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  1. poseidon2

    Mushoku tensei t15

    Heyyyyyyyy mais il semblerait que notre auteur n'ait pas complètement oublié de quoi parlait l'histoire qu'il a mis en pose il y a 5 tomes de cela ! C'est plutôt une très bonne surprise. Moi qui disais à mes enfants qu'on allait laissé tomber, j'avoue avoir été agréablement surpris par ce tome 15. En effet on renoue ici avec la trame d'origine. On en apprend plus sur le "dieu" qui a amené Rudeus (et qui semble ne pas trouver grâce aux yeux de tout le monde) mais on en apprend aussi plus sur cette mystérieuse fille venue du même monde que Rudeus. Rudeus qui découvre enfin que Fritz est une fille ! Bref un tome qui aurait quasiment du être la suite direct du tome 10 ! Espérons que cela continue dans le même sens dans le tome 16 pour que notre histoire avance et nous laisse entrevoir une fin possible....
  2. Titre de l'album : Mushoku tensei t15 Scenariste de l'album : Yuka Fujikawa Dessinateur de l'album : Yuka Fujikawa Coloriste : Editeur de l'album : Doki-Doki Note : Résumé de l'album : Sa première vie sur Terre avait été un ratage total. Réincarné dans un monde de magie et d'épées, Rudeus va tout faire pour éviter les erreurs du passé... et sera peut-être le nouveau héros d'un monde en péril ? J'ai ce monde en horreur !Silent Sevenstar, la mystérieuse élève honoraire de l'Académie de magie de Lanoa, n'est autre que la lycéenne sauvée d'un camion fou par Rudeus dans sa vie antérieure ! Elle s'est lancée dans des recherches effrénées pour trouver le moyen de rentrer dans son monde d'origine. Arrivée dans une impasse, elle demande de l'aide à Rudeus, qui accepte... Dans le même temps, notre sympathique héros se rend enfin à l'évidence : il est fou amoureux de Fitz ! Mais un jour qu'il le croise en ville par hasard, il est abasourdi par la réaction du jeune garde du corps... Critique : Heyyyyyyyy mais il semblerait que notre auteur n'ait pas complètement oublié de quoi parlait l'histoire qu'il a mis en pose il y a 5 tomes de cela ! C'est plutôt une très bonne surprise. Moi qui disais à mes enfants qu'on allait laissé tomber, j'avoue avoir été agréablement surpris par ce tome 15. En effet on renoue ici avec la trame d'origine. On en apprend plus sur le "dieu" qui a amené Rudeus (et qui semble ne pas trouver grâce aux yeux de tout le monde) mais on en apprend aussi plus sur cette mystérieuse fille venue du même monde que Rudeus. Rudeus qui découvre enfin que Fritz est une fille ! Bref un tome qui aurait quasiment du être la suite direct du tome 10 ! Espérons que cela continue dans le même sens dans le tome 16 pour que notre histoire avance et nous laisse entrevoir une fin possible.... Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mushoku-tensei-tome-15?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Le livre est composé de 3 chapitres inédits sur la vie des personnages du manga In these words et d’une nouvelle écrite par les mêmes auteures. Tout d’abord, la partie manga n’aura vraiment un intérêt que pour ceux qui connaissent In These words, il s’agit d’un thriller psychologique yaoi : Katsuya Asano est un jeune profiler qui enquête sur un tueur en série. Il lui arrive de faire des cauchemars où un homme lui inflige des sévices, mais en réalité, il se pourrait bien que ces rêves n’en soient pas. Le manga est très complexe, d’une part parce qu’on ne sait jamais dans quel ordre les événements se sont déroulés, que l’on navigue entre rêve et réalité et que graphiquement les personnages sont parfois très proches (volontairement d’ailleurs pour perturber encore plus le lecteur). C’est un manga très intéressant qui demande vraiment plusieurs lectures et même comme ça, il est difficile à comprendre car les auteures aiment semer le doute. C’est un manga angoissant et violent mais qui reste en mémoire. Les 3 chapitres ici sont des aspects de la vie de Katsuya et David et n’ont pas d’influence sur l’histoire principale si ce n’est de mieux comprendre la relation entre les deux hommes. Le roman illustré Father Figure parle d’un jeune policier qui élabore tout un plan pour entrer en contact avec l’un de ses voisins et faire partie de sa vie. Sauf que son envie tourne à l’obsession et il développe une forme d’amour non conventionnel. Il est étonnant de voir qu’il y a une vraie différence entre lire un manga yaoi et un roman yaoi, cela vient sans doute de la description des scènes osées, certes le graphisme est parfois très explicite mais le roman apporte une profondeur supplémentaire dans les intentions et les sentiments. Il est très bien écrit et les illustrations sont très belles. C’est cru, violent même et à réserver à un public Adulte Averti.
  4. Titre de l'album : In these words' stories & Father Figure Scenariste de l'album : Guilt Pleasure Dessinateur de l'album : Guilt Pleasure Coloriste : Editeur de l'album : Taifu Note : Résumé de l'album : Retrouvez dans In These Words'Stories + Father Figure trois préquelles de In These Words avec en bonus le roman Father Figure ! Découvrez le passé du docteur Asano Katsuya de In These Words au travers de la série de trois préquelles : Katsuya vient d´être employé par l'État de New York et y rencontre le détective David Krause à Manhattan. Succombera-t-il aux charmes du détective ? Father Figure : Uriel Blackstone, un jeune veuf, vivait une existence simple et tranquille jusqu'à ce qu´il tombe sur un inconnu dans son immeuble. Ce dernier s'introduit alors dans sa vie avec une étrange familiarité. Uriel l'ignore encore, mais une partie de son passé qu´il a oubliée est en train de le rattraper. Critique : Le livre est composé de 3 chapitres inédits sur la vie des personnages du manga In these words et d’une nouvelle écrite par les mêmes auteures. Tout d’abord, la partie manga n’aura vraiment un intérêt que pour ceux qui connaissent In These words, il s’agit d’un thriller psychologique yaoi : Katsuya Asano est un jeune profiler qui enquête sur un tueur en série. Il lui arrive de faire des cauchemars où un homme lui inflige des sévices, mais en réalité, il se pourrait bien que ces rêves n’en soient pas. Le manga est très complexe, d’une part parce qu’on ne sait jamais dans quel ordre les événements se sont déroulés, que l’on navigue entre rêve et réalité et que graphiquement les personnages sont parfois très proches (volontairement d’ailleurs pour perturber encore plus le lecteur). C’est un manga très intéressant qui demande vraiment plusieurs lectures et même comme ça, il est difficile à comprendre car les auteures aiment semer le doute. C’est un manga angoissant et violent mais qui reste en mémoire. Les 3 chapitres ici sont des aspects de la vie de Katsuya et David et n’ont pas d’influence sur l’histoire principale si ce n’est de mieux comprendre la relation entre les deux hommes. Le roman illustré Father Figure parle d’un jeune policier qui élabore tout un plan pour entrer en contact avec l’un de ses voisins et faire partie de sa vie. Sauf que son envie tourne à l’obsession et il développe une forme d’amour non conventionnel. Il est étonnant de voir qu’il y a une vraie différence entre lire un manga yaoi et un roman yaoi, cela vient sans doute de la description des scènes osées, certes le graphisme est parfois très explicite mais le roman apporte une profondeur supplémentaire dans les intentions et les sentiments. Il est très bien écrit et les illustrations sont très belles. C’est cru, violent même et à réserver à un public Adulte Averti. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/in-these-words-stories-father-figure?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. Nickad

