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  1. Nickad

    Mobuko no koi tome 1

    Nobuko est une jeune étudiante très discrète, trop même. Elle travaille depuis un an dans une supérette et elle éprouve des sentiments pour son collègue Irie, étudiant comme elle. Elle préfère être « le second rôle de sa propre histoire ». Ce n’est qu’avec l’arrivée d’une nouvelle employée Abe, une jeune fille franche et enjouée, que Nobuko va arriver à avancer petit à petit. Mobuko no Koi est une romance entre deux personnes timides et réservées. Malgré le manque de communication et d’expressions (verbales ou physiques), les personnages développent quand même une relation, il suffit d’un geste, d’une petite attention pour arriver à transmettre une intention. Le titre du manga « mobuko » est une référence au caractère de la jeune fille, mobuko désignant généralement une personne sans influence, de second plan. Le rythme du livre est à l’image des personnages, l’auteure prend son temps de faire découvrir les différentes facettes ou « manies » de notre héroïne, c’est une allure où l’on avance tout doucement, petit pas par petit pas. J’avoue que pour le moment je ne suis pas complètement convaincue, il n’est pas déplaisant, a une ambiance très apaisée mais manque un peu de piquant ; ce qui est certainement la volonté de l’auteure vu le caractère de ses personnages. J’attends la suite pour me prononcer, la série compte déjà 12 tomes au Japon.
  2. Titre de l'album : Mobuko no koi tome 1 Scenariste de l'album : TAMURA Akane Dessinateur de l'album : TAMURA Akane Coloriste : Editeur de l'album : Noeve Grafx Note : Résumé de l'album : La timide Nobuko Tanaka déteste se retrouver au centre de l'attention. Réservée, toujours en retrait, elle a l'impression d'être le second rôle de sa propre vie. Mais lorsque les sentiments d'un premier amour germent en elle, elle se découvre le courage de sortir de l'ombre pour avancer, pas à pas, vers l'élu de son cœur. Premier ou second rôle... quelle importance lorsque les sentiments sont là ? Après tout, même dans l'ombre, l'amour peut fleurir... Critique : Nobuko est une jeune étudiante très discrète, trop même. Elle travaille depuis un an dans une supérette et elle éprouve des sentiments pour son collègue Irie, étudiant comme elle. Elle préfère être « le second rôle de sa propre histoire ». Ce n’est qu’avec l’arrivée d’une nouvelle employée Abe, une jeune fille franche et enjouée, que Nobuko va arriver à avancer petit à petit. Mobuko no Koi est une romance entre deux personnes timides et réservées. Malgré le manque de communication et d’expressions (verbales ou physiques), les personnages développent quand même une relation, il suffit d’un geste, d’une petite attention pour arriver à transmettre une intention. Le titre du manga « mobuko » est une référence au caractère de la jeune fille, mobuko désignant généralement une personne sans influence, de second plan. Le rythme du livre est à l’image des personnages, l’auteure prend son temps de faire découvrir les différentes facettes ou « manies » de notre héroïne, c’est une allure où l’on avance tout doucement, petit pas par petit pas. J’avoue que pour le moment je ne suis pas complètement convaincue, il n’est pas déplaisant, a une ambiance très apaisée mais manque un peu de piquant ; ce qui est certainement la volonté de l’auteure vu le caractère de ses personnages. J’attends la suite pour me prononcer, la série compte déjà 12 tomes au Japon. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mobuko-no-koi-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. poseidon2

    Saotome t6

    Ma femme est en train de lire Saotome après avoir parcouru ce tome 6. Cela vous parait peut être assez ridicule commme introduction mais c'est pour moi un gage de réussite. En effet ma femme est très livre mais que peu BD/Manga ou comics. Un comble je sais mais c'est comme ca. Alors quand je l'ai vu lire ce volume 6 puis aller piquer les 5 premiers dans la chambre de sa fille, je me suis dit que cela voulait dire que cette série était une réussite. Cela veut surtout dire que cette série décrit la vraie vie. Les vrais sentiments des deux ados qui sortent pour la premiere fois avec quelqu'un et qui sont empotés au possible. A contrario de beaucoup de shojo, Saotome nous montre ici à quelle point, dans la vraie vie, il est dure d'exprimer ses sentiments. Et ce tome 6 marque en cela une vraie avancée pour notre couple : Au travers du combat de boxe tant attendu, Satoru découvre depuis quand Saotome est amoureuse de lui. Une decouverte qui fait office de nouvelle étape pour notre mignon petit couple. Point de boxe officielle dans ce tome 6. Juste une avancée majeure dans les relations entre Saotome et Satoru. Encore une réussite pour une série qui restera, à n'en pas douter, une des plus mignonnes de la maison et une des rares à avoir été lue par tout le monde 😉
  4. poseidon2

