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  1. Nickad

    Roll over & Die tomes 1 et 2

    Chaque humain de ce monde de fantasy a un attribut à la naissance qui lui confère des aptitudes particulières. Flamme Abricot est une jeune fille qui fait partie de la troupe du héros destinée à vaincre le roi démon, son attribut « inversion » n’a jamais été utile et ses statistiques sont nulles. Un jour, Gene Intège, un autre membre de cette troupe, lui appose la marque des esclaves et la vend, prétextant qu’elle est devenue un fardeau et que toute la troupe a donné son accord pour cette issue. Flamme sur le point de mourir utilise une épée maudite et réussit à s’évader en emmenant avec elle, Milkitte, une autre jeune fille esclave assez énigmatique. J’avais déjà vu un anime sur un membre de la troupe de héros injustement chassé qui finissait par trouver sa voie et dont l’absence avait de lourdes conséquences pour le héros. Si l’histoire a des parties similaires, Roll over & Die est bien plus sombre et dramatique. Peu à peu Flamme va découvrir de drôles de choses, des monstres étranges qui ne devraient pas exister, des secrets de l’Eglise originelle qui vont la mettre en danger. Avec Milkitte, elles vont faire des rencontres et se rendre compte que les apparences sont souvent trompeuses. Roll over & Die est un manga d’aventure fantastique efficace qui promet beaucoup. Ces deux premiers tomes sèment plusieurs graines de développement intéressantes qui semblent vouloir donner à l’histoire une dimension plus profonde que la fantasy classique. Il est cependant à réserver à un public mature, certaines scènes étant assez violentes. Le graphisme est parfaitement adapté et détaillé, il rend très bien les différentes ambiances. A suivre. Trailer
  2. Titre de l'album : Roll over & Die tomes 1 et 2 Scenariste de l'album : KIKI Dessinateur de l'album : MINAKATA Sunao / KINTA Coloriste : Editeur de l'album : Mahô Note : Résumé de l'album : Jamais tu ne vaincras le roi démon ! Simple fille de la campagne, Flamme Abricot a été choisie pour rejoindre la troupe du héros malgré ses statistiques à zéro et une compétence qu'elle ne peut utiliser. Devenue un fardeau pour ses coéquipiers, elle se retrouve abandonnée et vendue à un marchand d'esclaves. Pour échapper au sadisme de son geôlier et à une mort certaine, Flamme fait le choix désespéré d'attraper une arme maudite... C'est alors que quelque chose de nouveau se réveille en elle. Critique : Chaque humain de ce monde de fantasy a un attribut à la naissance qui lui confère des aptitudes particulières. Flamme Abricot est une jeune fille qui fait partie de la troupe du héros destinée à vaincre le roi démon, son attribut « inversion » n’a jamais été utile et ses statistiques sont nulles. Un jour, Gene Intège, un autre membre de cette troupe, lui appose la marque des esclaves et la vend, prétextant qu’elle est devenue un fardeau et que toute la troupe a donné son accord pour cette issue. Flamme sur le point de mourir utilise une épée maudite et réussit à s’évader en emmenant avec elle, Milkitte, une autre jeune fille esclave assez énigmatique. J’avais déjà vu un anime sur un membre de la troupe de héros injustement chassé qui finissait par trouver sa voie et dont l’absence avait de lourdes conséquences pour le héros. Si l’histoire a des parties similaires, Roll over & Die est bien plus sombre et dramatique. Peu à peu Flamme va découvrir de drôles de choses, des monstres étranges qui ne devraient pas exister, des secrets de l’Eglise originelle qui vont la mettre en danger. Avec Milkitte, elles vont faire des rencontres et se rendre compte que les apparences sont souvent trompeuses. Roll over & Die est un manga d’aventure fantastique efficace qui promet beaucoup. Ces deux premiers tomes sèment plusieurs graines de développement intéressantes qui semblent vouloir donner à l’histoire une dimension plus profonde que la fantasy classique. Il est cependant à réserver à un public mature, certaines scènes étant assez violentes. Le graphisme est parfaitement adapté et détaillé, il rend très bien les différentes ambiances. A suivre. Trailer Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/roll-over-and-die-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. poseidon2

    Yawara t11

    Titre de l'album : Yawara t11 Scenariste de l'album : Naoki Urasawa Dessinateur de l'album : Naoki Urasawa Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Depuis toute petite, Yawara Inokuma a été entraînée par son grand-père Jigorô Inokuma, un champion de judo, qui voit en elle une future star de la discipline. Mais contrairement aux attentes de son aïeul, la jeune fille ne rêve que de mode, d’amour, d’idol... Bref, elle n’aspire qu’à une vie d’adolescente ordinaire, loin des entraînements et des compétitions. Mais c’est sans compter son talent inné pour le judo, que son entourage ne lui permettra pas d’oublier...! Critique : MMmmmhhhhhhhhhhhhhhh decidement qu’est-ce que c’est bien Yawara. Une dose de poésie et de romantisme dans un monde de brut. Avec la fin de Saotome, Yawara est mon petit moment de romance. Et encore plus dans ce tome 11. Avec l’arrivée des championnats du monde, Urasawa joue avec merveille la carte de l’amoureuse qui ne comprend pas ce qui lui arrive. L’absence soudaine de Matsuda trouble complètement notre Yawara sans qu’elle comprenne vraiment ce qui lui arrive. L’impact sur les combats est immédiat et notre héroïne est sauvée de justesse, mais les bons conseils de ses amies Judy et la surprenante Yoko. Une love story sans émotions outrageantes, ça se démarque dans le manga et cela nous offre la plus mignonne des séries. Kana a décidément bien fait d'éditer ce premier succès de Maitre Urasawa qui nous promet en 9 tomes de rafraichissement. Maintenant court Mastuda ! Court ! la finale va commencer ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/yawara-tome-11?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. poseidon2