    Danmachi épisode Ryû tome 5

    Le poing noir et le chat noir ont toutes les deux des contrats pour éliminer Ryû, sachant qu’elles risquent d’avoir des difficultés à la vaincre, elles prennent un peu de temps pour l’observer. Cette dernière, au contact de Syl, a enfin décider d’aller de l’avant et semble avoir trouvé sa place à l’auberge. Les deux tueuses, voyant la situation évoluer, ne peuvent s’empêcher de faire un parallèle avec leur propre vie. Retour dans le passé de Lunoa, le poing noir et de Chloé, le chat noir, deux tueuses qui ne se connaissent pas encore mais qui vont également finir par travailler à l’auberge de la Fertile Maitresse. Des passés sombres qui dénoncent au passage le comportement de certains dieux sans scrupules et nous montre également que la bienveillance existe dans le monde de Danmachi. Encore une fois le manga nous montre que l’univers de Danmachi est très travaillé et réfléchi surtout dans le développement des personnages, que ce soit par leur caractère ou leur histoire personnelle. Fin de l’épisode dans le prochain tome.
  6. Titre de l'album : Danmachi épisode Ryû tome 5 Scenariste de l'album : OMORI Fujino Dessinateur de l'album : MOMOYAMA Hinase Coloriste : Editeur de l'album : Ototo Note : Résumé de l'album : Grâce aux remerciements de Syl, le cœur de Ryû vient enfin d’être délivré du passé qui le retenait prisonnier… Ayant choisi d’aller de nouveau vers l’avant, elle décide de montrer sa gratitude envers Syl, mais…Dans le même temps, Lunoa et Chloé qui espionnaient Ryû semblent perplexes en constatant le changement d’attitude de leur cible. Leur lourd passé et leurs raisons de se battre sont enfin dévoilés… Critique : Le poing noir et le chat noir ont toutes les deux des contrats pour éliminer Ryû, sachant qu’elles risquent d’avoir des difficultés à la vaincre, elles prennent un peu de temps pour l’observer. Cette dernière, au contact de Syl, a enfin décider d’aller de l’avant et semble avoir trouvé sa place à l’auberge. Les deux tueuses, voyant la situation évoluer, ne peuvent s’empêcher de faire un parallèle avec leur propre vie. Retour dans le passé de Lunoa, le poing noir et de Chloé, le chat noir, deux tueuses qui ne se connaissent pas encore mais qui vont également finir par travailler à l’auberge de la Fertile Maitresse. Des passés sombres qui dénoncent au passage le comportement de certains dieux sans scrupules et nous montre également que la bienveillance existe dans le monde de Danmachi. Encore une fois le manga nous montre que l’univers de Danmachi est très travaillé et réfléchi surtout dans le développement des personnages, que ce soit par leur caractère ou leur histoire personnelle. Fin de l’épisode dans le prochain tome. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/dan-machi-familia-chronicle-episode-ryu-tome-5?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. poseidon2

