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  1. Nickad

    Ajin tome 15

    Ajin c’est un scénario original, un personnage principal un peu fade à mon gout (Nagai) mais qui n’est pas le héros. Car il n’y a pas de « bon clan » dans ce manga, chacun a des raisons d’agir qui se défendent. Mais Ajin, c’est surtout la présence forte de Sato, le « méchant » et celui qui porte l’histoire. Nagai a beau échafauder des plans et penser à un maximum de possibilités, Sato déjoue tous les pronostics et nous surprend régulièrement. Si parfois, j’ai trouvé que certains tomes étaient moins aboutis, j’ai vraiment été estomaquée dans ce volume, genre « quoi ??!! non mais t’as vu ça ? incroyable ! Ouahh ! » Voilà un manga qui mérite le détour et qui promet encore des moments palpitants !!
  2. Nickad

    Ajin tome 15

    Titre de l'album : Ajin tome 15 Scenariste de l'album : SAKURAI Gamon Dessinateur de l'album : SAKURAI Gamon Coloriste : Editeur de l'album : Glenat Note : Résumé de l'album : Kei Nagai a tout parié sur un plan exécuté à la dernière minute pour coincer Sato. Le piège qui devait l'enfermer à jamais reste cependant désespérément silencieux. Alors que tout semble perdu, un personnage inattendu fait une entrée fracassante au coeur de la base en flammes... Critique : Ajin c’est un scénario original, un personnage principal un peu fade à mon gout (Nagai) mais qui n’est pas le héros. Car il n’y a pas de « bon clan » dans ce manga, chacun a des raisons d’agir qui se défendent. Mais Ajin, c’est surtout la présence forte de Sato, le « méchant » et celui qui porte l’histoire. Nagai a beau échafauder des plans et penser à un maximum de possibilités, Sato déjoue tous les pronostics et nous surprend régulièrement. Si parfois, j’ai trouvé que certains tomes étaient moins aboutis, j’ai vraiment été estomaquée dans ce volume, genre « quoi ??!! non mais t’as vu ça ? incroyable ! Ouahh ! » Voilà un manga qui mérite le détour et qui promet encore des moments palpitants !! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ajin-tome-15?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. poseidon2

    Freya t4

    En voilà un manga sympa. Sympa car ayant une fréquence de sortie raisonnable (pour un manga) mais ayant aussi une histoire bien poussée. En effet les tomes se font attendre mais ils sont denses en histoire. On ne s’arrête pas longtemps sur des points de détails mais on traite plutôt de la politique moyenâgeuse dans son ensemble. Le personnage principale de Freya est toujours bien pensé et bien réalisé avec un sourire et un détachement à faire craquer n'importe qui. Un personnage qui évolue bien et prend de l'épaisseur dans ses décisions. Le côté "amour" avec ses soupirants est tout juste présent pour rendre cela intriguant mais ne tombe pas dans le shojo. La nouvelle donne politique après la bataille contre Sigurd est très sympa avec des alliances à créer et des nouvelles têtes qui apparaissent. Point très positif que l’exécution de traitres qui est faite sans effusion de sang, mais surtout sans larmoiement. Ils ont joué, ils ont perdus.... c'est la guerre et ne mérite qu'une page pas plus. Une bonne série dont on espère qu'elle va continuer sur les mêmes rails.
  4. poseidon2

    Freya t4

    Titre de l'album : Freya t4 Scenariste de l'album : Ishihara Keiko Dessinateur de l'album : Ishihara Keiko Coloriste : Editeur de l'album : Doki-Doki Note : Résumé de l'album : Mue par une colère froide après avoir vu Alexis tomber sous les flèches ennemies, Freya se jette au cœur de la bataille. La situation est désespérée pour son camp, qui manque d’hommes valides et de ravitaillement. Freya parvient néanmoins à galvaniser la petite garnison du fort de Leren. Mais la fougue retrouvée de ses soldats semble ne pas pouvoir faire le poids face à la puissance de l’armée de Sigurd… Critique : En voilà un manga sympa. Sympa car ayant une fréquence de sortie raisonnable (pour un manga) mais ayant aussi une histoire bien poussée. En effet les tomes se font attendre mais ils sont denses en histoire. On ne s’arrête pas longtemps sur des points de détails mais on traite plutôt de la politique moyenâgeuse dans son ensemble. Le personnage principale de Freya est toujours bien pensé et bien réalisé avec un sourire et un détachement à faire craquer n'importe qui. Un personnage qui évolue bien et prend de l'épaisseur dans ses décisions. Le côté "amour" avec ses soupirants est tout juste présent pour rendre cela intriguant mais ne tombe pas dans le shojo. La nouvelle donne politique après la bataille contre Sigurd est très sympa avec des alliances à créer et des nouvelles têtes qui apparaissent. Point très positif que l’exécution de traitres qui est faite sans effusion de sang, mais surtout sans larmoiement. Ils ont joué, ils ont perdus.... c'est la guerre et ne mérite qu'une page pas plus. Une bonne série dont on espère qu'elle va continuer sur les mêmes rails. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/freya-tome-4?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. Nickad

