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  1. Vous pensiez que le premier tome était n’importe quoi ? Que nos auteurs avaient tout donné et que vous vous ennuieriez ? Et bien que nenni. Le WTF semble ne pas avoir de limite et ce Killer Shark in another world est en train de nous le prouver. Ce tome deux est pire que le premier. Pire en termes de scénario et de logique. C’est vraiment n’importe quoi, mais c’est suffisamment drôle pour que l’on aime ça ! Cette série laissera sûrement beaucoup de lecteurs froids, mais si vous avez aimé le premier, ou si vous avez vu Sharknadao, Avalanche Shark, l'attaque du requin à trois têtes (et plein d'autre), vous adorerez à coup sûr cet tome 2 !
  2. Titre de l'album : Killer shark in another world t2 Scenariste de l'album : Kuboken Dessinateur de l'album : Kuboken Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Same fonce tête baissée pour affronter le crocodile géant du lac !! Dans la capitale, il donne tout ce qu'il a face a un général démoniaque contrôlant le feu !!Chaque combat le rend un peu plus fort !!Après avoir réduit en bouillie le général démoniaque Apapanelle, Shiromi et Same reprennent leur voyage... Mais alors qu'elle se rend à la capitale, elle est arrêtée par des gardes qui la prennent pour une criminelle ! Miraculeusement sauvée par Same, elle se croit tirée d'affaire... Et pile à ce moment...Un autre général démoniaque déboule sur sa moto flambante neuve !! Critique : Vous pensiez que le premier tome était n’importe quoi ? Que nos auteurs avaient tout donné et que vous vous ennuieriez ? Et bien que nenni. Le WTF semble ne pas avoir de limite et ce Killer Shark in another world est en train de nous le prouver. Ce tome deux est pire que le premier. Pire en termes de scénario et de logique. C’est vraiment n’importe quoi, mais c’est suffisamment drôle pour que l’on aime ça ! Cette série laissera sûrement beaucoup de lecteurs froids, mais si vous avez aimé le premier, ou si vous avez vu Sharknadao, Avalanche Shark, l'attaque du requin à trois têtes (et plein d'autre), vous adorerez à coup sûr cet tome 2 ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/killer-shark-in-another-world-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. poseidon2

    kuma kuma bear t6

    Une armée de monstre menace le Royaume ? 10 000 monstres au moins ? Rien qui ne soit très dérangeant pour notre héroïne ours. Enfin moins que de devoir préparer en urgence des flans aux œufs pour la réception du Roi ! Bon, vous l’aurez compris, on ne change pas de régime dans ce tome 6 avec une héroïne ours toujours aussi puissante et toujours aussi prévenante, ne cherchant jamais à se mettre en avant. Une histoire sans soucis qui voit ce manga pour jeune lecteur ne rien changer à son style pour continuer à plaire aux plus petits des lecteurs de manga. Un manga qui reste intéressant au bout de 6 tomes en ciblant un public de 6-10 ans, c'est assez rare pour être souligné ! Bravo
  4. Titre de l'album : kuma kuma bear t6 Scenariste de l'album : Kumanano Dessinateur de l'album : Sergei / 029 Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Après avoir combattu seule 10 000 monstres, notre ourse devra confectionner des flans ?? Yuna vient d'un autre monde et possède des pouvoirs inimaginables. Seule, elle va affronter 10 000 monstres qui se dirigent vers la Capitale Royale afin de protéger Cliff, le seigneur de Crimonia. Pendant ce temps, le magicien à l'origine de cette attaque fait face au roi. Quant à elles, Fina, Noir et Misa, les ferventes admiratrices des ours, partagent un grand secret, mais lequel ?! Critique : Une armée de monstre menace le Royaume ? 10 000 monstres au moins ? Rien qui ne soit très dérangeant pour notre héroïne ours. Enfin moins que de devoir préparer en urgence des flans aux œufs pour la réception du Roi ! Bon, vous l’aurez compris, on ne change pas de régime dans ce tome 6 avec une héroïne ours toujours aussi puissante et toujours aussi prévenante, ne cherchant jamais à se mettre en avant. Une histoire sans soucis qui voit ce manga pour jeune lecteur ne rien changer à son style pour continuer à plaire aux plus petits des lecteurs de manga. Un manga qui reste intéressant au bout de 6 tomes en ciblant un public de 6-10 ans, c'est assez rare pour être souligné ! Bravo Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/kuma-kuma-kuma-bear-tome-6/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. Nickad