    Kuma Kuma Bear t4

    Le retour de notre gentil manga. Le manga pas prise de tête mais quand même traité avec sérieux de Meian. Maintenant qu'elle connait tout le monde et que tout le monde l'apprécie, notre héroïne finie de réparer ce qu'elle peut dans ce village avant de se voir confier une mission pour aller... à la ville. Pas besoin de combat dans ce tome Kuma Kuma Bear pour nous livrer une histoire intéressante et cela fait toujours autant de bien. Notre héroïne est encore plus impliquée dans son rôle de "grande sœur" du village plutôt que dans celui de guerrière. On lit donc ce tome 4 avec autant de plaisir que les autres et on a hâte de voir Yuna dans le cadre d'une ville plus grande.
  8. Titre de l'album : Kuma Kuma Bear t4 Scenariste de l'album : Kumanano Dessinateur de l'album : Sergei Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : La fille ours reconstruit un orphelinat délabré ! Yuna, est une puissante fille ours propulsée dans un autre monde. Prise de pitié pour de jeunes orphelins, elle se met à reconstruire un orphelinat délabré ! Elle apprend par la directrice que le seigneur Cliff a cessé de verser une subvention à son établissement. Furieuse, Yuna décide de trouver un moyen de se venger. Un nouveau et délicieux mets arrive dans ce monde : le flan ! L'univers de la fille ours ne cesse de s'étendre ! Critique : Le retour de notre gentil manga. Le manga pas prise de tête mais quand même traité avec sérieux de Meian. Maintenant qu'elle connait tout le monde et que tout le monde l'apprécie, notre héroïne finie de réparer ce qu'elle peut dans ce village avant de se voir confier une mission pour aller... à la ville. Pas besoin de combat dans ce tome Kuma Kuma Bear pour nous livrer une histoire intéressante et cela fait toujours autant de bien. Notre héroïne est encore plus impliquée dans son rôle de "grande sœur" du village plutôt que dans celui de guerrière. On lit donc ce tome 4 avec autant de plaisir que les autres et on a hâte de voir Yuna dans le cadre d'une ville plus grande. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/kuma-kuma-kuma-bear-tome-4?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. poseidon2

    Gannibal t7

    Mais non !!! Ce n’est pas possible ! A chaque fois que je me dis que cette série ne pourra aller plus loin... elle le fait. La fin du tome 6 nous avait laissé penser que la fin était proche et que le clan Goto ne pourrait bientôt rien faire contre la détermination de Daigo et contre l'arrivée des forces de police. C'est bien mal connaitre les Goto ! Qu'est-ce que ce tome m'a surpris. Je m'attendais à tous sauf à cela. Alors même qu'il y a une vraie logique derrière. Si les tomes précèdent nous tenaient par l'angoisse et par l'interrogation de comment Daigo pourrait sauver les enfants, ce tome 7 nous tiens par le rythme effréné de l'action. Un comme complet qui va à 200 à l'heure. Un tome ou les acteurs principaux doivent faire des choix rapides qui ont (ou auront) un impact majeur pour la fin de série (13 tomes terminé au japon). Ce tome 7 ouvre les portes d'un nombre infini de fin possible et la fin du tome nous promet des sueurs froides pour les tout prochains. Vivement la suite !!!!!
  10. poseidon2

    Gannibal t7

    Titre de l'album : Gannibal t7 Scenariste de l'album : Ninomiya Masaki Dessinateur de l'album : Ninomiya Masaki Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Daigo, ayant perdu connaissance lors de son affrontement contre « Lui », se réveille dans un endroit inconnu. De son côté, le chef du bureau d'investigation, Gô Kanamura, s'attèle à reprendre le contrôle du village grâce aux troupes armées de la police. Tout se passait comme prévu, jusqu'à son intervention. La violence appelle la violence. Critique : Mais non !!! Ce n’est pas possible ! A chaque fois que je me dis que cette série ne pourra aller plus loin... elle le fait. La fin du tome 6 nous avait laissé penser que la fin était proche et que le clan Goto ne pourrait bientôt rien faire contre la détermination de Daigo et contre l'arrivée des forces de police. C'est bien mal connaitre les Goto ! Qu'est-ce que ce tome m'a surpris. Je m'attendais à tous sauf à cela. Alors même qu'il y a une vraie logique derrière. Si les tomes précèdent nous tenaient par l'angoisse et par l'interrogation de comment Daigo pourrait sauver les enfants, ce tome 7 nous tiens par le rythme effréné de l'action. Un comme complet qui va à 200 à l'heure. Un tome ou les acteurs principaux doivent faire des choix rapides qui ont (ou auront) un impact majeur pour la fin de série (13 tomes terminé au japon). Ce tome 7 ouvre les portes d'un nombre infini de fin possible et la fin du tome nous promet des sueurs froides pour les tout prochains. Vivement la suite !!!!! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/gannibal-tome-7?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. Nickad

