Aller au contenu
  • S’inscrire

Rechercher dans la communauté

Affichage des résultats pour les étiquettes 'manga'.

  • Rechercher par étiquettes

    Saisir les étiquettes en les séparant par une virgule.
  • Rechercher par auteur

Type du contenu


Forums

  • Les forums BD
    • Toute la BD
    • Projets participatifs
    • Petites Annonces BD
    • Liens BD vers ailleurs
  • Et si on parlait d'autre chose que la bande dessinée ?
    • Améliorons 1001BD
    • Films et séries TV
    • 1001 Jeux Video
    • Livres - Musique - Spectacles - Théatre - Musées
    • 1001 choses à dire
  • TEAM

Rechercher les résultats dans…

Rechercher les résultats qui contiennent…


Date de création

  • Début

    Fin


Dernière mise à jour

  • Début

    Fin


Filtrer par nombre de…

Inscription

  • Début

    Fin


Groupe


  1. Nickad

    Thermomètre sentimental

    Shizuki, lycéen, est un ancien acteur, il a mis sa carrière en pause il y a déjà 5 ans afin de finir ses études correctement. Mais il a toujours autant de succès et les filles lui courent après tout le temps au point qu’il doive un jour se réfugier dans un local peu fréquenté où il tombe sur Yûsei, le lycéen que tout le monde évite car il se traine une réputation des moins respectables. Mais Shizuki possède également un étrange pouvoir, celui de voir un ballon au-dessus de la tête des gens qui change de taille et de forme en fonction de leurs émotions. C’est ainsi qu’il se rend compte que Yûsei n’est pas celui que tout le monde croit. A la lecture du résumé, je m’attendais à autre chose, peut-être une histoire du même genre qu’Iris zero, avec plus de rebondissements et une exploitation des pouvoirs du héros plus intéressante. Hélas, on se retrouve très vite dans une histoire assez classique : un beau gosse qui finit par aimer le soi-disant voyou du lycée qui est en réalité très gentil. Le seul vrai point intéressant est la métaphore associée aux ballons : une façon imagée de nous faire comprendre qu’il ne faut pas se fier aux apparences et que la meilleure façon de connaître et de comprendre l’autre et de passer par la case communication ! Un discours que l’on voit souvent et qui reste important : communiquez les amis, il n’y a que ça de vrai et c’est la seule façon de savoir ce que l’autre pense ou ressent vraiment ! En dehors de ça, l’histoire est mignonne, a un côté kawaii et fleur bleue et se lit bien. (Pour information, il y a quand même une scène de sexe à la fin).
  2. Titre de l'album : Thermomètre sentimental Scenariste de l'album : MIYAMA Kaoruko Dessinateur de l'album : MIYAMA Kaoruko Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Shizuki Kai n'est pas n'importe qui. Bien que sa carrière soit en pause, c'est un jeune acteur talentueux, beau et admiré par tous. Mais pour autant, personne n'est au courant de sa particularité secrète, ce qui le rend unique... Il est capable de voir des ballons au-dessus de chaque personne, représentant leurs émotions ! Quelle ne fut donc pas sa surprise lorsqu'il rencontra Yûsei Shinozuka, un délinquant présumé, qui se trouve être son plus grand fan... Critique : Shizuki, lycéen, est un ancien acteur, il a mis sa carrière en pause il y a déjà 5 ans afin de finir ses études correctement. Mais il a toujours autant de succès et les filles lui courent après tout le temps au point qu’il doive un jour se réfugier dans un local peu fréquenté où il tombe sur Yûsei, le lycéen que tout le monde évite car il se traine une réputation des moins respectables. Mais Shizuki possède également un étrange pouvoir, celui de voir un ballon au-dessus de la tête des gens qui change de taille et de forme en fonction de leurs émotions. C’est ainsi qu’il se rend compte que Yûsei n’est pas celui que tout le monde croit. A la lecture du résumé, je m’attendais à autre chose, peut-être une histoire du même genre qu’Iris zero, avec plus de rebondissements et une exploitation des pouvoirs du héros plus intéressante. Hélas, on se retrouve très vite dans une histoire assez classique : un beau gosse qui finit par aimer le soi-disant voyou du lycée qui est en réalité très gentil. Le seul vrai point intéressant est la métaphore associée aux ballons : une façon imagée de nous faire comprendre qu’il ne faut pas se fier aux apparences et que la meilleure façon de connaître et de comprendre l’autre et de passer par la case communication ! Un discours que l’on voit souvent et qui reste important : communiquez les amis, il n’y a que ça de vrai et c’est la seule façon de savoir ce que l’autre pense ou ressent vraiment ! En dehors de ça, l’histoire est mignonne, a un côté kawaii et fleur bleue et se lit bien. (Pour information, il y a quand même une scène de sexe à la fin). Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/thermometre-sentimental?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Nickad