    Nosferatu tome 1

    Souvent repris dans les shojos de façon classique, nous avons affaire ici à une revisite du genre : pas de vampires buveurs de sang ou torturés par l’idée d’en boire, pas de jeune fille éperdument amoureuse du vampire… Nous sommes dans une époque moyenâgeuse, où l’église à une très forte influence et où les conflits entre les races (humains et Nosferatus) sont usuels. Alors qu’est-ce qui fait l’originalité de ce manga ? Et bien d’abord, nous avons une héroïne, ce qui n’est pas si courant dans ce genre d’histoire, ensuite elle est amnésique et découvre qu’elle est une nosferatu. Mais qu’est-ce donc qu’un nosferatu ? Et bien, tout comme Laura, on va le découvrir au fur et à mesure de ses recherches, ce qui crée une sorte de complicité entre l’héroïne et le lecteur et enfin, ici ce sont les humains qui peuvent être assoiffés de sang. Ce premier tome est plutôt intéressant, il ne manque pas d’actions et annonce plusieurs affrontements futurs. La lecture est facile et le dessin bien travaillé avec suffisamment de détails, attention certains passages sont violents. Je regrette toutefois le manque de caractère des personnages car pour le moment, on ne s’y attache pas. A suivre donc.
  6. Nickad

    Nosferatu tome 1

    Titre de l'album : Nosferatu tome 1 Scenariste de l'album : SHINJIRO Dessinateur de l'album : SHINJIRO Coloriste : Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Face à des créatures diaboliques à visage humain, une jeune guerrière va se dresser face à eux. Mais parfois, seul le Mal peut contrer le Mal. Les nosferatus, derrière leurs visages humains, font perdre la raison à toutes les créatures qui les approchent. Laura, découvre un village infecté et ne survit que grâce à l'intervention d'Arnold, un homme d'église chargé de purger les populations concernées. Bientôt elle découvre l'atroce vérité : Arnold est un nosferatu qui peut massacrer librement des cités entières. Elle doit trouver un moyen de l'arrêter. Critique : Souvent repris dans les shojos de façon classique, nous avons affaire ici à une revisite du genre : pas de vampires buveurs de sang ou torturés par l’idée d’en boire, pas de jeune fille éperdument amoureuse du vampire… Nous sommes dans une époque moyenâgeuse, où l’église à une très forte influence et où les conflits entre les races (humains et Nosferatus) sont usuels. Alors qu’est-ce qui fait l’originalité de ce manga ? Et bien d’abord, nous avons une héroïne, ce qui n’est pas si courant dans ce genre d’histoire, ensuite elle est amnésique et découvre qu’elle est une nosferatu. Mais qu’est-ce donc qu’un nosferatu ? Et bien, tout comme Laura, on va le découvrir au fur et à mesure de ses recherches, ce qui crée une sorte de complicité entre l’héroïne et le lecteur et enfin, ici ce sont les humains qui peuvent être assoiffés de sang. Ce premier tome est plutôt intéressant, il ne manque pas d’actions et annonce plusieurs affrontements futurs. La lecture est facile et le dessin bien travaillé avec suffisamment de détails, attention certains passages sont violents. Je regrette toutefois le manque de caractère des personnages car pour le moment, on ne s’y attache pas. A suivre donc. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/nosferatu-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. En lisant le résumé, j’ai cru que j’allais me retrouver entre Hayate the combat butler et Rosario vampire. Mais finalement, ce manga a été une bonne surprise, le décalage entre Iruma humain naïf et son entourage démoniaque provoque des quiproquos et des situations cocasses. Vous l’aurez compris, Iruma est un manga fantastique mais surtout humoristique. Les personnages sont pris à contre-pied, le héros fait tout pour passer inaperçu et ne pas être au centre de l’attention, ça ne fonctionne jamais bien sûr et cela provoque des situations inattendues très drôles. C’est un vrai moment de distraction pour toute la famille, de la bonne humeur rythmée où l’on ne s’ennuie pas. Un très bon début de série. à partir de 8 ans
  8. Titre de l'album : Iruma à l'école des démons tome 1 Scenariste de l'album : NISHI Osamu Dessinateur de l'album : NISHI Osamu Coloriste : Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : Un jour, le jeune Iruma devient, bien malgré lui, le petit-fils adoptif d’un papy démon excentrique. Une nouvelle vie commence alors pour lui à Babyls, une école peuplée de monstres en tout genre, où personne n’a jamais vu d’humain mais tout le monde rêve d’en dévorer un ! Et entre les démons qui le défient en duel, les succubes extravagantes et les épreuves scolaires mettant sa vie en péril, Iruma ne pourra compter que sur un atout : sa gentillesse désarmante. Mais comment un humain au bon cœur va-t-il pouvoir survivre dans cet enfer ?! Critique : En lisant le résumé, j’ai cru que j’allais me retrouver entre Hayate the combat butler et Rosario vampire. Mais finalement, ce manga a été une bonne surprise, le décalage entre Iruma humain naïf et son entourage démoniaque provoque des quiproquos et des situations cocasses. Vous l’aurez compris, Iruma est un manga fantastique mais surtout humoristique. Les personnages sont pris à contre-pied, le héros fait tout pour passer inaperçu et ne pas être au centre de l’attention, ça ne fonctionne jamais bien sûr et cela provoque des situations inattendues très drôles. C’est un vrai moment de distraction pour toute la famille, de la bonne humeur rythmée où l’on ne s’ennuie pas. Un très bon début de série. à partir de 8 ans Autres infos : édition Nobi nobi! Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/iruma-a-l-ecole-des-demons-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. poseidon2