    Saotome t6

    Titre de l'album : Saotome t6 Scenariste de l'album : Naoko Mizuguchi Dessinateur de l'album : Naoko Mizuguchi Coloriste : Editeur de l'album : Doki-Doki Note : Résumé de l'album : Une romance pleine de fraîcheur sur fond de boxe... Une ode aux couples maladroits et dépareillés ! Gagne ce combat et je te raconterai tout!Après s'être consacrée corps et âme à la boxe, Saotome, lycéenne au physique atypique, découvre maladroitement les premiers émois de l'amour...Saotome est prête à révéler ce passé un peu douloureux qu'elle cache à Satoru.Sa rivale, Milky Satsukawa, sera également de la partie!Doit-on s'attendre à un rapprochement entre les deuxboxeuses ?Ne ratez pas ce volume qui lève enfin le voile sur les véritables origines de cette romance qui fait battre le coeur de Saotome! Critique : Ma femme est en train de lire Saotome après avoir parcouru ce tome 6. Cela vous parait peut être assez ridicule commme introduction mais c'est pour moi un gage de réussite. En effet ma femme est très livre mais que peu BD/Manga ou comics. Un comble je sais mais c'est comme ca. Alors quand je l'ai vu lire ce volume 6 puis aller piquer les 5 premiers dans la chambre de sa fille, je me suis dit que cela voulait dire que cette série était une réussite. Cela veut surtout dire que cette série décrit la vraie vie. Les vrais sentiments des deux ados qui sortent pour la premiere fois avec quelqu'un et qui sont empotés au possible. A contrario de beaucoup de shojo, Saotome nous montre ici à quelle point, dans la vraie vie, il est dure d'exprimer ses sentiments. Et ce tome 6 marque en cela une vraie avancée pour notre couple : Au travers du combat de boxe tant attendu, Satoru découvre depuis quand Saotome est amoureuse de lui. Une decouverte qui fait office de nouvelle étape pour notre mignon petit couple. Point de boxe officielle dans ce tome 6. Juste une avancée majeure dans les relations entre Saotome et Satoru. Encore une réussite pour une série qui restera, à n'en pas douter, une des plus mignonnes de la maison et une des rares à avoir été lue par tout le monde 😉 Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/saotome-tome-6?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. Nickad

    He came for learning "Love" tome 1

    Nayuta, un androïde venu du futur arrive dans la vie d’Ann une lycéenne qui gère une pension familiale. C’est un beau gosse et il vient à cette époque pour apprendre ce qu’est l’amour car dans le futur d’où il vient, si la technologie est à la pointe, les sentiments sont encore un domaine inconnu pour les androïdes et un chercheur essaye d’y remédier. Seulement Ann est éprise de Subaru qui l’a rejeté, elle n’y connaît pas non plus grand-chose en amour. Ce n’est pas la 1ere fois que l’on voit un beau gosse androïde dans un shojo, c’est un concept qui fonctionne bien. En plus d’être agréable visuellement (vous avez tous les codes du genre), le manga possède un scenario qui va au-delà de la romance : il y a un triangle amoureux, l’apprentissage de sentiments chez une Intelligence Artificielle, du fantastique avec la partie « futur » et un développement supplémentaire qui arrive sur la fin. C’est un bon 1er tome pour une série finie en 3 tomes. Agréable et distrayant. Extrait du tome 1
  6. Titre de l'album : He came for learning "Love" tome 1 Scenariste de l'album : SHOUOTO Aya Dessinateur de l'album : SHOUOTO Aya Coloriste : Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Ann est lycéenne et vit seule dans la pension de sa tante. Un jour, elle reçoit un étrange colis qui contient un androïde venant du futur ! Le robot, Nayuta Hibiki, fait plus vrai que nature, il ressemble à s'y méprendre à un véritable jeune homme. Sauf pour une chose : il ne sait pas aimer. La jeune fille va alors devoir lui apprendre l'amour Critique : Nayuta, un androïde venu du futur arrive dans la vie d’Ann une lycéenne qui gère une pension familiale. C’est un beau gosse et il vient à cette époque pour apprendre ce qu’est l’amour car dans le futur d’où il vient, si la technologie est à la pointe, les sentiments sont encore un domaine inconnu pour les androïdes et un chercheur essaye d’y remédier. Seulement Ann est éprise de Subaru qui l’a rejeté, elle n’y connaît pas non plus grand-chose en amour. Ce n’est pas la 1ere fois que l’on voit un beau gosse androïde dans un shojo, c’est un concept qui fonctionne bien. En plus d’être agréable visuellement (vous avez tous les codes du genre), le manga possède un scenario qui va au-delà de la romance : il y a un triangle amoureux, l’apprentissage de sentiments chez une Intelligence Artificielle, du fantastique avec la partie « futur » et un développement supplémentaire qui arrive sur la fin. C’est un bon 1er tome pour une série finie en 3 tomes. Agréable et distrayant. Extrait du tome 1 Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/he-came-for-learning-love-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Nickad

    BEM tome 1

    BEM – humanoide monster Bem est à l’origine un anime sorti en 1968 qui a eu beaucoup de succès, le manga a été publié pour fêter les 50 ans de la licence. La ville de Libra-City est partagé en 2 zones : d’un côté l’Upper destiné aux riches et aux personnes importantes et de l’autre l’Outside correspondant aux bas-fonds avec son lot de parias et de malfaiteurs. Sonia Summers est une jeune policière qui choisit de muter dans l’Outside, elle découvre un monde où la violence règne, où elle ne doit faire confiance à personne et rencontre également un homme étrange souvent présent là où il a des méfaits. L’objectif de BEM c’est de mettre en avant la cruauté de l’homme sous toutes ses formes et c’est au travers des aventures de 3 êtres/monstres humanoïdes qu’il le fait. Tout repose sur cette opposition : d’un côté les 3 « yokai » qui cherchent à devenir humains et pensent y parvenir en aidant les autres et protégeant les faibles, de l’autre les humains qui sont monstrueux dans leurs actions. Et c’est bien de cette façon qu’il faut aborder cette lecture car sinon c’est un peu creux. Oui il y a de l’action, mais cette succession de scènes sans de liant véritable nous laisse un peu spectateur du récit. Même Sonia est un peu fade, on ne ressent pas d’empathie pour les personnages et du coup, on a un peu de mal à se laisser embarquer. La série est finie en 3 tomes, espérons que la suite s’améliore.
  8. Nickad