    Phantom Seer tome 1

    Phantom seer c’est la rencontre de Riku, une lycéenne qui aime aider son prochain mais qui va apprendre qu’elle attire les phantoms « créatures non humaines qui provoquent des phénomènes étranges » et de Iori, un medium doué qui ne rêve que de devenir un lycéen banal. Ils vont être amenés à collaborer pour chasser les phantoms. Une fille à problèmes et un garçon avec des pouvoirs qui vont à la chasse aux monstres, des exorcismes, des rivaux, des situations fantastiques… le manga a tous les éléments qu’il faut pour en faire un bon shonen du genre. Pourtant, j’ai trouvé qu’il lui manquait quelque chose pour qu’il se démarque des autres. Peut-être parce que la finalité n’est pas très claire, on apprend vaguement et assez tardivement que Iori espère retrouver quelqu’un. Parce que sans objectif à atteindre, le manga peut vite devenir un amoncellement de situations similaires et peut durer longtemps, car c’est typiquement le genre d’histoire où il n’y a pas de fin : il y aura toujours des phantoms ! Peut-être que cela arrivera par la suite, mais le manga, publié dans le shonen jump, a été arrêté par l’éditeur au bout de 4 tomes, a-t-il souffert de la comparaison avec d’autres mangas du même style ? ou peut-être n’a-t-il pas réussi à trouver l’étincelle qui lui manque dans ce début ? Un manga qui semble prometteur, espérons que l'auteur ait réussi à lui faire une fin correcte.
  12. Titre de l'album : Phantom Seer tome 1 Scenariste de l'album : GOTO Tôgo Dessinateur de l'album : MATSUURA Kento Coloriste : Editeur de l'album : Kaze Note : Résumé de l'album : Issu d'une lignée qui fait trembler les créatures paranormales, Iori est un puissant médium capable d'exorciser les esprits malfaisants appelés "phantom". Or, ce lycéen fainéant, égoïste et désagréable ne rêve que d'une chose : une vie banale. Tout le contraire de Riku, une camarade populaire et altruiste... mais qui attire tous les phantom alentour ! Lorsqu'on assigne à Iori la protection de Riku, les deux camarades décident de collaborer pour, peut-être, changer leurs destins... Critique : Phantom seer c’est la rencontre de Riku, une lycéenne qui aime aider son prochain mais qui va apprendre qu’elle attire les phantoms « créatures non humaines qui provoquent des phénomènes étranges » et de Iori, un medium doué qui ne rêve que de devenir un lycéen banal. Ils vont être amenés à collaborer pour chasser les phantoms. Une fille à problèmes et un garçon avec des pouvoirs qui vont à la chasse aux monstres, des exorcismes, des rivaux, des situations fantastiques… le manga a tous les éléments qu’il faut pour en faire un bon shonen du genre. Pourtant, j’ai trouvé qu’il lui manquait quelque chose pour qu’il se démarque des autres. Peut-être parce que la finalité n’est pas très claire, on apprend vaguement et assez tardivement que Iori espère retrouver quelqu’un. Parce que sans objectif à atteindre, le manga peut vite devenir un amoncellement de situations similaires et peut durer longtemps, car c’est typiquement le genre d’histoire où il n’y a pas de fin : il y aura toujours des phantoms ! Peut-être que cela arrivera par la suite, mais le manga, publié dans le shonen jump, a été arrêté par l’éditeur au bout de 4 tomes, a-t-il souffert de la comparaison avec d’autres mangas du même style ? ou peut-être n’a-t-il pas réussi à trouver l’étincelle qui lui manque dans ce début ? Un manga qui semble prometteur, espérons que l'auteur ait réussi à lui faire une fin correcte. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/phantom-seer-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. poseidon2

    Tôgen anki T1&2

    Nouvelle série pour jeunes adultes de chez Kana, Togen Anki a été lancé à grand renfort de pub et de communication ce qui laissait entrevoir un vrai carton et une vraie bonne série. C'est surement pour cela que j'ai été un peu déçu. En effet si togen anki n'est pas un mauvais shonen, il est très loin d'etre original. Il est par contre étrangement "calibré" en y repensant. En effet il nous ressort les trucs de bases du shonen avec le bad guy, les pouvoirs, le mec qui progrese vite alors que c'est rebelle ou encore le prof qui se la joue super cool et qu'est trop fort et aussi un peu un rebelle.... Bref un shonen quoi. Mais en plus , car il faut bien se démarquer, Togen Anki ajoute... une surdose de gore. En, effet la particularité de nos "héros" est qu'ils utilisent leur sang pour créer leurs armes... donc ca pleut du sang et du sanguinolent de partout. Et sur certaines images cela dépasse le manga pour jeune adulte. Je suis donc resté un peu le cul entre deux chaises sur cette série. Et donc forcement un peu decu donc.
  14. Titre de l'album : Tôgen anki T1&2 Scenariste de l'album : Yura Urushibara Dessinateur de l'album : Yura Urushibara Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Une légende raconte qu'un enfant extrêmement fort serait né d'une pêche et baptisé Momotarô. Lorsqu'il devint assez grand et puissant, ce valeureux guerrier aurait chassé les Oni qui pillaient les villages. Ce héros n'est pas une légende... Tout comme les Oni... Leurs descendants sont encore parmi nous et la bataille opposait le clan Momotarô au clan des Oni fait rage ! Shiki est un jeune garçon, au sang chaud. Alors qu'il vient de se faire renvoyer de l'école, il prend conscience qu'il possède du sang de Oni. Le clan Momotarô le cherche et veut l'éliminer. la quête de liberté de Shiki et des autres Oni commence... Critique : Nouvelle série pour jeunes adultes de chez Kana, Togen Anki a été lancé à grand renfort de pub et de communication ce qui laissait entrevoir un vrai carton et une vraie bonne série. C'est surement pour cela que j'ai été un peu déçu. En effet si togen anki n'est pas un mauvais shonen, il est très loin d'etre original. Il est par contre étrangement "calibré" en y repensant. En effet il nous ressort les trucs de bases du shonen avec le bad guy, les pouvoirs, le mec qui progrese vite alors que c'est rebelle ou encore le prof qui se la joue super cool et qu'est trop fort et aussi un peu un rebelle.... Bref un shonen quoi. Mais en plus , car il faut bien se démarquer, Togen Anki ajoute... une surdose de gore. En, effet la particularité de nos "héros" est qu'ils utilisent leur sang pour créer leurs armes... donc ca pleut du sang et du sanguinolent de partout. Et sur certaines images cela dépasse le manga pour jeune adulte. Je suis donc resté un peu le cul entre deux chaises sur cette série. Et donc forcement un peu decu donc. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/togen-anki-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. Nickad