    No Guns life t9

    Bon ok ce n’était pas forcément évident mais j'avais bien envie que ce soit marque la fin de la série. Alors qu'en fait on est "juste" sur une fin d'arc. L'arc qui marque la recherche de Victor et le passage au premier plan de sa sœur, la réparatrice d'extends. J'avais espéré que la fin de l'histoire avec Victor nous permette d'avoir les infos qui nous manquent dans le passé de Juzo et donc lui permette de de clôturer ses dossiers en cours. Alors qu'en fait ... ben non. On finit ce cycle de façon intéressante avec un retour en grâce de notre héros mais au final cette fin de cycle ne fait... que revenir au point de départ. Ok on connait mieux Victor mais Juzo reste ce qu'il est et la team est au complet...mais on revient au départ. La menace Beruhren est toujours présente, mais toujours absente, et on ne sait absolument pas de quoi va parler le prochain.....Donc un vrai retour à la case départ. J’hésite à être content en fait....
  10. poseidon2

    No Guns life t9

    Titre de l'album : No Guns life t9 Scenariste de l'album : Tasuku Karasuma Dessinateur de l'album : Tasuku Karasuma Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Jûzô Inui est un extend : on lui a implanté un revolver à la place de la tête. Depuis la grande guerre, il gagne sa vie dans cette ville grouillante d'autres extends, d'autres individus bénéficiant, comme lui, d'extensions mécaniques. Son business ? Résoudre des affaires dans lesquelles des extends sont impliqués. Un jour, Jûzô reçoit l'étrange visite d'un homme poursuivi par la police pour kidnapping. Il demande à Jûzô de protéger l'enfant qu'il a enlevé... !! Toutefois la gigantesque multinationale Beruhren va entrer dans le jeu... Jûzo est loin de se douter du guêpier dans lequel il vient de fourrer son nez ! Critique : Bon ok ce n’était pas forcément évident mais j'avais bien envie que ce soit marque la fin de la série. Alors qu'en fait on est "juste" sur une fin d'arc. L'arc qui marque la recherche de Victor et le passage au premier plan de sa sœur, la réparatrice d'extends. J'avais espéré que la fin de l'histoire avec Victor nous permette d'avoir les infos qui nous manquent dans le passé de Juzo et donc lui permette de de clôturer ses dossiers en cours. Alors qu'en fait ... ben non. On finit ce cycle de façon intéressante avec un retour en grâce de notre héros mais au final cette fin de cycle ne fait... que revenir au point de départ. Ok on connait mieux Victor mais Juzo reste ce qu'il est et la team est au complet...mais on revient au départ. La menace Beruhren est toujours présente, mais toujours absente, et on ne sait absolument pas de quoi va parler le prochain.....Donc un vrai retour à la case départ. J’hésite à être content en fait.... Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/no-guns-life-tome-9?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. Plus qu’une critique du tome c’est plutôt une mise en garde que j’ai à faire car il faut l’aborder avec précautions : pas pour son contenu mais plutôt pour ce que cela implique. Ce n’est pas tant le volume en lui-même qui est choquant car l’auteur a su garder, pour l’instant, une certaine retenue mais comment ne pas aller se renseigner sur l’histoire vraie dont est tirée l’œuvre quand le nom de la victime est clairement indiqué sur le livre ? C’est bien sûr ce que j’ai fait et je me suis sentie mal, car hélas, la réalité dépasse la fiction et cela peut-être traumatisant. Car le malaise est indéniable, il y a une incompréhension totale : mais comment la situation a-t-elle pu dégénérer à ce point ? Comment l’être humain peut en arriver à de telles extrémités ? Est-ce pour tenter d’expliquer cela que nous suivons la narration au travers des yeux d’un des coupables ? J’espère vraiment que cette approche permettra une critique de la société japonaise car entre l’indifférence des policiers, l’engrenage dans lequel se retrouve les jeunes, l’influence des clans liés aux yakuzas, la non implication des témoins, la peur d’agir, il y a de quoi se révolter. Alors oui, si c’est une critique qui pointe à l’horizon pour que les choses bougent, pour que cela ne se reproduise plus jamais alors lisons ce manga car sinon, ce ne sera que du voyeurisme sordide.
  12. Titre de l'album : 17 ans - une chronique du mal tome 1 Scenariste de l'album : FUJII Seiji Dessinateur de l'album : KAMATA Yoji Coloriste : Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : Sachiko, 17 ans, est séquestrée, agressée et torturée par un groupe de garçons dont le seul but est de s'amuser. Personne ne veut la libérer par peur de faire face aux conséquences. Devant l'inaction de la police et de ses parents, sa soeur jumelle poursuit sans relâche ses recherches. Critique : Plus qu’une critique du tome c’est plutôt une mise en garde que j’ai à faire car il faut l’aborder avec précautions : pas pour son contenu mais plutôt pour ce que cela implique. Ce n’est pas tant le volume en lui-même qui est choquant car l’auteur a su garder, pour l’instant, une certaine retenue mais comment ne pas aller se renseigner sur l’histoire vraie dont est tirée l’œuvre quand le nom de la victime est clairement indiqué sur le livre ? C’est bien sûr ce que j’ai fait et je me suis sentie mal, car hélas, la réalité dépasse la fiction et cela peut-être traumatisant. Car le malaise est indéniable, il y a une incompréhension totale : mais comment la situation a-t-elle pu dégénérer à ce point ? Comment l’être humain peut en arriver à de telles extrémités ? Est-ce pour tenter d’expliquer cela que nous suivons la narration au travers des yeux d’un des coupables ? J’espère vraiment que cette approche permettra une critique de la société japonaise car entre l’indifférence des policiers, l’engrenage dans lequel se retrouve les jeunes, l’influence des clans liés aux yakuzas, la non implication des témoins, la peur d’agir, il y a de quoi se révolter. Alors oui, si c’est une critique qui pointe à l’horizon pour que les choses bougent, pour que cela ne se reproduise plus jamais alors lisons ce manga car sinon, ce ne sera que du voyeurisme sordide. Autres infos : édition naBan Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/17-ans-tome-1-une-chronique-du-mal?