    BEM tome 1

    Titre de l'album : BEM tome 1 Scenariste de l'album : ADK Emotions Dessinateur de l'album : NOHARA Mosae Coloriste : Editeur de l'album : Panini Note : Résumé de l'album : La ville portuaire de Libra-city est séparée en deux zones : la zone upper qui accueille les populations aisées, et la zone outside où vivent les pauvres. Les habitants d'upper se tiennent éloignés de l'outside ignorant tout de ce qu'il s'y passe. Libra-city est entre les mains d'une organisation criminelle appelée l'Assemblée invisible qui créé des « hommes-fantômes », des humains améliorés comme les héros de ce manga : Bem, Bela et Belo. Ces trois personnages principaux, contrairement aux autres fantômes et monstres qui pullulent dans la ville, œuvrent pour le bien en combattant leurs semblables. Critique : BEM – humanoide monster Bem est à l’origine un anime sorti en 1968 qui a eu beaucoup de succès, le manga a été publié pour fêter les 50 ans de la licence. La ville de Libra-City est partagé en 2 zones : d’un côté l’Upper destiné aux riches et aux personnes importantes et de l’autre l’Outside correspondant aux bas-fonds avec son lot de parias et de malfaiteurs. Sonia Summers est une jeune policière qui choisit de muter dans l’Outside, elle découvre un monde où la violence règne, où elle ne doit faire confiance à personne et rencontre également un homme étrange souvent présent là où il a des méfaits. L’objectif de BEM c’est de mettre en avant la cruauté de l’homme sous toutes ses formes et c’est au travers des aventures de 3 êtres/monstres humanoïdes qu’il le fait. Tout repose sur cette opposition : d’un côté les 3 « yokai » qui cherchent à devenir humains et pensent y parvenir en aidant les autres et protégeant les faibles, de l’autre les humains qui sont monstrueux dans leurs actions. Et c’est bien de cette façon qu’il faut aborder cette lecture car sinon c’est un peu creux. Oui il y a de l’action, mais cette succession de scènes sans de liant véritable nous laisse un peu spectateur du récit. Même Sonia est un peu fade, on ne ressent pas d’empathie pour les personnages et du coup, on a un peu de mal à se laisser embarquer. La série est finie en 3 tomes, espérons que la suite s’améliore. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/bem-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. Nickad

    L'Iliade et l'Odyssée

    L’Iliade et l’Odyssée pour ceux qui ne connaissent pas c’est l’histoire de la guerre de Troie (aussi appelée Ilion) et le périple d’Ulysse pour rentrer chez lui. Chaque œuvre est composée de 24 chants, difficile donc de résumer l’histoire en 1 manga de 190 pages. La première moitié du manga concerne donc les origines de la guerre de Troie avec l’enlèvement d’Hélène par Pâris, la mobilisation de plus de 30 000 Achéens (comprendre grecs ici) pour aller récupérer Hélène et au passage faire tomber Troie qui était devenue trop importante. Mais ce qui est important et assez bien expliqué, c’est l’implication des Dieux : ceux par qui tout a commencé car Zeus souhaitait une longue guerre pour diminuer la population devenue trop nombreuse. Les points forts de cette guerre sont bien mentionnés : la dispute entre Achille et Agamemnon, la mort de Patrocle qui poussa Achille à aller affronter Hector et le cheval de Troie bien sûr. Puis arrive l’Odysée, le départ d’Ulysse et de ces hommes pour rejoindre Ithaque et là je trouve qu’il y a des manques : on parle bien de Charybde et Scylla, Circé et le Cyclope mais aucune mention sur les sirènes et la tapisserie de Pénélope qui sont quand même des éléments clefs du récit. Le point positif du manga : un résumé compréhensible de cette épopée avec une bonne explication sur l’intervention des Dieux. Les points négatifs : les manques (normal vu la taille du manga) et le graphisme, manga dessiné par le groupe Variety artworks / team Banmikas comme les autres œuvres de cette collection : un dessin correct, des visages assez simples, le minimum syndical comme on dit. Cette collection de classiques en manga a l’avantage de faire découvrir les œuvres et de donner une 1ere approche.
  10. Titre de l'album : L'Iliade et l'Odyssée Scenariste de l'album : HOMERE Dessinateur de l'album : Variety Artworks Coloriste : Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Il s'agit du temps des légendes, quand les Hommes et les Dieux tissaient ensemble la trame de l'Histoire. Sous le regard de Zeus, le père des Dieux, omniscient et omnipotent, se déclenche la Guerre de Troie qui allait durer dix ans. Bientôt, cette guerre atteint son point culminant avec l'affrontement décisif opposant les héros Achille et Hector... Critique : L’Iliade et l’Odyssée pour ceux qui ne connaissent pas c’est l’histoire de la guerre de Troie (aussi appelée Ilion) et le périple d’Ulysse pour rentrer chez lui. Chaque œuvre est composée de 24 chants, difficile donc de résumer l’histoire en 1 manga de 190 pages. La première moitié du manga concerne donc les origines de la guerre de Troie avec l’enlèvement d’Hélène par Pâris, la mobilisation de plus de 30 000 Achéens (comprendre grecs ici) pour aller récupérer Hélène et au passage faire tomber Troie qui était devenue trop importante. Mais ce qui est important et assez bien expliqué, c’est l’implication des Dieux : ceux par qui tout a commencé car Zeus souhaitait une longue guerre pour diminuer la population devenue trop nombreuse. Les points forts de cette guerre sont bien mentionnés : la dispute entre Achille et Agamemnon, la mort de Patrocle qui poussa Achille à aller affronter Hector et le cheval de Troie bien sûr. Puis arrive l’Odysée, le départ d’Ulysse et de ces hommes pour rejoindre Ithaque et là je trouve qu’il y a des manques : on parle bien de Charybde et Scylla, Circé et le Cyclope mais aucune mention sur les sirènes et la tapisserie de Pénélope qui sont quand même des éléments clefs du récit. Le point positif du manga : un résumé compréhensible de cette épopée avec une bonne explication sur l’intervention des Dieux. Les points négatifs : les manques (normal vu la taille du manga) et le graphisme, manga dessiné par le groupe Variety artworks / team Banmikas comme les autres œuvres de cette collection : un dessin correct, des visages assez simples, le minimum syndical comme on dit. Cette collection de classiques en manga a l’avantage de faire découvrir les œuvres et de donner une 1ere approche. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-iliade-et-l-odyssee?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. Nickad