    Yawara t11

    MMmmmhhhhhhhhhhhhhhh decidement qu’est-ce que c’est bien Yawara. Une dose de poésie et de romantisme dans un monde de brut. Avec la fin de Saotome, Yawara est mon petit moment de romance. Et encore plus dans ce tome 11. Avec l’arrivée des championnats du monde, Urasawa joue avec merveille la carte de l’amoureuse qui ne comprend pas ce qui lui arrive. L’absence soudaine de Matsuda trouble complètement notre Yawara sans qu’elle comprenne vraiment ce qui lui arrive. L’impact sur les combats est immédiat et notre héroïne est sauvée de justesse, mais les bons conseils de ses amies Judy et la surprenante Yoko. Une love story sans émotions outrageantes, ça se démarque dans le manga et cela nous offre la plus mignonne des séries. Kana a décidément bien fait d'éditer ce premier succès de Maitre Urasawa qui nous promet en 9 tomes de rafraichissement. Maintenant court Mastuda ! Court ! la finale va commencer !
  5. poseidon2

    Rebuild the world t2

    En voilà une série qui a du potentiel. En contrepieds de ce que l’on pourrait attendre, notre série s’éloigne drastiquement du shonen de base avec un personnage principale qui se durcit, n’hésite plus à tuer les autres chasseurs. Un changement qui permet à notre histoire d’avancer à grand pas avec une progression impressionnante et une évolution toujours en cours. On est passionné par une histoire qui nous offre de belles promesses d’évolution, un héros à l’évolution étonnante et une IA qui semble encore nous cacher beaucoup de chose. Un excellent manga d’action
  6. Titre de l'album : Rebuild the world t2 Scenariste de l'album : Kirihito Ayamura Dessinateur de l'album : Kirihito Ayamura Coloriste : Editeur de l'album : VEGA Note : Résumé de l'album : Alpha passe à la phase « entraînement » et influe sur le corps du jeune Akira. Elle le pousse à communiquer par télépathie, dote sa vue d'une fonction zoom, l'entraîne aux techniques de tir. Akira devient vite un redoutable combattant atteignant le rang 10 et se trouvant de fait intégré à la Fédération des Chasseurs, un regroupement des plus performants d'entre eux. Mais, alors qu'il explore les ruines de l'ancien monde, il vient en aide à deux chasseuses, agressées par une autre troupe de chasseurs. Critique : En voilà une série qui a du potentiel. En contrepieds de ce que l’on pourrait attendre, notre série s’éloigne drastiquement du shonen de base avec un personnage principale qui se durcit, n’hésite plus à tuer les autres chasseurs. Un changement qui permet à notre histoire d’avancer à grand pas avec une progression impressionnante et une évolution toujours en cours. On est passionné par une histoire qui nous offre de belles promesses d’évolution, un héros à l’évolution étonnante et une IA qui semble encore nous cacher beaucoup de chose. Un excellent manga d’action Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/rebuild-the-world-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Nickad

    Arnaque corporelle

    Hajime a de nombreuses dettes, afin de l’aider à rembourser plus rapidement, son ami lui propose de travailler en tant que technicien sur les tournages de vidéo porno gay. Mais décontenancé devant ce qui se passe sous ses yeux, il fait une bourde, interrompt le tournage et se retrouve encore plus endetté. C’est là qu’on lui propose de devenir lui-même acteur. Comme il n’y connaît rien, l’acteur star de la compagnie va lui apprendre les ficelles pour qu’il soit prêt pour sa première. Résolument réservé à un public adulte, le manga exploite très bien l’histoire d’un employé quelconque qui se retrouve « piégé » dans ce milieu. Mais l’auteur se concentre aussi beaucoup sur la relation naissante entre le novice et l’expérimenté. Donc même s’il montre quelques facettes du milieu X, c’est avant tout la romance qui l’intéresse, et il fait plutôt ça bien. L’histoire est tout à fait crédible, le graphisme est parfait et montre des hommes séduisants sans être efféminés avec ce qu’il faut où il faut (je parle des muscles !). Il y a un juste équilibre entre les scènes érotiques et les tranches de vie. Un manga plaisant.
  8. Nickad