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. Les éditions Soleil nous proposent un titre loin de leur catalogue habituel, car oui, « dans le sens du vent » est un manga atypique. D’abord par son graphisme plutôt occidental aux personnages élancés, au trait fin et aux paysages détaillés. Après car l’action se situe en Islande et enfin car il d’un genre indéfinissable. Le manga tient à la fois du guide touristique, de l’aventure et du suspense avec une pointe de fantastique et de romance. Et c’est ce qui fait son charme, tout est lié à un équilibre subtil entre ces genres. Je me suis demandée quand j’ai lu le 1er volume ce qui se cachait derrière un tel titre et puis après la lecture, ça m’est apparu comme une évidence, car ce manga vous emporte comme le vent, il vous emmène dans un voyage où l’Islande vous accueille et vous retient car plus qu’un guide touristique c’est une expérience que vous vivez, celle de partager le ressenti des personnages. D’habitude quand je lis, je me demande ce qui va se passer, j’aperçois certains déroulés, il m’arrive même de connaître l’issue ou la finalité de l’histoire. Ici rien, pas parce l’histoire est inintéressante mais plutôt parce que je n’ai pas envie de me poser des questions tellement je m’y trouve bien. Je prends les choses comme elles viennent et je les savoure. En plus ce manga sortant des sentiers battus, qu’y a-t-il de mieux à faire que de se laisser porter ? Et puis, il y a le personnage principal, assez froid en apparence, limite associal qui nous intrigue, de même que son entourage, atypique lui-aussi. Ce 3eme tome nous permet d’en savoir un peu plus sur le frère de Kei, avec un peu moins de paysages et un peu plus de polar. Mais comme à chaque fois, rien de trop évident et pas trop d’informations d’un coup, toujours dans l’équilibre. Et comme à chaque fois aussi, arrivée à la fin, je n’ai qu’une envie : lire la suite. Un véritable coup de cœur.
  14. Titre de l'album : Dans le sens du vent - nord, nord-ouest tome 3 Scenariste de l'album : IRIE Aki Dessinateur de l'album : IRIE Aki Coloriste : Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Kei Miyama, un détective indépendant de 17 ans, vit avec son grand-père français en Islande. Comme les autres hommes de sa famille, il dispose d'un pouvoir atypique. Le sien consiste à pouvoir communiquer avec les appareils électriques et les automobiles. Mais sa vie bascule soudainement lorsqu'un détective japonais en congés sur l'île lui annonce l'assassinat de son oncle et sa tante par son propre frère. Qui croire ? Convaincu de l'innocence de ce dernier, le jeune détective va mener l'enquête. Régulièrement cité parmi les meilleurs mangas publiés récemment au Japon, Dans le sens du vent - Nord, Nord-Ouest interpelle par son dessin très occidental, ses lignes allongées et ses paysages islandais oniriques. Critique : Les éditions Soleil nous proposent un titre loin de leur catalogue habituel, car oui, « dans le sens du vent » est un manga atypique. D’abord par son graphisme plutôt occidental aux personnages élancés, au trait fin et aux paysages détaillés. Après car l’action se situe en Islande et enfin car il d’un genre indéfinissable. Le manga tient à la fois du guide touristique, de l’aventure et du suspense avec une pointe de fantastique et de romance. Et c’est ce qui fait son charme, tout est lié à un équilibre subtil entre ces genres. Je me suis demandée quand j’ai lu le 1er volume ce qui se cachait derrière un tel titre et puis après la lecture, ça m’est apparu comme une évidence, car ce manga vous emporte comme le vent, il vous emmène dans un voyage où l’Islande vous accueille et vous retient car plus qu’un guide touristique c’est une expérience que vous vivez, celle de partager le ressenti des personnages. D’habitude quand je lis, je me demande ce qui va se passer, j’aperçois certains déroulés, il m’arrive même de connaître l’issue ou la finalité de l’histoire. Ici rien, pas parce l’histoire est inintéressante mais plutôt parce que je n’ai pas envie de me poser des questions tellement je m’y trouve bien. Je prends les choses comme elles viennent et je les savoure. En plus ce manga sortant des sentiers battus, qu’y a-t-il de mieux à faire que de se laisser porter ? Et puis, il y a le personnage principal, assez froid en apparence, limite associal qui nous intrigue, de même que son entourage, atypique lui-aussi. Ce 3eme tome nous permet d’en savoir un peu plus sur le frère de Kei, avec un peu moins de paysages et un peu plus de polar. Mais comme à chaque fois, rien de trop évident et pas trop d’informations d’un coup, toujours dans l’équilibre. Et comme à chaque fois aussi, arrivée à la fin, je n’ai qu’une envie : lire la suite. Un véritable coup de cœur. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/dans-le-sens-du-vent-tome-3-nord-nord-ouest?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. poseidon2