    Chroniques des 7 cités tome 1

    L’histoire se déroule en 2190 après que l’axe de la Terre ait basculé de 90 degrés entrainant l’extinction de l’humanité, les émigrés vivant sur la Lune sont alors retournés sur terre pour y fonder 7 cités. Mais l’homme étant ce qu’il est, les cités devinrent rivales et prêtes à faire la guerre pour l’obtention de nouveaux territoires et ressources. Ce 1er tome raconte l’affrontement qu’il va y avoir entre les cités d’Aquilonia et New Camelot. Comme le titre l’indique, il s’agit de chroniques sur les 7 cités, on verra donc les situations politiques et militaires de chacune d’entre elles avec l’émergence de personnages particuliers. Certains d’entre eux ont commencé à positionner leurs pions de façon à avoir un champ d’action plus large, qui mènera fatalement à un remaniement de l’ordre mondial. Ce qui est mis en avant dans le manga, c’est surtout l’importance d’avoir une stratégie et une vision à plus grande échelle. Je ne cours pas forcément après les histoires de guerre mais quand il y en a un qui est bien il faut le souligner et celle-là est réussie : un bon scenario écrit par Yoshiki Tanaka (les héros de la galaxie) et un graphisme soigné de Ikumi Fukuda que l’on a découvert sous le pesudonyme de Kotteri dans le très beau manga Veil. Un manga prenant où l’on apprécie les personnages à forte personnalité, les pointes d’humour et la tension qui règne pour savoir qui va s’en sortir et comment. Série finie en 5 tomes.
  12. Titre de l'album : Chroniques des 7 cités tome 1 Scenariste de l'album : TANAKA Yoshiki Dessinateur de l'album : FUKUDA Ikumi Coloriste : Editeur de l'album : Noeve Grafx Note : Résumé de l'album : En 2088, l'axe de la Terre bascule de 90°, causant des catastrophes en chaîne qui laissent l'humanité au bord de l'extinction, la poignée de survivants réfugiée sur une colonie lunaire. Trois ans plus tard, certains reviennent peupler la Terre et y bâtissent sept cités, à des endroits stratégiques. Mais entre dispute des ressources, auto-défense et luttes de pouvoir, ce n'est pas vraiment l'unité qui règne sur le nouveau monde... Chaque gouvernement rivalise alors de stratégies militaires et d'intrigues politiques pour que sa cité tire son épingle de ce jeu dangereux. Critique : L’histoire se déroule en 2190 après que l’axe de la Terre ait basculé de 90 degrés entrainant l’extinction de l’humanité, les émigrés vivant sur la Lune sont alors retournés sur terre pour y fonder 7 cités. Mais l’homme étant ce qu’il est, les cités devinrent rivales et prêtes à faire la guerre pour l’obtention de nouveaux territoires et ressources. Ce 1er tome raconte l’affrontement qu’il va y avoir entre les cités d’Aquilonia et New Camelot. Comme le titre l’indique, il s’agit de chroniques sur les 7 cités, on verra donc les situations politiques et militaires de chacune d’entre elles avec l’émergence de personnages particuliers. Certains d’entre eux ont commencé à positionner leurs pions de façon à avoir un champ d’action plus large, qui mènera fatalement à un remaniement de l’ordre mondial. Ce qui est mis en avant dans le manga, c’est surtout l’importance d’avoir une stratégie et une vision à plus grande échelle. Je ne cours pas forcément après les histoires de guerre mais quand il y en a un qui est bien il faut le souligner et celle-là est réussie : un bon scenario écrit par Yoshiki Tanaka (les héros de la galaxie) et un graphisme soigné de Ikumi Fukuda que l’on a découvert sous le pesudonyme de Kotteri dans le très beau manga Veil. Un manga prenant où l’on apprécie les personnages à forte personnalité, les pointes d’humour et la tension qui règne pour savoir qui va s’en sortir et comment. Série finie en 5 tomes. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/chroniques-des-7-cites-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. Nickad