    Arnaque corporelle

    Titre de l'album : Arnaque corporelle Scenariste de l'album : AKIRA Roji Dessinateur de l'album : AKIRA Roji Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Endetté comme jamais auparavant, Hajime se retrouve à travailler les week-ends... Au départ engagé comme assistant technicien sur un plateau de tournage de vidéos érotiques, le jeune brun se retrouve finalement avec une nouvelle dette sur le dos... et un nouveau rôle : acteur porno ! Critique : Hajime a de nombreuses dettes, afin de l’aider à rembourser plus rapidement, son ami lui propose de travailler en tant que technicien sur les tournages de vidéo porno gay. Mais décontenancé devant ce qui se passe sous ses yeux, il fait une bourde, interrompt le tournage et se retrouve encore plus endetté. C’est là qu’on lui propose de devenir lui-même acteur. Comme il n’y connaît rien, l’acteur star de la compagnie va lui apprendre les ficelles pour qu’il soit prêt pour sa première. Résolument réservé à un public adulte, le manga exploite très bien l’histoire d’un employé quelconque qui se retrouve « piégé » dans ce milieu. Mais l’auteur se concentre aussi beaucoup sur la relation naissante entre le novice et l’expérimenté. Donc même s’il montre quelques facettes du milieu X, c’est avant tout la romance qui l’intéresse, et il fait plutôt ça bien. L’histoire est tout à fait crédible, le graphisme est parfait et montre des hommes séduisants sans être efféminés avec ce qu’il faut où il faut (je parle des muscles !). Il y a un juste équilibre entre les scènes érotiques et les tranches de vie. Un manga plaisant. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/arnaque-corporelle?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. Mais qu'est-ce que c'est encore très bon. Émotionnellement, c'est juste magique avec des "presque" retrouvailles en mode montagne russe. Scenaristiquement c'est un des tournants de notre histoire avec une explication de la vie du concepteur de l'aqua Vitae et du pourquoi de cette guerre entre Shirogame et Automates. Seul point qui pourra paraitre negatif à certains : on ne voit que très peu nos amis du cirque Nagamuchi. L'histoire de Bai Jin et son frère est si dense et interessante, tout comme les combats avec des automates d'un autre calibre, que l'on en oublie presque l'existence de notre petit cirque. Un vrai bon et long moment de lecture. On dirait presque un bouquin illustré. Et si le contenu est super interessant en terme d'histoire, le cliffhanger de fin de cu tome 10 est juste insoutenable et une vrai rampe de lancement ppour de sacré combat à venir ! Un conseil, ne finissez pas sur le 10.... ayez le 11 sous le coude!
  10. Titre de l'album : Karakuri Circus perfect édition t9&10 Scenariste de l'album : Kazuhiro Fujita Dessinateur de l'album : Kazuhiro Fujita Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Au coeur du cirque des automates, en un instant ! Alors qu'ils sont en route pour la Chine, Narumi et ses amis sont attaqués par des automates en plein vol ! Comment vont-ils faire pour se battre à l'intérieur de l'appareil, désormais transformé en un véritable champ de bataille ?! Et voilà maintenant que les destinées de Narumi, Shirogané et Masaru se croisent à nouveau ? Ainsi commence à se dévoiler avec violence la plus épique des histoires... Critique : Mais qu'est-ce que c'est encore très bon. Émotionnellement, c'est juste magique avec des "presque" retrouvailles en mode montagne russe. Scenaristiquement c'est un des tournants de notre histoire avec une explication de la vie du concepteur de l'aqua Vitae et du pourquoi de cette guerre entre Shirogame et Automates. Seul point qui pourra paraitre negatif à certains : on ne voit que très peu nos amis du cirque Nagamuchi. L'histoire de Bai Jin et son frère est si dense et interessante, tout comme les combats avec des automates d'un autre calibre, que l'on en oublie presque l'existence de notre petit cirque. Un vrai bon et long moment de lecture. On dirait presque un bouquin illustré. Et si le contenu est super interessant en terme d'histoire, le cliffhanger de fin de cu tome 10 est juste insoutenable et une vrai rampe de lancement ppour de sacré combat à venir ! Un conseil, ne finissez pas sur le 10.... ayez le 11 sous le coude! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/karakuri-circus-tome-9-perfect-edition?