    Gleipnir t7

    Il est rare et dure de mettre une note maximale à un tome en milieu de série. Surtout une série qui n'a pas que des supers notes. Mais ici celui la méritait amplement. Si l'a qualité graphique était déjà présente dans les tomes précédents, celui-ci est impressionnant au niveau de la maîtrise du scénario. Tous les petits cailloux parsemés le long du chemin sont en train de s’emboîter et commencent à faire s’éclaircir la brume qui entourait le passé de nos personnages. Mais ce que l'on commence à entrevoir au travers de cette brume... nous effraie suffisamment pour qu'on ait quasiment envie de ne pas connaitre la suite. Mais je dis bien quasiment ! Car en fait l'auteur nous a attraper dans sa toile et l'on ne pourra en sortir qu'en sachant toute l'histoire. On a autant envie de connaitre rapidement la suite que l'on est effrayé d'avoir compris. Une preuve que le récit nous passionne comme cela n'arrive pas tous les jours. Surtout pour quelqu'un comme moi qui ne suis pas un grand amateur de thriller fantastique. Une vraie réussite pour une série pour adulte qui ne fait que s'améliorer. Encore ! Et vite s'il vous plaît !
  16. poseidon2

    Gleipnir t7

    Titre de l'album : Gleipnir t7 Scenariste de l'album : Takeda Sun Dessinateur de l'album : Takeda Sun Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Shûichi Kagaya, un lycéen jusqu'ici sans histoires devient subitement capable de se transformer en un gigantesque "monstre" aux capacités hors normes. Il sauve ainsi la vie de Claire coincée dans une maison en feu. Mais Claire découvre son secret et également qu'elle a la possibilité de se faufiler, par le biais d'une fermeture éclair, dans la mascotte incarnée par Shuîchi. Et si Shuîchi n'était pas le seul dans ce cas !? Qu'est-ce qui attend ces deux lycéens désormais liés par le destin !? Leur plus grand combat est sur le point de commencer !! Ne faisons plus qu'un... à la vie, à la mort ! Critique : Il est rare et dure de mettre une note maximale à un tome en milieu de série. Surtout une série qui n'a pas que des supers notes. Mais ici celui la méritait amplement. Si l'a qualité graphique était déjà présente dans les tomes précédents, celui-ci est impressionnant au niveau de la maîtrise du scénario. Tous les petits cailloux parsemés le long du chemin sont en train de s’emboîter et commencent à faire s’éclaircir la brume qui entourait le passé de nos personnages. Mais ce que l'on commence à entrevoir au travers de cette brume... nous effraie suffisamment pour qu'on ait quasiment envie de ne pas connaitre la suite. Mais je dis bien quasiment ! Car en fait l'auteur nous a attraper dans sa toile et l'on ne pourra en sortir qu'en sachant toute l'histoire. On a autant envie de connaitre rapidement la suite que l'on est effrayé d'avoir compris. Une preuve que le récit nous passionne comme cela n'arrive pas tous les jours. Surtout pour quelqu'un comme moi qui ne suis pas un grand amateur de thriller fantastique. Une vraie réussite pour une série pour adulte qui ne fait que s'améliorer. Encore ! Et vite s'il vous plaît ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/gleipnir-tome-7?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. poseidon2