    Mon coloc est une gameuse tome 1

    Takumi Satsuki est un gameur, il joue à dragon quest X et y incarne un personnage féminin Powder. Au fur et à mesure, il s’est fait des amis dans la guilde du jeu et a sympathisé avec un personnage masculin Goro. Ayant avoué à ses amis qu’il était en réalité un garçon, celui ne l’a pas dérangé quand Goro a eu besoin d’un logement, et lui a proposé une colocation. Seulement voilà, en réalité Goro est une fille et n’avait pas compris que Powder était un garçon ! Bon, le pitch était sympathique et je m’attendais à ce qu’il y ait plus d’interactions entre les personnages dans la vraie vie (enfin celle du manga !). Hélas, la majorité du manga est plus centré sur le jeu, la création des personnages, les événements du jeu que leurs relations passent au second plan. Pour tout dire, je m’ennuyais tellement que j’ai eu du mal à aller au bout… Pourtant, des livres sur des MMORPG, j’en ai lus et je vous en ai présenté plusieurs. Je pense que le plus gros problème de ce 1er tome est l’équilibre entre les mondes réel et virtuel. Je suppose, car c’est un peu ce que ‘on ressent sur la fin (et aussi parce qu’il y a 8 tomes en cours), que cette cohabitation va peu à peu avoir une répercussion entre eux, côté sentiment probablement. En attendant, ce tome est quelconque, le caractère des personnages n’est pas poussé, les caractéristiques du jeu nous laissent de marbre (un intérêt peut-être pour ceux qui jouent à dragon quest X) et le graphisme correct sans être remarquable ; bref, je n’ai pas été convaincue.
  16. Titre de l'album : Mon coloc est une gameuse tome 1 Scenariste de l'album : KINDAICHI Renjûrô Dessinateur de l'album : KINDAICHI Renjûrô Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Takumi Satsuki est un joueur invétéré de Dragon Quest X Online. Son personnage, la mignonne Powder, fait régulièrement équipe avec Goro-san, un personnage masculin. Un jour, Goro-san dit qu'il recherche un appartement et Takumi lui propose de partager le sien. Mais lorsqu'ils se rencontrent, il est surpris de découvrir que Goro-san est une femme très belle et moderne, Miyako Okamoto. Critique : Takumi Satsuki est un gameur, il joue à dragon quest X et y incarne un personnage féminin Powder. Au fur et à mesure, il s’est fait des amis dans la guilde du jeu et a sympathisé avec un personnage masculin Goro. Ayant avoué à ses amis qu’il était en réalité un garçon, celui ne l’a pas dérangé quand Goro a eu besoin d’un logement, et lui a proposé une colocation. Seulement voilà, en réalité Goro est une fille et n’avait pas compris que Powder était un garçon ! Bon, le pitch était sympathique et je m’attendais à ce qu’il y ait plus d’interactions entre les personnages dans la vraie vie (enfin celle du manga !). Hélas, la majorité du manga est plus centré sur le jeu, la création des personnages, les événements du jeu que leurs relations passent au second plan. Pour tout dire, je m’ennuyais tellement que j’ai eu du mal à aller au bout… Pourtant, des livres sur des MMORPG, j’en ai lus et je vous en ai présenté plusieurs. Je pense que le plus gros problème de ce 1er tome est l’équilibre entre les mondes réel et virtuel. Je suppose, car c’est un peu ce que ‘on ressent sur la fin (et aussi parce qu’il y a 8 tomes en cours), que cette cohabitation va peu à peu avoir une répercussion entre eux, côté sentiment probablement. En attendant, ce tome est quelconque, le caractère des personnages n’est pas poussé, les caractéristiques du jeu nous laissent de marbre (un intérêt peut-être pour ceux qui jouent à dragon quest X) et le graphisme correct sans être remarquable ; bref, je n’ai pas été convaincue. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mon-coloc-est-une-gameuse-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. Nickad

