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  1. Nickad

    Game of Familia tomes 4 et 5

    Le machiavélique Sasae a manipulé les différents enfants du roi de Daba afin qu’ils s’entretuent, pendant ce temps, il compte bien trouver le mécanisme qui bloque la magie. Mais il n’est pas le seul à être malin et il se retrouve à affronter le roi ! Tout finit bien pour la familia qui se retrouve à participer aux affaires politiques de Daba. Si les 3 femmes de la familia sont plus là pour le plaisir des yeux que pour l’avancée de l’histoire, Sasae lui est le personnage principal autour duquel tout s’articule. Il est le manipulateur de l’ombre qui s’occupe des sales besognes et qui semble toujours avoir un coup d’avance. Cela rend l’histoire très mature et un poil obscure. Comme il s’agit de survie avant tout et de protéger sa familia, ses décisions sont parfois très dures et son sens moral peut être remis en question. On en apprend plus sur son passé avec son père, qui en passant, était une belle ordure ! Toujours destiné à un lectorat adulte, ce sombre « héros » apporte une vraie nouveauté dans l’isekai, rend les situations plus denses et intenses. Mais attention, les ennemis de Sasae semblent être tout autant intelligents et les stratagèmes se multiplient. C’est bien aussi parfois d’avoir des méchants puissants et des affrontements complexes ! Un manga tout en action et bien rythmé.
  2. Titre de l'album : Game of Familia tomes 4 et 5 Scenariste de l'album : YAMAGUCHI Mikoto Dessinateur de l'album : D.P. Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Un nouvel arc commence ! En s'infiltrant dans l'État magique de Laiknel, Sasae va découvrir une puissance technologique allant à l'encontre de la morale humaine... ! L'ordre a enfin été rétabli à Daba, mais le répit de Sasae et sa famille sera de courte durée, car ils apprennent que les Dead Mells ont finalement brisé les derniers remparts de la forteresse nord et ont envahi le royaume. Suspectant que l'État magique de Laiknel pourrait être responsable d'avoir utilisé la force de l'armée des Dead Mells à son avantage, Sasae prétend vouloir inscrire Hinana dans leur école de magie pour infiltrer le pays avec elle et mener son enquête. Dans cette école où enseigne le plus puissant des Sorciers, Ode Seeker, ils vont tenter de percer le mystère entourant une étrange jeune fille et des expériences qui semblent conduites par l'école... Pour le bien de son pays, elle va offrir son corps au démon ! Que l'opération d'infiltration de l'école de magie commence !! Critique : Le machiavélique Sasae a manipulé les différents enfants du roi de Daba afin qu’ils s’entretuent, pendant ce temps, il compte bien trouver le mécanisme qui bloque la magie. Mais il n’est pas le seul à être malin et il se retrouve à affronter le roi ! Tout finit bien pour la familia qui se retrouve à participer aux affaires politiques de Daba. Si les 3 femmes de la familia sont plus là pour le plaisir des yeux que pour l’avancée de l’histoire, Sasae lui est le personnage principal autour duquel tout s’articule. Il est le manipulateur de l’ombre qui s’occupe des sales besognes et qui semble toujours avoir un coup d’avance. Cela rend l’histoire très mature et un poil obscure. Comme il s’agit de survie avant tout et de protéger sa familia, ses décisions sont parfois très dures et son sens moral peut être remis en question. On en apprend plus sur son passé avec son père, qui en passant, était une belle ordure ! Toujours destiné à un lectorat adulte, ce sombre « héros » apporte une vraie nouveauté dans l’isekai, rend les situations plus denses et intenses. Mais attention, les ennemis de Sasae semblent être tout autant intelligents et les stratagèmes se multiplient. C’est bien aussi parfois d’avoir des méchants puissants et des affrontements complexes ! Un manga tout en action et bien rythmé. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/game-of-familia-tome-5?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. poseidon2

    Blue Lock T1&2

    Avec la fin de la réédition de Slam Dunk, j'étais doucement en recherche d'un manga de sport. Et c'est là que j'ai vu l'offre d'été Pika : 3 mangas achetés, une serviette de plage offerte. Ayant des fanatiques de manga à la maison, cela faisait le cadeau facile, étant en pus à la bourre dans les ateliers des sorciers. J'ai donc jeté mon dévolue sur Blue Lock en espérant trouver un bon manga de foot. Et il se trouve que.... ben ce n'est pas vraiment un manga de foot. Un manga sur le foot oui mais pas vraiment de foot. On serait plutôt sur un manga de "Survival" en mode seul le plus fort survit sur fond de foot. Car c'est ce qui est surprenant : Le Blue Lock c'est Kholanta ! 300 jeunes sont rassemblés et un seul deviendra l'attaquant suprême, sur les cadavres des carrières des autres ! Et sur ces deux premiers tomes l'histoire passent vraiment bien. Enchainant les épreuves sportives mais éliminatoires, on découvre ici nos différents attaquants et notre héros est poussé dès le début dans ces derniers retranchements. Nos auteurs réussissent à nous fournir à la fois la montée en puissance sportive standard mais aussi le stress du Survival. Bref deux bons premiers tomes d'une belle série hybride qui change des parutions actuelles.
  4. poseidon2