    Gestalt tome 1

    Nouveau manga d’anticipation chez Ki-oon. Gestalt nous propose une version très futuriste de l’arche de Noé : devant l’état actuel de notre monde et de sa société, un compte à rebours apparaît un jour dans le ciel. Chaque humain est alors soumis à un choix, il peut lever la main s’il estime que l’avenir du monde est plus important que le sien, ceux qui ont choisi le monde se retrouve alors à bord d’une arche où un pouvoir leur est octroyé afin d’aller exterminer l’humanité. C’est ainsi que Soso Shindo, un élève assez individualiste et Shirokawa une lycéenne qui a le cœur sur la main et toujours prête à aider son prochain se retrouve à bord de l’arche. Les 100 élus doivent faire face à un cruel destin : suivre les règles de l’arche en éliminant les humains ou se sacrifier en subissant le courroux de l’arche qui n’est pas sans douleur, en d’autres termes tuer ou être tuer ! Et le pire, c’est qu’ils n’ont pas forcément d’explications sur ce qui se passe, ne connaissent pas les tenants et aboutissants et se retrouvent à faire face du jour au lendemain su ce n’est d’une heure à l’autre. En plus d’un discours très philosophique sur la survie de l’humanité, sur le choix toujours cornélien « faut-il tuer une personne pour en sauver 100 », la présence de l’arche signifie aussi qu’il y a une réflexion écologique sur notre monde. Mais ces thématiques, bien que présentes en arrière-plan, ne sont pas forcément le propos principal du livre (on verra comment ça évolue dans les autres tomes). Non, l’important pour le moment, c’est voir comment vont se comporter nos héros, découvrir les différents pouvoirs qui existent et comprendre qui dirige cette arche et pourquoi. L’auteur se fait plaisir dans les inventions futuristes et nous propose également un graphisme travaillé et convaincant. Un très bon début de série pour cette courte série finie en 3 tomes. Extrait
  4. Nickad