    Bienvenue chez Ginmokusei tome 1

    Ubuki est un jeune homme qui a décidé de reprendre la boutique de son grand-père, un tailleur spécialisé dans la fabrication de costumes sur mesure ou semi-mesure. Hélas, plus le temps passe et plus rare se font les clients, jusqu’au jour où il ne vient plus personne. Un peu désespéré, Ubuki continue de venir et fait même des promotions. C’est là qu’un bel homme entre dans sa boutique et commence à pointer du doigt tout ce qui ne va pas, il lui demande alors de l’embaucher pour l’aider à sauver la boutique. Ubuki n’a pas le temps de dire quoi que ce soit que le voilà emporté par Théo. C’est peut-être parce que l’histoire parle de costumes dans une boutique assez luxueuse mais le graphisme est très élégant, les personnages savent se tenir et ils sont séduisants. Après, on a plus l’impression d’être dans un manga « tranche de vie » que dans un yaoi car à part leur 1ère rencontre qui n’est pas vraiment montrée dans le livre, on ne ressent pas la romance. Une histoire d’amitié qui commence à se développer, surtout parce que Théo aide beaucoup Ubuki et que la confiance s’installe, mais pas vraiment d’amour dans ce 1er tome. Ensuite, et c’est le petit reproche que je ferai au livre, c’est le manque d’attrait. Les personnages sont beaux, il y a un vrai scenario mais on a du mal à entrer dans le récit, il n’y a pas l’étincelle qui donne envie de le dévorer. C’est peut-être la mise en place de l’histoire mais il n’y a que 2 tomes en tout, autant dire que le second tome sera déterminant !
  6. Titre de l'album : Bienvenue chez Ginmokusei tome 1 Scenariste de l'album : MAMITA Dessinateur de l'album : MAMITA Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Après le décès de son grand-père, propriétaire d'une boutique de costumes appelée Ginmokusei, dans le quartier luxueux de Ginza, Ubuki décide de reprendre son affaire pour l'empêcher de fermer. Mais lui-même n'est pas tailleur de profession, et les clients se font rares au point que la faillite menace... Jusqu'au jour où Théo, un homme avec qui il a passé une nuit quelque temps plus tôt, débarque dans la boutique et décide subitement de l'aider. Sous l'impulsion de Théo et de ses stratégies marketing, le vent commence à tourner, mais Ubuki, qui ne fait pas de bénéfices, le prévient qu'il ne pourra pas lui payer de salaire. Ce qui ne dérange pas Théo, qui demande à se faire payer avec un baiser... Ubuki peut-il véritablement faire confiance à cet homme mystérieux ? Pour quelle raison Théo a-t-il décidé de l'aider ? Ensemble, arriveront-ils à sauver la boutique ? Critique : Ubuki est un jeune homme qui a décidé de reprendre la boutique de son grand-père, un tailleur spécialisé dans la fabrication de costumes sur mesure ou semi-mesure. Hélas, plus le temps passe et plus rare se font les clients, jusqu’au jour où il ne vient plus personne. Un peu désespéré, Ubuki continue de venir et fait même des promotions. C’est là qu’un bel homme entre dans sa boutique et commence à pointer du doigt tout ce qui ne va pas, il lui demande alors de l’embaucher pour l’aider à sauver la boutique. Ubuki n’a pas le temps de dire quoi que ce soit que le voilà emporté par Théo. C’est peut-être parce que l’histoire parle de costumes dans une boutique assez luxueuse mais le graphisme est très élégant, les personnages savent se tenir et ils sont séduisants. Après, on a plus l’impression d’être dans un manga « tranche de vie » que dans un yaoi car à part leur 1ère rencontre qui n’est pas vraiment montrée dans le livre, on ne ressent pas la romance. Une histoire d’amitié qui commence à se développer, surtout parce que Théo aide beaucoup Ubuki et que la confiance s’installe, mais pas vraiment d’amour dans ce 1er tome. Ensuite, et c’est le petit reproche que je ferai au livre, c’est le manque d’attrait. Les personnages sont beaux, il y a un vrai scenario mais on a du mal à entrer dans le récit, il n’y a pas l’étincelle qui donne envie de le dévorer. C’est peut-être la mise en place de l’histoire mais il n’y a que 2 tomes en tout, autant dire que le second tome sera déterminant ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/bienvenue-chez-ginmokusei-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Nickad