    Kiss my broken heart

    Seto et Kurusu se croise par hasard devant une pâtisserie, un regard échangé puis s’en vont. Plus tard ils se croisent à nouveau, Kurusu intrigué par cette coïncidence décide d’en apprendre un peu plus, de fil en aiguille ils passent la nuit ensembles, une aventure d’un soir. Mais lors de son rendez-vous chez le dentiste, il découvre que Seto est son médecin, les deux hommes décident d’entamer une relation… temporaire, car Seto est en plein désarroi amoureux et Kurusu n’a jamais vécu de relation longue. Le manga est résolument une romance ni plus ni moins, une rencontre du destin entre un homme blessé par l’amour et un autre qui ne l’a jamais vraiment connu. Le premier hésite à s’engager de peur de souffrir, le deuxième est surpris de voir que cette relation devient sérieuse. Le déroulement est tout en douceur (côté sentiments, car ils consomment vite). Les personnages se posent des questions sans pour autant prendre la tête du lecteur sur des développements philosophiques à rallonge. Un manga agréable avec une histoire toute gentille (attention il y a quand même des scènes pour adultes).
  14. Titre de l'album : Kiss my broken heart Scenariste de l'album : AMAKI Io Dessinateur de l'album : AMAKI Io Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Alors que Seto pleurait à cause d'un chagrin d'amour, il rencontre un homme plein de charmes du nom de Kurusu. Les circonstances le mènent dans la luxueuse résidence de Kurusu, où il vient à parler de la raison de ses larmes... Ne voyant pourtant dans les mots doux et les avances de Kurusu qu'une simple aventure, cette relation va raviver les blessures de son amour passé. Quelques jours plus tard, les deux hommes se rencontrent de nouveau à la clinique dentaire où travaille Seto. Kurusu croit en cette rencontre du destin et demande à Seto de devenir son amant temporaire... Lui qui s'était juré de ne plus jamais retomber amoureux. Malgré tout, Seto est emporté par ses sentiments... Critique : Seto et Kurusu se croise par hasard devant une pâtisserie, un regard échangé puis s’en vont. Plus tard ils se croisent à nouveau, Kurusu intrigué par cette coïncidence décide d’en apprendre un peu plus, de fil en aiguille ils passent la nuit ensembles, une aventure d’un soir. Mais lors de son rendez-vous chez le dentiste, il découvre que Seto est son médecin, les deux hommes décident d’entamer une relation… temporaire, car Seto est en plein désarroi amoureux et Kurusu n’a jamais vécu de relation longue. Le manga est résolument une romance ni plus ni moins, une rencontre du destin entre un homme blessé par l’amour et un autre qui ne l’a jamais vraiment connu. Le premier hésite à s’engager de peur de souffrir, le deuxième est surpris de voir que cette relation devient sérieuse. Le déroulement est tout en douceur (côté sentiments, car ils consomment vite). Les personnages se posent des questions sans pour autant prendre la tête du lecteur sur des développements philosophiques à rallonge. Un manga agréable avec une histoire toute gentille (attention il y a quand même des scènes pour adultes). Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/kiss-my-broken-heart?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. Nickad

    Android type one tome 1

    En 2059, il est devenu courant d’avoir un androïde à la maison pour aider aux tâches ménagères, s’occuper des enfants… Yûgo est tiré au sort pour tester pendant 90 jours le dernier modèle « type one », pendant ce temps deux membres de l’association de protection des androïdes sont chargés de récupérer les carcasses de robots laissés à l’abandon. Manga futuriste qui met en scène un quotidien possible où les robots seraient présents. Ce 1er tome est une introduction, la mise en place du contexte, on nous raconte l’arrivée des androïdes dans les foyers, comment les humains méfiants au début les ont acceptés petit à petit, comment une association de protection a vu le jour, les différences selon les pays. On nous rappelle également les 3 lois d’Asimov, les modifications illégales des robots, l’obsolescence… Et puis, il y a en arrière-plan, la présence d’un robot inconnu qui semble échapper à tout contrôle, l’arrivée potentielle d’une révolte qui n’est pas sans rappeler certains films. Un graphisme peut-être un peu trop simple pour nous plonger complétement dans le futur mais qui a le mérite de nous rapprocher d’une réalité peut-être pas si lointaine. Quelques longueurs dans ce volume mais une fin qui annonce un peu d’action pour la suite. Série finie en 3 tomes.
  16. Titre de l'album : Android type one tome 1 Scenariste de l'album : YASHIMA Dessinateur de l'album : YASHIMA Coloriste : Editeur de l'album : Omaké Note : Résumé de l'album : Tokyo, 2059… Yûgo Sawatari est un jeune employé de bureau. Un beau jour, il est tiré au sort et gagne un essai d’une période de 90 jours pour un « androïde Type One ». Commence alors pour lui une nouvelle vie avec son automate qu’il baptise Yui. Dans le même temps, alors que les enquêteurs de l’APA, l’Association de Protection des Androïdes, récupèrent les robots abandonnés illégalement en ville, ceux-ci se retrouvent nez à nez avec un Type One « errant »… Critique : En 2059, il est devenu courant d’avoir un androïde à la maison pour aider aux tâches ménagères, s’occuper des enfants… Yûgo est tiré au sort pour tester pendant 90 jours le dernier modèle « type one », pendant ce temps deux membres de l’association de protection des androïdes sont chargés de récupérer les carcasses de robots laissés à l’abandon. Manga futuriste qui met en scène un quotidien possible où les robots seraient présents. Ce 1er tome est une introduction, la mise en place du contexte, on nous raconte l’arrivée des androïdes dans les foyers, comment les humains méfiants au début les ont acceptés petit à petit, comment une association de protection a vu le jour, les différences selon les pays. On nous rappelle également les 3 lois d’Asimov, les modifications illégales des robots, l’obsolescence… Et puis, il y a en arrière-plan, la présence d’un robot inconnu qui semble échapper à tout contrôle, l’arrivée potentielle d’une révolte qui n’est pas sans rappeler certains films. Un graphisme peut-être un peu trop simple pour nous plonger complétement dans le futur mais qui a le mérite de nous rapprocher d’une réalité peut-être pas si lointaine. Quelques longueurs dans ce volume mais une fin qui annonce un peu d’action pour la suite. Série finie en 3 tomes. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/android-type-one-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. Nickad