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. Déroutant et perplexe, ce sont les deux adjectifs que j’associerai à cette lecture. Déroutant en premier car on pense marcher sur un chemin puis on en change, puis on y revient. On ne sait pas vraiment où l’on se trouve, dans un rêve, dans la réalité, dans une histoire dans l’histoire ? Perplexe ensuite, sous ses allures de petite farce de sorcière et ses personnages mignons qui s’amusent et qui plaisantent, la situation décrite est absolument effroyable, les derniers instants avant la fin du monde en quelques sorte ! Je pourrai aussi ajouter imaginatif, ce nouveau monde est original, au début il est très bucolique avec sa végétation envahissante et ses moutons paisibles. Puis il prend des allures post-apocalyptiques avec une menace sous-jacente et des petites phrases qui nous mènent au bord du gouffre. Mais comme on ne sait pas si c’est réel ou non, on n’a pas les critères qu’il faut pour jauger l’œuvre ou plutôt on ne sait pas lesquels prendre. Alors ça reste flou, on se demande si c’est bien, on cherche à comprendre l’objectif de l’auteur, s’il y a un message à trouver, une critique à demi-mot… Finalement on reste coi en espérant que la suite nous donne les clefs de compréhension. 2 tomes en cours
  12. Titre de l'album : Romi, la sorcière aux cornes de bélier tome 1 Scenariste de l'album : ABE Yôichi Dessinateur de l'album : ABE Yôichi Coloriste : Editeur de l'album : Noeve Grafx Note : Résumé de l'album : Tout le monde est endormi. Sur cette Terre ne restent plus que moi, ma camarade Sawada... et tout un tas de moutons. Pour une raison qui m'échappe, Sawada est devenue une sorcière, dotée de cornes de bélier. Pour une autre mystérieuse raison, elle m'a tiré du sommeil «pour s'amuser». Et maintenant, elle ne fait que m'embêter ! Que vais-je devenir dans ce monde apocalyptico-romantique ?! Critique : Déroutant et perplexe, ce sont les deux adjectifs que j’associerai à cette lecture. Déroutant en premier car on pense marcher sur un chemin puis on en change, puis on y revient. On ne sait pas vraiment où l’on se trouve, dans un rêve, dans la réalité, dans une histoire dans l’histoire ? Perplexe ensuite, sous ses allures de petite farce de sorcière et ses personnages mignons qui s’amusent et qui plaisantent, la situation décrite est absolument effroyable, les derniers instants avant la fin du monde en quelques sorte ! Je pourrai aussi ajouter imaginatif, ce nouveau monde est original, au début il est très bucolique avec sa végétation envahissante et ses moutons paisibles. Puis il prend des allures post-apocalyptiques avec une menace sous-jacente et des petites phrases qui nous mènent au bord du gouffre. Mais comme on ne sait pas si c’est réel ou non, on n’a pas les critères qu’il faut pour jauger l’œuvre ou plutôt on ne sait pas lesquels prendre. Alors ça reste flou, on se demande si c’est bien, on cherche à comprendre l’objectif de l’auteur, s’il y a un message à trouver, une critique à demi-mot… Finalement on reste coi en espérant que la suite nous donne les clefs de compréhension. 2 tomes en cours Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/romi-la-sorciere-aux-cornes-de-belier-t01?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. Rem, une jeune fille mi-humaine mi-chat et Shera une jeune elfe font un rituel d’invocation en même temps, c’est Diablo un roi démon de niveau 150 qui apparaît. Les deux filles se disputent pour savoir qui sera son maître mais Diablo possède de nombreuses compétences dont un sort qui renvoie les maléfices. Rem et Shera se retrouvent toutes les deux à porter un collier d’invocation qui les oblige à obéir aux ordres de Diablo. Mais Diablo n’est pas seulement un roi-démon, il est surtout un joueur de jeu vidéo, otaku et totalement ignorant avec les femmes, qui se retrouve coincé dans le corps de son avatar. Ne sachant pas comment se comporter avec les gens, il n’arrive à s’exprimer qu’en incarnant son personnage, un roi-démon hautain et assez froid. Le manga est arrivé en France via son anime en 2018 (2 saisons disponibles). Dans ce genre de cas, on est parfois un peu déçu de découvrir le manga mais dans le cas de How not to summon a demon lord, il n’y a pas de dissonance entre le manga et l’anime ; ils sont cohérents et tout autant agréables l’un que l’autre. Le côté isekai est bien présent car il y a toujours un décalage entre les actions de Diablo et ce qu’il pense vraiment. Lui qui ne côtoyait jamais personne, perd ses moyens devant les femmes et a tendance à laisser vagabonder son imagination car il a lu trop de mangas… Tous les trois vont partir à l’aventure pour régler les problèmes des deux filles. On se retrouve donc dans un manga d’heroic fantasy avec ses quêtes, ses non-humains plus ou moins classiques, ses monstres, de la magie et des méchants. Bourré de notes humoristiques, le manga joue également sur le fan-service avec des situations ecchi (à connotations sexuelles). Il y a de l’érotisme dans l’air, si on ne franchit jamais la ligne, il y a quand même une volonté sensuelle marquée. Le manga reste efficace surtout grâce à ses personnages sympathiques et une ambiance bon-enfant. Une bonne distraction. Extrait