    Roll over & Die tomes 1 et 2

    Chaque humain de ce monde de fantasy a un attribut à la naissance qui lui confère des aptitudes particulières. Flamme Abricot est une jeune fille qui fait partie de la troupe du héros destinée à vaincre le roi démon, son attribut « inversion » n’a jamais été utile et ses statistiques sont nulles. Un jour, Gene Intège, un autre membre de cette troupe, lui appose la marque des esclaves et la vend, prétextant qu’elle est devenue un fardeau et que toute la troupe a donné son accord pour cette issue. Flamme sur le point de mourir utilise une épée maudite et réussit à s’évader en emmenant avec elle, Milkitte, une autre jeune fille esclave assez énigmatique. J’avais déjà vu un anime sur un membre de la troupe de héros injustement chassé qui finissait par trouver sa voie et dont l’absence avait de lourdes conséquences pour le héros. Si l’histoire a des parties similaires, Roll over & Die est bien plus sombre et dramatique. Peu à peu Flamme va découvrir de drôles de choses, des monstres étranges qui ne devraient pas exister, des secrets de l’Eglise originelle qui vont la mettre en danger. Avec Milkitte, elles vont faire des rencontres et se rendre compte que les apparences sont souvent trompeuses. Roll over & Die est un manga d’aventure fantastique efficace qui promet beaucoup. Ces deux premiers tomes sèment plusieurs graines de développement intéressantes qui semblent vouloir donner à l’histoire une dimension plus profonde que la fantasy classique. Il est cependant à réserver à un public mature, certaines scènes étant assez violentes. Le graphisme est parfaitement adapté et détaillé, il rend très bien les différentes ambiances. A suivre. Trailer
  8. Titre de l'album : Roll over & Die tomes 1 et 2 Scenariste de l'album : KIKI Dessinateur de l'album : MINAKATA Sunao / KINTA Coloriste : Editeur de l'album : Mahô Note : Résumé de l'album : Jamais tu ne vaincras le roi démon ! Simple fille de la campagne, Flamme Abricot a été choisie pour rejoindre la troupe du héros malgré ses statistiques à zéro et une compétence qu'elle ne peut utiliser. Devenue un fardeau pour ses coéquipiers, elle se retrouve abandonnée et vendue à un marchand d'esclaves. Pour échapper au sadisme de son geôlier et à une mort certaine, Flamme fait le choix désespéré d'attraper une arme maudite... C'est alors que quelque chose de nouveau se réveille en elle. Critique : Chaque humain de ce monde de fantasy a un attribut à la naissance qui lui confère des aptitudes particulières. Flamme Abricot est une jeune fille qui fait partie de la troupe du héros destinée à vaincre le roi démon, son attribut « inversion » n’a jamais été utile et ses statistiques sont nulles. Un jour, Gene Intège, un autre membre de cette troupe, lui appose la marque des esclaves et la vend, prétextant qu’elle est devenue un fardeau et que toute la troupe a donné son accord pour cette issue. Flamme sur le point de mourir utilise une épée maudite et réussit à s’évader en emmenant avec elle, Milkitte, une autre jeune fille esclave assez énigmatique. J’avais déjà vu un anime sur un membre de la troupe de héros injustement chassé qui finissait par trouver sa voie et dont l’absence avait de lourdes conséquences pour le héros. Si l’histoire a des parties similaires, Roll over & Die est bien plus sombre et dramatique. Peu à peu Flamme va découvrir de drôles de choses, des monstres étranges qui ne devraient pas exister, des secrets de l’Eglise originelle qui vont la mettre en danger. Avec Milkitte, elles vont faire des rencontres et se rendre compte que les apparences sont souvent trompeuses. Roll over & Die est un manga d’aventure fantastique efficace qui promet beaucoup. Ces deux premiers tomes sèment plusieurs graines de développement intéressantes qui semblent vouloir donner à l’histoire une dimension plus profonde que la fantasy classique. Il est cependant à réserver à un public mature, certaines scènes étant assez violentes. Le graphisme est parfaitement adapté et détaillé, il rend très bien les différentes ambiances. A suivre. Trailer Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/roll-over-and-die-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. poseidon2

    Yawara t11

    Titre de l'album : Yawara t11 Scenariste de l'album : Naoki Urasawa Dessinateur de l'album : Naoki Urasawa Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Depuis toute petite, Yawara Inokuma a été entraînée par son grand-père Jigorô Inokuma, un champion de judo, qui voit en elle une future star de la discipline. Mais contrairement aux attentes de son aïeul, la jeune fille ne rêve que de mode, d’amour, d’idol... Bref, elle n’aspire qu’à une vie d’adolescente ordinaire, loin des entraînements et des compétitions. Mais c’est sans compter son talent inné pour le judo, que son entourage ne lui permettra pas d’oublier...! Critique : MMmmmhhhhhhhhhhhhhhh decidement qu’est-ce que c’est bien Yawara. Une dose de poésie et de romantisme dans un monde de brut. Avec la fin de Saotome, Yawara est mon petit moment de romance. Et encore plus dans ce tome 11. Avec l’arrivée des championnats du monde, Urasawa joue avec merveille la carte de l’amoureuse qui ne comprend pas ce qui lui arrive. L’absence soudaine de Matsuda trouble complètement notre Yawara sans qu’elle comprenne vraiment ce qui lui arrive. L’impact sur les combats est immédiat et notre héroïne est sauvée de justesse, mais les bons conseils de ses amies Judy et la surprenante Yoko. Une love story sans émotions outrageantes, ça se démarque dans le manga et cela nous offre la plus mignonne des séries. Kana a décidément bien fait d'éditer ce premier succès de Maitre Urasawa qui nous promet en 9 tomes de rafraichissement. Maintenant court Mastuda ! Court ! la finale va commencer ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/yawara-tome-11?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. poseidon2