    Love me for who I am tome 1

    3eme titre de la collection Mue chez Ototo, le manga y a toute sa place car il aborde le sujet de la non-binarité. Un thème très actuel et plus vaste qu’il n’y paraît. Pour information, le pronom « iel » est utilisé pour les personnes non binaires. Mogumo est biologiquement né garçon mais il s’habille en fille au lycée. Tetsu un de ses camarades de classe pensant avoir compris quel type de personne était Mogumo lui propose de travailler dans un café où les serveurs sont des otokonoko : des garçons habillés en fille et cherchant à être plus mignons qu’elles. Seulement voilà, Mogumo ne se reconnaît pas dans cette appellation car lui ne se sent ni fille ni garçon, iel a du mal à expliquer ce qu’iel ressent. Qu’est-ce que quelqu’un de non binaire ? Le manga propose une approche du sujet en montrant toute la complexité des sentiments : ceux de Mogumo qui se cherche et ne se reconnaît pas dans les deux genres proposés par la société et qui a du mal à expliquer ce qu’iel est. Et puis ceux de son entourage, la méprise de Tetsu d’abord qui tire des conclusions rapidement, puis ceux des autres employés du café, chacun s’habillant en fille pour des raisons différentes. Même au sein de minorités comme les transgenres, le cas de Mogumo n’est pas évident à comprendre. Merci à Ototo de nous proposer un tel manga, avec un sujet dont on entend beaucoup parler ces derniers temps et qui n’est pas facile à comprendre. Le début du manga est assez complexe et ce n’est que petit à petit qu’on cerne mieux la situation, car le développement de l’histoire est à l’image de notre société, on nous en parle mais sans explication, on ne peut pas comprendre. Le manga propose à la fin un après-propos permettant de clarifier un peu les différentes catégories de non-binarité. Un manga d’actualité, très intéressant où il faut prendre le temps de la lecture mais qui permettra j’espère une meilleure intégration de ces personnes dans la société, car hélas, l’humain est ainsi fait : il rejette ce qu’il ne comprend pas. Série finie en 5 tomes
  18. Titre de l'album : Love me for who I am tome 1 Scenariste de l'album : KONAYAMA Kata Dessinateur de l'album : KONAYAMA Kata Coloriste : Editeur de l'album : Ototo Note : Résumé de l'album : Au lycée, Mogumo semble ne pas avoir d’amis, et ne paraît pas non plus chercher à s’en faire. Pourtant, son camarade Tetsu connaît exactement le lieu où Mogumo pourrait rencontrer des personnes qui lui ressemblent : le maid café que tient sa sœur, où le service est assuré par des otokonoko, des garçons habillés en fille. Ni une ni deux, Tetsu propose à Mogumo d’y travailler... Mais qui a dit que Mogumo était un garçon ? Critique : 3eme titre de la collection Mue chez Ototo, le manga y a toute sa place car il aborde le sujet de la non-binarité. Un thème très actuel et plus vaste qu’il n’y paraît. Pour information, le pronom « iel » est utilisé pour les personnes non binaires. Mogumo est biologiquement né garçon mais il s’habille en fille au lycée. Tetsu un de ses camarades de classe pensant avoir compris quel type de personne était Mogumo lui propose de travailler dans un café où les serveurs sont des otokonoko : des garçons habillés en fille et cherchant à être plus mignons qu’elles. Seulement voilà, Mogumo ne se reconnaît pas dans cette appellation car lui ne se sent ni fille ni garçon, iel a du mal à expliquer ce qu’iel ressent. Qu’est-ce que quelqu’un de non binaire ? Le manga propose une approche du sujet en montrant toute la complexité des sentiments : ceux de Mogumo qui se cherche et ne se reconnaît pas dans les deux genres proposés par la société et qui a du mal à expliquer ce qu’iel est. Et puis ceux de son entourage, la méprise de Tetsu d’abord qui tire des conclusions rapidement, puis ceux des autres employés du café, chacun s’habillant en fille pour des raisons différentes. Même au sein de minorités comme les transgenres, le cas de Mogumo n’est pas évident à comprendre. Merci à Ototo de nous proposer un tel manga, avec un sujet dont on entend beaucoup parler ces derniers temps et qui n’est pas facile à comprendre. Le début du manga est assez complexe et ce n’est que petit à petit qu’on cerne mieux la situation, car le développement de l’histoire est à l’image de notre société, on nous en parle mais sans explication, on ne peut pas comprendre. Le manga propose à la fin un après-propos permettant de clarifier un peu les différentes catégories de non-binarité. Un manga d’actualité, très intéressant où il faut prendre le temps de la lecture mais qui permettra j’espère une meilleure intégration de ces personnes dans la société, car hélas, l’humain est ainsi fait : il rejette ce qu’il ne comprend pas. Série finie en 5 tomes Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/love-me-for-what-i-am-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. poseidon2