    Gestalt tome 1

    Titre de l'album : Gestalt tome 1 Scenariste de l'album : RINGO Yoto Dessinateur de l'album : RINGO Yoto Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Pour Soso Shindo, l'individualisme est un art de vivre. Amitié, fraternité ? Ce ne sont que des grands mots pour cacher la réalité d'un monde où règne le chacun pour soi. Les leçons de sa camarade Hanami, adepte de l'entraide, ne changent rien à sa philosophie... Même quand un énorme compte à rebours apparaît dans le ciel, le premier réflexe du lycéen est de filmer pour faire le buzz sur Internet ! C'est alors que les deux adolescents sont aspirés dans un cube géant flottant au-dessus de Tokyo... À l'intérieur, ils découvrent une véritable arche de Noé où des animaux de toutes espèces se côtoient et communiquent dans un langage commun. Parmi eux, un groupe d'humains du monde entier ! Tous ont été attirés là sans savoir pourquoi et, surtout, par qui... Tout à coup, un étrange personnage aux allures de robot apparaît et leur annonce leur rôle : ils vont participer à la réinitialisation de l'humanité. Hormis les créatures présentes à bord, toute vie sur Terre doit disparaître ! Pour les élus, l'enfer commence... Se sacrifier ou détruire sa propre espèce, tel est le dilemme ultime auquel ils font face ! Laissez-vous emporter dans un récit de science-fiction aux allures de film hollywoodien ! Critique : Nouveau manga d’anticipation chez Ki-oon. Gestalt nous propose une version très futuriste de l’arche de Noé : devant l’état actuel de notre monde et de sa société, un compte à rebours apparaît un jour dans le ciel. Chaque humain est alors soumis à un choix, il peut lever la main s’il estime que l’avenir du monde est plus important que le sien, ceux qui ont choisi le monde se retrouve alors à bord d’une arche où un pouvoir leur est octroyé afin d’aller exterminer l’humanité. C’est ainsi que Soso Shindo, un élève assez individualiste et Shirokawa une lycéenne qui a le cœur sur la main et toujours prête à aider son prochain se retrouve à bord de l’arche. Les 100 élus doivent faire face à un cruel destin : suivre les règles de l’arche en éliminant les humains ou se sacrifier en subissant le courroux de l’arche qui n’est pas sans douleur, en d’autres termes tuer ou être tuer ! Et le pire, c’est qu’ils n’ont pas forcément d’explications sur ce qui se passe, ne connaissent pas les tenants et aboutissants et se retrouvent à faire face du jour au lendemain su ce n’est d’une heure à l’autre. En plus d’un discours très philosophique sur la survie de l’humanité, sur le choix toujours cornélien « faut-il tuer une personne pour en sauver 100 », la présence de l’arche signifie aussi qu’il y a une réflexion écologique sur notre monde. Mais ces thématiques, bien que présentes en arrière-plan, ne sont pas forcément le propos principal du livre (on verra comment ça évolue dans les autres tomes). Non, l’important pour le moment, c’est voir comment vont se comporter nos héros, découvrir les différents pouvoirs qui existent et comprendre qui dirige cette arche et pourquoi. L’auteur se fait plaisir dans les inventions futuristes et nous propose également un graphisme travaillé et convaincant. Un très bon début de série pour cette courte série finie en 3 tomes. Extrait Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/gestalt-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. Déjanté, voilà le mot qui qualifie ce manga ! J’irai même jusqu’à dire que c’est tellement loufoque que c’en est drôle ! Tout d’abord il y a le monde dans lequel se passe l’histoire : un monde de fantasy avec de la magie, des créatures de tout genre, des héros et un roi du mal à combattre. Classique au 1er abord mais quand les smartphones débarquent avec les informations d’internet et surtout les réseaux sociaux, tout ce petit monde se met à vouloir faire du business en ligne et faire le buzz ! Cela n’est pas au gout de Monica, une fillette de 8 ans, qui rêve de grande épopée à l’ancienne, alors quand elle trouve une mystérieuse épée dans la montagne, la voilà qui veut partir à l’aventure. Car cette épée n’est pas une épée lambda, non, elle est maléfique, peut séparer l’âme d’un corps (très drôle d’ailleurs quand Monica s’entraine sur son frère qui dort !), absorbe l’énergie vitale de ce qui l’entoure et quand elle est rechargée, peut carrément parler ! Son seul problème, c’est qu’elle a perdu la mémoire… Autant vous prévenir, l’épée et la fillette vont faire les 400 coups, mais n’oublions pas que nous sommes dans un monde de fantasy, alors ça part dans tous les sens ! Il n’y a pas de limite à ce qui peut se passer, il y a plein de personnages secondaires atypiques, plein d’aspects poussés à l’extrême et plein de gags qu’il faut prendre au 1er degré. Malgré tout ça, le récit est plein de trouvailles en tout genre, les gags fonctionnent et sont assez diversifiés et il n’y a rien à redire sur le graphisme qui est vraiment adapté à de la fantasy. C’est drôle, c’est bien fait et c’est complétement hors norme !
  6. Titre de l'album : Le quotidien d'une épée maudite tome 1 Scenariste de l'album : TOBITA Nikiichi Dessinateur de l'album : TOBITA Nikiichi Coloriste : Editeur de l'album : Mana Books Note : Résumé de l'album : Dans le fabuleux royaume de Fantasia, monstres, héros et démons se côtoient et se font la guerre. Du moins... c'était le cas avant l'arrivée de la technologie et ses progrès fulgurants ! Aujourd'hui, Fantasia est un monde d'épées, de magie... et de smartphones ! Un beau jour, le quotidien de deux frère et soeur est complètement chamboulé par l'arrivée d'une étrange créature... Critique : Déjanté, voilà le mot qui qualifie ce manga ! J’irai même jusqu’à dire que c’est tellement loufoque que c’en est drôle ! Tout d’abord il y a le monde dans lequel se passe l’histoire : un monde de fantasy avec de la magie, des créatures de tout genre, des héros et un roi du mal à combattre. Classique au 1er abord mais quand les smartphones débarquent avec les informations d’internet et surtout les réseaux sociaux, tout ce petit monde se met à vouloir faire du business en ligne et faire le buzz ! Cela n’est pas au gout de Monica, une fillette de 8 ans, qui rêve de grande épopée à l’ancienne, alors quand elle trouve une mystérieuse épée dans la montagne, la voilà qui veut partir à l’aventure. Car cette épée n’est pas une