    Yawara t11

    MMmmmhhhhhhhhhhhhhhh decidement qu’est-ce que c’est bien Yawara. Une dose de poésie et de romantisme dans un monde de brut. Avec la fin de Saotome, Yawara est mon petit moment de romance. Et encore plus dans ce tome 11. Avec l’arrivée des championnats du monde, Urasawa joue avec merveille la carte de l’amoureuse qui ne comprend pas ce qui lui arrive. L’absence soudaine de Matsuda trouble complètement notre Yawara sans qu’elle comprenne vraiment ce qui lui arrive. L’impact sur les combats est immédiat et notre héroïne est sauvée de justesse, mais les bons conseils de ses amies Judy et la surprenante Yoko. Une love story sans émotions outrageantes, ça se démarque dans le manga et cela nous offre la plus mignonne des séries. Kana a décidément bien fait d'éditer ce premier succès de Maitre Urasawa qui nous promet en 9 tomes de rafraichissement. Maintenant court Mastuda ! Court ! la finale va commencer !
  11. poseidon2

    Rebuild the world t2

    En voilà une série qui a du potentiel. En contrepieds de ce que l’on pourrait attendre, notre série s’éloigne drastiquement du shonen de base avec un personnage principale qui se durcit, n’hésite plus à tuer les autres chasseurs. Un changement qui permet à notre histoire d’avancer à grand pas avec une progression impressionnante et une évolution toujours en cours. On est passionné par une histoire qui nous offre de belles promesses d’évolution, un héros à l’évolution étonnante et une IA qui semble encore nous cacher beaucoup de chose. Un excellent manga d’action
  12. Titre de l'album : Rebuild the world t2 Scenariste de l'album : Kirihito Ayamura Dessinateur de l'album : Kirihito Ayamura Coloriste : Editeur de l'album : VEGA Note : Résumé de l'album : Alpha passe à la phase « entraînement » et influe sur le corps du jeune Akira. Elle le pousse à communiquer par télépathie, dote sa vue d'une fonction zoom, l'entraîne aux techniques de tir. Akira devient vite un redoutable combattant atteignant le rang 10 et se trouvant de fait intégré à la Fédération des Chasseurs, un regroupement des plus performants d'entre eux. Mais, alors qu'il explore les ruines de l'ancien monde, il vient en aide à deux chasseuses, agressées par une autre troupe de chasseurs. Critique : En voilà une série qui a du potentiel. En contrepieds de ce que l’on pourrait attendre, notre série s’éloigne drastiquement du shonen de base avec un personnage principale qui se durcit, n’hésite plus à tuer les autres chasseurs. Un changement qui permet à notre histoire d’avancer à grand pas avec une progression impressionnante et une évolution toujours en cours. On est passionné par une histoire qui nous offre de belles promesses d’évolution, un héros à l’évolution étonnante et une IA qui semble encore nous cacher beaucoup de chose. Un excellent manga d’action Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/rebuild-the-world-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. Nickad

    Arnaque corporelle

    Hajime a de nombreuses dettes, afin de l’aider à rembourser plus rapidement, son ami lui propose de travailler en tant que technicien sur les tournages de vidéo porno gay. Mais décontenancé devant ce qui se passe sous ses yeux, il fait une bourde, interrompt le tournage et se retrouve encore plus endetté. C’est là qu’on lui propose de devenir lui-même acteur. Comme il n’y connaît rien, l’acteur star de la compagnie va lui apprendre les ficelles pour qu’il soit prêt pour sa première. Résolument réservé à un public adulte, le manga exploite très bien l’histoire d’un employé quelconque qui se retrouve « piégé » dans ce milieu. Mais l’auteur se concentre aussi beaucoup sur la relation naissante entre le novice et l’expérimenté. Donc même s’il montre quelques facettes du milieu X, c’est avant tout la romance qui l’intéresse, et il fait plutôt ça bien. L’histoire est tout à fait crédible, le graphisme est parfait et montre des hommes séduisants sans être efféminés avec ce qu’il faut où il faut (je parle des muscles !). Il y a un juste équilibre entre les scènes érotiques et les tranches de vie. Un manga plaisant.
  14. Nickad