    Shaman king t12

    A 5 tomes de la fin de la réédition, ce tome 12 marque la fin de la transition dans notre Shaman fight et donc le début de la fin comme on dit. Ce tome finit les réflexions de notre auteur au travers de ses différents personnages. On connait les différents points de vue et les différentes motivations et la combats en lui-même va repartir de plus belle dans le prochain tome. Comme certains le savent, ce tome regroupe ce qui a "perdu" la série lors de sa sortie initiale. En effet ce côté réflexion sur la vie et ce côté "tout le monde a un bon côté et il est possible de sauver tout le monde" avaient mis un frein à la série original et l'auteur avait été "obligé" de terminer le plus rapidement possible sa série faute de ventes acceptables. Heureusement pour nous il a réécrit la fin qui sera celle de cette star Edition. Fin qui commence par la reprise du Shaman Fight au prochain tome.
  20. poseidon2

    Shaman king t12

    Titre de l'album : Shaman king t12 Scenariste de l'album : Hiroyuki Takei Dessinateur de l'album : Hiroyuki Takei Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Yoh a abandonné le Shaman Fight en échange d'une promesse faite à Maiden afin qu'elle ressuscite Ren. Mais la situation s'est envenimée : Redseb a tué Chocolove pour venger la mort de son père. Malheureusement, Yoh et ses amis sont arrivés trop tard sur les lieux... Et comme un malheur n'arrive jamais seul, les voilà à présent de nouveau face à la bande de Hao ! Critique : A 5 tomes de la fin de la réédition, ce tome 12 marque la fin de la transition dans notre Shaman fight et donc le début de la fin comme on dit. Ce tome finit les réflexions de notre auteur au travers de ses différents personnages. On connait les différents points de vue et les différentes motivations et la combats en lui-même va repartir de plus belle dans le prochain tome. Comme certains le savent, ce tome regroupe ce qui a "perdu" la série lors de sa sortie initiale. En effet ce côté réflexion sur la vie et ce côté "tout le monde a un bon côté et il est possible de sauver tout le monde" avaient mis un frein à la série original et l'auteur avait été "obligé" de terminer le plus rapidement possible sa série faute de ventes acceptables. Heureusement pour nous il a réécrit la fin qui sera celle de cette star Edition. Fin qui commence par la reprise du Shaman Fight au prochain tome. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/shaman-king-star-edition-tome-12?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. Hello les fans de manga Je suis désolé je vous ai fait languir plus de 15 jours avant de vous révéler nos coups de cœurs de l'année passées. Cette année nous avons décidé de ne pas nous restreindre. Cette sélection a tous les albums qui nous ont marqué l'année dernière. Que se soit des suites, des oneshot, des premiers tomes.... peu importe. Et bien pour les mangas malgré cette absence de restriction, il a quand même fallut faire des choix.... ce fut dure ! Il faut juste savoir que nos chroniqueurs ont forcement prit une claque à la lecture des ces albums. N'hésitez pas à nous dire ce que vous en pensez ! Poseidon2 pour la team 1001BD
  22. Tokiko et son père déménage de Tokyo pour Sunanomori, un petit village en bord de mer et aussi le village de naissance de sa mère. Cette dernière ne fait pas partie du voyage et semble même être partie tout court. Tokiko serait déjà venue quand elle avait 4 ans, le bruit des vagues et l’air marin font remonter des souvenirs : un accident lointain où elle a failli se noyer et une image floue de quelqu’un qui l’aurait sauvée et qu’elle cherche à retrouver. Ce séjour lui apportera peut-être les réponses. L’histoire navigue entre réalité et conte : il y a la nouvelle vie de Tokiko, les nouveaux élèves de l’école, son intégration dans cette classe où tout le monde se connait depuis toujours et puis il y a l’omniprésence des sirènes, ceux qui les cherchent et ceux qui n’y croient pas. La façon que l’auteure a de les faire apparaître dans les conversations ou les souvenirs, rien de concret, plutôt une image furtive que Tokiko poursuit. Le graphisme a quelque chose d’enfantin, une simplicité qui se rapproche du livre d’image et un jeu dans les noirs et blancs qui renforce le côté imaginaire, rêveur de l’histoire. C’est une certaine impression de sérénité, de calme qui s’en dégage, une sorte de mélancolie comme lorsqu’on regarde la mer. Et pour Yoko Komori qui voulait écrire une histoire sur les souvenirs liés au bruit de la mer, le défi est réussi et l’ambiance est bien présente, un bon 1er tome. Série finie en 2 tomes.
  23. Titre de l'album : Le secret des écailles bleues tome 1 Scenariste de l'album : KOMORI Yoko Dessinateur de l'album : KOMORI Yoko Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : À l'approche de la rentrée scolaire, Tokiko et son père emménagent dans une petite ville côtière. En écoutant le bruit des vagues, la jeune fille sent remonter en elle le souvenir confus du jour où une sirène l'a sauvée de la noyade... Critique : Tokiko et son père déménage de Tokyo pour Sunanomori, un petit village en bord de mer et aussi le village de naissance de sa mère. Cette dernière ne fait pas partie du voyage et semble même être partie tout court. Tokiko serait déjà venue quand elle avait 4 ans, le bruit des vagues et l’air marin font remonter des souvenirs : un accident lointain où elle a failli se noyer et une image floue de quelqu’un qui l’aurait sauvée et qu’elle cherche à retrouver. Ce séjour lui apportera peut-être les réponses. L’histoire navigue entre réalité et conte : il y a la nouvelle vie de Tokiko, les nouveaux élèves de l’école, son intégration dans cette classe où tout le monde se connait depuis toujours et puis il y a l’omniprésence des sirènes, ceux qui les cherchent et ceux qui n’y croient pas. La façon que l’auteure a de les faire apparaître dans les conversations ou les souvenirs, rien de concret, plutôt une image furtive que Tokiko poursuit. Le graphisme a quelque chose d’enfantin, une simplicité qui se rapproche du livre d’image et un jeu dans les noirs et blancs qui renforce le côté imaginaire, rêveur de l’histoire. C’est une certaine impression de sérénité, de calme qui s’en dégage, une sorte de mélancolie comme lorsqu’on regarde la mer. Et pour Yoko Komori qui voulait écrire une histoire sur les souvenirs liés au bruit de la mer, le défi est réussi et l’ambiance est bien présente, un bon 1er tome. Série finie en 2 tomes. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-secret-des-ecailles-bleues-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. Nickad