    Blue Lock T1&2

    Titre de l'album : Blue Lock T1&2 Scenariste de l'album : Yûsuke Nomura Dessinateur de l'album : Muneyuki Kaneshiro Coloriste : Editeur de l'album : Pika Note : Résumé de l'album : Coupe du monde 2018, l'équipe de football du Japon est éliminée en huitièmes de finale... Ce nouvel échec incite l'Union japonaise de football à fonder le «Blue Lock» : un centre de formation révolutionnaire rassemblant les 300 meilleurs attaquants lycéens du pays. L'objectif du coach du Blue Lock, Jinpachi Ego, est clair : détecter l'unique attaquant qui écrasera tous ses rivaux par son talent et son hyper-individualisme ! Pour Yoichi Isagi, joueur bouillonnant encore inconnu, il n'y a pas d'alternative... S'il veut survivre au programme hautement sélectif qui l'attend, il devra abandonner le jeu collectif et se transcender pour devenir l'attaquant ultime ! Critique : Avec la fin de la réédition de Slam Dunk, j'étais doucement en recherche d'un manga de sport. Et c'est là que j'ai vu l'offre d'été Pika : 3 mangas achetés, une serviette de plage offerte. Ayant des fanatiques de manga à la maison, cela faisait le cadeau facile, étant en pus à la bourre dans les ateliers des sorciers. J'ai donc jeté mon dévolue sur Blue Lock en espérant trouver un bon manga de foot. Et il se trouve que.... ben ce n'est pas vraiment un manga de foot. Un manga sur le foot oui mais pas vraiment de foot. On serait plutôt sur un manga de "Survival" en mode seul le plus fort survit sur fond de foot. Car c'est ce qui est surprenant : Le Blue Lock c'est Kholanta ! 300 jeunes sont rassemblés et un seul deviendra l'attaquant suprême, sur les cadavres des carrières des autres ! Et sur ces deux premiers tomes l'histoire passent vraiment bien. Enchainant les épreuves sportives mais éliminatoires, on découvre ici nos différents attaquants et notre héros est poussé dès le début dans ces derniers retranchements. Nos auteurs réussissent à nous fournir à la fois la montée en puissance sportive standard mais aussi le stress du Survival. Bref deux bons premiers tomes d'une belle série hybride qui change des parutions actuelles. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/blue-lock-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. poseidon2

    Grand blue 13-14

    Franchement j’ai eu l’air de quoi moi ? Ça sert à quoi de faire des mangas aussi drôles en plein milieu d’une série ? Ça sert juste à me faire passer pour un grand benêt, rigolant tout seul au beau milieu d’un gymnase ! Blague à part, je pense que ces deux tomes sont peut-être les meilleurs de la série !!! On se retrouve durant 2 tomes avec uniquement nos quatre personnages principaux. Les quatre qui ont le même âge et qui partagent la même passion. Cela permet à notre auteur d’effectuer une vraie avancée dans les relations entre ces 4 personnages. Entre Kohei qui découvre que Pot de Peinture est amoureuse de Iori et Chisa qui se rend compte que sous ces airs de guignol, c’est finalement un mec plus que bien, nos aventures amoureuses sont relancer. Et cela alors même que Iori n’a, lui, rien remarquer. Et cela permettant surtout d’user et d’abuser de quiproquos plus drôles les uns que les autres. On se bidonne, on s’émeut et on profite de dessins sublimes des fonds marins de Kimitake Yoshioka. Bref deux tomes qui débutent et concluent la partie sur les vacances de nos quatre premières années et le fait de bien belle façon. On en veut encore !
  6. Titre de l'album : Grand blue 13-14 Scenariste de l'album : Kenji Inoue Dessinateur de l'album : Kimitake Yoshioka Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Sa force mentale est vraiment incroyable !! Iori, Kôhei et Chisa sont enfin arrivés aux Palaos ! Ils vont bientôt découvrir que même à l'étranger, le club ne rate pas une occasion de tourner toutes les situations en délire total ! C'est la durée de base qu'ils marquent sur les Love Hotels !! Chisa perd confiance en sa capacité à devenir monitrice de plongée, et Aina fait face à Kôhei qui semble avoir découvert qu'elle est amoureuse d'iori, et qui fait tout pour s'en mêler ! Critique : Franchement j’ai eu l’air de quoi moi ? Ça sert à quoi de faire des mangas aussi drôles en plein milieu d’une série ? Ça sert juste à me faire passer pour un grand benêt, rigolant tout seul au beau milieu d’un gymnase ! Blague à part, je pense que ces deux tomes sont peut-être les meilleurs de la série !!! On se retrouve durant 2 tomes avec uniquement nos quatre personnages principaux. Les quatre qui ont le même âge et qui partagent la même passion. Cela permet à notre auteur d’effectuer une vraie avancée dans les relations entre ces 4 personnages. Entre Kohei qui découvre que Pot de Peinture est amoureuse de Iori et Chisa qui se rend compte que sous ces airs de guignol, c’est finalement un mec plus que bien, nos aventures amoureuses sont relancer. Et cela alors même que Iori n’a, lui, rien remarquer. Et cela permettant surtout d’user et d’abuser de quiproquos plus drôles les uns que les autres. On se bidonne, on s’émeut et on profite de dessins sublimes des fonds marins de Kimitake Yoshioka. Bref deux tomes qui débutent et concluent la partie sur les vacances de nos quatre premières années et le fait de bien belle façon. On en veut encore ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/grand-blue-tome-14?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Nickad

