Danse du Soleil et de la Lune tome 1 Scenariste de l'album : MATSUURA Daruma Dessinateur de l'album : MATSUURA Daruma Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Pour un samouraï, l'honneur est plus important que tout. Konosuke aspire à vivre selon les valeurs de sa caste, mais un secret honteux l'en empêche : le métal se tord à proximité de sa peau ! Impossible pour lui d'utiliser la moindre lame, hormis celle de son sabre en bois... Avec un tel handicap, Konosuke ne peut prétendre à un travail digne de son rang. Pire, il est vu comme un lâche qui a peur de se battre dans les règles ! Seul et désargenté, il n'a plus qu'un désir : mourir honorablement par le sabre. Il provoque des pairs au combat, mais son pouvoir écarte leurs armes... Roué de coups et jeté dans une rivière, il glisse lentement vers la mort, quand il sent une étrange présence féminine... Il se réveille chez lui, hagard et déboussolé. C'est alors qu'un vieil homme difforme frappe à sa porte et lui annonce qu'il est demandé en mariage par une jeune femme à la beauté ensorcelante ! Qui est-elle et pourquoi l'a-t-elle choisi, lui, le samouraï raté Critique : Konosuke est un samouraï qui ne peut utiliser de sabre en métal, en fait, tous les objets métalliques se tordent à son approche, il ne peut pas non plus se raser ni toucher à la monnaie. Avec un tel handicap, impossible pour lui de trouver du travail, ayant vendu presque tous les biens hérités de sa famille, il se retrouve sans argent et en plus, il est la cible de moqueries, on dit de lui qu’il a peur de se couper ! Désespéré, il décide de se jeter dans la rivière pour en finir. Quelqu’un le sauve et il se réveille chez lui avec une demande de mariage en prime. La dot lui fait accepter cette demande, mais que peut donc lui trouver cette belle épouse tombée du ciel ? Après le très remarqué Kasane, manga assez sombre, déroutant et magnifique, Daruma Maatsura revient avec la danse du soleil et de la lune. Situé à l’époque médiévale, elle dépeint le quotidien d’un homme désœuvré avec réalisme et en même temps ajoute un côté fantastique qui lui donne un aspect « contes et légendes ». La description de l’époque est très juste, là où la valeur d’un homme se mesure à son sabre, Konosuke est un paria et on ressent bien tous ses sentiments, le désespoir et le déshonneur. Et puis il y a l’arrivée de Tsuki, énigmatique et très belle, on ne sait pas vraiment qui elle est et ce qu’elle veut mais le fantastique n’est pas loin. Le scenario est bien ficelé, l’histoire bien menée, une intrigue inédite qui laisse beaucoup de questions en suspens. Le graphisme de l’auteure sait allier la simplicité et le dynamisme quand il le faut. Une série à découvrir, 3 tomes en cours. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-danse-du-soleil-et-de-la-lune-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. poseidon2

    In the land of Leadale t1

    C'est marrant car il n'y a pas longtemps de cela j'aurais juste écrit : c'est encore un autre Isekai. Mais là, après toutes ces variations possibles de l'Isekai qui nous ont été donnée, avec des mangas qui vont vites, des pouvoirs étranges et des héros pour qui cela semble naturel d'être dans un autre monde, je dirais plus : A cool un Isekai de base. Car c'est le cas. In the Land of Leadale est un Isekai de base. On retrouve une trame d'une fille paniquée d'être prisonnier dans un jeu et devant s'adapter à sa nouvelle condition. Ça parait bête mais j'ai trouvé cette simplicité reposante car, au final, bien plus normale. IL n'y a rien de nouveau ni d'original dans ce manga. Mais ce retour aux sources me rappelle mes premières lectures du genre. Et c'est déjà pas mal.
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