  14. Titre de l'album : How not to summon a demon lord tomes 1 et 2 Scenariste de l'album : MURASAKI Yukiya Dessinateur de l'album : FUKUDA Naoto / TSURUSAKI Takahiro Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Il incarnait un roi démon dans son jeu... avant d'être soudainement invoqué dans un autre monde ! Dans le MMORPG Cross Rêverie, Takuma Sakamoto était un joueur si doué qu'on le surnommait le roi démon . Un beau jour, il se réveille dans un lieu qui ressemble à son jeu et se retrouve face à deux filles qui se disputent pour savoir laquelle l'a invoqué. Takuma réalise alors qu'il a été projeté dans un autre monde et qu'il a pris l'apparence de son personnage ! Complètement asocial, il galère à se faire passer pour un roi démon pour s'en sortir ! Critique : Rem, une jeune fille mi-humaine mi-chat et Shera une jeune elfe font un rituel d’invocation en même temps, c’est Diablo un roi démon de niveau 150 qui apparaît. Les deux filles se disputent pour savoir qui sera son maître mais Diablo possède de nombreuses compétences dont un sort qui renvoie les maléfices. Rem et Shera se retrouvent toutes les deux à porter un collier d’invocation qui les oblige à obéir aux ordres de Diablo. Mais Diablo n’est pas seulement un roi-démon, il est surtout un joueur de jeu vidéo, otaku et totalement ignorant avec les femmes, qui se retrouve coincé dans le corps de son avatar. Ne sachant pas comment se comporter avec les gens, il n’arrive à s’exprimer qu’en incarnant son personnage, un roi-démon hautain et assez froid. Le manga est arrivé en France via son anime en 2018 (2 saisons disponibles). Dans ce genre de cas, on est parfois un peu déçu de découvrir le manga mais dans le cas de How not to summon a demon lord, il n’y a pas de dissonance entre le manga et l’anime ; ils sont cohérents et tout autant agréables l’un que l’autre. Le côté isekai est bien présent car il y a toujours un décalage entre les actions de Diablo et ce qu’il pense vraiment. Lui qui ne côtoyait jamais personne, perd ses moyens devant les femmes et a tendance à laisser vagabonder son imagination car il a lu trop de mangas… Tous les trois vont partir à l’aventure pour régler les problèmes des deux filles. On se retrouve donc dans un manga d’heroic fantasy avec ses quêtes, ses non-humains plus ou moins classiques, ses monstres, de la magie et des méchants. Bourré de notes humoristiques, le manga joue également sur le fan-service avec des situations ecchi (à connotations sexuelles). Il y a de l’érotisme dans l’air, si on ne franchit jamais la ligne, il y a quand même une volonté sensuelle marquée. Le manga reste efficace surtout grâce à ses personnages sympathiques et une ambiance bon-enfant. Une bonne distraction. Extrait Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/how-not-to-summon-a-demon-lord-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. Titre de l'album : Utsubora tome 2 (fin) Scenariste de l'album : NAKAMURA Asumiko Dessinateur de l'album : NAKAMURA Asumiko Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : Asumiko Nakamura, autrice culte au style graphique unique, revient en français avec un polar psychologique particulièrement complexe et ambitieux. Entre suicide, plagiat et fantasmes, où se trouve la vérité ? Malgré l'enquête en cours, le mystère entourant le décès d'Aki reste entier. Les détectives peinent à démêler le vrai du faux... De son côté, Mizorogi continue à graviter autour de celle qui se prétend la jumelle de la victime. Restée seule, Koyomi est rejointe par Tsuji et Yatabe pour un dîner riche en spéculations : tous deux s'interrogent sur la véritable provenance d'Utsubora... Les masques finiront-ils enfin par tomber ? Critique : Difficile de donner un résumé de ce 2eme et dernier tome, difficile sans risquer de gâcher l’impression du livre, de piétiner le cheminement, de couper l’intrigue… Bon sang que ce livre est bon, il mérite d’y revenir, de reprendre le fil, de découvrir à nouveau. Car ce qui fait l’intrigue ce ne sont pas tant les événements que les cheminements de pensées, c’est l’essence des personnages qui détermine toute l’histoire. Et en même temps, il est difficile d’accès, il faut remettre les éléments dans l’ordre au fur et à mesure qu’on les découvre et il faut avoir une certaine quantité d’empathie pour arriver à effleurer la sensibilité des personnages. Se mettre à leur place serait prétentieux tellement ils sont complexes ! Car tout est là : il y a ce qui fait l’écrivain, sa raison de vivre et surtout ce qui lui manque quand arrive la page blanche. Il y a ceux qui gravitent autour, celles qui cherchent désespérément une place auprès de lui, ceux qui s’inspirent, ceux qui cherchent simplement à exister. Et puis il y a le graphisme, étrangement captivant par moment qui fait ressortir les cris de l’âme. Une belle œuvre, à demi-mot, pour ceux qui veulent prendre le temps d’entendre et qui veulent bien se laisser apprivoiser. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/utsubora-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. Nickad