    GRAY tome 1

    GRAY est LE super héros coréen, sa notoriété est même devenue mondiale et des touristes font le déplacement exprès dans l’espoir de l’apercevoir. Mais un jour, il tue le méga super vilain de la ville Pinoki. Tout super héros qu’il soit, un meurtre reste un meurtre et il se rend à la police. Devant l’inspecteur, il passe aux aveux, il revient sur ses débuts et comment il en est arrivé là. Gray s’est vraiment l’histoire à laquelle on ne s’attendait pas. C’est l’histoire d’un homme, Lee Seolwon, fan de super héros et président d’une société de jouets qui veut vendre du rêve aux enfants et aux adultes. Qui devant le manque d’enthousiasme de ses directeurs, monte un projet insensé pour faire vendre des produits dérivés : créer de toute pièce un super héros ! Mais pour que son personnage devienne une star, il faut qu’il devienne indispensable au pays en combattant les méchants. Et c’est encore mieux s’il y a un super vilain. C’est comme ça que le spectacle commence ! Un super plan orchestré de main de maître. Gray montre donc l’arrière du décor, la manipulation de l’opinion publique en fonction de la psychologie humaine. Tout est extrêmement bien pensé, tout est calculé pour que l’on voit que ce que le héros veut que l’on voit. Alors pourquoi en est-il arrivé au meurtre ? C’est toute la question et c’est toute l’histoire du livre. Avec un peu de Batman pour les accessoires, un peu de Kick Ass pour la mise en scène, Gray nous dévoile de sombres côtés : l’appât du gain, la crédulité des hommes, la facilité de se laisser mouvoir par les évènements sans chercher à comprendre… En tout cas c’est une approche intéressante des super-héros. Série finie en 3 tomes
  8. Nickad