épée lambda, non, elle est maléfique, peut séparer l’âme d’un corps (très drôle d’ailleurs quand Monica s’entraine sur son frère qui dort !), absorbe l’énergie vitale de ce qui l’entoure et quand elle est rechargée, peut carrément parler ! Son seul problème, c’est qu’elle a perdu la mémoire… Autant vous prévenir, l’épée et la fillette vont faire les 400 coups, mais n’oublions pas que nous sommes dans un monde de fantasy, alors ça part dans tous les sens ! Il n’y a pas de limite à ce qui peut se passer, il y a plein de personnages secondaires atypiques, plein d’aspects poussés à l’extrême et plein de gags qu’il faut prendre au 1er degré. Malgré tout ça, le récit est plein de trouvailles en tout genre, les gags fonctionnent et sont assez diversifiés et il n’y a rien à redire sur le graphisme qui est vraiment adapté à de la fantasy. C’est drôle, c’est bien fait et c’est complétement hors norme ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-quotidien-d-une-epee-maudite-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Titre de l'album : Comment Raeliana a survécu au manoir Wynknight tome 1 Scenariste de l'album : MILCHA Dessinateur de l'album : WHALE Coloriste : Editeur de l'album : Kotoon Note : Résumé de l'album : Se réincarner dans un roman à succès, il y a de quoi s'enthousiasmer ! Sauf si vous êtes assassiné. Prisonnière du best-seller L'affaire de l'amie assassinée, Raeliana s'engage dans une partie d'échecs pour échapper à la fin tragique qui l'attend. Elle devra naviguer parmi les intrigues politiques, déjouer les pièges de la cour et pactiser avec le duc Noah Wynknight, énigmatique frère cadet du roi. Quel est le vrai visage de cet homme qui accepte de jouer le rôle du fiancé en échange d'informations cruciales sur la suite du récit ? Critique : Je vous l’avais annoncé, le nouveau sous-genre de l’isekai : incarner un personnage de roman, voit sa vague déferler. Bien qu’il existe depuis de nombreuses années en Asie, un certain nombre d’adaptation de light novel débarque en France et pour le moment le choix est plutôt bon. Comme souvent notre personnage principal doit changer son destin avant de finir éliminé dans un délai plus ou moins court, mais si ce fait est récurrent d’une œuvre à l’autre, ce qui les différencie c’est l’environnement dans lequel évolue notre héros, sa façon de se sortir de ce pétrin et la quantité de connaissance qu’il possède sur l’univers du roman. Voici donc Raeliana, une jeune fille de famille noble, qui dans l’histoire originale, se fait empoisonner par son fiancé qui s’emparera de la fortune de sa famille par la suite. Bien décidée à échapper à ce funeste destin, la voilà qui cherche à rompre ses fiançailles par tous les moyens possibles. Devant ses tentatives ratées, elle finit par prétendre avoir une relation avec un autre homme, le duc Noah Wynknight, un jeune homme riche et puissant qui semble trempé dans des affaires politiques pas très nettes. Heureusement, Raeliana ayant lu le roman, connaît certains de ses secrets et passe un pacte avec lui. La voilà devenue la fausse fiancée du duc. Contrairement à Seule la mort attend la vilaine qui fonctionne sur le même schéma et où il y avait un côté jeu video, ici, notre héroïne est tout à fait libre de ses choix et de ses agissements. Elle exploite au mieux les connaissances qu’elle a du roman et doit combler ce qui lui manque. Si le graphisme est un chouia en-dessous du précédent (moins de détails et de précision dans les tenues et les décors), il n’en reste pas moins très agréable et efficace surtout au niveau des expressions faciales des personnages. L’histoire est également intéressante car Raeliana va très vite au-delà du scénario du livre et va devoir improviser. L’intérêt reste au maximum tout le long de ce 1er tome, non seulement on ne s’ennuie pas et on plonge complétement dans le récit mais on a aussi très envie d’aller lire la suite ! Adaptée d’un roman, la série est disponible sur DELITOON et en anime sur CRUNCHYROLL. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/comment-raeliana-a-survecu-au-manoir-wynknight-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. Je vous l’avais annoncé, le nouveau sous-genre de l’isekai : incarner un personnage de roman, voit sa vague déferler. Bien qu’il existe depuis de nombreuses années en Asie, un certain nombre d’adaptation de light novel débarque en France et pour le moment le choix est plutôt bon. Comme souvent notre personnage principal doit changer son destin avant de finir éliminé dans un délai plus ou moins court, mais si ce fait est récurrent d’une œuvre à l’autre, ce qui les différencie c’est l’environnement dans lequel évolue notre héros, sa façon de se sortir de ce pétrin et la quantité de connaissance qu’il possède sur l’univers du roman. Voici donc Raeliana, une jeune fille de famille noble, qui dans l’histoire originale, se fait empoisonner par son fiancé qui s’emparera de la fortune de sa famille par la suite. Bien décidée à échapper à ce funeste destin, la voilà qui cherche à rompre ses fiançailles par tous les moyens possibles. Devant ses tentatives ratées, elle finit par prétendre avoir une relation avec un autre homme, le duc Noah Wynknight, un jeune homme riche et puissant qui semble trempé dans des affaires politiques pas très nettes. Heureusement, Raeliana ayant lu le roman, connaît certains de ses secrets et passe un pacte avec lui. La voilà devenue la fausse fiancée du duc. Contrairement à Seule la mort attend la vilaine qui fonctionne sur le même schéma et où il y avait un côté jeu video, ici, notre héroïne est tout à fait libre de ses choix et de ses agissements. Elle exploite au mieux les connaissances qu’elle a du roman et doit combler ce qui lui manque. Si le graphisme est un chouia en-dessous du précédent (moins de détails et de précision dans les tenues et les décors), il n’en reste pas moins très agréable et efficace surtout au niveau des expressions faciales des personnages. L’histoire est également intéressante car Raeliana va très vite au-delà du scénario du livre et va devoir improviser. L’intérêt reste au maximum tout le long de ce 1er tome, non seulement on ne s’ennuie pas et on plonge complétement dans le récit mais on a aussi très envie d’aller lire la suite ! Adaptée d’un roman, la série est disponible sur DELITOON et en anime sur CRUNCHYROLL.
  9. poseidon2