    Utsubora tome 2 (fin)

    Difficile de donner un résumé de ce 2eme et dernier tome, difficile sans risquer de gâcher l’impression du livre, de piétiner le cheminement, de couper l’intrigue… Bon sang que ce livre est bon, il mérite d’y revenir, de reprendre le fil, de découvrir à nouveau. Car ce qui fait l’intrigue ce ne sont pas tant les événements que les cheminements de pensées, c’est l’essence des personnages qui détermine toute l’histoire. Et en même temps, il est difficile d’accès, il faut remettre les éléments dans l’ordre au fur et à mesure qu’on les découvre et il faut avoir une certaine quantité d’empathie pour arriver à effleurer la sensibilité des personnages. Se mettre à leur place serait prétentieux tellement ils sont complexes ! Car tout est là : il y a ce qui fait l’écrivain, sa raison de vivre et surtout ce qui lui manque quand arrive la page blanche. Il y a ceux qui gravitent autour, celles qui cherchent désespérément une place auprès de lui, ceux qui s’inspirent, ceux qui cherchent simplement à exister. Et puis il y a le graphisme, étrangement captivant par moment qui fait ressortir les cris de l’âme. Une belle œuvre, à demi-mot, pour ceux qui veulent prendre le temps d’entendre et qui veulent bien se laisser apprivoiser.
  17. poseidon2

    Nos différences enlacées t4

    Tome 4 de "nos différences entrelacées" et tome marquant un tournant dans la série. En effet, Mikanuji a été contacté pour faire des versions plus longues de ces petites scènes d’amourettes entre filles. Et je dois vous avouer que je préfère. Cela nous permet de mieux discerner les personnages (mais il parait que ça vient de moi) mais surtout de plus comprendre les différences sentimentales entre les différents « couples ». Une plongée dans l’intimité qui permet, de mon point de vue, de plus s’approprier les personnages la ou l'enchainement de petites scènes avait tendance à me faire mélanger toutes les histoires. Un vrai plus pour moi qui me donne envie de lire la suite. Et pour vous ?
  18. Titre de l'album : Nos différences enlacées t4 Scenariste de l'album : Mikanuji Dessinateur de l'album : Mikanuji Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Tu cherches juste à oublier un chagrin d'amour, pas vrai ? Sugimoto Elle étudie dans le lycée où travaille Kujô. Du fait de sa grande beauté, elle est mise à l'écart par les autres élèves et lui arrive même d'être victime de brimades. D'un naturel cynique, elle ne s'intéresse pas plus aux autres qu'à son propre sort. Kujô Elle enseigne le sport dans un lycée pour filles et est hantée par sa première expérience amoureuse. Sugimoto la mène par le bout du nez depuis qu'elle lui a avoué qu'elle voulait absolument se trouver une petite copine. Poussée par Sugimoto, Kujò se met en quête d'une petite amie, malgré la vision pessimiste de l'amour que lui a laissée sa précédente expérience. Mais malgré les conseils de son élève, ses visites dans un bar lesbien et son inscription sur un site de rencontre Ne semblent pas porter leurs fruits.. Pendant ce temps, de nouvelles émotions naissent petit à petit dans le coeur de Sugimoto, à force de regarder Kujò se déhattre avec maladresse et obstination... Critique : Tome 4 de "nos différences entrelacées" et tome marquant un tournant dans la série. En effet, Mikanuji a été contacté pour faire des versions plus longues de ces petites scènes d’amourettes entre filles. Et je dois vous avouer que je préfère. Cela nous permet de mieux discerner les personnages (mais il parait que ça vient de moi) mais surtout de plus comprendre les différences sentimentales entre les différents « couples ». Une plongée dans l’intimité qui permet, de mon point de vue, de plus s’approprier les personnages la ou l'enchainement de petites scènes avait tendance à me faire mélanger toutes les histoires. Un vrai plus pour moi qui me donne envie de lire la suite. Et pour vous ? Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/nos-differences-enlacees-tome-4?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. Nickad