    Arnaque corporelle

    Titre de l'album : Arnaque corporelle Scenariste de l'album : AKIRA Roji Dessinateur de l'album : AKIRA Roji Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Endetté comme jamais auparavant, Hajime se retrouve à travailler les week-ends... Au départ engagé comme assistant technicien sur un plateau de tournage de vidéos érotiques, le jeune brun se retrouve finalement avec une nouvelle dette sur le dos... et un nouveau rôle : acteur porno ! Critique : Hajime a de nombreuses dettes, afin de l’aider à rembourser plus rapidement, son ami lui propose de travailler en tant que technicien sur les tournages de vidéo porno gay. Mais décontenancé devant ce qui se passe sous ses yeux, il fait une bourde, interrompt le tournage et se retrouve encore plus endetté. C’est là qu’on lui propose de devenir lui-même acteur. Comme il n’y connaît rien, l’acteur star de la compagnie va lui apprendre les ficelles pour qu’il soit prêt pour sa première. Résolument réservé à un public adulte, le manga exploite très bien l’histoire d’un employé quelconque qui se retrouve « piégé » dans ce milieu. Mais l’auteur se concentre aussi beaucoup sur la relation naissante entre le novice et l’expérimenté. Donc même s’il montre quelques facettes du milieu X, c’est avant tout la romance qui l’intéresse, et il fait plutôt ça bien. L’histoire est tout à fait crédible, le graphisme est parfait et montre des hommes séduisants sans être efféminés avec ce qu’il faut où il faut (je parle des muscles !). Il y a un juste équilibre entre les scènes érotiques et les tranches de vie. Un manga plaisant. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/arnaque-corporelle?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. Mais qu'est-ce que c'est encore très bon. Émotionnellement, c'est juste magique avec des "presque" retrouvailles en mode montagne russe. Scenaristiquement c'est un des tournants de notre histoire avec une explication de la vie du concepteur de l'aqua Vitae et du pourquoi de cette guerre entre Shirogame et Automates. Seul point qui pourra paraitre negatif à certains : on ne voit que très peu nos amis du cirque Nagamuchi. L'histoire de Bai Jin et son frère est si dense et interessante, tout comme les combats avec des automates d'un autre calibre, que l'on en oublie presque l'existence de notre petit cirque. Un vrai bon et long moment de lecture. On dirait presque un bouquin illustré. Et si le contenu est super interessant en terme d'histoire, le cliffhanger de fin de cu tome 10 est juste insoutenable et une vrai rampe de lancement ppour de sacré combat à venir ! Un conseil, ne finissez pas sur le 10.... ayez le 11 sous le coude!
  16. Titre de l'album : Karakuri Circus perfect édition t9&10 Scenariste de l'album : Kazuhiro Fujita Dessinateur de l'album : Kazuhiro Fujita Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Au coeur du cirque des automates, en un instant ! Alors qu'ils sont en route pour la Chine, Narumi et ses amis sont attaqués par des automates en plein vol ! Comment vont-ils faire pour se battre à l'intérieur de l'appareil, désormais transformé en un véritable champ de bataille ?! Et voilà maintenant que les destinées de Narumi, Shirogané et Masaru se croisent à nouveau ? Ainsi commence à se dévoiler avec violence la plus épique des histoires... Critique : Mais qu'est-ce que c'est encore très bon. Émotionnellement, c'est juste magique avec des "presque" retrouvailles en mode montagne russe. Scenaristiquement c'est un des tournants de notre histoire avec une explication de la vie du concepteur de l'aqua Vitae et du pourquoi de cette guerre entre Shirogame et Automates. Seul point qui pourra paraitre negatif à certains : on ne voit que très peu nos amis du cirque Nagamuchi. L'histoire de Bai Jin et son frère est si dense et interessante, tout comme les combats avec des automates d'un autre calibre, que l'on en oublie presque l'existence de notre petit cirque. Un vrai bon et long moment de lecture. On dirait presque un bouquin illustré. Et si le contenu est super interessant en terme d'histoire, le cliffhanger de fin de cu tome 10 est juste insoutenable et une vrai rampe de lancement ppour de sacré combat à venir ! Un conseil, ne finissez pas sur le 10.... ayez le 11 sous le coude! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/karakuri-circus-tome-9-perfect-edition?