    Gamaran, le tournoi ultime t6

    Encore un bon tome pour la série qui prend du vieux et en fait de l'innovant. En effet au milieu des séries formatées par Naruto ou par Sword Art Online, des vrais bon combats à l'épée, c'est super rafraichissant. Surtout ce tome 6 qui recentre le débat sur Ran, notre héroïne. En effet on laisse de coté les états d'âme de Sengoku pour apprécier les progrès de Ran et la voir enfin se lancer dans la courses à la place parmis les 100 meilleurs lames du pays. Rien de vraiment original dans ce tome ci mais une ambiance qui commence à être vraiment tendue et des combats plus compliqués avec une Ran qui pense avoir le niveau... sans avoir jamais combattu des gens de ce calibre la. En bref du bon manga de détente dans la lignée de Kenshin et des autres mangas de samouraïs. Ca n'invente rien mais au milieu des sorties compliquées ou orientées heroic fantaisy, ce retour aux sources est toujours un vraiment plaisir.
  18. Titre de l'album : Gamaran, le tournoi ultime t6 Scenariste de l'album : Yosuke Nakamaru Dessinateur de l'album : Yosuke Nakamaru Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Deux ans ont passé depuis la fin du légendaire Grand Tournoi d'Unabara durant lequel de nombreux combattants ont risqué leur vie afin de déterminer qui était le plus fort d'entre eux.Iori Sengoku, devenu le "guerrier sans égal", reçoit une invitation de la part du shogunat Tokugawa. Il va devoir défendre son titre. Ses adversaires seront des combattants triés sur le volet par le gouvernement. Leur nom : les Cent Lames du shogunat.Que le Tournoi Ultime commence ! Critique : Encore un bon tome pour la série qui prend du vieux et en fait de l'innovant. En effet au milieu des séries formatées par Naruto ou par Sword Art Online, des vrais bon combats à l'épée, c'est super rafraichissant. Surtout ce tome 6 qui recentre le débat sur Ran, notre héroïne. En effet on laisse de coté les états d'âme de Sengoku pour apprécier les progrès de Ran et la voir enfin se lancer dans la courses à la place parmis les 100 meilleurs lames du pays. Rien de vraiment original dans ce tome ci mais une ambiance qui commence à être vraiment tendue et des combats plus compliqués avec une Ran qui pense avoir le niveau... sans avoir jamais combattu des gens de ce calibre la. En bref du bon manga de détente dans la lignée de Kenshin et des autres mangas de samouraïs. Ca n'invente rien mais au milieu des sorties compliquées ou orientées heroic fantaisy, ce retour aux sources est toujours un vraiment plaisir. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/gamaran-le-tournoi-ultime-tome-6?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. Nickad