    La petite loutre menteuse tome 1

    La petite loutre menteuse est une série humoristique publiée à l’origine sur les réseaux sociaux, c’est un yonkoma, un manga à quatre cases dans le sens vertical. La petite loutre est mignonne et coquine, elle aime les blagues sur tout et n’importe quoi. Les dessins, en couleur, sont bien faits et elle a une petite frimousse agréable. Ses petites blagues sont inégales, certaines font sourire, d’autres moins ; mais ce qui est sûr, c’est que c’est une lecture tout public. L’inconvénient de ce genre de format, c’est qu’il est fait pour être lu petit à petit, une petite histoire par jour ou une par semaine. Quand on lit le recueil d’une traite, on tombe forcément dans la sensation de redondance et on peut vite se lasser. Dans Hamlet (acte III scène 2) Shakespeare donne des conseils aux comédiens dont celui-ci que je trouve fort à propos pour ce manga : « Et que ceux qui jouent les clowns ne disent rien en dehors de leur rôle ! car il en est qui se mettent à rire d’eux-mêmes pour faire rire un certain de spectateurs ineptes, au moment même où il faudrait remarquer quelque situation essentielle de la pièce. » Qu’il est énervant de voir cette petite loutre dire à la fin de ces blagues « non je rigole » comme si le lecteur n’est pas en mesure de comprendre qu’il s’agit d’humour. D’un autre côté, ses blagues manquent parfois d’une chute… Alors c’est mignon, c’est gentillet, parfois drôle mais c’est surtout à prendre à petites doses.
  20. Titre de l'album : La petite loutre menteuse tome 1 Scenariste de l'album : LOMMY Dessinateur de l'album : LOMMY Coloriste : Editeur de l'album : Noeve Grafx Note : Résumé de l'album : Je suis adorable, mais je ne suis pas très sage. J'adore faire des bêtises. Je souris, je ris, je me fâche, je pleure, mais souvent je fais semblant ! Raconter des mensonges, je trouve ça très amusant ! Pas vous ? Critique : La petite loutre menteuse est une série humoristique publiée à l’origine sur les réseaux sociaux, c’est un yonkoma, un manga à quatre cases dans le sens vertical. La petite loutre est mignonne et coquine, elle aime les blagues sur tout et n’importe quoi. Les dessins, en couleur, sont bien faits et elle a une petite frimousse agréable. Ses petites blagues sont inégales, certaines font sourire, d’autres moins ; mais ce qui est sûr, c’est que c’est une lecture tout public. L’inconvénient de ce genre de format, c’est qu’il est fait pour être lu petit à petit, une petite histoire par jour ou une par semaine. Quand on lit le recueil d’une traite, on tombe forcément dans la sensation de redondance et on peut vite se lasser. Dans Hamlet (acte III scène 2) Shakespeare donne des conseils aux comédiens dont celui-ci que je trouve fort à propos pour ce manga : « Et que ceux qui jouent les clowns ne disent rien en dehors de leur rôle ! car il en est qui se mettent à rire d’eux-mêmes pour faire rire un certain de spectateurs ineptes, au moment même où il faudrait remarquer quelque situation essentielle de la pièce. » Qu’il est énervant de voir cette petite loutre dire à la fin de ces blagues « non je rigole » comme si le lecteur n’est pas en mesure de comprendre qu’il s’agit d’humour. D’un autre côté, ses blagues manquent parfois d’une chute… Alors c’est mignon, c’est gentillet, parfois drôle mais c’est surtout à prendre à petites doses. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-petite-loutre-menteuse-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. Nickad

    La grossesse de M. Hiyama

    Depuis une dizaine d’années ; les hommes peuvent tomber enceints ; pas d’un autre homme comme beaucoup le pense, mais d’une femme. Difficile pour eux de le savoir avant que cela n’arrive vu qu’ils n’ont pas de cycle menstruel. Quand M Hiyama réalise qu’il est enceint, il en est à douze semaines environ, mais il n’est pas marié et ne sait pas qui est la mère. Et comme il est chef d’entreprise, il doit alors prendre une décision cruciale : garder ou non le bébé. Au travers de cette histoire un peu fantaisiste, l’autrice aborde tous les préjugés qui existent autour de la grossesse même des préjugés qui pourraient exister si un jour ce cas de figure devenait réel. Cela passe par les remarques désobligées au travail, dans les transports, dans les lieux publics « vous allez être en retard parce que vous avez la nausée […] vous pourriez faire un effort, non ? ». Les remarques sur les parents célibataires sont aussi bien présentes et dans le cas de M Hiyama, la méconnaissance qui le catalogue directement en personne gay. D’un autre côté, le fait qu’un homme soit enceint lui permet de mieux réfléchir à la situation, aux difficultés qu’il rencontre, il revient aussi sur sa façon de penser avant d’être dans cette situation. Il est toujours difficile de se mettre à la place des gens quand on n’est pas concerné, on a beau faire de son mieux pour comprendre, ce n’est pas comme si on le vivait, et je ne parle pas que de la grossesse… Alors un livre comme la grossesse de M Hiyama est une aubaine qui pousse le lecteur à voir les choses différemment, il porte un véritable message de tolérance et de compréhension tout en abordant le sujet avec une certaine légèreté et beaucoup de bienveillance. Une réussite ! Pour information, une série a été réalisée à partir de ce livre sous le même nom, elle est disponible sur Netflix. Extrait
  22. Titre de l'album : La grossesse de M. Hiyama Scenariste de l'album : SAKAI Eri Dessinateur de l'album : SAKAI Eri Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : Cela fait environ dix ans que, suite à une évolution naturelle, tous les hommes fertiles peuvent tomber enceints. Et jusqu'à ce que ça lui arrive, Kentarô Hiyama n'avait jamais envisagé cette éventualité. Salaryman chargé d'un poste à responsabilité, coureur de jupons célibataire, il profitait de la vie sans réfléchir aux conséquences. Mais quand son médecin lui annonce qu'il est enceint d'environ dix semaines, il devra tout remettre en question. Réalisant alors à quel point la société est inégalitaire, il décide de porter l'enfant à terme et de créer sa place lui-même ! Critique : Depuis une dizaine d’années ; les hommes peuvent tomber enceints ; pas d’un autre homme comme beaucoup le pense, mais d’une femme. Difficile pour eux de le savoir avant que cela n’arrive vu qu’ils n’ont pas de cycle menstruel. Quand M Hiyama réalise qu’il est enceint, il en est à douze semaines environ, mais il n’est pas marié et ne sait pas qui est la mère. Et comme il est chef d’entreprise, il doit alors prendre une décision cruciale : garder ou non le bébé. Au travers de cette histoire un peu fantaisiste, l’autrice aborde tous les préjugés qui existent autour de la grossesse même des préjugés qui pourraient exister si un jour ce cas de figure devenait réel. Cela passe par les remarques désobligées au travail, dans les transports, dans les lieux publics « vous allez être en retard parce que vous avez la nausée […] vous pourriez faire un effort, non ? ». Les remarques sur les parents célibataires sont aussi bien présentes et dans le cas de M Hiyama, la méconnaissance qui le catalogue directement en personne gay. D’un autre côté, le fait qu’un homme soit enceint lui permet de mieux réfléchir à la situation, aux difficultés qu’il rencontre, il revient aussi sur sa façon de penser avant d’être dans cette situation. Il est toujours difficile de se mettre à la place des gens quand on n’est pas concerné, on a beau faire de son mieux pour comprendre, ce n’est pas comme si on le vivait, et je ne parle pas que de la grossesse… Alors un livre comme la grossesse de M Hiyama est une aubaine qui pousse le lecteur à voir les choses différemment, il porte un véritable message de tolérance et de compréhension tout en abordant le sujet avec une certaine légèreté et beaucoup de bienveillance. Une réussite ! Pour information, une série a été réalisée à partir de ce livre sous le même nom, elle est disponible sur Netflix. Extrait Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-grossesse-de-m-hiyama?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. poseidon2