    GRAY tome 1

    Titre de l'album : GRAY tome 1 Scenariste de l'album : WOOLLEE Dessinateur de l'album : WOOLLEE Coloriste : Editeur de l'album : KOYOHAN Note : Résumé de l'album : Lee Seolwon a toujours rêvé d'être un super-héros, au point qu'il fi nit par se faire fabriquer un véritable costume ! Mais un problème se pose alors, comment devenir un super-héros sans super-vilain ? Une seule solution : en créer un soi-même. Dis-nous, Gray, que se passerait-il si ton secret était dévoilé ? Critique : GRAY est LE super héros coréen, sa notoriété est même devenue mondiale et des touristes font le déplacement exprès dans l’espoir de l’apercevoir. Mais un jour, il tue le méga super vilain de la ville Pinoki. Tout super héros qu’il soit, un meurtre reste un meurtre et il se rend à la police. Devant l’inspecteur, il passe aux aveux, il revient sur ses débuts et comment il en est arrivé là. Gray s’est vraiment l’histoire à laquelle on ne s’attendait pas. C’est l’histoire d’un homme, Lee Seolwon, fan de super héros et président d’une société de jouets qui veut vendre du rêve aux enfants et aux adultes. Qui devant le manque d’enthousiasme de ses directeurs, monte un projet insensé pour faire vendre des produits dérivés : créer de toute pièce un super héros ! Mais pour que son personnage devienne une star, il faut qu’il devienne indispensable au pays en combattant les méchants. Et c’est encore mieux s’il y a un super vilain. C’est comme ça que le spectacle commence ! Un super plan orchestré de main de maître. Gray montre donc l’arrière du décor, la manipulation de l’opinion publique en fonction de la psychologie humaine. Tout est extrêmement bien pensé, tout est calculé pour que l’on voit que ce que le héros veut que l’on voit. Alors pourquoi en est-il arrivé au meurtre ? C’est toute la question et c’est toute l’histoire du livre. Avec un peu de Batman pour les accessoires, un peu de Kick Ass pour la mise en scène, Gray nous dévoile de sombres côtés : l’appât du gain, la crédulité des hommes, la facilité de se laisser mouvoir par les évènements sans chercher à comprendre… En tout cas c’est une approche intéressante des super-héros. Série finie en 3 tomes Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/gray-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. C’est marrant, ce manga commence exactement pareil que le webtoon Arena : des élèves partent faire un voyage scolaire en bus quand tout à coup, le bus est aspiré dans un autre monde ! Les voilà vendus au plus offrant en fonction de leur quantité de rudia : une énergie possédée par les humains qui permet de piloter des mecha-mages, des sortes de robots destinés au combat. Toute la classe a eu son niveau de rudia mesuré, c’est Yui Shirayuki la plus belle fille de la classe qui obtient le meilleur score (36 000) et Yûta, notre héros, amoureux de la belle, lui a le score de 2, n’ayant aucun intérêt pour aucun des pays, il est vendu comme esclave contre quelques noix. Vous vous en doutez, le niveau de rudia de Yûta, a été mal évalué, il va devoir se débrouiller dans ce monde où l’on n’est rien sans rudia, faire des rencontres en cours de route, monter son petit groupe et partir à l’aventure ! Un déroulement shonen assez classique. Mais il y a un autre aspect intéressant dans ce manga : c’est la valeur d’un être humain ! Ici le niveau de rudia définit les classes, tout à coup, des élèves quelconques vont se comporter comme des rois et traiter les plus faibles comme de la bouse. Il est facile de se laisser emporter par un nouveau pouvoir, nos héros arriveront-ils à garder leur humanité ? D’autant plus difficile qu’ils vont de voir combattre et ça dans des pays différents, leur amitié risque d’en souffrir… Mecha-mages est donc un bon shonen d’aventure avec des personnages attachants, qui a un dessin agréable et un rythme soutenu. D’ailleurs, je suis arrivée au bout de ce 1er tome en me disant quoi ? déjà fini ? ce qui est plutôt bon signe ! 4 tomes en cours
  10. Titre de l'album : Mecha-mages d'esclave à héros tome 1 Scenariste de l'album : RYOMA Dessinateur de l'album : CAMBRIA Bakuhatsu Taro , KUROI Susumu Coloriste : Editeur de l'album : Komikku Note : Résumé de l'album : Dans un autre monde, existent des machines appelées "mecha-mages" que seuls des hommes possédant une énergie particulière, baptisée "rudia", peuvent contrôler. Ses habitants ont l'habitude d'invoquer fréquemment des terriens de manière aléatoire pour faire d'eux les pilotes de ces machines. La raison est simple : les terriens possèdent des niveaux élevés de rudia. Un jour, la classe de Yûta se fait invoquer dans cet autre monde, mais le jeune garçon se retrouve avec un niveau de rudia incroyablement bas. Critique : C’est marrant, ce manga commence exactement pareil que le webtoon Arena : des élèves partent faire un voyage scolaire en bus quand tout à coup, le bus est aspiré dans un autre monde ! Les voilà vendus au plus offrant en fonction de leur quantité de rudia : une énergie possédée par les humains qui permet de piloter des mecha-mages, des sortes de robots destinés au combat. Toute la classe a eu son niveau de rudia mesuré, c’est Yui Shirayuki la plus belle fille de la classe qui obtient le meilleur score (36 000) et Yûta, notre héros, amoureux de la belle, lui a le score de 2, n’ayant aucun intérêt pour aucun des pays, il est vendu comme esclave contre quelques noix. Vous vous en doutez, le niveau de rudia de Yûta, a été mal évalué, il va devoir se débrouiller dans ce monde où l’on n’est rien sans rudia, faire des rencontres en cours de route, monter son petit groupe et partir à l’aventure ! Un déroulement shonen assez classique. Mais il y a un autre aspect intéressant dans ce manga : c’est la valeur d’un être humain ! Ici le niveau de rudia définit les classes, tout à coup, des élèves quelconques vont se comporter comme des rois et traiter les plus faibles comme de la bouse. Il est facile de se laisser emporter par un nouveau pouvoir, nos héros arriveront-ils à garder leur humanité ? D’autant plus difficile qu’ils vont de voir combattre et ça dans des pays différents, leur amitié risque d’en souffrir… Mecha-mages est donc un bon shonen d’aventure avec des personnages attachants, qui a un dessin agréable et un rythme soutenu. D’ailleurs, je suis arrivée au bout de ce 1er tome en me disant quoi ? déjà fini ? ce qui est plutôt bon signe ! 4 tomes en cours Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mecha-mages-d-esclave-a-heros-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. Nickad

    Goodbye Harlequin

    Au lycée Akino Kubo, un élève brillant qui s’ennuie dans la vie car son avenir est tout tracé, rencontre un jour Eichi Shimizu, redoublant à cause de ses absences liées à son métier de mannequin. Il est tout de suite attiré par ce garçon à la beauté froide et peu communicatif. Après une relation courte et osée, Shimizu quitte le lycée. Des années plus tard, Kubo, devenu styliste retrouve Shimizu et décide de faire de lui l’égérie de sa marque. Les deux personnages principaux ont tous les deux des situations familiales compliquées. Si dans le cas de Kubo, ce n’est pas dramatique et crée de la concurrence dans la fratrie, c’est beaucoup plus sérieux pour Shimizu. Le jeune homme a été marqué par des drames et des séparations douloureuses, il ne veut plus s’attacher à personne de peur de souffrir. Il est devenu mannequin dans l’espoir que sa véritable famille le voit. Hélas, si les bases de leurs caractères sont intéressantes, le manga peine à les exploiter. C’est pareil concernant leur relation qui découle d’un arrangement professionnel ou encore des personnages secondaires qui disparaissent aussi vite qu’ils sont arrivés. Le graphisme est très beau et très sensuel (à réserver à un public averti), les personnages sont élégants, et l’univers de la mode renforce le côté artistique du titre mais le scénario aurait pu être plus profond. On reste en survol la majorité du temps. En conclusion, Goodbye Harlequin est un manga plus agréable à regarder qu’à lire.
  12. Nickad