    En attendant lundi tome 2 (fin)

    Mizutani et Tsukino continuent leurs rendez-vous secrets du lundi soir. Hiki, la peste / voyou de la classe semble en avoir toujours après Tsukino, Mizutani décide d’aller lui parler et dévoile qu’ils se connaissent mieux que tout le monde le croit et qu’ils se voient en cachette. Hiki se pointe un lundi soir, Tsukino le vit mal et c’est tout l’équilibre de leur relation qui est fragilisé. En attendant lundi est un peu un ovni dans l’univers du manga, l’auteur utilise des enfants pour faire passer ses messages mais Mizutani a bien un langage adulte, réfléchi. Elle porte sur le monde un regard blasé, empreint de poésie, entre spleen et mélancolie. Le propos est profond, les interactions entre les personnages permettent de s’appesantir sur la nature de l’homme et pose des questions philosophiques, qui sommes-nous ? où est ma place dans la société ? et même comment vivre sa propre vie, être maitre de son destin ? Le manga n’est pas forcément facile d’accès, il faut vraiment prendre le temps de le parcourir, de s’y arrêter. Il a une ambiance très particulière soulignée par un graphisme qui joue sur les rendus en noir et blanc les associant ou les opposant. Un manga qui ne laisse pas indifférent mais qu’on ne peut ranger dans aucune case. A découvrir.
  25. Titre de l'album : En attendant lundi tome 2 (fin) Scenariste de l'album : ABE Tomomi Dessinateur de l'album : ABE Tomomi Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : L'arrivée de l'automne et du nouveau trimestre sont synonymes de retour à la routine... Mais pour une fois, ce quotidien, Mizutani arrive à l'envisager avec bonheur. Même s'il y a toujours les cours et autres sempiternelles contraintes, elle sait qu'elle pourra également retrouver Tsukino lors de leurs rendez-vous nocturnes du lundi. Combien de temps pourront-ils continuer leur manège avant d'être découverts ? Critique : Mizutani et Tsukino continuent leurs rendez-vous secrets du lundi soir. Hiki, la peste / voyou de la classe semble en avoir toujours après Tsukino, Mizutani décide d’aller lui parler et dévoile qu’ils se connaissent mieux que tout le monde le croit et qu’ils se voient en cachette. Hiki se pointe un lundi soir, Tsukino le vit mal et c’est tout l’équilibre de leur relation qui est fragilisé. En attendant lundi est un peu un ovni dans l’univers du manga, l’auteur utilise des enfants pour faire passer ses messages mais Mizutani a bien un langage adulte, réfléchi. Elle porte sur le monde un regard blasé, empreint de poésie, entre spleen et mélancolie. Le propos est profond, les interactions entre les personnages permettent de s’appesantir sur la nature de l’homme et pose des questions philosophiques, qui sommes-nous ? où est ma place dans la société ? et même comment vivre sa propre vie, être maitre de son destin ? Le manga n’est pas forcément facile d’accès, il faut vraiment prendre le temps de le parcourir, de s’y arrêter. Il a une ambiance très particulière soulignée par un graphisme qui joue sur les rendus en noir et blanc les associant ou les opposant. Un manga qui ne laisse pas indifférent mais qu’on ne peut ranger dans aucune case. A découvrir. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/en-attendant-lundi-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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