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. Déroutant et perplexe, ce sont les deux adjectifs que j’associerai à cette lecture. Déroutant en premier car on pense marcher sur un chemin puis on en change, puis on y revient. On ne sait pas vraiment où l’on se trouve, dans un rêve, dans la réalité, dans une histoire dans l’histoire ? Perplexe ensuite, sous ses allures de petite farce de sorcière et ses personnages mignons qui s’amusent et qui plaisantent, la situation décrite est absolument effroyable, les derniers instants avant la fin du monde en quelques sorte ! Je pourrai aussi ajouter imaginatif, ce nouveau monde est original, au début il est très bucolique avec sa végétation envahissante et ses moutons paisibles. Puis il prend des allures post-apocalyptiques avec une menace sous-jacente et des petites phrases qui nous mènent au bord du gouffre. Mais comme on ne sait pas si c’est réel ou non, on n’a pas les critères qu’il faut pour jauger l’œuvre ou plutôt on ne sait pas lesquels prendre. Alors ça reste flou, on se demande si c’est bien, on cherche à comprendre l’objectif de l’auteur, s’il y a un message à trouver, une critique à demi-mot… Finalement on reste coi en espérant que la suite nous donne les clefs de compréhension. 2 tomes en cours
  18. Titre de l'album : Romi, la sorcière aux cornes de bélier tome 1 Scenariste de l'album : ABE Yôichi Dessinateur de l'album : ABE Yôichi Coloriste : Editeur de l'album : Noeve Grafx Note : Résumé de l'album : Tout le monde est endormi. Sur cette Terre ne restent plus que moi, ma camarade Sawada... et tout un tas de moutons. Pour une raison qui m'échappe, Sawada est devenue une sorcière, dotée de cornes de bélier. Pour une autre mystérieuse raison, elle m'a tiré du sommeil «pour s'amuser». Et maintenant, elle ne fait que m'embêter ! Que vais-je devenir dans ce monde apocalyptico-romantique ?! Critique : Déroutant et perplexe, ce sont les deux adjectifs que j’associerai à cette lecture. Déroutant en premier car on pense marcher sur un chemin puis on en change, puis on y revient. On ne sait pas vraiment où l’on se trouve, dans un rêve, dans la réalité, dans une histoire dans l’histoire ? Perplexe ensuite, sous ses allures de petite farce de sorcière et ses personnages mignons qui s’amusent et qui plaisantent, la situation décrite est absolument effroyable, les derniers instants avant la fin du monde en quelques sorte ! Je pourrai aussi ajouter imaginatif, ce nouveau monde est original, au début il est très bucolique avec sa végétation envahissante et ses moutons paisibles. Puis il prend des allures post-apocalyptiques avec une menace sous-jacente et des petites phrases qui nous mènent au bord du gouffre. Mais comme on ne sait pas si c’est réel ou non, on n’a pas les critères qu’il faut pour jauger l’œuvre ou plutôt on ne sait pas lesquels prendre. Alors ça reste flou, on se demande si c’est bien, on cherche à comprendre l’objectif de l’auteur, s’il y a un message à trouver, une critique à demi-mot… Finalement on reste coi en espérant que la suite nous donne les clefs de compréhension. 2 tomes en cours Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/romi-la-sorciere-aux-cornes-de-belier-t01?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. Rem, une jeune fille mi-humaine mi-chat et Shera une jeune elfe font un rituel d’invocation en même temps, c’est Diablo un roi démon de niveau 150 qui apparaît. Les deux filles se disputent pour savoir qui sera son maître mais Diablo possède de nombreuses compétences dont un sort qui renvoie les maléfices. Rem et Shera se retrouvent toutes les deux à porter un collier d’invocation qui les oblige à obéir aux ordres de Diablo. Mais Diablo n’est pas seulement un roi-démon, il est surtout un joueur de jeu vidéo, otaku et totalement ignorant avec les femmes, qui se retrouve coincé dans le corps de son avatar. Ne sachant pas comment se comporter avec les gens, il n’arrive à s’exprimer qu’en incarnant son personnage, un roi-démon hautain et assez froid. Le manga est arrivé en France via son anime en 2018 (2 saisons disponibles). Dans ce genre de cas, on est parfois un peu déçu de découvrir le manga mais dans le cas de How not to summon a demon lord, il n’y a pas de dissonance entre le manga et l’anime ; ils sont cohérents et tout autant agréables l’un que l’autre. Le côté isekai est bien présent car il y a toujours un décalage entre les actions de Diablo et ce qu’il pense vraiment. Lui qui ne côtoyait jamais personne, perd ses moyens devant les femmes et a tendance à laisser vagabonder son imagination car il a lu trop de mangas… Tous les trois vont partir à l’aventure pour régler les problèmes des deux filles. On se retrouve donc dans un manga d’heroic fantasy avec ses quêtes, ses non-humains plus ou moins classiques, ses monstres, de la magie et des méchants. Bourré de notes humoristiques, le manga joue également sur le fan-service avec des situations ecchi (à connotations sexuelles). Il y a de l’érotisme dans l’air, si on ne franchit jamais la ligne, il y a quand même une volonté sensuelle marquée. Le manga reste efficace surtout grâce à ses personnages sympathiques et une ambiance bon-enfant. Une bonne distraction. Extrait