    Goodbye Harlequin

    Titre de l'album : Goodbye Harlequin Scenariste de l'album : KUSABI Keri Dessinateur de l'album : KUSABI Keri Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Le mannequin populaire Eichi Shimizu devient l'égérie masculine de la marque à l'avenir prometteur, Gallant Quartz. Mais il se rend très vite compte qu'il a en fait été recommandé par un ancien camarade de classe, Akino Kubo, avec lequel il avait eu un rapport sexuel. Critique : Au lycée Akino Kubo, un élève brillant qui s’ennuie dans la vie car son avenir est tout tracé, rencontre un jour Eichi Shimizu, redoublant à cause de ses absences liées à son métier de mannequin. Il est tout de suite attiré par ce garçon à la beauté froide et peu communicatif. Après une relation courte et osée, Shimizu quitte le lycée. Des années plus tard, Kubo, devenu styliste retrouve Shimizu et décide de faire de lui l’égérie de sa marque. Les deux personnages principaux ont tous les deux des situations familiales compliquées. Si dans le cas de Kubo, ce n’est pas dramatique et crée de la concurrence dans la fratrie, c’est beaucoup plus sérieux pour Shimizu. Le jeune homme a été marqué par des drames et des séparations douloureuses, il ne veut plus s’attacher à personne de peur de souffrir. Il est devenu mannequin dans l’espoir que sa véritable famille le voit. Hélas, si les bases de leurs caractères sont intéressantes, le manga peine à les exploiter. C’est pareil concernant leur relation qui découle d’un arrangement professionnel ou encore des personnages secondaires qui disparaissent aussi vite qu’ils sont arrivés. Le graphisme est très beau et très sensuel (à réserver à un public averti), les personnages sont élégants, et l’univers de la mode renforce le côté artistique du titre mais le scénario aurait pu être plus profond. On reste en survol la majorité du temps. En conclusion, Goodbye Harlequin est un manga plus agréable à regarder qu’à lire. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/goodbye-harlequin?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. Nickad