    Escale à Yokohama T9&10

    Encore deux tomes la série "cool" de meian qui nous rapproche de la fin (14).... même si on demande comment cette histoire pourrait bien finir. En effet les tomes se suivent et se ressemblent... tout en étant différents. C'est étonnant à dire, mais il dégage un tel calme et un tel détachement que l'on pourrait lire ces tomes dans n'importe quel sens que cela ne nous choquerait pas. Ces petits instants de la vie d'alpha et de ces amis sont des petits moments de lectures paisibles qui nous font ralentir notre rythme de malade pour profiter de petits moments tous plus positifs les uns que les autres. Encore 4 tomes qui me font me demander comment notre auteur pourra vraiment "conclure" son histoire. À moins que la conclusion ne ramène au début... ca sera pas mal ca ..
  10. Titre de l'album : Escale à Yokohama T9&10 Scenariste de l'album : Hitoshi Ashinano Dessinateur de l'album : Hitoshi Ashinano Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Après sa longue absence, Alpha est de retour au bercail. Elle découvre ce qui a changé pendant qu'elle était partie. Kokone, quant à elle, fait la connaissance de la docteure Alpha continue à reconstruire son café. Le temps passe, les gens qui l'entourent changent et la nature se transforme au gré des saisons. Critique : Encore deux tomes la série "cool" de meian qui nous rapproche de la fin (14).... même si on demande comment cette histoire pourrait bien finir. En effet les tomes se suivent et se ressemblent... tout en étant différents. C'est étonnant à dire, mais il dégage un tel calme et un tel détachement que l'on pourrait lire ces tomes dans n'importe quel sens que cela ne nous choquerait pas. Ces petits instants de la vie d'alpha et de ces amis sont des petits moments de lectures paisibles qui nous font ralentir notre rythme de malade pour profiter de petits moments tous plus positifs les uns que les autres. Encore 4 tomes qui me font me demander comment notre auteur pourra vraiment "conclure" son histoire. À moins que la conclusion ne ramène au début... ca sera pas mal ca .. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/escale-a-yokohama-tome-9?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. Après deux tomes excellents, il aurait été étonnant d'avoir deux tomes aussi intenses... et pourtant, c'est presque le cas. Le tome 15 est juste fou avec des révélations impressionnantes sur ... tout. Tout ce que l'on pensait ne pas avoir besoin de savoir qui remettent en question tout ce que l'on savait. Des révélations majeures, mais un rythme toujours rapide avec le passé du grand-père de Masaru aussi tendu qu'intéressant. De Francine à Angelina en passant par Eleonore ou Guy, tous nos personnages principaux se retrouvent à une époque et un endroit où l'on ne les attendait pas pour combler les brides d'ombres qu'il reste encore dans une tapisserie d'une densité jamais vu. Des épisodes inédits en France qui raviront tous les fans, que ce soit de la nouvelle édition ou de l'ancienne. 0 12.95 les 324 pages d'histoire aussi bien écrite, c'est sans aucun doute le meilleur rapport qualité/prix du 9 ieme art à l'heure actuelle.
  12. Titre de l'album : Karakuri Circus perfect édition t15&16 Scenariste de l'album : Kazuhiro Fujita Dessinateur de l'album : Kazuhiro Fujita Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Ce que je préfère chez toi, c'est ton sourire ! Alors que le quartier des plaisirs de Maruyama brûle autour d'elle, Angelina a pris sa décision. Je refuse de te laisser mourir ! Petit à petit, le voyage de Masaru le rapproche du coeur du mystère... Dean, Guy, mais aussi la marionnette Francine... Alors que les rencontres s'enchaînent, la guerre contre les automates prend une toute autre tournure !! Critique : Après deux tomes excellents, il aurait été étonnant d'avoir deux tomes aussi intenses... et pourtant, c'est presque le cas. Le tome 15 est juste fou avec des révélations impressionnantes sur ... tout. Tout ce que l'on pensait ne pas avoir besoin de savoir qui remettent en question tout ce que l'on savait. Des révélations majeures, mais un rythme toujours rapide avec le passé du grand-père de Masaru aussi tendu qu'intéressant. De Francine à Angelina en passant par Eleonore ou Guy, tous nos personnages principaux se retrouvent à une époque et un endroit où l'on ne les attendait pas pour combler les brides d'ombres qu'il reste encore dans une tapisserie d'une densité jamais vu. Des épisodes inédits en France qui raviront tous les fans, que ce soit de la nouvelle édition ou de l'ancienne. 0 12.95 les 324 pages d'histoire aussi bien écrite, c'est sans aucun doute le meilleur rapport qualité/prix du 9 ieme art à l'heure actuelle. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/karakuri-circus-tome-15-perfect-edition?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. Nickad

    Mighty Mothers tome 2

    Akane a été repérée par la tueuse engagée par le Jin’Eikai, le clan de yakuzas ne recule devant rien pour régner sur la ville et se débarrasser de ses ennemis. Elle doit donc l’affronter tout en protégeant son fils qui a été pris en otage. Heureusement Akane n’est pas toute seule et tout le groupe de super et dangereuses mamans s’en va en guerre. En même temps que le manga soit un très bon récit d’action et de combats en tout genre (sabre, arme à feu…) il est aussi une vitrine plutôt terrifiante sur le monde de la pègre. On comprend que la justice et la police restent impuissantes face à de telles organisations qui ont des ramifications un peu partout et souvent dans les hautes sphères. En attendant la suite, nos héroïnes se retrouvent dans des situations compliquées et l’on se demande bien comment elles vont réussir à mettre de l’ordre dans tout ça ! Surtout qu’elles ne semblent pas être si nombreuses et qu’elles ont toutes des enfants à protéger ! Fin au prochain épisode prévu en juillet.
  14. Titre de l'album : Mighty Mothers tome 2 Scenariste de l'album : KARASUYAMA Eiji Dessinateur de l'album : KARASUYAMA Eiji Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : Akane Honjô est employée le jour et assassin la nuit. C'est au jardin d'enfants « Pluie d'étoiles », auquel elle confie son fils, Shintarô, que cette mère célibataire prend son « service ». La nuit tombée, elle combat sans relâche le Jin'eikai, une organisation de malfrats responsable de nombreux sévices. Hélas, l'enlèvement de Shintarô par une tueuse à gages risque de compromettre sa quête de justice. Parviendra-t-elle à sauver son fils ?!Préparez-vous pour le deuxième tome de cette série bourrée d'action, où les hors-la-loi font la loi !Mighty Mothers est une oeuvre spectaculaire sublimée par le trait dynamique d'Eiji Karasuyama ! Critique : Akane a été repérée par la tueuse engagée par le Jin’Eikai, le clan de yakuzas ne recule devant rien pour régner sur la ville et se débarrasser de ses ennemis. Elle doit donc l’affronter tout en protégeant son fils qui a été pris en otage. Heureusement Akane n’est pas toute seule et tout le groupe de super et dangereuses mamans s’en va en guerre. En même temps que le manga soit un très bon récit d’action et de combats en tout genre (sabre, arme à feu…) il est aussi une vitrine plutôt terrifiante sur le monde de la pègre. On comprend que la justice et la police restent impuissantes face à de telles organisations qui ont des ramifications un peu partout et souvent dans les hautes sphères. En attendant la suite, nos héroïnes se retrouvent dans des situations compliquées et l’on se demande bien comment elles vont réussir à mettre de l’ordre dans tout ça ! Surtout qu’elles ne semblent pas être si nombreuses et qu’elles ont toutes des enfants à protéger ! Fin au prochain épisode prévu en juillet. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mighty-mothers-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. Nickad