    The promised neverland tome 16

    Je profite de la sortie du tome 16 pour parler d’une façon plus générale de la série. The promised neverland est un manga qui surprend, il nous plonge très vite dans un univers cruel où il faut lutter pour survivre. Il est à la fois fantastique en mélangeant humains et démons mais sans tomber dans la caricature, aventure puisque les enfants vont devoir évoluer dans un milieu dont ils ignorent tout pour rejoindre le monde humain qui n’existe peut-être même pas, humaniste dans le sens où, à l’instar des personnages principaux, ce manga nous met face à certaines réflexions. Ici, ce n’est ni la force physique ni d’éventuels pouvoirs qui sont mis en avant. Les évadés de Gracefield ne peuvent compter que sur leurs capacités intellectuelles pour atteindre leurs objectifs, sauf que lorsqu’on a 12 ans et un groupe d’enfants plus jeunes à protéger, cela peut se compliquer très vite. En dehors de l’aspect manga d’aventure qui est très plaisant et qui enchaine les rebondissements ; de vraies questions se posent : faut-il exterminer tous les démons pour survivre? faut-il se venger ? faut-il en sacrifier certains pour le bien de la communauté ? Quel est le meilleur choix ? Le tome 16 se trouve à un tournant de l’histoire, nos héros sont divisés quant à la suite des opérations à mener, qui de Norman ou de Rey et Emma vont réussir à appliquer leur plan en premier ? Est-ce que Sonju et Mujika vont-être protéger ou tuer ? On se rapproche du dénouement (série finie en 20 tomes) mais pas un seul instant, on ne s’en lasse. La série est en plus servie par un univers graphique riche et a déjà obtenue plusieurs prix (Daruma du meilleur scénario et de la meilleure nouvelle série, prix konishi de la meilleure traduction, prix manga news pour le meilleur shonen…) A mon avis, une série incontournable.
  20. Titre de l'album : The promised neverland tome 16 Scenariste de l'album : SHIRAI Kaiu Dessinateur de l'album : DEMIZU Posuka Coloriste : Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : Emma, Norman et Ray coulent des jours heureux à l'orphelinat Grace Field House. Entourés de leurs petits frères et soeurs, ils s'épanouissent sous l'attention pleine de tendresse de «Maman», qu'ils considèrent comme leur véritable mère. Mais tout bascule le soir où ils découvrent l'abominable réalité qui se cache derrière la façade de leur vie paisible ! Ils doivent s'échapper, c'est une question de vie ou de mort ! Critique : Je profite de la sortie du tome 16 pour parler d’une façon plus générale de la série. The promised neverland est un manga qui surprend, il nous plonge très vite dans un univers cruel où il faut lutter pour survivre. Il est à la fois fantastique en mélangeant humains et démons mais sans tomber dans la caricature, aventure puisque les enfants vont devoir évoluer dans un milieu dont ils ignorent tout pour rejoindre le monde humain qui n’existe peut-être même pas, humaniste dans le sens où, à l’instar des personnages principaux, ce manga nous met face à certaines réflexions. Ici, ce n’est ni la force physique ni d’éventuels pouvoirs qui sont mis en avant. Les évadés de Gracefield ne peuvent compter que sur leurs capacités intellectuelles pour atteindre leurs objectifs, sauf que lorsqu’on a 12 ans et un groupe d’enfants plus jeunes à protéger, cela peut se compliquer très vite. En dehors de l’aspect manga d’aventure qui est très plaisant et qui enchaine les rebondissements ; de vraies questions se posent : faut-il exterminer tous les démons pour survivre? faut-il se venger ? faut-il en sacrifier certains pour le bien de la communauté ? Quel est le meilleur choix ? Le tome 16 se trouve à un tournant de l’histoire, nos héros sont divisés quant à la suite des opérations à mener, qui de Norman ou de Rey et Emma vont réussir à appliquer leur plan en premier ? Est-ce que Sonju et Mujika vont-être protéger ou tuer ? On se rapproche du dénouement (série finie en 20 tomes) mais pas un seul instant, on ne s’en lasse. La série est en plus servie par un univers graphique riche et a déjà obtenue plusieurs prix (Daruma du meilleur scénario et de la meilleure nouvelle série, prix konishi de la meilleure traduction, prix manga news pour le meilleur shonen…) A mon avis, une série incontournable. Autres infos : Edition Kaze manga Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-promised-neverland-tome-16?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. poseidon2

    Je suis un assassin t1

    En voilà une excellente surprise ! Au milieu des traditionnelles histoires de lycéens parachutés dans un monde héroic fantaisy entre jeu et monde parallèle, ce "Je suis un assassin" réussit a vraiment se démarquer ce qui est notable. Et il ne se démarque par le fait que l'on suive un "assassin" (mais gentil quand même bien sûr) mais surtout par la rapidité de traitement et le coté piège qui arrive très rapidement. Ce qu'on lit la en 1 seul tome se déroule normalement en 3 ou 4 tomes. Là on va vite. Mais on va vite avec concision. Et ça ça change. On a tous les éléments présentés et dans l'ordre qu'il faut pour qu'on puisse s'approprier les personnages principaux, l'univers, les méchants ET qu'il se passe pleins de trucs. Dans un seul premier tome. Et ça donne vraiment envie de savoir ce qu'il va se passer après. Avec quand même un léger doute car la fin laisse planer une possibilité d'enlisement. Espérons que nos auteurs ne tombent pas dedans.
  22. Titre de l'album : Je suis un assassin t1 Scenariste de l'album : Akai Dessinateur de l'album : Aigamo Coloriste : Editeur de l'album : Doki-Doki Note : Résumé de l'album : Appelé avec ses camarades de classe dans un autre monde, Akira Oda se voit attribuer les caractéristiques d'un banal assassin du fait de sa discrétion. Mais ses compétences vont se révéler bien plus grandes que celles d'un héros. Très vite, Akira commence à avoir des doutes sur le roi qui les a fait venir dans cet autre monde et il va devoir mettre en pratique ses compétences d'assassin pour élucider le mystère... et découvrir la conspiration qui est en train de se tramer ! Critique : En voilà une excellente surprise ! Au milieu des traditionnelles histoires de lycéens parachutés dans un monde héroic fantaisy entre jeu et monde parallèle, ce "Je suis un assassin" réussit a vraiment se démarquer ce qui est notable. Et il ne se démarque par le fait que l'on suive un "assassin" (mais gentil quand même bien sûr) mais surtout par la rapidité de traitement et le coté piège qui arrive très rapidement. Ce qu'on lit la en 1 seul tome se déroule normalement en 3 ou 4 tomes. Là on va vite. Mais on va vite avec concision. Et ça ça change. On a tous les éléments présentés et dans l'ordre qu'il faut pour qu'on puisse s'approprier les personnages principaux, l'univers, les méchants ET qu'il se passe pleins de trucs. Dans un seul premier tome. Et ça donne vraiment envie de savoir ce qu'il va se passer après. Avec quand même un léger doute car la fin laisse planer une possibilité d'enlisement. Espérons que nos auteurs ne tombent pas dedans. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/je-suis-un-assassin-et-je-surpasse-le-heros-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. Nickad