  20. Titre de l'album : How not to summon a demon lord tomes 1 et 2 Scenariste de l'album : MURASAKI Yukiya Dessinateur de l'album : FUKUDA Naoto / TSURUSAKI Takahiro Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Il incarnait un roi démon dans son jeu... avant d'être soudainement invoqué dans un autre monde ! Dans le MMORPG Cross Rêverie, Takuma Sakamoto était un joueur si doué qu'on le surnommait le roi démon . Un beau jour, il se réveille dans un lieu qui ressemble à son jeu et se retrouve face à deux filles qui se disputent pour savoir laquelle l'a invoqué. Takuma réalise alors qu'il a été projeté dans un autre monde et qu'il a pris l'apparence de son personnage ! Complètement asocial, il galère à se faire passer pour un roi démon pour s'en sortir ! Critique : Rem, une jeune fille mi-humaine mi-chat et Shera une jeune elfe font un rituel d’invocation en même temps, c’est Diablo un roi démon de niveau 150 qui apparaît. Les deux filles se disputent pour savoir qui sera son maître mais Diablo possède de nombreuses compétences dont un sort qui renvoie les maléfices. Rem et Shera se retrouvent toutes les deux à porter un collier d’invocation qui les oblige à obéir aux ordres de Diablo. Mais Diablo n’est pas seulement un roi-démon, il est surtout un joueur de jeu vidéo, otaku et totalement ignorant avec les femmes, qui se retrouve coincé dans le corps de son avatar. Ne sachant pas comment se comporter avec les gens, il n’arrive à s’exprimer qu’en incarnant son personnage, un roi-démon hautain et assez froid. Le manga est arrivé en France via son anime en 2018 (2 saisons disponibles). Dans ce genre de cas, on est parfois un peu déçu de découvrir le manga mais dans le cas de How not to summon a demon lord, il n’y a pas de dissonance entre le manga et l’anime ; ils sont cohérents et tout autant agréables l’un que l’autre. Le côté isekai est bien présent car il y a toujours un décalage entre les actions de Diablo et ce qu’il pense vraiment. Lui qui ne côtoyait jamais personne, perd ses moyens devant les femmes et a tendance à laisser vagabonder son imagination car il a lu trop de mangas… Tous les trois vont partir à l’aventure pour régler les problèmes des deux filles. On se retrouve donc dans un manga d’heroic fantasy avec ses quêtes, ses non-humains plus ou moins classiques, ses monstres, de la magie et des méchants. Bourré de notes humoristiques, le manga joue également sur le fan-service avec des situations ecchi (à connotations sexuelles). Il y a de l’érotisme dans l’air, si on ne franchit jamais la ligne, il y a quand même une volonté sensuelle marquée. Le manga reste efficace surtout grâce à ses personnages sympathiques et une ambiance bon-enfant. Une bonne distraction. Extrait Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/how-not-to-summon-a-demon-lord-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. Titre de l'album : Utsubora tome 2 (fin) Scenariste de l'album : NAKAMURA Asumiko Dessinateur de l'album : NAKAMURA Asumiko Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : Asumiko Nakamura, autrice culte au style graphique unique, revient en français avec un polar psychologique particulièrement complexe et ambitieux. Entre suicide, plagiat et fantasmes, où se trouve la vérité ? Malgré l'enquête en cours, le mystère entourant le décès d'Aki reste entier. Les détectives peinent à démêler le vrai du faux... De son côté, Mizorogi continue à graviter autour de celle qui se prétend la jumelle de la victime. Restée seule, Koyomi est rejointe par Tsuji et Yatabe pour un dîner riche en spéculations : tous deux s'interrogent sur la véritable provenance d'Utsubora... Les masques finiront-ils enfin par tomber ? Critique : Difficile de donner un résumé de ce 2eme et dernier tome, difficile sans risquer de gâcher l’impression du livre, de piétiner le cheminement, de couper l’intrigue… Bon sang que ce livre est bon, il mérite d’y revenir, de reprendre le fil, de découvrir à nouveau. Car ce qui fait l’intrigue ce ne sont pas tant les événements que les cheminements de pensées, c’est l’essence des personnages qui détermine toute l’histoire. Et en même temps, il est difficile d’accès, il faut remettre les éléments dans l’ordre au fur et à mesure qu’on les découvre et il faut avoir une certaine quantité d’empathie pour arriver à effleurer la sensibilité des personnages. Se mettre à leur place serait prétentieux tellement ils sont complexes ! Car tout est là : il y a ce qui fait l’écrivain, sa raison de vivre et surtout ce qui lui manque quand arrive la page blanche. Il y a ceux qui gravitent autour, celles qui cherchent désespérément une place auprès de lui, ceux qui s’inspirent, ceux qui cherchent simplement à exister. Et puis il y a le graphisme, étrangement captivant par moment qui fait ressortir les cris de l’âme. Une belle œuvre, à demi-mot, pour ceux qui veulent prendre le temps d’entendre et qui veulent bien se laisser apprivoiser. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/utsubora-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. Nickad