    Last mission : PK killer tome 1

    Nishiki, un jeune salarié, aime jouer aux jeux vidéo en réalité virtuelle. Depuis qu’il est petit son rêve est d’incarné un marchand dans un jeu d’heroic fantasy, hélas, il se rend vite compte que la classe marchand est dénigré et quand il se retrouve expulsé de la guilde, il décide de faire une dernière mission avant d’arrêter de jouer. Au cours de cette dernière mission, il va rencontrer une jeune joueuse de la classe « marchand » et surtout, n’ayant plus rien à perdre, il va se donner à fond pour éliminer les PK (Player killer : les joueurs qui s’en prennent aux autres joueurs pour leur dérober leurs biens et compétences). Il se découvre alors un penchant pour le combat. Dans le style de manga MMORPG, il y a évidemment Sword Art Online, la référence en la matière et puis il y en a plein d’autres, plus ou moins intéressants. Il y a deux points qui se démarquent dans Last mission : PK Killer. D’abord l’objectif de Nishiki, abandonnés son rêve et ses espoirs sur la classe « marchand », il va trouver une motivation pour éliminer les PK et laisse un peu de côté la quête principale du jeu. Ensuite, son attitude dans le jeu va avoir des répercussions directes dans sa vraie vie, il va se mettre à avoir des agissements qu’il n’avait pas avant. Etant donné que la série est terminée en 3 tomes, on suppose que c’est avant tout la transformation de Nishiki qui va être mise à l’honneur ; en espérant que cela soit vraiment le cas car si c’est juste le déroulé du MMORPG, l’intérêt n’est pas le même. En attendant d’en savoir plus, le manga est bien conçu, agréable à la lecture et au visuel et il est divertissant.
  14. Titre de l'album : Last mission : PK killer tome 1 Scenariste de l'album : AAA Dessinateur de l'album : HARADA Eri Coloriste : Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Nishiki, jeune salary man, accro aux jeux vidéo, fait partie de la classe des marchands dans son RPG en réalité virtuelle. Un jour, les joueurs de sa propre guilde décident de le virer car il ne leur est plus d'aucune utilité. Désabusé, il décide de se lancer dans une dernière quête avant de décrocher. Naît alors en lui une soif de combattre comme il n'en avait jamais connue auparavant ! Critique : Nishiki, un jeune salarié, aime jouer aux jeux vidéo en réalité virtuelle. Depuis qu’il est petit son rêve est d’incarné un marchand dans un jeu d’heroic fantasy, hélas, il se rend vite compte que la classe marchand est dénigré et quand il se retrouve expulsé de la guilde, il décide de faire une dernière mission avant d’arrêter de jouer. Au cours de cette dernière mission, il va rencontrer une jeune joueuse de la classe « marchand » et surtout, n’ayant plus rien à perdre, il va se donner à fond pour éliminer les PK (Player killer : les joueurs qui s’en prennent aux autres joueurs pour leur dérober leurs biens et compétences). Il se découvre alors un penchant pour le combat. Dans le style de manga MMORPG, il y a évidemment Sword Art Online, la référence en la matière et puis il y en a plein d’autres, plus ou moins intéressants. Il y a deux points qui se démarquent dans Last mission : PK Killer. D’abord l’objectif de Nishiki, abandonnés son rêve et ses espoirs sur la classe « marchand », il va trouver une motivation pour éliminer les PK et laisse un peu de côté la quête principale du jeu. Ensuite, son attitude dans le jeu va avoir des répercussions directes dans sa vraie vie, il va se mettre à avoir des agissements qu’il n’avait pas avant. Etant donné que la série est terminée en 3 tomes, on suppose que c’est avant tout la transformation de Nishiki qui va être mise à l’honneur ; en espérant que cela soit vraiment le cas car si c’est juste le déroulé du MMORPG, l’intérêt n’est pas le même. En attendant d’en savoir plus, le manga est bien conçu, agréable à la lecture et au visuel et il est divertissant. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/last-mission-pk-killer-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. Asako est un jeune policier qui a un don bien étrange, en allant sur des scènes de crimes, il peut ressentir les derniers instants de la victime. Non seulement il accède à ses pensées, à ses dernières paroles mais les traces des violences apparaissent alors sur son corps. Cela permet aux enquêteurs de trouver des indices sur les événements. Asako fait partie de la 6eme division et il travaille avec l’inspecteur Kurowa. Leurs relations commencent à changer au moment au la victime est l’ex-femme de Kurowa, Asako ne sait plus si ce qu’il ressent vient de lui ou de la défunte. Accèder à la dernière essence d’une victime de meurtre, on l’a déjà vu, mais c’était surtout des informations ou des visions, il n’y avait encore jamais eu l’apparition de stigmates. Ça c’est la première nouveauté, la seconde c’est le partage de sentiments entre la victime et Asako, ce mélange qui lui fait perdre pied sans savoir si ce sont ses propres sentiments ou ceux d’une autre. La trame du récit est innovante et intéressante. Le graphisme est inégal, parfois détaillé, il lui arrive d’être aussi épuré, c’est peut-être volontaire mais c’est plus difficile de s’immerger dans l’histoire. Quant aux sentiments des personnages (attention scènes érotiques), ils auraient pu être plus profonds, on reste dans une certaine incertitude. Globalement le manga nous apporte de la nouveauté mais il laisse un côté inachevé qui ne convainc pas vraiment.
  16. Titre de l'album : Stigmata - les empreintes de la passion tomes 1 et 2 (FIN) Scenariste de l'album : TAKAHASHI Hidebu Dessinateur de l'album : TAKAHASHI Hidebu Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : Depuis qu'il s'est installé chez Kuroiwa, Asako a de plus en plus de mal à contenir ses sentiments. Perturbé par ses rêves et visions, il ne sait plus comment se comporter avec son collègue, surtout que ce dernier fait parfois preuve d'une intimité troublante. Mais tandis que l'enquête sur l'assassinat de Mari piétine, une vieille photo pourrait donner les premiers éléments de réponse... Critique : Asako est un jeune policier qui a un don bien étrange, en allant sur des scènes de crimes, il peut ressentir les derniers instants de la victime. Non seulement il accède à ses pensées, à ses dernières paroles mais les traces des violences apparaissent alors sur son corps. Cela permet aux enquêteurs de trouver des indices sur les événements. Asako fait partie de la 6eme division et il travaille avec l’inspecteur Kurowa. Leurs relations commencent à changer au moment au la victime est l’ex-femme de Kurowa, Asako ne sait plus si ce qu’il ressent vient de lui ou de la défunte. Accèder à la dernière essence d’une victime de meurtre, on l’a déjà vu, mais c’était surtout des informations ou des visions, il n’y avait encore jamais eu l’apparition de stigmates. Ça c’est la première nouveauté, la seconde c’est le partage de sentiments entre la victime et Asako, ce mélange qui lui fait perdre pied sans savoir si ce sont ses propres sentiments ou ceux d’une autre. La trame du récit est innovante et intéressante. Le graphisme est inégal, parfois détaillé, il lui arrive d’être aussi épuré, c’est peut-être volontaire mais c’est plus difficile de s’immerger dans l’histoire. Quant aux sentiments des personnages (attention scènes érotiques), ils auraient pu être plus profonds, on reste dans une certaine incertitude. Globalement le manga nous apporte de la nouveauté mais il laisse un côté inachevé qui ne convainc pas vraiment. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/stigmata-les-empreintes-de-la-passion-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. Nickad