    Un petit ami trop parfait tome 9

    Nos deux tourtereaux habitent maintenant sous le même toit (en tout bien tout honneur, car l’oncle d’Iroha veille au grain), ils semblent filer le parfait amour. Mais quand une ex de Kusakabe débarque dans leur vie et demande à devenir l’amie d’Iroha, cette dernière se retrouve confronté à des sentiments plus noirs qui la perturbe et la laisse dans l’incertitude. Le manga suit toujours un déroulement assez classique d’un shojo, après les doutes sur les 1ers sentiments et apprendre à sortir avec quelqu’un, voici venu la confrontation avec le passé. Vu leurs caractères respectifs, il n’y a pas vraiment de risques, Kusakabe est assez exclusif et quand une histoire est finie, elle est finie ! Ce qui n’empêche pas Iroha de ressentir de la jalousie, le problème c’est qu’elle trouve son ex-petite amie sympathique et qu’elles voudraient bien être amies. De nouveaux sentiments sont donc étudiés dans ce tome : la confiance et la jalousie. Le manga reste globalement agréable ; en cours de route, Kusakabe a un peu perdu de son caractère atypique qui faisait l’originalité du manga, il reste très tranchant parfois et c’est tant mieux, car c’est ce qui fait le piquant de cette série.
  18. Titre de l'album : Un petit ami trop parfait tome 9 Scenariste de l'album : HOSHINO Mizuki Dessinateur de l'album : HOSHINO Mizuki Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Quand elle apprend que Kusakabe se retrouve au camp d'étude avec son ex-petite amie, Iroha est incapable de rester les bras croisés et décide de passer lui faire un petit coucou. L'incident semble finalement se résoudre sans problème, mais Haruka a l'air de cacher quelque chose... Haruki, de son côté, est bien décidé à rattraper le temps perdu au camp et à fêter son anniversaire avec Iroha dignement. Et, comme d'habitude avec ce petit pervers, ça va vite dégénérer ! Critique : Nos deux tourtereaux habitent maintenant sous le même toit (en tout bien tout honneur, car l’oncle d’Iroha veille au grain), ils semblent filer le parfait amour. Mais quand une ex de Kusakabe débarque dans leur vie et demande à devenir l’amie d’Iroha, cette dernière se retrouve confronté à des sentiments plus noirs qui la perturbe et la laisse dans l’incertitude. Le manga suit toujours un déroulement assez classique d’un shojo, après les doutes sur les 1ers sentiments et apprendre à sortir avec quelqu’un, voici venu la confrontation avec le passé. Vu leurs caractères respectifs, il n’y a pas vraiment de risques, Kusakabe est assez exclusif et quand une histoire est finie, elle est finie ! Ce qui n’empêche pas Iroha de ressentir de la jalousie, le problème c’est qu’elle trouve son ex-petite amie sympathique et qu’elles voudraient bien être amies. De nouveaux sentiments sont donc étudiés dans ce tome : la confiance et la jalousie. Le manga reste globalement agréable ; en cours de route, Kusakabe a un peu perdu de son caractère atypique qui faisait l’originalité du manga, il reste très tranchant parfois et c’est tant mieux, car c’est ce qui fait le piquant de cette série. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/un-petit-ami-trop-parfait-tome-9?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. Subaru et Emilia ont rejoint le sanctuaire, ils apprennent que nul ne peut en sortir à moins qu’un sang-mêlé ne réussisse à passer les épreuves du tombeau de la sorcière de l’Avarice. Le soir tombé, Emilia se lance et contre toute attente, Subaru est également autorisé à passer l’épreuve. On pourrait penser qu’arrivé au 4eme arc, on se lasse du manga mais chaque arc, bien que s’articulant autour d’un problème particulier et d’une boucle, permet également d’avancer dans la trame principale, c’est-à-dire, l’histoire de la sorcière et la sélection pour devenir la nouvelle reine. Chaque arc arrive à innover et nous mettre dans des situations différentes, on en apprend un peu plus sur les personnages et leurs relations s’approfondissent. Le rythme toujours dynamique, le graphisme de qualité font que l’on ne s’ennuie pas du tout. Re :zero est un bon shonen qui a le succès qu’il mérite. Pour info, l’anime est disponible gratuitement sur crunchyroll.
  20. Titre de l'album : Re:zero - 4eme arc : Le sanctuaire de la sorcière de l'Avarice tome 2 Scenariste de l'album : NAGATSUKI Tappei Dessinateur de l'album : ATORI Haruno Coloriste : Editeur de l'album : Ototo Note : Résumé de l'album : Subaru Natsuki, un lycéen subitement invoqué dans un autre monde, a pénétré avec Émilia dans le Sanctuaire où se trouvent Ram et Roswaal. Afin de résoudre les problèmes de cette terre à l’histoire compliquée, une épreuve leur est imposée. Néanmoins, celle-ci s’avère pour le moins déstabilisante... Critique : Subaru et Emilia ont rejoint le sanctuaire, ils apprennent que nul ne peut en sortir à moins qu’un sang-mêlé ne réussisse à passer les épreuves du tombeau de la sorcière de l’Avarice. Le soir tombé, Emilia se lance et contre toute attente, Subaru est également autorisé à passer l’épreuve. On pourrait penser qu’arrivé au 4eme arc, on se lasse du manga mais chaque arc, bien que s’articulant autour d’un problème particulier et d’une boucle, permet également d’avancer dans la trame principale, c’est-à-dire, l’histoire de la sorcière et la sélection pour devenir la nouvelle reine. Chaque arc arrive à innover et nous mettre dans des situations différentes, on en apprend un peu plus sur les personnages et leurs relations s’approfondissent. Le rythme toujours dynamique, le graphisme de qualité font que l’on ne s’ennuie pas du tout. Re :zero est un bon shonen qui a le succès qu’il mérite. Pour info, l’anime est disponible gratuitement sur crunchyroll. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/re-zero-arc-4-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. Une fois n’est pas coutume, je ne vais pas revenir sur le résumé mais plutôt rentrer directement dans le vif du sujet. Le manga, sur fond vaguement historique, raconte une lutte contre un gouvernement despotique avec un ajout fantastique venant d’artefacts qui permettraient d’octroyer des pouvoirs. Je ne suis pas contre une histoire fantastique historique à condition bien sûr qu’il y ait un semblant de cohérence, et ici, on a à la fois Oda Nobunaga et le Shinsengumi dans la même temporalité alors qu’en réalité 300 ans les séparent !! Si c’est pour mélanger tout et n’importe quoi, autant créer une histoire de toute pièce !! Si on fait abstraction de cet aspect et que l’on se concentre sur l’action, l’histoire n’est pas si mal, il y a une recherche de trésors, une soif de pouvoirs, une vengeance, des affrontements et des personnages bien caractérisés. Le graphisme est soigné, les combats bien dynamiques… bref, un vrai shonen qui donne envie. Et puis là, on apprend que c’est fini en 2 tomes, on se demande forcément comment traiter tout cette révolte en aussi peu de temps. Eh bien, ce n’est pas possible, le deuxième tome se termine sur « la bataille commence maintenant » et pour faire un semblant de fin l’auteur explique que c’est l’histoire de ceux qui ont décidé de prendre les armes et non l’histoire de leur combat : une pirouette pas très convaincante… Après quand on sait que le manga n’a pas vraiment eu de succès lors de sa prépublication au Japon, on se doute que l’éditeur a dû mettre fin à la série prématurément. Alors même s’il y avait de bons éléments dans ces « prémices » qui auraient mérités d’être poursuivis, vous risquez de rester sur votre faim et forcément, comme je l’ai été, d’être déçus.
  22. Titre de l'album : La lame de la rébellion tomes 1 & 2 (fin) Scenariste de l'album : TSUBAKI Taro Dessinateur de l'album : TSUBAKI Taro Coloriste : Editeur de l'album : Michel Lafon Note : Résumé de l'album : Japon, 1570. Décidé à mettre fin au règne d'Oda Nobunaga qui lui a infligé tant de souffrances, Asuka Asagiri s'empare d'une antique épée dotée d'une puissance hors norme. Mais l'intervention de la mystérieuse Sôki, détentrice du collier de la soumission qui lui permet de totalement contrôler une personne, bouleverse son plan. Critique : Une fois n’est pas coutume, je ne vais pas revenir sur le résumé mais plutôt rentrer directement dans le vif du sujet. Le manga, sur fond vaguement historique, raconte une lutte contre un gouvernement despotique avec un ajout fantastique venant d’artefacts qui permettraient d’octroyer des pouvoirs. Je ne suis pas contre une histoire fantastique historique à condition bien sûr qu’il y ait un semblant de cohérence, et ici, on a à la fois Oda Nobunaga et le Shinsengumi dans la même temporalité alors qu’en réalité 300 ans les séparent !! Si c’est pour mélanger tout et n’importe quoi, autant créer une histoire de toute pièce !! Si on fait abstraction de cet aspect et que l’on se concentre sur l’action, l’histoire n’est pas si mal, il y a une recherche de trésors, une soif de pouvoirs, une vengeance, des affrontements et des personnages bien caractérisés. Le graphisme est soigné, les combats bien dynamiques… bref, un vrai shonen qui donne envie. Et puis là, on apprend que c’est fini en 2 tomes, on se demande forcément comment traiter tout cette révolte en aussi peu de temps. Eh bien, ce n’est pas possible, le deuxième tome se termine sur « la bataille commence maintenant » et pour faire un semblant de fin l’auteur explique que c’est l’histoire de ceux qui ont décidé de prendre les armes et non l’histoire de leur combat : une pirouette pas très convaincante… Après quand on sait que le manga n’a pas vraiment eu de succès lors de sa prépublication au Japon, on se doute que l’éditeur a dû mettre fin à la série prématurément. Alors même s’il y avait de bons éléments dans ces « prémices » qui auraient mérités d’être poursuivis, vous risquez de rester sur votre faim et forcément, comme je l’ai été, d’être déçus. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-lame-de-la-rebellion-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. Nickad