    Shaman king flowers tome 3

    Ce tome explore un peu le passé de Hana où l’on a le plaisir de revoir brièvement ses parents. Il nous permet aussi d’apercevoir ses véritables capacités. De nouveaux ennemis apparaissent mais leurs identités restent floues. Même si l’on ressent que la pression monte autour du « flower of maize », il reste encore beaucoup de zones d’ombre, et quand on sait que la série est finie en 6 tomes, on se demande si l’auteur va réussir à explorer toutes les pistes qu’il lance. Car finalement le problème est là, nous n’en sommes qu’à l’échauffement. D’un autre côté, il ne s’agit que d’un nouvel arc de shaman king et plusieurs spin-off sont déjà en route. De quoi s’assurer de rester encore un certain temps dans l’univers de Hiroyuki Takei. Un clin d’œil amusant à la « star edition » se cache dans ce tome, le trouverez-vous ?
  24. Titre de l'album : Shaman king flowers tome 3 Scenariste de l'album : TAKEI Hiroyuki Dessinateur de l'album : TAKEI Hiroyuki Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Alors que rien ne devait se passer durant les 500 ans suivants le dernier Shaman Fight, auquel Yoh et ses amis ont participé, un désaccord entre les dieux déclenche un nouvel affrontement entre les shamans à l'issue duquel la forme de ce monde risque de changer. Hana, le fils de Yoh et Anna, est choisi pour devenir le leader de la « Team Hao », l'équipe représentant le dieu Hao en ce bas-monde. Mais avant même d'entrer dans le tournoi, il devra surmonter une épreuve inattendue et beaucoup plus périlleuse qu'il n'y paraît.. Critique : Ce tome explore un peu le passé de Hana où l’on a le plaisir de revoir brièvement ses parents. Il nous permet aussi d’apercevoir ses véritables capacités. De nouveaux ennemis apparaissent mais leurs identités restent floues. Même si l’on ressent que la pression monte autour du « flower of maize », il reste encore beaucoup de zones d’ombre, et quand on sait que la série est finie en 6 tomes, on se demande si l’auteur va réussir à explorer toutes les pistes qu’il lance. Car finalement le problème est là, nous n’en sommes qu’à l’échauffement. D’un autre côté, il ne s’agit que d’un nouvel arc de shaman king et plusieurs spin-off sont déjà en route. De quoi s’assurer de rester encore un certain temps dans l’univers de Hiroyuki Takei. Un clin d’œil amusant à la « star edition » se cache dans ce tome, le trouverez-vous ? Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/shaman-king-flowers-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. Nickad

    Battle game in 5 seconds tome 12

    Au beau milieu de leurs recherches des membres des autres équipes, une partie des camarades d'Akira se retrouve piégée dans le désastre, il n'a d'autre choix que de les rejoindre, à la fois pour les aider mais aussi parce que seul, son pouvoir n'est pas très utile. Nous voici enfin plongés en plein cœur du désastre, un événement qui était encore obscur jusqu’à présent et qui a pour objectif la réduction drastique du nombre de joueurs. La lutte contre les zombies mais aussi entre les joueurs piégés fait rage. Et même si on suppose que nos « héros » vont s’en sortir, la question est de savoir qui d’autre va y survivre. En même temps, on en apprend plus sur le caractère de Tôya, le père d’Akira qui semble être un manipulateur de première, mais son pouvoir comme ses motivations restent mystérieux. Les combats s’enchainent sans longueur et nous offre un volume pleins d’actions. De nouveaux personnages font leur apparition mais qui, vu les règles du jeu, risquent de ne pas rester trop longtemps (il y en a déjà beaucoup !). En dehors de l'aspect purement combats, qui sont plutôt bien menés, j'apprécie la façon dont l'auteur dissémine les informations sur nos héros, cela entretient le suspense et donne l'envie d'en savoir plus. A suivre donc.
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