    The far East incident tome 3

    Sous la direction du lieutenant général Miura ; les forces rebelles s’emparent des hommes politiques importants et essayent de les faire changer d’avis pour obtenir l’indépendance du Japon. Seulement devant de tels actes et violences, le groupe du GHQ (les pro-américains) dont font partie Saika et Kankurô font tout pour arrêter ce coup d’état. Les voilà partis pour des affrontements très armés et très dynamiques. Bien que la situation soit enfin maitrisée ce n’est que pour une courte durée, car leur véritable ennemi n’était pas Miura mais le chef du groupe 731 : Kuromori. Le côté historique du manga qui dépeint le Japon d’après seconde guerre mondiale, partagé entre les partisans pro-américains et les traditionalistes qui souhaitent plus ou moins un retour à la normale ou tout au moins une nouvelle indépendance est très intéressant. On ressent bien toutes les frictions qui existaient et également toute la difficulté pour les habitants lambda d’arriver à survivre. La place des soldats survivants est aussi mise en avant, n’oublions pas qu’avoir été fait prisonnier et être revenu au pays est un véritable déshonneur, nombreux sont ceux qui ont été reniés par leur famille ! A côté de ça, il y a l’aspect fantastique et action du manga qui, sans être inintéressant, apparaît parfois un peu fouillis. C’est d’autant plus marqué que le manga enchaine les actions, et que les images sont parfois trop chargées. The Far East Incident reste cependant un bon manga dynamique.
  16. Titre de l'album : The far East incident tome 3 Scenariste de l'album : OHUE Aguri Dessinateur de l'album : OHUE Aguri Coloriste : Editeur de l'album : VEGA Note : Résumé de l'album : Tandis que le GHQ reçoit la visite d'une journaliste cherchant à connaître la vérité sur les attentats perpétrés il y a peu, Kuromori et le groupe 731 oeuvrent dans l'ombre, tenant des conférences qui remettent en question l'arrêt de la guerre, et retournant la population contre le gouvernement et le GHQ. Nous en apprenons davantage sur le passé de Kuromori, qui réussit à rallier un nouvel allié à la cause de la milice Kiheitai... Grâce à ces manœuvres, la tension est à son comble alors que des émeutes se créent et qu'une guerre civile est sur le point d'éclater.. Critique : Sous la direction du lieutenant général Miura ; les forces rebelles s’emparent des hommes politiques importants et essayent de les faire changer d’avis pour obtenir l’indépendance du Japon. Seulement devant de tels actes et violences, le groupe du GHQ (les pro-américains) dont font partie Saika et Kankurô font tout pour arrêter ce coup d’état. Les voilà partis pour des affrontements très armés et très dynamiques. Bien que la situation soit enfin maitrisée ce n’est que pour une courte durée, car leur véritable ennemi n’était pas Miura mais le chef du groupe 731 : Kuromori. Le côté historique du manga qui dépeint le Japon d’après seconde guerre mondiale, partagé entre les partisans pro-américains et les traditionalistes qui souhaitent plus ou moins un retour à la normale ou tout au moins une nouvelle indépendance est très intéressant. On ressent bien toutes les frictions qui existaient et également toute la difficulté pour les habitants lambda d’arriver à survivre. La place des soldats survivants est aussi mise en avant, n’oublions pas qu’avoir été fait prisonnier et être revenu au pays est un véritable déshonneur, nombreux sont ceux qui ont été reniés par leur famille ! A côté de ça, il y a l’aspect fantastique et action du manga qui, sans être inintéressant, apparaît parfois un peu fouillis. C’est d’autant plus marqué que le manga enchaine les actions, et que les images sont parfois trop chargées. The Far East Incident reste cependant un bon manga dynamique. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-far-east-incident-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. Attention, si on remercie Meian de la sortie de cet arc inédit en France, il est à savoir que cet arc se passe APRÈS la série mère qui ressort en parallèle de celle-ci. Attention, car cette série raconte donc la fin de la série Puella Magi Madoka ! Cela mise à part, c'est avec plaisir que l'on retrouve Homura, seule à se souvenir de l'univers d'avant, combattre les spectres et nous montrer les nouvelles règles qui régissent les Puella Magi. Entre combat et filles de caractères, ceux qui auront aimé la première série apprécieront à n'en pas douter cette suite. Pour les autres je ne peux que conseiller de lire l'autre d'abord.
  18. Titre de l'album : Puella Magi madoka : l'arc des spectres T1 Scenariste de l'album : Hanokage Dessinateur de l'album : Hanokage Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Homura Akemi... Ce ne sont plus des sorcières, mais des spectres que les magical girls vont devoir terrasser. Tu en as le pouvoir... Les sorcières du passé, de l'avenir et du monde entier ont disparu. À la place, des spectres dévoreurs d'émotions humaines font leur apparition, semant la terreur en ville. Une nouvelle mission pour les Puella Magi, qui vont devoir utiliser leurs pouvoirs magiques pour tenter de les éradiquer, alors que les relations qui les unissent semblent se dégrader... Même sans elle, le combat continue... Critique : Attention, si on remercie Meian de la sortie de cet arc inédit en France, il est à savoir que cet arc se passe APRÈS la série mère qui ressort en parallèle de celle-ci. Attention, car cette série raconte donc la fin de la série Puella Magi Madoka ! Cela mise à part, c'est avec plaisir que l'on retrouve Homura, seule à se souvenir de l'univers d'avant, combattre les spectres et nous montrer les nouvelles règles qui régissent les Puella Magi. Entre combat et filles de caractères, ceux qui auront aimé la première série apprécieront à n'en pas douter cette suite. Pour les autres je ne peux que conseiller de lire l'autre d'abord. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/puella-magi-madoka-magica-l-arc-des-spectres-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. poseidon2