    Proposition idéale

    Un jour, Hirokuni, jeune travailleur dans une société, doit héberger un ancien ami d’enfance, Kaï, qu’il n’a pas vu depuis 12 ans. Si les garçons étaient proches à l’époque, chacun a mené sa vie. Kaï dit toujours être prêt à honorer une promesse de demande en mariage, Hirokuni prend tout cela à la rigolade, surtout que son travail ne lui laisse pas le temps de souffler. La relation entre les deux garçons n’est pas ce qui marque le plus dans ce manga, certes c’est la finalité de l’histoire mais elle est tellement dépendante du travail d’Hirokuni qu’elle passerait presque au second plan par moment. Car ce que l’on retient surtout, c’est le rythme effréné du travail d’Hirokuni, ce n’est pas la première fois que ce genre d’entreprises japonaise est décrite dans les mangas : des sociétés dite « esclavagistes » où les employés font tellement d’heures qu’ils en tombent parfois malades. Certains isekai voient d’ailleurs leur personnage principal être réincarné après être mort d’épuisement !! Les droits du travail ne sont pas les même partout, félicitons-nous de ne pas en être arrivé à ce stade ! L’arrivée de Kaï, va permettre à Hirokuni de revoir ses priorités (par rapport à sa santé et sa vie privée) et va surtout lui permettre d’oser prendre une décision. Concernant le côté romance, la seule scène à tendance érotique, se trouve à la fin du livre. Un livre bien équilibré avec un vrai contexte et une romance toute mignonne.
  24. Titre de l'album : Proposition idéale Scenariste de l'album : TSURUKAME Mayo Dessinateur de l'album : TSURUKAME Mayo Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Hirokuni subit le harcèlement moral de son supérieur hiérarchique. Alors qu'il était au bord de l'effondrement, Kaï, un ami d'enfance qu'il n'avait pas vu depuis 12 ans, fait irruption dans sa vie. Kaï, qui n'a plus nulle part où loger, va se faire héberger par Hirokuni. Il y a un seul petit souci : Kaï est gay et Hirokuni lui avait autrefois fait une promesse de mariage ! Il craint grandement pour sa vertu. Pourtant Kaï se contente de lui concocter de bons petits plats chaque jour. Ne serait-ce pas plutôt Kaï qui prend soin de Hirokuni, au final ? C'est là que commence la cohabitation le concubinage entre l'homme d'intérieur et l'employé lassé de la vie. Critique : Un jour, Hirokuni, jeune travailleur dans une société, doit héberger un ancien ami d’enfance, Kaï, qu’il n’a pas vu depuis 12 ans. Si les garçons étaient proches à l’époque, chacun a mené sa vie. Kaï dit toujours être prêt à honorer une promesse de demande en mariage, Hirokuni prend tout cela à la rigolade, surtout que son travail ne lui laisse pas le temps de souffler. La relation entre les deux garçons n’est pas ce qui marque le plus dans ce manga, certes c’est la finalité de l’histoire mais elle est tellement dépendante du travail d’Hirokuni qu’elle passerait presque au second plan par moment. Car ce que l’on retient surtout, c’est le rythme effréné du travail d’Hirokuni, ce n’est pas la première fois que ce genre d’entreprises japonaise est décrite dans les mangas : des sociétés dite « esclavagistes » où les employés font tellement d’heures qu’ils en tombent parfois malades. Certains isekai voient d’ailleurs leur personnage principal être réincarné après être mort d’épuisement !! Les droits du travail ne sont pas les même partout, félicitons-nous de ne pas en être arrivé à ce stade ! L’arrivée de Kaï, va permettre à Hirokuni de revoir ses priorités (par rapport à sa santé et sa vie privée) et va surtout lui permettre d’oser prendre une décision. Concernant le côté romance, la seule scène à tendance érotique, se trouve à la fin du livre. Un livre bien équilibré avec un vrai contexte et une romance toute mignonne. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/proposition-ideale?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. Nickad

    Our green birdcage tome 1

    Midori 17 ans, elle est lycéenne et depuis le décès de sa mère, doit s’occuper de tout chez elle : l’entretien de la maison et veiller sur son petit frère. Mais c’est aussi une élève modèle qui s’investit dans tout ce qu’elle fait et qui a du mal à dire non quand on compte sur elle. Parfois, elle se réfugie dans un coin du lycée interdit aux élèves, c’est là qu’un jour elle rencontre Sakiya, un jeune salaryman, ancien élève du lycée, qui vient également y trouver refuge. Petit à petit, Midori va se sentir attirée par lui. Bien que ce soit avant tout une rencontre et une romance, l’auteure a choisi de prendre des personnages en souffrance : Midori qui est écrasée sous le poids des responsabilités mais qui veut absolument tout faire pour respecter les dernières volontés de sa mère tout en espérant avoir du temps pour elle. Et Sakiya, fatigué de vivre après la mort d’un proche, se laissant aller aux souvenirs. Les deux abordent le deuil de façon différente mais vont peut-être apprendre à regarder les choses autrement au contact de l’autre. Un dessin tout en douceur pour une ambiance mélancolique, parfois nimbée de tristesse mais touchante. Un beau 1er tome pour une série finie en 4 tomes Extrait ICI
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