    Togen Anki t8

    Fin du combat entre Mudano et Tsukuyomi. Voilà. Fin de la critique… Bon ok je devrais ajouter que cette fin de combat est juste passionnante. Mudano est plus puissant que l’on ne pouvait le penser avant ce combat. Après il serait dommage de trop en dire tellement ce combat occupe la quasi-totalité du tome. La seule chose intéressante ajoutée est l’évolution de notre héros en fin de tome avec le début de son combat contre son ami Momotaro. Deux combats qui vont surement finir notre arc en cours dans le prochain tome avec après, et on peut m’espérer, une pause dans l’action pour remettre un peu d’ordre dans une histoire ou l’overdose d’action commence à nous perdre.
  24. poseidon2

    Togen Anki t8

    Titre de l'album : Togen Anki t8 Scenariste de l'album : Yura Urushibara Dessinateur de l'album : Yura Urushibara Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Une légende raconte qu'un enfant extrêmement fort serait né d'une pêche et baptisé Momotarô. Lorsqu'il devint assez grand et puissant, ce valeureux guerrier aurait chassé les Oni qui pillaient les villages. Ce héros n'est pas une légende... Tout comme les Oni... Leurs descendants sont encore parmi nous et la bataille opposant le clan Momotarô au clan des Oni fait rage ! Mudano est entravé par une technique de Tsukuyomi, le commandant Momotarô qui utilise les cartes de tarot pour se battre ! L'arrondissement de Nerima à Tokyo devient le théâtre de terribles affrontements entre Oni et Momotarô !! Critique : Fin du combat entre Mudano et Tsukuyomi. Voilà. Fin de la critique… Bon ok je devrais ajouter que cette fin de combat est juste passionnante. Mudano est plus puissant que l’on ne pouvait le penser avant ce combat. Après il serait dommage de trop en dire tellement ce combat occupe la quasi-totalité du tome. La seule chose intéressante ajoutée est l’évolution de notre héros en fin de tome avec le début de son combat contre son ami Momotaro. Deux combats qui vont surement finir notre arc en cours dans le prochain tome avec après, et on peut m’espérer, une pause dans l’action pour remettre un peu d’ordre dans une histoire ou l’overdose d’action commence à nous perdre. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/togen-anki-tome-8?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. Ash s’est retrouvé seul dans la forêt qui est très dangereuse, après plusieurs jours les villageois pensent qu’il n’y a plus d’espoir. C’est là qu’Ash revient, heureusement pour lui, il a rencontré Ban en cours de route, le chasseur du village. Avec lui, il découvre d’autres plantes et crée un remède à base d’aloe vera. Voilà un nouveau moyen de récolter de l’argent pour le village ce qui va leur permettre de développer une ferme apicole. Mais la vie reste quand même très dure et les gens peuvent mourir rapidement, d’un rhume ou d’une fracture parfois. Ash doit à tout prix trouver d’autre remèdes surtout avec l’approche de l’hiver. Pour rappel Ash est né avec des souvenirs de sa vie antérieure, une vie qui avait sans doute eu lieu de nombreux siècles avant, dans le même monde. Il n’en a que des images confuses et pas de connaissances précises. S’il sait vers quoi il avance, il n’a pas la science infuse et doit travailler et expérimenter pour avancer. C’est donc le point positif de l’histoire, Ash progresse avec les moyens du bord, pas à pas, avec l’aide des gens qui l’entoure. Mais à ce rythme-là, le manga risque de durer longtemps…. Enfin à condition qu’il ne soit pas abandonné entre temps ! Car s’il se lit facilement et qu’il est plutôt agréable, il lui manque la petite étincelle qui pousserait le lecteur à se ruer dessus lors de sa parution. Il n’en reste pas moins un shonen assez classique bien fait qui a les moyens de décoller.
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