    Yawara t12

    Matsuda Mastuda Matsuda ! Sincèrement, il va falloir grandir un peu et se renseigner sur la psychologie féminine ! Scrogneugneu de scrogneugneu ! Ce tome 12 de Yawara est un tome qui tranche définitivement dans l'histoire amoureuse de Yawara. L'autre guignol d'entraineur est définitivement passé dans la case des salops de service et Yawara a ouvert les yeux sur Matsuda ! Enfin son cœur a fait le taf reste à son cerveau de le faire aussi ! Toujours aussi mignon et avec un décalage toujours présent entre l'aspect fleur bleue de l'histoire et le côté "surréaliste" des performances de Yawara au judo, ce tome 12 ce lit avec tendresse et envie. On connait tellement bien nos personnages qu'on a juste envi de les pousser un peu plus. Un peu comme on le ferait avec des amis. Ce tome 12 ayant dépassé la moitié de l'histoire (20 tomes), on en vient presque à se dire, a regret : plus que 8 tomes
  20. poseidon2

    Yawara t12

    Titre de l'album : Yawara t12 Scenariste de l'album : Naoki Urasawa Dessinateur de l'album : Naoki Urasawa Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Depuis toute petite, Yawara Inokuma a été entraînée par son grand-père Jigorô Inokuma, un champion de judo, qui voit en elle une future star de la discipline. Mais contrairement aux attentes de son aïeul, la jeune fille ne rêve que de mode, d’amour, d’idol... Bref, elle n’aspire qu’à une vie d’adolescente ordinaire, loin des entraînements et des compétitions. Mais c’est sans compter son talent inné pour le judo, que son entourage ne lui permettra pas d’oublier...! Critique : Matsuda Mastuda Matsuda ! Sincèrement, il va falloir grandir un peu et se renseigner sur la psychologie féminine ! Scrogneugneu de scrogneugneu ! Ce tome 12 de Yawara est un tome qui tranche définitivement dans l'histoire amoureuse de Yawara. L'autre guignol d'entraineur est définitivement passé dans la case des salops de service et Yawara a ouvert les yeux sur Matsuda ! Enfin son cœur a fait le taf reste à son cerveau de le faire aussi ! Toujours aussi mignon et avec un décalage toujours présent entre l'aspect fleur bleue de l'histoire et le côté "surréaliste" des performances de Yawara au judo, ce tome 12 ce lit avec tendresse et envie. On connait tellement bien nos personnages qu'on a juste envi de les pousser un peu plus. Un peu comme on le ferait avec des amis. Ce tome 12 ayant dépassé la moitié de l'histoire (20 tomes), on en vient presque à se dire, a regret : plus que 8 tomes Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/yawara-tome-12?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. Nickad

    Goodbye nameless Violin

    Oh que voilà une idée originale ! On avait déjà découvert certains titres où l’on pouvait entendre la voix des objets, communiquer avec eux mais celui-ci propose une idée inédite : si les objets sont suffisamment aimés au point de leur donner un nom, ils peuvent alors devenir vivants ! Ils prennent alors l’apparence d’animaux voire d’humains. Le problème qui risque alors d’arriver c’est le sentiment de perte quand ils se retrouvent cassés ou perdus. C’est le cas pour Sôsuke, un amoureux de la musique et du violon, qui a la suite d’une expérience douloureuse quand il était petit, ne souhaite plus nommer un seul objet et encore moins son violon. Mais le jour où il casse le sien et qu’il doit en acheter un nouveau, le voilà qu’il rencontre un violon humanoïde sans nom. L’on dit que pour faire de la belle musique qui touche les auditeurs il faut être en harmonie avec son instrument. Goodbye Nameless Violin a une façon très imagée et métaphorique de le faire car ce n’est que lorsque Sôsuke et son violon seront en parfaite harmonie de corps et d ‘esprit qu’ils feront la plus divine des musiques. Le manga propose également de très belles illustrations sur la transformation des instruments de musique quand ils passent d’objets à êtres vivants. Une histoire tout en finesse et sensibilité.
  22. Titre de l'album : Goodbye nameless Violin Scenariste de l'album : Ume-Chi Dessinateur de l'album : Ume-Chi Coloriste : Editeur de l'album : Taifu Note : Résumé de l'album : Imaginez un monde où les objets peuvent devenir des être vivants s'ils sont suffisamment aimés et qu'un nom leur ai donné... Sôsuke est un étudiant en musique qui, depuis un dertain drame, se refuse à donner un nom à ses instruments. Alors qu'il doit s'acheter un nouveau violon, il fait la rencontre d'un bel homme. Celui-ci s'avère être justement un violon qui a perdu son nom, et est donc promis à redevenir un bout de bois ordinaire dans un futur proche. Mais comment progresser dans son art sans s'attacher à son instrument, si excentrique soit-il ? Critique : Oh que voilà une idée originale ! On avait déjà découvert certains titres où l’on pouvait entendre la voix des objets, communiquer avec eux mais celui-ci propose une idée inédite : si les objets sont suffisamment aimés au point de leur donner un nom, ils peuvent alors devenir vivants ! Ils prennent alors l’apparence d’animaux voire d’humains. Le problème qui risque alors d’arriver c’est le sentiment de perte quand ils se retrouvent cassés ou perdus. C’est le cas pour Sôsuke, un amoureux de la musique et du violon, qui a la suite d’une expérience douloureuse quand il était petit, ne souhaite plus nommer un seul objet et encore moins son violon. Mais le jour où il casse le sien et qu’il doit en acheter un nouveau, le voilà qu’il rencontre un violon humanoïde sans nom. L’on dit que pour faire de la belle musique qui touche les auditeurs il faut être en harmonie avec son instrument. Goodbye Nameless Violin a une façon très imagée et métaphorique de le faire car ce n’est que lorsque Sôsuke et son violon seront en parfaite harmonie de corps et d ‘esprit qu’ils feront la plus divine des musiques. Le manga propose également de très belles illustrations sur la transformation des instruments de musique quand ils passent d’objets à êtres vivants. Une histoire tout en finesse et sensibilité. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/goodbye-nameless-violin?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. poseidon2