    Utsubora tome 2 (fin)

    Difficile de donner un résumé de ce 2eme et dernier tome, difficile sans risquer de gâcher l’impression du livre, de piétiner le cheminement, de couper l’intrigue… Bon sang que ce livre est bon, il mérite d’y revenir, de reprendre le fil, de découvrir à nouveau. Car ce qui fait l’intrigue ce ne sont pas tant les événements que les cheminements de pensées, c’est l’essence des personnages qui détermine toute l’histoire. Et en même temps, il est difficile d’accès, il faut remettre les éléments dans l’ordre au fur et à mesure qu’on les découvre et il faut avoir une certaine quantité d’empathie pour arriver à effleurer la sensibilité des personnages. Se mettre à leur place serait prétentieux tellement ils sont complexes ! Car tout est là : il y a ce qui fait l’écrivain, sa raison de vivre et surtout ce qui lui manque quand arrive la page blanche. Il y a ceux qui gravitent autour, celles qui cherchent désespérément une place auprès de lui, ceux qui s’inspirent, ceux qui cherchent simplement à exister. Et puis il y a le graphisme, étrangement captivant par moment qui fait ressortir les cris de l’âme. Une belle œuvre, à demi-mot, pour ceux qui veulent prendre le temps d’entendre et qui veulent bien se laisser apprivoiser.
  23. poseidon2

    Nos différences enlacées t4

    Tome 4 de "nos différences entrelacées" et tome marquant un tournant dans la série. En effet, Mikanuji a été contacté pour faire des versions plus longues de ces petites scènes d’amourettes entre filles. Et je dois vous avouer que je préfère. Cela nous permet de mieux discerner les personnages (mais il parait que ça vient de moi) mais surtout de plus comprendre les différences sentimentales entre les différents « couples ». Une plongée dans l’intimité qui permet, de mon point de vue, de plus s’approprier les personnages la ou l'enchainement de petites scènes avait tendance à me faire mélanger toutes les histoires. Un vrai plus pour moi qui me donne envie de lire la suite. Et pour vous ?
  24. Titre de l'album : Nos différences enlacées t4 Scenariste de l'album : Mikanuji Dessinateur de l'album : Mikanuji Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Tu cherches juste à oublier un chagrin d'amour, pas vrai ? Sugimoto Elle étudie dans le lycée où travaille Kujô. Du fait de sa grande beauté, elle est mise à l'écart par les autres élèves et lui arrive même d'être victime de brimades. D'un naturel cynique, elle ne s'intéresse pas plus aux autres qu'à son propre sort. Kujô Elle enseigne le sport dans un lycée pour filles et est hantée par sa première expérience amoureuse. Sugimoto la mène par le bout du nez depuis qu'elle lui a avoué qu'elle voulait absolument se trouver une petite copine. Poussée par Sugimoto, Kujò se met en quête d'une petite amie, malgré la vision pessimiste de l'amour que lui a laissée sa précédente expérience. Mais malgré les conseils de son élève, ses visites dans un bar lesbien et son inscription sur un site de rencontre Ne semblent pas porter leurs fruits.. Pendant ce temps, de nouvelles émotions naissent petit à petit dans le coeur de Sugimoto, à force de regarder Kujò se déhattre avec maladresse et obstination... Critique : Tome 4 de "nos différences entrelacées" et tome marquant un tournant dans la série. En effet, Mikanuji a été contacté pour faire des versions plus longues de ces petites scènes d’amourettes entre filles. Et je dois vous avouer que je préfère. Cela nous permet de mieux discerner les personnages (mais il parait que ça vient de moi) mais surtout de plus comprendre les différences sentimentales entre les différents « couples ». Une plongée dans l’intimité qui permet, de mon point de vue, de plus s’approprier les personnages la ou l'enchainement de petites scènes avait tendance à me faire mélanger toutes les histoires. Un vrai plus pour moi qui me donne envie de lire la suite. Et pour vous ? Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/nos-differences-enlacees-tome-4?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. Nickad

    La petite loutre menteuse tome 1

    La petite loutre menteuse est une série humoristique publiée à l’origine sur les réseaux sociaux, c’est un yonkoma, un manga à quatre cases dans le sens vertical. La petite loutre est mignonne et coquine, elle aime les blagues sur tout et n’importe quoi. Les dessins, en couleur, sont bien faits et elle a une petite frimousse agréable. Ses petites blagues sont inégales, certaines font sourire, d’autres moins ; mais ce qui est sûr, c’est que c’est une lecture tout public. L’inconvénient de ce genre de format, c’est qu’il est fait pour être lu petit à petit, une petite histoire par jour ou une par semaine. Quand on lit le recueil d’une traite, on tombe forcément dans la sensation de redondance et on peut vite se lasser. Dans Hamlet (acte III scène 2) Shakespeare donne des conseils aux comédiens dont celui-ci que je trouve fort à propos pour ce manga : « Et que ceux qui jouent les clowns ne disent rien en dehors de leur rôle ! car il en est qui se mettent à rire d’eux-mêmes pour faire rire un certain de spectateurs ineptes, au moment même où il faudrait remarquer quelque situation essentielle de la pièce. » Qu’il est énervant de voir cette petite loutre dire à la fin de ces blagues « non je rigole » comme si le lecteur n’est pas en mesure de comprendre qu’il s’agit d’humour. D’un autre côté, ses blagues manquent parfois d’une chute… Alors c’est mignon, c’est gentillet, parfois drôle mais c’est surtout à prendre à petites doses.
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