    Hana l'inaccessible tome 5

    Le nouveau personnage arrivé dans le tome 4 : Nagi, l’ancien chef de Hana a un gros problème de communication… enfin qu’avec Hana. Il est amoureux d’elle et perd ses moyens en sa présence, du coup, il parle peu et surtout en anglais. Hana se méprend constamment sur son attitude et interprète à sa façon. Ne se sentant pas à la hauteur (elle pense avoir beaucoup de chemin à faire professionnellement), elle décide de rompre avec Tsuyoshi. Si au début de la série, il y avait une redondance et une niaiserie que je trouvais énervantes, la suite avait fini par être agréable. Sans être un grand manga, l’histoire se lisait bien et le dessin réussi, surtout dans les expressions des personnages, y était pour beaucoup. Mais pourquoi le personnage de Nagi ?? On avait déjà Hana qui n’arrivait pas à s’exprimer, alors pourquoi ajouter un personnage dans le même style ? On sent que l’auteur a voulu ajouter une touche comique avec les quiproquos que cela engendre mais franchement, c’est lourd… Heureusement qu’il y a des personnages secondaires comme Ichigo qui permettent de faire avancer un peu le récit mais cela n’est pas suffisant, il y a un vrai problème d’équilibre entre l‘humour et la romance et je crains qu’on ne passe à côté des deux.
  18. Titre de l'album : Hana l'inaccessible tome 5 Scenariste de l'album : MURATA Koji Dessinateur de l'album : MURATA Koji Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : La super carte maîtresse du fabricant de pâtisseries traditionnelles, Mitsubachi, se nomme Hana Takamine et a vingt-sept ans ! Une belle jeune femme aussi douée qu'une écolière de CM2 pour ce qui est de l'amour !! Sa relation avec Tsuyoshi finit par passer de simples collègues à presque couple, mais suite au retour de Nagi Fudô, la légendaire carte maîtresse de l'entreprise Mitsubachi, Hana est en proie à une grande panique !! De plus, un voyage d'entreprise qui s'annonce très mouvementé, commence !! Critique : Le nouveau personnage arrivé dans le tome 4 : Nagi, l’ancien chef de Hana a un gros problème de communication… enfin qu’avec Hana. Il est amoureux d’elle et perd ses moyens en sa présence, du coup, il parle peu et surtout en anglais. Hana se méprend constamment sur son attitude et interprète à sa façon. Ne se sentant pas à la hauteur (elle pense avoir beaucoup de chemin à faire professionnellement), elle décide de rompre avec Tsuyoshi. Si au début de la série, il y avait une redondance et une niaiserie que je trouvais énervantes, la suite avait fini par être agréable. Sans être un grand manga, l’histoire se lisait bien et le dessin réussi, surtout dans les expressions des personnages, y était pour beaucoup. Mais pourquoi le personnage de Nagi ?? On avait déjà Hana qui n’arrivait pas à s’exprimer, alors pourquoi ajouter un personnage dans le même style ? On sent que l’auteur a voulu ajouter une touche comique avec les quiproquos que cela engendre mais franchement, c’est lourd… Heureusement qu’il y a des personnages secondaires comme Ichigo qui permettent de faire avancer un peu le récit mais cela n’est pas suffisant, il y a un vrai problème d’équilibre entre l‘humour et la romance et je crains qu’on ne passe à côté des deux. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/hana-l-inaccessible-tome-5?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. Nickad

    Des détectives au poil

    Un ancien policier devenu détective privé et un jeune assistant qui ressemble à un voyou sans en être un, et qui le don d’attirer les animaux, se retrouvent à enquêter plus souvent sur la disparition d’animaux domestiques que sur des affaires plus sérieuses (d’où le jeu de mot dans le titre « au poil » faisant référence à nos amis les bêtes). Inutile de s’appesantir sur l’histoire car il n’y a pas grand choses à en dire… Tout dans ce manga est moyen, l’histoire d’amour n’est pas développée, l’auteur nous avance des personnages différents mais leur caractère n’est pas exploité. Quant aux animaux… c’est anecdotique… Attention, il n’y a pas non plus d’éléments rédhibitoires et il est tout public (pas de scène de sexe) mais on s’ennuie ferme… Allez lire melty kiss plutôt…
  20. Titre de l'album : Des détectives au poil Scenariste de l'album : NOJI Dessinateur de l'album : NOJI Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Rô, un assistant brillant, travaille dans l'agence de détective Sako. Malgré son air menaçant et ses cheveux roses, il est adoré des animaux de compagnie et est la meilleure personne pour les retrouver en cas de disparition. Et surtout, il est fou amoureux de Fumika, son patron. Rô travaille d'arrache-pied pour soutenir Fumi à résoudre ses enquêtes, mais ne perd aucune occasion pour tenter de le faire chavirer... Critique : Un ancien policier devenu détective privé et un jeune assistant qui ressemble à un voyou sans en être un, et qui le don d’attirer les animaux, se retrouvent à enquêter plus souvent sur la disparition d’animaux domestiques que sur des affaires plus sérieuses (d’où le jeu de mot dans le titre « au poil » faisant référence à nos amis les bêtes). Inutile de s’appesantir sur l’histoire car il n’y a pas grand choses à en dire… Tout dans ce manga est moyen, l’histoire d’amour n’est pas développée, l’auteur nous avance des personnages différents mais leur caractère n’est pas exploité. Quant aux animaux… c’est anecdotique… Attention, il n’y a pas non plus d’éléments rédhibitoires et il est tout public (pas de scène de sexe) mais on s’ennuie ferme… Allez lire melty kiss plutôt… Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/des-detectives-au-poil?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. Nickad