    Kengan Ashura T26-27 (fin)

    Snif snif.... je ne pensais pas être triste de voir cette série finir lorsque j'ai commencé la lecture. Je trouvais ça inutilement violent et pas forcément innovant. Mais à force de suivre les combats de Ohma et les aventure de Monsieur Yamashita, je me suis attaché aux personnages. J'attendais cette fin avec envie et un peu d'appréhension tellement les resultats des combats et l'avancée de ce tournoi aura été surprenant. Et bien autant vous dire que je ne m'étais pas trompé sur les surprises. Ces deux derniers tomes qui marquent la fin des demi-finales et la finale sont encore une fois super surprenants. Tant par les résultats que par la fin dont je ne dirais rien si ce n'est qu'elle est très belle au milieu d'un manga plein de testostérone. Nos auteurs ont aussi pris l partis de nous livrer un long épilogue, reprenant tous les protagonistes des 15 derniers tomes pour nous montrer leur évolution post tournoi Kengan. Un très agréable moyen de terminer… la première partie de l'histoire. En effet la toute fin du manga laisse une porte ouverte a une suite avec ds vrais méchants. Porte emprunté depuis 2019 avec le manga Kengan Omega qui compte 13 volumes. À voir si Meian va nous proposer cette suite... je l'espère.
  24. Titre de l'album : Kengan Ashura T26-27 (fin) Scenariste de l'album : Yabako Sandrovich Dessinateur de l'album : Daromeon Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : JE SUIS ENCORE DEVENU PLUS FORT... [Banque Dainippon] Établissement fondé au cours de la 15e année de l'ère Meiji (1882), il s'agit de la banque centrale du Japon. Ce n'est donc pas, stricto sensu, une véritable entreprise mais l'Association Kengan a participé à sa construction et elle est, par sa nature, très liée au gouvernement japonais. Son actuel directeur est le président de l'Association Kengan, Katahara Metsudô. TOI AUSSI... TU VEUX TE BATTRE? [Le style Niko] Style d'art martial axé autour de quatre branches de techniques et formé à partir de l'école Gaoh, un courant du jiu-jitsu classique. Gaoh Mukaku est son fondateur originel et chacun de ses différents héritiers ont modifié les techniques Critique : Snif snif.... je ne pensais pas être triste de voir cette série finir lorsque j'ai commencé la lecture. Je trouvais ça inutilement violent et pas forcément innovant. Mais à force de suivre les combats de Ohma et les aventure de Monsieur Yamashita, je me suis attaché aux personnages. J'attendais cette fin avec envie et un peu d'appréhension tellement les resultats des combats et l'avancée de ce tournoi aura été surprenant. Et bien autant vous dire que je ne m'étais pas trompé sur les surprises. Ces deux derniers tomes qui marquent la fin des demi-finales et la finale sont encore une fois super surprenants. Tant par les résultats que par la fin dont je ne dirais rien si ce n'est qu'elle est très belle au milieu d'un manga plein de testostérone. Nos auteurs ont aussi pris l partis de nous livrer un long épilogue, reprenant tous les protagonistes des 15 derniers tomes pour nous montrer leur évolution post tournoi Kengan. Un très agréable moyen de terminer… la première partie de l'histoire. En effet la toute fin du manga laisse une porte ouverte a une suite avec ds vrais méchants. Porte emprunté depuis 2019 avec le manga Kengan Omega qui compte 13 volumes. À voir si Meian va nous proposer cette suite... je l'espère. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/kengan-ashura-tome-27?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. poseidon2

    Masamune-kun's revenge t9

    On se demandait ce qu'il pouvait se passer maintenant que nos héros sortent ensemble. Et bien notre manga nous montre que sortir avec Aki n'est pas une fin en soi pour Masamune. En effet, l'objectif de notre héros ne serait-il pas plus de trouver l'amour ? Et si ce n'était pas avec Dame Aki qu'il allait le trouver ? Un changement intéressant du récit le ramenant plus dans le giron d'un shojo de base, mais étant une vraie belle façon de conclure cette histoire. 2 tomes pour conclure. Un chiffre qui semble honnête.
×
×
  • Créer...