    Call of the night tome 4

    Kô continue ses errances nocturnes avec Nazuna, cette fois ils vont donner un coup de main à Midori, une autre vampire qui travaille dans un maid café. Puis au hasard de la nuit, Kô va tomber sur son professeur principal ! J’étais curieuse de lire la suite de ce manga pour voir si le coup de cœur du début était passager ou non. Je suis ravie, la suite est dans la même veine que le début, cette même ambiance particulière qui rend la lecture agréable et prenante. Pourtant, si on regarde les sujets du manga, ses personnages, il n’y a rien d’extraordinaire, des vampires qui vivent tranquillement au milieu des humains, qui boivent du sang certes, mais modérément. Des adolescents, lassés du système scolaire qui trainent la nuit, des petites tranches de vie… Est-ce parce que tous ses petits bouts sont bien agencés ou parce que l’histoire se déroule en nocturne, là où le temps semble s’écouler différemment, là où l’on sort du quotidien répétitif, que le manga fait mouche ? Difficile à dire… Ce qui est sûr c’est que Call of the Night sait nous emmener dans des errances nocturnes inhabituelles, une ballade étrangement plaisante…
  22. Titre de l'album : Call of the night tome 4 Scenariste de l'album : KOTOYAMA Dessinateur de l'album : KOTOYAMA Coloriste : Editeur de l'album : Kurokawa Note : Résumé de l'album : Impossible de résister à l'appel de la nuit ! La nuit où Kô Yamori, collégien et éternel insomniaque, décide de sortir se promener seul, il fait la rencontre de Nazuna Nanakusa, une jolie vampire. Sa veillée seule avec elle va bouleverser le destin de Kô... Critique : Kô continue ses errances nocturnes avec Nazuna, cette fois ils vont donner un coup de main à Midori, une autre vampire qui travaille dans un maid café. Puis au hasard de la nuit, Kô va tomber sur son professeur principal ! J’étais curieuse de lire la suite de ce manga pour voir si le coup de cœur du début était passager ou non. Je suis ravie, la suite est dans la même veine que le début, cette même ambiance particulière qui rend la lecture agréable et prenante. Pourtant, si on regarde les sujets du manga, ses personnages, il n’y a rien d’extraordinaire, des vampires qui vivent tranquillement au milieu des humains, qui boivent du sang certes, mais modérément. Des adolescents, lassés du système scolaire qui trainent la nuit, des petites tranches de vie… Est-ce parce que tous ses petits bouts sont bien agencés ou parce que l’histoire se déroule en nocturne, là où le temps semble s’écouler différemment, là où l’on sort du quotidien répétitif, que le manga fait mouche ? Difficile à dire… Ce qui est sûr c’est que Call of the Night sait nous emmener dans des errances nocturnes inhabituelles, une ballade étrangement plaisante… Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/call-of-the-night-tome-4?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. Nickad

    Laisse-moi te détester tome 2

    Naoto et Hazuki sont devenus partenaires, ils mènent une petite vie tranquille avec leurs deux enfants. Il y a bien les petits soucis du quotidien et des doutes, notamment Naoto s’inquiète de la relation entre sa fille Shizuku et son nouveau père, mais rien qui ne soit dramatique. Seulement un jour, Naoto croise celui qui l’avait agressé autrefois et qui pourrait bien être le vrai père de Shiziku. Encore une fois, l’histoire dépasse le cadre du omegaverse, car au travers de ce contexte, le manga aborde des thèmes sérieux et importants. La peur que le nouveau conjoint n’accepte pas les enfants issus d’un autre homme, la confiance dans l’autre, la communication, la peur d’être rejeté et surtout l’affrontement d’une victime face à son bourreau. Le graphisme est réussi et met en valeur toute cette palette de sentiments, le scénario est bien mené, on ne voit pas le temps passé. Mais surtout c’est une histoire touchante, avec sa part de tristesse mais qui montre des personnages prêts à tout pour s’accorder un droit au bonheur.
  24. Titre de l'album : Laisse-moi te détester tome 2 Scenariste de l'album : HIJIKI Dessinateur de l'album : HIJIKI Coloriste : Editeur de l'album : Taifu Note : Résumé de l'album : Après être devenu le partenaire de Hazuki, Naoto a donné naissance à un nouvel enfant. Minato. Formant désormais une famille de quatre membres avec Shizuku, les deux hommes filent le parfait amour. Cependant, Naoto est sur le point de faire face à nouveau à son passé traumatisant... Critique : Naoto et Hazuki sont devenus partenaires, ils mènent une petite vie tranquille avec leurs deux enfants. Il y a bien les petits soucis du quotidien et des doutes, notamment Naoto s’inquiète de la relation entre sa fille Shizuku et son nouveau père, mais rien qui ne soit dramatique. Seulement un jour, Naoto croise celui qui l’avait agressé autrefois et qui pourrait bien être le vrai père de Shiziku. Encore une fois, l’histoire dépasse le cadre du omegaverse, car au travers de ce contexte, le manga aborde des thèmes sérieux et importants. La peur que le nouveau conjoint n’accepte pas les enfants issus d’un autre homme, la confiance dans l’autre, la communication, la peur d’être rejeté et surtout l’affrontement d’une victime face à son bourreau. Le graphisme est réussi et met en valeur toute cette palette de sentiments, le scénario est bien mené, on ne voit pas le temps passé. Mais surtout c’est une histoire touchante, avec sa part de tristesse mais qui montre des personnages prêts à tout pour s’accorder un droit au bonheur. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/laisse-moi-te-detester-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. poseidon2

    Bucket list of the dead tome 8

    Premier tome un peu décevant pour une de mes séries de détentes. Après un tome 7 hilarant avec une partie dans l'hôtel magique et un 6 a fond avec la protection du village, ce tome 8 se trouve être un peu plat. On enchaine les scènettes de découverte du Japon mais on est un peu comme notre héros dans la meilleure histoire de ce tome : blasé. Ok on a des zombies. Ok ils font des trucs rigolos mais ils en ont fait plein déjà. Si lui retrouve la motivation, on espère bien qu'il en ait suffisamment pour nous redonner un coup de booster dans le tome 9 sous peine de s'endormir.
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